Présenté Par :
1) Mlle MEZRI HANANE
2) Mlle YOUCEF KHEIRA
Devant les jurys composés de :
Dr. BENAISSAMOHAMMED MCA C.U.B.B (Ain Temouchent) Président
Dr. YOUNES MOHAMMED Prof C.U.B.B (Ain Temouchent) Encadreur
Dr. BENCHERIF KADDOUR MCB C.U.B.B (Ain Temouchent) Examinateur
Enfin, nous remercions toutes les personnes qui, par leur aide,
leurs conseils, leur amour ou leur amitié ont permis à ce travail
de voir le jour.
Sommaire
Sommaire
INTRODUCTION GENERALE …………………………………………………… 01
Chapitre I
POSITIONNEUR ANTENNE PARABOLIQUE
I-1_ Introduction ……………………………………………………………………… 02
I.2_Historique Des Moyens De La Communication …………………………………. 03
I-3_ Le Positionneur D’antenne ……………………………………………………... 06
3-1_DefinitionDe Positionneur …………………………………………………… 06
3-2_Definition D’antenne …………………………………………………………. 06
3-3_Installation D'un Positionneur D’antenne Parabolique ………………………. 06
3-4_Les Composants Electroniques Du Positionneur ……………………………. 08
I-4_Conclusion ……………………………………………………………………….. 12
Chapitre II
ETUDE FONCTIONNELLE DU PIC 16F877A
II-1_ Introduction…………………………………………………………………… 13
II_2_Historique de PIC …………………………………………………………….. 14
II-3_Presentationdu PIC 16F877A ……………………………………………….. 14
3-1_Definitiond’un PIC ………………………………………………………. 14
3-2_La Familledes PIC 16F877A …………………………………………….. 14
3-3_Identifierun PIC ………………………………………………………….. 14
II-4_Structure généralede PIC16F877A …………………………………………. 15
4-1_Microprocesseur …………………………………………………………… 15
4-2_Caracteristiques de La CPU ………………………………………………. 15
4-3_Caracteristiquesdes périphériques ………………………………………. 15
II-5_Architecteurde PIC 16F877A ………………………………………………. 16
5-1_L’alimentation VDD Et VSS …………………………………………………………………….. 17
5-2_Circuit reset (MCLR) ……………………………………………………… 17
5-3_L’oscillateur ……………………………………………………………….. 17
5-4_Portsd’entrées/sortie ……………………………………………………. 17
II-6_LesElémentsdebasedu PIC 16F877A …………………………….. 18
6-1_Cadencement Du PIC (Horloge) ………………………………………….. 18
6-2_L'alu Et L’accumulateur W …………………………………………….. 19
6-3_LesMémoiresdu PIC ……………………………………………………... 19
6-4_Timers ……………………………………………………………………. 20
6-5_Interruption ……………………………………………………………….. 22
6-6_Chiende Garde (WDT) ………………………………………………….. 24
6-7_Convertisseur Analogique/Numérique (A/N) ……………………………. 24
II-7_Conclusion …………………………………………………………………. 24
Sommaire
Chapitre III
SIMULATION ET REALISATION
DU CONTROLE D’UN POSITIONNEUR
III-1_Introduction………………………………………………………. 25
III-2_Cahier De Charge ……………………………………………………… 26
III-3_Materielle Utilise ………………………………………………………. 26
III-4_Fonctinnement …………………………………………………………. 26
III-5_Connexion …………………………………………………………….. 27
III-6_ Simulation sur ISIS …………………………………………………… 30
6-1_Derolement De La Simulation ……………………………………… 30
III-7_Conclusion ……………………………………………………… 34
III-8_ConclusionGénérale …………………………………………………... 35
INTRODUCTION GENERALE
Introduction générale
INTRODUCTION GENERALE
La télécommunication est devenue un outil performant dans tous les domaines que ce soit
économique ou autres. Le satellite crée est placé en orbite permet en toute facilité de transmettre
l’information en temps réel des événements se produisant en tout point de notre terre. Ces
informations ne peuvent être acquises que par une antenne parabolique captant les ondes émises
par ce satellite, encore il va falloir positionner cette antenne parabolique dans le couloir de ce
dite satellite. Etant nombreux de nos jours, il est impératif, de trouver un moyen de positionner
notre antenne parabolique dans un tel ou tel couloire avec une extrême facilité. En effet, dans le
besoin de condenser les ondes arrivant jusqu’à la tête de notre antenne, l’erreur ou plage position
de la parabole via un satellite est tellement étroite que le positionneur devrait être fiable à
regagner la position exacte précédemment définie.
Dans notre projet, inspiré des positionneurs qu’on a dans nos foyers, il est demandé de
réaliser un positionneur via un microcontrôleur. Un travail antérieur de master [45], a visé cette
commande par simulation, nous avons repris la question tout en changeant le protocole puis on a
procédé à sa réalisation.Ainsi dans le premier chapitre, nous allons donner un petit historique sur
les moyens de télécommunication à travers les siècles et leurs évolution jusqu’à ceux de nos
jours. Dans le deuxième chapitre, nous exposons l’outil cœur de notre commande
(microcontrôleur), nous mettons en évidences ses options qui relève de l’extrême importance
dans le domaine de la commande. Dans le troisième chapitre, nous définissant un cahier de
charge, et mettre tout en œuvre pour répondre à ce cahier, une simulation sur ISIS suivi d’une
réalisation pour accomplir le projet.
1
Chapitre 1 Positionneur d’antenne parabolique
CHAPITRE I
POSITIONNEUR ANTENNE
PARABOLIQUE
2
Chapitre 1 Positionneur d’antenne parabolique
CHAPITRE I
I.1_Introduction :
-Les satellites utilisés en réception des chaînes de télévision sont dits géostationnaires car ils sont
placés dans une orbite équatorial, le satellite apparaît alors comme fixe dans le ciel.
3
Chapitre 1 Positionneur
ositionneur d’antenne parabolique
Fig.1 :(a) moyen dee communication à distance ; (b)Poste royale symbole et ssignification[1]
4
Chapitre 1 Positionneur
ositionneur d’antenne parabolique
Début de la communication par signaux électriques Ce n'est qu'avec la "fée électricité" que le
télégraphe électrique vit le jour avec P. Shilling (1832). Un nouveau code télégraphique fut
établi par Samuel Morse (1837) et l'administration du télégraphe fut créer [[4,6].
I.2.3_Le Téléphone En 1854, un premier projet de téléphone fut proposé par F. Bourseul mais
il fallait attendre 1876 pour qu'un brevet soit déposé par Graham Bell. Le téléphone est né mais
on ne voyait pas son intérêt. 1848
848[7].
I.2.4_LA Radio Comme pour de nombreuses inventions, la TSF [8] (Transmission Sans Fil)
[8,9]A bénéficié des découvertes de différentes personnes: - Le physicien anglais, Olivier Lodge
(construit en 1894 un récepteur d'ondes) - Le physicien français Edouard Branly (1890: il invente
le radioconducteur ou cohéreur. C'est un récepteur qui est composé principalement d'un tube à
limaille. Une faible limaille de fer, de nickel, d'argent ou d'or est contenue dans un petit tube de
verre sans pression notable entre deux pistons métalliques. En temps normal, l'appareil présente
une forte résistance au passage du courant électrique, mais devient conducteur lorsqu'il est
soumis à l'influence d'une onde électromagnétique. Cette propriété permet d'actionner, avec
l'aide d'un relais très sensible.) - Le mathématicien anglais James C. Maxwell (1867: la théorie
électromagnétique
romagnétique de la lumière) - Le physicien allemand Heinrich Hertz (1887: l'existence des
ondes électromagnétiques et la possibilité de les transmettre à travers l'espace)
l'espace)[8]
-Guglielmo
Guglielmo Marconi st un physicien italien, inventeur et homme d'affaires italien. Il a longtemps
été considéré comme l'inventeur de la radio [8,10].
5
Chapitre 1 Positionneur
ositionneur d’antenne parabolique
I.2.5_La Télévision : Le 26 janvier 1926, l’inventeur écossais John Logie Baird présentait son
procédé de réception d'images sur une télévision à système mécanique à des membres de la
Royal Institution. Il s'agissait d'une petite image animée en noir et blanc de 30 lignes verticales
montrant les silhouettes de personnages situés dans la pièce voisine. Son invention était
l’aboutissement de plusieurs années de recherches qui remontent
remontent à la fin du XIXe siècle[11].
Fig.4 :(a)
(a) JOHN LOGIE BAIRD ; (b)premier télévision[4]]
I.2.6_Le Satellite :
Fig.5 :Spotnik
Spotnik 1 (a) ; antenne de communication russe (b) [5]
A la fin des années 50, les communications téléphoniques internationales restent très difficiles
car les câbles sous-marins
marins ont une capacité réduite. Malgré les transmissions du couronnement
de la reine d'Angleterre, Elizabeth II, la télévision ne permet pas pas encore des directs sur de
longues distances. Les enregistrements sur bande magnétique sont transportés par avion. Un
projet est alors mis en chantier : le satellite L'Union Soviétique invente le premier satellite
artificiel : SPOUTNIK 1. Il est mis en orbite
orbite le 4 octobre 1957. Le 3 novembre 1957, les russes
lancent SPOUTNIK 2 avec à son bord, la chienne Laïka [12] (la chienne Laïka le premier être
vivant à aller dans l’espace)[1
[12,13]et
et enfin le 15 mai 1958, c'est le tour de SPOUTNIK 3. La
réplique américaine ne se fait pas attendre : le 18 décembre 1958 les Etats Unis placent sur orbite
le satellite SCORE. Il reste 34 jours en activité, période durant laquelle sept messages lui furent
transmis par télex
6
Chapitre 1 Positionneur d’antenne parabolique
Les satellites utilisés servent généralement de relais amplificateurs (satellites actifs) ou parfois de
simples réflecteurs d'ondes radioélectriques (satellites passifs).
Un satellite défilant ne permet l'établissement de liaisons que pendant l'intervalle de temps où il
est à la fois visible d'un émetteur et d'un récepteur. Cette durée qui dépend de l'altitude orbitale
du satellite (entre 1.000 et 10.000 Km) ne dépasse guère quelques heures par jour.
Le satellite géostationnaire, placé sur une orbite à 35.900 Km de notre planète, a une durée de
révolution égale à la période de rotation de la terre, soit 23 h 56 mn. Tournant dans le même sens
que la Terre, il peut occuper une position fixe à l'aplomb d'un lieu géographique choisi à
l'avance. Avec trois de ces satellites on peut couvrir le globe et assurer en permanence le contact
entre deux stations au sol, quelles quesoient leurs localisations respectives[12].
7
Chapitre 1 Positionneur d’antenne parabolique
8
Chapitre 1 Positionneur d’antenne parabolique
I.3.4.1.1_Définition :
Le moteur pas à pas est un moteur qui tourne en fonction des impulsions électriques
reçues dans ses bobinages. L'angle de rotation minimal entre deux modifications des impulsions
électriques s'appelle le pas. On caractérise un moteur par le nombre de pas par tour (c'est à dire
pour 360°). Les valeurs courantes sont 48, 100 ou 200 pas par tour. Analyse d'un moteur
théorique composé d'un aimant permanent et de 2 enroulements constitués chacun de 2 bobines.
Le passage d'un courant, successivement dans chaque enroulement, fait tourner l'aimant[18].
I.3.4.1.2_Principe de fonctionnement :
Moteur qui sous l’action d’une impulsion électrique de commande effectue une fraction
de tour (ou “pas”)
La valeur du pas est définit :
- Par un angle par pas
- en nombre de pas par tour
L’excitation du moteur se fait via les bobines du stator
Le nombre de pas dépend:
- du nombre de phases (groupe de bobine);
- du nombre de pôles du rotor et du stator;
- de la séquence des commutations des phases du moteur[19].
9
Chapitre 1 Positionneur
ositionneur d’antenne parabolique
a -Moteur unipolaire :
Le rotor est constitué par un aimant permanent comportant une paire de pôles. Le stator,
comprend deux circuits magnétiques décalés de 90°. Les enroulements à point milieu sont
alimentés avec une polarité toujours du même signe,
signe d’où le nom d’unipolaire [21].
Fig.10: Une phase sur la séquence de pas pour moteur à deux phases
phases[10]
b-Moteur bipolaire
L'inversion du champ magnétique du stator est obtenue en changeant le sens du
courant dans la bobine
Avantages: Toutes les phases sont alimentées en permanence et à bobinage égal, le couple est 2
fois plus fort que celui d'un moteur unipolaire [22].
10
Chapitre 1 Positionneur d’antenne parabolique
Fig.13 : Représentation schématique d’un moteur pas à pas à reluctance variable [13]
Mode monophasé : A C B D
Mode biphasé : AC / CB / BD / DA
Mode demi – pas : A / AC / C / CB / B / BD / D /DA
I.3.4.1.3.3_Moteur hybride :
Le rotor présente plusieurs dents comme pour un moteur pas à pas à réluctance variable,
mais chaque dent est polarisée comme pour un moteur pas à pas à aimants permanents.
Physiquement le rotor est composé de deux éléments identiques à un rotor de moteur à
réluctance variable, reliés ensemble par un aimant permanent, avec un déphasage d’une ½ dent.
De ce fait ces deux éléments ont une polarisation différente (nord et sud) et vont réagir à la
11
Chapitre 1 Positionneur d’antenne parabolique
polarisation de chacune des dents du stator. C’est cette polarisation qui permet de n’utiliser que 2
bobines, qui forment en réalité 4 états différents puisque le sens du courant entre ici en jeu [23].
I.3.4.3_ULN2003
Le ULN2003A de STMicroelectronics est un réseau de 7 transistors Darlington haute tension,
courant élevé Le réseau contient sept Darlington à collecteur ouvert et paires avec émetteurs
communs. Chaque canal offre 500mA et peut résister à des courants de crête de 600 mA. Diodes
de suppression incluses pour piloter des charges inductives et les entrées sont câblées face aux
sorties pour simplifier le dessin du PCB Interface ULN2003 pour les familles logiques tels que
les TTL (Time to Live) , CMOS (Complementary Metal Oxide Semiconductor) 5V
Dispositifs sont utiles pour piloter une large gamme de charges, y compris les bobines, les relais,
les moteurs à courant continu, les afficheurs à LED, les lampes à incandescence, les têtes
d'impression thermiques et les buffer de forte puissance.
12
Chapitre 1 Positionneur
ositionneur d’antenne parabolique
I.4_ Conclusion
L'objectif de cette étude est de faire connaître le positionneur ainsi que son importance en
termes de faciliter la recherche des satellites (NIL, HOT, AST, ARA), et aussi savoir la bonne
façon de l'installer avec les méthodes connue, et le plus important est d’établir
d’établir la liste de tous les
composants qui lui faut à le réaliser.
Dans le chapitre suivant, nous allons étudier le cœur du contrôle de la parabole, en effet
le microcontrôleur offre la possibilité de se manifester aux capteurs qui leurs en reliés de
d’exécuter des instructions préalablement décrit dans sa mémoire progra
programmeet de mémoriser
des résultats obtenus.
13
CHAPITRE II
ETUDE FONCTIONNELLE
DU PIC 16F877A
Chapitre 2 Etude fonctionnelle du pic 16f877A
CHAPITRE 2
II.1_ Introduction
Le développement des applications à base des microcontrôleurs PIC est devenu de plus
en plus courant, ceci est dû à plusieurs causes : beaucoup de ressources internes, mémoires
embarquées de plus en plus grande, vitesse de calcul accrue…
En effet, un microcontrôleur est un composant parfaitement adapté à des applications
embarquées, il permet, enle programmant, d’effectuer et de contrôler une tâche tout en
comparant son état à des conditions préfixées par l’utilisateur
L’utilisation des microcontrôleurs fait appel tout d’abord àleurs programmation. Il existe
plusieurs méthodes de programmation selon le langage utilisé, par exemple en assembleur on
peut écrire un programme où on va tirer le maximum des performances du microcontrôleur mais
reprogramme nécessite beaucoup de travail et surtout beaucoup de temps. Heureusement, avec la
montée en puissance des microcontrôleurs, on voit apparaitre les compilateurs en langage C++
qui permettent de gagner un temps considérable pour le développement des programmes.
Dans ce travail notre choix est porté vers le PIC 16F877A. Nous allons étudier d’une manière
générale ce microcontrôleur et ses différentes ressources [26].
13
Chapitre 2 Etude fonctionnelle du pic 16f877A
II.2_Historique De PIC
Un microcontrôleur qui a été produit en 1971,est un circuit intégré qui rassemble les
éléments essentiels d'ordinateur (processeur, mémoires), unités périphériques et interfaces
d’entrées-sorties. Les microcontrôleurs se caractérisent par un plus haut degré d'intégration, une
plus faible consommation électrique, une vitesse de fonctionnement plus faible et un coût réduit
par rapport aux microprocesseurs (produit en 1972 par Marcian Hoff) polyvalents utilisés dans
les ordinateurs personnels [27].
14
Chapitre 2 Etude fonctionnelle du pic 16f877A
- YYY: Identification.
- ZZ: Vitesse maximum tolérable[31].
II.4_Structure générale de PIC16F877A
4.1 Microprocesseur
Un microprocesseur exécute séquentiellement les instructions stockées dans la mémoire
programme. Il est capable d’opérer sur des mots binaires dont la taille, en bits, est celle du bus
des données (parfois le double pour certains Microcontrôleurs). Il est généralement constitué des
éléments suivants :
-Un ou plusieurs registres accumulateurs contenant temporairement les opérandes ainsi que les
résultats des opérations,
- Des registres auxiliaires permettant de relayer les accumulateurs,
- Des registres d’index pour le mode d’adressage indirect,
- Un compteur programme pointant l’adresse de la prochaine instruction à exécuter, sa taille est
celle du bus des adresses,
- Une unité arithmétique et logique (ALU) permettant d’effectuer des opérations entre
l’accumulateur et un opérande,
- Un registre code condition indiquant certaines particularités en ce qui concerne le résultat de
la dernière opération (retenu, zéro, interruption...).
Il existe 2 catégories de microprocesseur : les CISC et les RISC [29].
15
Chapitre 2 Etude fonctionnelle du pic 16f877A
16
Chapitre 2 Etude fonctionnelle du pic 16f877A
5.3_L’oscillateur
Des broches permettent de faire fonctionner l’oscillateur interne du PIC. On peut utiliser 3
types d’oscillateurs : Un quartz ou résonateur céramique, Un oscillateur externe, Un réseau RC
[32].
5.4_Ports d’entrées/sortie
-Le PIC 16F877 dispose de 5 ports :
Port A : 6 pins I/O numérotées de RA0 à RA5.
Port B : 8 pins I/O numérotées de RB0 à RB7.
Port C : 8 pins I/O numérotées de RC0 à RC7.
Port D : 8 pins I/O numérotées de RD0 à RD7.
Port E : 3 pins I/O numérotées de RE0 à RE2 [31].
Port A
Les broches port A, excepté RA4, sont multiplexées, avec les entrées du convertisseur
Analogique numérique (AN0. AN4).
17
Chapitre 2 Etude fonctionnelle du pic 16f877A
La broche RA4 est multiplexé avec l’entrée d’horloge externe du timer0 (RA4/T0CKI) [31].
-Registre TRISA : TRISA=1 : les lignes du PORTA sont configurées en ENTREES, et le driver
de sortie est placé en haute impédance. TRISA=0 : les lignes du port sont configurées en
SORTIES[30].
Port B
Hors de sa fonction principale autant que ports d’entrées/sorties, on note le pin RB0 qui en
configuration d’entrée est de type « trigger de Schmitt » quand elle est utilisée en mode
interruption « INT » ; la lecture simple de RB0 se fait d’une façon tout à fait classique, en entrée
de type TTL. Encore il y a (RB3-RB6-RB7) qui peut servir dans la programmation en cas
d’absence de programmateur commercial [33].
-Registre TRISB :
Le bit 0 du PORT B peut également être utilisé comme entrée d'interruption externe. Le choix
du front de déclenchement se fait en configurant le bit 6 du registre OPTION [34].
Port C
Le port C est partagé avec liaisons, les timers 1 et 2 et les modules CCP [31].
-Registre TRISC :
La configuration de direction se fait à l'aide du registre TRISC, positionner un bit de TRISC à 1
configure la broche correspondante de PORTC en entré et inversement. Au départ toutes les
broches sont configurées en entrée [35].
Port D
En plus de leur utilisation comme PORTS E/S; les ports D et E, permettent auMicrocontrôleur de
travailler en mode PSP (Parallel Slave Port) c’est-à-dire, qu’il peut être interfacé avec un autre
microprocesseur. Dans ce cas le PORTD représente le bus de données et le PORTE les signaux
de contrôle (RD\, WR\ et CS\).
Le PORTE peut être aussi, configuré en mode analogique pour former avec le PORTA les
8entrées du convertisseur analogique numérique [31].
-Registre TRISD :
Le PORTD peut être utilisé dans un mode particulier appelé " parallèle slave port " pour cela il
faut placer le bit 4 (PSPMODE) de TRISE à 1. Dans ce cas les 3 bits de PORTE deviennent les
entrées de control de ce port (RE, WE et CS) [35].
Port E
Par défaut, le PORTE est configuré commeport analogique, et donc, comme pour le PORTA
[31].
-Registre TRISE : Les 3 bits de PORTE peuvent être utilisés soit comme E/S numérique soit
comme entrées analogiques du CAN. La configuration se fait à l’aide du registre ADCON1 [30].
II.6_Les éléments de bas du pic 16F877A :
6.1_Cadencement du PIC (horloge):
18
Chapitre 2 Etude fonctionnelle du pic 16f877A
6.2_L'ALU et l’Accumulateur W :
L’ALU est une Unité Arithmétique et Logique à 8 Bits qui réalise les opérations
arithmétiques et logique de base. L’accumulateur W est un registre de travail 8 bits, toutes les
opérations à deux opérandes passent par lui. On peut avoir : Une instruction sur un seul opérande
qui est en général un registre situé dans la RAM, Une instruction sur 2 opérandes. Dans ce cas,
l’un des deux opérandes est toujours l’accumulateur W, l’autre peut être soit un registre soit une
constante. Pour les instructions dont un des opérandes est un registre, le résultat peut être
récupéré soit dans l’accumulateur, soit dans le registre lui-même[36].
6.3_Les mémoires de pic :
Les mémoires sont de trois types différents :
6.3.1_La mémoire FLASH :
Mémoire morte FLASHC’est la mémoire programme proprement dite. Chaque case mémoire
unitaire fait 14 Bits. La mémoire FLASH est un type de mémoire stable, réinscriptible à volonté.
C’est ce nouveau type de mémoire qui a fait le succès de microprocesseur PIC. Dans le cas du
16F877, cette mémoire FLASH fait 8 K. Lorsque l’on programme en assembleur, on écrit le
programme directement dans cette mémoire [45].
6.3.2_La RAM :
Les mémoires RAM (Random Access Memory) statiques, ou SRAM, sont constituées de cellules
accessibles, en mode normal, en lecture et en écriture. Elles sont utilisées dans certains circuits
programmables complexes pour conserver la configuration (qui définit la fonction réalisée) du
circuit. Ces mémoires perdent leur information quand l’alimentation est supprimée [44].
19
Chapitre 2 Etude fonctionnelle du pic 16f877A
6.4.1_Le Timer0 (8bits) : il peut être incrémenté par des impulsions extérieures via la broche
(TOCKI/RA4) ou par l’horloge interne Fosc/4 (mode Timer).
20
Chapitre 2 Etude fonctionnelle du pic 16f877A
6.4.2_Le Timer1
(16 bits) : il peut être incrémenté soit par l’horloge interne par des impulsions sur la
broche T1CKI/RC0 ou par un oscillateur (RC ou quartz) connecté sur les broches T1OSO/RC0
et T1OSI/RC1 [36].
Le registre T1CON : Sélection du pré diviseur placé avant le TIMER. Au reset : T1CON =
00000000 ; T1CKPS1 T1CKPS0 : Bits Sélection du pré diviseur placé avant le TIMER [30].
6.4.3_Le Timer2 (8bits) : il est incrémenté par l’horloge interne, celle peut être pré divisée [36].
Fig.22:Fonctionnement de timer2[22]
21
Chapitre 2 Etude fonctionnelle du pic 16f877A
Registre T2CON :
POSTSCALAR
TOUTPS3 TOUTPS2 TOUTPS1 TOUTPS0
RATE
0 0 0 0 1 :1
0 0 0 1 1 :2
0 0 1 0 1 :3
0 0 1 1 1 :4
0 1 0 0 1 :5
0 1 0 1 1 :6
0 1 1 0 1 :7
0 1 1 1 1 :8
1 0 0 0 1 :9
1 0 0 1 1 :10
1 0 1 0 1 :11
1 0 1 1 1 :12
1 1 0 0 1 :13
1 1 0 1 1 :14
1 1 1 0 1 :15
1 1 1 1 1 :16
6.5_Interruption :
Une interruption provoque l’arrêt du programme principal pour aller exécuter une
procédure d'interruption. A la fin de cette procédure, le microcontrôleur reprend le programme
principal à l’endroit où il l’a laissé. A chaque interruption sont associés deux bits, un bit de
validation et un drapeau. Le premier permet d'autoriser ou non l'interruption, le second permet au
programmeur de savoir de quelle interruption il s'agit. Concernant le µc16F877A, les
interruptions sont classées en deux catégories, les interruptions primaires et les interruptions
périphériques. Elles sont gérées par les registres : INTCON, PIE1, PIR1, PIE2, PIR2 et
OPTION_REG.
- Toutes les interruptions peuvent être validées/interdites par le bit INTCON.GIE
- Toutes les interruptions périphériques peuvent être validées/interdites par le bit INTCON.PEIE
- Chaque interruption peut être validée/interdite par son bit de validation individuel [37].
22
Chapitre 2 Etude fonctionnelle du pic 16f877
16f877A
Fig.23:plan d’interruption[23]
Registre INTCON :
Bit 7 : GIE (1= Autorise /0 = Désactive toutes les interruptions non masquées)
Bit 6 : PEIE (1= Autorise /00 =Désactive
=Désactive les interruptions causées par le périphériques)
Bit 5 : TOIE (1= Autorise /00 = Désactive les interruptions du Timer TMR0)
Bit 4 : INTE (1= Autorise /0 = Désactive les interruptions sur
sur la broche : PB0/IRQ (pin6))
Bit 3 : RBIE (1=Autorise /00 = Désactive les interruptions par changement d'état de PB4 à PB7)
Bit 2 : TOIF (1== Le Timer a débordé/0 = Le Timer n'a pas débordé)
Bit 1 : INTF (1 = Une interruption sur la broche PB0/IRQ (pin 6) est survenue /0 = Pas
d’interruption sur la broche PB0/IRQ (pin 6))
Bit 0 : RBIF (Ce flag doit être remis à zéro par programme) [37,39].
23
Chapitre 2 Etude fonctionnelle du pic 16f877
16f877A
6.7_Convertisseur Analogique/Numérique
ue/Numérique (A/N) :
Le CAN est un périphérique intégré destiné à mesurer une tension et la convertir en
nombre binaire qui pourra être utilisé par un programme. Notre 16F877 travaille avec un
convertisseur analogique/numérique qui permet un échantillonnage
échantillonnage sur 10 bits. Le signal
numérique peut donc prendre 1024 valeurs possibles. On sait que pour pouvoir numériser une
grandeur, nous devons connaître la valeur minimale qu’elle peut prendre, ainsi que sa valeur
maximale, Les pics considèrent par défaut que la
la valeur minimale correspond au
auVss, tandis que
la valeur maximale correspond au potentiel positive Vdd [33].
Le module de conversion utilise 4 registres disposés comme suit : *Registre de Résultat
High (ADRESH) *Registre de Résultat Low (ADRESL) *Registre 0 de Contrôle (ADCON0)
*Registre 1 de Contrôle (ADCON1) [33,32].
II.7_ Conclusion
En partant du concept général sur les microcontrôleurs,
microcontrôleurs, nous avons ensuite défini la
famille des PIC et plus particulièrement le 16F877A.Cette étude théorique nous a permis de
traiter et de comprendre le fonctionnement de différentes options interne
internes et externes du PIC
16F877A,, d’envisager des applications pour
po ce µC.
En conclusion dans cette partie nous pouvons dire que le microcontrôleur 16F877A peut
bien largement jouer le rôle d'une unité de contrôle pour notre projet.
Et dans la 3emechapitre on va passer à la simulation par programme ISIS et Micro C pro for PIC
suivent un cahier de charge.
24
Chapitre III
SIMULATION ET REALISATION
D’UN POSITIONNEUR
D’UNE ANTENNE PARABOLIQUE
Chapitre III Simulation et réalisation d’un positionneur d’une antenne parabolique
CHAPITRE III
SIMULATION ET REALISATION
D’UN POSITIONNEUR D’UNE ANTENNE
PARABOLIQUE
III.1_Introduction :
Pour la programmation du Pic on doit utiliser logicielle "Micro Pro for Pic " qui est un
puissant outil de développement riche en fonctionnalités pour PIC (Microcontrôleurs).
Il est conçu pour fournir au programmeur le plus simple possible Solution au développement
d'applications pour systèmes embarqués, sans compromis Performance ou contrôle, Après cela,
nous avons logicielle "ISIS"qui est principalement connu pour éditer des schémas électriques.Et
aussi permet également de simuler ces schémas ce qui permet de déceler certaines erreurs dès
l'étape de conception.
L’étude de simulation assure le bon fonctionnement du positionneur avant sa réalisation.
25
Chapitre III Simulation et réalisation d’un positionneur d’une antenne parabolique
III.4_Fonctionnement :
Les transpondeurs à localiser, sont quatre simulé par quatre contacts configurés en
interruption dans le pic2 lui-même simulé en espace de couloires satellitaire, le port Cdu pic2
est entièrement liés avec le port C du pic1. Ces liaisons servent à passer la fréquence de l’espace
satellitaire du pic2 vers le pic1 une fois la parabole entre dans le couloir correspondant, cette
intrusion se fait par l’action sur un des quatre contacts dont le pic2, excite le pic1 à travers le pin
(portc.b0) lié directement avec le pin (portb.b5) dupic1.
Une action sur le bouton poussoir actionne le pin (portb.b4), la recherche se lance, le moteur
commence à tourner de l’extrême gauche vers l’extrême droite. Pendant son mouvement et en
rentrant dans un couloir, il pique la fréquence, l’enregistrer avec l’angle. Cela se réalise comme
suite :
Une fois les 4 transpondeurs sont enregistrés l’utilisateur aura la possibilité de sélectionner
un transpondeur par le contact du pin portb.b7, puis une action sur le contact du pin portb.b6, le
26
Chapitre III Simulation et réalisation d’un positionneur d’une antenne parabolique
III.5_Connexion :
Sur ces tableaux, on montre les connexions entre éléments du circuit avec qualification des
ports.
27
Chapitre III Simulation et réalisation d’un positionneur d’une antenne parabolique
28
Chapitre III Simulation et réalisation d’un positionneur d’une antenne parabolique
5V 10kΩ _ _ 5V 10kΩ _
1 MCLR B7 40 29 1 MCLR B7 40 _ 24
_ 2 A0 B6 39 _ _2 A0 B6 39 _ 23
57
_ 3 A1 B5 38 _ _3 A1 B5 38 _
30 22
_ _ 19 _4 A2 B4 37 _
4 A2 B4 37 21
_ 5 A3 B3 36 _ 64 _5 A3 B3 36 _
_ 6 A4 B2 35 _ 63 _6 A4 B2 35 _
_ _ 62 _7 A5 B1 34 _
7 A5 B1 34
_ _ 61 _8 E0 B0 33 _
PIC16F877A
8 E0 B0 33
PIC16F877A
_ 9 E1 VDD 32 _ 5V _9 E1 VDD 32 _ 5V
_ _ 0V _10 E2 VSS 31 _ 0V
10 E2 VSS 31
5V _ 11 VDD D7 30
_ 1 5V _11 VDDD7 30 _
0V _ 12 VSS D6 29 _ 2 0V _12 VSS D6 29 _
_ 13 QTZ D5 28 _ 3 _13 QTZ D5 28 _
QTZ _ _ 4 QTZ _
14 QTZ D4 27 14 QTZ D4 27 _
25 V _ 15 C0 C7 26 _ 102
25
V _
15 C0 C7 26 _ 102
26 _ 16 C1 C6 25 _
103 _ C6 25 _
26 16 C1 103
27 _ 104 _ 17 C2
17 C2 C5 24 27 C5 24 _ 104
28 _ 18 C3 105
C4 23 _ 28 _18 C3 C4 23 _ 105
_ 19 D0 _ 5 _ 19 D0
3 22
D3 30 D3 22_
_ _ 6 _ 20 D1
20 D1 4 21
D2 D2 21_
61 1 16 3-R
62 2 15 4-B
LCD 2*16 5-M
ULN2003
63 3 14
D7
D6
D5
D4
D3
D2
64 4 13 6- J
-16
-15
-14
-13
-12
-11
-10
-9
-8
-7
-6
-5
-4
-3
-2
-1
5 12
6 11
5 6 5V
220Ω
9V 1 2 3 4 7 10
0V 0V 0v 8 9
5V
5V 5V
1-Blanc 9V
2-Blanc 9V
Moteur 16
3-Rouge
Pas à pas 4-Bleu 15
0 0
6 fils 5-Jaune 13
6-Marron 14
23 24
29
Chapitre III Simulation et réalisation d’un positionneur d’une antenne parabolique
0 5V 5V
0V 0V 0V
29 5V 57 19
5V
0V
0V
21
22
III.6.1_Déroulement de la simulation :
Etape 1 : mise en marche du programme, l’écran affiche le mot « MENU »
30
Chapitre III Simulation et réalisation d’un positionneur d’une antenne parabolique
Au cours de cette étape, le contrôleur détecte et enregistre les satellites avec leurs positions.Cette
étape prendra fin quand le moteur pas à pas atteindra l’extrême droite avec tous les satellites ont été
enregistrés nom et position dans l'EEPROM.
Etape 4 : tous les satellites ont été enregistrés avec leurs positions, le BP (B) sert à défiler les positions
des satellites avec leurs noms.
Etape 5 : Etant les satellites ont été enregistrés avec leurs positions l’appuie sur le BP (C), commande le
pic de localiser le satellite affiché après le défilement par le BP (B).
31
Chapitre III Simulation et réalisation d’un positionneur d’une antenne parabolique
Fig.
ig.29: localisation du satellite NILESAT (40°)
Réalisation pratique
Après la réussite de la commande sur le logiciel PROTEUS de notre projet, nous avons :
1- chargé les deux fichiers exécutables
ex baptiséss parabole1.hex et parabole2.hex sur les deux
PIC via (logiciel
logiciel MiniPro v6.50 + le programmeur) (figure 31.a ; 31
31.b).
2- concrétisé le schéma
ma de la figure 1, sur une plaque d’essai (figure 32
32),
3- utilisé deux sources de tension stabilisée
stabilis 5V et 9 V (figure 32)
4- Procédéà un essai de vérification
v de fonctionnement qui a réussi.
Dans notre exemple, le moteur pas à pas exécute un tour pour 12 positions ce qui fait 30
30°
de pas. S’il est demandé un pas d’un
d degré (1°) pour l’antenne,
antenne, il va falloir rréduire la vitesse on
utilisant un réducteur
ducteur de vitesse de 1/30 soit alors une force de charge support
supportée de 30 fois ce
qu’est produit par
ar le moteur pas à pas. Certain moteurs pas à pas sont dot
dotés de réducteur de
vitesse (incorporé).
32
Chapitre III Simulation et réalisation d’un positionneur d’une antenne parabolique
Fig.32: (a) alimentations 5 et 9 Volts ; (b) moteur pas à pas ; (c) le circuit de commande du positionneur
III.7_ Conclusion
Dans ce chapitre nous avons défini un cahier de charge et établir une liste d’éléments pour
répondre à ce cahier de charge. Par la suite, nous avons mis en œuvre une machination
linguistique qui a été poursuivi par un programme sur Mikro-pic-pro. Ce programme a bien
répondus au cahier de charge. Ensuite, nous avons passé à la réalisation dont on a utilisé le
programmeur. Les résultats ont été précis et réussis.
33
Conclusion Générale
Conclusion générale
CONCLUSION GENERALE
Les logiciels utilisés notamment ISIS, Mikro-pro-pic et Minpro-5.06 ont été capitale pour
la réussite de notre travail de réalisation. Nous avons pris que malgré le microcontrôleur
possédant de petites mémoires, une vitesse réduite de son horloge et un jeu d’instructions qu’est
limité, il est d’une efficacité surprenante pour la gestion des tâchesde l’ordre de la notre.
34
Annexe
ANNEXE.1
CONTROLE D’UN MOTEUR PAS A PAS BIPOLAIRE A TRAVERS L’ULN2003A
Le ULN2003A est un réseau de 7 transistors Darlington haute tension, courant élevé, des diodes
incluses pour piloter des charges inductives et les entrées sont câblées face aux sorties pour
simplifier le dessin du PCB Interface ULN2003 Dispositifs sont utiles pour piloter une large
gamme de charges, y compris les bobines, les relais, les moteurs à courant continu, les afficheurs
à LED, les lampes à incandescence, les têtes d'impression
d'impression thermiques et les buffer de forte
puissance.
Fig.33 : Circuit d’excitation des bobines statoriques par le les transistors [25]
Fig.34: Circuit d’excitation des bobines statoriques par le les transistors [26]
Annexe
ANNEXE.2
ORGANIGRAMME DE LA PROCEDURE D’UN POSITIONEUR
BIBLIOGRAPHIES
Liste des références
[1]http://chari.123.ma/doc_1/cour2ste/SI%20STE%20Sujet%20session%20normale%202011.pdf
[2]http://webcache.googleusercontent.com/search?q=cache:http://profge.free.fr/sujets/SSI/EST/z
ero_SSI-bac2003toulouse.pdf
[3]http://les11diderettes.blogspot.com/2016/01/petites-histoires-de-communication.html
[4]http://www.ufr-mig.ups-tlse.fr/NTIC/tice/e-l2reseaux/Introduction/histo.htm
[5]http://www.histoire-pour-tous.fr/batailles/3049-la-bataille-de-valmy-20-septembre-1792.html
[6]http://www.positron-libre.com/technique/histoire-communication.php
[7]https://curie.fr.fo/3emes/file/evol_ot/Histoire%20de%20la%20communication.htm
[8]https://www.ph-ludwigsburg.de/wp/kuntze/villette/aufs/thst52.htm
[9] https://fr.wikipedia.org/wiki/Transmission_sans_fil
[10]https://fr.wikipedia.org/wiki/Guglielmo_Marconi
[11]http://www.sympatico.ca/actualites/decouvertes/histoire/john-logie-baird-invention-
television-1.1482679
[12]http://www.centraphone.fr/satellite.htm
[12 13]https://mixcity.fm/histoire-chienne-laika-espace-en-1957/
[14] https://www.satenco.com/fr/index.php?controller=attachment?id_attachment=972
[15] http://www.dzsat.org/forum/f331/instalation-d-un-positionneur-rotor-391683.html
[16] http://www.toutimages.com/google_satellite/satellite.htm
[17] http://www.antenne-tvsat.fr/13-satellite
[18] http://sam.electroastro.pagesperso-orange.fr/dossiers/pasapas/moteurpas2.htm#int
[19]https://cours.etsmtl.ca/gpa668/aCours/GPA668-Cours13b.pdf
[20]http://phgeorges.free.fr/docs/sc_tbam/moteur_pas_pas1.doc
[22]http://coursenligne1s6.fr/si-terminale-moteur-pas-a-pas.html
[23] http://www.moteur-industrie.com/moteurs-pas-a-pas/technique.html
[24]http://exploreembedded.com/wiki/LCD_16_x_2_Basics
[25]http://fr.farnell.com/stmicroelectronics/uln2003a/reseau-de-transistor-darlington/dp/1094421
[26]https://fr.scribd.com/doc/36434413/Programmation-en-C-du-Microcontrolleur-PIC16F877
[27]http://www.academia.edu/5163800/Chapitre3._microcontroleur
[28]http://www.univ-eloued.dz/images/memoir/file/M.T-074-01.pdf
[29]http://sti.ac-orleans-tours.fr/spip2/IMG/doc/Microcontroleur.doc
[30]http://www.memoireonline.com/recherche3.html?cof=FORID%3A11&ie=ISO-8859-
15&q=877A&cx=partner-pub-2070567197244873%3Amqp2ps9rfo1&sa=+Recherche+
[31]http://www.technologuepro.com/microcontroleur-2/chapitre-2-microcontroleur-pic-
16f877.pdf
[32]http://dspace.univ-biskra.dz:8080/jspui/bitstream/123456789/4999/1/memoire%20finalle.pdf
[33]https://www.researchgate.net/profile/Islam_Aoufi/publication/269162058_pic_16f/links/548
2e81a0cf2f5dd63a9056a
Bibliographies
[34]http://webcache.googleusercontent.com/search?q=cache:http://daniel.menesplier.free.fr/Doc/
PIC%252016F877.pdf
[35]http://www.technologuepro.com/TP-miniprojet-electronique/miniprojet-2-
MICROCONTROLEURS-PIC-MICROSHIP.pdf
[36]http://oumnad.123.fr/Microcontroleurs/PIC16F877.pdf
[37]http://dspace.univ-setif.dz:8888/jspui/bitstream/123456789/986/1/houssem%20memoire.pdf
[38]http://microautomate.com/pic/interrupts/#sthash.5GXh6Okk.dpuf
[39]http://www.technologuepro.com/TP-miniprojet-electronique/miniprojet-2-MICROCON
TROLEURS-PIC-MICROSHIP.pdf
[40]https://fr.scribd.com/doc/33655013/Thermometre-a-Base-du-PIC16F877
[41] https://fr.slideshare.net/abdellatifmoubarik/cours-pics16-f877
[42]http://www.univ-eloued.dz/images/memoir/file/M.T-074-01.pdf
[43] http://www.academia.edu/5163800/Chapitre3._microcontroleur
[44]http://www.bhautomation.fr/Download/Automaticiens/Projets_automatisme_2007_S_MOU
ADH.pdf
[45]Rizoug abdel azzizzemallache abdel malekcontrôle d’une antenne parabolique via un
microcontrôleurCUBBAT 2016
Abstract
The positioner makes it possible to automatically orient the satellite dish to one
of the previously registered satellites. The change of orientation is made in the same
way, In fact being the position is already registered, the positioner will go straight to
this position without checking the signal is what it is good and is it the good. In this
context and have as important an element as the microcontroller, our project is to
realize a positioner. Thus in the first chapter, we give a brief history on
telecommunications, in the second chapter, we described the microcontroller. Finally in
the last chapter we simulated and realized a positioner.
اﻟﻤﻠﺨﺺ
ﯾﺘﻢ.ﺟﻌﻞ اﻟﻤﻮﺿﻊ ﻣﻦ اﻟﻤﻤﻜﻦ ﻟﺘﻮﺟﯿﮫ ﺗﻠﻘﺎﺋﯿﺎ طﺒﻖ اﻷﻗﻤﺎر اﻟﺼﻨﺎﻋﯿﺔ إﻟﻰ واﺣﺪة ﻣﻦ اﻷﻗﻤﺎر اﻟﺼﻨﺎﻋﯿﺔ اﻟﻤﺴﺠﻠﺔ ﺳﺎﺑﻘﺎ
ﻓﺈن اﻟﻤﻮﺿﻊ ﺗﺬھﺐ ﻣﺒﺎﺷﺮة إﻟﻰ ھﺬا، ﻓﻲ اﻟﻮاﻗﻊ ﯾﺠﺮي ﺗﻢ ﺗﺴﺠﯿﻞ اﻟﻤﻮﻗﻒ ﺑﺎﻟﻔﻌﻞ،ﺗﻐﯿﯿﺮ اﻟﺘﻮﺟﮫ ﻓﻲ ﻧﻔﺲ اﻟﻄﺮﯾﻖ
ﻣﺸﺮوﻋﻨﺎ، ﻓﻲ ھﺬا اﻟﺴﯿﺎق وﻟﮭﺎ ﻋﻨﺼﺮ ﻣﮭﻢ ﻛﻤﺎ ﻣﺘﺤﻜﻢ. وأﻧﮭﺎ ﺟﯿﺪة،اﻟﻤﻮﻗﻒ دون اﻟﺘﺤﻘﻖ ﻣﻦ اﻹﺷﺎرة ھﻮ ﻣﺎ ھﻮ ﺟﯿﺪ
ﻓﻲ اﻟﻔﺼﻞ، وﻧﺤﻦ ﻧﻘﺪم ﻟﻤﺤﺔ ﻣﻮﺟﺰة ﻋﻦ اﻻﺗﺼﺎﻻت اﻟﺴﻠﻜﯿﺔ واﻟﻼﺳﻠﻜﯿﺔ، وھﻜﺬا ﻓﻲ اﻟﻔﺼﻞ اﻷول.ھﻮ ﺗﺤﻘﯿﻖ ﻣﻨﻀﻤﺎ
وأﺧﯿﺮا ﻓﻲ اﻟﻔﺼﻞ اﻷﺧﯿﺮ ﻧﺤﻦ ﻣﺤﺎﻛﺎة وأدرﻛﺖ ﻣﻨﻀﻤﺎ. وﺻﻔﻨﺎ ﻣﺘﺤﻜﻢ،اﻟﺜﺎﻧﻲ.