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En 1889, Edison se procure le film souple en celluloïd (nitrate de cellulose),

inventé par John Carbutt, et commercialisé par l'industriel George Eastman sous la
forme de rouleaux de 70 mm de large, sans perforations. Avec Dickson, il découpe le
film en trois rouleaux de 19 mm de large qu'il dote d'une seule rangée de
perforations rectangulaires arrondies, dont il dépose plusieurs brevets
internationaux.

Intérieur du kinétoscope, chargement du film en boucle (1891).


Selon les directives et croquis d'Edison, Laurie Dickson et son aide, William
Heise, développent un modèle nouveau d'appareil photographique enregistrant le
mouvement : la caméra Kinétographe, dont Edison dépose aussi de nombreux brevets
internationaux. C'est la première caméra de l'histoire, munie d'une seule optique,
et entraînée par un moteur électrique. On la charge avec un bobineau de pellicule
19 mm à défilement horizontal dont le passage se fait dans l'appareil en 20 à 30
secondes. L'unique rangée de perforations est située en bas des photogrammes, à
raison de six perforations par image. Les photogrammes sont circulaires, dernier
rappel des jouets optiques, et ont un diamètre d’environ 13 mm (1/2 pouce). Les
premiers essais sont ensuite visionnés sur le kinétoscope, une machine de
visionnement individuel, développée par Dickson, dont Edison dépose un brevet
valable seulement aux États-Unis, la machine lui paraissant n'être qu'un premier
pas vers une autre invention qui en découlerait, alliant à l'image un son
enregistré, un projet qui lui tient particulièrement à cœur. Il rêve en effet de
coupler au phonographe une machine qui permettrait d’enregistrer l’image d’un
chanteur ou d’un orchestre interprétant une chanson ou un air d’opéra. Son rêve va
dans le sens d'un besoin général à la fin du xixe siècle de transporter la voix et
l'image : il existe des salles de téléphonie, les parlors (parloirs) dans le monde
anglo-saxon, où l'on diffuse, avant que la T.S.F. n'existe, des journaux parlés
mais aussi des opéras en direct hors-salle au moyen de « téléphones » à cornet non
électriques30, des systèmes à tubes, identiques aux systèmes de communication
embarqués entre ponts sur les navires. « On pourrait ainsi assister à un concert du
Metropolitan Opera cinquante ans plus tard alors que tous les interprètes auraient
disparu depuis longtemps31. »

Modèle de film 35 mm à perforations Edison et à défilement vertical.


En 1891, Edison organise devant un public exclusivement féminin, des militantes de
la Federation of Women’s Clubs (en), le visionnement de l'un des essais, Le Salut
de Dickson (Dickson Greeting). Cet essai dure moins de dix secondes mais comme il
est disposé en boucle dans la machine, il peut être vu et revu indéfiniment.
L'accueil de ce premier public du cinéma, qui consacre Le salut de Dickson comme
premier film du cinéma présenté en public, est enthousiaste, ainsi que les éloges
de la presse. C'est Edison qui a l'idée d'adopter le mot anglais « film »
(pellicule, couche) pour désigner les bobineaux impressionnés32. Mais l'industriel
et ses employés ne sont pas entièrement satisfaits de ces essais, l'image est jugée
trop petite et manque de définition au visionnement, surtout quand le cadre est
large. Ils décident alors de découper la bande Eastman de 70 mm par son milieu,
créant deux galettes au format 35 mm de large, qu'ils font défiler cette fois
verticalement dans la caméra en la munissant d'une seule rangée de quatre
perforations rectangulaires sur l'un des bords. Encore une fois, le résultat est
décevant par manque de stabilité. La dotation d'une seconde rangée de perforations
est décidée : l'entraînement est alors parfait, chaque photogramme est encadré de
huit perforations, quatre de chaque côté. Ce format, à quelques aménagements de
détail près, est celui qui existe encore aujourd'hui. « Edison fit accomplir au
cinéma une étape décisive, en créant le film moderne de 35 mm, à quatre paires de
perforations par image. »33

Premier studio de cinéma


Le "Black Maria", premier studio de cinéma (1893).
En 1893, Edison fait construire par William K. L. Dickson le premier studio de
cinéma, le « Black Maria », et fait enregistrer en quelques années plusieurs
dizaines de films grâce au kinétographe.

« Cent quarante-huit films sont tournés entre 1890 et septembre 1895 par Dickson et
William Heise à l'intérieur d'un studio construit à West Orange, la "Black Maria",
une structure montée sur rail, orientable selon le soleil34. »

Il équipe les « Kinetoscope Parlors » (les premières salles de cinéma, à


visionnement individuel, après le sous-sol du musée Grévin qui accueille dès 1892
les pantomimes lumineuses dessinées sur pellicule mais projetées sur grand écran
par Émile Reynaud). Si Edison a pris soin de protéger le kinétographe par de
nombreux brevets internationaux, paradoxalement son kinétoscope est protégé sur le
seul territoire des États-Unis. Il est aussitôt l'objet de nombreuses contrefaçons
dans le monde entier. « À ce moment-là, il était bien entendu déjà trop tard pour
protéger mes intérêts35. », écrit Edison dans ses mémoires. Les films de l'Edison
Company sont eux aussi l'objet de copies pirates. Les frères Lumière se garderont
bien de contrefaire les perforations Edison et leurs premières vues photographiques
animées seront enregistrées sur un film au format maison : le 35 mm à deux
perforations rondes de chaque côté de chaque photogramme.

Dickson entre en conflit avec son employeur. Il estime que les kinétoscopes, dont
il est pourtant le principal inventeur, ne sont qu'une première étape vers ce qu'il
pense être l'aboutissement des recherches : un appareil permettant la projection
sur un écran, ce qui ne pose aucun problème technique insurmontable à partir du
moment où le principal, l'avancée intermittente de la pellicule, a été obtenu dès
la conception du kinétographe. Mais Edison s'oppose fermement à cette idée. Ce
qu'il a toujours voulu, c'est coupler le son et l'image, il ne croit pas à
l'exploitation des films devant un public assemblé. Cela se résumerait, selon lui,
à « tuer la poule aux œufs d'or », l'exploitation des films avec le kinétoscope est
alors florissante. La brouille entre les deux hommes est inévitable, Dickson
organise son départ et entre secrètement au service de Woodville Latham dont le
rêve est justement d'arriver à projeter les films Edison sur grand écran. Latham se
présente d'abord à Edison comme un simple client désireux d'acheter les productions
filmées de l'Edison Manufacturing Company.

En 1894, une démonstration commerciale du kinétoscope est organisée à Paris, à


laquelle assiste Antoine Lumière, le peintre dont les fils, Auguste et Louis,
seront célébrés par la postérité sous le nom des frères Lumière et selon certains
auteurs crédités seuls de l'invention du cinéma. La recherche aboutit en 1895 à la
conception du cinématographe par Louis Lumière et Jules Carpentier, une machine
plus aboutie que le couple kinétographe/kinétoscope et que le Théâtre optique
d'Émile Reynaud, ce qui lui assure un succès mondial éclipsant les procédés de ses
prédécesseurs partout dans le monde. Edison est alors bien forcé de reconnaître son
erreur et, pour rattraper le temps perdu, se contente d'acheter à un autre
inventeur le brevet d'un appareil de projection qu'il présente en 1896 au public
américain comme « la dernière merveille », le Vitascope36. Bien que d'autres
dispositifs aient vu le jour dans cette même période, c'est en définitive le
cinématographe qui allait assurer le succès des projections de vues photographiques
animées.

Thomas Edison dans son laboratoire de recherche (1901).


En 1896, Georges Méliès, entre autres cinéastes, reprend le dessin des perforations
rectangulaires du film 35 mm mises au point par Edison et Dickson, et qui, elles,
font l'objet de brevets internationaux. En 1902, lorsque Méliès investit aux États-
Unis en faisant ouvrir un bureau par son frère, Thomas Edison fait saisir par la
justice américaine la moitié des copies du film Le Voyage dans la Lune, adapté du
célèbre roman de Jules Verne, De la Terre à la Lune. Edison pensait se rembourser
ainsi le « manque à gagner par contrefaçon » du kinétoscope et des perforations
Edison, sur le seul Georges Méliès, dont la tentative d'implantation aux États-Unis
échoua. Pourtant ce n'est pas ce qui explique sa faillite 21 ans plus tard, en
1923, date à laquelle sa société, la Star Film, dépose son bilan. Pour certains
auteurs, Thomas Edison est accusé d'être à l'origine de la déconfiture de Georges
Méliès, mais en vérité, cette accusation ne repose sur aucune source. En effet,
Méliès et Edison avaient conclu un accord qui mit fin à leur querelle37.

Centrale et chaise électrique


Le 4 septembre 1882, l'Edison Electric Light Company fonde la première centrale
électrique à charbon du monde, la Pearl Street Station, à base de 6 dynamos Jumbo,
pour produire du courant continu dans le quartier de Wall Street à Manhattan, d'une
capacité de 1 200 lampes pour éclairer 85 maisons, bureaux ou boutiques. Moins d'un
an plus tard, d'autres centrales toujours plus puissantes éclairent plus de 430
immeubles new-yorkais avec plus de 10 000 ampoules. C'est ensuite le tour de
Londres.

En 1884, Edison, fervent partisan du courant continu, se sépare de son employé


Nikola Tesla, un des pionniers du courant alternatif qui peut être acheminé sur de
plus longues distances que le courant continu, grâce à l'utilisation de
transformateurs électriques. Les deux hommes ne peuvent s'entendre. Edison use de
ses relations afin de discréditer Tesla aux yeux de l'opinion publique, ce dernier
se mettant alors au service de George Westinghouse qui persuade les industriels de
s'équiper en courant alternatif. Edison tente une campagne de lobbying en faisant
des démonstrations publiques d'électrocution de différents animaux, pour prouver le
danger du courant alternatif. Ces démonstrations conduisent à l'invention de la
chaise électrique et à l'adoption progressive de l'électrocution comme moyen
d'exécuter les condamnés à mort. Edison embauche à cet effet Harold P. Brown qui
achète un générateur alternatif pour électrocuter William Kemmler. Malgré les
recours juridiques de George Westinghouse, l'exécution a bien lieu mais Edison ne
parvient cependant pas à imposer le mot « westinghousé » au lieu d'« électrocuté »
dans le langage public38,39.

Projets d'invention
Thomas Edison projeta la création d'un appareil qui serait censé permettre la
communication avec les morts, en enregistrant leur voix et leurs sons, dénommé
nécrophone ou appareil nécrophonique en français40 (spirit phone en anglais41).

Décorations et hommages
1878 : chevalier de la Légion d'honneur (France).
1889 : commandeur de la Légion d'honneur (France).
1892 : Albert Medal de la Royal Society of Arts de Grande-Bretagne.
1895 : prix Rumford pour ses travaux sur l'électricité.
1915 : médaille Franklin pour ses contributions à l'amélioration du bien-être de
l'humanité.
1917 : prix d'honneur décerné par la reine d'Espagne pour une personnalité
philanthrope (Espagne).
1928 : médaille d'or du Congrès des États-Unis pour « le développement et
l'application d'inventions qui ont révolutionné la civilisation au cours du siècle
passé ».
1930 : Oscar d'honneur.
1954 : la ville de 100 000 habitants de Menlo Park dans le New Jersey est renommée
Edison en son honneur.
Postérité
De nombreux lieux et objets portent son nom : (742) Edisona, Edison High School
(en), Edison Institute, médaille IEEE Edison, lycée professionnel Thomas Edison à
Échirolles (38130), collège-lycée Thomas Edison à Lorgues (83570), etc.
Il apparait en tant que personnage dans l'une des œuvres fondatrices de la science-
fiction, L'Ève future, alors qu'il n'a pas encore 40 ans42.

Robert Oppenheimer a inventé l'expression « complexe du délice technique » à propos


d'Edison afin d'évoquer le risque de la technique qui prend le pas sur la
science43.

Il fait partie des personnalités dont John Dos Passos a écrit une courte
biographie, au sein de sa trilogie U.S.A..

Le troisième étage de la tour Eiffel abrite un bureau où est reconstituée la


rencontre entre Edison et Gustave Eiffel en format « musée de cire »44. Le
phonographe offert par Edison à Eiffel en 1889 y est toujours visibleNote 1,26.

Notes
Les phonogrammes (voix de Gustave Eiffel, d'Ernest Renan etc ...) sont conservés au
département Audiovisuel de la Bibliothèque nationale
Références
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Industrie & technologies, 11 février 2014.
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Flammarion, 1968, 719 p., p. 11..
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Monde, 2010, 588 p. (ISBN 978-2-84736-458-3), p. 11 à 17..
Laurent Mannoni, La Machine cinéma, Paris, Lienart & La Cinémathèque française,
2016, 307 p. (ISBN 9782359061765), p. 38..
Son deuxième prénom, Alva, lui a été donné en l'honneur du capitaine Alva Bradley
qui dirigeait une flotte de bateaux sur le lac Érié.
Les autres frères et sœurs sont : Marion, William Pitt, Harriet Ann, Carlile,
Samuel et Eliza (Carlile, Samuel et Eliza meurent pendant leur enfance).
(en) Samuel and Nancy Elliott Edison [archive].
(en) Neal Baldwin, Edison : Inventing the Century, Hyperion, 1995 (ISBN 978-0-7868-
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Célébré par le film de 1940 : La Jeunesse d'Edison (Young Tom Edison) de Norman
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Annexes
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Thomas Edison, sur Wikimedia Commons


Thomas Edison, sur Wikiquote
Bibliographie
(en) Charles Musser, History of the American Cinema, The Emergence of Cinema, The
American Screen to 1907, New York, Charles Scribner’s Sons, 1990, 613 p. (ISBN 0-
684-18413-3).

Articles connexes
Chronologie du cinéma
Histoire du cinéma
Histoire du téléphone
Histoire de l'électricité
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