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LE PLAN DE LA THÈSE

INTRODUCTION

CHAPITRE I. Repères méthodologiques


I.1. Méthodologie de constitution et fonctionnement du corpus d’étude
I.2. Méthodologie d’analyse

CHAPITRE II. Signe et communication


II.1. Un univers de signes
II.2. Du signe à la communication
Conclusions partielles

CHAPITRE III. La communication mass-média. Le discours télévisuel


III.1 La communication mass-média
III.1.1. Modèles de la communication médiatique
III.1.2. Les composants de la communication médiatique
III.1.3. Les fonctions de la communication médiatique
III.1.3.1. La fonction informative
III.1.3.2. La fonction interprétative
III.1.3.3. La fonction relationnelle communicative
III.1.3.4. La fonction culturel-éducative
III.1.3.5. La fonction d’évasion et de divertissement
III.1.3.6. La fonction publicitaire
III.2. Le discours télévisuel – une perspective sémiotique
III.2.1. L’information télévisuelle
III.2.1.1. L’image télévisuelle
III.2.1.2. Le texte-discours télévisuel
III.3. Ré-dimensionnements du concept «contrat» et ses implications dans le
débat culturel télévisuel
III.3.1. Le concept contrat de communication

1
III.3.2. Le contrat médiatique
III.3.3. Le contrat débat et le contrat débat médiatique
III. 3.4. Le contrat débat télévisuel
Conclusions partielles

CHAPITRE IV. Interactions communicatives verbales


IV.1. Déterminations conceptuelles (ou précis conceptuels ?)
IV.2. Les études interactionistes – une approche diachronique
IV.2.1. Les principaux courants interactionistes
IV.2.1.1.L’approche psychologique et psychiatrique
IV.2.1.2. L’approche sociologique et anthropologique
IV.2.1.2.1. L’ethnométhodologie
IV. 2.1.2.2. L’ethnographie de la communication et la
sociolinguistique interactionnelle
IV.2.1.2.2.1. L’ethnographie de la communication
IV.2.1.2.2.2. La sociolinguistique interactionnelle de John J.
Gumperz
IV.2.1.2.2.3. La microsociologie de Goffman
IV.2.1.3. L’approche philosophique
IV.2.1.4. L’approche linguistique

IV.3. Une typologie des interactions communicatives


IV.4. Le dispositif conversationnel du débat culturel télévisuel
IV.4.1. Les composants de l’interaction
IV.4.1.1. Le cadre communicatif des débats culturels télévisuels
IV.4.1.2. Le cadre participatif
IV.4.1.2.1. Les protagonistes
IV.4.1.2.1.1. Identités, rôles et attitudes
IV.4.1.2.2. Les récepteurs
IV.4.1.2.2.1. Le concept imaginaire télévisuel
IV.5. L’organisation du débat au niveau macro-structurel
IV.5.1. La cohérence thématique dans les débats culturels
IV.5.2. La cohérence pragmatique : les séquences du débat

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IV.6. Aspects de la construction des interactions au niveau micro-structurel
IV.6.1. L’alternance des prises des paroles
IV.6.2. Négociations et ratés dans l’alternance des prises des paroles
IV.7. Dimensions affectives dans la construction des relations interpersonnelles
IV.7.1. L’étude des émotions dans la linguistique des dernières décennies
IV.7.2. La nouvelle rhétorique: le problème de la politesse
IV.7.3. Marques de la construction de la relation sur les axes horizontal et
vertical
IV.7.4. Le rôle du dialogue interrogatif-informatif
IV.7.5. Le dévoilement de soi dans l’interaction
IV.7.6. Procédés discursifs et marques linguistiques dans l’expression des
émotions
IV.8. La didacticité – un implicit de l’interactivité dans le débat culturel
Conclusions partielles

CHAPITRE V. Interactions communicatives non verbales


V.1. Délimitations conceptuels et traits définitoires
V.2. Structure de la communication non verbale
V.3. Formes des interactions communicatives non verbales dans le débat culturel
V.3.1. Implications évidentes et cachées du corps humain dans la
communication
V.3.1.1. Les gestes
V.3.1.2. L’expression du visage
V.3.1.3. Les yeux et le regards des interactants
V.3.1.4. Les touchers cutanés
V.3.2. La peoxémique – une dimension cachée de la communication
V.3.3. Le ressort psycho-sociologique du vêtement
V.4. La synergie verbale-mimo-gestuelle dans le débat culturel télévisuel
V.2.1. La fonction de répétition
V.2.2. La fonction de complétion
V.2.3. La fonction de substitution
V.2.4. La fonction de contradiction des messages verbaux (cacher/dévoiler)
V.2.5. La fonction de régularisation
V.2.6. La fonction d’affermissement

3
Conclusions partielles

CONCLUSIONS FINALES

INDEX TERMINOLOGIQUE

BIBLIOGRAPHIE

CORPUS D’ÉTUDE
SOUS-CORPUS I. Le texte-discours télévisuel
I.1. Le générique

SOUS-CORPUS II. Interactions communicatives verbales


II.1. Identité discursive
II.1. Rôle interactionnelles
II.3. Cohérence sémantique
II.4. Cohérence pragmatique
II.5. Alternance des prises de paroles
II.6. Négociation et ratés dans l’alternance des prises des
paroles
II.7. Marques linguistiques de la politesse
II.8. Dialogue interrogatif-informationnel
II.9. Dévoilement de soi dans l’interaction
II.10. Procédées discursifs et marques linguistiques
d’expression de l’émotion
II.11. Didacticité

SOUS-CORPUS III. Interactions communicatives non verbales


III.1. Les gestes
III.2. Les touchers cutanés
III.3. L’expression du visage
III.4. Les yeux et le regard des protagonistes
III.5. La proxémique
III.6. Les vêtements

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III.7. Synergie verbale-mimo-gestuelle

INTERACTIONS COMMUNICATIVES DANS LE DÉBAT CULTUREL. UNE


APPROCHE SÉMIO-LINGUISTIQUE DU DISCOURS TÉLÉVISUEL

-résumé-

Sous le titre Interactions communicatives dans le débat culturel. Une approche sémio-
linguistique du discours télévisuel nous proposons une exploration sémio-linguistique du
discours télévisuel de la perspective des interactions communicatives des débats culturels.
Comme ce sujet ne peut pas être traité d’une seule perspective disciplinaire et on a besoin
d’une aire d’investigation plus ample, notre ouvrage se trouve au carrefour de trois domaines
d’analyse : la sémiotique, l’analyse du discours et la communication médiatique.
Le premier chapitre, Répères méthodologiques, présente les étapes de constitution du
corpus d’étude ; le choix et l’enregistrement des émisions de débat culturel télévisuel, la
transcription des émissions, le façonnement de ces enregistrements et ces transcriptions et la
sélection des échantillons qui servent au but de notre recherche, l’arrangement du corpus en
sous-corpus d’étude.
Dans Méthodologie d’analyse on précise les méthodes exploitées dans notre recherche :
la méthode inductive, la méthode analogico-déductive, la méthode de l’observation que nous
appliquons à une analyse tranversale (l’étude d’un phénomène défini préalablement et
rencontré dans les différents réalisations discursives du débat) et longitudinale (l’étude du
débat dans son déroulement).
Le deuxième chapitre, Signe et communication, propose une incursion dans l’évolution
des signes à partir des premières manifestations sémiotiques de la gestualité jusqu’aux mots,
après laquelle nous faisons remarquer les plus importantes théories du signe qui marquent les
étapes que l’humanité a parcouru dans son évolution des signes vers la communication.
On a retenu, ainsi, du système sémiotique de Saussure :
● la notion de signe linguistique compris comme une entité à deux faces : le signifié et
le signifiant expression adéquate pour concept/image acoustique.

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● la langue interprétée comme un système de signes à une structure d’unités
élémentaires dans lequel chaque élément est lié à tout dont il appartient.
● les caractéristiques essentielles de signes : arbitrarité, linéarité, double articulation;
● les signes organisés dans des suites cohérentes (les syntagmes) et sélectionnés d’après
un champ d’associations disponibles dans la mémoire (les paradigmes).
Nous apprécions comme importante la contribution du linguiste danois L. Hjemslev, qui
a continué les reflexions de Saussure sur les signes, par le fait qu’il introduit les concepts de
signes-énonce et signes-discours, à coté des concepts signes minimales représentés par les
mots. Nous soutenons ces formulations de Hjemslev qui peuvent être considérées des
tentatives d’analyse du discours, dans laquelle l’analyse des aspects nonverbales, qui nous
intéressent, sont remis à une discipline différente, la paralinguistique. Pour Hjemslev,
l’intonation , la gestualité, ne font pas part du plan de l’expression, mais du plan du contenu et
elles ne tiennent pas de l’analyse sémiologique, mais de la paralinguistique et les disciplines
apparentées : la kinésique et la proxémique.
Par rapport au système sémiotique du Saussure, le système sémiotique de Peirce se fait
remarquer par son caractère logique et formel, dans lequel le signe est une unité ternaire.
Nos raisons pour lesquelles nous nous situons sur la ligne sémiotique de Peirce, sont :
● la sémiotique de Peirce s’inscrit dans une démarche englobant plus large.
● pour Peirce tout est signe : un mot, une phrase, un texte, une couleur, une forme, un
geste, un regard, etc.;
● Peirce insiste sur la dimension sociale du signe, pour lui il n’y a de signes possibles
que dans la communication:
Les critiques apportées au structuralisme linguistique ont orienté les reflexions sur les
signes vers les sujets communicants et les relations interpersonnelles qui se construisent
pendant la communication, aspect très important pour l’étude des interactions communicatives
qui constituent l’objet de notre recherche. C’est par cela que nous avons voulu démontrer que
le langage devient un moyen de représentation dans lequel, des personnages et des objets sont
mis en scène et ils construisent des relations directes et explicites ou indirectes et implicites.
Ce parcours théorique nous a permis la présentation des aspects qui serviront à la
compréhension de la communication de la perspective de la Sémiotique et de l’Analyse du
discours, deux axes coordinateurs de notre recherche.

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Dans l’approche de la communication de la perspective de l’AD, nous avons fait
remarquer trois orientations:
a) On n’arrive jamais à communiquer;
b) Il est impossible de ne pas communiquer;
c) Tout est communicable,
à laquelle on a ajouté les théories qui ont contribué à l’affinage du concept de
communication : la théorie des actes de langage (Austin et Searle), l’ethnographie de la
communication (Dell Hymes), l’ethnométodologie et l’interactionisme (Gumperz et
Goffman).
La présentation de la communication de la perspective sémiotique a fait remarquer les
aspects suivants :
● la communication détermine et organise les signes.
● à l’aide des signes, la communication parle d’un monde dans un certain contexte.
● la communication instaure un certain type de relations entre les sujets, entre les signes
et ceux qui les utilisent, entre les signes et ce qu’ils représentent.
Par les contributions des sémioticiens Roland Barthes et Umberto Eco, la théorie du
signe a été élargie et appliquée à l’analyse de la communication médiatique que nous traitons
dans le chapitre suivant.

Le troisième chapitre, La communication mass-média. Le discours télévisuel crée le


cadre théorique nécessaire à une analyse sémio-linguistique du discours télévisuel. Nous
avons relevé que la communication mass-média se manifeste comme un dispositif producteur
d’information très complexe, qui a trois pôles constitutifs : les conditions de production, les
conditions d’interprétation et la place d’élaboration du discours médiatique, qui visent la
perception des deux instances trouvées ici dans l’interaction : l’instance de production et
l’instance de réception.
L’étude de la communication médiatisée a déterminé la création de plusieurs modèles
dont nous présentons quatre d’entre eux qui représentent le mieux, dans notre opinion, les
progrès réalisés dans le processus de compréhension de la communication médiatisée dans
une perspective diacronique :
a) Le modèle liniaire de la communication
● Selon le modèle liniaire de Harold D. Lasswell, la communication a lieu entre un
émetteur et un récepteur passif et elle est représentée par les questions : qui? (émetteur),
quoi? (le message), comment? (le message), à qui? (le récepteur), avec quel effet?. Ce modèle

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a été critiqué parce qu’il limite la communication à un processus de persuasion qui ne tient
pas compte du contexte, en omettant le feed-back et le vrai rôle du récepteur.
● Selon le modèle liniaire de Claude ElwoodShannon la communication est un
processus liniaire déroulé en plusieurs étapes marquées par : une source d’information, un
message, un émetteur, un canal, un récepteur et un destinataire, avec l’éventualité d’un
possible brouillage. Ce modèle ignore le contenu et la signification du message, il présente le
destinataire comme une cible passive (en illustrant la conception autoritaire de l’acte de
communication duquel le feed-back manque) et il ignore l’influence du contexte dans le
processus de communication. Ce modèle a été complété dans les années ’50 de telle manière
que le rôle de feed-back devient décisif, la communication implique l’existence d’un
émetteur, d’un canal, d’un message, d’un récepteur, mais aussi une relation entre l’émetteur et
le récepteur qui peut produire un certain type d’effet dans un contexte donné.
b) Modèles circulaires de la communication
● Le modèle concentrique de Ray Hiebert, Donald Ungurait et Thomas Bohn selon
lequel la communication médiatisée implique en réalité une négociation et une transaction
continue entre l’émetteur et le récepteur, de telle sorte qu’elle doit être représentée par la
forme dynamique d’un modèle circulaire. Ce modèle concentrique insiste sur la capacité du
récepteur de sélectionner, interpréter et ré-interpréter les messages, en manifestant un va et
vient entre l’émetteur et le récepteur.
● Le modèle interactif de la communication résume le rôles du récepteur, qui par
rétroaction devient à son tour un émetteur qui renvoie le message à l’émetteur initial.
Par la présentation des composants de la communication mass-média, nous avons
préparé les axes d’analyse du corpus du quatrième chapitre : les sujets communicants, le
message transmis (le contenu), le canal de diffusion et le public récepteur.
Par l’approche des fonctions de la communication mass-média, nous avons voulu diriger
notre attention vers le phénomène de la réception. Les études consacrées à la communication
mass-média ont délimité les fonctions suivantes : la fonction informative, la fonction
interprétative, la fonction relationnelle-communicative, la fonction culturelle-éducative, la
fonction d’évasion et de divertissement et la fonction publicitaire. La fonction interprétative et
la fonction culturel-éducative sont pleinement manifestées dans le débat culturel télévisuel,
qui fait l’objet de notre recherche.
L’analyse de l’information télévisuelle nous a permis l’introduction d’un concept
nouveau dans le domaine de l’analyse sémio-linguistique : le texte-discours télévisuel que
nous avons défini comme instrument socio-psycho-linguistique de production et de

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structuration de l’information télévisuelle qui exploite la relation entre l’acte de production et
l’acte de réception. La grille d’analyse du texte-discours télévisuel que nous proposons vise
les éléments suivants : le générique, le titre, l’image, le déroulement de l’émission
(l’ouverture de l’émission, le corps de l’émission, la clôture de l’émission), le cadre
situationnel, la finalité et l’espace physique.
L’approche du concept de contrat et ses différents niveaux d’analyse : contrat de
communication, contrat médiatique, contrat débat, contrat débat médiatique et contrat débat
télévisuel permet la compréhension du débat culturel comme un enchaînement de contrats et
crée le cadre pour une analyse du débat culturel située à trois niveaux : situationnel,
communicatif et discursif que nous proposons dans le suivant chapitre.

Le quatrième chapitre est consacré aux interactions verbales et il est structuré en trois
sous-chapitres théoriques qui vont créer le cadre de l’analyse des paramètres de base qui
définissent les interactions verbales du débat culturel télévisuel.
En partant de la définition du terme interaction, nous continuons par la présentation en
diacronie des principaux courants interactionistes : l’approche psychologique et
psychiatrique, l’approche sociologique et anthropologique, l’approche philosophique (avec
la théorie des actes de langage) et l’approche linguistique.
Une typologie des interactions communicatives présente les principaux types
d’interactions : la conversation, le dialogue, la discussion, le débat, l’entretien, l’interview.
L’analyse du dispositif conversationnel du débat culturel télévisuel, envisage : les
composants de base de l’interaction : le cadre communicatif (le cadre spatial, le cadre
temporel, le but de l’interaction) et le cadre participatif (les participants au débat et les
récepteurs). Nous concluons que dans les débat culturels, le dispositif conversationnel se
caractérise par des relations consensuelles entre les sujets communicants, qui créent les
conditions pour une communication empathique. Les interlocuteurs se comportent
synchroniquement, selon des règles mutuelles appliqués aux cadres communicatif et
participatif.
Le texte-discours télévisuel du débat se déroule dans une spatialité et dans une
temporalité concrètement définies. Le cadre spatial est représenté par l’espace clos du studio
dans lequel l’animateur contrôle le débat ; quant au cadre temporel, celui-ci est organisé
autour de trois axes : l’axe temporel de la réalité transmise, l’axe temporel interne de la
télévision et l’axe temporel du téléspectateur. Le but de l’interaction occupe une place très
importante dans le système global des débats, il est négocié en permanence par les

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interlocuteurs et il mobilise différents types de fonctions : une fonction informative par
laquelle le modérateur met en circulation des idées et des discours intéressant des
personnalités culturelles, une fonction explicative, par laquelle les invités expliquent leur
position à l’égard du thème visé, une fonction émotionnelle car les invités se dévoilent au
milieu du plateau et une fonction factitive parce que le débat suscite l’intérêt du public pour
les personnalités et les événements de culture présentés.
La perspective médiatique et discursive sur les sujets communicateurs fait remarquer la
manifestation de l’identité sociale, l’identité discursive, l’identité médiatique avec leurs rôles
et leurs attitudes spécifiques.
Quant aux récepteurs il y a trois groupes :
a) les participants validés qui font partie du groupe conversationnel et ils sont
représentés alternativement par l’animateur et ses invités ;
b) le groupe des récepteurs représentés par le public de studio, qui ne participe pas
directement au dialogue, mais à qui s’adresse le débat ;
c) le groupe des récepteurs téléspectateurs.
L’analyse des récepteurs du débat nous a permis l’introduction du concept d’imaginaire
télévisuel, que nous définissons comme un dépôt de représentations mentales qui structure au
niveau de l’inconscient, l’imaginaire et l’affectivité du téléspectateur par son rapport au texte-
discours télévisuel engendrant une abondance de perceptions qui dépendent de la compétence
encyclopédique du téléspectateur.
Dans L’organisation des débats au niveau macro-structurel notre analyse porte sur la
cohérence sémantique et la cohérence pragmatique des débats culturels.
La cohérence sémantique, déterminée par le critère thématique est très importante, parce
que les thèmes abordés représentent le ressort principal des mécanismes des interactions des
débats culturels. La cohérence thématique s’établit par le processus de coopération des
interlocuteurs qui introduisent et ratifient un thème nouveau, ils l’épuisent ou ils le
considèrent inconvenant par un processus de négociation. Les thèmes abordés évoluent
pendant le débat de ceux généraux et impersonnels vers ceux privés et personnels.
La cohérence pragmatique se manifeste au niveau des séquences du débat : la séquence
d’ouverture, le corps du débat et la séquence de clôture.
La séquence d’ouverture a une fonction phatique prononcée, elle amorce l’échange
verbal, assure l’ouverture du canal, établit le contact physique et psychologique des
participants, donne le ton de l’interaction et réalise une première définition de la situation.

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Dans cette séquence ont lieu plusieurs négociations sur l’identité des sujets
communicateurs, ayant le rôle de briser la glace. À cette séquence correspondent des actes et
des échanges verbaux à une fonction euphorisante comme : les rituels confirmatifs de salut,
les voeux de bienvenue et les manifestations de cordialité.
Le corps du débat se découpe en plusieurs séquences monologales ou dialogales, de
différentes longueurs, le plus important étant ici la corrélation des thèmes choisis dans le
débat, leur enchaînement, la transition d’un thème à l’autre.
La séquence de clôture est une séquence privée d’intérêt pour les sujets communicants,
car elle vient après que les objectifs du débat ont déjà été accomplis. Cette séquence est
fortement marquée par le style de l’animateur, la personnalité des invités et le profil du débat.
Au-delà de l’organisation du texte-discours conversationnel au niveau macro- et micro-
structurel, le débat culturel se manifeste comme une expérience pendant laquelle les sujets
communicants affirment la structure psycho-sociale de leur vie et de leurs sentiments. Par la
rétrospective sur la linguistique des dernières décennies que nous proposons au debut du sous-
chapitre Dimensions de l’affectif dans le texte-discours du débat nous soulignons la place
occupée par les émotions dans les études de linguistique des dernières années et notre position
par rapport à ce sujet.
C’est pourquoi, nous considérons que le problème de la politesse (qui ne tient pas du
contenu informationnel transmis, mais de la relation interpersonnelle), est subordonné à la
dimension affective par le fait qu’il a la fonction de garder le caractère consensuel et
harmonieux des relations entre les interlocuteurs du débat culturel : la politesse signifie tenir
compte de l’autre, avoir le sentiment d’une responsabilité face à son interlocuteur pendant
l’interaction.
Étant donné le caractère oral de notre corpus d’étude, nous focalisons notre perspective
d’investigation sur le dialogue interrogatif-informatif pour mettre en évidence les mécanismes
et les stratégies de dévoilement de soi du sujet communicateur. Nous remarquons le fait que
les marques d’oralité posent leur empreinte sur la manière de parler de l’animateur et de ses
invités, qui expriment leur attitude vis-à-vis de ce qu’ils disent et vis-à-vis de leur
interlocuteur.
Le débat culturel, par la nature de son genre médiatique, par le contenu thématique et la
personnalité des invités se construit plutôt par des questions partielles que par des questions
totales. L’interrogation totale est mieux représentée dans l’émission Profesioniştii, où le
dialogue encourage un échange plus intense de répliques dans lequel l’animateur se propose
d’épuiser certaines informations sur l’invité. La fréquence des questions totales donne à cette

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émission une allure plus disciplinée où les interlocuteurs coopérent dans la structuration de
l’échange verbal et à l’élaboration d’un produit médiatique d’après un plan rigoureusement
élaboré.
Nous considérons la didacticité comme implicite du débat culturel parce que le rôle de
ces émissions est de mettre en circulation les discours des personnalités culturelles, l’émission
devenant un lieu où on transmet des informations, où les invités possèdent des connaissances
qu’ils souhaitent partager avec les autres.
L’analyse des interactions communicatives nonverbales du cinquième chapitre viennent
compléter l’analyse des interactions verbales du chapitre antérieur. Les deux premiers sous-
chapitres présentent les concepts et décrivent les traits définitoires de la communication non
verbale, que nous appliquons dans l’analyse des formes de manifestation du non verbal et de
la synergie du verbal-mimo-gestuel du corpus.
Les gestes des mains sont les plus fréquents et les plus nuancés pendant le débat culturel.
Ce sont fréquemment les gestes déictiques, qui indiquent des objets du monde réel ou d’un
espace imaginaire et les gestes métaphoriques qui créent une image envoyant toujours à un
objet abstract. Par rapport à ceux-ci, les gestes réalisés par les différentes parties du corps sont
peu nombreux. Plus significative est l’expression du visage, qui représente le lieu privilégié de
manifestation de l’émotion, le sourire ayant le rôle de maintenir le cours de l’interaction ou
l’attention du partenaire communicationnel. Le regard occupe une place essentielle dans le
déroulement de l’interaction en accomplissant la fonction de régulariser le flux
communicationnel, d’assurer le feed-back, d’exprimer les émotions ou d’indiquer la nature
des relations interpersonnelles.
Bien que les touchers cutanés soient très peu nombreux, cette catégorie gestuelle offre
en synergie avec le verbal des indices sur l’état émotionnel du locuteur, les adapteurs étant
des activités manipulatoires stéréotypes ayant le rôle de soulager et d’équilibrer le psychique
du locuteur.
La proxémique a une grande importance dans la construction du dialogue et
l’établissement des relations interpersonnelles. La nature du discours qui se construit par la
prestation linguistique de ces deux interlocuteurs impose le maintien d’une certaine distance
et l’adoption d’une certaine position ; ainsi, dans l’émission Profesioniştii la position face à
face encourage un échange plus intense de répliques (constatation aussi à la suite de l’analyse
des dialogues interrogatifs-informatifs du chapitre antérieur), pendant que dans les autres
émissions la position à 45° crée le cadre le plus adéquat au déroulement d’une conversation
consensuelle.

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Rapportée aux possibilités de l’expression du corps et du visage, les vêtements
permettent aux protagonistes du débat de s’imposer comme des êtres générateurs de spectacle
de telle sorte que le public récepteur les apprécie en tant que présence visuelle. Ils présentent
des formes vestimentaires qui se soumettent aux motivations morales, esthétiques, sociales,
communicationnelles, psychologiques ou institutionnelles.
La synergie verbale-mimo-gestuelle démontre que les interactions communicatives non
verbales ont un rôle pragmatique essentiel : elles peuvent communiquer implicitement
quelque chose sur l’identité du locuteur. Le non verbal facilite l’accès vers une meilleure
compréhension par la fonction de répétition, il ajoute un supplément à l’expression verbale
par la fonction de complétion, il construit l’ironie ou l’humour par la fonction de
contradiction, il négocie l’échange des rôles par la fonction de régularisation, il focalise
l’attention autour de quelques composants du message verbal par la fonction
d’affermissement.
L’index terminologique contient la liste en ordre alphabétique des notions utilisées dans
notre thèse et leurs définitions et offre un outil de référence très utile pour notre ouvrage.

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BIBLIOGRAPHIE

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