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Guide de Conception Des Réservoir Suivant CODRES PDF
Guide de Conception Des Réservoir Suivant CODRES PDF
produits pétroliers
REMERCIEMENTS
Résumé
Cet ouvrage est un guide de conception et de maintenance des réservoirs cylindriques
verticaux. Pour le stockage des produits pétroliers (SUPER, PETROLE, GASOIL ET LE
GPL).qui peut être consulter par par les concepteurs, les surveillants de chantier et les
maintenanciers
C : surépaisseur de corrosion
D : diamètre du réservoir
: Epaisseur de la robe requise pour les conditions d’études
: Epaisseur de la robe requise pour les conditions d’essai
: Distance entre la base de la virole et la hauteur maximale du liquide
P : la pression d’étude
: Pression d’essai
Contrainte maximale admissible :
ρ : densité maximale du produit stocké
: Densité du produit en situation d’essai
Mvent : moment du à la pression du vent sur la robe
Mpression : moment dû à la pression interne
Mpoids : moment dû au poids effectif à l’état corrodé du toit et de la robe
Mproduit : moment du au poids du produit résiduel
SNCT : Syndicat National de la Chaudronnerie, de la Tôlerie et de la Tuyauterie
Industrielle
CODAP : Code de Construction des Appareils A Pression
API: American Petroleum Institute
BS: British Standard
etf : Épaisseur de la tôle de fond ou épaisseur du bord ure annulaire au droit de la robe
[mm]
ev1 : Épaisseur (sans surépaisseur de corrosion) de la virole de la robe du réservoir fixée
à la tôle de fond, [mm]
g : Accélération de la pesanteur [ m /s²]
hlc : Bras de levier relatif à la masse mlc , [m]
hlf : Bras de levier relatif à la masse mlf [m]
H : Haut eu r maximale de remplissage [m]
J : Coefficient de sol
mlc : Masse de la fraction de liquide convectif [kg]
GLOSSAIRE
Frangibilité des réservoirs : Un réservoir est dit frangible lorsque, lors d’une élévation
accidentelle de la pression intérieure, la rupture de l’enveloppe de confinement du produit
stocké a lieu dans une zone de l’appareil (toit, liaison robe-toit, virole haute …) non
mouillée permettant ainsi d’assurer après rupture le confinement du produit stocké.[2]
INTRODUCTION GENERALE
La maximisation du profit et la satisfaction des besoins du client ont toujours été les
principaux objectifs de toute entreprise. C’est dans cette logique que la Société
Camerounaise des Dépôts pétroliers, s’emploie de manière continue à satisfaire la
demande nationale en hydrocarbure. Cette mission reste très complexe compte tenu de la
croissance exponentielle de la demande. Cette croissance de la demande entraine
généralement le déficit de l’offre qui, sur le plan social, se manifeste généralement par
des pénuries des produits hydrocarbures ; ces pénuries constituent un frein à
l’épanouissement des ménages et une menace pour la paix sociale. Sur le plan économique,
ce déficit entraine aussi des pertes économiques importantes qui peuvent paralyser le
système économique. Pour faire donc face à cette problématique, la SCDP s’est doté d’un
programme d’augmentation de ses capacités de stockages. C’est donc dans le cadre de
l’exécution de ce programme, qu’il nous a été demandé de concevoir un réservoir de
6333m3 pour le stockage du produit gazole au compte du dépôt SCDP de BESSENGUE.
Pour effectuer cette conception en tant qu’ingénieur, il fallait leur proposer quelque chose
d’innovant c’est-à-dire un réservoir de dernière génération dans lequel on pourra installer,
les instruments de la télé surveillance. il sera construit en acier inoxydable austénitique ;
aura deux échelles en caillebotis antidérapant. Par ailleurs, pour le service «Travaux neufs
et développement » qui nous a accueilli en tant que stagiaire, nous allons leur laisser un
pro-logiciel qui leur servira à dimensionner et vérifier les notes de calcul à un temps
recors.
Le travail sera structuré comme suit : en chapitre premier nous allons présenter la
SCDP : son histoire, sa mission et la problématique de notre travail. Au deuxième
chapitre, nous allons présenter les généralités sur les structures de stockages : le niveau de
technologie actuel. Dans le chapitre trois, nous allons dimensionner et vérifier les éléments
de structures ; et faire également des vérifications numériques ; des éléments de charpente
dans le logiciel RDM6. La coque de la robe par le logiciel AUTODESK ROBOT
STRUCTURAL ANALYSIS Enfin, le chapitre quatre est un mini guide pour la
conception des réservoirs à toit fixe autoportante, avec quelques solutions constructives et
les dessins de réalisation.
PARTIE. I :
PROBLEMATIQUE ET REVUE DE LA
LITTERATURE
Le stockage massif des liquides pour les différents produits rencontrés dans l’industrie du
pétrole, de la pétrochimie et de la chimie, s’effectue principalement dans des réservoirs
métalliques, de construction soudée, installés à l’air libre et reposant sur le sol (réservoirs
aériens).
Pour répondre à la grande variété des produits liquides industriels à stocker, les
constructeurs ont recours à des réservoirs de formes diverses et de conceptions différentes
étudiées, pour s’adapter le plus rationnellement et le plus économiquement possible aux
caractéristiques du produit à traiter. La configuration d’un réservoir dépend de deux
impératifs essentiels qui sont, d’une part, la conservation du produit en limitant ou en
interdisant les évaporations et, d’autre part, la tenue de la structure à la pression interne
développée par le produit ou maintenue à un certain niveau pour faciliter l’exploitation. La
forme cylindrique est la plus courante en raison de sa simplicité de mise en œuvre et de sa
bonne résistance à la pression interne. Lorsque la pression interne est importante, on a
recours à des formes sphériques mieux adaptées que les cylindres et qui permettent de
réduire les épaisseurs de paroi.
a) Silos
Un silo ou tank est un réservoir de stockage destiné à entreposer divers produits en vrac
(pulvérulents, en granulés, en copeaux...) utilisés dans diverses industries (brasseries,
cimenteries, matières plastiques...) et dans le domaine agricole. Il s’agit généralement de
réservoirs verticaux, le plus souvent cylindriques, construits en divers matériaux (bois,
acier, béton). Il peut aussi s’agir d’installations horizontales : silo-couloir, silo tranchées,
utilisés notamment en agriculture pour préparer et conserver des ensilages.
c) Réservoirs sphériques
Appelés aussi sphères, ils sont généralement supportés par des Poteaux disposés au niveau
de l’équateur ou, quelquefois, par une Jupe métallique ou un massif de béton placé sous
l’hémisphère inférieur. Ces ouvrages sont parfaitement adaptés aux stockages sous forte
pression (gaz pétrole liquéfié) et permettent la réalisation économique de grandes
capacités.
i. Cuves ouvertes
Les cuves ouvertes (figure 2.3) ne comportent pas de toit et leur emploi est limité aux
quelques liquides que l’on peut, sans danger, pour leur qualité ou pour l’environnement,
exposer à l’air libre.
Les réservoirs à toit fixe (figure 1b) sont pourvus d’un toit et permettent donc une
meilleure conservation des liquides volatils, dangereux ou polluants.
i. Les toits fixes supportés par les montant
Les toits fixes supportés ont un profil conique assez plat avec une pente recommandée de
1/16 ou 1/12, notamment lorsque le toit est calorifugé. Ces toits sont constitués d’une
charpente supportée par un ou plusieurs poteaux, en tubes ou en profilés, qui s’appuient sur
le fond de l’ouvrage. Les tôles du toit reposent sur des chevrons rayonnants qui prennent
appui au centre du réservoir sur le poteau central, en périphérie sur la robe, et pour les
réservoirs de diamètre supérieur à 25 m, sur des poteaux intermédiaires. Ces derniers sont
disposés sur des cercles concentriques et sont reliés en tête par des pannes droites sur
lesquelles viennent se poser les chevrons (figure 2.5). L’espacement entre ces chevrons
n’excède pas, selon les codes, 1,7 m, sauf sur la robe où il peut être porté à 2 m. Les
charpentes à poteaux sont reconnues comme des structures économiques car leur
conception permet un montage simple sur le site. Ce type de charpente peut être employé
sur les plus grands réservoirs. Il n’est, en effet, pas limité en diamètre car il est toujours
possible, pour l’agrandir, d’ajouter une rangée supplémentaire de poteaux, de pannes et de
chevrons.
Figure 2.5 Réservoirs à toit fixe supporté par des montants [3]
La présentation des différents types de réservoirs n’est pas exhaustive, il existe bien
d’autres types de réservoirs cylindriques verticaux que nous n’avons pas présentés ici.
Cependant dans le présent document, nous allons nous intéresser à l’étude d’un réservoir
cylindrique vertical à toit fixe avec une charpente autoportante. Figure 1.2
Figure 1.7 réservoir à toit fixe autoportante de dernière génération ([4] P.10
10
CONCEPTION,NGOMBA JEAN,TEL :+237696831370,Email :ngombajean@yahoo.fr
Guide de Conception des réservoirs cylindriques verticaux pour le stockage de
produits pétroliers
Cependant, nous avons choisi utiliser le CODRES parce qu’il nous a été imposé par le
maitre d’ouvrage dans le cahier de charges ; et aussi parce que les partenaires techniques
du maitre d’ouvrage, lesquels valident ses notes de calculs, utilisent toujours le standard
française.
C. PRESENTATION DU CODRES
PARTIE II.
TERMES DE REFERENCES
Les réservoirs de stockage des produits pétroliers sont généralement construits en aciers
pour divers raisons.en effet, les structures en aciers sont : légères, faciles à mettre en
œuvre, étanches, non polluantes etc.. Cependant, il existe trois principales familles
d’acier : acier non alliés (aucun élément d’alliage ne dépasse 0.6% sauf 1.65% pour le
manganèse (Mn)), acier faiblement alliés (aucun élément d’alliage n’excède 5% en masse)
et l’aciers inoxydable ou fortement alliés (contient au moins 10.5% de chrome et au plus
1.2% de carbone). Dans le présent document, nous allons nous intéresser à la dernière
famille (acier inoxydable).
Acier inoxydable : c’est la famille la plus importante, caractérisée par une grande
résistance à la corrosion, à l’oxydation à chaud et au fluage, les aciers inoxydables sont
subdivisées en 3 sous familles en fonction de leur teneur en nickel. On a :
acier inoxydable ferritique : (teneur en nickel inferieur à 1%) ;
Caractéristiques : usinabilité médiocre, soudable dans certaines conditions et une faible
résistance à la rupture… Applications (équipement ménagers, décorations, automobile,
mobiliers…)
Acier inoxydable martensitique :(teneur en nickel inferieur à 7%)
Caractéristiques : résiste aux chocs, bonne usinabilité, soudable à chaud et comporte de
très bonne propriété mécaniques…Applications (organes et composants mécaniques
diverses).
Acier inoxydable austénitique :(teneur en nickel supérieur ou égale à 7%)
caractéristiques : c’est le utilisé résiste aux températures élevées, une faible conductivité
thermique, facile à forger et à souder, ductilité élevée. Applications (chimie alimentaire,
transport, nucléaire, chaudronnerie, cuves, réservoirs, conduites vanne visserie…). Il est
évident que pour la constructions de notre réservoir nous allons choisir l’acier inoxydable
austénitique parce qu’il a une bonne soudabilité, faible conductivité thermique et de bonne
propriétés mécaniques et une grande résistance à la corrosion.[6]
Poids du liquide et de la
structure
vent 14m
Pression
24m
D. METHODE DE DIMENSIONNEMENT
Nous allons utiliser la méthode analytique proposée par le code construction CODRES.
Mais pour la fiabilité et la rapidité de l’obtention des résultats, nous avons conçu un
programme avec le logiciel Microsoft Excel (paragraphe S). Il suffira que l’operateur
choisisse les caractéristiques spécifiques de sa structure et le programme se chargera du
reste. Dans le présent document, tous les résultats des calculs sont issus de ce programme.
Par ailleurs, pour le calcul de la charpente, nous allons effectuer un pré-dimensionnement
qui est également intégré dans le programme. Pour la vérification de l’épaisseur de tôle de
robe, nous allons utiliser la théorie de coque mince.
E. DIMENSIONNEMENT DE LA ROBE
= (98 ( − 0,3) + ) + [ ] ( . )
20
= (98 ( − 0,3) + )
Epaisseurs Epaisseur
Viroles de robe
calculée en mm choisie en mm
Virole 1 7,957 12
Virole 2 6,795 10
Virole 3 5,634 10
Virole 4 4,473 8
Virole5 3,331 8
Virole 6 2,149 6
Virole 7 0,988 6
c) Calcul des raidisseurs de la robe
= = 19,18 mm
, ∗
=⅀ = ( ) (3.4)
=⅀ = 3,90m
emin : Épaisseur minimale de la virole haute, en mm
e = Épaisseur nominale de chaque virole considérée, en mm
h = Hauteur de chaque virole considérée au-dessous de la poutre principale, en m.
,
= ( ) ( . )
e ,
= ( ) = 14,38m
D
= ( . )
= = 0,271
ρ
Contrainte circonférentielle : σθ = = ( . )
ρ
Contrainte axiale : σ = = ( . )
Résultats des calculs des contraintes sur la robe sont récapitulés entièrement dans la
seconde feuille du pro-logiciel. Ce calcul est effectué avec un pas 0,01m soit 14m
0 ≤ z ≤ H, z = 14m. Le calcul ici se fait dans le programme excel. Mais dans le tableau
3.5 ci-dessous nous avons juste ressoti la contrainte maximale sur chaque virole.
Nous avons pris l’épaisseur minimale de 6mm elle correspond à celle des des dernières
viroles
Poids linéique
Nom Profilé nombre Longueur(m) Masse(t)
(Kg/m)
Chevron IPE240 40 12 30,7 13,262
L100x10 40 1,542 17,9 1,104
Entretoise L80x8 40 1,208 9,63 0,465
L60x6 80 1,44 5,42 0,624
contreventement L50x5 32 2,515 3,77 0,303
Toiture Tôle / / / 23,506
total 39,24
Condition de chargement :
1
= ( − ) ( . )
1
= → = = (26,4 + 5,23 )
=− = ( − )= (26,4 − 3,47)
= = 26,4 = 9,5.10
Par ailleurs nous avons implémenté u et w dans la deuxième feuille du pro-logiciel afin de
recueillir les valeurs maximales
≥ 3+ ; 6} ( . )
3
Epaisseur choisie : 10 mm
La tôle de fond subie une contrainte axiale, due à la pression du poids du liquide
par contre la contrainte radiale est nulle .
= ( . )
= = 147,8
Contraintes
Epaisseur maximales Contrainte Epaisseur
choisie (mm) appliquées sur le admissible retenue
fond(MPa) (MPa) (mm)
= + =7 ( . )
Epaisseur choisie : 10 mm
= = 7,2 ( . )
Contraintes
Epaisseur maximales Contrainte Epaisseur
choisie appliquées sur le admissible retenue
(mm) fond(MPa) (MPa) (mm)
H. VERIFICATION DE LA CHARPENTE
a) Descente de charge
M= 39,24tonnes
1= ⤍G1=392,4KN
Surcharge d’exploitation : =5 / ²
Pression d’étude : p=6kN /m2
Dépression d’étude Pd =0,5kN /m²
Vent : site normal
+0,5
Vent : = = 0,36KN/m2
,
+ 18
= 2,5 ∗ ( . )
+ 60
= 2,5 ∗ =0,4KN/m2
= 1,2 ; ( − ) = 0,9
= ∗( − ) ( . )
= ∗( − ) = 0,41KN/m2
h
θ
Figure 3.8 modélisation de la ferme
La structure étant symétrique nous allons étudier un seul coté, puis déduire le
comportement du second coté.
B
z
x A
= + 2 − 3 ( . )
=5+2×0−3×1=2
B X2
z
X X1
Figue 3.10 présentation des inconnues sur la figure
Equation canonique :
+ + = 0 (3.17)
+ +∆ =0
=∫ ² ; =∫ ² ; Δ =∫ × ;
= = .
Determination:
HB
z VB
X A
VA
x MP
Z
x VA
²
( ) = −
3 3
HB
VB
X =1
VA
x ↷
Z
x 1
VA
+ cos − sin =0
=0
HB
VB
x
VA
VA
²
= = =0→ =− ; = ;Δ = ;→ =−
²
( )= × + → ( )= −
3 4
( )= − ; ( ) = tan
Notre programme nous a permis de déterminer les efforts intérieurs maximaux consignés
dans le tableau ci-dessous
c) Vérification du chevron
i. Vérification en Compression:
= = 3,63
≤ , ( . )
′
3,63 ≤ 270 240
= ≤ 200 ( . )
∗
= = 143,27
Coefficient de flambement :
, , ,
= 0,5 + 0,65 × + 0,5 + 0,65 × − ( . )
, , ,
= 0,5 + 0,65 × + 0,5 + 0,65 × − = 1,84
′
= × = 6,67 ≤ , 240
[2] 0,9 × ≤ , ( . )
′
= 0,9 × = 150,06MPa ≤ , 240 é
= ( . )
Avec = ( 1 + 0,156 ), ( . )
= ( 1 + 0,156 )=3569,91 ;
, , ,
= 0,5 + 0,65 × + 0,5 + 0,65 × − ( . )
, , ,
= 0,5 + 0,65 × + 0,5 + 0,65 × − = 35,36
= = 9,9 × 10
∗
= ( . )
∗ ∗
= = 158,08 MPa avec = ( . )
∗
= = 488 ; Avec : C=0,58 ; β=3 car profilé encastré et
9
+ + ≤ , ( . )
8
9
+ + = 260,67
8
′
260,67 ≤ 270 = , 240 é
≤ ( . )
= 0,06
06
200
[ ] P.414 f
D’après [9] =
,
qll
f = = 0,0609m
0 0609m
0609m → 0,0609m
0609m 0610
0610
0609m ≤ 0,0610 è ℎ é é
327 8EI
327,8EI
En pré-dimensionnement
pré dimensionnement,
dimensionnement nous
ous avons choisi la cornière L60X6 section=
L60 6 ; section =691
691mm²
mm² et le
moment quadratique I=2,279X10-77m44. Nous supposons que toutes
toute les charges appliquées
vent dépression et llee poids propre
sur l’entretoise sont verticales (surcharge d’exploitation, vent,
de la charpente).
4,633KN/m
Ainsi : q1=4,6 KN/m ;q=(4,6
KN/m² 3+1,17x1,35)x2,149=13,34
;q=(4,63+1,17x1,35)x2,149=13,
3+1,17x1,35)x2,149=13,34KN/m
KN/m
Z
Y
L
Figure 3.18 modélisation de l’entretoise
Z
Y HB
HA A B
VA VB
Figure 3.19 système d’équilibre
∶ − =0
∶ + − =0
CONCEPTION
ONCEPTION,NGOMBA JEAN,TEL :+237696831370,Email
ONCEPTION,NGOMBA +237696831370,Email :ngombajean@yahoo.fr
ngombajean@yahoo.fr 34
Guide de Conception des réservoirs cylindriques verticaux pour le stockage de
produits pétroliers
↺: − + =0→ = = = 1 ,2
= =0
0≤ ≤
VA T
Figure 3.20 déterminations des efforts mécaniques internes
- + − =0→ ( )= −
( )= −
2 2
Tableau 3.11 caractéristiques des efforts et contraintes appliqués sur l’entretoise
i. Vérification au cisaillement :
D’après la formule (3.19) 1,54 ≤ ,
33,38 ≤ 270 = ,
≤ 270 ; é 60 6
= = 22,79 × 10 . = 0,0239
= 0,9 × = 95,24MPa ≤ , : è
≤ ; = 0,007 ; = = 3,97 × 10
→ 2,9 ≤ 0,007 è ℎ é
Vent +dépression=1,35X(qv+Pd)=1,242KN/m²
F=Axq=5,328KN
x
Figure 3.23 calcule de l’effort normal appliqué au contreventement
Vérification de cornière du contreventement
N
σ= ( . )
S
F
N = = 6,53KN
cos θ
N
σ= = 13,62MPa → σ ≤ 235MPa ok la cornière L50x5 vérifie
S
Il est nécessaire de prévoir l’ancrage des réservoirs à toit fixe si la robe et la tôle de fond à
proximité de la robe sont susceptibles de se soulever de leur fondation ou si des risques
d’instabilité de la robe peuvent apparaitre lorsque le poids effectif à l'état corrodé du toit,
de la robe et de leurs accessoires permanents ainsi que, le cas échéant, le poids de la
charpente autoportante et/ou le poids de produit résiduel, ne peut s'opposer aux effets de la
pression intérieure d'étude, du vent et le cas échéant du séisme.
Sauf disposition particulière spécifiée à la commande et pour les situations où seuls le vent
et la pression sont concernés il n’est pas nécessaire d’ancrer un réservoir si les deux
critères ci-dessous sont respectés :
0,6 + < ( . )
1,5
+
+ 0,4 < ( . )
2
Pi
qw p 14m
Z
x A wL
24m
∗ 12
= = 14832 .
1,5 1,5
= 100 ∗ ∗ ( . )
= 100 ∗ ∗ = 50,117KN
+ ∗ 12 + ∗ 12
= = 22849,4 .
2 2
Le réservoir résiste au soulèvement donc il n’est pas nécessite de mettre les ancrages.
Un réservoir est dit frangible lorsque, lors d’une élévation accidentelle de la pression
intérieure, la rupture de l ’enveloppe de confinement du produit stocké a lieu dans une
zone de l’appareil (toit, liaison robe-toit, virole haut e … ) non mouillée permettant
ainsi d’assurer après rupture le confinement du produit stocké .
= , (tan ) ( ) ( ) ( ) ℎ ( . )
= , (tan ) ( ) ( ) ( ) ℎ = 44,89
charp
56500 0,259 1,115 -0,113 0,481 1
Source : [1]
min ( ;
= , ( . )
min ( ;
= , = 32,85
Avec :
p ≥ 1,5p ( . )
min ( ;
,é = , ( . )
min ( ;
,é = , = 15,1
= 1200; = 1,1
15,1 ≥ 44,89 é
= 1,8 × √ ( . )
= 1,8 × √ = 0,85 ;
0,578
= ( . )
3,67
ℎ
( ⁄ )
0,578
k= = 0,1
3,67
th
(D⁄H)
1,25
= ( . )
,
= = 0,33 ; = 1,5 ; = 1,5
= + + + ( . )
= + + + =184656453, 68 N.m
ℎ(0,866 )
= ( . )
0,866
( , )
= = 3847513, 20 Kg
,
= 0,230 tanh(3,67 ) ( . )
0,866
= 0,375 1 + 1,333 −1 ( . )
tanh 0,866
,
= 0,375 1 + 1,333 −1 =9,77m
,
cosh 3,67 − 1,937
= 1− ( . )
3,67 sinh(3,67 )
, ,
= 1− =-8, 18 m
, ( , )
= + + ℎ + ℎ ( . )
= + + ℎ + ℎ =31111188,24N.m
Avec : ℎ = 0,37 ( . )
ℎ = 0,37 = 5,25
cosh(3,67) − 1
ℎ = 1− ( . )
3,67 sinh(3,67 )
( , )
ℎ = 1− =8,84m
, ( , )
Condition de renversement
≤ 0,75 ( . )
M
R = ( . )
D (W + W )
RA = =0,03354296
( )
Calcul de force longitudinale de compression maximale dans la paroi d’un réservoir non
ancré. [2]
1,273
= + ( . )
,
= + =252069,1N
ρ HD
si; ≥ 44 (3.56)
e
ρ HD
= 86,28 ≥ 44
e
e
→ contrainte admissible σ = min 83 ; 0,5R = 31,36 MPa
D
= (3.59)
10
= = 27,8 ≤ = 31,36
10
En effet, les supports qui porteront les escaliers seront fixés sur la robe du réservoir.
Nous supposons qu’ils sont fixés en porte-à-faux sur la robe. Pré dimensionnement
comme élément de support des marches, nous prenons la cornière L120X80X8, avec une
surcharge d’exploitation de 500kg/m² et poids linéique de la cornière est de, 12,2kg/m².
Z
M H
x V
− = 0 → = = 17,76 ; = 0
² ²
+ =0→ =− = −14,21 .
2 2
Par ailleurs ( ) = ; ( ) = − = 0 → = = 11,46 ;
= = 32,77
a) Vérification de l’échelle
≤ ; = = 6,86 × 10 ≤ = 8 × 10 è ℎ
200 8 200
Chevron IPE240
Contraintes Contraintes Contrainte Flèche Flèche
Contraintes calculées résultats Résultats
calculées(MPa) pondérés(MPa) admissible(MPa) calculées admissible
Contrainte normale 3,62 3,62 270 ok
Contrainte de
31,21 48,06 270 ok
cisaillement
Faiblement 6, 33 6,67 270 ok 0,003 0,06 OK
Contrainte en X 167,31
260,58 270 ok
flexion composée Y 83,65
46
CONCEPTION,NGOMBA JEAN,TEL :+237696831370,Email :ngombajean@yahoo.fr
Guide de Conception des réservoirs cylindriques verticaux pour le stockage de produits pétroliers
Entretoise L60X6
Contraintes calculées Contraintes Contraintes Contrainte résultats Flèche Flèche résultats
calculées pondérés admissible calculées admissible
(MPa) (MPa) (MPa) (m)
Contrainte normale 0 0 270 /
Contrainte de 21,67 33,38 270 ok
cisaillement 3,97 × 10 0,007 ok
Contrainte en flexion 95,238 270
composée 105,82 ok
47
CONCEPTION,NGOMBA JEAN,TEL :+237696831370,Email :ngombajean@yahoo.fr
Guide de Conception des réservoirs cylindriques verticaux pour le stockage de produits pétroliers
Pour la vérification numérique des épaisseurs de la coque de notre de réservoir nous allons utiliser le logiciel AUTODESK ROBOT
STRUCTURAL ANALYSIS.2014 en effet pour le calcul des coques le logiciel applique en filigrane la méthode des éléments finis qui consiste à
résoudre le système : M Q'' + C Q' + K Q = F(t) - f(t,Q)
avec
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Nous avons choisie le maillage triangulaire à 3 nœuds pace que Dans le logiciel Robot, il est recommandé d'utiliser les éléments surfaciques à 3 ou 4 nœuds.
Dans le cas où on utiliserait les éléments surfaciques à 6 ou 8 nœuds pour la génération du maillage, les options suivantes peuvent fonctionner de façon
incorrecte.
Description de la structure
Comme hypothèse de modélisation en de celle évoquées au paraphe précédent nous l’allons négliger la pente du fond
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Les deux résultats sont acceptables du point de vu résistance de la structure cependant les erreurs qui existent entre ses résultats sont dus du fait de
la modélisation numérique, où nous avons négligé la pente du réservoir sur le fond du réservoir voilà ce qui peut bien justifier ces écarts importants
entre les résultats analytiques et numériques, mais nous allons utiliser les résultats des calculs analytiques parce que la modélisation analytique est
plus proche du modèle réel de la structure.
Pour la vérification numérique des éléments de charpente comme nous l’avons annoncé à introduction, nous avons utilisé le logiciel RDM6.
C’est un logiciel de calculs de structures lequel présente généralement le comportement de la structure sous l’effet du chargement. Concernant la
modélisation, elle est identique à celle présentée aux paragraphes précédents (modélisation : du chevron, de l’entretoise, et du support de
marche). Les résultats des calculs numériques sont présentés sous forme de courbes (contraintes et la flèche maximale) puis seront comparés dans
un même tableau avec les résultats analytiques
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Figure 3.33 : courbe de la déformée du chevron Figure 3.34 : courbe de contrainte du chevron
Tableau 3.17 comparaison des résultats analytiques et numériques du chevron
IPE 240
Valeurs analytique Valeurs numériques erreurs X Valeurs admissibles
calculées (RDM) (m)
Contrainte en flexion (Mpa)
260,58 261,4 0,3% 12,17 270
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Figure 3.35 : courbe de la déformée de l’entretoise Figure 3.36 : courbe de contrainte de l’entretoise
L60X6
Valeurs analytique Valeurs numériques erreurs X Valeurs admissibles
calculées (RDM) (m)
Contrainte en flexion (Mpa)
105,2 108 2,6% 12,17 270
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Au vu des écarts très faibles soient dans l’ordre de 10-1 qui existent entre, les valeurs des résultats analytiques et ceux des résultats numériques des
éléments de charpente, ces erreurs se justifient du faite que les deux modélisations ne sont parfaitement identiques. On peut donc dire qu’ils sont
tous acceptable au même degré. Cependant, nous préfèrerons utiliser la méthode analytique à cause de la non maitrise de boite noire qui est en
filigrane du RDM6.
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24m
24m
24m
14ms
14m
z
x H
Les assemblages ont pour fonction d’assurer la liaison ou la continuité des composants
élémentaires entre eux
eux,, afin de réaliser l’ossature de l’ouvrage projeté. Ces organes
critiques pour l’ouvrage tant sous l’aspect de l’intégrité structurelle que sous l’aspect
économique, doivent être conçus et dimensionnés avec au moins autant de soin que les
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composants élémentaires. Les deux principaux modes d’exécution des assemblages sont :
les assemblages soudés et les assemblages boulonnés. En ce qui concerne notre structure,
les liaisons entre les viroles seront soudées, pour assurer une bonne étanchéité de la robe.
Par ailleurs, nous aurons aussi les assemblages boulonnés, liaison robe charpente. Pour la
vérification des assemblages avons utilisé le CM66
i. Chevron-anneau
Cette liaison doit assurer la transmission de trois efforts : l’effort normal
(N=14179,15 N) ; l’effort tranchant(T=122364 N) ; le moment (M= (54277,56 N.m).
Pour s’assurer de la transmission de ces efforts, nous allons effectuer le pré
dimensionnement puis faire une vérification suivant le CM66 [10].
Pré dimensionnement
T
≤ 0.65σ ( . )
A
√ + 2.36
≤ ( . )
√ ² + 2.36 ²
→ = 937,87 ≤ 1080
1,54. A
N = ( . )
A
, .
N = = 3boulons [10]
Pour les raisons de sécurité et compte tenu que c’est un encastrement nous allons
prendre 4 boulons
vérification de la cornière :
On a :
= (3.64)
= = 89,58
Vérification de la flèche :
≤
200
≤ ;
200
55,87MPa ≤ 512MPa ok é à
Résistance au cisaillement :
Sollicitations simultanées :
√ .
Sur la partie lisse de vis : ≤
√ ² . ²
→ = 600,36 ≤ 640 la partie lisse de vis résiste aux
Sollicitations simultanées
1,54
= = 2
En pré- dimensionnement on a :
1
=6 → >4 ; = 0.8 1 + = 0,933 ; = 122364 ; = 14179,15
= 250
N N
≤ σ ; = 11,92MPa ≤ 235MPa ok le cordon résiste à l′ effort normal
0.85lαa 0.85lαa
T T
≤ σ ; = 116,58MPa ≤ 235MPa ok le crdon résiste au cisaillement
0.75laα 0.75laα
Pour la détermination de la durée de vie de notre réservoir nous allons utiliser la loi
PARIS. [11]
1 (P R π)
N= m a −a ( . )
A 1− e
2
1 (P R π)
N= m a −a = 4229cycles
A 1− e
2
S. PRESENTATION DU PRO-LOGICIEL
Les programmes de calcul ont pour but l'automatisation du calcul d'un certain nombre
d'éléments de la structure. Ils concernent principalement :
a) Notice d’utilisation
En réalité ce programme effectue les calculs :
a) Matériaux
La désignation du matériau choisi doit être présentée souvent la norme européenne
EN 10088-2.ou suivant une norme iso reconnue. Mais il faut noter que le choix de ce
matéreau dépend du type de produit stocké dans le réservoir. Alors pour les produits
pétroliers, Il faut que que ce matériau reponde au moins aux exigences suivantes :
Etant donné que la plupart du matériel est préfabriqué en atelier lors des opérations
de manutentions, il faut éviter que ce matériel se déforme.
Il faut toujours s’assurer que tous les résultats de contrôles et les essais sont positifs
avant de réceptionner l’ouvrage :
Contrôle des assemblages de soudure (visuel ; ressuage, magnétoscopie
radiographie ou ultrasons) ;
Essais hydrostatiques.
d) Disposition constructive
L’opération de soudage par fusion avec fil-électrode fusible consiste à faire fondre un
métal d’apport en même temps que les plats ou les profilés à assembler. Le métal fondu
provenant de chaque élément est réuni au niveau du joint dans un bain de métal qui comble
l’interface. Au fur et à mesure que le bain de fusion se refroidit, le métal fondu qui se
trouve à la limite de fusion se solidifie, formant un lien solide avec le métal de base. Quand
la solidification est totale, il y a continuité du métal à travers le joint. Dans le soudage à
l’arc, on peut utiliser un flux ou un gaz non réactif (inerte) pour recouvrir le bain de fusion
et donc empêcher l’action de l’air. Les procédés utilisés peuvent être classés en trois
catégories : le soudage manuel qui reste le seul moyen possible pour réaliser des soudures
dont l’accès est difficile ou de petite longueur, le soudage semi-automatique (avancement
automatique de l’électrode avec une torche tenue à la main), lequel est appliqué de manière
générale ; le soudage automatique (la tête de soudage est montée, soit sur un charriot dont
l’avancement est automatique, soit sur un robot de soudage). Il s’applique surtout aux
soudures continues d’une certaine longueur : assemblage âme semelles des profilés
reconstitués soudés (PRS) par exemple. Mais dans le présent document, nous allons nous
intéresser au soudage manuel.
Le soudage manuel (figure A.1 annexe) constitue l’un des modes opératoires de
soudage à l’arc les plus répandus. Il nécessite un personnel très qualifié pour que les
soudures réalisées soient de bonne qualité. L’électrode est constituée d’un fil à cœur
d’acier d’un diamètre de 3 à 8 mm et d’un flux d’enrobage contenant des éléments alliés
(manganèse et silice par exemple). La source de chaleur est constituée d’un arc de faible
voltage (15 à 35 V) mais d’intensité élevée (jusqu’à 500 A). L’arc fait fondre le métal de
base et l’électrode. Au fur et à mesure que le métal est transféré du bout du fil en acier au
bain de fusion, le soudeur déplace l’électrode de manière à garder une longueur constante à
l’arc. Cela est essentiel dans la mesure où la largeur du cordon est en grande partie liée à la
longueur de l’arc. Le flux fond avec le fil de cœur et coule sur la surface du bain de fusion
pour former un laitier qui doit être enlevé après la solidification (figure A. 2 annexe ).Cette
technique présente les avantages suivants[13] :
Faibles investissements ;
liberté de mouvement (on peut l’utiliser jusqu’à 20 m de l’alimentation
électrique, ce qui est intéressant sur chantier) ;
utilisation possible dans toutes les positions ;
convient pour des aciers au carbone et les aciers inoxydables.
Son principal inconvénient est un faible cycle de travail, c’est-à-dire qu’il n’y a
qu’un faible volume de métal déposé avant que le soudeur ne s’arrête pour insérer une
autre électrode. Cela ne constitue pas un problème pour des soudures courtes, mais devient
un problème pour des soudures longues, en particulier lorsque les couts de main-d’œuvre
sont élevés. Les caractéristiques d’action de l’électrode sont contrôlées par la composition
du flux d’enrobage. Une grande variété d’électrodes est disponible selon les applications
Dans cette liaison, le gousset est préalablement percé puis soudé sur le profilé et
sera en suite boulonner sur la couronne.
= − ( . )
60 ≤ ≤ 100 ( . )
≥ 60 ( . )
En règle générale, les tubulures (remplissage, vidange, trous d'homme, etc.) sont
implantés selon la règle suivante :
≥ + 100 ( . )
= Hauteur de l'axe de la tubulure par rapport au fond du réservoir
= Diamètre extérieur de la tubulure
Figure 4.8 disposition des tubulures. Note 2 : épaisseur de renfort ; Note 3 : pente ¼
: Longueur entre la tubulure et la robe à choisir dans le tableau ci-dessous
é à ℎ −
Source : [2]
Choix du diamètre nominal et la bride du trou d’homme à choisir dans le tableau ci-dessous
Mauvais flux
Levage d’assemble
Pose de la viroleFlux
suivante
correct
Enlèvement des béquilles déposer l’ensemble formé des tôles de robe et toit
Masse
Masse
Dimensions nombres Volumes(m3) volumique
partie (tonnes) Prix unitaire
(Kg/m3)
Tôles 6290X1500X10mm 12 0,679 7850 5,33
Tôles 7100X2000X10mm 14 1,988 7850 15,606
Tôles5325X2000X10mm 4 0,426 7850 3,344
Tôles3550X2000X10mm 2 0,142 7850 1,115
fond Tôles4650X2000X10mm 2 0,186 7850 1,460
Tôles5300X2000X10mm 4 0,424 7850 3,328
Tôles2650X2000X10mm 8 0,424 7850 3,328
Tôles3500X2000X10mm 2 0,245 7850 1,923
Tôles6286.5X2000X12mm 12 1,811 7850 14,216
Tôles6286X2000X10mm 24 3,017 7850 23,683
robe Tôles6285.5X2000X8mm 24 2,414 7850 18,950
1100 000F
Tôles6285X2000X6mm 24 1,810 7850 14,208
Tôles6200X2000X10mm 18 2,232 7850 17,521
Tôles4970X2000X10mm 9 0,895 7850 7,025
Tôles5550X2000X10mm 2 0,222 7850 1,742
Tôles 5580X2000X10mm 4 0,446 7850 3,501
Tôles4570X2000X10mm 2 0,183 7850 1,436
toit Tôles4250X2000X10mm 2 0,170 7850 1,334
Tôles7000X2000X10mm 2 0,280 7850 2,198
Tôles5120X2000X10mm 2 0,205 7850 1,609
Tôles4480X2000X10mm 2 0,179 7850 1,405
Tôles4370X2000X10mm 2 0,175 7850 1,373
Masse Total robe 145,635 160 198 500 fcfa
Poids
Longueur Masse
fonction Profilé lineaire
(m) nombre (tonnes) Prix unitaire
(Kg/m)
chevrons IPE240 30,7 12 40 14,736
L100x10 17 ,9 1 ,542 40 1,104
L80x8 9,63 1,208 40 0,465
entrtoises
L60x6 5,42 1,434 80 0,622 1 100 000F
contreventement L50X5 3,77 2,515 32 0,303
Main courante Rond 42,4X2,6 2,55 156 / 0,397
Gard corps L45X5 3,38 1,1 54 0,2
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Durées en semaines 30 6 20 28 1 4 1 1 1 1
étude des faisabilités procédure de
passation de marché
Installation chantier
Commande matériels
Gros œuvre génie civil
Réception matériels 10
Chaudronnerie
Tests et contrôle
Traitement anticorrosif
Résultat des tests
Finition
Démobilisation du chantier
Réception chantier
La durée prévisionnelle de notre projet est estimée 93 semaines, soit 558 jours. Car nous supposons la semaine à six jours c’est-à-dire les cinq jours
ouvrables plus le samedi.
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E. Plan de maintenance
Les réservoirs de stockage doivent faire l’objet d’inspections réalisées régulièrement afin
de détecter, le plus tôt possible, tous signes de détériorations, les décisions relatives à la
périodicité et la nature des inspections à réaliser restant de la responsabilité du Donneur
d’ordre.
Les inspections recommandées par [14] ont pour but de recueillir les informations
nécessaires permettant d’évaluer si les réservoirs concernés peuvent être maintenus en
exploitation dans des conditions de sécurité et de fiabilité acceptables ou si des actions
correctives sont nécessaires à cette fin. La visite de routine a pour but de constater le bon
état général du réservoir et de son environnement ainsi que les signes extérieurs liés aux
modes de dégradation possible. Elle est réalisée par des personnels qualifiés et renouvelée
chaque année. Les écarts Relevés font l’objet d’une analyse. En vu d’élaborer une
maintenance préventive .par ailleurs la révision générale du réservoir se fait tout les 10
ans. En effet on met le réservoir hors service et on lui fait passer tout les contrôles et les
tests nécessaires (radiographie ; visuel ; ressuage ventouse etc.)
Fiche d’inspection
Société :
Repère du réservoir : Localisation N°de fiche :
:
Type de réservoir :
Visité par : Date : Signature :
CONCLUSION ET PERSPECTIVES
REFERENCES BIBLIOGRAPHIES
[1] Eurocode 3 : Calcul des structures en acier, Partie 4-2 : Silos, réservoirs et canalisations
Réservoir
[6] jean- louis fanchon guide des sciences et technologies industrielles édition NATHAN
[7] Pr robert NZENGWA Note de cours de plaque et coque cinquième année FGI du
[8] Règle de calcul définissant les effets de neige et vent éditions de Décembre 2007
[10] Règles CM66 et additif 80 règle de calcul des constructions en acier édition
EYROLLES
[11] Mme IDELLETTE JUDITH HERMINE SOM note de cours de fiabilité et endurance
de quatrième année FGI
[12] Albert KOZLOWSKI Données numériques sur les aciers inoxydables (Bureau de
normalisation de la sidérurgie)
ANNEXES
Tableau. A1 coefficients sismiques
Source : [2]
Source : [2]
Source [3]
Source : [2]
Source : [2]
Source [14]: