Dialogue :

A: Bonjours mon ami !

B: Bonjours, vous allez bien aujourd’hui !

A: Oui, je vais bien merci.

B: Dis-moi, tu as compris la leçon du français, hier ?

A: Oui, un peu !

B: Notre professeur nous a expliqué que le but du texte descriptif est la description.

A: Oui, c’est vrai, le texte descriptif est fait pour dessiner une image d’un lieu ou un portrait d’une
personne.

B: Je me rappelle aussi que parmi les caractéristiques déterminant ce texte, il y a le temps imparfait,
les verbes d’état et les verbes de perception comme : voir, percevoir, sentir, etc.

A: Oui, vous avez raison, mais il y en a d’autres, on trouve aussi dans ce texte des indicateurs de lieu
et beaucoup d’adjectifs et de noms, sans oublier les verbes d’action.

B: les verbes d’action ? Comment peut-on trouver les verbes d’action dans la description ?

A: Eh bien oui, on peut trouver les verbes d’action dans un texte descriptif, s’ils servent à exprimer
les habitudes des personnages et ils sont conjugués à l’imparfait.

B: Donc, si j’ai bien compris, si les verbes d’action sont conjugués à l’imparfait, ils expriment les
habitudes ou les faits répétés d’un personnage. Et s’ils sont conjugués au passé simple, ils expriment
un enchaînement d’actions.

A: Oui, c’est bien cela. En général, le texte descriptif a pour but de décrire un lieu ou faire le portrait
d’une personne, le temps dominant est l’imparfait, la présence intensive des adjectifs, des noms , des
indicateurs de lieu et les verbes d’état, de perception et parfois les verbes d’action.
Dialogue :

A : Bonjours mon ami, ça va !

B : oui ça va bien, merci. Et toi, ça va !

A : super !

A : dis-moi, as-tu lu Aux Champs ?

B : oui, je l’ai lu trois fois. Et toi, est-ce que tu l’as lu ?

A : mais bien sûr. Alors comment tu as trouvé l’histoire ?

B : eh bien ! J’ai trouvé l’histoire très impressionnante. Mais ce que je n’arrive pas à
comprendre, c’est comment la mère Vallin peut-elle oser vendre son petit enfant, jean ?

A : oui, vous avez raison, mais si nous prenons les conditions misérables dans lesquelles
vivait la famille Vallin, on peut dire que, peut -être, elle est obligée de vendre un de ses
enfants pour sauver les autres. Qu’en pensez-vous ?

B : Pardonnez-moi, mais aucune raison ne Justifie ce fait abominable que de gagner de

l’argent. La preuve c’est que la mère Tuvache a refusé l’offre, tout en sachant qu’elle était
aussi pauvre, tout juste comme la mère Vallin.

A : oui, peut-être que vous avez raison, mais regarde le résultat de ce fait. On voyait que les
Vallins vivaient à l’aise, leur niveau de vie devenaient plus mieux qu’avant ; tandis que les
Tuvaches souffraient de leur misère. En plus, à la fin, l’enfant a retourné vers ses vrais
parents, alors que le pauvre charlot a quitté ses parents.

B : Oui, c’est vrai, la fin de l’histoire m’a surpris. Je ne m’attends pas vraiment à ce que
Charlot quitte sa mère, seulement parce qu’elle a refusé de le vendre.

A : Oui c’est ce qu’on appelle la chute de l’histoire.