Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
Les personnages dont je parlerai sont Voltaire (écrivain et philosophe français du 18 e siècle. Il
est connu pour ses écrits et pensées politiques. Il est exilé en Angleterre où il y découvre une
monarchie parlementaire dont il s’inspire pour critiquer la politique autoritaire française), Said-
Effendi (ambassadeur de l’Empire Ottoman établit à Lyon durant le 18 e siècle) et Joussouf-chéribi (un
chef d’état fictif crée par Voltaire).
Le contexte d’écriture ; Voltaire vit en France, sous la monarchie absolue de Louis XIV et
ensuite celle de Louis XV. L’Eglise a encore une grande influence sur la société malgré les épisodes
sur la Contre-Réforme. L’imprimerie a permis l’élargissement des connaissances et l’augmentation
des ouvrages en Europe. Cependant l’Eglise et la monarchie censure tout ce qu’il ne lui plait pas.
Voltaire fait parti des lumières, un grand mouvement philosophique et intellectuel du 18 e ‘s héritant
des idées principales de la Renaissance.
Voltaire décide d’écrire son texte sous cette forme, et de le situer dans un pays aussi lointain
qu’est l’Empire Ottoman par rapport à la France, c’est principalement pour échapper aux censures
dont l’Etat français est, à cette époque, très friand. Il veut aussi attirer l’attention et l’attirance du
peuple français, car tout ce qui touche au monde Orientale est à la mode. L’imprimerie est d’ailleurs
introduite à ce moment en Turquie (d’où Empire Ottomant).
Si Voltaire veut éviter la censure c’est qu’en réalité, il écrit un pamphlet, un écrit satirique
dirigé contre qlqn ou une institution. Il va sous la forme de ce texte ironique critiquer la gestion de
l’Etat français, ses dirigeants et l’Eglise. Lorsqu’il parle de l’Empire Ottoman, il veut parler de la
France. Il va même jusqu’à citer un pays nommer Frankrom, situé être l’Italie et l’Espagne pour que le
lecteur fasse le rapprochement avec la France. Le texte fera quelques références à l’Eglise via « les
principes » de l’Islam évoqués dans le texte. Voltaire va ensuite attaquer la monarchie en citant dans
sa conclusion : « donné dans notre palais de la stupidité ».
Les bienfaits de la lecture pour le peuple sont énumérés dans les paragraphes numérotés, qui
sont de basent contre celle-ci. Premièrement, la lecture permet de dissiper l’ignorance, et donc
d’échapper à un politique autoritaire et tyrannique. Ensuite, la lecture favorise le progrès, donc le
confort du peuple. Troisièmement, l’ignorance de l’Histoire maintient le peuple dans le mensonge, le
merveilleux, tandis que sa connaissance apporte une réflexion, source de savoir et de vérité. La
lecture permet aussi un enseignement morale différent de celui dicté par le pouvoir. La lecture
permet également une perception et une pratique plus juste (plus personnel) de la religion. Enfin, la
lecture amène un progrès dans la science, donc une meilleure qualité de vie et n’apporte pas des
épidémies.