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Droit constitutionnel semestre 2

droit constitutionnel français :

partie 1 : l'histoire constitutionnel

partie 1 : la cinquième république, la constitution de 1958

partie 1 : l'histoire constitutionnelle

chapitre 1 : le siècle de la révolution (1789 - 1870)

l'ancien régime se termine par la monarchie absolue. Cette idée de pouvoir


absolue du roi comme dictateur est faux : ça signifie pas un pouvoir absolue du
roi : il peut pas modifier les lois fondamentale du royaume, bien que ce soit
des lois fondamentale coutumière. Il n'a pas le « pouvoir constituant dérivé ».

quand la guerre de succetion d'espagne se termine en 1713 – 1714, les traités de


paix prévoient que les couronnes de france et d'espagne ne peuvent pas être
réuni au profit d'une seule personne.

Sauf que tout le monde sait que c'est contraire a la loi de dévolution de la
couronne et que donc ça n'a aucune valeure.

Si le roi n'a pas tout pouvoir, il détient cependant des pouvoirs importants en
théorie parce qu'il n'y a pas de séparation des pouvoirs, ni entre les 3
branche, ni entre le gouvernement et la religion catholique.

Cependant ce n'est pas un régime autoritaire au sens modèrne, notamment toute


les affaires politiques suivent des procédures (c'est pas l'arbitraire complet
du roi).

La prise de décision est soumise au respect de certaines procédure.

Malgré tout c'est une société inégalitaire constitué en 3 ordres. Et cette


inégalité apparaît inacceptable : le fait que les nobles étaient exempté
d'impot, parce qu'ils faisait la guerre.

La société manque de libertés, la liberté d'expression surtout (y a de la


censure), ya les lettre de cachet qui permettait au roi de faire emprisoné ou
tuer qui il veut (sauf que y avait quasi pas de prisonier) et manque aussi et
surtout de liberté économique parce que le système est gangréné par le système
des corporation. En plus c'est pas un système représentatif : la majeur partie
des gens sont pauvre, paye des impots, et sont pas représenté.

Les lumières vont y remédier avec leurs théorie : fin de l'absolutisme, réforme
sociale, de la fiscalité

les lumières veulent le constitutionalisme (l'écriture des constitution, des


droits et libertés (pour quelles soient garanti)) la séparation des pouvoirs,
que les sujet deviennent des citoyens.

Les lumières veulent la paix (les gens on marre des guerre incessante des
guerres des rois)

projet de paix perpétuelle sont élaboré


l'un des premier est celui de l'abbé de saint-pierre, suivit de beaucoup d'autre
penseur du 18 ème siècle, notamment Emmanuel Kant : cosmopolitisme kantien :
tout les peuples doivent vivre en paix et résoudre ses problèmes pascifiquement.

La monarchie n'est pas représentative, mais il existait quand même les états
généraux. Mais contrairement a ce qui c'était passé en angleterre ou les
instances représentative de la noblesse et de la bourgeoisie avaient obtenu le
droit tôt le droit de conssentir annuellement a l'impot, ce qui avait permit a
la future chambre des lord et commune de se dévellopé, ici, jamais les rois de
france n'on été dans des position de faiblesse qui les obligeait a accepter ces
réunion annuelle des état généraux, ce qui fait qu'ils étaient réuni que de
temps en temps a l'occasion de crise particulière (notament une crise
financière)

sous la période de la monarchie absolue, les états généraux n'avaient plus été
réuni : la réunion d'avant 1789, c'était en 1614

comme les états généraux ne sont plus réunis, ils peuvent plus jouer le rôle de
représentant des 3 ordres, ce sont les cours de justice qui tentent de prendre
leur place, de jouer le rôle de principale contre poids a la monarchie, ces
cours s'appelant a l'époque « parlement »

les juges qui bénéficiaient d'une assez grande indépendance a cause du système
de patrimonialité des offices (propriétaire de leur charge de juge) les juges on
mené un combat quasi permanant contre la monarchie pendant tout le 18 ème
siècle.

En théorie le roi pouvait faire plier les parlement par le lie de justice (quand
les parlement reffusaient d'enregistrer les édits par exemple), en générale
c'est le parlement qui avait le dernier mot

les juges ont donc débordé sur la sphère politique, ils ont concouru a la
révolution, révolution dont ils seront d'ailleur en parti victime puisqu'a
partir de la révolution on les met a l'écart des affaire politiques

ce qui fait que la crise financière amène a la convocation des état généraux le
5 mai 1989

ils avait été précédé d'enquete #cahierdedoléance

mais la révolution a proprement parlé se produit au moment ou le tiers état,


complété par certain nobles et certains membre du clergé se déclare assemblée
nationale : c'est la que le tiers état sort du rôle pour lequel il a été
convoqué et se déclare assemblée nationale représentative et constituante

section 1 (1789 – 1799) la révolution

a partir du moment ou l'assemblée se déclare constituante s'ouvre une période


qui est appelé l'inconstituante, durant laquelle les membres de l'assemblée vont
d'abord rédiger la DDHC du 26 aout 1789 puis la première constitution écrite en
france

la constitution de 1791 ouvre la période de :

A) la législative

cette première constitution française de 1791, c'est pas le début de la


république c'est de la monarchie constitutionnelle, adhérant aux théorie de la
séparation des pouvoirs : le roi c'est le pawa executif, et c'est un
représentant légitime de la nation et que c'est pour ça qu'il est au pouvoir. Il
nomme et révoque les ministres, qui eux, contresigne les actes que le roi
adopte.

En face du roi y a l'assemblée qui a le pouvoir legislatif

l'assemblée est élu au suffrage censitaire : ya certain citoyens qui votent pas
parce qu'ils paient pas suffisament d'impot

la séparation est stricte entre l'executif et le legislatif sauf que le roi


dispose toujours d'un droit de véto

mais ce droit de véto n'a pas appaisé l'antagonisme entre le roi et l'assemblée,
au contraire ce droit de véto a excerbé cette rivalité

pour le reste il n'y a pas la possibilité pour l'assemblé de renverser le roi et


ses ministre, et le roi ne peut dissoudre l'assemblée

le 10 aout 1792 l'assemblé décide de suspendre l'application de la constitution


monarchique (définitive) et de convoquer la convention nationale

section 2 le début de la république

A) la convention et la constitution de l'an 1

la convention a été élue pour la première fois en france mais au suffrage


indirecte.

Cette convention fait fonctionner un régime qui était provisoire dans l'attente
de l'adoption d'une nouvelle constitution

le système de la convention est resté célèbre dans l'histoire parce que c'est la
conception de la souveraineté populaire rousseauiste qui domine alors. On
réccuse la pertinance de la séparation des pouvoir au proffit d'un système de
délégation du pouvoir, du bas vers le haut, du peuple qui élit la convention qui
exerce le pawa par délégation, et cette convention peut attribuer certain
pouvoir et certaine fonction a des organes qu'elle crée au file du temps, dont
le fameux comité de salut publique qui est une émanation de la convention.

Cette periode de la convention est donc novatrice du point de vu de la théorie


politique mais elle correspond au paroxysme de la violence de la révolution
française avec beaucoup de condamnation a mort, élimination physique du clergé
et de la noblesse, des adversaires politiques, le génocides des vendéeins par
les armées républicaines. Cette periode de la convention culmine en aout 1794
avec l'élimination de robespierre, après quoi la convention va se survivre a
elle même pendant un temps mais sera plus modéré, moins meurtrière et on
s'orientera vers la mise en place d'une nouvelle constitution : cette periode de
la convention post robespierre est appellé parfois la convention
« termidorienne » du nom du mois de l'année du calandrié révolutionnaire.

Mais il y 缘 ᥇ un autre aspect a envisage

la constitutiton de 1793 élaboré par la convention reste célèbre car elle est
l'incarnation des idéaux de la souveraineté populaire ac suffrage universelle
monocamérisme, contrôle étroi citoyen, délégation du pawa a la place de la
séparation, mais elle a jamais été mise en œuvre a cause de la guerre civile et
étrangère.

Si elle avait été mise en œuvre elle aurait probablement mise en valeur des
défauts, elle aurait perdu un peu de son aura de perfection.
B) le directoire : la constitution de l'an 3 (1795)

les conventionnel survivant après l'élimination de robespierre hésitent : ils


voudraient stabiliser le régime, étant plus modéré, mais d'un autre coté,
beaucoup d'entre eux on voté la mort du roi, et donc ils peuvent pas revenir en
arrière. Du coup ils écrivent la constitution du directoire.

Cette constitution du directoire illustre le mouvement de balancier entre


souveraineté nationale et populaire, après celle de l'an 1 très influencé par la
souveraineté populaire, c'est la souveraineté national qui est a la mode en 95 :
séparation stricte des pouvoirs, suffrages censitaire, tout ça

on instale au pawa executif le directoire, composé de cinq personnes, et en face


dans le pawa legislatif, on le divise en deux pour éviter les pb de conflit
entre les 2 pouvoir : le bicamérisme apparaît : d'un coté, le conseil des cinq
cents et en face le conseil des ancien (conseil des 250)

ils son moins mais sont plus fort : les 500 sont appellé : l'imagination de la
république : ils trouvent les réformes, les lois, les projet. Les 250 sont la
sagesse de la république, c'est eux qui disent oui ou non aux projet des 500
donc ils ont plus de pawa

ce régime du directoire fonctionne mal, il y a une suspicion permanante entre le


directoire et les assemblé, et lors de chaque renouvellement, il y a des sortes
de coup d'état et éléction truqué

le 18 brumaire ans 8, napoléon bonappart fait sont coup d'état en sa propre


faveur : fin de la révolution française et du directoire : début du consulat et
de l'empire

section 2 : les tentatives de stabilisations :

l'hésitation qui caractérisait les conventionel a la fin de la periode de la


convention, va finalement occuper tout le reste de la periode, jusqu'en 1870,
l'objectif étant bien de stabiliser l'organisation politique qui a été seccoué
par la révolution.

Y a 2 perspective de stabilisation :

la stabilisation autoritaire appelé « bonappartiste » ou « césariste » qui


caractérise le consulat et le premier empire et qui comprend aussi le second
empire de 1852 a 1870.

la stabilisation de la monarchie parlementaire, monarchie plus ou moins libérale


sur le modèle britanique (plus ou moins suivit, qui caractérise la période de la
restoration, de 1814 a 1830, et la période de la monarchie de juillet, de 1830 a
1848

la tendance dictatoriale / autoritaire

A) le consulat et le premier empire

le consulat est issu du coup d'état de napoléon bonappart, faisant référance a


l'empire romain de l'antiquité. Il y a 3 consuls, dont deux pour faire joli
(camouflant le fait qu'il ait tout le pawa). Le premier consul était élu pour 10
ans, puis est nommé consul a vie a partir de 1802, montrant sa volonté de passer
a autre chose que la république. En 1804, ça se transforme en 1er empire,
caractérisé par le suffrage universelle de principe, conservé sous le second
empire, acréditant que l'empereur a la confiance du peuple, et n'a pas peur du
peuple.
Ce suffrage universelle est en quelque sorte détourné par le mécanisme des
listes de confiances, imaginé par l'abbé sieyès, résumé par :
la confiance vient d'en bas, le pouvoir vient d'en haut.
Les citoyens élisent des personnalités formant un collège au sein duquel le
pouvoir central choisi ceux a qui seront confiés des responsabilité, donc le
pouvoir choisi ceux qu'il veut : c'est apparament démocratique mais c'est tout

d'aileur l'apparence démocratique est renforcé par l'usage des plébicite


(révolution, passage du consulat a l'empire, tout ça on le demande au peuple par
référendum, mais on est pas con on lui pose que des question dont la réponse est
prévisible) les citoyens votent plus pour le consul que pour ses idées.

C'est un système plutot complexe laissant penser que les institutions


représentative fonctionnent.

Il y a une pluralité d'assemblée qui concourent a l'élaboration et l'adoption


des lois : le conseil d'état (conseil politico-juridique du gouvernement dans
l'élaboration des lois et décret), le tribunat (qui fait des propositions, des
amandements), le corps legislatif (qui adopte les lois) et le sénat (institution
hybride qui révise la constitution et le contrôle de constitutionalité)

le sénat impérial explique qu'en france il y est eu une longue réticence a


l'égard du contrôle de constitutionalité parce qu'il marchait pas trop bien.

Mais c'est des apparance : en 1807 on a supprimé le tribunat qui servait a rien.

Tout ça n'empeche pas que le billant legislatif du premier empire était pas trop
mal (#codecivil)

le premier empire a sombré militairement en 1814 (periode d'exaltation du


militarisme). En 1814, napoléon abdique, on lui donne l'île d'elbe sur laquel on
l'exile. En 1815 il tente sont come back : c'est la période des 100 jours de
mars a juin 1815 (waterloo). Pendant cette periode l'empereur donne l'impression
qu'il a été converti aux thèses libérale et il demande au plus grand auteur
libérale, benjamin constand de rédiger une nouvelle constitution : l »acte
aditionel au constitution de l'empire » et si il avait été appliqué, on aurait
pris la direction d'une monarchie libérale

B) le second empire (1852 - 1870)

après la révolution du début de l'année 1848 va être élaboré par une assemblée
constituante va élaborer la constitution du 4 novembre 1848, constitution de la
seconde république. Cette constitution est le seul véritable régime présidentiel
qui ait été instalé en france. Les constitution de 1791 et 95 appliquent elles
aussi la séparations stricte des pouvoirs mais ce ne sont pas des régimes
présidentiels a proprement parler.

Mais cette 2ème république fonctionne très mal, en raison de la faiblesse


intrinsèque du régime présidentiel : le risque d'affrontement entre le président
et le parlement. La raison de l'écheque de la constitution de 1848 tient aussi
des circonstances politique de l'époque pas géniale

elle confiait le pawa executif au président et le legislatif a une assemblée


sans possibilité que l'un reverse l'autre ou que le second disolve le premier et
vice versa et inversement contraire.

Ces deux pouvoirs étaient élu au suffrage universel direct.

Il se trouve que c'est louis napoléon bonapart qui a été élu président de la
république, neuveux de napoléon premier

cette éléction est la conséquence du choix de faire élire le président au


suffrage universelle direct. Mais cette question avait été vivement débatue au
sein de l'assemblée constituante, notament par un certain jules grevy, qui
s'opposait a ce type d'éléction, parce qu'il redoutait l'éléction d'un membre
d'une famille ayant régné sur la france.
Mais alphonse de lamartine, le poète a convaincu l'assemblée de choisir le
suffrage universel direct. Il est probable qu'il convoitait le siège de
président.

Du coup le président ne voulais que rétablir l'empire, tandis qu'au parlement y


avait une majorité de monarchiste, bien bien bien.

Le nouveau président a très bien manoeuvré, tirant parti de la volonté de


l'assemblée de restreindre le suffrage universel afin de soumettre ce droit a un
droit de résidence, retirant le droit de vote aux ouvrié et agriculteur

il fait un coup d'état le 2 décembre 1851, prétenduement pour défendre le


suffrage universel que l'assemblée menace.

Mais dès 1852, l'empire est réstauré, et les institutions du second empire sont
calqués sur celles du premier, légitimant ainsi le second empire.

Mais les moyens de conserver le pouvoir on changé par rapport au consulat : plus
de système de liste de confiance, sous le second empire on pratique le système
de « candidature officielles » : la candidature aux éléction est libre, mais
parmis les candidat ya un candidat officiel, soutenu par l'empereur et l'état,
bénéficiant de tout les soutient de l'état, alors que les autres candidats
pouvait avoir des « problèmes » de la censure ou des menaces.

Ce système a bien fonctionné, l'empereur a toujours eu un soutient fidèle sur le


plan parlementaire.

Il reccours aussi aux plébicites.

Au cours du second empire (18 ans) il y a une évolution de l'ambiance


politique : durant la première période, le régime est très autoritaires,
l'empereur est très contrarié si quelques députés républicain sont élus, et a
partir de 1860, ya une libéralisation

jusqu'en 1870, le contexte est bien plus pascifique, et louis napoléon bonapart
a touours manifesté sont intérêt pour les questions sociale, ayant écrit un
bouquin appellé « de l'extinction du paupérisme (pauvreté) »
il accepte certaine forme de droit syndicale, droit de coalition de salarié,
il accepte qu'une délégation de français aille a la réunion des employé de
l'europe a londre.

Il se rend compte que l'opposition au parlement n'a pas que des défaut : ça rend
le truc plus appaisé, et l'opposant peut bien parler il est content, personne
l'écoute

mais l'armée est battue a sedan dans les ardenne en 1870 : chute du second
empire, proclamation de la 3ème république

section 2) la marche vers le régime parlementariste

A) la restauration (1814 – 1830)

après la défaite millitaire de napoléon 1 a waterloo, le frère de louis 16


revient en france, il prend le nom de louis 18 (parce que louis 17 était le fils
de louis 16, mort a ses deux ans)

le roi louis 18 écarte un projet de constitution proposé par le sénat impérial,


et il choisit l'octroit d'une charte : en théorie il aurait pu revendiquer la
continuation de l'ancien régime de la monarchie absolue, mais en pratique il
sait que c'est plus possible, donc il dit « je vous octroit, cher peuple, une
charte / constitution »

cette charte va confirmer la monarchie constitutionnelle, s'inspirant du modèle


britanique mais sans en adpter les solution, permet une évolution vers le régime
parlementaire mais n'en étant pas encore un

l'octroit ne comprend donc pas de pouvoir constituant dérivé en dehors de celui


du roi.

Le pouvoir executif est attribué au roi, nomant et révoquant les ministres,


formant ensemble le cabinet (comme au RU) et est placé sous l'autorité d'un
ministre principal.

Un parlement bi camérale se charge du pawa legislatif : l'une est une assemblée


aristocratique (chambre des pairs) qui correspond a la chambre des lords
britaniques, et la chambre des députés, qui correspond a la chambre commune,
mais pas élus au suffrage universel direct : suffrage censitaire

un peu comme dans le régime britanique ou le roi participait a l'adoption des


lois en donnant sa sanction, sauf que le roi louis 18 va s'attribuer un pouvoir
très important dans le legislatif : ya que lui qui a le pouvoir d'initiative
legislative : les assemblée vote pour ou non, mais le projet de loi est controlé
par le roi.

L'évolution vers le régime parlementaire se manifeste dans la vie politique,


même si cette évolution prend appui sur certain mécanisme prévu par la charte :
en effet, le roi louis 18 avait cru hab ile de prendre comme principale ministre
un libérale : decazes, qui apparaissait inadapté a la majorité du parlement,
conservatrice :
ça a allimenté le débat sur le point de savoir si l'orizentation politique du
cabinet doit dépendre de la majorité du parlementa
c'était la thèse de château brillant dans sont bouquin ou il veut un gvnt formé
a partir de la majorité du parlement.

Le gvnt était en effet décalé avec le parlement qui apparaissait comme plus
royaliste que le roi.

Ça a provoqué la chute du gvnt libérale, après l'assassina du duc de berry,


l'héritier du trone. Châteaubrillant revendiquait une lecture parlementaire de
la charte parce que c'était un ultra

la responsabilité pénale des ministre est encourru devant les chambre, ece qui
amène a la responsabilité politique, donc libéralisation

l'adresse : pendant la restauration, y a un discours du trône chaque année, et


les parlementaire répondent au discours du trône, et ça c'est l'adresse (ils
adressent un réponse) et ça a conduit a une sorte de résponsabilité politique
des ministres car l'adresse est composé de façon suivante :

1) on remercie le roi qui est fantastique


2) critiques argumenté et lourde sur les ministres

ça forme des grief politique contre les ministres

le roi louis 18 meurt en 1824 et lui a succédé le dernier des frère : le roi
charle 10 qui règne de 1824 a 1830, qui était très conservateur bien plus que
louis 18, il forme donc des gvnt avec cette tendance ultra, sans
chateaubrillant, ya une volonté de faire revivre l'ancien régime comme avec le
sacre du roi a reins remi d'actualité, ce qui provoque la révolution de 1830.

les ministre pousent le roi a faire des ordonnances qui disolve la chambre, qui
censure la presse donc paf, la révolution des trois jours, vidoq

B) la monarchie de juillet (1830 – 1848)

on retient la solution du pacte entre les parlementaires et un cousin du roi


charle 10 : louis philipe d'orléan.

Le pacte permet de conserver la monarchie constitutionel, et on reprend plein de


truc de la charte de 1814 dans la nouvelle charte de 1830

on reste en suffrage censitaire, meme si on baisse le prix du vote, on met en


extinction la chambre des pairs, et on peut estimer qu'on a un vrai régime
parlementaire, mais ça n'est pas le régime connu aujourd'hui, il est pas
monoiste, la il est dualiste : le monarque continue de jouer un rôle important
car le gvnt est responsable politiquement devant le parlement, mais aussi devant
le monarque

le régime de la monarchie de juillet a fonctionné en deux phases : durant la


première periode jusqu'en 1840, l'instabilité gouvernementale est forte, plein
de chef du gouv se succede.

Mais le régime est pas appaisé

seconde phase : 1840 – 48 : une phase stable, avec un seul gvnt dirigé par
guizot, caractérisé par un immobilisme sur le plans institutionnel, n'empéchant
en rien la prospérité économique comme sous le second empire.

Quand on demande a gizot de faire disparaître le suffrage censitaire au profit


de l'universelle il dit 'nan, ta qu'a t'enrichire plus'

ça c'est termminé dans la révolution de 1848

le parlementarisme a la française :
régime parlementaire qui disfonctionne

cette expression s'applique a la 3 ème et 4ème répbliqie : 1870 – 1940

et 1944 et 1958

ces 2 républiques sont assez différente du point de vu juridique et


institutionel, du pt de vu du jeu des forces politiques, différente l'une de
l'autre.
La quatrième république a tenté de pas reproduire els erreur de la 3ème

elle on en commun 2 caractéristiques : d'une part, l'insatbilité gouvernementale


(avec des gouvernements qui se maintienne 6 mois)
c'est la délégation du pouvoir normatif du parlement au profit du gouvernement

article 34 de la constitution de la 5ème : rétréci le champs d'action du


parlement.

La constitution de 58 n'est pas un régime constitué dans la sereinité mais en


réaction très forte par rapport a la 3ème et la 4ème république.

La 3ème république

c'est le régime le plus durable qu'ait connu la france.


Mais c'était apparament a ussi le plus fragile, avec des lois
constitutionnelle faibles et une procédure de révision super faible

la mise en place difficile de la 3èmz :


en 1870, le second empire semblait super solide, napoléon 3 avait une grande
popularité.

Il va sombrer du fait de la guerre franco-prussienne perdu notament a la


bataille de sedan, en 1870

a la suite de cette bataille, la république est proclamé a l'hotel de ville de


paris le 4 septembre 1870.

sauf qu'on est pas serain : la guerre n'est pas terminé, et les républicain sont
favorables a la poursuite de la guerre

finalement les répulicain seront contrain de signer un armistice, et on cède


l'alsace et la lorraine, les quiches lol

ce n'est qu'ne février 1871 que va être élue une assemblée constituante, dont la
mission première va être de rédiger une nouvelle constitution républicaine.

Mais il se produit la même chose qu'en 1848 : la république était alors menacé
par une majorité monarchiste a l'assemblé et le président bonapart voulait le
retour de l'empire

et ben la, les monarchistes sont majoritaires au sein de l'assemblée


constituante, s'expliquant parce que les républicain avaient été favorables a la
poursuite de la guerre, et que les soldat c'était des paysan pas chaud pour la
guerre, donc ils votaient pas pour les républicain : ils votaient pour les
monarchistes.

Mais la restoration monarchique n'est pas non plus possible parce que les
monarchistes sont divisé en 2 camps : les légitimistes et les orléanistes

les orléaniste sont prêt a des concession dans la mesure ou les legitimiste n'on
pas d'heritier : dans la mesure ou la restoration monarchique n'est pas possible
parce que le prétendant legitimiste est trop extrême, ne veut faire aucune
conssession, et fini par refuser ce trone ou il fait pas ce qu'il veut.

Du coup on fait qu'un seul truc, on attend sa mort.

La rédaction de la nouvelle constitution va aussi lentement que possible, car on


perd expres du temps pour que le mec meurt
la commission qui rédige la constitution est appelé de pénélope

il faut des institution provisoire en attendant : l'assemblée comble ce rôle,


créant 2 trois lois
notament de 1871 a 1873, adolphe tiers est le chef de l'executif face a
l'assemblée, avec le titre de président de la république (au sens latin : res
publica, chose publique).

Cette situation d'attente se prolonge trop longtemps, l'incertitude est mauvaise


pour l'éco, les milieu d'affaires sont mécontent d el asituation
thiers se déclare favorable a une vrai république conservatrice, et y a une
majorité pour le virer et le remplacer par le maréshalle mac mahon

si le prétendant légitimiste finit par mourir, le maréshall démissionera et on


recréra la monarchie.

En attendant on crée un mandat présidentiel de 7 ans

l'initiative de passer du septena au quinquénat vient de pompidou le président


en 73, donc le jour des 100 ans de la loi du septenat, même si la réforme n'a pu
être adopté que en 2000

le prétendant légitimiste survivra a ces 7 ans


la majorité a fini par basculer lors de l'amendement wallon du 30 janvier 1875.
par cette amendement est adopté le principe d'une république

« en somme la république est ce qui nous divise le moins » adolphe thiers

a partir de ce moment, la coission constitutionnel (pénélope) va accélérer sont


travail et rédiger les lois constitutionnelle de 1875, sans parvenir a une
véritable constitution, probablement, il y avait encore un régime provisoire, il
falait pas rédiger une constitution qui se disait éternelle ça devait pouvoir
changer

les institutions de la république posé sur 3 lois constitutionnelle :


une loi du 24 février relative au sénat

le 25 février, une loi relative a l'organisation des pawa publique

le 16 juillet 1875 une loi sur les rapports du pouvoir publiques


tout ça l'année 1875

ces lois étaient très lacunaires, ne prétendait pas aborder toutes les question
d'ordre constitutionnelle, et c'était pas indispendsable puisque la procédure de
révision prévu par ces loi était facile a mettre en œuvre comparé a ajd

l'institution la plus importante de la 3ème république : le président du


conseil, le chef du gouvernement.
Ben y a pas un mot sur lui dans la constitutionnalité
le mandat de mac mahon continu

le président est élu par les 2 assemblée réunie sous le nom de congré

le chef de l'état est apparament titulaire du pawa executif.


Mais ce qui va limiter radicalement l'exercice de ce pouvoir c'est que les actes
du président du conseil sont soumis au contre sein ministériel.

En face du chef de l'état et ministe il y a 2 assemblé : les député élu au


suffrage universelle directe et le senat élu au suffrage universelle indirecte ;
principalement par les représentant des communes, les ministres sont
politiquement responsable devant le parlement, il était qadmis que les ministres
étaient responsable devant les député et le sénat.

Le sénat n'a pas abusé de son droit de renversé le gouvernement, mais il a joué
un rôle important dans plusieurs évènement, notament le renversement de léon
bourgeou en 1895 et par le renversement du gouvernement populaire en 1937 – 38

de son coté le chef de l'état peut dissoudre la chambre des députés, mais il
faut pour ça que le président de la république obtienne l'accord du sénat

a priori on a avec ces institution un véritable régime parlementaire, dualisme


de l'executif (chef d'état et ministre) et responsabilité politique du
gouvernement et la possibilité pour le président de dissoudre une des assemblées

masi vu que les lois constitutionelle sont super restreinte, on sait pas si le
régime mis en place pourra être un régime parlementaire dualiste (comme la
monarchie de juillet de 1830 – 48) ou moniste a la britanique, avec une seule
responsabilité du gouvernement devant le parlement.

Au début lors de la mise en plce du régime, on est plus comme le dualisme mais
au finale ça a été moniste.

Mais on a pas encore un état de droit, mais y a un progrès

par voit de conséquence, en dehors du parlement


c'est le conseil d'état qui va jouer le rôle de protection des droit des citoyen
en annulant des actes administratifs qui porterai atteinte a ces droits

le régime perlementaire moniste, ou la crise du 16 mai 1877

la situa tion politique après la promulgation des lois constitutionelle était


compliqué parce qu'il y avait d'un coté un président monarchique, et en face une
majorité républicaine dans les assemblées

le chef du gouv était jule simon, et correspondait bien au souhait de la


majorité républicaine des député, mais ça a crée un antagonisme a l'égard du
chef de l'état, provoquant une crise

le chef du gouvernement a choisi de provoquer la crise en démissionant, pour but


de clarifier la situation et de faire apparaître le caractère moniste du régime
parlementaire mis en place, qu'il n'y ait plus de doute sur le fait que le
gouvernement devait être constitué selon les choix de la majorité parlementaire,
et que ce gouvernement ne doit plus être responsable devant le chef de l'état.

Le président de la république a répliqué en disolvant la chambre des député


(avec l'accord du sénat)

la campagne d'éléction c'est donc ouverte sur un afrontement monarchiste VS


républicaine

on a une caricature du maréshall a cheval avec un commentaire : « le cheval a


l'air intéligent »

en définitive ce sont les républicain qui l'on emporté, mais sont revenu moins
noubreux qu'ils étaient partis.

Au cour de la campagne électorale, léon gambétat avait prononcé une phrase


importante : « le président de la république devra se soumettre ou se démettre /
se faire mettre)

le chef de l'état devait accepter la victoire des républicain ou se casser.

Mac mahon a fait les 2 : il a accepté


il a fait un gouv dirigé par jule dufore

en 1879, mahon démissione

sous la 5ème république, françoit mitérand utilisait cette fameuse phrase, mais
pas les fois ou il a été élu président.

Devenu président de la république a son tour il se confronte au même problème,


et se confronte a 2 periode de cohabitation : entre 1986 et 88 le gouv chirac,
et entre 93 et 95 le gouvernement …

en acceptant la majorité républicaine (extremement modéré)

c'est le régime parlementaire moniste qui s'établi, qui ne sera plus remis en
cause. Mais en 1879, le générale mac mahon finit par démissioner.

Les républicain étaient devenu clairement majoritaires au sénat, et ça rendait


impossible une nouvelle dissolution de la chambre de député (puisqu'elle aussi
était républicaine)
donc mac mahon a démissioné

donc on a élu un nouveau président : jule grevy en 1879


il avait pris position en 1848 contre l'éléction de président de la république
au sufrage universel direct (en disant y a un risque d'élir un royaliste)

sito élu, le président grevy a délivré une doctrine sur ce qu'allait être sa
présidence, sur la façon dont il concevait la mission du président de la
république : c'est ce qu'on appelle la constitution grevy (ça n'est pas un
texte, c'est l'interpretation de grevy de ce que devait être un présidente

il s'est engagé a ne jamais entrer en conflit avec la majorité parlementaire et


c'est donc déclaré clairement en faveur d'une conception moniste d'un régime
parlementaire : le chef de l'état a la dedans une fonction principalement
symbolique : il ne joue pas de rôle politique majeur : il doit respecter la
majorité parlementaire sortie des éléctions

il a pas entièrement respecté son engagement : en effet, il détestait léon


gambétat, estimait qu'il était démagogue, aprenti dictateur,
alors que gambeta était chef de la majorité républicaine, grevy a refusé de le
présenter en tant que chef du conseil

il a été obligé au finale de proposer gambeta a l'investiture,


mais gambeta allait se faire renverser tout seul en quelque mois et grevy a
facilité ça

cette crise est fondamentale pour expliquer la suite de l'histoire et la dérive


de la 3ème puisqu'elle consacre l'effecement politique du chef de l'état, ou on
y élira que des personnalité estimé de second rang

la crise de 1877 provoque la désuétude du droit de dissolution ou il est


définitivement condamné sous la troixième républiques

aujourd'hui y a peu de gens disent que c'est anti démocratique


a priori l'usage du droit de dissolution c'est démocratique

mais sous la « ème république comme le droit de dissolution a été utilisé en


1877 par un président monarchique, on estime que la procédure est anti
démocratique, monarchique, contraire a la majorité parlementaire démocratique
donc si un président fait référence a un droti de dissolution, on le contrain a
démissioner

ça déséquilibre le régime
une seule dissolution interviendra en 1955 sous la 4ème république
dissolution edgard fore
relant d'autoritarisme car le chef du gouv (c'est lui qui a le droit de le
faire) perdra les éléction suivante

les dysfonctionnement de la 3ème république :

instabilité et délégation du pouvoir normatif

l'instabilité gouvernementale se manifeste par un grand nombre de gouvernement


qui se succede durant toute la periode 1870 – 1940 a un rythme soutenu d'un
gouvernement tout les 6 mois, et les décomptes montrent 130 gouvernment
différent sur cette periode

cette instabilité gouvernementale n'empêche pas une assez grande stabilité du


personnel politique.

Par exple, aristide brillant a été 11 fois président du conseil


mais comme il retait environ 6 mois a chaque fois…

certaine personnalité arrivent parfois a résister a cette instabilité : le gouv


valdec rousseau (1899 – 1902)

clémenceau a dirigé 2 grand gouvernement entre 1906 - 1909


cette instabilité entre les 2 guerres mondiales un tournure particulière et
systématique : souvent les éléction se font selon un clivage droite-gauche assez
nette.

Mais quand c'est la gauche qui remporte les éléctions, comme en 1924 avec le
cartel des gauches, la majoritée issue de ces éléctions ne se maintient pas
durrant toute la legislature, elle se désagrège.
En fin de legislature c'est des gouvernement de droite qui gouverne : le cartel
de gauche remplacé par le gouv pointcarré

pareil pour le front populaire remplacé par le gouv de droite de paule réneau

cause de l'instabilité : elle sont diverse :

d'abord, oubli pas que les circonstance rencontré par les différent gouvernement
peuv ent ^tre des causes d'instabilité. On peut dire que la troixième république
a pas été épargné

y a eu de grandes affaires, comme l'affaire dreyfus, qui divise le pays et la


classe politique, y a eu la première guerre mondiale
y a eu les débat, les polémiques, les clivages sur la question du colonialisme,
jule ferry était un promoteur du colonialisme

après la première guerre mondiale : la crise de 1929 tout ça

y a aussi une autre cause politique qui est l'apparition de nouvelles idéologies
qui créent des déplacements : gambéta était le eader de la gauche républicaine.
Il szra débordé par le dévellopement du parti radical.

On assiste a un dévellopement de nouvelle idéologie vers la gauche ce qui a des


conséquence et provoque des changements de gouvernements

les partis politiques durant la 3ème république ne sont pas très structuré, ni
dicipliné ce qui provoque des instabilité

y a aussi des cause institutionelle : la double responsabilité du gouv devant la


chambre du senat et des députés

après 1945 on arrete la responsabilité devant le sénat, comme ça le président


fera pas l'équilibriste entre les 2 assemblées

en plus : la compatibilité entre fonction parlementaire et ministérielle cequi


est habituel en régime parlementaire. Un parlementaire qui devient ministre
reste parlementaire.

Par voie de conséquence, ça pousse a l'instabilité gouvernementale. Chaque


parlementaire ayant suposément l'envie de devenir ministe, il a plutot intérêt a
renverser le gouv en place pour espérer participer au gouvernement suivant.

Il sait bien qu'il ne restera pas ministre longtemps, mais il prend pas de
risque : il reste parlementaires

la cause institutionnelle la plus forte est l'absence du doit de dissollution :


ça déséquilibre le régime. ce qui est sensé équilibrer un régime parlementaire
c'est que le droit de dissolution a une contreparti : la responsabilité du
gouvernment devant le parlement si il disparaît y a pas de limite a la mise en
jeux de la responsabilité du gouvenrment

autre cause : la constitution étant très brève, elle ne décrit pas avec
précision les procédures qui permettent de former un gouvernment avec la
confiance des assemblées, et elle ne précise pas non plus les procédure
permettant la démision de ce gouvernement.

On peut dire que le régime parlementaire n'est pas encore rationalisé


le constituant n'a pas prévu tout un ensemble de dispositif technique destiné a
maintenir la stabilité gouvernementale.

Même si la situation politique est confuse. L'idée de rationalisation du régime


parlementaire apparaît entre les deux guerre et ne débouche en droit politique
que après la seconde guerre mondiale.

Comme les procédures ne sont pas clairement rationalisé, y a des gouvernements


qui tombent par suprise : le président du conseil s'énerve et demande si il a la
confiance des parlementaire dur un ocup de tête et ddonc on lui répond non et il
démissionne

contre argument : durant toute la 3ème république, la loi éléctorale met en


œuvre le scrutin majoritaire.

Normalement l'usage du scrutin majoritaire aurait du favoriser la stabilité


gouvernementale, mais cela ne c'est pas produit. Les causes de dispérssion et
d'instabilité ont été plus fortes que l'effet structurant du scrutin
majoritaire »

la troixèe république peut être décrite comme la période du légicentrisme :


la loi est valorisé dans la tradition de la révolution française : c'est le
parlement qui adopte la loi, c'est les citoyens qui élisent le parlement, la loi
est donc l'expression de la démocratie et c'est ce qui fait que la loi est la
référence principale d'organisation de la vie en en société

les lois constitutionnelle se dostinguent surtout par rapport a leur objet et


beaucoup moin du point de vu de leur procédure d'adoption

ce shema issu de jean jaque rousseau et de la révolution peut fonctionner tant


qu'on se trouve dans la phase de l'état libérale : la période historique au
court de laquelle on a pas besoin de beaucoup de lois.

Tant qu'on reste avec cette état libérale, le parlement est une institution, le
parlement est une institutiion qui peu pleinement remplir sa mission : adopter
toute les lois.

Mais avec le dvp de l'interventionisme de l'état dans l'économie, y a un moment


ou ce modèle ne peut plus fonctionner

il faut adopter un très grand nombre de lois alors que le parlement est une
institution relativement peu productive (10 lois par ans en moyenne)

sous la troixième république : comment faire quand on ne peut faire que 1à loi
par ans mais que la société demande des milliers de normes juridiques ?

L'évènement le plus significatif en la matière est la seconde gguerre mondiale.

C'est une guerre entre des armées, mais par rapport a avant, c'est aussi une
guerre entre des économies : lancer un milliard d'obu ça se fait pas comme ça :
de chaque coté les gouvernement mobilisent toutes les forces économiques pour
l'effort de guerre, et pour ça il faut des milliers et des milliers de normes

donc on est obligé d'opérer une distinction entre normes et lois.

Cette mutation a pris diverses formes : le conseil d'état a reconnu au


gouvernement un pouvoir normatif générale pour assurer l'ordre publique, la
police / police administrative

pour l'essentiel, ce dévellopement des normes non legislative v passer par le


parlement tout de même avec la technique dite des décrets lois
cette technique des décret lois c'est la suivante :

la procédure commence par une loi d'habilitation adopté par le parlement, loi
très brève ayant pour objet d'autoriser le gouvernement pour une periode
déterminé a adopter les fameux décret lois qui permettron a ce gouvernement de
résoudre un problème identifié par la loi d'habilitation

ensuite le gouvernement qu a fait bosser ses ministere et service administrative


et reçut l'appuis du conseil d'état, produit les décret loi : temps gagné
extraordianire

et dès que c'est vté par le conseil des ministre c'est appliqué

phase de ratification : le parlement va adopter une loi par laquel il constate


que le gouvernement a respecté le mandat qui lui a été donné, et par laquelle le
parlement valide les décret lois

c'est la solution empirique trouvé au problème de production de loi

cette solution n'est pas interdite par les lois constitutionelles

ça permet d'adopter u grand nombre de ddécret juridique a valeur nationale.


Mais cette technique des décret loi a un défaut : le parlement autorise et
contrôle mais c'est en pratique le gouvernement qui est devenu le legislateur

si le recours au décret loi avait été épisodique, cette procédure aurait été
considéré comme acceptable, mais c'était impossible que ça reste épisodique.

Donc le recour aux décret loi c'est multiplié

puis la machine se dérègle : si le mandat du gouvernement est de plus en plus


vague, si le délai de l'habilitation est de plus en plus longue, si la
ratification n'est plus qu'implicite, et même lorsqu'il n'y a plus de
ratification du tout, la ont perd une perspective essentiel : le parlement
établi plus les règles juridiques principales

les parlementaire de la 3ème république finissante étaient de plus en plus


habitué des lois d'habilitation / de plein pouvoir. C'est ce qui débouche sur la
fin de la 3ème république : le 10 juillet 1940, les parlementaire, si habitué a
déléguer, finit par déléguer a pétain tout jusqu'au pouvoir constituant dérivé

cette pratique désastreuse est contraire au principe selon lequel en droit


publique les compétences s'exercent et se délègue pas.
Ce principe protège l'état libérale.

Au sens stricte la 4ème république c'est de 46 a 58, soit 12 ans

la mise en place de la quatrième république :

le maréshall pétant adopte avec le pouvoir constituant dérivé qui ne formeronst


jamais une vrai constitution

il est vrai que la situation politico millitaire est délicate : le régime de


vichy s'engage dans une politique de collaboration avec l'allemagne nazie, mais
dans la première periode, le régime dispose de quelques moyens : la zone livre
(grosse fraction du territoire).

Le régime de vichy reste le régime reconnu a l'internationale, notament par les


USA
les territoires coloniaux restent fidèle au régime de vichy
il contrôle un importante flotte de guerre.

Ce gouvernement est dirigé par pierre laval, surnomé le taurreau rouge


d'aubervillier, de gauche
instabilité a la tete du gouvenrement d'arlant, qui se trouve assassiné a alger
alors qu'il était vieux
a ce moment, laval revient au pouvoir, les allemend envahissent la zone libre,
la flotte se saborde elle même, et les territoires coloniaux basculent de plus
en plus vers la france libre notament du fait du débarquement américain en
afrique du nord.
La politique de colaboration s'intensifie

en face du régime de vichy, y a la france libre du générale de Gaule, qui


s'instale a londre en juin 40 et qui fait l'appel du 18 juin.

Il y a un conflit de légitimité entre ces deux forces.

Pour le générale de gaule, le régime de vichy est pas légitime, le vote du 10


juillet 40 est nule
et pour mieux établir la légitimité de la france libre, ; degaule doit s'emparer
de territoire relevant de la souveraineté française, car on peut pas se
prétendre un état sans territoire

puis tentative de débarquement fr a dakar


puis grace au débaraquement américain, la france libre pourra s'installer a
alger bien que roosvelt aprécie pas le générale degaule et voulait placer le
générale giraud ala place, mais fail.

Puis en 44, débarquement anglo américain sur le territoire anglo


américain,permettant l'instalation du gouv provisoir a paris en 1944

faudra cependant du temps pour que un nouveau régime politique puisse être
établi pour une raison simple : la guerre est pas temriné avant mai 1945, il
faut donc attendre la libération complete du territoire pour pouvoir envisager a
une phase juridique d'éléction et de rédaction de constitution , et ça commence
pas avant automne 1946

le proc éssus de rédaction de la constitution a débuté en automne 1945.


le général de gaule voulais laisser une chance a la III ème république de
continuer, donc il fait un référundum a 2 question :
tu veut une nouvelle république ? Si oui, l'assemblé constituante devra être
encadré dans la rédaction de la constitution, ou il doit être libre ?

Réponse : oui et oui

mais la première assemblée constituante élu en automne 45 était super a gauche :


partie communiste, et partit socialiste a la tête, et parti de centre gauche
juste dérierre

elle a donc créée un texte d'inspiration rousseauiste, dans la tradition de la


souveraineté populaire : le débat se trouvait surtout sur la question :
parlement monocamérale ou bi camérale ?

Mais le référendum sur la qualité de la constitution était négatif, le générale


de gaule était contre, tout ça

donc on a recommencé dans des conditions déplorable : il a fallut élir une


nouvelle assemblé constituante qui a travaillé du printemps a lautomne 46 :
le parti majoritaire dans l'assemblée était le partit centriste

le texte de cette seconde assemblé prévoi le bicamérisme, a l'inverse de la


première assemblée.

Second référendum sur la constitution : faiblement positif, sans enthousiasme,


juste par flemme de refaire une 3ème constitution
les institutions de la quatrième république :

la 4ème république est discrédité parce que son fonctionnement s'approchait trop
de celui de la IIIème.
Les constituant de 1946 avaient bien conscience du caractère inadapté de la
IIIème république, donc ils ont tenté, tout en maintenant le choix du régime
parlementaire, de mettre en place des solution empêchant les dérives de la
IIIème républiques

la constitution est une véritable constitution, a l'inverse des 3 lois lacunaire


de la IIIème république de 1875
en plus y a un gros préambule qui renvoit a la DDHC de 1789 et ou il ajoute des
principes plus particulièrements nécéssaire a notre temps, pour moderniser,
actualiser le texte

en plus on remarque que les institutions prévu par cette constitution sont
organisé pour assurer la rationalisation du régime parlementaire,

d'abord, le président de la république ne joue quasi plus de rôle dans l'esprit


du texte : il a en droit les pawa que la pratique laissait au président de la
IIIème république.

Il s'agit d'empecher toute crises comparable a celle de 1877

le président pourra désigner la personne qui sera président du conseil sous la


IIIème république,

ce truc a été repris dans la quatrième

le président du conseil n'apparaissait pas dans les lois de 1875 : c'est


dfférent en 1946 : on va mettre aussi en place un mécanisme rationelle pour
assurer le pouvoir du président du conseil.
La personnalité désigné devra se présenter devant l'assemblée nationale qui lui
manifestera sa confience : du coup le président du conseil est le seul qui ait
la confience de l'assemblé, et ce vote de confience a lieu avant la désignation
du conseil des ministre : du coup, aucun ministre ne peut aisément contredire le
chef du GVNT car celui ci c'est le président du conseil, qui a la confience des
assemblées

sous la 4ème république, le gvnt n'est pas politiquement responsable devant le


sénat (alors appellé conseil de la république) mais juste devant l'assemblée
nationales

question du droit de dissolution : en pratique après 1877 la dissolution est


politiquement impossible car considéré anti démocratique, ce qui avait
déséuilibré le fonctionement du régime.

Donc en 46 on prévoit que le gvnt ne pourra être renvoyé politiquement qu'a la


majorité absolue de l'assemblée nationale, et que si 2 renversement ont lieu a
cette majorité dans un délais de 18 mois, alors une dissolution sera possible
(éviter que les parlementaire ne fasse que renverser tout les gvnt)

processus pour ré abiliter le droit de dissolution, utilisable quand le


disfonctionnement est évident (2 renversemment en un laps de temps cour) et le
droti de dissolution est dans les mains du président du conseil et zquilibre les
pawa

on regrette que cette compatibilité entre les fonction gouvernementale et


ministérielle soit conserver comme sous la IIIème république, même si la
compatibilité est une caractéristique habituel des régimes parlementaires
la pratique institutionelle et politique de la Ivème république :

en gros la quatrième république va connaître les mêmes problèmes que la


troixième république.

A : l'instabilité gouvernementale

il est dificile de compter les gvnt, puisqu'il y en avait plein, mais en gros
c'est le même rythme que sous la IIIèmes : 1 changement tout les six mois

certains gvnt n'ont duré que 10 jours : 1950 : edgare fore

certains gvnt durent quand même plusieurs mois : c'est le cas du gvnt de josephe
laniel « pour durer, il faut ne rien faire »

en 52, y le gvnt de antoine pinay (droite conservatrice) , ou le gvnt de pierre


mades-france, qui dure presque 1 ans en 54, un parti radical de gauche

gvnt de guy molay, le chef du parti socialiste, la SFIO a duré un peu de temps

il y a eu 3 phases politique :

1) la phase du tripartisme qui commence lors de l'éléction de la première


assemblée constituante, et qui va jusqu’à mai 1947 : il y a 3 partis dominant
allié et participent au gvnt : les communistes, les socialistes et les MRP
(gauche – centre)
ça se termine par une crise grave en mai 47, dans un contexte internationale
lourd, avc des graines insurectionelle soutenu par le parti communiste et avec
des répréssion extrêmement dure par la police : a la fin les communistes sont
éjectés du gvnt

l'ordre est maintenu par jule moche

phase de la 3ème force de 47 a 52 : les communiste sont relégué dans


l'opposition, et il se trouve quen 47, le générale de gaule qui avait quité le
gvnt en 46 en pensant qu'on le rapellerais vite, mais fail, crée le
rassemblement du peupl français, le RPF, qui a un programme claire : en finir
avec la quatrième république donc 2 opposition, d'un coté le parti communiste,
et de l'autre le RPF

tout les partis intermédiaires constituent ensemble la 3ème force : ils ont une
majorité large a l'assemblé mais osnt très divisé entre eux, ya de la rivalité,
ce qui provoque de l'instabilité.
C'est le modèle du gvnt centriste (comme macron)

3ème phase : 1952 a 1958 : en 52, le président de la république, vincent auriol,


socialiste, désigne comme futur président du conseil antoine pinay (droite
conservatrice) probablement en pensant qu'il échourait, et qu'après, le
président pourrait proposer qqun qui lui convienne mieux sans que ça passe pour
du partisanisme

mais épic fail, pinay a eu la majorité a l'assemblé nationale avec les vote des
gauliste.

Il a une majorité potentiellement plus large car il a un appui de la part des


gauliste, mais l'instabilité règne

sous la 4ème république on déplore que les sujet abordé par la majorité étaient
différente :
pour chaque question, c'est une majorité différente a chaque question : pour
faire voter une loi travail il y avait une majorité de droit, un texte sur
l'école, majorité de gauche, c'est pas gérable pour le GVNT

le personnel politique sous la quatrième république était largement responsable


de l'instabilité : les régles de rationalisation on été contourné :

dès le début, dès le gvnt ramadier en 47 on a pas respecté la règle de


l'investiture accordé au seul président du conseil : ramadier a obtenu sur son
nom la confience
du coup il est revenu avec ses ministre et c'est représenté au vote de confience
après, pour que les ministre aussi aient la confience

donc on contourne la sécurité : c'est le truc de la seconde barierre


on faisait en fait systématiquement 2 vote de confience a chaque gvnt, ça
affaiblissait le leadership du président du conseil.

En plus si 2 gvnt sont renversé a la majorité absolu en 18 mois, y a risque de


dissolution. Du coup, le jeu consistait a pousser les gvnt a démissioner sans
qu'ils soit renverser a la majorité absolue, par exemple en reffusant le budget
du gvnt pour les forcer a démissioner.
Il y avait en plus le calibrage des votes : une concertation entre différent
groupes politiques pour que le nombre des opposant soit plus nombreux que le
nombre des soutient, mais sans atteindre la majorité absolue.

Il y a quand même eu une dissolution : en 54, le gvnt mendes france a été


renversé ala majorité absolu : les député on voulu montrer qu'il supportait plus
le président. Puis il a été remplacé par edgare fore, et a la fin 1955, edgare
fore sera renversé a la majorité absolue : le calibrage a échoué, y a eu de
l'intox, pour permettre une dissolution, le 2 décembre 1955, a l'aniversaire du
coup d'état de napolépon

B la délégation du pouvoir normatif

sur le plan juridique c'est un grave problème : la question de la délégation du


pawa normatifau gvnt

en 46, les constituant on affronté ce problème et inséré dans la constitution


l'article 13 selon lequel l'assemblé nationale vote seule, elle ne peut déléguer
ce droit. Ça semblait avoir résolu le pb. Cependant, on constate que la pratique
de la délégation a été générale sous la quatrième république pour des raisons
structurelles :

il y a eu des lois de pleins pouvoirs, qui sont l'équivalent des loi


d'abilitation qui perméttait les décret loi.
Mais le vocabulaire retenu montre l'étendu de la délégation.

Y aussi eu une finte, une technique : la loi-cadre :


le parlement vote une loi générale, qui n'est qu'un cadre, qu'un principe, c'est
bref. Tout le reste, l'interieur du cadre, est établi par le gvnt par des
décrets réglementaire. C'est la même chose, sauf que y a même plus la
ratification de contrôle du parlement : ils pouvaient que contester de
l'ilégaliter des décret réglementaire la loi cadre devant le conseil d'état.

Mais plus les lois sont floue et large, moins on peut faire sortir des décret
parce qu'il ne respecte pas la loi.

Technique 3 : la délégalisation :


la loi andré-mari du 17 aout 1948, dite loi de délégalisation, qui établi une
liste de matière réputé réglementaire, et dans ce domaine, la compétence
normative est librement exercé par le gvnt.

Le contrôle exercé par le parlement reste possible car il est possible qu'une
nouvelle loi vienne restreindre ou étendre le champs des matières
réglementaires.

En plus certaine loi sont réglementaire par nature.


C'est suspect : quand on sait pas justifier un truc, on dit que c'est machin par
nature.
Plus tard, sous le gvnt pinay, il y aura un projet de loi qui sera pas adopté
(pas le temps) inversant la solution de la loi de 1948, et établissait une liste
des compétences législatives : c'est exactement cette solution qui serai retenu
a l'article 34 de la constitution de la 5ème république : compétence
d'atribution donné au parlement dans certaines matières

la pratique de la délégation a été donc générale, et de façlon symbolique, la


Iième et la quatrième république se sont terminé par la délégation du pouvoir
constituant

sous la 4ème, les disfonctionnement étaient grave, générant de


l'antiparlementarisme, générant du mépris envers eux, mais c'ezst les causes
externes qui on entrainé la disparition de la 4ème

II la cinquième république :

le 13 mai 1958 intervient a algé un coup d'état militaire en faveur du maintient


de l'algérie dans la france (les troubles avait commencé en algérie en novembre
54 et n'avait céssé de s'agraver au court de cette periode)

les gvnt de la 4ème résumait leur position par « l'algérie c'est la france ».
mais cette position n'était pas facielement tenable : c'était pas un fait,
c'était une volonté.

L'assemblée nationale, en 58, s'aprête a donner sa confience a un gvnt libérale,


ouvert a une évolution du statu de l'algérie, dirigée par pierre pflinlin

dans ce contexte intervient la crise du 13 mai : les militaires veulent empecher


la formation du gvnt libérale, enclin a la négociation.

Pour une foi l'assemblé nationale, dans un sursaut, investit le gvnt pflinlin :
a algé y a les militaires, a paris un gvnt libérale : il apparaît alors la
possibilité du reccours au général degaule pour dénouer la crise.

Mais les militaires a algé sont en principe sous le comandement du général


salan, chef de l'insuréction fr

le générale degaul constitue un gvnt, il convainc le générale salan de


démissioner, le président de la république, rené coty, qui avait succédé a
vincent auriol en 1953, intervient et menace de démissioner si l'assemblé
nationale n'investit pas le général de gaule en tant que président du conseil

du coup il est investit en tant que président du conseil le premier juin 1958 :
c'est le dernier chef du gvnt de la 4ème république.

Le 3 juin 1958, le générale de gaule fait voter par l'assemblé 2 texte : une loi
de plein pouvoir pour résoudre le pb algérien, et surtout la loi
constitutionelle du 3 juin 58, qui va déléguer le pouvoir constituant dérivé au
gvnt de de gaule

les parlemetaires de 58 étaient dans une position difficile : on leur demandait


un vote comparable a celui du 10 juillet 40

du coup ils ont tenter de prendre quelques précotion, en donnant au gvnt 5


principes a respecter : le suffrage vient du peuple, séparation des pouvoirs,
tout ça

et ils on fait accompagné le travail de création de la constitution par un


commité de constitutionnel consultatif, dirigé par paule rénau
mais c'était consultatif

enfin, la constitution devait être référendommé


du coup le travail d'élaboration de la constitution a été conduit par le
ministre de la justice michelle debré,

de texte a été rédigé rapidement, et a été présenté au conseil d'état pour avis
par michelle debré

en réalité le régime parlementaire tu l'a jamais vu, et c'est le texte de 58 qui


va vous le donner

le président de la république est la clé de voute du régime (parlementaire)

et un référendum du 28 septembre 58 a été fait, oui a 80 % : les français sont


content de quiter la 4ème, font confiance au générale, ils pensent qu'il va
résoudre le pb algérien, tout ça

le général c'est déplacé de suite en algérie, a calmé les millitaire avec son
discour je vous ait compris aux pieds noir

sauf quen fait nan, c'est lindépendance, fuck les pieds noirs

la constitution est promulgué le 4 octobre 58, sont article 92 qui n'existe


plus, prévoyait que le gvnt pourrait adopter des ordonnances destiné a favoriser
la mise en place des institutions de la nouvel république, sans ratification
parlementaire.

Le ministere de la justice a fait de gros travaux : y a plein de texte qui


datent de fin 58

la nouvelle constitution a été le produit d'une crise aigue, élaboré par un gvnt
et non une assemblé, dans un climat super tendu, avec le soutient du peuple.

Genèse doctrinale de la 5ème république :

le générale de gaule a joué en la matière un rôle essentiel : la constitution de


58 sera pour la france une constitution de réaction par rapport a la 3ème et
4ème république : le générale degaule ne voulait plus du régime des partis
(avant c'était eux qui dirigeant le pays c'était le chaos)

le générale de gaule a donc l'occasion de se placeer dans le sillage de sont


discour de bailleux (en normandie)
en 46, le générale degaule est invité a bailleux pour le second anniversaire du
débarquement, et la il prononce son discour politique, qui proposera a la place
des projet constitutionel de l'assemblée constituante, il propose un nouveau
régime politique dans lequel il y aura un véritable chef de l'état

en 40 il a rencontré le président de la rpublique albert le brun


il a dit dans ses mémoirs « il manqu'ai que 2 truc a albert : qu'il fusse un
chef et qu'il y eut un état »

auprès du générale degaule il ya des colabrateur qui jouent un rôle important


dans l'élaboration de la constitution
michel debré, souvent présenté comme un colaborateur fidèle du général, mais ça
veut pas dire qu'il était toujours d'accord

michel debré souhaitait qu'on choisisent en 58 pour élir les députés le scrutin
majoritaire a 1 tour comme au RU, pour créer mécaniquement un bi partisme et
donc une stabilité gvntale.

Mais le générale degaule devra opérer un arbitrage, et mis le scrutin


majoritaire a 2 tour et on l'inscrira pas dans la constitution.
Mechelle debrey était a l'origine des mécanisme de rationalisation
comme les mcanisme de rationalisation de 46 avaient été détourné et n'avait pas
produit de bons résultats, pour obtenir ces résultats, on va employer des
mécanisme encore plus contraignante.

Donc 49-3

plus tard beaucoup de ces mécanismes seront aténué, notament par sarkozy

et pi y a une autre personnalité méconnue : renné capitant, juriste de droit


privé, et faisait parti de ce qu'on appelait les gaulistes de gauche,
l'électorat gauliste étant a droite a l'origine.
Mais une fraction venait de la gauche, comportant des intellectuels et environ 2
000 000 de citoyens

rené caitant en faisait parti, et il confortera le générale degaule dans le


choix d'un dialogue direct avec les citoyen par dessus les parlementaires,
expliquant les référendum de la 5ème, dont celui du 3 juin 58, a la fois en
matière constitutionelle et legislative, qui prennent la forme de plébicite

cela produira aussi la modification du mode de scrutin pour les présidentiel ;


la réforme de 62 stipule que désormais le président est élu au suffrage
universelle direct

les caractéristiques principales de cette constitution sont la revalorisation du


statut du chef de l'état, la rationalisation du travail parlementaire,
l'établissement de mécanisme de démocratie semi direct, et la création du
conseil constitutionelle (contrôle de constitutionalité des lois)
ces caractéristiques sont toujours d'actualité

il est difficile de qualifier le type de régime pour la période antérieure a 62


c'est un régime parlementaire dualiste, mais en pratique seulement puisque la
responsabilité du gvnt envers le chef de l'état n'a jamais figuré dans la
constitution, et pour la periode post 62, c'est un régime semi présidentiel

les révision constitutionelle au cour de la 5ème


article 89

il y a eu malgré la rigidité technique de la constitution, y a eu plus de 20


révision, ce qui fait qu'en pratique c'est une constitution relativement souple

pas facile des les compter en plus, ces révisions

en plus elles sont très diverses, touche a plein de matière différente, on parle
du chef de l'état, sa légitimité, les modalité d'éléction, avec la révision pour
le suffrage universel de l'éléction du président
en 2000 : passage au quinquénat, et en 2008, la règle des 2 mandat, comme aux
USA

il y a eu des révisions constitutionelles sur les pb de responsabilité pénale ou


politique, notament avec la création de la cour de justice de la république, en
93, la modification de la responsabilité du chef de l'état, en 2007 (sous
chirac), la session unique du parlement en 75 : les parlementaires siègent de
façons unique de octobre a juin

^plusieurs révision concernent la construction européène, notament en prévision


des traité de maastricht et de lisbone

certaines révisions concernene tles statut des territoire, notament en 2003 sur
la décentralisation, et pi l'outre mer #nouvelle calédonie

d'autres révision peuvent être regrouppé en enjeu de société, sur le droit


d'asile, sur la sécurité sociale, sur la parité, sur l'environement, sur la
peine de mort, tout ça

il y a la révision sarkosy dite de « modernisation des institution de la 5ème


république » qui a été importante car affectant le tier des articles de la
constitution (souvent des retouches, parfois des changement plus important, et
surtout l'exeption d'inconstitutionalité)

l'institution qui a le plus changé est le conseil cosntitutionnel : les


modalités de sa saisine, élargie en 74, en 92 et en 2008 (avec l'exeption
d'inconstitutionalité)

le président holande voulais modifier la consitution lui aussi, ayant réuni un


comité dirigé par jospin, qui avait proposé des mesure constitutionelle et
legislative.

Hollande a fait adopter en conseil des ministres 4 projet relatif au conseil


superieur de la magistrature, a la république sociale, au statut juridique du
président et des ministres

incapacité entre fonction ministérielle et executive au sein des collectivité


territoriale, rataché a la disparition des membres de droite du conseil
constitutionelle

aucun de ces 4 textes n'est passé faute de majorité

après les attentats, en décembre 2015, le conseil des ministres a adopté un


autre projet de loi pour constitutionaliser l'état d'urgence (qui n'a rien a
voir avec l'article 16 de la constitution) et la possibilité de déchoir de leur
nationalité fr certains terroristes

en 2016, tentative sur le conseil nationale de magistrature : repartir du texte


adopté par le sénat en 2013, mais on a finit par refuser la procédure en 2016 :
aucun bilan constitutionel sous la présidence qui s'achève

pratique des institutions

la phase gauliste / gaulienne (1958 – 1969/74)


phase d'instalation de la nouvelle république, ou la vie politique st violente,
en lien avec les pb en algérie, il n'y a pas de consensus sur la nouvelle
république, lors de chaque éléction, y a un doute sur la continuation du régime

la période est dominé par la personnalité autoritaire du président de la


république (militaire de l'ancienne école) : il y a un lien avec la tradition
bonapartiste

phase 2 : la phase libérale (1974 – 81)

volonté d'apaisement de la vie politique, d'ouverture politique vers le centre,


le respect des échéances électorales
il ,y a aussi l'apparition du statut de l'opposition (façon de l'insérer dans le
système et l'accepter, el lui donnant des droit) avec la saisine du conseil
constitutionelle a 60 député ou sénateur

phase 3
81 – 2002

alternance et cohabitation

en 81 l'opposition voit son cadidat élu président de la républiques


l'alternance est donc complète en 81
on constate que cette alternance a fait accepté de façon quasi complete la 5ème
république

le concepte de 6ème république est très ancien

mais l'alternance c'est l'instabilité permanante du corps électorales


les électeurs sont jamais content des gens qu'ils élisent

les épisode de cohabition entre 86 et 88, 93-95, 97-2002 rénove la partique


institutionelle, même si il n'y a pas eu d'affrontement directe, mais la
lassitude prend les citoyen : c'est l'inertie, plus personne ne fout rien, y a
pas de bons résultats

a partir de 2002 : phase 4 :


représidentialisation (?)
a partir du quinquénat présidentiel en 2000, le mandat du président et des
députés a la même durée, 5 ans, et le premier ministre jospin modifie le
calandrié éléctorale de façon a placer les élections legislative quelque semaine
après les élection présidentiel : ça change la pratique : y a pls de
cohabitation : les élécteurs sont logique : mieux vaut élir une majorité allant
de paire avec le président.

Donc il semble que la cohabitation est plus possible, c'est favorable au


président, mais tout dépend des circonstances politiques et des personalités

sous sarkozy y avait l'hper présidence : le président voulais s'occuper de tout

le président hollande voulais être un président normal, mais en fait il s'est


fait rect par les sondages

chapitre I : les pouvoirs d'équilibres, les contrepoids parlementaires et


juridictionels

section 1 : le parlement :

A) l'organisation du parlement

le recrutement des assemblées


le parlement français est composé de 2 assemblés : l'assemblé nationale et le
sénat

l'assemblé nationale est composé de 577 députés chifre fixé par l'article 24 de
la constitution. Plusieurs candidats a la présidence veulent le réduir, ce
nombre.

La majorité est placé a 289


élu au suffrage universel direct a 2 tours, celon un bbuletin uninnominale pour
5 ans

l'assemblée nationale est présidé par claude bartolone (scene sant denis)
il y a un problème de découpage des circonscription, si on veut respecter
l'équité de la représentation, faut que les circonscription soit équitable au
niveau de la population et faut pas redécouper pour voler une éléction.

Mais la situation a été améliorer par la révision constitutionnel de 2008 : une


comission indépendante se prononcerais par un avis publique sur le découpage des
ciconscritption. Cette comission est présidé par ive génat, et c'est prononcé en
2009

le nouveau découpage a été validé par le conseil constituionel en 2010

le ministre de l'interieur qui prépar ele découpage sait que son travail va être
saisi par le conseil constitutionel et la comission indépendante.
Et la comission indépendante sait bien qu'elle sera surveillé par le conseil
constitutionel : la situation apparaît équitable.

Mais ça veut pas dire que tout les écart de représentation on été éliminé,
certain on été agravé

jospin avait proposé que 10 % des députés soit élu a la proportionelle. Ça n'a
pas aboutit

en 2008 on a aussi organisé le retour automanitque des ancien ministre au


parlement, ce qui a limité le nombre des éléction legislative partielle qui sont
en générale catastrophique en terme de participation

B) les pouvoirs du parlement

sénat composé de 348 membre, nombre plafoné par la constitution


loi constitutionelle de 1875 : ils sont élu au sufrage universel indirecte
leur mandat est de 6 ans en verrtu d'une loi de 2003, alors qu'avant c'était de
9 ans dans la tradition des thèse de la souveraineté nationale.
Le sénat se renouvelait par tier tout les 3 ans
ajourd'hui il se renouvelle de moitié tout les trois ans

le sénat assure la représentation des collectivité territoriales


actuellement le président du sénat est gérare larcher
depuis le renouvellement de septembre 2014
mais entre 2011 et 2014, la majorité du sénat a basculé a gauche, sous la
présidence de jean pierre belge, sénateur de l'arriege

ce basculement, c'est la première fois sous la cinquième république, et tout le


monde disait « vu la façon dont il est organisé, le sénat de la 5ème république
est forcément a droite, ce qui crée un déséquilibre structurel »

suite aux éléction municipales de 2008 favorable a la gauche de bocou, ça a


paermit le basculement du sénat en ce sens.

Mais après les éléction municipale de 2014, largement favorable a la droite, le


mouvement de balancier c'est fait dans l'autre sens.

Le sénat a toujours été a droite, mais généralement dans l'opposition au


président de la république, sous la présidence de gaule et la présidence
pompidou

le sénat était devenu dans les années 60 l'institution ou s'était replié tout le
personelle politique non goliste de la 5ème république.
Le sénat ne pouvant pas être dissous, c'était pratique.

2 point a distinguer : le corp électorale sénatoriale et le scrutin sénatoriale

corps éléctorale sénatorial :


les sénateurs sont élu par un corps électorale élu de 150 000 personne : les
député, les conseillé généraux, régionaux, des représentants des communes.

Y a d'abord les petites communes, celle de – de 9000 habitant, qui n'envoie


qu'un certain nb de conseillé municipaux, pour participer a l'élection
sénatoriale.

Dans les comunes qui sont les petites ville (entre 9000 et 30000 habitant) tout
le conseil municipale participe a l'éléction sénatoriale

pareil pour les vrai ville mais en plus pour les conseillé municipaux des
grandes villes élisent des délégués suplémentaires.
Cette répartition tient donc compte dans une certaine mesure de la démographie,
mais malgré tout, le système tel qu'il est, a plutot tendance a favoriser les
zones rurales, souvent conservatrices

souvent ce corp électorale sénatorial fait l'objet de critiques, le sénat n'est


pas très légitime du points de vu démocratique, avec le mode de composition du
corps éléctoral retenu.

D'un autre coté on peut pas exiger du sénat qu'il ait le meme système d'éléction
que l'assemblé nationale : si y a 2 assemblé c'est qu'elles ont 2 but distinct :
l'une plus démocratique, l'autre moins mais qui représente plus le maillage
territoriale du pays.

Traditionellement le bi camérisme est justifié par l'existance d'une assemblée a


caractère teritoriale. Dans le cadre d'un état fédérale, ou autre.

Le gvnt socialiste de jospin de 97 a 2002 avait voulu, au nom de la démocratie,


et avec le secret espoire de gagner la gauche au sénat, il avait voulu réformer
la composition du corp électorale sénatorial, faisant adopter une loi par
l'assemblé nationale augmentant le nb de délégué suplémentaire des villes, ce
qui aurait fait probablement basculer la majorité sénatoriale

le conseil constitutionel, le 6 juillet 2000 a censuré cette loi, on peut donc


dire que le conseil constitutionelle a sauvé la majorité de droite, en estimant
que le corps électorale devait estre composé principalement de représentant élu
des collectivités, et que les délégués suplémentaires ne pouvait jouer qu'un
rôle de correctif démographique, mais pas au point de déséquilibrer le système.

L'argumentation du conseil constitutionnel était criticable, il aurait pu


argumenter en sens contraire, mais ça a mis un terme au débat.

La non modification du corps électoral a pas empêché le basculement du sénat


vers la gauche en 2011

question du mode de scrutin :

alors que l'assemblée nationale sous la 5ème république est soumise a un seul
mode de scrutin pour tout ses membres, au sénaat, on a toujours, sous la 5ème
rep utilisé 2 modes de scrutin en fonction de la taille démographique des
départements, puisqu'ils sont élus dans le cadre départementale.

Dans les département les moins peuplé, on utilise le scrutin majoritaire, et


dans les plus peuplé on use du scrutin propostionelle

ça s'explique par le fait que l'usage de la représentation proportionel a pas


trop de sens quand il faut élir que 2 sénateur.

Depuis l'initiative de jospin, il y a eu plein de débat sur lalimite entre


scrutin majoritaire et proportionel.

Avant 2000, le scrutin majoritaire était utilisé dans tout les départements,
élisant au plus 4 sénateurs. Et pis au dessus c'est la proportionel.

Avec la loi jospin de 2000, les sénateurs sont élus au scrutin majoritaire
uniquement dans les départements élisant au plus 2 sénateurs

en 2003, la majorité de droite (gvnt rafarain) on déplacé le curseur en


englobant les départements élisant 3 sénateurs dans le champs du scrutin
majoritaire. Et en 2013, la majorité de gauche est revenu a la solution jospin

pour le moment le débat sur cette question est nul

raison d'être de la seconde chambre ? Lien entre cette raison et la façon dont
elle est élue

depuis la révision de 2008 les français de l'étranger sont représenté a la fois


au sénat et a l'assemblé nationale alors qu'avant il ne l'était qu'au sénat.

2) l'organisation interne des assemblées

la constitution comporte un certain nombre de disposition se ratachant a


l'organisation des assemblées mais certains éléments résultent de lois
organiques prises en aplication des disposition de la constitution.

En réalité, l'essentiel des règles d'organisation et de fonctionnement des


assemblé apparaît dans le règlement de chaque assemblée.

Y a donc un règlement dans chaque assemblé (sénat et assemblé nationale)


et il y a une cohérence maintenu entre la constitution, les loi organiques et le
réglements de chaque assemblé. Du fait que les lois organiques et les reglement
sont soumis obligatoirement au contrôle du conseil constitutionel

le contrôle constitutionelle vaut pour chaque modification des lois organiques


et chaque changement des réglements

le règlement de chaque assemblé est assez volumineux, et en principe dans chaque


groupe politique y a un ou plusieurs spécialistes du reglement.

A) le burreau :
le burreau d'une assemblée parlementaire est l'organe de direction de cette
assemblée

il peut être organisé un peu différente d'une assemblée a l'autre

le bureau est composé du président, d'un certain nombre de vice président, d'élu
nommé des « secrétaires » et des questeurs : au sein d'une assemblée
parlementaire ils sont des élus comme les autres, mais en plus chargé de pb
matériel de l'éssemblée, et chargé de la direction des personels administratifs

il y a aussi des questeurs dans des assemblé non parlementaire.


Les président de chaque l'assemblé et ses vice président président les réunion,
on des fonction de représentation, et pi les président des 2 assemblé sont
consulté obligatoirement par l président de la république avant le dissolution
de l'assemblée nationale ou le recours a l'article 16, mais ce n'est que
consultatif

le président de chaque assemblé peut saisir le conseil constitutionel

le président du sénat préside la république par intérime en cas de décès /


démission du président de la république.

Alain poher président du sénat a partir de 68 a été 2 fois président : en 69 a


la démission de de gaule et en 74 a la mort de pompidou

c'est le meme mec qui en tant que président par intérime a ratifié la CEDH en 74
pour la france

le président de l'assemblée natinale préside le congrès : la réunion de


l'assemblée nationale et du sénat au château de versaille pour réviser la
constitution, ou bien, depuis 2008, pour entendre un message du président de la
république.
B) les commission parlementaires

le comissions parlementaires :
ce sont des comission de legislation, il faut pas les confondre avec les
comission d'enquête et de contrôle qu'on verra plus tard

une assemblé de plusieurs centaines de personne travail difficilement, il est


donc impossible qu'elle fonctionne en formation pleinière en permanance. Il est
donc nécéssaire de former en son sein un certain nombre de comission qui
prépareront le travail en séance publique ou tout les parlementaires sont sencé
siéger. On dit même que le travail en comission c'est l'essentiel, que les
séance publiques sont moin substentiels, c'est un vecteur de communication,
c'est le lieu de posture politicienne. Faut reconnaître que ces critiques,
contre la scénance publique sont quelques fois formulé par des parlementaires
qui n'y participe pas beaucoup.

Ous la 3 et 4ème république, il y avait un grand nombre de comission


parlementaire, on en voit un équivalent au parlement européen, qui permet la
préparation des textes qui seron adopté en scénace publque, ce qui permet un
contrôle voir une mise en tutelle de tel ou tel ministre
on avait estimé que c'étati une des cause de l'instabilité gouvernementale
notament parce que les comissions avaient le droit de modifier les projet de loi
présenté par les ministres, et que quand le texte arrivait en scéance publiqe,
le ministre galérait car il devait défendre un texte qui était plus le siens,
provoquant zizanie et démission.

En 58 les constituant on mis en place un contrôle des comission destiné a lutter


contre l'instabilité gouvernementale : leur nombre a été limité a 6
comme d'hibitude il y avait une comission des affaire étrangères, et une
comission de la défense, les 4 autres était transversalles

ensuite, interdiction de modifier les projet de lois des ministres

la comission adoptait donc des avis sur le projet en question, mais le texte de
la scéance publique était celui du ministre, et il appartenait donc a
l'assemblée de voter ou non pour le texte

après 58, les comissions parlementaire n'on plus joué le rôle destructeur qui
était le leur aupart avant.

Mais au-delà de ça, la discipline des comission a surtout résulté du fait


qu'après 1958, il y a eu toujours ou presque toujours une majorité claire, au
moin a l'assemblé nationale, et que comme les comission sont composé a la
proportionel des groupes, le groupe majoritaire au sein de l'assemblée a
forcément la majorité dans chacune des comission

au bout de quelques déscénie, comme il n'y avait pas d'instabilité


gouvernementale sous la 5ème république, comme on voyait plus le lien entre les
comission et l'instabilité gouvernementale, beaucoup de proposition on été
présenté pour assouplir le régime des comission

la limitation a 6 du nb des comissions était un peu problématique car ça fait


beaucoup de comission qui pose des pb de fonctionement :
ce sont des instances lourdes qui galèrent a bosser

et pi on a été amené a créer une délégation parlementaire aux communautés


européènes dans chacune des assemblée a partir du moment ou on l'avait élu au
suffrage universel direct.

Cette délégation était en fait une comission en surnombre. Ce qui fait que la
révision sarkozy en 2008 a apporté quelques aménagements a l'organisation et au
travail des comission : le nombre des comission dans chaque assemblée passe de 6
a 8, la comission a l'union européène s'ajoutant en plus, apparaissant a
l'article 88 de la constitution.
Élément le plus important : on est revenu a la possibilité pour la comission
saisi d'un projet de loi de modifier ce texte avant la séance publique.
C'est un changement important : ça n'est plus le texte d'origine du conseil des
ministre, il a été modifié par la comission chargé de l'affaire

apparament cela donne plus de pouvoirs a chaque assemblée parlementaire et aux


assemblées face au gvnt.

Mais en réalité ce changement correspond a un changement du mode de


gouvernances

sous la 5ème république, les députés étaient très discipliné a l'égard du gvnt
sous les majorités gauliste ou sociliste.

Il y avait une sorte d'autorité du gvnt a l'époque

donc il y avait une forme de contrainte sur la majorité parlementaire, ya eu


très peu de pb, mais les parlemetnaires subissait cette situation.

Depuis 2008, la relation entre parlementaire et gvnt est plus subtile, la


majorité parlementaire a plus de pouvoir, mais c'est au chef de gvnt de
convaincre, de séduire sa majorité, instaurant un lien de confiance, très net
pendant le gvnt fillion

ça ce voit notament lorsue sarkozy voulait virer fillion en tant que premier
ministre, le parlement l'a pas soutenue

dans l'ensemble on peut dire que après 2008, le fonctionement de la majorité


parlementaire a été plus armonieux, sans qu'il y ait d'instabilité
gouvernementale.

C) les groupes parlementaires :


les parlementaires se regrouppent par affinité politique parce que souvent ils
on été élu en tant que représentant d'un partit politiqyue élu

une fois élu, ils font partis du groupe élu qui lui a accordé l'investiture

les groupes parlementaire sont constitué par au moin 15 député et 10 sénateurs

longtemps le nombre de député minimal a l'assemblé nationale a été de 30 alors


que le nombre totale de député était moins grand qu'aujourd'hui

c'est le règlement de chaque assemblé qui fixe le seuil, et il a été abaissé


pour donner un groupe politique aux forces les plus petites

le nb de groupes politique au sein d'une assemblée laisse entrevoire la façon


dont ce groupe va se comporter : un grand nb de groupe comme sou sla 4ème
république = difficulté, confusio n, tout ça

sous la 57me, y avait 4-5 groupes, ce qui est résonable.

Actuellement il y a 6 groupes : le groupe socialiste qui a la majorité a lui


tout seul, le groupe ump a environ 200 députés, les centristes sont 27, puis ya
le groupe écologiste radicale et un groupe comuniste

très souvent les radicaux sont pas nb et font partis des socialistes

y a aussi des députés se ratachant a un groupe mais veulent manifester une


certaine autonomie notament du point de vu de la liberté de vote, les apparentés

y a aussi les députés qui appartiennent a aucun groupe (les non inscrits

y en a toujours un certains nombre (soit des personnes qui veulent rester


indépentdante, soit des gens qui veulent leurs propres groupes)
la révision constitutionelle de 2008 a apporté un certain nombre d'élément
nouveaux : les groupes parlementaires sont important dans le fonctionement des
assemblés car ces groupes on des facilité du point de vu du travail car ils ont
des locaux, des équipements.
Et pis les groupes parlementaire on des temps de paroles, on le droit a faire
intervenir un orateur dans tout un ensemble de procédures

les règlement des assemblée sont invité par l'article 51-1 de la constitution a
déterminer les droits dont disposent les différents groupes politiques en
distingant le grroupe majoritaire (principale groupe de la majorité), les
groupes minauitaires (apartenant la majorité mais pas parti du groupe
principale) et les groupes d'opposition

dans certaine porcédure on donne des avantages dans les groupes d'opposition

paragraphe 3 : quelques éléments sur les statut des parlementaires :

A) les inégibilités et les incompatibilités :

inégibilité : impossibilité d'être élu ou d'être candidats (genre suite a


certains type de condamnation pénales)
ça peut être territorialement limité : ta pas le droit d'être candidats dans une
circonscription dans lequel t'a exercé des fonction de responsabilité au nom de
l'état : un préfet de département, prend sa retraite, tu ne peut plus etre réélu
dans ce meme département

l'incompatibilité : tu peut être candidat et élu mais si tu est élu tu doit


effectuer un choix entre ce pourquoi t'a été élu et les fonction que tu exerce
déjà : un préfet élu président doit choisir
y a incompatibilité entre fonction ministérielle et le mandat parlementaire : le
parlementaire devenu ministre abandonne son siège de député ou inversement.

Incompatibilité entre mandat parlementaire et fonctionaire pour éviter que le


gvnt t'influence sur toi
pas de compatibilité entre executif et legislatif

dans le débat de l'élection présidentiel on parle de la démission des


fonctionaire avant de se mettre a l'éléction : c'est un pari risqué t'est dans
la merde si au final t'es pas élu

mais ya aussi des incompatibilité entre certaine fonctions

en principe les entreprise fournisseur de l'état peuvent pas être dirigé par des
parlementaires

B) le pb du cumul des mandats

forme particulière d'incompatibilité provoquant un débat en soi :


en effet en france y avait une tradition de cumul des mandats :
on était maire, député, conseillé générale tout en même temps.

Dans d'autre pays ce cumule aété treès réduit et encadré

avec la nuance que dans de beaucoup de pays on interdit le cumul des mandats
électauraux, sauf pour les ministres

ce sont les premiers ministre fabius et jospin qui en 1985 et 2000 on fait voter
des lois restraignat la pratique du cumul des mandat

ces lois onj manifesté un certain progrès mais le président holande a voulu
aller plus loins conformément a sa campagne électorale.
Mais ça a pas été simple:une loi organique du 14 février 2014 est venu interdire
ce qui était jusqu'alors une pratique courante : le cumul des mandat de maire et
député / sénateur.

Cette interdiction est une nouveauté,


malheureusement la loi de 2014 a prévu quelle ne pouvait entrer en vigueur qu'en
2017 (pour pouvoir terminer leur mandat a l'assemblé)
donc pour l'instant le cumul est générale.

Beaucoup pensaient que la loi pourrait changer avec l'élection 2017

les parlementaires bénéficient en raison de la séparation des pouvoirs d'un


statu protecteur de nature a leur permettre d'exercer leurs fonctions en toute
indépendance, et y a 2 règles principales, deux notions :

l'irresponsabilité : un parlementaire est a l'abri de poursuite pénale pour les


opinions ou les votes qu'il émet dans l'exercice de son mandat, mais cette
protection est soumise a l'interpretation de la cour de cassation qui est une
interpretation restrictive

un ancien président de l'assemblé national avait fait l'objet de poursuite en


raison des propos qu'il avait tenu au cour d'une émission télévisé, émission
dans lequel son statut de président de la comission des lois de l'assemblé
nationale avait été rapellé

inviolabilité : impossibilité de poursuivre un parlementaire pour des faits qui


apparament sont sans rapports avec sa fonction parlementaire, mais on considère
que ce sont des poursuite qui se sont engagé pour le discréditer sur le plan
politique.

Ces immunités parlementaires on été importante dans l'histoire pour assurer


l'indépendance du pouvoir legislatif
mais ces immunités sont mal comprises par l'opinion publique qui voudrait que la
loi soit la meme pour tous meme pour les parmementaire, qui ne voit pas le
risque que l'absence de ces immunités feraient courir a la démocracie

on peut considéréer que l'opinion publique a été défavorablement influencé par


le mécanisme de la levé de l'imunité parlementaire :
l'inviolabilité n'a jamais été absolue, il fallait juste que l'assemblée
concerné lève l'imunité parlementaire pour que les poursuites puissent se
déployer

selon l'expression utilisé par philipe sega, président de …. il y avait dans


cettte procédure de la levé de l'imunité une présomption de culpabilité

en réalité la pratique a montré que les majorité parlementaire lèvent


effectivement l'imunité

ce dispositif a été modifié en 95 : la mise en examen d'un parlementaire peut se


faire sans autorisation préalable de son assemblée

en revanche, les mesures privatives de liberté doivent être autorisé par le


burreau de l'assemblée.

Il est resté de l'ancienne tradition que pendant la durée de la session


parlementaire l'assemblée du parlementaire concerner peut lever les poursuites
pour que l'accusé puisse siéger normalement

mais ça si s'applique pas en cas de délit flagrant ou en cas de condamnation.

Le statu actuel en france apparaît équilibré, , un statut légèrement protecteur


pour les membres des assemblé mais en principe ça fait jamais obstacle a la
justice
les pouvoirs du parlements

sous la 5ème l'article 24 de la constitution a été reformulé en 2008 : le


parlement vote la loi, ocntrole l'action du gvnt, évalue les politiques
publiques. Cette mission d'évaluation des politiques publiques est un élément
intéréssant mis en évidence par la révision constitutionennelle de 2008 : il
s'agit pas forcément d'adopter toujours plus de loi, il s'agit aussi d'établir
un bilan des lois en vigueurs, d'évaluer la dépense publique.

Pouvoir legislatif : pouvoir de voter la loi :

A) le domaine de la loi

sous la 3 et 4ème république le parlement adoptait la loi, il pouvait en adopter


dans n'importe quel domaine ou matière, mais avec le dévellopement des idée
interventionistes, il y avait de plus en plus de loi a adopter, le parlement ne
pouvait pas faire face a ces exigences : il était obligé de déléguer son pouvoir
normatif au moin en parti au gvnt par des technique diverse que tu connaît déjà
dont la conformaité a la constitution étaient plus ou moin douteuse

en 1958 la constitution met le problème a plat, le constituant prend acte du


fait que le parlement ne peut pas adopter toute les règles juridiques nécéssaire
a la société, donc la constitution va opérer une répartition du champs normatif,
entre le parlement et le gvnt.
Cette répartition ressemble a celui mis en œuvre dans le cadre de l'état
fédéral, la répartition entre le pouvoir normatif de l'état fédéral et celui de
chaque état fédéré

c'est l'objet de l'article 34 de la constitution.

Avant 1958, le critère de la loi était uniquement formel et procédural, la loi


était un acte adopté par le parlement selon une procédure déteminé. A partir de
1958 et de l'article 34, on donne une nouvelle définition de la loi : la loi est
toujours prise par une procédure déterminé, mais en plus la loi est adopté dans
le cadre de certaine matière : le parlement a reçut en 58 un champs de
compétence limité

le parlement a partir de 58 n'a plus qu'une compétence normative d'atribution


la compétence normative générale est donné au gvnt qui va l'exercer par
l'adoption de règlement
cette réforme est bien sur un élément essentiel de la contrainte exercé sur le
parlement

aujourd'hui, l'opinion est plus mesuré a l'égard de la porté de cette réforme


car le parlement continu d'intervenir dans les matières principales, que la
compétence d'atribution est large, et que le conseil constitutionelle a donné
une interprétation également large de cette compétence parlementaire, ce qui
fait qu'on a en 1958 clarifié les choses

l'article 34 comence par une liste de matière dans lesquelles le parlement fixe
les règles : ça correspond a un champs de compétence exclusif du parlement
les droit civique et les garentie fondamentale comme la nationalité, ou la
détermination des crimes, délits et peines applicable, tout ce qui concerne
l'impot (le taux et l'assiette), les nationalisation d'entreprise, le transfert
du publique vers le privé, le régime électorale des assemblée

la loi détermine les principes fondamentaux comme la défense nationale, la libre


administration des collectivité territoriales, de l'enseignement, de la
préservation de l'environement, du droit du travail et du droit syndical.
Donc tout ce second paragraphe, c'est le parlement et le gvnt qui décident
conjointement

article 37 : les matières autres que celle qui sont du domaine de la loi on un
caractère réglementaire : tout le reste qu'est pas dans les 2 premier
paragraphe, c'est le gvnt qui décide

c'est ce qu'on a appelé le règlement autonome, reglement pas inféaudé a la loi

en pratique, meme si cette consécration du pouvoir réglementaire autonome a été


spectaculaire et a créé plein de polémique, en pratique ce champs du pouvoir
réglementaire autonome est quand même restrein

intervention du conseil consritutionel :

le conseil constitutionel a été créé en 1958 principalement comme un outil de


contrainte sur le parlment
ça enctre dans le cadre de la rationalisation du régime parlementaires
l'article 34 a délimité le champs d'ou ne pouvait plus sortir le parlement, et
pour vérifier que le parleme,t respecte la limitation de l'article 34 on a créé
le conseil constituionelle dispositif était assez bien conçut

en réalité le conseil constitutionel au bout de quelques années c'est affranchi


du rôle qui lui avait été donné
sa jurisprudence était devenu plus libérale a l'égard du parlement
il a eu plutot tendance a protéger la compétence du parlement.

Dans un premier temps, cette p^rotection a résulté d'une interpretation de


l'article 34quoi avait pour effet d'élargir le champs du parlementanotament
niveau les garenti fondamentale accordé pourquoi

ans la liste dans laquelle le parlement établi que les principe ya le droit du
travail et le droit syndicale mais le conseil a élargi le domaine d'intervention
du parlement en estimant que certain éléments de droit du travail ou syndical
relevai des garenti fondamentale pour l'exercice d'autorité publiques
le conseil a franchi une étape suplémentaire importante dans sa décision du 30
juillet 1982 ; blocage des prix et des salaires

dans cette décision le conseil décide que le fait qu'une loi comporte des
disposition de nature réglementaire ne suffit pas a vicier cette loi et donc le
conseil constitutionelle se refuse a censurer a partir de cette décision de 1982
les disposition legislative empiétant sur le domaine réglementaires

le conseil a justifié cette position en estimant que de toute façon si le


gouvernement désaprouvait la présence de tel disposition de nature réglemetnaire
dans des loi, ce gouv disposait de la procédure de l'article 37 alinéa 2 :
procédure de délégalisation ou de déclassement qui saisi le conseil
constitutionelle pour que celui ci déclare la nature réglementaire de la
disposition ce qui permet ensuite le gouv de modifier par déclet réglementaire
ces dispositions

le conseil a estimé que cette article était sufissante pour protéger les droit
respectif du parlement et du gouvernances
mais en vrai ça a libéré le parlement qui c'est mis a emettre des lois dans tout
les domaine meme dans des matière réglementaire, le gouvernement acceptant en
générale que sa majorité adopte des disposition comportant des disposition de
nature réglementaire parce que ça flatte la majorité
« normalement c'est ma compétence, mais c'est si brillant que je te laisse
tranquile »

la procéduir de l'article 37 continue de fonctioner : chaque année u a plusieur


décision du conseil constitutionelle qui déclare des domaine de nature
réglementaires
la décision de 1982 peut etre considéré comme une des causes de l'inflation
legislative de l'époque

depuis maintenant 12 ans environ ya un mouvement de balncier en sens contraire a


partir d ela décision du conseil du 21 avrile 2005 « avenir de l'école »

le conseil rappelle de nouveau au parlement l'exigence de pas sortir du domaine


législatif

cette décision « avenir de l'école » marque aussi une inflection dans la mesure
ou le conseil se met a faire la chasse aux « neutrons legislatifs » : des
disposition legislative qui n'on pas vraiment de disposition normatif

le conseil censure les lois qui délègue au gouvernement le soin de les compléter
sur des sujet majeurs, protégeant alors le parlement contre lui même, contre la
délégation abusive
c'est les « incompétences négatives » : le parlement a pas le droit de pas
exercer sa compétence.

L'atteinte a la compétence normative du parlement

dans le champs de l'article 34 (compétence normative du parlemnt) il peut il y


avoir des incurtion d'autres legislateurs, autorité : avec par exemple le recour
au référendum ou le peuple devient legislateur a la place du parlement.

La procédure de l'article 38 de la constitution (celle des ordonnance)


la technique des ordonnances ressemble acelle des décret lois de la 3 et 4ème
république.

Le parlement commence par adopter une loi d'abilitation permettant au


gouvernement d'adopter des ordonnances sur une matière par hypothèse legislative
dans un délai déterminé

pendant ce délai le gouvernement élabore une ou plusieurs ordonances


les ordonance son adopté en conseil des ministres
elles entre en vigueur dès leur publication au journal officiel

ces ordonnance deviennent caduc si le gouv n'a pas déposé un projet de loi de
ratification avant une date que la loi d'abilitation a précisé

si le gouvernelment a déposé le projet de loi et que ce projet est adopté


l'ordonnance prend force de loi
si le projet de loi de ratification n'a pas été déposé l'ordonance disparaît
si il a été déposé et qu'on en reste la l'ordonance en reste la avec un statu
d'acte administratif
cette procédure d'ordonnance est fréquente, souvent dans des matières technique
qui relève quand memedu domaine de la loi quelque fois on a également recouru
aux ordonance car la majorité parlementaire était faible ou fragile et que le
gouvernment pouvait compter sur sa majorité pour adopter un texte très bref
alors que cette majorité se serait peut etre disloqué sur le vote d'un texte de
loi de plusieurs dizaine d'article
et on recour aux ordonance dans le domaine de la transposition des directives
européenes
le parlement européen et le conseil des ministre de l'uynion adoptent une
directive et dans un délai (souvent 2 ans) les état membre doivent transposer la
directive en droit national selon leur système juridique national
avec une certaine marge de manœuvre

en franc une directive européène peut concerner une matière répartie entre l
article 34 et 37 et souvent il apparaît plus simple de recourir a la procédure
des ordonance et on regarde pas trop si cette dernière empiete sur le
réglementaires
les parlementaire n'aiment pas ce travail de transposition de directive car cela
minaure leur rôle car le vrai legislateur c'est le parleme,nt de 'lunion
européène

souvent le parlement fr est très en retard pour trasnsposer les directive


européène et le recour a l'article 38 permet de traiter plusieurs directive en
meme temps

d'autre type d'ordonance que celle de l'article 38 on pu exister ou existent


encore : les ordonnance de l'article 92 qui étaient des ordonance pour mettre en
place la 5ème république et qui se passait de la ratification parlemntaire

mais dans les lois de finance et de financement de la sécu sociale et dans


l'adaptiation de la legislation fr dans les teritoire d'outre mer use aussi
d'ordonance

la compétence normative du parlement en dehor de l'article 34 :

l'essentiel de la compétence parlementaire est donné par l'article 34 mais


signalon quand meme que plus de 20 articles de la constitution prévoient
l'adoption par le parlement de lois organiques permettant de préciser et de
mettre en œuvre ces articles constitutionels

en outre d'autres disposition de la constitution prévoient l'intervention de


loi.
Par exemple les traités les plus important ne peuvent etre ratifier que sur
autorisation du parlement.

Et pi aussi pour la déclaration de guerre article 35 constitution : on a besoin


de la ratification du parlement
article 36 : lorsque l'état de siège est décrété il ne peut etre prorogé au-delà
de 12 jours que par le parlement

l'état de siège est un régime juridique conçut pour un moment de guerre ou


l'autorité millitaire prend le pas sur l'autorité civique

l'état d'urgence est pas prévu par la constitution : il a été établi par
référence a l'état de siège par une loi de 1955 et la loi sur l'état d'urgence
prévoit que celui ci est déclanché par le gouv mais qui ne peut etre prolongé
que par une loi

la loi de 1955 a été modifié a partir des attentat de novembre 2015


mais le principe de la prorogation est toujours maintenu et le parlement a
adopté a plusieurs reprise depuis lors la prorogation de l'état d'urgence
il durrera jusqu'au 15 juillet 2017 au moins

le président hollande a tenté de faire adopter une révision constitutionelle


visant a constitutionaliser l'état d'urgence mais ce projet n'a pas abouti a
cause des autres disposition qu'il comportait. Ce projet n'était pas non plus
completement indispenssable puisuq'en fait le dispositif fonctionne et que la
loi modifié de 1955 a été soumise a l'examen du conseil constitutionelle par QPC
et qu'il l'a validé quasi complètement.

La procédure legislative

le régime des ssessions parlementaire

la constitution de 58 distingue les session ordianire et extra ordinaire

le régime de 58 a été modifié en 95


en 58 on a choisi de ne faire siéger le parlement que six mois par ans environs
c'était un moyen de limiter les risques d'instabilité gouvernementale
par hypothèse quand le palrment siege pas il peut pas renverser le gouvernement.
Alors que sous les républmique précédente le parlement siegait pratiquement de
façon continue donc le gouv était sous la menace en permanance

ces six mois de session était répartie ainsi : 2 session, la première était la
séssion d'automne, qui commence en octobre et dure 80 jours jusqu'au 20 décembre
cette session était principlament consacré a l'adoption des lois de finance
en générale une loi de finance rectificative (LFR) pour l'anné en cour.
Surtout la loi de finance initiale de l'anné suivante (LFI)
et la loi de finance de l'année précedente qui constate les opération budgétaire
faite l'année d'avant

mais le parlement pouvait adopter des lois sur d'autre matière.

La session 2 était la session de printemps commençant début avrilo et duran 90


jour et durant jusqu’à fin juin.
Cette cession était consacré a la legislation générale. Mais il n'était pas
interdit de voter des lois fiscales

comme l'instabilité gouvernementale avait disparue beaucoup y compris des


parlmementaire estimait que ce découpage en 2 trimestre était un peu
artificielle
surtout le travail des parlementaires était trop irrégulier
ils millitaient pour une session continue de 9 mois avec une autre organisation
de leurs travail
c'est ce que le raport vedel et le projet de loi constitutionelle de mars 93
avait prévu mais avait été abandoiné a cause de l'alternance ayant eu lieu deux
jours plus tard

a l'occasion de la révision constitutionelle chirac qu'est retenu l'idée de la


cession unique qui dure 9 mois du début octobre a la fin juin

mais ça veut pas dire que le temps de travail parlemntaire a été augmenté au
contraire les parlmemùentaire on eux meme voulu limiter le nombre de séance
parlementaire a 120
le travail parlementaire est d'avantage lissé au cour des 9 mois
les parlementaire sont a pris le mardi mercredi et jeudi et le reste du temps
ils sont dans leurs circonscriptions

il est possible d'organiser des cession extraordinaire quand il y a une demande


diu premier ministre ou quand il y a une demande de la majorité des membre de
l'assemblée nationale. Mais les sénateurs peuvent pas

en générale c'est a la demande du premier ministres


c'est le président de la république qui signe avec le contre sign du premier
ministre la convocation de la session extra ordinaire

ces session sont ouverte sur un ordre du jour particulier : le décret de


convocation indique le ou les textes qui seront examiné au cour de cette sesion
extraordinaire

ces session sont la assez souvent, souvent dans les 10 premier jour de juillet
ou au début de septembre

ça a d'avantage lieu quand le gouvernement vient d'etre élu

l'ordre du jour d'une assemblée parlementaire relate l'ordre dans lequel les
différents textes seront examinés par chaque assemblée
on peut prévoir l'ordre du jour avec les projet de loi du gouv ou les
proposition de loi des parlementaires

la encore en 58 a été établi une règle très contraignante abandonné en 2008


en 1958 l'article 48 de la constitution indiquait que le gouvbénéficiait d'une
priorité pour faire examiner ses projets de lois

du coup s'il le souhaitait et tant qu'il restait des projets a discuter le gouv
pouvait faire obstacle a l'examen de toute proposition de loi
sous cette réserve de la priorité gouvernementale
l'ordre du jour était fixé par une instance appellé la conférence des président
formé du président de chaque assemblée, des vice président, des présidents de
comission permanente et des président de groupes

ce qui explique que pendant des décénies la pluspart des lois adopté étaient des
projets de lois du gouvernement.

Cette situation a été critiqué au file des années


du coup en 19956 on a comencé a mùodifier un petit peu a la marge le régime de
l'ordre du jour en prévoyant qu'au moins une séance par moi serait consacré a
l'examen de proposition de loi (du parlemnt donc)

par exemple sous cette forme a été adopté la loi sur la pacs en 1999

il faut pas surestimer l'intérêt et la porté de certaines proposition de loi car


il est possible que pour des raison d'opportunité un texte soi principalement
élaboré par le gouv et qu'a la fin il soit présenté sous les trait d'une
proposition de loi pour des raison d'affichage politique

faut pas non plus en conclure que les prpoposition de loi son plus pertinente et
mieux élaboré que les projets de lois

c'est la révision sarkozy en 2008 qui a apporté un changement majeur dans les
règles relative a l'ordre du jour qui apparaissent au noevel article 48

le texte de cet article est cependant un peu en recul avec ce qu'avait proposé
le rapport baladur qui avait proposé la révivion sarkozy
mais la réforme est tout de meme importante : en effet l'article 48 ne prévoit
plus de priorité au gouvernelment que pour 2 semaines sur 4

le gouvernement dispose de la priorité pendant ces 2 semaines pour les projet de


loi de finance ou de sécurité sociale

le nouvel article 48 prévoit que dans chaque assemblée une semaine sur 4 est
réservé au contrôle de l'action du gouvernement, a l'évaluation des politiques
publiques
le parlement voit ainsi sa mission évoluer
au par avant il n'était qu'une unité de production de texte de lois
a partir de 2008 sa mission d'examun de la pertinance et des résultat adopté
est privilégié, mise en avant au moins une semaine sur 4
ce qui reste est le temps d'examin des proposition de lois
rien oblige le gouv d'utiliser totalement son droit de priorité : il peut
laisser la palce volontarement a des proposition de loi

en 2008 on prévoit aussi : une séance par mois est consacré a l'examen de
proposition de loi qui émane de groupe minoritaire ou d'opposition
ces proposition de loi sont en générale rejeté (logique puisque l'opposition
n'est pas la majorité)

dans l'ensemble la réforme de l'ordre du jour oppéré en 2008 fait perdre du


pouvoir au gouvernement
le moyen de contrainte par l'ordre du jour été diminué et c'est la majorité
parlementaire qui en profite le plus.

Les débats et les votes

un débat legislatif commence par ce qu'on appel la discution générale ouverte


par l'intervention du ministre qui porte le projet de loi puis interviennent les
représentant de la comission parlementaire qui a examiné ce projet, puis
interviennent les différents orateurs des groupes politiques qui sont appelé
dans un temps limité et minuté a présenter leurs points de vu générale dessus

ensuite phase 2 : examen du texte : on discute le texte article par article

a l'occasion de l'examen de chaque article on doit examiner tout les amendement


qui se rapporte a cette article en commencant par ceux qui le modifie le plus.
Parfois sur un article il y a des centaines d'amendement donc c'est super long.

Plus tard intervient le vote global sur l'ensemble du texte

en principe le vote est personnel selon l'article 27 de la constitution


mais pendant longtemps cette regle était pas respecté : les députés par exemple
faisait voter leurs collègues absents ce qui était très « regrétable »
le conseil constitutionel avait validé cette pratique en estiment qu'une loi
adopté par des parlementaires absent pouvait pas etre censuré pour cette raison,
que si des parlmentaire avait fait clairement connaître une position que celle
qu'on leur avait fait prendre en leur absence et a condition que le nombre de
cas ainsi recensssé face basculer la majorité ce qui se faisait quasi jamais en
pratique.

Dans la dernière periode on faisait respecter le vote personnel car chaque


député ou sénateur peut recevoir la délégation de vote de l'un de ces collègues
absent
souvent le vote se fait par voie électronique, la délégation était déjà
enregistré.

Au cour des séance les votes se font en générale a main levée ou par debout et
assi

les votes plus important qui sont souvent reservés et regroupé le mardi après la
séance retransmise par la télévision les votes se font alors au scrutin
publique.

Ainsi on sait le vote de chaque député

comme certain vote sont un peu plus solenel et sont appelé « vote a la tribune »
notament pour le vote d'une motion de censure.
Chaque député est éppelé et peut aller si il le veut mettre un bulletin dans
l'urne.

Parfois y a aussi des vote a bulletin secret quand il s'agit d'élir des
personnes comme le président de l'assemblée

la direction gouvernementale de la procédure legislative :

en 2008 cette direction gouv de la procédure legislative c'est atténué par


rapport a 58

le gouv reste quand meme maitre d'une large part de l'ordre du jour
le gouvernement peut opposer l'irrecevabilité aux propositions ou aux
amendements qui empieterais sur sa compétence réglementaire mais depuis la
décision du 30 juillet 82 le gouv y recour plus.

Le gouv peut aussi opposer l'irrecevabilité aux propositions ou aux amendements


qui aurait pour effet une diminution des ressources de l'état ou une
augmentation des charges publiques

cette regle cadre bien avec l'environement générale qui contraint les
parlementaire mais en fait c'est une règle plus générale répendue dans d'autre
état, née en UK et il s'agit en fait de lutter contre la démagogie
parlementaire : le député qui pour se faire bien voir va faire voter une baisse
de l'impôt
ou qui propose l'atribution d'une prime de pognon a l'occasion de noel par
exemple

cependant la porté de cette regle peut sembler insufisante car rien n'empeche un
respnsable politique, un partis politique de faire figurer a son programe une
baisse d'impot

en revanche cette regle présenterais des inconvéniant majeurs si elle était


interprété trop strictement

en 1980 le ministre de la justice avait évoqué l'irrecevabilité financière d'une


proposition de loi qui proposait de faire disparaître la peine de mort.
Parce que si on supprime la peine de mort il faut nourir jusqu’à leur mort les
condamné. #pognonquimanque

cette irrecevabilité constitutionelle est placé sous la supervision du conseil


constitutionel

la loi organique sur les lois de finance a un peu désséré l'étaux qui plkanait
sur les parlementaire.
On peut par exemple proposer de réduire les impot a condition de trouver de quoi
compenser ailleur

enfin l'article 44 alinéa 2 de la constituon permet au gouv de faire


l'irrecevabilité a tout amendement qu'est pas passé devant la comission
parlementaire compétente

c'est une règle utilisé avec une certaine souplesse

le débat en séance publique doit laisser la place a la présentation


d'amendements

en revanche le gouvernement peut choisir l'irrecevabilité si il a l'impréssion


que c'est une manœuvre politique

le gouv peut déclancher la procédure « accéléré » appelé avant 2008 « procédure


d'urgence » qui était utilisé auparavant dans des cas ou l'urgence était
douteuse

mais la nouvelle dénomination de procédure accéléré est trompeuse : elle


raccourcie en effet les débat, fait disparaître une lecture du texte dans chaque
chambre et elle permet déchaper aux délait de 6 semaine de l'article 42 de la
constitution. Sauf que la loi travail a été prise en procédure accéléré mais ça
a pris des mois.

Depuis 2008 on note que cette procédure accéléré peut etre remis en cause par
des conférence des 2 président des deux assemblé réunies

ensuite y a des mécanisme connu : le vote bloqué 44 alinéa 3 de la constitution


et le putain de 49-3

vote bloqué : hypothèse ou le gouvernement n'est pas très sur de sa majorité et


de sa solidité, y a un risque que la majorité se disloque et perde des voix sur
certains articles d'un projet de lois et l'opposition va faire tout ce quelle
peut pour faire peur aux député de la majorités

du coup quand le gouv a peur dde perdre sa majorité sur certain article d'un
texte il recour au vote bloqué : l'assemblée est appelé a voter en une fois sur
l'ensemble du texte ou sur une partie du texte pour etre sur que la majorité
accepte les 20 article proposé d'un seul coup meme si dedans y en a 5 pouris
ça permet de préserver la majorité d'une crise dans la majorité et une
dislocation
et ça permet de déresponsabiliser les députés aux yeux de leurs électeurs
dans ce cas en générale le gouv va faire voter en bloc a la fois des articles
approuvé par un large publique et glisse un article – quenelle dedans qu'est pas
du tout aprécié pour le faire accepter : on met le fromage pouri dans le super
sandxich pour pouvoir l'écouler

49-3 : le gouv opère un chantage sur la majorité : ou tu accepte ou tu renverse


le gouv, et si tu renverse le gouv je dissous l'assemblée du coup t'es baisé

la révision de 2008 a restrein l'usage du 49 – 3

enfin la question des amendements :


ils sont présenté par les parlementaires pour modifier tel ou tel article d'un
projet de loi et pour l'améliorer a priori.
Ils doivent être en lien avec les disposition en discution

problème : augmentation du nombre démeusuré d'amendement présenté par


l'opposition pas pour améliorer le texte mais pour y faire obstruction, pour
empêcher l'adoption du texte.

En 2006 lors de l'adoption de la loi sur la fusion entre GDF et suez plus de 130
000 amendements on été déposé par l'opposition. Du coup ça niquait le système

a partir de cet évenement a été posé la question de la limitation du droit


d'amendement qui est tout de même un droit historique des parlementaires

d'un autre coté le gouvernement se trouvait assez démuni


même le vote bloqué ne résout pas le problème car meme si on vote plusieurs
amendement a la fois faut tous les examiner

la seule arme utilisé par le gouv correspondait a l'hypothèse ou le gouv avait


la majorité sénatoriale et ou l'opposition sénatoriale présentait des centaine
voir des milliers d'amendements
y avait la possibilité pour la majorité du sénat de voter une motion préalable
qui renvoyait d'office le texte a l'assemblée ce qui éludait la discution de
tout les amendements mais ça éludait aussi direct les discution sur les articles
et c'était pas un abus de droit dixit le conseil constitutionel

la révision de 2008 c'est engagé prudement dans la voie d'une limitation du


droit d'amendement

la constitution renvoie cette questioj a la loi organique et aux réglements des


assemblés

la loi organique adopté le 15 avril 2009 apporte pas non plus grand-chose et se
borne a autoriser les assemblés a prévoir des délais dans leurs réglements de
chaque assemblées

et donc c'est le règlement de chaque assemblée qui est sensé luter contre l'abus
du droit d'amendement.

A l'assemblée nationale a été institué le temps legislatif programé

quand le gouvernement choisit la mise en œuvre de ce dispositif chaque groupe


politique dispose d'un temps gloobale de parole qui va lui permettre de défendre
certain amendements (mais pas des milliers)

équilibre procédurale très difficile a trouver entre droit et abus

ce qui compte c'est la responsabilisation des élus de l'opposition.


Les conséquences du bi camérisme

la loi est plus vite adopté quand le parlmeent est monocamérale


l'existance du bi camérisme en france provoqe quelque difficulté de calendrié et
de procédures

mais en france on a pas un bi camérisme égalitaire comme aux state : chez nous
il est inégalitaire et donc pour qu'une loi soit adopté il faut qu'elle ait été
débattue dans l'une et l'autre assemblée mais pas nésséssairement y ait été
accepté

en principe la première lecture d'un texte commence indifférement devant


l'assemblée ou devant le sénat

la première lecture se poursuit donc dans l'autre assemblée


mais y a des exeptions : les lois de finances et de financements de la sécu
sociale sont forcément d'abord examiné par l'assemblée

pour les lois relative a l'organisation territoriale du pays on commence


toujours dans le sénat.

Quand la première lecture a eu lieu devant les 2 chambres et que le texte a été
adopté en termes identiques, la procédure est terminé, la loi est adopté.

C'est en fait assez fréquent que ça se termien a la première lecture

mais si y a pas accord la procédure continue pour les disposition restant en


discusion : c'est la seconde lecture (qui disparaît lors de la procédure
accéléré)

la deuxième lecture permet de raprocher un nombre de point de vu, de faire


surgir de nouvelles idées parfois. Si on est toujours pas d'accord, le
bicamérisme qui était jusqu'alors égalitaire devient inégalitaire :

le gouv a la possibilité de provoquer la réunion de la comission mixte paritaire


(CMP) ce qui permet a l'assemblée nationale d'imposer sont point de vu et comme
le gouvernement a une majorité au sein de l'assemblée nationale en principe il
hésite pas &a déclancher la CMP

la CMP est composé de député et de sénateur qui vont chercher une conciliation

si elle parvient pas a un compromis ou si ce compromis est rejeté par l'une ou


l'autre des assemblés le gouvernement pourra donner le dernier mot a l'assemblée
nationale mais seulement après une 3ème et dernière lecture

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