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Raouf FATHALLAH

Chapitre V Support de cours Fatigue, Endommagement et rupture

Chapitre V

Notions de mécanique de la rupture

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Raouf FATHALLAH
Chapitre V Support de cours Fatigue, Endommagement et rupture

V-1 Introduction
L’endommagement est l’apparition de discontinuités (microcavités, microfissures) soit dans tout le
volume sollicité, soit uniquement en surface. Le niveau d’endommagement se développe plus moins
vite selon la sollicitation et la nature du matériau, et aboutit à la création de fissures macroscopiques.
Celles-ci deviennent si importantes que l’on ne peut plus considérer le milieu qui les entoure satisfasse
aux hypothèses de continuité de la mécanique des milieux continus. On dit que nous sommes dans le
domaine de la mécanique de la rupture. Il faut distinguer qu’après la phase d’amorçage (qui peut être
préexistante dans une structure lorsqu’il y a des défauts initiaux), il y a une phase de propagation
stable et ensuite la phase de propagation brutale ou instable.

V-2 : Aspects expérimentaux et phénoménologiques


V-2-1 : Les différents Types de rupture
Dans ce cadre, il faut noter que l’on peut avoir différents types de ruptures : (i) par fissuration rapide
sous chargement monotone (cas d’un essai de traction) ; (ii) sous chargement cyclique (fissuration
progressive : exemple fatigue) ; (iii) sous chargement constant (rupture différée : exemple fluage) et
(iv) sous chargements complexes (thermomécanique avec des cycles variables etc. ; cas d’une
structure réelle). Dans tous les cas, il est important de distinguer les ruptures fragiles et ductiles.

Type de rupture fragile :


C’est pour le cas des matériaux fragile comme les céramiques, les verres, etc. La rupture intervient en
l’absence de déformation plastique macroscopique, et donc par propagation très rapide (consommation
faible d’énergie faible). On distingue dans ce cas, des ruptures fragiles à caractère transgranulaire (à
clivages) ou intergranulaire

Figure V-1 : ruptures fragiles : (a) à clivage ; (b) inter-granulaire [V-1]

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Type de rupture ductile


La rupture est liée principalement à la présence d’inclusions ou de précipités. Ce mode de ruptrue est
accompagné généralement par une forte déformation plastique macroscopique (consommation
d’énergie élevée)

Figure V-2 : rupture ductile [V-1]

Principaux facteurs influents sur le passage rupture fragile-rupture ductile :


 La température : la fragilité augmente si la température décroit. On définit une température de
transition à partir de la quelle on passe de la rupture fragile à la rupture ductile (on constate
beaucoup de rupture fragiles lorsqu’il fait très froid)
 La vitesse de déformation : un choc par exemple entraine une rupture fragile. D’une façon plus
générale plus la déformation est rapide, plus la fragilité est importante.
 Le taux d’écrouissage. La figure ci-dessous montre des formes possibles des surfaces de
ruptures. On distingue : (i) la rupture plate (a) correspond à une surface de rupture
perpendiculaire à la direction de la contrainte principale maximale (rupture fragile) ; (ii)
rupture inclinée lors des ruptures avec fortes déformations plastiques ; (iii) d’autres cas
combinaison de deux types élémentaires précédents.

Figure V-3 : différentes faciès macroscopiques de rupture [V-2]

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 Modes de rupture : dans le cas d’une fissure plane soumise à un champ de contraintes, si on
suppose que la propagation de cette fissure se fasse dans son plan. On montre que l’état le plus
général de propagation peut être ramené à la superposition de trois modes simples :
o Mode I: mode d’ouverture où les surfaces des fissures se déplacent

perpendiculairement l’une à l’autre ( u1 = 0; u2 ( x1 ) ≠ 0; u3 = 0 )


o Mode II : mode de cisaillement plan où les surfaces de la fissure se déplacent dans le
même plan et dans une direction parallèle au front de la fissure

( u1 ( x1 ) ≠ 0, u2 = 0; u3 = 0 )
o Mode III : mode de cisaillement antiplan où les surfaces de la fissure se déplacent dans
le même plan et dans une direction parallèle au front de la fissure

( u1 = 0, u2 = 0; u3 ( x3 ) ≠ 0 )

Figure V-4 : Modes de rupture [V-3]

Il faut noter que les ruptures les plus dangereuses sont dans le mode I. C’est la raison pour
laquelle la plupart des études de la mécanique de la rupture sont portés sur ce mode.

 Effet de tri-axialité du chargement : en réalité si on applique une traction normale n’engendre


pas seulement une contrainte dans le même sens. Si on prend un élément de volume à coté de
la fissure, le tenseur des contraintes est triaxial (Figure V-4). Par exemple, dans le cas d’un
essai de fatigue sur une éprouvette plate en traction, on distingue des mécanismes différents
entre l’état des contraintes est plan (cas d’une épaisseur est faible)

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( σ zz = σ xz = σ yz = 0 et ε zz ≠ 0 ) et l’état de déformations planes (l’épaisseur est

importante) ( ε zz = ε xz = ε yz = 0 et σ zz ≠ 0 ). En particulier, il y a une forte influence de

la pression hydrostatique locale (égale au tiers de la trace du tenseur des contraintes). Une
matière localement plutôt comprimée résiste mieux à la rupture. Une matière localement
distendue se rompra plus facilement. La stabilité à cet effet de pression hydrostatique
augmente avec la fragilité. En conséquence, le taux de triaxialité des contraintes et le sens de
la sollicitation ont une grande influence (en traction on a plus de risques de rupture qu’en
compression). La figure ci-dessous (Figure V-5) illustre une surface de rupture d’une
éprouvette plate sous fatigue. On observe différentes faciès de rupture (ruptures plate et
inclinée) dues à la différence de traixilaité dans les différentes zones de l’éprouvette.

Figure V-5 : Etat de contraintes triaxial dans la racine du défaut [V-4]

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Figure V-5 : Exemple de surface de rupture [V-2]

 Couplage matériau-défaut : Les observations expérimentales montrent que la définition du


comportement à la rupture ne peut pas se faire uniquement à partir d’un critère sur le matériau
homogène, comme en mécanique des milieux continus où on utilise les contraintes et les
déformations. Par exemple, pour une sollicitation de traction simple, on devrait observer une
pulvérisation de l’ensemble de l’éprouvette, ce qui n’est pas le cas (deux morceaux dans
certains cas dans plusieurs morceaux).

V-2-2 : Résistance théorique et résistance réelle


Théoriquement pour ouvrir une fissure dans un solide, il faut rompre les liaisons atomiques (liaisons
covalentes). On démontre qu’il nous faut une force égale à environ le module d’Young divisé par 10
E
ce qui donne des valeurs très élevées de l’ordre de 20 000 MPa qui est très loin de la réalité. En
10
fait, pour les matériaux courants on peut aller jusqu’à environ 2 000 MPa. Griffith a proposé une
explication à cette contradiction apparente dans le cas des matériaux fragiles. Il explique même si la
charge macroscopique nettement inférieure à celle de sa résistance théorique à la traction, cette
contrainte, pouvait en certaines zones, atteindre une valeur égale à la valeur théorique.

En effet la présence d’un défaut entraîne une concentration de contrainte très localisée au niveau de sa
racine. Cet effet est caractérisé par le coefficient Kt qui traduit la sévérité de la distribution des

contraintes au niveau du défaut. La contrainte locale au niveau de la fissure dépend de la contrainte


appliquée et de la géométrie locale. Par exemple, pour le défaut présenter sur la figure ci-dessous, et
en première approximation, on obtient en tête de la fissure :

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 a
σ y = σ nom  1 +  (V-1)
 r
Avec a est la taille du défaut et r est le rayon au fond de l’entaille

Figure V-6 : effet de concentration des contraintes au fond d’un défaut [V-4]

On remarque que si r est faible (cas d’un défaut très aigüe) on peut avoir alors des coefficients de
concentration de contraintes de très grandes valeurs. Par exemple, si on prend une fissure de 1 micron
avec un rayon de 0,2 nanomètre dans le verre ça nous donne un coefficient de concentration Kt de

l’ordre de 142. On comprend donc que la contrainte locale puisse localement atteindre la valeur
théorique de la résistance du matériau à cause de la concentration des contraintes due à la présence de
défauts superficiels jugés à priori vue inoffensifs.

Il faut noter que la durée de nucléation de la microfissure est très liée au coefficient de concentration
des contraintes. Cependant, ce facteur ne permet pas à lui seul de traduire la sévérité et de modéliser
ce qui se passe au niveau de la racine du défaut durant la propagation de la fissure.

V-2-3 : Définitions utiles : résistance, rigidité, ductilité et ténacité


Rigidité : La rigidité est liée à l’intensité des liaisons qui existent entre les atomes ou les molécules
qui constituent un matériau. La rigidité est caractérisée par la valeur des divers modules d’élasticité, en
particulier le module d’Young E ( E =∞ correspond au cas d’un matériau infiniment rigide)
Résistance : C’est la capacité de reprendre une charge par unité de section. Elle est caractérisée par la
contrainte maximale qu’un matériau peut supporter avant de se rompre. Elle est fonction de l’intensité
de ses liaisons atomiques ou moléculaires, mais elle dépend aussi de l’influence de certains paramètres
extérieurs, comme la forme des pièces ou les défauts qui y sont présents (fissures et dislocations)

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Ductilité : La ductilité est la capacité du matériau de se déformer plastiquement avant de se rompre.


Elle est peut être appréciée à partir de son niveau de striction (si Z% est grand >0,5 le matériau est
ductile ; si Z% est faible < 0,1 est semi fragile ; pour les matériaux fragiles la rupture a lieu dans le
domaine élastique)
Ténacité : C’est l’opposition du matériau à la propagation brutale de fissures. Elle peut être définir
par le travail nécessaire pour induire la rupture.

Figure V-7 : définition de la ténacité [V-1]

V-3 : Analyse des contraintes et des déformations au voisinage de l’extrémité d’une


fissure en élasticité bidimensionnelle
Il existe plusieurs méthodes d’analyses des contraintes et des déformations au voisinage des fissures
en élasticité linéaire. La solution est, en réalité, la superposition linéaire des contributions des trois
modes élémentaires de la propagation de la rupture. Bien entendu, la résolution est faite dans le cadre
de plusieurs hypothèses : (i) matériau est supposé homogène et isotrope ; (ii) on néglige les forces de
volume et les accélérations ; (iii) on restreint le problème au cas bidimensionnels (2D). Dans le cas du
mode I ; la solution est exprimée comme suit :

fij (θ )
σ ij = K I (V-1)
2π r
r
ui = K I gi (θ ) (V-2)

K I est une constante indépendante de r et θ . Elle désignée Facteur d’Intensité de Contraintes
(unité MPa m ). L’indice indique le mode I. Ce facteur ne dépend pas que de la répartition des
contraintes autour de la fissure et que de la géométrie de la fissure. De même, il ne dépend pas du fait
que l’état des contraintes planes ou déformations planes. Il faut bien noter que ce coefficient est
différent du coefficient de concentration des contraintes (sans unité).

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Dans le cas étudié, l’expression générale de KI est :

KI = S π a (V-3)
Dans le cas plus général :

KI = β S π a (V-4)

Avec β représente le facteur de correction géométrique

Les solutions en mode II et III existent, ainsi que les calculs des coefficients β . On va se limiter dans
notre cas au mode I.

Figure V-8 : définition de la ténacité [V-5]

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V- 4 : Analyse des essais fissuration


Un essai typique de fissuration peut être réalisé sur une tôle avec une entaille centrale (Center Crack
Tension) pour faciliter l’amorçage soumise à une sollicitation en traction ondulée (ayant un rapport de

σ min
chargement Rσ = ). Au cours des sollicitations cycliques on suit l’évolution de la longueur de
σ max
la fissure (notée 2a ) (il existe d’autres formes d’éprouvettes et de fissures) en fonction du nombre des
cycles N différentes techniques (dispositif optique, variation de potentiel électrique, etc.).

Figure V-9 : essai de fissuration sur une éprouvette CCT [V-6]

La représentation sur un diagramme donnant l’évolution de a en fonction de N , montre clairement


l’influence de l’amplitude de la sollicitation comme le montre la figure ci-dessous.

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Figure V-10 : Effet de l’amplitude des contraintes sur la fissuration CCT [V-5]

A partir de ces courbes on peut déterminer le taux de propagation des fissures en fonction du nombre
des cycles

Figure V-10 : détermination du taux de fissuration [V-5]

da ∆a ai +1 − ai
Avec ≈ = (V-5)
dN ∆N Ni +1 − Ni
Cette valeur est affectée au point où la longueur de la fissure correspond à la longueur moyenne entre
les deux points :

ai +1 − ai
a= (V-6)
2

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da
Le traçage de la courbe donnant en fonction N montre aussi l’effet de l’amplitude de la
dN
da
contrainte. Par contre, le traçage de la courbe donnant en fonction de ∆K = β ∆S π a on
dN
trouve une courbe indépendante de l’amplitude de la contrainte.

Figure V-11 : évolution de la vitesse de fissuration da/dN en fonction de la longueur de la longueur


de la fissure (a) et en fonction de la variation du facteur d’intensité des contraintes [V-5]

V- 5 : fissuration par fatigue, Lois de Paris


Paris et son équipe ont montré que le comportement en fissuration par fatigue d’un alliage dans des
conditions de sollicitations données (rapport de charge, température, environnement, conditions d’obtention
du matériau, etc.) peut être caractérisé par une courbe bi-logarithmique donnant la vitesse de propagation

da
mesurée en fonction de l’amplitude du facteur d’intensité de contrainte ∆K déterminée à partirde
dN
l’amplitude des contraintes et de la longueur « moyenne » de la fissure.

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Figure V-12 : différents régimes de fissuration [V-5]

A partir de cette courbe, on note trois régimes :


 Seuil de non propagation : dans la partie I de la courbe on observe que les vitesses de
fissuration sont très faibles. Lorsque ∆K diminue jusqu’à atteindre la valeur du seuil de non
propagation ∆K seuil . La vitesse diminue rapidement et semble s’arrêter (ou presque

indétectable) (cette condition se traduit par ∆K = ∆K seuil )


 Lois de Paris (parte II de la corube) : caractérisé par une partie linéaire sur un assez large
intervalle (dans le diagramme bi-logarithmique). Cette linéarité traduit par une loi de
puissance :

da
= C ∆K m (V-7)
dN
C’est la loi de Paris. C et m sont des paramètres qui dépendent du matériau. Ils peuvent être
déterminés par deux points sur la courbe

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 Ténacité : dans la partie III de la courbe, on observe une accélération de la propagation juste

avant la rupture finale. La fissure se propage brutalement lorsque KIm ax = KC .


On peut déterminer la taille critique de la fissure en écrivant l’équation suivante :

KIm ax = Kc = S π ac (V-8)

2
1K 
Ce qui donne : ac =  c  (V-9)
π S 
De même à partir de la loi de Paris, on peut déterminer le nombre de cycles à la rupture :
a =ac da
N =∫
( )
m (V-10)
a =a0
C ∆S π a
On note que l’expression de Paris ne permet pas de ternir compte de l’effet de la rupture brutale ;
Forman a proposé une autre expression :

da C ∆K m
= (V-11)
dN (1 − R ) ( Kc − Kmax )
da
Cette expression permet de traduire que = ∞ lorsque Kc = Kmax
dN
Afin de tenir compte aussi de la zone seuil de propagation Pridlle a proposé une autre équation :
m
da  ∆K − ∆K seuil 
= C  (V-12)
dN  Kc − Kmax 
V- 6 : Effet de la zone plastifiée en tête de fissure (effet de la fermeture de la fissure)
La solution proposée dans la cadre de l’élasticité est singulière au niveau de la pointe de la fissure, ce
qui ne correspond pas à la réalité physique. En effet, il peut y avoir une plastification très confinée ou
même une plastification significative si le matériau est ductile. Moyennant certaines hypothèses, on
peut déterminer la zone plastifiée de point de vue forme et taille, dans les cas d’un état de contraintes
planes ou déformations planes. Cette plastification localisée induit, aussi des contraintes résiduelles de
compression dans la pointe de la fissure, ce qui retarde la propagation de la fissure. Dans ce cadre,
plusieurs corrections ont été introduites.

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Références bibliographiques
[V-1] : « Précis de Métallurgie : élaboration, structures-propriétés et normalisation » , Jean
Barralis, Gérard Maeder (Nathan – Afnor / 0765-5142) (1991)
[V-2]: « Propriétés d’emploi des aciers ; études de base ; La rupture des aciers; 2 la
mécanique de la rupture », par G. Sanz, collection IRSID OTUA
[V-3] : « Mécanique des matériaux solides », Jean Lemaitre et Jean-Louis Chaboche , édition
Dunod, Paris 1996 (ISBN 2 10 005662X)
[V-4] : «Des matériaux», Jean Marie Dorlot, Jean Paul Bailon, Jacques Masounave, éditions
de l’école polytechnique de Montréal (1986) 52-553-00176-2)
[V-5]: «Fatigue des structures », G. Henaff, F. Morel éditions Ellipses, collection Technosup
2005 (2-7298-2322-0)
[V-6]: « Fatigue of Structures and Materials », Jaap Schijve, Kluwer Academic Publisher
2004 (0-306-48396-3)

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