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-DEDICACE…………………………………………………………………….i
-REMERCIEMENTS………………………………………………………….ii
-LISTE DES ABREVIATIONS………………………………………………iii
-INTRODUCTION GENERALE………………………………………..........3
PARTIE I : PRESENTATION GENERALE DE LA SOPECAM. …….......5
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PARTIE II : DEROULEMENT DU STAGE.................................................20
CONCLUSION GENERALE………………………………………………..43
-Références bibliographiques………………………...………………………...44
- Annexes……………………………………………………………………….45
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INTRODUCTION GENERALE
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PARTIE I :
PRESENTATION GENERALE DE LA SOPECAM
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CHAPITRE I :
PRESENTATION DE LA SOPECAM
1-Fiche signalétique
Telex 8311 KN
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2- Historique et évolution
La Société de Presse et d’Editions du Cameroun (SOPECAM) est un
établissement public à caractère industriel et commercial, doté d’une
personnalité juridique et d’une autonomie financière. Elle a été créée le 18
Juillet 1977 par le décret présidentiel N° 77/250 avec un capital de 250 millions
de FCFA.
La SOPECAM naît des cendres de l’Agence Camerounaise de Presse (ACAP).
Les défuntes sociétés sont : la SCP (Société Camerounaise de Publication) ;
l’AGRACAM (Ateliers Graphiques du Cameroun) et l’ACAP (Agence
Camerounaise de Presse).
SCP
La Société Camerounaise de Publication avait pour mission l’édition du
quotidien Cameroon-Tribune.
AGRACAM
L’activité principale des Ateliers Graphiques du Cameroun consistait en la
réalisation technique du journal Cameroon-Tribune et l’impression des travaux
de labeur.
L’ACAP
L’Agence Camerounaise de presse avait pour mission principale de collecter,
capter et diffuser des informations nationales et internationales au moyen de
radios télégraphiques.
Vers 1976, l’ACAP commence à connaître de sérieux problèmes. Pour preuve, le
quotidien parait quelquefois vers 16h. C’est pour tenter de trouver des solutions
et empêcher la disparition du quotidien qui manquait déjà à ses engagements,
que le gouvernement décida alors de dissoudre l’ACAP pour créer la
SOPECAM. Ceci fut effectif par la promulgation d’abord du décret présidentiel
N° 77/14 du 18 Juillet 1977 portant dissolution de l’ACAP, puis du décret
présidentiel N° 77/250 du 18 Juillet 1977 portant création et organisation de la
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SOPECAM (voir annexe), qui, dans son article 34, alinéa 2, précise que « la
SOPECAM prend en charge l’actif et le passif de l’ACAP dissoute ».
Il convient de relever que dans les faits, les actifs et passifs des sociétés
susmentionnées sont pris en charge par la nouvelle SOPECAM. C’est pourquoi
ses missions résument celles des sociétés défuntes. Son activité s’étend sur
quatre départements qui sont :
le Département du Journal
le Département Agence-Edition
le Département Technique
le Département Administration-Finances
1- Missions
Placée sous la tutelle du ministère en charge de la communication, la
SOPECAM a pour mission de :
rechercher les éléments d’une information complète par tous les moyens
appropriés à l’intérieur du Cameroun ;
recevoir un service constant d’informations mondiales par convention ou
alliance avec les agences étrangères d’informations ;
mettre l’ensemble de ces informations à la disposition de tous les usagers,
publics ou privés à l’intérieur comme à l’extérieur, sous forme de
journaux, périodiques, moyens télégraphiques, à titres onéreux, en vue de
mieux informer le monde de la vie et des activités politiques,
économiques, sociales et culturelles de la nation ;
procéder à l’édition et à la publication de tous ouvrages d’intérêt public
ou privé, à titre onéreux, dans les domaines de la création littéraire,
scientifique ou artistique ;
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assurer l’impression des travaux de toute nature pour le compte des
administrations et des particuliers.
2-Activités
Toutes les missions statutaires se manifestent aujourd’hui autour des activités
essentielles que sont :
l’édition de Cameroon-Tribune ;
l’édition des livres et brochures ;
l’impression des travaux de toutes natures ;
la vente des nouvelles ;
l’édition des bulletins spécialisés ;
l’édition des magazines « NYANGA » et « WEEK-END sports et
loisirs ».
Il faut rappeler que les principaux produits et services de la SOPECAM sont :
publication de Cameroon-Tribune qui est le produit phare de l’entreprise,
NYANGA et WEEK-END Sports et loisirs ;
l’édition des livres brochures ;
les travaux d’imprimerie ;
les insertions publicitaires dans les supports Cameroon-Tribune, Nyanga,
Week-end Sports et Loisirs.
1- Le Conseil d’Administration
Composé d’un président nommé par décret et de neuf membres issus des
différentes structures de l’administration camerounaise, le Conseil
d’Administration dispose des pouvoirs les plus étendus pour l’administration et
la gestion de la société.
2- La Direction Générale
Elle est placée sous l’autorité d’un Directeur Général. L’actuel directeur général
est : Mme Marie-claire NNANA. Nommé par décret du Président de la
République du Cameroun, le directeur général exécute les décisions prises par le
Conseil d’Administration dans la limite des pouvoirs qui lui sont délégués par
celui-ci. Il élabore le programme d’action de la société, le projet de budget du
nouvel exercice et le rapport d’activités de l’exercice écoulé. Le directeur
général est assisté d’un directeur général adjoint : Mr Shey Peter MABU, il
assure l’intérim du directeur général.
La Direction Générale comprend :
un service du courrier, du téléphone et de la télécopie ;
un conseil technique ;
un auditeur interne ;
un contrôleur de gestion ;
deux chargés d’études assistants ;
une administration centrale qui a en son sein :
o la Direction de la Rédaction de Cameroon-Tribune (DRCT) ;
o la Direction Technique (DT) ;
o la Direction de l’Administration et des Finances (DAF) ;
o la Direction de la Rédaction des Magazines (DRM) ;
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o la SOPECAM Marketing and Communication (SMC).
a- La direction de la rédaction de Cameroon-Tribune (DRCT)
Cette Direction a à sa tête un directeur : M. ABUI MAMA ELOUNDOU,
assisté d’un directeur adjoint : Mme TCHE Irène MORIKANG.
Cette direction est chargée de la conception, la coordination et de la supervision
de la réalisation de Cameroon-Tribune, le quotidien national, des numéros
spéciaux et des cahiers spéciaux.
En outre, elle comprend :
le pool des éditorialistes ;
le pool des grands reporters ;
la rédaction centrale ;
la rédaction technique.
Les éditorialistes, au nombre de cinq (05), sont chargés de la supervision et du
suivi des secteurs particuliers.
Quant aux grands reporters, ils assurent toutes les missions qui leurs sont
confiées comme la gestion des services spécifiques.
La rédaction centrale est placée sous l’autorité d’un rédacteur en chef : M.
BADJANG BA NKEN, et d’un rédacteur en chef technique : M. Augustin
FOGANG. Cette rédaction centrale comprend :
le service politique, qui s’occupe des activités politique, juridique du
pays ;
le service économique, qui s’occupe de l’activité économique du pays,
pêche, élevage, activité portuaire, signature des accords entre le
Cameroun et les pays étrangers ;
le service culture et société ;
le service sports ;
le service étranger, ce service suit les activités internationales.
A la rédaction technique, sont rattachés :
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le service de la documentation et photographie, qui assure l’archivage des
documents ;
le service artistique, qui s’occupe la mise en forme du journal.
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La division de la production est chargée de :
l’impression des publications ;
travaux d’imprimerie de tous genres.
Cette division comprend deux services, à savoir :
le service de fabrication ;
le service impression.
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le service du recouvrement et du contentieux ;
le service du budget et de la comptabilité ;
le service des ventes et du réseau.
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la distribution des produits ;
la facturation de tous les produits.
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CHAPITRE II:
PRESENTATION DE LA STRUCTURE
D’ACCUEIL: LA SOPECAM MARKETING AND
COMMUNICATION (SMC)
Missions de la SMC
Organisation de la SMC
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La cellule marketing, cellule qui nous accueille pour effectuer notre stage, est
placée sous l’autorité d’un chef de cellule en la personne de M. Ferdinand
Legrand MADIBA. Chargé de la mise en place des stratégies de
communication, il supervise et coordonne les activités de ladite cellule. Il est
assisté de M. Gustave EMAMEDA. Les missions de cette cellule sont les
suivantes :
la mise en œuvre des stratégies de communication de la SOPECAM ;
la conception et la mise en forme des messages de la SOPECAM et à la
demande de certains clients ;
la promotion de l’image de marque de la SOPECAM ;
l’élaboration des stratégies marketing pour les produits marchands de la
SOPECAM ;
la conception et la promotion des supports de communication de la
SOPECAM ;
l’entretien des relations avec les médias, autres services de
communication, d’une manière générale des relations publiques de la
SOPECAM.
II- RESSOURCES
1- Ressources matérielles
09 bureaux ;
17 tables ;
20 chaises ;
10 personal computer + 5 imprimantes laser ;
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02 téléviseurs ;
05 clés USB ;
06 armoires.
2- Ressources humaines
La SMC est composée d’une vingtaine de personnes à savoir dix hommes et dix
femmes, la plus part diplômés en communication et marketing. Parallèlement la
cellule dispose des services d’une dizaine de sous-traitants.
III-REALISATIONS
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PARTIE II :
DEROULEMENT DU STAGE
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CHAPITRE III :
MODALITES DU STAGE ET
DEROULEMENT DU STAGE
PROPREMENT DIT
Accueil et imprégnation
Nous avons été accueillis le 1er Août 2008 par le responsable de la cellule
marketing M. Ferdinand Legrand MADIBA, qui nous a remis un ensemble de
documents relatifs à l’organisation et aux missions de la cellule dont il est
responsable. Il était question de nous imprégner de ces documents afin de lui
rendre compte de ce que nous avons retenu. Ensuite, nous avons eu une séance
de travail avec ce dernier, au cours de laquelle, il nous a présenté le
fonctionnement de son service, nous a reparti les tâches à effectuer durant notre
stage et a terminé par quelques recommandations relatives aux tâches à
effectuer, la plus part des tâches assignées étaient faites individuellement.
Après cette séance de travail, il nous a été demandé de rédiger une note à
l’attention du Directeur Général par laquelle nous sollicitons une rotation des
services et un projet de planning de rotation soumis à son appréciation.
Les journées de travail débutaient à 8h et commençaient par la lecture du
quotidien Cameroon-tribune et s’achevaient à 15h30min.
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I-ROTATIONS DES SERVICES
Suivant le planning de rotation joint en annexe, nous avons visité tous les
services de la SOPECAM dans l’optique de mieux nous imprégner des réalités
du milieu professionnel.
-Du 13 au 15 Août 2005 nous avons été au service des ventes et du réseau.
Madame Oyoua chef du service des ventes et du réseau, nous a entretenu sur
les activités de ce service. Ce service a en charge la supervision de la
production et la distribution des publications SOPECAM, la recherche des
abonnés à CT, NYANGA, WEEK-END Sports et Loisirs ; et la vente des
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produits d’imprimerie, des livres et brochures. Il héberge aussi le service
facturation.
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-Du 26 au 28 Août 2008, nous avons été à la direction de rédaction des
magazines. M. Laurent ABAH, rédacteur en chef du magazine « NYANGA »
nous a présenté le fonctionnement des services de la DRM.
La DRM tient une conférence de rédaction chaque mardi matin pour la rubrique
« la tribune des régions » qui parait chaque mercredi dans le CT et un séminaire
de rédaction une fois par mois pour le magazine mensuel « NYANGA ».
-Le 3 Septembre 2008 nous avons été au service des affaires générales.
Madame Fouda chef de service nous a entretenu sur le fonctionnement de ce
service. Il est chargé de la gestion des ressources matérielles et humaines de la
structure, et des affaires du personnel.
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II – TACHES EFFECTUEES
Nous avons effectué notre stage à la cellule marketing de la SMC. Les missions
qui nous ont été confiées sont :
traitement des dossiers cotés à la cellule marketing. Ces dossiers sont :
- dossier stage académique.
- dossier Goodwill-Cameroun (demande de soutien) ;
- dossier « le Droit du Travail par l’exemple » (campagne de lancement) ;
- dossier Hôtel Grand Mvan (offre de service) ;
- lancement officiel du magazine Week-end Sports et Loisirs (projet
d’attribution de commission).
classement des dossiers.
Dossier Goodwill-Cameroun
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Les messages étaient de types informatifs sur le nouveau manuel scolaire. La
conception des messages était faite en fonction des cibles (élèves, enseignants,
chefs d’établissement).
Objectif de la campagne
Faire connaître le livre auprès de ses cibles.
Cibles
Elèves, enseignants, chefs d’établissement.
Période la campagne
La campagne de promotion du livre : « le Droit du Travail par L’exemple »
s’étendait du 20 Août au 20 Octobre 2008 (avant et après la rentrée scolaire).
Les moyens de communication
Les moyens de communication utilisés sont : la presse écrite, la télévision, et la
radio.
Les supports de communication
Les supports presse écrite sont : le Cameroon-Tribune, le Jour, le Messager, la
Nouvelle expression, et Mutations.
Les supports télévision : CRTV, Canal2, Equinoxe.
Les supports radio: CRTV PN, Sweet FM, Equinoxe FM, Magic FM, Sky one
FM.
message synthé TV
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message radio CRTV-Poste Nationale
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ces actions permettront aussi de renforcer la notoriété de la SOPECAM, éditeur
dudit livre.
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Méthode de classement des dossiers
Nous étions chargées de mettre les courriers arrivés dans une chemise pour
constituer un dossier et par la suite les classer dans l’armoire par ordre
alphabétique, ceci dans le but de ne pas égarer les dossiers. Alors chaque dossier
avait un nom et était rangé dans l’armoire (exemple : le courrier arrivé de
l’Hôtel Grand Mvan avait pour nom sur la chemise : Hôtel Grand Mvan, classé
dans la catégorie des H.
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III- CONNAISSANCES ACQUISES ET DIFFICLUTES RENCONTREES
Les tâches que nous avons effectuées tout au long de notre stage nous ont permis
de mettre en pratique les connaissances acquises sur le plan académique, aussi
d’acquérir des nouvelles connaissances sur le plan professionnel, dans lesquelles
nous avons rencontré quelques difficultés.
Dans le tableau ci-dessous, nous avons regroupé les différentes tâches
effectuées, les connaissances acquises ainsi que les difficultés rencontrées.
IV- REMARQUES
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Tout au long de notre stage à la cellule marketing, nous avons pu remarquer des
aspects positifs et certains manquements au sein de ladite cellule et la
SOPECAM.
Remarques positives
Tout d’abord, nous avons apprécié la gestion des dossiers par la cellule
marketing, de leur arrivée à la cellule jusqu’à leur départ, la méthode de
traitement des dossiers suivant la méthode FIFO, ce qui nous permettait de ne
pas nous embrouiller.
Ensuite, le classement des dossiers par ordre alphabétique est un atout pour cette
cellule, cela lui permettait de ne pas perdre les dossiers entrants et les archiver
de façon chronologique.
Nous avons aussi remarqué les collections de journaux (c’est un document qui
contient tous les journaux parus au cours d’un mois), il y avait les collections du
CT et autres journaux. L’octroi de l’outil Internet qui nous permettait d’être en
contact avec certains annonceurs et autres agences de la SOPECAM.
Enfin, nous avons observé la tenue des réunions d’information chaque début de
semaine réunissant le directeur délégué et ses collaborateurs, ces réunions
avaient pour objectif d’informer sur les actions de communication à mener, aussi
de traiter des problèmes que rencontre la SMC. La disposition des différents
chronos au sein de la cellule marketing, chrono note au directeur général
(contenait toutes les notes à l’attention du directeur général au cours de l’année,
le classement se fait de façon chronologique), chrono courrier arrivé (contenait
tous les courriers arrivés à la cellule marketing, classé de façon chronologique),
chrono courrier départ (contenait tous les courriers qui partent de la cellule
marketing), chrono décisions (contenait toutes les décisions prises par la
direction de la SOPECAM. Ces chronos représentent les archives de ladite
cellule.
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Manquements
Au cours de notre séjour à la cellule marketing, nous avons déploré :
-premièrement le rattachement de la fonction de Relations publiques au
Marketing, ceci est une lourde tâche pour le responsable de la cellule
marketing ;
Ensuite, l’absence d’une ligne de téléphone interne qui devrait relier la cellule
marketing aux autres cellules et surtout au secrétariat du directeur délégué de la
SMC. En effet lorsque celui-ci avait besoin du responsable de la cellule
marketing, il était soit obligé de se déplacer ou d’envoyer sa secrétaire. Cela
empiétait sur le travail.
-deuxièmement, nous avons déploré l’absence d’un service d’accueil spécialisé
au sein de la SOPECAM, qui devrait constituer l’un des signes extérieurs
d’image que véhicule l’entreprise, il convient de noter que l’accueil est le
premier contact entre l’entreprise et l’extérieur : il est de ce fait fondamental ;
Nous avons aussi déploré l’absence de la mise à jour des papiers en-tête de la
SOPECAM, ces derniers sont les premiers supports avec lesquels elle
communique avec ses clients, partenaires et fournisseurs, ceux-ci comportaient
encore le numéro de téléphone à sept chiffres et il manquait le logo du nouveau
magazine « Week-end Sports et loisirs » ;
Nous avons déploré l’absence des enveloppes personnalisées, en effet lorsque la
SOPECAM voulait faire parvenir son courrier auprès de ses partenaires, elle
manquait d’enveloppes, or celles-ci constituent les signes extérieurs d’images ;
-troisièmement, nous avons regretté l’absence des signalétiques directionnelles
qui contribueraient à la conception de l’identité visuelle de la SOPECAM ;
Nous avons remarqué l’absence d’une ligne Intranet qui devrait permettre aux
différents services d’échanger les informations entre eux ;
Enfin nous avons remarqué la non mise à jour du site Internet de la SOPECAM
qui devrait valoriser l’image de l’entreprise.
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CHAPITRE IV :
MODE DE GESTION DE L’ACCUEIL A
LA SOPECAM
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Tout au long de notre stage d’application du 1er Août au 30 Septembre 2008 à la
SOPECAM, plus précisément à la cellule marketing de la SMC, dont l’objectif
était de nous confronter aux réalités du milieu professionnel, nous avons observé
les différents supports de communication que la structure utilisait pour être en
relation permanente avec son personnel interne. Nous avons pu remarquer la
tenue des réunions hebdomadaires, les notes de services, l’affichage, les fêtes
d’anniversaire. La SOPECAM fait recours à ces supports de communication
interne dans le but d’instaurer et de développer un climat de confiance, puis de
renforcer la cohésion entre ses différents services. Cependant, si nous avons loué
cette méthode de communication avec le personnel interne, nous avons par
contre déploré la communication avec le public externe (clients, visiteurs,
fournisseurs, actionnaires, partenaires), l’accueil réservé à ces derniers n’est pas
chaleureux.
Il convient de noter que toute personne qui franchit le seuil de l’entreprise est
assaillie par une multitude d’impressions ; c’est le premier contact entre
l’entreprise et l’extérieur, l’accueil façonne incidemment l’image d’une
entreprise. C’est pour cette raison que cet aspect de la communication plus
précisément des Relations publiques qu’est l’accueil fera l’objet de notre
analyse. Il s’agira pour nous de l’analyser, ensuite d’identifier le problème de
communication que pose son absence et enfin d’offrir les possibilités de
solutions en vue de résoudre ce problème.
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Selon le lexique des termes en communication du Docteur Patrice MBIANDA,
les Relations publiques peuvent se définir comme « un ensemble des actions
ayant pour objet d’influencer l’opinion publique en faveur d’une entreprise ou
de toute organisation officielle ou privée, voir d’un individu ». La notion
d’image quant à elle se définit comme étant « l’ensemble des représentations à
la fois affectives et rationnelles concernant un produit, une marque, une firme,
un individu ». Celle-ci peut être favorable ou défavorable. C’est dans l’optique
de donner une image favorable à une entreprise qu’il est important de bien
accueillir le public externe.
L’accueil devient alors le premier signe que l’entreprise démontre à l’égard de
son public externe. Pour ce qui est de la SOPECAM, elle ne dispose pas de
service d’accueil. En effet, après avoir déposé sa carte nationale d’identité à la
guérite l’usager ne sait où se diriger, cela constitue une perte de temps qui
ralentit l’accomplissement de sa tâche à la SOPECAM.
Le système d’accueil qui a été mise sur pied ne respecte pas les normes
communicationnelles. Il est archaïque, source d’ennui et de dispersion.
L’accueil, ayant pour but de répondre aux préoccupations du public externe, il
est un outil de communication qui les oriente vers un service ou un produit de
l’entreprise, il est important de mettre sur pied un service d’accueil spécialisé
pour faire connaître auprès de ceux-ci les produits et services de l’entreprise,
afin de créer un capital- sympathie (politique qui permet à l’entreprise d’être
choisie, appréciée, défendue).
Dans un tableau, nous essayerons de l’analyser en présentant ses avantages et
inconvénients.
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A la suite de ce tableau, nous pouvons constater que la mise en œuvre d’une
service d’accueil spécialisé à la SOPECAM présenterait beaucoup d’avantages
et permettrait à l’entreprise d’être en contact permanent avec son public externe
comme avec son personnel interne ; aussi de développer de bonnes relations
entre elle et ses différents publics. Pour ce faire, la SOPECAM devrait disposer
d’un personnel compétent maîtrisant bien l’entreprise pour pouvoir mieux la
vendre auprès de ses cibles.
II- DIAGNOSTIC
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III-SOLUTIONS ENVISAGEABLES
Néanmoins quelques efforts sont faits dans l’aménagement actuel des locaux,
c’est ainsi que nous pouvons apercevoir des affichettes sur certaines portes
laissant apparaître un nom et un titre.
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Suggestions pour améliorer le fonctionnement de la SOPECAM
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CONCLUSION GENERALE
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REFERENCES BILBIOGRAPHIQUES
WEBOGRAPHIE
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ANNEXES