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CHAPITRE IV

PROPRIETES MECANIQUES

I. Introduction ......................................... ............................................................................................................. ...................................... 45


II. Contraintes et déformations............................ ....................................... ......................................... ......................................... 45
III. Caractérisation des propriétés mécaniques........................................................................... ......................................... 47
IV. Essai de traction simple......................................... .................................................... .................................................................. 49
IV. 1. Diagramme contrainte-déformation : Cas d’un essai de traction directe ………………....................... 49
V. Le module d’élasticité .................................................................... ................................................................................. ................. 50
VI. Notions de structure et son influence sur le comportement mécanique...................................................... 54
VI.1. Structure et transformations structurales des matériaux organiques........................................................... 54
VI.2. Propriétés générales des matériaux organiques ....................................................................................................... 56
Série d’exercices.................................................................................................................................................. ......................................... 58
Cours : Propriétés des Matériaux Chapitre IV
Polymères et composites

I. Introduction

Pour beaucoup de matériaux, les propriétés mécaniques déterminent leurs applications


potentielles.

Ce chapitre fournit une base de compréhension pour les propriétés mécaniques.

Dans l’analyse des propriétés mécaniques, la difficulté consiste à départager la rigidité


intrinsèque du matériau de la géométrie de la structure.

Le comportement mécanique des polymères usuels est caractérisé par une grande diversité
apparente. En effet, dans les mêmes conditions de service, et d’un point de vue technologique,
on peut trouver des polymères qui sont, soit rigides fragiles, soit ductiles, soit
caoutchoutiques. Cette diversité se retrouve, pour un même polymère, si l'on fait varier
certaines de ses caractéristiques, ou simplement ses conditions d'emploi. Il peut être rigide
fragile, ductile ou élastique etc. Ceci ne veut pas dire que le comportement d’un polymère est
variable, voire incontrôlé. En effet, ce sont les paramètres contrôlant son comportement et les
processus élémentaires envisageables qui sont nombreux.

Ces transitions de comportement sont fortement liées à la structure du polymère et varient


significativement d’un polymère à l’autre. Ce chapitre vise à décrire la structure des
matériaux polymères à différentes échelles, l’échelle moléculaire, l’échelle macromoléculaire
et enfin l’échelle morphologique. A chacune de ces échelles, nous nous limiterons à discuter
quelques éléments qui sont connus et qui entrainent un impact direct sur le comportement
mécanique du matériau.

II. Contraintes et déformations

L’effet des forces sur différents matériaux est expliqué par Robert HOOKE (1635-1703), de
façon empirique à l’échelle macroscopique : un matériau à l’état solide ne résiste à une force
appliquée qu’en se déformant sous l’action de cette force. Les matériaux sont élastiques. Il
établit une règle, la loi de HOOKE, selon laquelle l’allongement est toujours proportionnel à
la force appliquée. Cette loi n’est rigoureusement vraie que pour les céramiques, le verre, la
plupart des minéraux et les métaux les plus durs.

Mais, dans quelle mesure le comportement d’une structure dépend de son matériau constitutif
plutôt que de ses dimensions et de sa forme ? Nous avons besoin de standards objectifs de
comparaison qui soient indépendant de la taille et de la forme du matériau.

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La considération des conditions qui règnent en chaque point d’un matériau soumis à des
forces mécaniques conduit aux notions de contrainte et de déformation. La définition claire et
utilisable de ces deux notions est due à Augustin CAUCHY (1789-1857). Quand on soumet
un corps à l’action de forces extérieures, des contraintes s’établissent par réaction, à l’intérieur
de ce corps, à ces contraintes sont associées des déformations.

Pour s’affranchir de la dépendance des dimensions du matériau, les deux paramètres


‘contrainte’ et ‘déformation’ sont utilisés.

La contrainte (σ) détermine avec quelle intensité les atomes du matériau sont écartés les uns
des autres ou comprimés les uns sur les autres. Cette contrainte est, pour une traction simple,
la force qui agit sur une unité de surface du matériau.

Si on considère un corps cylindrique soumis à deux forces F1 et F2 (figure IV.1), la


contrainte normale doit être :

 Colinéaires
 Normales à la section
 De même valeur F1=F2=F
 Opposées

Figure IV.1. Traction normale

Selon le plan (m) ⊥ axe de traction, la surface S est soumise à une série de forces dF (voir
Figure IV.2)

∑ dF = F (IV.1)

Figure IV.2. Surface de traction


La surface S est soumise à une contrainte normale de traction

σ = dF/dS → F =∫∫s σ dS (IV.2)

Pour une traction simple, s est la même sur toute la surface S et la contrainte est exprimée
par la formule suivante :

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σ = F/S0 (IV.3) σ en Pascal (Pa).

La déformation indique dans quelles proportions, les liaisons interatomiques (à l’échelle


microscopique) et la structure elle-même (l’objet, à l’échelle macroscopique) ont été
déformées. La déformation, pour une traction simple, est le rapport de l’allongement à la
longueur initiale.
Considérons un élément de matière cubique, après application de la contrainte, le cube est
déformé selon les 3 directions (voir figure IV.3) :

 Allongement du parallèle // à la traction

ε//=du / L (IV.4) déformation longitudinale

 Accourcissement dv perpendiculaire ⊥ à traction

ε⊥ = dv / L (IV.5) déformation latérale

Le coefficient de Poisson ν relie les deux déformations :


Figure IV.3 : Déformation de

ν = - ε⊥ / ε// (IV.6) [sans unité]


l’éprouvette

III. Caractérisation des propriétés mécaniques


Pour pouvoir utiliser raisonnablement les matériaux, il est essentiel de déterminer les
conditions de déformation et de rupture des matériaux.

Afin de caractériser le comportement mécanique d'un ou de plusieurs matériaux soumis à des


forces extérieures qui engendrent des contraintes et des déformations, on a recours à un
certain nombre d'essais mécaniques.

Ces essais mécaniques doivent mettre en jeu des états de contrainte simples et connus,
d’interprétation facile et non équivoque. De plus, ils doivent être reproductibles. C’est
pourquoi, des organismes nationaux et internationaux normalisent ces essais (NA, AFNOR,
ISO, CEN).

La normalisation des essais porte sur :

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- La géométrie de l’éprouvette (une éprouvette est une pièce de dimensions normalisées


utilisée lors des essais mécaniques visant à déterminer le comportement du matériau soumis à
différents efforts mécaniques comme la traction, la torsion, la flexion...)

- La préparation de cette éprouvette ;


- Les machines d’essai et leur étalonnage ;
- Les techniques expérimentales mises en œuvre ;
- Le dépouillement et la présentation des données.

On peut distinguer :

A/ Les essais peu liés au temps


Dans lesquels la déformation provoquée est peu liée à la durée d’application de la force :

-L'essai de traction, de compression ou de flexion, détermine l'aptitude à la déformation d'un


matériau soumis à un effort progressif.

Figure IV.4. Eprouvette en traction directe

-L'essai de dureté fournit des renseignements sur la résistance à la pénétration d'une pièce
dure soumise à un effort constant.
-L'essai de résilience : cet essai caractérise la résistance au choc.

B/ Les essais fortement liés au temps


Dans lesquels la déformation provoquée dépend de la durée d’application de la force :
-L'essai de fatigue étudie le comportement du matériau vis à vis de sollicitations alternées
bien inférieures à la contrainte nécessaire pour sa rupture.
-L'essai de fluage mesure la déformation, en fonction du temps, du matériau sous charge
constante.

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IV. Essai de traction simple


L'essai le plus fréquemment utilisé afin de déterminer le comportement mécanique d'un
matériau est l'essai de traction. Cet essai est caractérisé par sa facilité de mise en œuvre et
par la richesse des informations fournies.
On exerce une force de traction sur un barreau de dimension standardisée, jusqu'à sa rupture,
en suivant un processus de mise en charge à une vitesse de déformation constante.
L’éprouvette d'essai est prélevée dans le matériau à caractériser et usinée à des dimensions
normalisées, afin d'assurer une meilleure comparaison des essais effectués dans différents
laboratoires. Pour chaque type de matériau, il existe un type d’éprouvette.

En enregistrant la force appliquée à l'éprouvette par la machine de traction (figure IV.5) et son
allongement progressif, on obtient une courbe contrainte-déformation.

Figure IV.5. Eprouvette et machine de traction.

IV.1. Diagramme contrainte-déformation : Cas d’un essai de traction directe


L'application d'une force provoque initialement une déformation élastique de l’éprouvette,
cela se traduit sur le diagramme par une droite car la déformation est proportionnelle, pour un
métal, à la contrainte (loi de HOOKE).

Cette déformation élastique est réversible. Si la contrainte est annulée, l’éprouvette revient
instantanément à sa forme initiale. Cette déformation élastique est suivie d'une déformation

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irréversible (permanente) appelée déformation plastique, qui se traduit sur le diagramme par
une courbe qui se termine au moment de la rupture de l’éprouvette (figure IV.6).

Figure IV.6. Courbe contrainte-déformation. Domaine élastique et domaine plastique

Différents paramètres sont remarquables :


- Le module d'élasticité E (Module de YOUNG) donné par la pente
du domaine élastique du diagramme contrainte-déformation.

V. Le module d’élasticité
Si l’on raisonne, par simplification, sur un corps parallélépipédique
supposé à une seule dimension dans un essai de traction dans un seul axe
(uni-axiale, selon l’axe des x), l’éprouvette subit un allongement. Pour
les petites déformations, il existe une relation linéaire entre la contrainte
et la déformation :

σx = E.εx = E ΔL/L0= E (L- L0)/ L0 (IV.7)

E est le module d’élasticité ou Module de Young

En réalité, l’éprouvette se déforme dans les 3 directions (figure IV.7).

Dans le sens Ox il y a un allongement, dans les sens Oy et Oz il y a


raccourcissement.
Dans ce cas de traction simple, si les contraintes sy et sz sont nulles, les
déformations ey et ez ne le sont pas. Figure IV.7. Eprouvette en traction

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Les trois déformations sont reliées par le coefficient de POISSON.

εx = -εy/v = - εz/v (IV.8)

v est le coefficient de POISSON


- La limite d'élasticité Re correspond à la contrainte à partir de laquelle le matériau
commence à se déformer plastiquement. En pratique, bien que la définition soit simple, cette
limite est difficile à apprécier car le passage du domaine élastique au domaine plastique se fait
de façon progressive. La difficulté de lecture donnerait des interprétations erronées de cette
limite d’un laboratoire à l’autre. Pour s’en affranchir, on a déterminé une limite
conventionnelle d’élasticité à 0,2% (Re 0,2%). C’est la contrainte pour laquelle on mesure
une déformation plastique de 0,2%.
- La résistance à la traction Rm se définit comme la contrainte maximale atteinte durant
l’essai de traction.
- L’allongement à la rupture er que l’on peut lire sur le diagramme ou sur l’éprouvette
rompue.

Figure IV.8. Courbe contrainte-déformation. Limite d’élasticité et résistance à la traction

On peut également définir certaines caractéristiques déterminées par l'essai de traction :

- La rigidité est fonction de l'énergie des liaisons entre les atomes ou les molécules
constituant le matériau. On mesure la rigidité principalement par le module d’YOUNG.

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Plus ce module est élevé, plus le matériau est rigide.

- La résistance caractérise la contrainte maximale que peut supporter le matériau avant de se


rompre. Cette résistance est fonction de l’intensité des liaisons mais également de la forme
des pièces ou de ses défauts.

- La ductilité correspond à la capacité d’un matériau à se déformer de façon permanente


avant de se rompre. Plus l’allongement à la rupture est élevé, plus le matériau est considéré
comme ductile. A l’opposé, lorsque la déformation permanent est très réduite ou nulle, on
parle d’un matériau fragile. Un matériau fragile peut présenter une résistance très élevée
(figure IV.8).

- La ténacité qui représente la quantité d'énergie absorbée (en joules) à la rupture par un
matériau. Elle caractérise la résistance à la propagation brutale de fissures. Sa valeur est égale
à l’aire de la surface sous la courbe contrainte-déformation. Cette caractéristique est
importante pour les matériaux ductiles (voir figure IV.10).

Fragile Ductile Non linéaire

(N) (N)
(N)

(mm) (mm) (mm)


Pas de domaine plastique Déformation plastique Déformation élastique non
permanente proportionnelle à la charge

Exemples
 Verre  Métaux  Caoutchouc
 Céramique  Alliages  Elastomères…
 Béton  Polymères
 Polymères  Thermoplastiques
 Thermodurcissables

Figure IV.9. Comportements mécaniques des matériaux.

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Figure IV.10. Courbe contrainte-déformation. Ténacité = surface sous la courbe (en joules)

Figure IV.11. Distribution du module de Young pour les différentes classes des matériaux.

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VI.1. Notions de structure et son influence sur le comportement mécanique

Les matériaux polymères sont constitués de molécules géantes (macromolécules) organiques


(atomes de carbone, d’oxygène, d’hydrogène et d’azote) sur lesquelles peuvent être greffées
des radicaux (fluor, soufre, silicium etc…). Les liaisons entre les atomes d’une
macromolécule sont des liaisons covalentes. Ces liaisons covalentes (par exemple la liaison
C-H), sont souvent dissymétriques, elles portent alors un dipôle électrique.

Ces dipôles sont à l’origine d’interactions électrostatiques inter-macromolécules. Ces


interactions qui sont à liaisons faibles, assurent la cohésion du matériau polymère. Lorsque la
température augmente, ces liaisons faibles «fondent» en premier lieu. Leur température de
fusion est appelée température de transition vitreuse du polymère Tg.

Un polymère est une macromolécule dans laquelle un même motif est périodiquement
répétitif, appelé le monomère. De ce fait, on peut faire constituer, des dimères, trimères etc. et
finalement un polymère. Par exemple dans le cas du polyéthylène :

Monomère: Ethylène

Polymère: Polyéthylène

Figure IV.12 : Schéma d’un polymère linéaire

VI.2. Structure et transformations structurales des matériaux organiques

A l’état solide, la structure de la plupart des polymères est amorphe, car la grande taille, les
circonvolutions et l’enchevêtrement des macromolécules rendent difficile leur diffusion et
leur mise en ordre cristallin lors d’un refroidissement. Certains facteurs favorables (chaînes
courtes, rectilignes, non ramifiées…) rendent cependant possible une cristallisation (rarement
supérieure à 80 %). Les macromolécules s’organisent en plaquettes cristallines elles-mêmes
regroupées sous forme de sphérolites, enrobées de la fraction amorphe du polymère; cette
structure est détectable par observation microscopique en lumière polarisée.

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La cristallisation s’accompagne d’une densification sensible du matériau au passage de la


température de fusion θf (figure IV.13). Dans le cas où le polymère demeure à l’état amorphe,
le refroidissement s’accompagne relatif des chaînes qui facilite le raccourcissement des
distances d’équilibre. Ceci est possible jusqu’à la température de transition vitreuse (parfois
notée Tg = glass transition température), en dessous de laquelle les liaisons faibles sont assez
intenses pour empêcher toute mobilité des chaînes : la densification se fait alors au même
rythme que pour le matériau cristallin correspondant.

Figure IV.13. Evolutions schématiques du volume massique Vm et du module de Young E d’un


Polymère en fonction de la température

La figure IV.13 met en regard les conséquences très sensibles de cette évolution sur le
comportement mécanique du polymère, qui passe de l’état de fluide visqueux à l’état solide,

en passant éventuellement par un état pâteux dit caoutchoutiques entre θf et θv. Comme cette
transition peut se faire sur un intervalle réduit de température (de l’ordre de quelques dizaines

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de degrés Celsius) souvent situé au voisinage de l’ambiante, ces particularités de


comportement doivent impérativement être prises en compte pour l’utilisation des polymères.

L’architecture des macromolécules joue évidemment un rôle dans ces transformations : les
polymères à DP élevé, à chaînes ramifiées ou à radicaux complexes à fort encombrement
(comportant par exemple des cycles aromatiques) ont une température de transition vitreuse
plus élevée que ceux dont les chaînes sont linéaires ou courtes.
Lorsque les chaînes sont réticulées entre elles par des liaisons covalentes transversales, la
densité de ces réticulations conditionne la longueur des segments de chaînes libres de bouger :
un fort taux de réticulation impose donc en permanence une structure amorphe figée, et élève
donc ou fait même disparaître complètement à la fois la transition vitreuse et la fusion (figure
IV.14).

Figure IV.14. Evolution schématique du module de Young E d’un polymère en fonction de la


température, pour divers taux de réticulation

2.5. Propriétés générales des matériaux organiques


Les matériaux organiques ne comportant que des liaisons dites covalentes combinées à des
liaisons faibles entre atomes non-métalliques, aucun électron ne sera disponible dans la bande
de conduction. En conséquence, ces matériaux sont en général intrinsèquement des isolants
électriques et thermiques.

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La cohésion entre chaînes macromoléculaires étant assurée pour l’essentiel par des liaisons
faibles qui conditionnent en une grande mesure les propriétés des polymères : leur module
d’élasticité ; leur température de fusion ou de décomposition thermique qu’est basse (car ces
liaisons sont peu résistantes à l’agitation thermique) et pour la même raison, leur coefficient
de dilatation thermique est élevé.
Leur structure atomique étant relativement peu compacte et leurs atomes constituants étant
des éléments légers, la masse volumique des polymères est relativement faible par rapport à
celle des alliages métalliques. Mais leurs propriétés mécaniques (élasticité, plasticité,
rigidité…) sont limitées, ce qui pénalise leur utilisation comme matériaux de structure.

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