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C’est une forme d’écriture des expressions mathématiques qui sert à minimiser et
simplifier les formes de ces expressions elle permet l’écriture compacte, brève et pratique des
expressions des formules mathématiques.
1) indice muet :
Tr A=∑𝑛𝑖=1 𝑎𝑖𝑖
Aussi:
𝑛
B=𝑎1 . 𝑥 1 + 𝑎2 . 𝑥 2 + 𝑎3 . 𝑥 3 + 𝑎4 . 𝑥 4 = ∑𝑖=1 𝑎𝑖 𝑥 𝑖
𝜕𝑢 𝜕𝑢 𝜕𝑢
𝑑𝑢 = 𝜕𝑥 𝑑𝑥 + 𝜕𝑦 𝑑𝑦 + 𝜕𝑧 𝑑𝑧
Si on pose (x =. 𝑥 1 , 𝑦 = 𝑥 2 , 𝑧 = 𝑥 3 ) on obtient :
3
𝜕𝑢 𝜕𝑢 𝜕𝑢 𝜕𝑢
𝑑𝑢 = 𝜕𝑥 1 𝑑𝑥 1 + 𝜕𝑥 2 𝑑𝑥 2 + 𝜕𝑥 3 𝑑𝑥 3 = ∑ 1 𝑑𝑥 𝑖
𝑖=1 𝜕𝑥
Tr A= 𝑎𝑖𝑖
B= 𝑎𝑖 𝑥 𝑖
𝜕𝑢
𝑑𝑢 = 𝜕𝑥 𝑖 𝜕𝑥 𝑖
Définition:
Une même lettre quelconque figurant deux fois en indice dans un monôme signifie qu’une
somme est à effectuer, on lui donne dans ce cas le nom d’indice muet.
2) Convention d’Einstein :
Tr A= 𝑎𝑖𝑖 (𝑖 = 1, 𝑛)
𝐵 = 𝑎𝑖 𝑥 𝑖 (𝑖 = 1,4)
𝜕𝑢
𝑑𝑢 = 𝜕𝑥 𝑖 𝜕𝑥 𝑖 ( 𝑖 = 1,3)
Exemple:
𝑈1 𝑣1
→ (𝑈2 ) Et → (𝑣2 )
𝑈 𝑣
𝑈3 𝑣3
→ → = 𝑢𝑖 𝑣𝑖 Ou 𝑢𝑖 𝑣 𝑖
𝑈 𝑣
i : indice libre.
*si on change l’indice muet par un autre indice le sens de l’expression mathématique ne change
pas.
Exemple :
𝑗
tr𝐴 = 𝑎𝑖𝑖 = 𝑎𝑗 = 𝑎𝑘𝑘 (𝑖, 𝑗, 𝑘 = 1,2,3 … , 𝑛) .
𝒋
3) Le symbole de Kronecker : 𝒊𝒋 = 𝒊 = 𝒊𝒋 .
C’est un symbole souvent utilisé pour simplifier les formes des expressions mathématiques.
𝑖𝑗=1 𝑠𝑖 𝑖=𝑗
𝑖𝑗=0 𝑠𝑖 𝑖≠𝑗
Dans ce contexte, on appelle matrice unité I ou la matrice de Kronecker, la matrice carrée dont
les éléments 𝑖𝑗 sont tel que :
0 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑖≠𝑗
𝛿𝑖𝑗 = [ ]
1 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑖=𝑗
Exemple:
𝜕𝑦 𝑖 𝜕𝑦 𝑗 𝜕𝑦 𝑖 𝜕𝑦 𝑖
*𝐴 = 𝑖𝑗 . = ∑𝑛𝑖=1 𝜕𝑥 𝛼 . 𝜕𝑥 𝛽 .
𝜕𝑥 𝛼 𝜕𝑥 𝛽
Tr 𝐴 = 𝑎𝑖𝑗 𝑖𝑗
Exemple:
0 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑖 = 𝑗
𝑖𝑗 { 1 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑖 = 1, 𝑗 = 2 (i,j=1,2)
−1 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑖 = 2, 𝑗 = 1
En utilisant cette notation, le déterminant d’une matrice carrée est donné par:
𝑎11 𝑎12 1 2 1 2 𝑖𝑗 1 2
det 𝐴 = |𝑎
21 𝑎22 | = 𝑎1 𝑎2 _ 𝑎2 𝑎2 = 𝑎𝑖 𝑎𝑗 𝑖, 𝑗 = 1,2
Pour le symbole de spin à trois indices.
1
𝑖𝑗𝑘 = (𝑖 − 𝑗)(𝑗 − 𝑘)(𝑘 − 𝑖)
2
Exemple:
5) Indices répétés:
Dans ce cas ou le même indice est répété plusieurs fois en haut (ou en bas), la sommation ne doit
se faire qu’une seule fois.
Exemple:
*𝐵 = 𝑎𝛼𝛼 𝑑𝑥 𝛼 𝑑𝑥 𝛼 𝛼 = 1,2,3
= 𝛿𝛼𝛽 𝑎𝛼𝛽 𝑑𝑥 𝛼 𝑑𝑥 𝛽
𝜕𝑦 𝑖 𝜕𝑦 𝑖 𝜕𝑦 𝑖 𝜕𝑦 𝑗
*𝑘𝑖𝑖 = 𝛿𝑖𝑗 𝜕𝑥 𝛼
𝜕𝑥 𝛼 𝜕𝑥 𝛽 𝜕𝑥 𝛽
I.2.Algèbre matricielle :
1) Définition :
Chaque terme 𝑎𝑖𝑗 est appelé élément de la matrice. La matrice précédente possède m lignes et n
colonnes, on dit que c’est une matrice d'ordre (m× 𝑛).quand (m=n) on dit qu’on a une matrice
carrée.
2) Addition et Soustraction :
L’addition et la soustraction ne sont définies que pour des matrices du même ordre.
3) Egalité :
On dit que deux matrices sont égales si elles sont de même ordre et leurs termes correspondent
sont égaux.
Si on échange les lignes et les colonnes d’une matrice [𝐴] , on obtient une nouvelle matrice
notée [𝐴]𝑇 appelée matrice transposée.
4) Matrice diagonale :
Une matrice est dite diagonale si tous ses termes à l’exception de ceux situées sur la diagonale
principale sont nuls.
Le produit [𝐴]. [𝐵] n’est défini que si (𝑟 = 𝑛) et on obtient une matrice [𝐶 ] d’ordre (𝑚 × 𝑝) t.q :
Propriétés :
6) Déterminant :
En général un déterminant d’ordre n est représenté par un tableau carrée de 𝑛2 termes, dont
l’évaluation se faite par la règle suivante.
Exemple :
D’inverse la matrice [𝐴] notée [𝐴−1 ] est définie par [𝐴]. [𝐴−1 ] = [𝐴−1 ]. [𝐴] = [𝐼 ]
La matrice de droite est obtenue en remplaçant chaque terme 𝑎𝑖𝑗 de[𝐴] par son cofacteur et en
transposant le résultat.
−3 +6 −11
Exemple : [𝐴] = [ 3 −4 6 ]
4 −8 13
Remarque :
On dit qu’une matrice est symétrique si [𝐴] = [𝐴]𝑇 et on dit qu’une matrice est antisymétrique si
elle est vérifie l’égalité[𝐴] + [𝐴] = 2[𝐼 ] .
I.3 Bases et repères :
Le concept de solide indéformable permet de définir les notions de point, de droite, de distance
et d’angle a partir desquelles on bâtit la géométrie classique D’EUCLIDE.
1) Définitions :
Scalaire : (ou tenseur d’ordre 0) c’est un être mathématique d’déterminé par un nombre unique.
Il est défini par un nombre et indépendant des axes de référence. Le scalaire s’écrit sans indice.
Vecteur : (ou tenseur d’ordre1) C’est un objet déterminé par un nombre positif nul, une
direction et un sens. Le nombre est dit module ou norme du vecteur.
Espace vectoriel :
Dans un espace à trois dimensions, considérons l’ensemble des vecteurs liés à partir
desquelles on forme des systèmes → de ces vecteurs. Tous ces système → et avec les vecteurs de
𝑎𝑖 𝑎𝑖
géométrique de tout les vecteurs composant ce système et le moment de ces vecteurs par rapport
a un pont 0. On dit alors qu’on a définit l’effet au point 0 du système → .
𝑎𝑖
Soient → ,→ 𝑒𝑡→ les vecteurs unités portés respectivement par les axes 1, 2 et 3 .
𝑒1 𝑒2 𝑒3
Tout vecteurs → peut s’exprimer linéairement et d’une façon unique en fonction des vecteurs
𝑥
unités →: → = 𝑥1 → +𝑥2 → + 𝑥3 → = 𝑥𝑖 →
𝑒𝑖 𝑥 𝑒1 𝑒2 𝑒3 𝑒𝑖
Tous système de trois vecteurs linéairement indépendants avec lesquels on exprime de façon
linéaire et unique tout vecteur (quelconque) constitue une base de l’espace vectoriel.
Si les vecteurs → sont orthogonaux, la base et dite orthogonale en aura par conséquence :
𝑒𝑖
* → → = 𝑖𝑗
𝑒𝑖 𝑒𝑗
*→ → = 𝑥𝑗
𝑥 𝑒𝑗
*→ → = 𝑥𝑗 𝑦 𝑖
𝑥 𝑦
𝑢1, 𝑢2, 𝑒𝑡 𝑢3 .
y
Les surfaces d’équations 𝑢1 = 𝑐1, 𝑢2 = 𝑐2, 𝑢3 = 𝑐3 ou 𝑐1, 𝑐2 et 𝑐3 sont des constants
s’appelle surfaces de coordonnées.
Si les lignes de coordonnées forment entre elle des angles droits, le système est dit orthogonal.
𝑟⃗ = : 𝑟⃗(𝑢1, 𝑢2, 𝑢3 )
𝜕𝑟⃗
C’est un vecteur tangent a la ligne de coordonnées 𝑢1 en P. par définition, le
𝜕𝑢1
𝜕𝑟⃗
𝑒⃗⃗⃗𝑖 = 𝜕𝑢 (1)
1
En réalité ce n’est pas la seule base qu’on peut définir. En effet le vecteur.
⃗⃗𝑢𝑖 = ( 𝜕 𝑖⃗ + 𝜕 𝑗⃗ + 𝜕 𝑘⃗⃗) 𝑢𝑖
∇ 𝑖 = 1,2,3
𝜕𝑥 𝜕𝑦 𝜕𝑧
Dans le cas général, en un point P d’un système de coordonnées il existe deux ensembles de
vecteurs unitaire (𝑒⃗1 , 𝑒⃗2 , 𝑒⃗3 ) tangent aux lignes de coordonnées et (𝐸⃗⃗1 , 𝐸⃗⃗2 , 𝐸⃗⃗3 )
perpendiculaires aux surfaces de coordonnées ils se confondent dans le cas d’un système de
coordonnées orthogonal.
Les premiers sont appelés vecteur de base covariante et les deuxième sont appelés vecteurs de
base contrevariante
Règle :
On emploi des indices supérieurs pour indiquer les composantes contravariantes tandis que les
indices inferieurs indique les composantes covariantes.
I.4 Algèbre tensoriel
1) Définition : un tenseur est un objet mathématique (une grandeur physique ou mécanique) qui
ne change pas au cours d’un changement de coordonnées.
⃗⃗ = 𝑥⃗ ⨂⃗⃗⃗⃗
𝑇 𝑦 = 𝑥 𝑖 . 𝑦 𝑗 . 𝑒⃗⃗⃗⨂𝑒
𝑖 ⃗⃗⃗
𝑖𝑗
𝑗 = 𝑇 .𝑒⃗⃗⃗⨂𝑒
𝑖 ⃗⃗⃗.
𝑗
espace.
Cette notion est étendue aux valences supérieures et dans un espace à n dimensions.
⃗⃗ = 𝐻𝑖𝑗𝑘𝑙𝑚 𝑒⃗⃗⃗⨂𝑒
𝐻 𝑖 ⃗⃗⃗⨂𝑒
𝑗 ⃗⃗⃗⃗⃗⨂𝑒
𝑘 ⃗⃗⃗⃗⨂𝑒
𝑙 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑚 (𝑖, 𝑗, 𝑘, 𝑙, 𝑚 = 1, … . , 𝑛)
Exemple :
Nous avons un tenseur mixte de quatre contravariants et un covariant. Donc, le produit des
N.B : on ne peut pas écrire n’importe quel tenseur comme produit de deux tenseurs d’ordre
inferieurs.
C’est la raison pour laquelle la division des tenseurs n’est pas toujours possible.
3) contraction :
L’opération « produit tensoriel » permet a partir de deux ou plusieurs tenseurs de certains ordres
d’obtenir des tenseurs d’ordre plus élèves. L’opération « contraction » permet au contraire
d’abaisser l’ordre d’un tenseur.
Si on pose l’égalité entre un indice contravariant et une indice covariant. D’après la convention
d’Einstein, on doit faire une sommation suivant cet indice. La somme obtenue est un tenseur
d’ordre (𝑛 − 2) . Cette opération est dite « contraction ».
Exemple
Posons 𝑝 = 𝑟
4) produit contracté :
𝑝
𝐴 ⊗ 𝐵 = 𝐴𝑗𝑖 . 𝐵𝑞 𝑒⃗⃗⃗𝑖 ⊗ ⃗⃗⃗⃗ 𝑒𝑝 ⊗ 𝑒⃗⃗⃗⃗⃗𝑞
𝑒 𝑗 ⊗ ⃗⃗⃗⃗⃗
𝑖𝑝
𝐴 ⊗ 𝐵 = 𝐶𝑗 𝑞 . 𝑒⃗⃗⃗𝑖 ⊗ 𝑒⃗⃗⃗⃗𝑗 ⊗ ⃗⃗⃗⃗⃗
𝑒𝑝 ⊗ 𝑒⃗⃗⃗⃗⃗𝑞
𝑖𝑝
𝐶𝑗 𝑞 Sont les composantes d’un tenseur 𝐶 du 4ème ordre.
Définition :
En effectuant le produit de deux tenseurs suivi d’une contraction par rapport a un indice du
premier tenseur et un indice du second tenseur, on obtient un nouveau tenseur appelé produit
contracté de ces deux tenseurs.
Il est souvent commode d’utiliser le critère suivant pour connaitre le caractère tensoriel d’une
grandeur représenté par 𝑛𝑟 composante (valence 𝑟).
𝑝
Si une grandeur de valence 𝑟 attachée a une base est multipliée par un tenseur de variance {𝑞 },
𝑠
attaché à la même base, et donne, après la contraction un tenseur de variance { } , attaché
𝑡
également a la même base, la grandeur considérée est un tenseur de variance :
𝑠+𝑙−𝑝
{ }
𝑡+𝑙−𝑞
Un tenseur est dit symétrique par rapport à un couple d’indices (contravariants ou covariants) si
ses composantes restent inchangées dans une permutation des deux indices.
Si un tenseur est symétrique par rapport à n’importe quel couple d’indice (covariant ou
contravariants), il est dit complément symétrique ou tout simplement symétrique.
*Un tenseur est dit antisymétrique par rapport à un couple d’indices covariants (contravariants)
Si ses composantes changent de signe en permutant ces indices.
𝑇 𝑖 𝑘𝑗 = −𝑇 𝑖 𝑗𝑘
Si un tenseur est antisymétrique par rapport a n’importe quel couple d’indice de même nature
(contravariants ou covariant).il est dit complètement antisymétrique ou tout simplement
antisymétrique.
On peut décomposer d’une façon unique tout tenseur T du second ordre en une somme de deux
tenseurs, un tenseur symétrique S, et un tenseur antisymétrique AS avec :
1
𝑆 𝑖𝑗 = 2 (𝑇 𝑖𝑗 + 𝑇 𝑖𝑗 )
1
𝐴𝑆 𝑖𝑗 = 2 (𝑇 𝑖𝑗 − 𝑇𝑗𝑖 )
8) tenseurs associes :
𝛾
Considérons un tenseur de composantes 𝐴𝛼𝛽 et un autre tenseur de composante𝛽𝑛𝑁𝜆 . Après une
contraction complète de tous les indices, c'est-à-dire, 𝛼 = μ, 𝛽 = 𝜆, 𝛾 = 𝑛 .
𝛾
Le produit 𝐴𝛼𝛽 . 𝛽𝑛𝑁𝜆 se réduit au scalaire ont dit que les deux tenseurs 𝐴 et 𝐵 sont associée.
9) Le tenseur métrique :
Nous avons :
*Si le déterminant de 𝛿𝑖𝑗 est toujours positif et non nul l'espace examiné est appelé "l'espase
Euclidien ». Dans ce cas tous les vecteurs de base 𝑒⃗⃗⃗𝑖 ont un module qui est une quantité réelle
non nulle. Et il est possible de définir des « angles réels » entre ces vecteurs de base.
*un espace vectoriel hermétique est un espace dont les composantes 𝑔𝑖𝑗 sont des nombres
complexes.
Nous remarquons que 𝛿𝑖𝑗 sont les composantes covariantes dans la base contrevariante d’un
tenseur 𝛿 de valence 2.
Ce tenseur peut aussi s’exprimer par ces composantes contravariantes dans les bases covariantes.
⇒ 𝛿𝑖𝑗 . 𝑔𝑖𝑗 = 1
𝑑𝑠 2 = 𝑔𝑖𝑗 𝑑𝑥 𝑖 𝑑𝑥 𝑗
Cette forme est appelée aussi « forme quadratique fondamentale » de l’espace euclidien. Si cette
forme est « défini positive » on dit que cette espace « proprement euclidien ».
⃗⃗⃗⃗⃗
𝜕𝑟
𝑒⃗⃗⃗𝑖 =
𝜕𝑢𝑖
Si nous avons un deuxième système de coordonnée 𝜂𝑖 de même origine 0, les vecteurs de base
dans ce système de coordonnées sont :
⃗⃗⃗⃗⃗
𝜕𝑟 ⃗⃗⃗⃗⃗
𝜕𝑟 𝜕𝑢 𝑗 𝜕𝑢 𝑗
𝑒⃗𝑖′ = 𝑖 = 𝑗 = 𝑖 = 𝑒⃗⃗⃗.𝑖
𝜕𝜂 𝜕𝑢 𝜕𝜂 𝜕𝜂𝑖
𝜕𝑢 𝑗
′
𝑑 𝑜𝑢 𝑒⃗𝑖′ = 𝑖 𝑒⃗⃗⃗𝑗
𝜕𝜂
𝜕𝑢 𝑗
C’est la loi ce transformation des vecteurs de base qui utilise une matrice jacobienne [ 𝜕𝜂𝑖 ]
𝑇 = 𝑇 𝑖𝑗 𝑒⃗⃗⃗𝑖 ⊗ 𝑒⃗⃗⃗.
𝑗
Cette composante, 𝑇 𝑖𝑗 dans cette nouvelle base se transforment au cours d’un changement de
coordonnées par la loi suivante :
𝜕𝜂𝑖 𝜕𝜂 𝑗 𝑝𝑞
𝑇 𝑖𝑗 = . 𝑇
𝜕𝑢𝑝 𝜕𝑢𝑞
Un changement de coordonnées d’un tenseur du 2ème ordre utilise deux fois la matrice
Jacobienne.
Remarque :
Au cour d’un changement de coordonnée, les composantes covariante utilise une matrice
𝜕𝑢 𝑖
Jacobienne [ ].
𝜕𝑗
𝜕 𝑗
Par contre les composantes contravariantes se transforment en utilisant la matrice [𝜕𝑢𝑖 ] l’inverse
le la matrice Jacobienne.