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DEPARTEMENT DE FRANCAIS
APPRENDRENTISSAGE ET ENSEIGNEMENT DU
FRANCAIS AU CAMEROUN
PROJET
REDIGE PAR :
Matricule : 00723
Supervision :
Mme FLORENCE
Professeur
Novembre 2021
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DEDICACE
A mes parents LINSHIE PETER et LINSHIE FLORENCE pour votre amour sans faille, les
efforts fournis pour ma réussite et la priorité donnée à mon éducation. Retrouvez dans ce
document l'expression profonde de ma gratitude.
A Mon Frère SAMUEL DEVINE, CHRISTY et mes oncles GODLOVE, BENG, et Pasteur
FRANCK pour vos encouragements et votre soutien moral.
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REMERCIEMENT
Cet ouvrage n'aurait jamais pu prendre forme définitivement sans l'aide et l'apport de plusieurs
personnes qui, à leur manière, ont donné un élan à son développement. A cet effet, je leur
exprime ma profonde gratitude.
Je pense évidemment au Pr FLORENCE qui s'est particulièrement intéressé à ce travail. Elle m'a
supervisé avec toute la rigueur nécessaire. Ses orientations ont été très pertinentes pour la
production de ce document. Sa présence et ses encouragements m'ont été d'une grande aide.
Je remercie chaleureusement M. et Mme MOMFE, ainsi que mes cousins, pour leur hospitalité,
qui n'ont jamais cessé de m'encourager tout au long de mon voyage.
J'adresse mes remerciements à tous ceux que je n'ai pu nommer pour leur aide discrète mais très
importante.
Enfin, j'adresse mes sincères remerciements au créateur sans qui tout cela n'aurait pas existé.
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TABLE DES MATIERES
DEDICACE
REMERCIEMENT
RÉSUME
INTRODUCTION
BIBLIOGRAPHIE
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RÉSUME
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NTRODUCTION GÉNÉRALE
Au vu des variations linguistiques observables dans les salles de classe, on a l’impression que
parfois, les choix de langues sont révélateurs de rapports particuliers aux langues, ce que
Castellotti & Moore (2002) rangeraient dans des représentations sociales. On comprendra que
nous nous attardions sur leurs rapports avec les pratiques didactiques. Pour ce faire, nous
commencerons par définir cette notion, ce qui aiderait à mieux comprendre le lien avec les
langues. Des nombreuses perspectives de recherche qui existent en didactique des langues, nous
avons porté notre choix sur la recherche-action, dont Montagne-Macaire (2007 : 96) pense
qu’elle est « une posture de recherche pertinente pour aborder les pratiques
d’enseignement/apprentissage en langues ». En effet, cette perspective a ceci de particulier
qu’elle place au centre de la réflexion didactique les acteurs sociaux que sont les enseignants, les
apprenants et leurs actions respectives ou leurs interactions. Mieux, elle entrevoit des situations
où l’enseignant est un chercheur, ce qui serait profitable à l’enseignant et à l’innovation
pédagogique. Celui-ci serait donc capable tout le temps d’autoévaluer le rendement des
méthodes qu’il met en œuvre, afin d’envisager, au besoin, des améliorations conséquentes. Les
praticiens sont alors les mieux placés pour élaborer des théories didactiques, découlant de leurs
observations dans la pratique des théories en cours. La recherche-action consiste de ce fait à
recueillir des données dans les salles de classe, afin d’apporter une réponse à des questions de
pédagogie des langues.
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Ferdinand Léopold Oyono : le français est-il au Cameroun langue étrangère, langue seconde
ou langue camerounaise ? Tout récemment encore, le Président congolais Denis Sassou
Nguesso s’interrogeait sur la place du français dans la formation scolaire et universitaire en
Afrique francophone : langue d’enseignement ou matière d’enseignement ?
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METHODOLOGIE
Des nombreuses perspectives de recherche qui existent en didactique des langues, nous
avons porté notre choix sur la recherche-action, dont Montagne-Macaire (2007 : 96) pense
qu’elle est « une posture de recherche pertinente pour aborder les pratiques
d’enseignement/apprentissage en langues ». En effet, cette perspective a ceci de particulier
qu’elle place au centre de la réflexion didactique les acteurs sociaux que sont les enseignants, les
apprenants et leurs actions respectives ou leurs interactions. Mieux, elle entrevoit des situations
où l’enseignant est un chercheur, ce qui serait profitable à l’enseignant et à l’innovation
pédagogique
Celui-ci serait donc capable tout le temps d’autoévaluer le rendement des méthodes qu’il met en
œuvre, afin d’envisager, au besoin, des améliorations conséquentes. Les praticiens sont alors les
mieux placés pour élaborer des théories didactiques, découlant de leurs observations dans la
pratique des théories en cours. La recherche-action consiste de ce fait à recueillir des données
dans les salles de classe, afin d’apporter une réponse à des questions de pédagogie des langues.
Sa finalité est d’intervenir sur les pratiques de classe « non pas exclusivement pour les modifier,
mais afin de les rendre plus compréhensibles ». Il pose son regard sur un phénomène qui attire
son attention et va l’observer, l’analyser, afin de comprendre de quoi il est question et, le cas
échéant, envisager la solution. Les hypothèses naissent alors des observations et analyses
préalables ; elles ne peuvent être formulées antérieurement. La recherche-action s’inscrit par
conséquent dans une logique constructiviste. Le constructivisme invite à avancer en se frayant
des pistes, pour voir en fin de compte où il sera arrivé. Il met l’accent sur l’activité du sujet pour
appréhender des phénomènes. Cela suppose que rien n’est donné au préalable : il n’y a pas de
chemin et le sujet construit sa connaissance au fil d’interactions incessantes. Celle que nous
essayons de construire ici est le fruit de nos interactions avec le terrain, notamment des lycées et
collèges de la ville de Douala et des villes satellites. Ceux où nous avons travaillé le plus sont les
lycées et les collèges.
Notre étude est organisée en trois parties d’égales longueurs et aux intérêts variés. La première
partie est organisée en deux chapitres et définit le cadre théorique et méthodologique qui a sous-
tendu notre recherche. Nous nous intéressons particulièrement au concept de représentations
sociales dans l’enseignement/apprentissage des langues ; dans le second, nous revenons plus en
détail sur quelques aspects théoriques et méthodologiques. C’est le lieu pour nous de traiter de
l’approche contrastive qui, bien que nous nous rangions dans une démarche constructiviste,
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constitue une base pour notre travail. Nous y présentons aussi la Didactologie des Langues-
Cultures avec ses enjeux, question de faire comprendre l’évolution didactique vers laquelle notre
étude nous a orienté. Nous terminons ce chapitre en ressortant clairement les éléments qui ont
guidé notre travail empirique.
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CHAPITRE 1 : REPRÉSENTATIONS ENSEIGNEMENT DES LANGUES
Les actions que nous menons au quotidien, les plats que nous dégustons, les langues que nous
parlons sont influencés par nos croyances, par la façon dont chacun de ces éléments est perçu par
nous, par les projections que nous en avons, par les représentations que nous nous en faisons.
Nos conduites sont orientées, autant que le monde est interprété et réorienté par ces croyances. À
titre d’exemple, le choix que fait un sujet est toujours guidé par ce qu’il en pense (de bien ou de
mal), par le profit envisagé, par l’intérêt visé. Cet intérêt peut être la satisfaction d’un besoin
personnel ou le souci de satisfaire une tierce personne
Les représentations sont-elles un processus ou un produit ? Feussi (2006) paraît avoir la même
préoccupation, et se résout à les présenter d’abord comme processus, ensuite comme produit.
Comme processus, la recherche identifie et sépare deux aspects des représentations qui sont en
principe liés. On comprend que dans le processus de production des représentations Puisqu’il
s’agit d’abord de perceptions, « d’associer un concept à une image perceptive, ce qui suppose un
rapport à l’objet de la représentation » (Feussi, 2006 : 85). Au fait, le sujet se situe entre l’objet
social et le concept, entre l’objet et la perception.
II. PRATIQUES/REPRESENTATIONS
Le débat que mène Feussi (2006) à ce sujet est surtout lié à l’ordre de préséance de chacun de ces
concepts par rapport à l’autre. Les pratiques sont-elles influencées par les représentations ? Les
pratiques ne précèdent-elles pas les représentations ? Peut-être les représentations interagissent-
elles avec les pratiques ? Il parvient à démontrer que ces différentes hypothèses formulées sous
forme d’interrogations ne pourraient toutes se vérifier. D’abord, les pratiques ne sauraient
précéder les représentations, car cela sousentendrait « une neutralisation des facteurs culturels,
du système des normes et des valeurs groupales, de même que de l’activité du sujet ». (Feussi,
2006 : 100). La pratique, pour être comprise, doit dépendre d’une dimension socioculturelle. Ce
sont les règles et valeurs élaborées par le groupe qui sont les critères d’acceptabilité des actions
du sujet. Elles déterminent si oui ou non une action répond à ce qu’en attend le groupe. Ensuite,
reconnaissons que si les pratiques ne peuvent véritablement pas précéder les représentations,
elles peuvent être influencées par elles. En effet, l’usage fait d’un même objet par deux sujets
dépendra des représentations que l’un et l’autre s’en font. Celui pour qui l’objet est motif de
fierté s’en sert avec enthousiasme, alors que l’autre s’y emploiera avec toute la lourdeur.
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CHAPITRE II : USAGES DIDACTIQUES DU FRANÇAIS AU CAMEROUN
Ainsi que nous l’avons souligné dans le chapitre précédent, notre étude vise à décrire, analyser,
interpréter, comprendre le processus d’enseignement/apprentissage de la langue-culture française
au Cameroun dans le but de l’orienter ou de le modifier pour l’améliorer. Comprendre ce
processus signifie s’intéresser aux difficultés relevées sur le terrain.
On note dans ces quatre exemples une rupture avec les conventions orthographiques et
syntaxiques classiques, celles que nous proposent les manuels de langue, le souci étant de
produire un énoncé avec le moins de caractères possibles. De tels signes se retrouvent désormais
dans des productions écrites des élèves.
Cette position de Paul n’est pas une position isolée, vu que Arlette et Brigitte (toutes deux
enseignantes au lycée d’Akwa à Douala) et de nombreux autres enseignants interrogés (environ
7/10) sont allés dans le même sens. Cette difficulté à apprendre le français est, selon des auteurs
comme Dumont
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développer ou renforcer chez eux l’aptitude à manier les langues de leur choix, le français et
l’anglais notamment).
Les obstacles qui jonchent l’apprentissage du français selon les prescriptions officielles au
Cameroun ne sont pas simplement le fait des autres langues. La difficulté s’observe dans la
pratique même du français. En effet, le français parlé au Cameroun, par la majorité de ses
locuteurs, est loin d’être le français dit standard ; chacun y va selon ses canons, selon ses règles,
selon sa norme. Il s’agit donc d’un français pluriel, affecté par son contact avec d’autres
idiomes, d’autres réalités. La rencontre de deux ou de plusieurs langues met en présence autant
d’organisations particulières qu’il y a de locuteurs, et partant autant de données de l’expérience à
partager. Ainsi, l’usage d’une langue dans un contexte de plurilinguisme est très souvent
influencé par le système de l’autre langue. La structure du français tel qu’il est parlé au
Cameroun reflète alors la vision du monde des locuteurs qui s’y trouvent, ou selon Renaud, la
vision du monde de chacun des quatre rameaux du français commun qui ressortent de cette
classification. Sur le plan linguistique, ces rencontres linguistiques se matérialisent au préalable
sur le plan lexical.
Les langues servent, parfois, aux différents acteurs sociaux, à communiquer entre eux. La
diversité linguistique dans une situation donnée de communication cesserait ainsi d’être un
problème si la question était considérée dans ce sens : communiquer, échanger avec autrui et se
comprendre mutuellement, même si les codes linguistiques utilisés sont différents. En fait,
L’école ne devrait pas rester en marge de cette logique. En effet, l’enseignement/apprentissage
des langues, ou, pour reprendre la terminologie de Galisson que nous avons présentée et
développée en (2.2.), la Didactologie des Langues-Cultures devrait être davantage orientée vers
la volonté de faire acquérir aux apprenants plurilingues l’aptitude à se servir des langues à leur
disposition pour des besoins de communication spécifiques et différenciés, principalement pour
répondre à leur besoin. Nous avons compris, en analysant les exemples précédents, que les
apprenants de même que les enseignants fournissent des efforts d’adaptation dans des
interactions qui mettent en évidence des langues diverses et variées, donc, où s’opère le
switching codique. Ces pratiques nous révèlent l’intérêt d’asseoir chez ces apprenants
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plurilingues la compétence plurilingue et pluriculturelle, la compétence à communiquer
d’acteurs sociaux en mesure d’opérer dans des langues et des cultures différentes
De telles pratiques devraient ainsi permettre de s’ouvrir aux langues et aux cultures des autres,
qui ne sont pas des ennemis à combattre, mais des hommes qui peuvent mériter d’être côtoyés,
avec qui il faut échanger, de qui on peut apprendre (Cortes, 2001). Il s’agit de développer « une
didactique dont l’intercompréhension est le socle », ce qui éviterait sans doute des conflits entre
les langues présentes, et dont chacune essaie de s’imposer. Dans un contexte comme celui du
Cameroun et précisément dans une ville cosmopolite comme celle de Douala où les principaux
intervenants scolaires (élèves et enseignants) viennent de toute part, il s’agit de faire en sorte que
toutes ces origines puissent communiquer dans une interaction. L’objectif ici, à en croire n’est
pas la maîtrise de toutes les langues, « mais l’acquisition d’une efficacité communicative dans
ces outils ». L’avantage est sans doute que la plupart de ces acteurs pratiquent déjà, peut-être
encore à des degrés différents, au moins deux langues (au moins une langue occidentale et/ou au
moins une langue d’origine camerounaise). Il devient urgent de faire que ceux-ci puissent être de
véritables citoyens du monde, capables de fonctionner dans des contextes divers qu’ils puissent
communiquer aisément, se comprendre, sans aucune insécurité linguistique, sans que l’un doive
s’arrêter à chaque palier pour demander quelle langue a été utilisée
L’essentiel, semble-t-il donc, c’est que "le message passe", même s’il arrive que les langues
mises en œuvre ne soient pas toutes identifiées. Il paraît toujours très proche ce souvenir de nos
cours de récréation à l’école primaire (exemple n° 29), où nous devions, avec nos camarades,
construire des énoncés que nous comprenions entre nous sans chercher à savoir dans quelles
langues nous parlions : « Je veux ton lofombo s’il te plaît ». Le contexte aidait nécessairement
en ce sens que, ayant en main un beignet et la phrase formulée sonnant clairement comme une
demande, il paraissait évident alors que l’objet de la demande fût le beignet. Dans quelle langue
allions-nous chercher la lexie "lofombo" ? Nous ne nous sommes jamais posé cette question,
jamais elle n’a été notre préoccupation
Aujourd’hui également, il n’est toujours pas capital de vouloir reconnaître ipso facto les langues
d’une interaction, tant que l’intention communiquée est décryptée par le récepteur. D’ailleurs,
personne ne s’est arrêté devant l’exclamation de Julie (voir exemple n° 6), cette élève qui
pratiquait de l’alternance codique dans une exclamation dans la cour de récréation après qu’elle
eut reçu sa copie d’histoire avec une note inférieure à celle qu’elle aurait attendue, pour
demander les langues ainsi mélangées, notamment chercher à identifier la langue d’emprunt du
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lexème "mâ". Ce qui a été pertinent et qui a retenu l’attention de son entourage fut l’expression
de sa surprise devant la correction des "fautes de français" dans les copies d’histoire. Le silence
de cet entourage équivaut dès lors à la légitimation de cette forme. De même, l’épreuve de
français que nous avons trouvée au lycée d’Akwa et qui invitait les élèves à disserter autour du
"Ngondo" et du "Ngouon" n’a paru heurter aucun esprit, vu que les uns et les autres devaient
indubitablement comprendre de quels événements culturels il était question.
Ainsi, on ne dira pas que le fait d’alterner bassa et français dans cette séquence relève de
l’incapacité des élèves et de l’apprenant à distinguer clairement ces deux langues. Dans la
pénultième intervention, l’ultime pour l’enseignant, on remarque que c’est à dessein que les deux
langues sont utilisées, et chacune d’elles joue un rôle bien déterminé. La langue matrice dans cet
exemple est la langue française, utilisée pour enseigner le bassa ; le français est sollicité par le
professeur pour construire le savoir en bassa, et le professeur donne l’impression de savoir
exactement quand s’arrête le français et où commence le bassa qui est enseigné et qui est
encastré ici dans la langue de Voltaire.
Cette mise en avant des contextes dans le processus d’enseignement/apprentissage des langues,
nous oblige à envisager la nécessité d’imaginer et de réinventer une didactique de la diversité et
de l’hétérogénéité, du mouvant et du composite, du paradoxe et de la différence
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multiples, diverses, croisées, elles sont évolutives, délicates à cerner, la mise en contact des
cultures qui les engendrent ne facilite pas la tâche ». Cette instabilité des valeurs crée une
instabilité des contextes, une instabilité.
CONCLUSION
L’étude que nous souhaitons boucler ici se présente à la fois comme un travail de
sociolinguistique et de socio didactique. Il aborde en même temps des questions liées aux
relations du français (la langue de façon générale) avec une société (camerounaise notamment),
et celles liées à l’enseignement/apprentissage de cette langue au Cameroun. Sommes-nous de ce
fait capable de dresser un bilan à ce stade ? Quels intérêts présente ce travail ? Quelles
perspectives ?
Notre étude est partie du constat des pratiques alternées de langues dans les salles de classe en
zone urbaine au Cameroun, à Douala précisément, et avançait dans l’optique de trouver des
réponses aux préoccupations qui en sont nées. L’une de celles-ci, et peut-être même la plus
importante peut se décliner en une question : la richesse du répertoire linguistique de l’apprenant
constitue-t-elle un tremplin ou un obstacle pour l’apprentissage du/en français ? Dans l’espoir
d’apporter des réponses à cette question, nous avons adopté une approche constructiviste,
question de cheminer progressivement et de trouver une réponse conséquente.
Le concept qui a permis d’aboutir à un tel résultat est principalement celui des représentations
sociales. Celles-ci nous ont fait remarquer que pour une situation d’enseignement/apprentissage
des langues, les phénomènes observés étaient interprétés différemment, selon la perception que
chacun pouvait en avoir. Du point de vue pédagogique, notre travail a ceci d’intéressant qu’il
s’investit profondément dans l’enseignement du français au Cameroun, en vue d’« œuvrer à
l’optimisation du processus de transmission des savoirs et des savoir- faire en matière
d’éducation aux/par les langues-cultures »
Une pareille déclaration éveille nécessairement en nous la volonté d’élargir notre champ
d’observation dans des travaux ultérieurs, en fondant notre réflexion sur les pratiques du français
en zone rurale.
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BIBLIOGRAPGHIE
- Feussi, V. (2007-c), « Parler, décrire, enseigner (son) français à Douala : des pratiques
Contextualisées », Pré-actes des Journées scientifiques inter réseaux
organisées par le réseau Dynamique des langues et francophonie
(DLF) de l’AUF, du 5 au 7 novembre 2007 à Nouakchott, sur le
thème : « Partenariat entre les langues : perspectives descriptives et
perspectives didactiques », pp. 150- 167.
- Feussi, V. (2004), « Politique linguistique et développement durable au Cameroun :
perspective émique ou perspective étique ? », Colloque organisé par
l’AUF, du 1er au 4 juin 2004 à Ouagadougou, sur le thème : «
Développement durable : leçons et perspectives », pp. 21- 29.
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