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Synthèse Français : examen Q2

1. Psycholinguistique :
- Analyser les erreurs dans un énoncé d’enfant en API
- L’évolution du langage de l’enfant.
- On peut avoir l’API
2. La conscience phonologique :
Définitions ;

 Le phonème : Un phonème constitue la plus petite unité sonore du langage oral.


C’est un son (voyelle, consonne ou semi-consonne) permettant de différencier des
mots dans une langue donnée (p. ex. les consonnes [m], [p] et [b] sont des phonèmes
en français puisqu’elles permettent de différencier oralement les mots moule, poule,
boule, …) Si on observe la lettre, un phonème correspond au son de celle-ci. Ex : à la
lettre < f > correspond le phonème ffff (le son produit lorsqu’on prononce cette
lettre).

 Le graphème : Un graphème est une lettre ou un ensemble de lettres permettant de


transcrire un phonème. Ex : on peut utiliser les graphèmes < o > (héros) < ô > (rôle) <
au > (pauvre) – < eau > (chapeau) – pour transcrire le phonème [o].

 La syllabe : Une syllabe est un groupe de phonèmes (une voyelle accompagnée d’une
ou plusieurs consonnes) que l’on prononce par une seule émission de voix, et qui
découpe naturellement un mot lorsqu’on le prononce. Ex : cadeau = ca et deau.
Elle peut être formée d’un seul phonème, qui est alors nécessairement une voyelle.
Ex : ami = a et mi.
Attention : pour découper un mot en syllabes, il faut toujours différencier l’oral et
l’écrit. Ex : baleine - trois syllabes à l’écrit, deux à l’oral.

La conscience phonologique :
La conscience phonologique est définie comme la capacité à percevoir, à découper et à
manipuler les unités sonores du langage telles que la syllabe, la rime, le phonème.
La prise de conscience d’unités phonologiques comme la syllabe et le phonème, ainsi que
leur traitement explicite et l’apprentissage des correspondances entre unités
orthographiques et phonologiques sont essentiels à l’acquisition de la lecture et de
l’écriture.

Pour maitriser le principe alphabétique, l’élève doit avoir acquis un niveau minimum de traitement
phonémique. Pour maitriser le décodage, l’enfant doit acquérir trois compétences :

1. connaitre le nom des lettres ;

2. savoir découper la chaine sonore en phonèmes (ex : PAPA = P/A/P/A) ;

3. faire un lien entre ces phonèmes et les graphèmes (lettres ou combinaisons de lettres) qui les
transcrivent.

Comment la travailler ?
Les trois facteurs efficaces d’un entrainement à la conscience phonologique sont :

- la durée de chacune des périodes d’entrainement ;

- la durée de l’ensemble du programme d’entrainement ;

- la nature des tâches mises en œuvre.

 Plusieurs études ont montré que pour être efficace, un tel programme doit être constitué de
séances de 20-25 minutes, deux fois par semaine, et ce pendant au moins dix semaines. Afin
d’observer une amélioration de la compréhension de la lecture chez les enfants en difficulté,
le programme d’entrainement doit être de 20 heures au minimum, mais les enfants ayant de
faibles compétences en conscience phonologique ont besoin de plus d’entrainement que les
autres.

 Les tâches ayant permis une amélioration significative des performances en lecture chez les
enfants avec ou sans difficultés d’apprentissage sont les tâches de segmentation et de fusion
phonémique. Par ailleurs, la manipulation conjointe des phonèmes et des graphèmes donne
de meilleurs résultats que la manipulation des phonèmes seuls

 La conduite d’une séance de phonologie demande à l’enseignant une disponibilité totale


pour donner les consignes, donner la parole, écouter les productions, corriger les réponses,
faire recommencer un élève, favoriser l’entraide et encourager les élèves. L’entrainement en
petits groupes (5-7 élèves) donne des résultats supérieurs à ceux faits en classe complète ou
en individuel.

Quelques repères chronologiques

- l’enfant est d’abord sensible à l’unité syllabe, puis à la rime. La sensibilité au phonème apparait plus
tardivement.

- Une syllabe de type consonne-voyelle est plus facile à aborder qu’une syllabe de type consonne-
consonne-voyelle (TRA) ou consonne-voyelle-consonne (DUR)

- Il est plus facile de reconnaitre une voyelle qu’une consonne.

- Il est plus facile de reconnaitre une consonne en début de mot, puis en fin de mot et ensuite à
l’intérieur.

- Il est plus facile de reconnaitre une consonne continue (dont l’articulation se prolonge, comme le
son de la lettre f qu’on peut allonger : fffffffffffff) qu’une consonne brève (comme le son de la lettre
t).

Activités pour travailler la conscience phonologique :


1. Apprentissage sur les syllabes ;
- Marcher sur les syllabes, sauter sur des syllabes, faire rebondir une balle, les enfants
doivent dire leur prénom ou un autre mot convenu sur chaque rebond.
- Pulsation des prénoms.
- Parler sur la bonne pulsation : une syllabe par pulsion.
 Faire un jeu : les enfants sont en rond. Les indiens : Ils ont un code spécial, ils parlent au
son des tam-tams.

- Compter le nombre de syllabes dans le prénom.


- Jeu de type jeu de l’oie, on avance d’autant de cases qu’il y a de syllabes dans un mot
proposé.
- L’institutrice dit un mot et l’enfant doit placer autant de jetons que de syllabes.
- Assembler les mots qui commencent par la même syllabe (cheval et chemin / château et
chapeau).
- Inverser, mélanger les syllabes des prénoms.
- Faire des mots-valises : Prendre le début d’un mot et la fin d’un autre et les associer pour
créer un nouveau mot. Ex : cheval et lapin devient « chepin »
- Une syllabe muette. L’enfant doit dire une des syllabes dans sa tête. Ex : « Lu… est-elle là
? » (Lucie). Ou, en progression : « …cie est-elle là ? » (lors des présences)
- Prononcer les prénoms en laissant un blanc entre les syllabes. Les Es doivent deviner de
qui il s’agit.
- Donner des mots en ricochet : le mot doit commencer par la syllabe finale du mot qui le
précède.
- La maison des syllabes : Trois maisons : une maison pour les mots à une syllabe, une
autre où il y en a deux, etc.
Il y a à chaque fois un gardien de la maison. Le gardien a le même nombre de syllabes que la
maison. Ex : le chat pour la maison d’une syllabe.

- Quand on fait la maison des syllabes : il faut penser à un système de fente qui permet
que la carte que l’on dépose dans la maison ne puisse entrer que dans la bonne maison
(jouer en largeur et en épaisseur).

- Jeu des cases : une grande case avec « champion » et au-dessus deux petites cases avec
le dessin d’un champ et une case avec le dessin d’un pion.

- On peut également faire un memory avec les cartes monosyllabiques.

- L’étoile des syllabes (5 joueurs). Construire un plateau de jeu en forme d’étoile. Dans le
carré central, poser un mot monosyllabique, bisyllabique ou autre (même idée que la
maison des syllabes, mais sur une étoile). Les enfants possèdent chacun une branche de
l’étoile, et doivent piocher une image dans un tas d’images/de mots
mono/bi/trisyllabiques, et la replacer dans sa branche si elle correspond à l’image placée
au centre de l’étoile. Le premier qui a complété sa branche (prévoir des
cases/emplacements) a gagné.
Variante : placer une image en haut de chaque branche de l’étoile. Les enfants doivent replacer
l’image qu’ils piochent dans la bonne branche.

-Demander aux enfants de trouver cinq objets qui commencent par une telle syllabe ou finissent
par une telle syllabe.

2. Apprentissage pour la rime :

-Lire une poésie, une comptine. Faire citer la rime et les mots qui riment.

-Proposer une série d’images qui se terminent par le même phonème. Demander aux enfants
ce que ces mots ont en commun.

-Les chansons qui riment.

-Les comptines

-Trouver des mots qui finissent par le même phonème que le mot choisi. Ex avec chaton :
lardon, avion, maison…

-Les « prénoms chansons » d’Henri Dès. Les enfants doivent trouver une phrase qui rime
avec la fin de leur prénom (« Moi je m’appelle Paola, et j’aime … (le chocolat, les chats…) »).

-Labyrinthe : Le facteur doit rejoindre la boite aux lettres. Pour la rejoindre, il doit demander
le chemin à ses amis. Mais attention les amis du facteur ont un nom qui se termine par *œR+.

-Inventer une poésie. Avant de créer la poésie, demander aux enfants de donner tous les
mots qu’ils connaissent se terminant par un phonème précis. Après on crée la poésie.

-Une affiche où est écrite une poésie, chanson, … Sur cette affiche, il manque des mots à la
fin des phrases. On propose trois images aux enfants. Ils doivent trouver une image qui rime
avec ce qui précède.

-Trouver une rime avec son prénom, en lien avec le thème…

-Chasser l’intrus.

 NB : la marionnette est un très bon outil permettant de motiver les enfants à réaliser ces
activités.

3. Apprentissage pour les phonèmes :

- Imiter un objet ou un animal qui produit un son.


Ex : Les enfants sont des serpents et doivent chasser les souris en faisant : « ssss »
Le tigre : « rrrrr »
Les indiens : « ouuuu »

- Les comptines : le phonème peut être dans chaque phrase de la comptine, pas
obligatoirement en fin de phrase.

- lecture d’album (si le phonème revient souvent)

- « Le roi du silence » Un enfant est désigné, il est au centre du cercle. Dans les enfants
du cercle, il y a des sorcières et un petit nombre de fées. (Pas obligatoirement
sorcière et fée, ça peut être des chats, chiens…). Les fées doivent émettre le
phonème à travailler ex : « a ». Les sorcières veulent tendre un piège à l’enfant qui
est au milieu. Elles émettent le son « an ». (Choisir des phonèmes proches).
L’institutrice place sa main sur la tête d’un des enfants qui forment le cercle. L’enfant
doit alors émettre le phonème. L’enfant du milieu doit montrer du doigt si c’est une
fée qui prononce le phonème correct. Si pas il a un gage.

- Marionnette (à main, par exemple, en éponge ou en chaussette) qui mange des sons

- Camp du phonème [a] et les autres : après avoir cité leur prénom, les enfants seront
capables de se placer dans le camp des *a+ s’ils entendent ce phonème dans leur
prénom et dans l’autre camp s’ils n’entendent pas le phonème *a+ dans leur prénom.

- Le marché des sons : Plein d’objets sont disposés dans la classe. On décide d’un
phonème (p. ex. : [k]). Les enfants ne peuvent prendre des objets qui commencent
par ce phonème.
Progression : des objets qui contiennent ce phonème.

- L’institutrice raconte une histoire. Tout le monde ferme les yeux. Quand les enfants
entendent un phonème donné, ils lèvent le doigt. Attention : il faut veiller à inclure
dans l’histoire des phonèmes difficiles à différencier pour les enfants (comme les
consonnes orales/nasales, sourdes/sonores, etc.). Par exemple, pour le phonème « s
», faire une histoire avec des mots comprenant le phonème « ch ».

- Activité par atelier : une feuille A3 plastifiée avec l’image d’un objet et le nom en
dessous. Il y a d’autres étiquettes sur la table. On « scratche » les mots qui
commencent par un phonème donné. Progression : on « scratche » les mots qui se
terminent par un phonème donné, puis qui ont ce phonème au milieu.

- La roue du langage : objets à classer en deux tas (j’entends / je n’entends pas).


En progression : roue à quatre entrées (je vois, j’entends, je ne vois pas, je n’entends
pas). Il faut donc proposer aux enfants des cartes avec l’illustration et la transcription
de l’objet.

- L’institutrice dit un phonème, les enfants doivent trouver un mot qui contient le
phonème demandé. On peut organiser un jeu « éliminatoire », l’enfant qui prend
trop de temps pour trouver un mot est éliminé.

- La maison des sons : chaque maison correspond à un phonème. Il faut placer les
mots qui possèdent le même phonème.

- L’étoile des sons (cf. syllabes, adapter pour les phonèmes).

- Le domino : on ne peut assembler que des bouts de dominos qui commencent ou


finissent par le même phonème.

- Les enfants ne peuvent aller dans un cerceau que s’ils entendent le phonème
déterminé au préalable par l’institutrice.

- La balle du son *a+ : (4 joueurs) Chaque joueur dispose d’une plaque individuelle et
les étiquettes sont mélangées, placées en tas, à l’envers sur la table. Chaque joueur,
à tour de rôle, retourne une étiquette ; il nomme, en articulant bien, l’objet dessiné
sur celle-ci. Si le mot contient le son *a+, il place l’étiquette sur sa balle ; si le mot ne
contient pas le son *a+, il place l’étiquette à l’endroit devant lui.

- Le damier du son [a] : (4 joueurs)


 Le plan de jeu est disposé au centre de la table.
 Les étiquettes sont mélangées, placées en tas, à l’envers sur la table.
 Chaque joueur, à tour de rôle, retourne une étiquette ; il nomme, en articulant
bien, l’objet dessiné sur celle-ci.
 Si le mot contient le son *a+, il place l’étiquette sur une case blanche du damier ;
s’il ne contient pas le son *a+, il laisse l’étiquette à l’endroit devant lui.
- Lapin du son [a] :
 Le plan de jeu (représentant un lapin dans lequel se trouve un circuit divisé en
cases et dans chacune d’elle est dessiné un objet dont le nom contient ou pas le
son [a]) est disposé au centre de la table. Chaque joueur a une plaque
individuelle (représentant un panier) et un pion (un lapin). Les jetons (des
carottes) sont rangés dans une boite.
 Chaque joueur, à tour de rôle, lance le dé et fait avancer son pion du nombre de
cases équivalant au nombre de points du dé. Il nomme, en articulant bien, l’objet
dessiné dans la case où il s’est arrêté
 Si le mot contient le son [a], il ramasse une carotte et la pose dans son panier ;
s’il ne contient pas le son *a+, il passe le dé au joueur suivant
- Le monstre dévoreur de [e]. Construire un monstre qui, d’un côté est satisfait, de
l’autre dégouté. On propose aux enfants des étiquettes-mots qui contiennent ou non
le phonème [e]. Les enfants doivent nourrir le monstre avec des mots en [e]. Il sera
satisfait si le mot le contient, sinon, il affichera sa mine dégoutée.
Idem phonème [s] avec un serpent à sonnette (agiter la sonnette si le serpent est
content), etc…

- Lecture de livres de PEF. Ex : La belle lisse poire du prince de Motordu ou les autres
titres de la série. On peut traduire les mots tordus et/ou tordre des mots à la
manière de PEF.

- Lire des albums jouant sur les phonèmes (ex : « Sans le a » d’Escoffier et Di Giacomo,
« Cha chuffit comme chat » de Vanvolsem, « Monsieur Cheng » de Daxhelet, « Le
prince au petit pois » de Chausse et Letuffe les phonos albums des éditions RETZ,…).

4. Entrainement pour les syllabes :

- A partir d’un mot monosyllabique, former un mot de deux syllabes. Dans un tableau à trois
cases, l’institutrice donne deux dessins dans les deux cases du bas et à partir de ces deux
dessins, l’enfant doit découvrir un nouveau mot. Ex : champ et pion = champion.

- Exercice sur feuille : un mot (dessin) et trois petites cases. Pour chaque mot, on met autant
de croix qu’il y a de syllabes.

- Entourer les mots qui commencent / finissent par la même syllabe.

- On peut avoir un mot et le nombre de case (syllabes). Je demande aux enfants de noircir la
syllabe qui n’est pas prononcée (châ…teau, …pin).

5. Entrainement pour les rimes et phonèmes

- Exercice sur feuille : j’entoure tous les mots qui contiennent le même phonème (ou qui
finissent par le même phonème pour travailler les rimes).

- Relier un mot à une des trois possibilités. L’enfant doit repasser sur la ligne.
Ex : Le chat : relie le chat au mot qui contient le phonème « ch »

- Je demande aux enfants de me trouver cinq objets qui commencent par un telle syllabe ou
finissent par un tel phonème.
- Labyrinthe : plein de personnages placés dans le labyrinthe vont aider l’enfant à en sortir.
L’enfant devra prendre le chemin où il entend tel son dans les mots ou images présents dans
le labyrinthe.

- Plein d’images, l’enfant doit entourer tous les mots où il entend un tel phonème.

- Le jeu de l’oie : dès que l’enfant tombe sur une case avec le son « shhhhh », il prend une
carte.

- La bataille des sons : cartes avec des images avec le son « shhh » et d’autres sans le son.
Celui qui a la carte avec le son gagne. (cfr jeu de bataille).

- La pêche aux rimes : l’enfant doit rechercher des images correspondant à des mots qui
riment avec le son [a] pour inventer une comptine sur les animaux de la ferme, par exemple.

- L’idéal est de travailler la correspondance grapho-phonétique.


Activité : j’entends et je vois.

Dans Nicolas : je vois « s » mais je n’entends pas « s ».

Dans Stéphanie: je vois « s » et je l’entends.

6. Apprentissage pour les relations grapho-phonétiques :

Cet apprentissage est surtout réalisé à l’école primaire mais on peut l’aborder en maternelle.

Il s’agit soit de partir d’un phonème pour voir comment il s’écrit (c’est-à-dire le ou les graphèmes qui
peuvent le transcrire) soit de partir d’une lettre/d’un graphème pour voir la ou les façon(s) dont
elle/il se prononce.

1) Travail sur
un phonème

1°) Travailler la discrimination auditive du phonème (voir ci-dessus). Les comptines sont très efficaces
pour ce travail. Les albums également s’ils sont bien choisis (voir titres des albums apportés au
cours).

2°) Passage de l’oral à l’écrit : chercher des mots qui contiennent le phonème.

3°) Observer la ou les façons dont le phonème s’écrit et en tirer une conclusion sur les relations
grapho-phonétiques.

4°) Exercer la discrimination auditive et visuelle à l’aide, notamment, de jeux.

2) Travail sur
une lettre
1°) Travailler sur la discrimination visuelle de la lettre dans des mots.

2°) Passage de l’écrit à l’oral : lire les mots à voix haute pour voir la ou les façons de prononcer la
lettre.

3°) En tirer une conclusion sur les relations grapho-phonétiques.

4°) Exercer la discrimination auditive et visuelle ainsi que l’écriture à l’aide de jeux, notamment.

Exemples de séquences :

Articles : BOTTI, M., DERYDT, C., Lire pour décrocher la lune, Caractères.

BOTTI, M., DERYDT, C., Et alors, le loup ?, Caractères.

 Fiche-matière :grille analyse d’un album permettant de travailler la conscience


phonologique. Pouvoir la compléter ou en compléter des parties pour un album donné.
Exemple d’une grille d’analyse : album Cha chuffit comme chat ;
Exemple d’une grille d’analyse : album ; La princesse tralala
3. Intertextualité et parodie :
Analyse parodie « La revanche des trois ours » :

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