Vous êtes sur la page 1sur 2

L’euthanasie dans les autres pays

Beaucoup de pays légalisent l’euthanasie mais il y a plusieurs pays dans le monde qui légalise
l’euthanasie active :

Les pays qui légalisent l’euthanasie active sont :

- Les Pays-Bas qui sont les premiers dans le monde à le légaliser en avril 2002
- Il y a aussi la Belgique qui eux la légalise en septembre 2002 mais la loi belge protège
juridiquement le médecin qui euthanasie le patient et pour accéder à cette
procédure le patient doit être majeur, capable, conscient et un motif pour
(souffrance physique ou psychique constante et insupportable)
- Le Luxembourg eux adopte cette idée en 2009
- Au Canada cette légalisation de l’euthanasie est adoptée en juin 2016
- La Nouvelle-Zélande eux l’approuve en 2020 mais sera mis en place en novembre
2021
- Et l’Espagne eux l’accepte aussi en décembre 2020 mais elle sera que mise en place
en juin 2021

Prenons en exemple des Pays-Bas.

Les Pays-Bas qui sont le premier pays en Europe à l’égaliser l’euthanasie active.

Deux articles en font référence dans le code pénales : Cette loi est datée du 12 avril 2001 :

-l’article 293 proclame :

« Celui qui met fin aux jours d'un autre, à la demande expresse et sérieuse de ce dernier, est puni
d'une peine de prison d'une durée maximale de douze ans ou d'une amende. »

-Ainsi que l’article 294 :

« L'action visée précédemment n'est pas punissable, dans la mesure où elle est réalisée par un
médecin qui répond aux critères mentionnés à l'article 2 de la loi relative au contrôle de
l'interruption de vie pratiquée sur demande. »

Le cas d’une patiente âgée de 74 ans atteinte d'Alzheimer :

Une médecin était accusée d'avoir donné la mort, en 2016, à une patiente atteinte de la maladie
d'Alzheimer sans s'être suffisamment assurée de son consentement.

D'après les procureurs, la patiente avait initialement exprimé son désir d'être euthanasiée, mais avait
par la suite montré un avis mitigé sur son envie de mourir.

Cette médecin exerçant à l'époque dans une maison de retraite, elle était accusée d'avoir "supposé
que la dame voulût toujours mourir sans vérifier son approbation" après l'apparition de la maladie
d'Alzheimer.

Le parquet, qui n'avait requis aucune peine à l'encontre de la médecin estimait qu'elle aurait dû avoir
une discussion "plus poussée" avec la patiente. La juge, elle, a rejeté cette accusation, affirmant que
celle-ci était "profondément démente" et "était effrayée par sa propre image dans le miroir".
"Compte tenu du fait que la patiente n'était plus cohérente, la médecin n'aurait pas pu établir un
jugement en lui parlant", a-t-elle ajouté. "Ils en ont conclus que toutes les exigences de la législation
sur l'euthanasie ont été satisfaites."
Cas de Vincent Lambert :

Vincent Lambert est plongé dans un état végétatif depuis 5ans dû à un accident. Avec l’accord de sa
femme et d’une partie de sa famille, les médecins ont décidé de stopper les soins. Les parents de
Vincent énervés par cette décision ont décidé de se battre en justice pour l’annulation de cette
décision prise sans leur consentement et celui de Vincent. Une décision qui a choqué sa femme car
elle se préparer déjà à la mort de son mari et qu’on n’a pas pris en compte sa décision à elle. Mais
Vincent est décédé le 11 juillet 2019 au CHU de Reims. Cette affaire a permis de lancer un débat sur
l’accord du patient de sur sa mort car pour sa mère et les français car pour eux on a supprimer
Vincent de sa famille.

Vous aimerez peut-être aussi