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l'ECN
QCM
Camille Triby
en
lECN
QCM
ISBN 9782340-004788 1^^ q&hger
©Ellipses Édition Marketing S.A., 2015
32, rue Bargue 75740 Paris cedex 15
LeCodcdclapropriiili5inlelleclucllen'autorisam,auMcrmi:sacl';irliclcL. 122-5.2''
cl 3°a). d'une pari,que les «copies ou reproductions striclcnienl réservées à l'usage
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les analyses et les courtes citations dans un but d'exemple cl d'illustration, «toute
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Sommaire
ENONCES OPHTALMOLOGIE
Item 44
SUIVI D'UN NOURRISSON
9
Item 50
STRABISME DE L'ENFANT g
Item 79
ALTÉRATION DE LA FONCTION VISUELLE 13
Item 80
ANOMALIES DE LA VISION D'APPARITION BRUTALE 17
Item 81
ŒIL ROUGE ET/OU DOULOUREUX 18
Item 82
HYPERTHYROÏDIE:ORBITOPATHIE DYSTHYROÏDIENNE
Item 82
GLAUCOME CHRONIQUE À ANGLE OUVERT
Item 83
RÉFRACTION ET ANOMALIES DE LA RÉFRACTION
Item 84
PATHOLOGIE DES PAUPIÈRES
Item 100
DIPLOPIE
Item 102
ŒIL ET SCLÉROSE EN PLAQUES
Item 127
DÉFICIT NEUROSENSORIEL CHEZ LE SUJET ÂGÉ:CATARACTE
Item 127
DÉFICIT NEUROSENSORIEL CHEZ LE SUJET ÂGÉ:DÉGÉNÉRESCENCE MACULAIRE
LIÉE À L'ÂGE(DMLA) 48
Item 221 -,
HYPERTENSION ARTÉRIELLE DE L'ADULTE ; NEUROPATHIE OPTIQUE ISCHÉMIQUE
ANTÉRIEURE AIGUË(NOIA) 50
Item 221
'-^Ài4iàfc-3
HYPERTENSION ARTÉRIELLE DE L'ADULTE;OCCLUSION DE VEINE CENTRALE
DE LA RÉTINE(OVCR) 52
Item 221
HYPERTENSION ARTÉRIELLE DE L'ADULTE:RÉTINOPATHIE ET CHOROÏDOPATHIÉ
HYPERTENSIVE
55
Item 221
HYPERTENSION ARTÉRIELLE DE L'ADULTE:OCCLUSION DE L'ARTÈRE CENTRALE
DE LA RÉTINE(OACR)
Item 245
DIABÈTE SUCRÉ DE TYPE 1 ET 2 DE L'ADULTE ET L'ENFANT - COMPLICATIONS:
RÉTINOPATHIE DIABÉTIQUE
Item 330 . .
TRAUMATISMES OCULAIRES
CORRECTIONS OPHTALMOLOGIE
Item 44
SUIVI D'UN NOURRISSON
Item 50
STRABISME DE L'ENFANT
Item 79 Fim
ALTÉRATION DE LA FONCTION VISUELLE
Item 80
ANOMALIESDE LA VISION D'APPARITION BRUTALE
Item 81
ŒIL ROUGE ET/OU DOULOUREUX
Item 82
HYPERTHYROÏDIE
Item 82
GLAUCOME CHRONIQUEÀANGLE OUVERT
item 83
RÉFRACTION ET ANOMALIES DE LA RÉFRACTION
Item 84
PATHOLOGIE DES PAUPIÈRES
Item 100
DIPLOPIE
Item 102
ŒIL ET SCLÉROSE EN PLAQUES
Item 127
DÉFICIT NEUROSENSORIEL CHEZ LE SUJET ÂGÉ:CATARACTE
Item 127
DÉFICIT NEUROSENSORIEL CHEZ LE SUJET ÂGÉ:DMU
Item 221
HTA:NOIA
■î_friiy^7,v
Item 221 ^
HYPERTENSION ARTÉRIELLE DE L'ADULTE - OCCLUSION DEVEINE CENTRALE
DE LA RÉTINE
f Item 221
HTA ; RÉTINOPATHIE/CHOROÏDOPATHIE HYPERTENSIVE
Item 221
HTA:OCCLUSION OE L'ARTÈRE CENTRALE DE LA RÉTINE
Item 245 '
DIABÈTE SUCRÉ DE TYPE 1 ET2 DE L'ENFANT ET DE L'ADULTE. COMPLICATIONS
Item 330
TRAUMATISMES OCULAIRES
item 330
BRÛLURES OCULAIRES
SÉMIOLOGIE OCULAIRE
ÉNONCÉS QCMORL
Item 85
ÉPISTAXIS
item 86
TROUBLE AIGU DE LA PAROLE: DYSPHONIE
Item 87
ALTÉRATION DE LA FONCTION AUDITIVE
Item88 .
PATHOLOGIE DES GLANDES SALIVAIRES
Item 99
PARALYSIE FACIALE
item 101
VERTIGE
item 146 j
ANGINES DE L'ADULTE ET DE L'ENFANT ET RHINOPHARYNGITES DE L'ENFANT
Item 147
OTITE INFECTIEUSES DE L'ADULTE ET DE L'ENFANT
Item 199 j
DYSPNÉE AIGUË ET CHRONIQUE
Item 295 L;
TUMEURS DE LA CAVITÉ BUCCALE, NASO-SINUSIENNES ET DU CAVUM,
ET DESVOIESAÉRODIGESTIVES SUPÉRIEURES
Item 330
ORIENTATION DIAGNOSTIQUE ET CONDUITE A TENIR DEVANT UN TRAUMATISME
CRANIO-FACIAL iSl
Item 354
DÉTRESSE RESPIRATOIRE AIGUË DU NOURRISSON,DE L'ENFANT ET DE L'ADULTE 153
Item
PATHOLOGIE DES GLANDES SALIVAIRES 164
Item 99
PARALYSIE FACIALE 165
Item 101
VERTIGE 167
Item 127 'f^/ÊKÊÊÊM
DÉFICIT NEUROSENSORIEL CHEZ LE SUJET AGÉ:SURDITÉ ET VERTIGE 168
Item 145
INFECTIONS NASOSINUSIENNES DE L'ENFANT ET L'ADULTE 169
Item 146
ANGINES DE L'ADULTE ET DE L'ENFANT ET RHINOPHARYNGITES DE L'ENFANT 170
Item 147 IMHHHMI
OTITE INFECTIEUSES DE L'ADULTE ET DE L'ENFANT 175
Item 199
DYSPNÉE AIGUË ET CHRONIQUE 183
• Item 44
a. réflexe de fixation
b. réflexe de convergence
c. réflexe de poursuite
d. réflexe photomoteur
e. coordination œil-tête-main
• Item 50
STRABISME DE L'ENFANT
3. Le strabisme de l'enfant :
4. L'amblyopie :
a. est une baisse profonde de l'acuité visuelle
b. est dépistée par la mesurede l'acuitévisuelle
c. est dépistée par le masquagedes yeuxen alternance
d. devient irréversible après l'âge de 6 mois
e. devient irréversible après l'âge de 6 ans
6. Les strabismes :
• Item 79
a. arrêt temporaire
b. diminution des doses
c. poursuite identique du traitement avecsurveillance rapprochée
d. arrêt définitif
e. changement pour un autre antîpaludéen de synthèse
16 Item 79
Item 80
• Item 81
4. Quel est le test qui vous permet de mettre en évidence une ulcéra
tion coméenne?
a. letestdeSchirmer
b. le break uptime
c. l'instillation de fluorescéine
d. le test de Farnsworth
e. la recherche du réflexe photomoteur
a. kératite amibienne
b. syndrome sec oculaire
c. orbitopathiedysthyroïdienne
d. kératite à adénovirus
e. ophtalmie des neiges
a. unespondylarthrite ankylosante
b. une uvéite herpétique
c. unesarcoïdose
d. une maladie de Behçet
e. un lupus érythémateux disséminé
16. Quels sont les facteurs de risque de glaucome aigu par fermeture
de l'angle?
a. myopie forte
b. hypertonie oculaire
c. gros cristallin
d. chambre antérieure large
e. angle iridocoméen étroit
a. laDMLA
b. la cataracte
c. le glaucome chronique à angle ouvert
d. l'occlusion de l'artère centrale de la rétine
e. le trachome
Item 82
HYPERTHYROÏDIE :
ORBITOPATHIE DYSTHYROIDIENNE
c. 20 mm
d. 25 mm
e. 30 mm
Item 82 27
• Item 82
a. un scotome central
b. un scotome arciforme de Bjerrum
c. un scotome caecocentral
d. un ressaut nasal
e. il peut être normal
30 Item 82
6. Quels sont les 3 éléments les plus utiles dans la surveillance d'un
glaucome chronique à angle ouvert?
a. mesure de la pression intra-oculaire
b. fond d'œil bilatéral et comparatif
c. angiographie à la fluorescéine
d. champ visuelpar périmétrie cinétique
e. champ visuel par périmétrie statique automatisée
3
l ^
4
Item 83
RÉFRACTION ET ANOMALIES
DE LA REFRACTION
a. présente un astigmatisme
b. présente une myopie
c. présente une hypermétropie
d. est trop divergent
e. est trop convergent
a. infections
b. kératocône
c. décollement de rétine rhegmatogène
d. œdème de la cornée
e. hémorragie sous-conjonctivale
10. Vous voyez un enfant de 8 ans qui présente une acuité visuelle de
10/10sans correction. Il ne se plaint d'aucune gêne particulière.
Son examen sous cycloplégie donne les résultats suivants :
- œil droit +1,75(-0,50 ; 160°);
- œil gauche +2,00.
Quelle prescription optique faites-vous?
a. aucune
• Item 84
4. Votre patiente se présente avec cet œil droit : quel est votre
diagnostic?
a. un orgelet
b. un chalazion
c. un carcinome basocellulaire
d. un entropion
e. unectropion
• Item 100
DIPLOPIE
| , | " | i » i I » 1
• i
i
—* - -♦ t ' •'• • L- .
os op
a. la myasthénie
b. la maladie de Horton
c. le diabète
d. une rupture d'anévrisme intracrânien
e. une hypertension intracrânienne
• Item 102
a. Lesignede MarcusGunn
b. le caractère unilatéral
c. les douleurs rétrooculaires augmentées lors des mouvements
oculaires
d. la dyschromatopsie d'axe rouge vert
e. le scotome caecocentral
Item 102 41
a. la sclérose en plaques
b. l'alcoolotabagisme
c. la maladie de Horton
d. l'athérosclérose
e. le diabète
Item 127
a. œdème cornéen
b. pan uvéite
c. endophtalmie aiguë
d. œdème maculaire
e. décollement de rétine rhegmatogène
8. La mesure de la kératométrie :
a. la trisomie 21
b. le syndrome de Turner
c. la maladie de Marfan
d. la dystrophie myotonique de Steinert
e. l'hérédodégénérescencepériphérique (rétinopathiepigmentaire)
a. un astigmatisme
b. une leucocorie
c. une myopie d'indice
d. une myopie axile
e. une héméralopie
Item 127
Item 221
Item 221
a. photocoagulation panrétinienne
b. photocoagulation maculaire
c. hémodilution isovolémique
d. fibrinolytiques
e. hypotonisant intraveineux (acétazolamide)
Item 221
Item 221
a. œdème papillaire
b. nodules cotonneux
c. œdème rétinien
d. veines rétiniennes tortueuses et dilatées
e. tache rouge cerise de la macula
Item 245
a. hémorragie intravitréenne
b. cécité
c. glaucome néovasculaire
d. œdème rétinien
e. décollement de rétine
Item 245 63
• Item 330
TRAUMATISMES OCULAIRES
• Item 330
BRÛLURES OCULAIRES
^ Sémiologie oculaire
1. Les photorécepteurs :
a. les cônes sont regroupés au sein de la macula
b. les cônes sont responsables de la vision des détails
c. les cônes sont responsables de la vision nocturne
d. les bâtonnets sont responsables de la visiondes couleurs
e. les bâtonnets sont responsables de lavision périphérique
• Item 44
SUIVI D'UN NOURRISSON
l. A, B, C, D
Item 50
STRABISME DE L'ENFANT
1. A, B, C, D, E
2. A, B,C
Dans tous lescas le patient aune perception réduite de laprofondeur. L'œil
qui devient amblyope est l'œil dévié, NON fixateur.
3. A,C,D,E
5. B, C, D, E
L'acuité visuelle n'est pas mesurable à cet âge-là ; STÉRÉOTEST DE LANG :
précise l'existence d'une vision binoculaire ou non.
6. B,D,E
7. A, E
8. A, E
Item 79
1. A,C, D, E
2. B
3. C, D, E
4.
7. B,C,E
C'estune atteinte des bâtonnets. Néanmoins, uneatteinte dégénérativedes
cônes est possible en find'évolution pouvant être responsable d'une cécité
complète (comme chez sa mère) La transmission peut être autosomique
dominante ou récessive ou liée à l'X.
8. A,B,E
L'angiographie retrouve des dépôts pigmentaires (image en ostéoblastes)
La maculopathie en œil de bœuf est retrouvée dans les hérédodégénéres-
cences centrales (type maladie de stargardt).
9. A, B, C, D
10. A,D,E
La maculopathie en œil de bœuf entraîne une baisse d'acuité visuelle. Le
scotome pouvant être retrouvé est annulaire périfovéolaire.
11. D
CV Normal
74 Item 80
14. D
BAV
Ccttilnct wcttCB
Indolore Douloureux Douloureux
Tkuutlo loftflcflf TtocAto rifractlf
"nuufatodo la fatoocutirtt&
SdMCMVOO Contexte traurmttcjue
ItouottBQto tatra vtttocfino NORB Corps teangor stqMsfldcl, Brutores
Uvéfift ItttBfmocftitfo ContuMioo
DocoHoocfil do rcfioo PWodtiglotecvccocjtafaCBO
OACR
OVCR
* Contexte postopératoire
(anA.qMC.CBSC.
Mcmftnmo opWCtetemo, Hçfot do qtcQo do corooo
Utrogèot, Tfao tactiUfcp^
dyrtropMo hértdttifrc»)
IteuropiCiiM opflquco « Autre contexte
fOCAO, NOCAA, toxîqoo, QAFA
Item 80
ANOMALIES DE LA VISION D'APPARITION BRUTALE
1. A, B, C, D
L'épisclérite n'entraîne pasde baisse d'acuité visuelle. Les autrescauses d'œil
rouge douloureux avecBAV sont l'endophtalmie aiguëet lestraumatismes
avec corps étranger intraoculaire.
Item 81 75
2. D
3. C
• Item 81
ŒIL ROUGE ET/OU DOULOUREUX
1. D
Les sécrétions sont clairesen cas de conjonctivite virale. Les autres étiologies
entraînent une baisse d'acuité visuelle.
2. A
6. B, C, D, E
C'est un tableau de kératite ponctuée superficielle.
76 Item 81
7. B
Kératite
bactérienne
(abcès do cornée)
8. B,E
ZERO si collyre corticoïde !!!risque de perforation cornéenne ! aciclovirIV
si kératite profonde, nécrose rétinienne, ou uvéite.
9. C,D
Ily a un risque de récidivede la maladie causale prévenu par un traitement
antiviral au long cours. Lachirurgie peut se compliquer d'une hypertonie
du globe oculaire. La récidive infectieuse herpétique++est un facteur de
risque de rejet immunitaire se manifestant par un œil rouge douloureux
une BAV des précipités rétrocornéens puis par un œdème du greffon avec
opacification progressive.
10. C
Item 81 77
11. A, B, C, D
Ils'agit d'une kératite bactérienne sévère avec infiltrat cornéen blanchâtre
purulent. Aveccercle périkératique et rougeur prédominant au limbe.
12. A, D, E
La pupille est en myosis, la transparence cornéenne est normale.
13. D
15. B, E
ZEROsi collyre corticoïde mis. On utilise un collyre mydriatique (atropine).
Un traitement local est indispensable associé au traitement etiologique
éventuel.
16. C, E
Prédispositions anatomiques : forte hypermétropie, chambre antérieure
étroite, angle iridocornéen étroit, gros cristallin ; Circonstances entraînant
une mydriase (stress, obscurité, prise de médicaments mydriatiques :
anticholinergiques antihistaminiques de première génération, alpha
bloquants, antidépresseurs tricycliques) PS : Ces médicaments ne sont pas
contre indiqués dans le glaucome chronique.
17. A, B,C
Lesdouleurs sont profondes intenses irradiant dans le territoire du trijumeau.
18. A, B, C
Mydriase. L'évolution est RAPIDE vers la cécité (quelques jours) en absence
de traitement.
19. C, D
Lessolutés hyperosmolaires et l'acétazolamide sont contre indiqués en cas
d'insuffisance rénale chronique. La pilocarpine est un collyre myotique.
L'iridotomie périphérique n'est pas réalisée en urgence mais une fois la
crise subjuguée et le tonus oculaire redevenu normal.
20. E
22. E
RAPPEL
Épisclérite Sclérite
• Item 82
HYPERTHYROÏDIE
1. D
3. B, E
4. A, B,C,E
Ces examens confirment l'orbitopathie.
5. B
6. B
7. A, C, D, E
8. B,D, E
Le traitement par iode radioactif peut être un facteur déclenchant ou
aggravant l'ophtalmopathie.
Item 82 79
• Item 82
GLAUCOME CHRONIQUE À ANGLE OUVERT
1. D
3. B, D, E
L'acuité visuelle est leplussouventconservée,ellepeut diminuerauxstades
tardifs de la maladie ou en cas de pathologie oculaire associée. Le rapport
cup/disc est augmenté supérieur à 0,3.
4. D
5. B, D, E
6. A, B, E
Lasurveillance de l'excavation de la papille passe par le fond d'œil ainsi que
par l'OCT papillaire de plusen pluscourammentréaliséeau coursdu suivi.
7. A,B
8. A, D, E
^— Faisceau laserYAG
L'iridotomiepermet la fibrecirculationdo
rhuneur aqueuse de ta chonixe postérieure
vois la chambre antérieure y compris
en cas cTadossement Wdo crista&raen
80 Item 83
9. A, B, C, D, E
10. A
1: œdème maculaire
2: nodules cotoneux
3: oedème papilaire
4: microhèmorragies
11. C, D, E
12. B,D,E
• Item 83
RÉFRACTION ETANOMALIES DELA RÉFRACTION
1. B
2. B, E
3. A, B, D, E
4. B,D, E
Elle est mesurée sur l'échelle de Parinaud. Normale à 1.5ou 2.14 correspond
à la lecture des lettres les plus grosses.
5. C
7. A, C, D
8. C
9. A, C, D, E
10. A
Item 84 81
• Item 84
PATHOLOGIE DES PAUPIÈRES
1. A
2. C, D, E
3. E
c'est une tache jaune ou jaunâtre au niveau des paupières due à une
accumulation de cholestérol et de lipides. Il entre dans le cadre d'une
hypercholestérolémie familiale.
4. B
5. A, B, D
la kératite d'exposition en est la conséquence. Une lagophtalmie est une
inocclusion palpébrale. La paralysie faciale centrale n'atteint pas le terri
toire facial supérieur.
6. B
• Item 100
DIPLOPIE
1. B
5. C, D
souvent associés à des céphalées. Les anévrismes intracrâniens sont des
urgences thérapeutiques. Les AVC s'accompagnent d'une épargne pupil-
laire. (pas d'atteinte intrinsèque) Lesyndrome de Tolosa Hunt doit rester
un diagnostic d'élimination.
6. B, C, D, E
7. A, B, C, E
LesAVC du tronc cérébral et lestumeurs de la base du crâne peuvent causer
un syndrome de Weber.
• Item 102
ŒIL ETSCLÉROSE EN PLAQUES
1. C
2. A, B, E
3. B, C
C'est une baisse transitoire, réversible de l'acuité visuelle, survenant lors
de l'élévation de la température corporelle (effort physique, prise d'un
bain chaud).
4. B, C, D, E
Pour le diagnostic positif de NORB on recherche une dyschromatopsie
d'axe rouge vert, un scotome central ou caecocentral, une altération des
PEV (allongementdes temps de latence de l'onde P100), un hypersignal du
nerf optique du côté atteint à l'IRM.
5. A, C, D
6. A, E
L'œilgauche présente un déficit d'adduction.
7. A, B, D
8. A, C, E
9. A, C, D
Item 127 83
• Item 127
DÉFICIT NEUROSENSORIEL CHEZLESUJETÂGÉ:
CATARACTE
1. C, D
Métamorphopsies évocatrices de DMLA. Blépharospasme dans la kératite.
2. A, B, C, D, E
Causes métaboliques endocriniennes ettraumatiques.
3. D
6. B, C, D
La puissance réfractive de la cornée est mesurée par kératométrie. C'est
l'échographie oculaire en mode Aqui mesure la longueur axiale du globe
oculaire.
7. D,E
Lachirurgie est indiquée seulement si la gêne fonctionnelledu patient est
importante. L'opération se fait le plus souvent sous anesthésie locale. On
instille des collyres mydriatiques en préopératoire.
8. A, B, C
9. C
10. E
11. A, C, D, E
12. C
13. A, B, C, D, E
Un décollement de rétine associé est de mauvais pronostic.
14. B,C, D, E
Il faut un collyre mydriatique pour éviter les synéchies postérieures et
cycloplégique à visée antalgique pour éviter le spasme de la zonule, soit
de l'atropine. L'antibiothérapie recommandée par voie générale est une
bithérapie quinolone IV puis POet imipénème. Lesinjections intravitréennes
d'antibiotiques sont indispensables (ceftazidimeetvancomycine) au moins
2 ou 3 espacées de 2 à 3 jours en fonction de l'évolution.
84 Item 127
15. C, D, E
La douleur peut être absente dans 30 % des cas.
16. C
• Item 127
DÉFICIT NEUROSENSORIEL CHEZ LESUJETÂGÉ: DMLA
1. A, B, D
2. A, B, C, E
3. A, C, D
L'OCT papillaire est utile dans les affections du nerf optique comme le
glaucome.
4. A
7. B,E
L'angiographie n'est pas systématique dans le suivi.
Item 127 S5
8. D
9. C,D, E
Rétine normale
du sujet jeune
Vieillissement
Maculopathie
liéeà i'age
DMLA DMLA
atrophique exsudative
Brutalement
Progressivement Un néovaisseau sous rétinien
Les drusens conluent se développe
Les pbotorécepteurs disparaissent A l'origine de l'exsudation
Laissant place à ralrophie Laissant place à la fibrose
86 Item 221
Mctamorphopsies Scotome
• Item 221
HTA : NOIA
1. C
2. B, D
3. B,C
4. E
7. B
8. A,C,D,E
Item 221 87
Item 221
1. A, B, D, E
2. B, C, D
3. A, C, E
4. C, D, E
5. A, B, D, E
Le principal facteur de risque reste l'hypertension artérielle.
6. A, B
7. B
9. B, C, D, E
10. A, B, C
Plus l'occlusion est proche de la papille plus le territoire d'ischémie rétinienne
est étendu.
Item 221
RAPPELOVCR:
Non ischémique
Ischémique
FORME (bien perfusée)
(mal perfusée)
= œdémateuse
Correction des
Artériosclérose Bilan cardio
vasculaire facteurs de
risque cardio-
vasculaires
+/-Traitement
HTIO-
¥ Mesure PIO
(Y pente r)
hypotonisant
y
+/-: bilan
Thrombose
(rate, sujet Jeune, de thrombophilio • +/-Traitement
pas de (acteurs
de risque. Haletai)
etiologique
-veines dJalécs,
tortueuses,
•oedème papilairo Angiographie
•hémonaflies
fluorescéinique
en flammuclie.
en plaque,
Forme oedémateuse
(80%, bon pronostic)
Item 221
HTA : RETINOPATHIE/CHOROIDOPATHIE HYPERTENSIVE
1. B
2. A,E
3. C,D
Lefond d'ceil n'est pas requis de façon systématique en cas d'HTAcompensée
et en l'absence de baisse d'acuité visuelle. Les signes oculaires de l'HTA ne
sont présents qu'au cours des formes sévères.
4, B,C, D
5. A, C,E
6. A,D
Exsudatif comme dans la toxémie gravidique.
7. C, D, E
90 Item 221
RAPPEL physiopathologie
Lésions dues à la rupture de la barrière Lésions dues aux occlusions
hématorétinienne artériolaires précapillaires
Œdème maculaire Nodules cotonneux
Hémorragies rétiniennes superficielles Hémorragies rétiniennes
Exsudats secs de disposition stellaire en profondes
région maculaire
Œdème papillaire
• Item 221
HTA : OCCLUSION DE L'ARTÈRE CENTRALE DE LA RÉTINE
1. C, E
Avec rétrécissement diffus du calibre artériel.
2. B,D, E
La circulation rétinienne est une circulation terminale.
3. A,B,C,E
L'acuité visuelle est toujours effondrée.
4. C,D
Elle n'est pas indispensable au diagnostic.
5. D
Item 221 91
6. B, E
Son pronosticvitalest aussi engagéà court terme. L'OACR est synonyme
d'AVC. Elle est le plussouventla traduction d'une atteinte vasculaire sur
l'axecarotidien ou d'une cardiopathie emboligène,et plus rarement d'une
affection systémique sous-jacente nécessitant untraitement urgent (par
ex la maladie de Horton). Le traitement reste décevant, même instauré
précocement. On nepeut espérer une récupération visuelle à desdegrés
variables quelorsque l'ischémie rétinienne aétébrève. Des lésions rétiniennes
irréversibles apparaissentaprèsseulement90minutes d'ischémie.
7. C
Pourlarecherche d'unecardiopathie emboligène et d'athéromecarotidien.
8. A, C,D
L'amputation du champ visuel persiste à titrede séquelle.
9. A, B, C, D
La maladie de Horton n'est pas une cause d'OBACR car elle n'atteint que
les artères musculaires.
ETIOLOGIES BILAN TRAITEMENT
URGENCE
HOSPlTAUSATtON
BOoicardlo-
*CocTocticn dos
1:EMBOLE++
' facteurs do
•Athétome carotidien vascublre
risqua
•Cardiopatttio cmbofigono «TDMcéri&nfe
canSovaxc
•Cuifauto <ie|i(if ip — •ArdJ-agrogants
cixtpnncuiuluumnt
£THROMBOTIQUE>
♦ Ivs-crp l-£g*•CorncotMrapto
gPJffQNll si Horton
•ThrocnbopMto TP-TCA-
*Autra»(vtticutorttea
inftamcnstoifcs» htecttottWtt)
AcAPL
•Sujet |eiina et
«/-bilan OACR<4 turcs:
* SPASME OU •poneflondo
COMPRESSION LOCALE chambra
Tito m* ontenoutoot
AngiogrBphto
•GRAVE ftuoiBscétolque
•MENACE AVC
PiUMitr nfaud) tantxa
•BAV a* banc kxMam. mydrtno aeflectk)»
•fD: axtano btans nesndqua cctMen. macuta mugo cert». ccutartgrareJoa
92 Item 245
Artères grêles
etdôshab&ées
Macula
« rouge cerise »
Aspect blanchâtre
du fond d'oeD
(oedème anoxique
de la rétine Interne)
• Item 245
DIABÈTE SUCRÉ DETYPE 1 ET2 DEL'ENFANT
ET DE L'ADULTE. COMPLICATIONS
1. A, C, D
La rétinopathie diabétique est aussi fréquente dans le diabète de type 1
qu'au cours du diabète de type 2.
2. A,D
RDN Psévère=règledu«4-2-1 »hémorragies rétiniennes dansles4quadrants
et/ou dilatationsveineusesdans deuxquadrants et/ou AMIRdanslquadrant.
RDNP modérée = exclusion RDNP minime et sévère.
3. A
5. B
6. D
8. A, C,E
Elle ne détruit pas directement les néovaisseaux mais les territoires
d'ischémie rétinienne ce qui permet d'obtenir une régression de 90 % de
la néovascularisation prérétinienne et/ou prépapillaire. Elle est réalisée en
ambulatoire sous AL en plusieurs séances. La normalisation rapide de la
glycémie (pompe, passage à l'insulinothérapie), la grossesse, la chirurgie
de la cataracte sont justement des situations à haut risque de passage en
rétinopathie diabétique proliférante et nécessitent une PPR préventive.
9. B, D, E
Les injections intravitréennes sont utilisées en cas d'œdème maculaire
sévère atteignant la région centrale et associé à une baisse d'acuité visuelle.
10. A,C, D
Absence de RD : FO tous les ans + photographies. Surveillance de la RDNP
sévère : FO tous les 4 à 6 mois.
• Item 330
TRAUMATISMES OCULAIRES
1. B,D, E
Hyphéma = hémorragie de la chambre antérieure; ulcération cornéenne
visible après instillation de fluorescéine. Peut évoluer vers kératite micro
bienne par surinfection. L'hypopion est un abcès de la chambre antérieure.
L'hématocornée est une infiltration hématique de la cornée irréversible due
à un hyphéma récidivant et massif.
Autres lésions du segment antérieur en aigu : iridodialyse, rupture du
sphincter de l'iris, mydriase post-traumatique, subluxation ou luxation du
cristallin, hypertonie oculaire par lésion de l'angle iridocornéen.
2. D
4. A, B, D, E
Hypotonie oculaire.
5. C, E
Lafluorescéine est lavée par l'humeur aqueuse.
Item 50
>page 12
Item 81
>- page 20
Item 81
> PAGE 22
Item 81
>• page 23
Item 84
> page 37
6. B
Cotps étranger
superficiel
Hyphéma'^ "--——...
^-"f Hémorragie sous
Fracture orbétauB^ f conjonefivate
Hémorragies
rétiniennes
Déchirure m
rétinienne" 7$
Œdème de Berlin,
du pôle postérieur
Luxation
du cristallin
de rétine
Hémorragie
intravitréenne
• Item 330
BRÛLURES OCULAIRES
1. D
2. A, B, E
Lavage jusqu'à obtentiond'un pH neutre. Le traitement par collyre corti
coïdedoit être débuté leplusprécocementpossiblepourlimiterla réaction
inflammatoire intense.
96 Item 330
^ Sémiologie oculaire
1. A,B,E
RAPPEL Photorécepteurs
Bâtonnets : vision périphérique et vision nocturne.
Cônes : vision des détails et vision des couleurs. Regroupés dans la rétine
centrale au sein de la macula.
2. C
• Item 85
ÉPISTAXIS
• Item 86
• Item 87
-+ pression en mm H20
• Item 88
3. Les oreillons :
a. sialendoscopie seule
b. sialendoscopie + lithotripsie
c. taille endobuccale
d. lithotripsie seule
e. submandibulaire
112 Item 88
13. Quels sont les signes à l'IRM qui orientent vers un adénome
pléomorphe?
a. hypersignalT2
b. unilobé
c. unifocal
d. kystique
e. limites régulières
Item 88 113
• Item 99
PARALYSIE FACIALE
a. la rapidité d'installation
b. le caractère incomplet
c. des signes neurosensoriels associés
d. l'importance des douleurs mastoïdiennes
e. l'âge
• Item 101
VERTIGE
a. un neurinome de l'acoustique
b. une tumeur du tronc cérébral
c. une poussée de sclérose en plaques
d. un hématome de la fosse postérieure
e. un abcès du tronc cérébral
Item 101 121
Item 127
Audiométrie Tonale
Oreltlo droite - dB HL
-10 1
0
10 |
1
20 I
i
30
I
40 4
i
50 |
60
1 •—J>^
5^S <v^ --X
70 ^X>)
80
90
1
100 1
1
110 I 1
1
120
1 25 250 500 l'k 2k 4k 8k
Oreille gauche - dB KL
-10 i I
1 1
0 1 !
3 , 1 I
10
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1
110J • i
t
120
125 250 500 lk 2k 4k 8k
Item 145
a. pristinamycine
b. cotrimoxazole
c. télithromycine
d. levofloxacine
e. cefpodoxime
a. pristinamycine
b. cotrimoxazole
c. télithromycine
d. levofloxacine
e. cefpodoxime
126
Item 145
a. AINS
b. corticoïdes en cure courte
c. ponction-drainage du sinus
d. drainage orbitaire
e. antibiothérapie par amoxicilline
Item 146
6. Devant une angine chez un patient de 15 ans, quelles sont les situa
tions en cas de test de diagnostic rapide négatifoù vous demandez
une culture d'un prélèvement pharyngé?
a. antécédents familiaux de rhumatisme articulaire aigu
b. séjour dans les DOM TOM
c. antécédentsd'épisodes multiples d'angines à streptocoque bêta
hémolytique du groupe A
d. conditions de vie précaires
e. séjours en Afrique
a. 3 jours
b. 4 jours
c. 5 jours
d. 6 jours
e. 8 jours
17. Quelles sont les mesures de santé publique à prendre devant une
angine diphtérique confirmée?
a. déclaration obligatoire à l'ARS : signalementet notification
b. isolement respiratoire précautions «AIR »
c. antibioprophylaxie des contacts prochessi nonou malvaccinés
d. vaccination du cas atteint
e. isolement de contact
Item 147
a. la méningite à pneumocoque
b. la récidive homolatérale
c. la récidive controlatérale
d. l'otospongiose
e. la tympanosclérose
16. Que pouvez-vous faire pour traiter une otite moyenne aiguë
congestive ?
17. Vous pensez que Zoé, 1 an et demi, présente une otite moyenne
aiguë suppuréeà tympan fermé. Queretrouvez-vous en otoscopie?
a. un tympan hypervascularisé
b. une otorrhée
c. une disparition des reliefs ossiculaires
d. un tympan bombé
e. un tympan épaissi avec bulles aériques
138 Item 147
18. Maxime, 1 an, est amené aux urgences pour fièvre et otalgie. Voici
ce que vous retrouvez à l'inspection :
a. une paracentèse
b. des corticoïdes per os en cure courte
c. unetympanoplastie
d. une pose d'aérateurs transtympaniques
e. une prise en charge orthophonique
Item 147 139
24. En cas d'otite externe bactérienne, quels sont les 2 germes les
plus fréquents?
a. staphylococcus aureus
b. staphylococcus epidermidis
c. streptocoque pyogène du groupe A
d. haemophilus influenzae
e. pseudomonas aeruginosa
• Item 199
Item 216
• Item 270
DYSPHAGIE
Item 295
a. le cancer du rhinopharynx
b. le cancer de l'amygdale
c. le cancer de l'hypopharynx
d. le cancer du voile du palais
e. le cancer de la base de la langue
compliance
À gauche :
compliance
a. une paracentèse
b. des potentiels évoqués auditifs
c. une TDM du massif facial
d. une IRM du massif facial
e. une nasofibroscopie
10. Quels sont les signes d'appel que vous avez pu retrouver chez
Monsieur LASKA à l'interrogatoire et à l'examen clinique?
a. adénopathie cervicale bilatérale
b. dacryocystite
c. épistaxis
d. névralgie du trijumeau
e. surdité unilatérale de transmission
11. Quel est le traitement curatif le plus efficace d'un cancer du rhino
pharynx (type UCNT)?
a. curiethérapie
b. radiothérapie
c. chimiothérapie
d. traitement chirurgical
e. traitement antiviral EBV (Epstein Barr Virus)
Item 330 151
Item 330
a. antivertigineux
b. antiémétiques
c. antibioprophylaxie
d. rééducation vestibulaire
e. vaccination antipnemococcique
Item 354
1. Théo, âgé de 2 ans, vous est amené par le SAMU pediatrique pour
dyspnée. Sa mère vous décrit un accès de suffocation brutal avec
toux spasmodique expulsive de quelques secondes spontanément
résolutive. Àl'examen :conscience normale, fréquence respiratoire
à 22, fréquence cardiaque à 70 bpm, tension artérielle à 129/71,
Sa02 à99%sans02, auscultation pulmonaire :wheezingauxdeux
temps respiratoires. Quel élément manque-t-il à l'examen clinique ?
a. la prise de la température
b. la mesure du débit expiratoire de pointe
c. une laryngoscopie indirecte au miroir
d. une nasofibroscopie
e. la recherche d'une adénopathie cervicale
2. Cet examen est normal. Vous suspectez un corps étranger des voies
aériennes supérieures, mais de quelle localisation ?
a. pharyngée
b. œsophagienne
c. laryngée
d. trachéale
e. bronchique
154 Item 354
• Item 85
ÉPISTAXIS
1. C, D, E
Etavant tout par compression digitale de l'ailedu nez pendant 10 minutes.
Les tamponnements sont utilisésen cas de localisation non déterminée
(postérieure, diffuse...).
2. C
Uniquement et avant tout, car c'est une épistaxis bénigne de localisation
antérieure.
3. A, B, D
L'embolisationdes artères ethmoïdales est à risque d'hémiplégie ou de cécité.
4. B,E
Onsuspecte une fracture de l'étage antérieur de la base du crâne.
5. C
Epistaxis
)
o Éliminer et traiter
une urgence vitale
Éliminer
©
et une hématémèse
Epistaxis
Rechercher et traiter
Éliminer et traiter
une cause générale /
un facteur aggravant J une urgence vitale
Traitement étiologique «
Hémostase locale
Malade assis, calme
Mouchage des fosses nasales
(évacuation des caillots).
Compression bldigitale
de l'aile du nez 10 minutes,
la tête penchée en avant
i
(~~Échec ]
Méchage antérieur
de la fosse nasale, sous couvert
d'une antibiothérapie
I
( Échec )
i
( Échec )
ï
Ligature chirurgicale Embolisation
160 Item 86
• Item 86
TROUBLE AIGU DE LA PAROLE : DYSPHONIE
1. B
Ou fibroscopie nasopharyngolaryngée.
2. A,B,C
Corticothérapie locale et/ou générale. AINS non indiqués. ATB uniquement
si étiologie bactérienne.
3. C
5. A,E
Après intubation prolongée, ou RGO.
6. A, C,D,E
Le diagnostic ne nécessite pas de laryngoscopiedirecte. Onrecherche une
causethoraciquecarle nerf récurrent gauche passe sous la crosse aortique.
7. A,B,C,D,E
8. B,C,D
Non pas hyper mais hypothyroïdie.
• Item 87
ALTÉRATION DE LA FONCTION AUDITIVE
1. AB
2. AB
Audition Surdité de
Surdité de perception
normale transmission
conduction
osseuse
Item 87 161
3. D
(J
yAo\y>pn>Oyta
♦ZOO «Uoa
-IfOO -2,oo
4. B,C,E
Atteinte rétrocochléaire pour le neurinomeet la SEP par absence de recru
tement. Dans l'otospongiose ils'agitd'une ankylosede l'étrier,donc absence
de contraction du muscle de l'étrier.
5. A,B,E
6. A,C
Acouphènes graves, peu gênants, bien localisés dans l'oreille malade.
7. A
8. B, D
Un scanner normal n'élimine pas une otospongiose. Le tympanogramme
est normal ou aplati. Le tympan est normal en otoscopie. La description
correspond à une tympanosclérose.
9. B,E
10. C, E
Les hypodensités osseusescorrespondent à des foyers otospongieux de
la capsule otique.
11. C, D, E
La surditéliéeà l'hémotympan est réversible. Aet E:surditéde PERCEPTION.
12. A, D
Bétahistines, solutés hyperosmolaires et diurétiques sont le traitement
de la maladie de Menière. Ilfaut rajouter pour le traitement de la SUB :
carbogène, hémodilution, vasodilatateurs.
13. D
Suivi d'une extension en tache d'huile vers les aigus et les fréquences
conversationnelles.
17. A,C, D,E
Injections multiples.
18. A, B,E
L'audiométrie tonale et l'audiométrie vocale sont réalisables uniquement
à partir de 5 ans.
Item 87 163
Test de Weber
Test de RINNE
164 Item 88
• Item 88
PATHOLOGIE DES GLANDES SALIVAIRES
1. A, D, E
La glande parotide est bilobéeavec un lobe superficiel volumineux et un
lobeprofond peudéveloppé. Elle est innervée parlenerfglossopharyngien
(le nerf facial passe en son sein).
2. B, D, E
Région SUS hyoïdienne. La logeparotidienne estsituéeenarrière duramus
delamandibule, enpré/infra auriculaire, au-dessous duméatauditifexterne,
en avant du bord antérieur du muscle sternocléidomastoïdien.
3. B, C, E
L'amylasémie est augmentée que l'atteinte soit pancréatique ou paroti
dienne. L'ostium est seulement inflammatoire. Le diagnostic est clinique
avant tout. Séro en cas de doute.
4. C
La maladie confère une immunité à vie. Une parotidite à pyogènes est une
pathologiedu sujet âgé et/ou hospitalisé en réanimation, par diminution
du flux salivaire et de l'immunité.
5. B, C, D
Lalithiase salivairetouche toutes les glandes salivaires mais dans 85% des
cas la glandesubmandibulaire. Sialodochite = infection du canal.
Sialadénite = infection de la glande.
Périsialodochite = infection péricanalaire.
6. A
7. A, C, D
Périsialodochite du canal de Sténon = abcès de la joue.
Périsialodochite du canal de Wharton = tuméfaction du plancher buccal.
8. D
10. C, D
La chirurgie est d'indication bien moindre en cas de lithiase parotidienne
car ily a un risque de lésion du nerf facial. Calculs parotidiens moins denses
donc lithotripsie plus efficace. Abord buccal ++.
11. B
12. B, C, D, E
C'est au contraire le caractère douloureux qui est alarmant. + extériorisation
à la peau + masse dure et pierreuse.
13. A,C,E
Polylobé. La caractère kystique oriente vers un cystadénolymphome.
14. D
• Item 99
PARALYSIE FACIALE
1. A, D, E
2. B, D, E
L'EMG et l'électroneuronographie sont réservées au diagnostic de gravité.
3. E
.orhon lollUdllA<9f*
r_ - - - - TVHPAM/ROCHEft
ffaflMnu
ttmriM du Vil
4. B, E
5. A
6. A, C,D
Lecaractère COMPLET. Signes associés : surdité, acouphènes et surtout
vertiges. Les critèresde gravité sont aussi:l'absencede récupérationdans
les15premiersjours,l'abolition du réflexe stapédien depuis plusde 15jours,
l'abolition du réflexe de clignement depuis plus d'un mois.
7. B,C,E
L'électrothérapie est contre indiquée. Il y a un risque d'aggravation et
d'hémispasme facial post-paralytique. Le traitement antiviral est discuté/
non indiqué. La corticothérapie est à instaurer dans les 72 heures.
8. D
• Item 101
VERTIGE
1. A, B, D, E
Toutes les déviations lentes se font dans le même sens. Le sens du
nystagmusest défini par celui du mouvement rapidede rappel.
2. A, B, E
Ilpersiste ou augmente à la fixation oculaire.
3. A
4. D
5. C, D, E
Il n'y a pas de troubles cochléaires.
6. ABD
15. D
Letraitement est ambulatoire. Le patient est guéri en une seule séance par
la manœuvre libératoire de Sémont. Il n'y a pas d'altération de l'audition.
• Item 127
DÉFICIT NEUROSENSORIEL CHEZ LESUJET ÂGÉ:
SURDITÉ ET VERTIGE
1. B,C,E
La perte prédomine sur les fréquences aiguës.
2. C
• Item 145
INFECTIONS NASOSINUSIENNES DE L'ENFANT ET L'ADULTE
1. D
5. B
6. A,C
7. A, D, E
L'exophtalmie douloureuse oriente vers une forme collectée périorbitaire.
Disparition du réflexe cornéen = anesthésie cornéenne; abolition du RPM
= mydriase paralytique.
8. C
11. B,C, E
170 Item 146
12. A, B, D
Sinusite chronique par polypose nasosinusienne. Intolérance à l'aspirine
et aux AINS.
13. C
• Item 146
ANGINES DE L'ADULTE ET DE L'ENFANT ET RHINOPHARYN-
GITES DE L'ENFANT
1. A, C, D, E
2. C
3. B, E
Son score est de 3. L'aspect de l'oropharynx n'est pas prédictif de l'angine
àSGA.
( Adulte j ( Enfant J
ï
( Mac Isaac <~2~) ( Mac Isaac >2 ) •( TDR» )
T
Traitement symptomatique** «- CD CD
Antibiothérapie
!
- 1" intention: amoxicilline
- Allergie aux pénicillines sans allergie aux céphalosporines :
céfuroxime-axétil (adulte) ou cefpodoxime
(enfant et adulte) ou céfotiam (adulte)
- Contre-indication aux béta-lactamines : macrolide
(azithromycine, clarithromycine, ou josamycine)
4. A, D, E
5. A,B,C,D,E
Prévention des syndromes post-streptococciques.
6. B,C,D,E
ATCD personnels de RAA. Les DOM TOM et l'Afrique sont des zones d'endémie
de RAA.
7. C, D
8. A, D, E
172 Item 146
Angines ulcéro-
Angine de Vincent Chancre syphilitique
nécrotiques
Contexte Stress, surmenage, Rapports sexuels à risque
mauvaise hygiène bucco-
dentaire
9. E
Devant l'âge.
10. A, B
11. C
12. D
13. B, C,E
Fausses membranes non adhérentes respectant la luette.
14. E
17. A, D, E
Isolement respiratoire précautions GOUTELETTES. C'est une maladie peu
immunisante donc la vaccination du cas est systématique en phase de
convalescence. ATBprophylaxie des contacts proches quelque soit leur
statut vaccinal. On vaccine tous tes contacts proches saufsi leur dernière
dose de vaccin date de moins d'un an ETs'ils ont reçu au moins 3 doses.
COMPLICATIONS DE LA MNl :
• Cardiaques : myocardite, péricardite;
• Mécaniques: rupture de rate spontanée;
• Hématologiques :syndromed'activation macrophagique, anémie hémolytique
auto immune, purpura thrombopénique, cryoglobulinémie;
• Neurologiques : encéphalite, polyradiculonévrite aiguë (syndromede Guillain
barré), paralysie faciale, méningite lymphocytaire,cérébellite;
• Pulmonaire : pneumopathie interstitielle;
• +exanthème morbilliforme (après prise d'aminopénicillines ++) ;
• + asthénie prolongée;
• + complications locorégionales suppuratives des angines.
18. B
19. D
Angine
Éliminer:
Cancer de l'amygdale
Manifestation
bucco-pharyngée
d'une hémopathie
Zona pharyngien
Aphtose
Éruption bulleuse
(pemphigus)
Item 147
OTITES INFECTIEUSES DE L'ADULTE ET DE L'ENFANT
1. A
2. A,C,D
3. A,C,D,E
Harmonieux.
176 Item 147
4. A, C, D
L'hypodensité osseuse et l'épaississement platinaire sont des signes
d'otospongiose.
5. A, C, E
L'instabilité est leterme utilisé encasdepoche de rétraction tympanique
non autonettoyante (épiderme instable).
6. A,D
Carilexisteunépanchement rétrotympanique.
11. B
13. A,C, D
100%des OMA purulentessont d'origine bactérienne.
14. B, D, E
En cas d'otorrhée ilfaut attendre 10jours (sur OMA perforée) Indications
d'antibiothérapie chez lesenfants de plus de2 ans: otalgie intense/fièvre
élevée/difficultés decompréhension desconsignes/absence d'amélioration
après 48 72heuresde ttt symptomatique.
15. A
16. A, B, D
Les instillations auriculaires d'antibiotiques locaux sont inutiles. Jamais
d'antibiotiques car90 %d'infections virales. AINS +antalgiques +antipy
rétiques per os.
Item 147 177
17. A, C, D
+disparition du triangle lumineux antéro-inférieur. Le tympanest bombé
parépanchement rétrotympanique. Un tympan épaissi avec bulles aériques
est retrouvé en cas d'otite moyenne chronique séromuqueuse.
RAPPELS ASPECTS EN OTOSCOPIE
OMACONG
OMA SUPP TYMPAN OUVERT
FERME
OMCSEROMUQ ATYMPAN FERME
OMC MUQ TYMPAN OUVERT
18. A,C, D, E
RAPPEL : indications de paracentèse : (PILLY 2014)
• chez le nourrisson (moins de 3 mois) hyperalgique;
• en cas de tympan fortement bombé;
• documentation des échecs bactériologiques.
Le scanner cérébral sert à rechercherdes complicationsméningoencépha-
liques. Le scanner dumassiffacial recherche une opacité mastoïdienne mais
paspour lediagnostic positifdemastoïdite, (collection rétroauriculaireavec
prise de contraste annulaire).
19. B, D, E
La tympanoplastie est envisagée pourlesOMC à tympan ouvert. Les corti
coïdes luttent contre l'inflammation de la muqueuse de l'oreille moyenne.
178 Item 147
20. D
21. ACD
Atriale-> pars tensa. Atticale -> pars flaccida.
Elle atteint le sulcus osseux car elle est «non marginale ». L'epiderme est
instable : elle est non autonettoyante.
22. B
L'otorrhée fétidetémoignede la surinfection de la poche de rétraction.
23. B, D
Il n'ya pasde perforation tympanique. La surdité est mixte car il y a une
atteinte de l'oreille interne.
24. A, E
Otorrhée purulente
Aiguë ( Chronique j
; 1
Pathologie Pathologie
Pathologie Pathologie
du conduit auditif du conduit auditif
de l'oreille moyenne de l'oreille moyenne
externe externe
DURÉE
ATB POSOLOGIES DE TTT
(jours)
Bêta lactamines
la poso adulte
Macrolides (après prélèvementdegorge pourculture bactérioet antibio
gramme si le taux de résistance duSGA aux macrolides est >10%)
Azithromycine Adulte: 500 mg en 1 prise journalière unique
Enfant : 20 mg/kg/jour en 1 prise journalière 3
unique sans dépasser la poso adulte
Clarithromycine Adulte : 500 mg en 2 prises
(standard) Enfant : 15 mg/kg/jour en 2 prises sans dépasser 5
la poso adulte
Clarithromycine Adulte : 500 mg en 1 prise journalière unique
5
LP
Item 199
1. D
2. B
5. A
• Item 216
ADÊNOPATHIE SUPERFICIELLE DE L'ADULTE ETDE L'ENFANT
1. A, B, D
C'est le bilan minimal auquel il faut ajouter : IDR a la tuberculine et TDM
cervicothoracique possible d'emblée.
2. D, E
L'atteint pulmonairen'est pas systématique : caractère locorégional de
l'atteinte +++ La polychimiothérapie ne permet pas de toujours guérir le
patient. L'IDR n'est pas forcément très positive. La recherche de BK fait
partie du bilan d'extension.
3. A
5. A
7. D
8. E
- NFS.VS.CRP
- Radio du thorax
- IDR
Éventuellement, Suspicion
en fonction du contexte : d'hémopathie
i
~* [ ORL ou chirurgien cervico-facial
Mise en évidence
Endoscopie normale
d'une tumeur des VADS
1
Traitement de la tumeur primitive Exploration cervicale
et des aires ganglionnaires et prélèvement d'un ganglion
en extemporané
i
Histologie
186 Item 270
• Item 270
DYSPHAGIE
1. B,C,E
Fausses routes et pneumopathies d'inhalation.
2. C
3. A
8. A
( Dysphagie J
1
r~ i
( Cervicale ) ( Rétro-stemale )
i
Examen ORL
FOGD
Panendoscopie
1 1
r^ i i i
( Normal ) ("anormal J [ Normale ) ^Anormale ]
i
TDM cervical Manométrie
1
r^ n.
(^ Normale J (_ Anormale J
ï
TDMthoracique
Écho-endoscopie
Item 295 187
• Item 295
TUMEURS DELA CAVITÉ BUCCALE, NASOSINUSIENNES ET
DU CAVUM, ET DES VOIES AÉRODIGESTIVES SUPÉRIEURES
1. B, C, E
Ils'agit de l'anneau de Waldeyer.
2. D
5. A,B
Car c'est une tumeur limitée à une corde vocale mobile.
6. B
7. D
Devant uneotiteséromuqueuse unilatérale, unâgejeune,lesexeféminin,
l'origine géographique Asie du Sud Est, zone àhaut risque comme l'Alaska.
8. E
Pour l'examen du rhinopharynx.
9. A
le lymphome malin non hodgkinien estaussi possible dans 10 à20 %des cas.
10. A,C, D, E
La dacryocystite appartient au syndrome ophtalmologique dans lecancer
de l'ethmoïde.
11. B
Radiothérapie locale etganglionnaire. La chirurgie estréservée aux reliquats
ganglionnaires persistants 2mois après radiothérapie. La chimiothérapie
peut êtreassociée defaçon systématique à la radiothérapie ouutilisée en
cas de métastases.
12. A, B,C
Les lymphomes ont un pronostic relativement favorable si lediagnostic
est précoce (très radio et chimio sensible). Le pronostic est meilleur chez
lesujet jeune. La présence d'anticorps anti EBV est constante. Il n'y a pas
de lien avec l'alcoolotabagisme.
13. A
Vers l'orbite ou l'endocrâne.
188 Item 330
• Item 330
ORIENTATION DIAGNOSTIQUE ETCONDUITE À TENIR
DEVANT UN TRAUMATISME CRANIO-FACIAL
1. A, B, C, E
Cophose en cas de fracture transversale. PFP : immédiate parsection ou
déchirure partielledu VII ;secondaire parcontusion, oedème du VII.
2. A, B, C, D
Surdité detransmission transitoire par hémotympan, définitive parfracture/
luxation osseuse. Surdité de perception non fluctuante par commotion
labyrinthique. Fluctuante parfistule périlymphatique.
3. A, B, C, E
Rééducation vestibulaire sivertiges >4 semaines.
4. CD
• Item 354
DÉTRESSE RESPIRATOIREAIGUË DU NOURRISSON,
DE L'ENFANT ET DE L'ADULTE
1. A
5. A,B,C,E
Par dilatation de bronches.
6. C
La respecter
Aérosol, kinésithérapie
respiratoire
Radiographie pulmonaire
de contrôle
Surveillance clinique
- Laryngo-trachéo-
bronchoscopie sous AG
- Exploration, extraction
190
Item 354
Manœuvre de Heimlich
Manœuvre de Mofenson (avant 3 ans)
Laryngo-trachéo-
bronchoscopie
- Exploration du CE
à lapincedeMagil
si possible
- Sinon, refoulement
dans la bronche souche
pour libérer les VAS
et extraction ultérieure
en bronchoscopie
Aubin
m 11 imprimeur
Ligugé, D.L. : juin 2015/Impr. : 1505.0273