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Sujets d’examen pratique Ophtalmologie

1. L’anatomie oculaire
a. L'appareil dioptrique de l‘œil ;
b. Les tuniques oculaires ;
c. Les voies optiques ;
d. La division du globe oculaire ;
e. Les annexes du globe oculaire ;

2. La mesure de l'acuité visuelle ;


a. Chez l’enfant ;
b. Chez l’adulte (AV entre 0.1 – 1) ;
c. Chez l’adulte (AV< 0.1) ;
d. Le diagnostic différentiel de la baisse d’AV ;
e. L’examen de la rougeur pupillaire: technique et résultats ;
f. Le test du trou sténopéique: technique et résultats ;

3. L’étude de la réfraction :
a. Les méthodes objectives ;
b. La méthode subjective Donders ;
c. Les principes de la correction optique dans les amétropies ;
d. Types de lunettes et comment les reconnaitre ;

4. L’examen du champ visuel ;


a. Le champ visuel normal ;
b. L’examen du champ visuel par confrontation ;
c. Les méthodes de périmétrie ;
d. La sémiologie des anomalies du champ visuel ;

5. L’examen de la vision des couleurs ;


a. La perception normale des couleurs ;
b. La classification des anomalies de la vision des couleurs ;
c. Techniques d’évaluation de la vision des couleurs ; 

6. L’examen du segment antérieur du globe oculaire ;


a. Les techniques d’évaluation ;
b. Le test a la fluorescéine: indications, technique, résultats ;
c. La gonioscopie ;

7. L’évaluation du tonus oculaire;


a. La pression intraoculaire (PIO) normale ;
b. Les méthodes objectives d’évaluation de la PIO – classification et limites ;
c. La méthode subjective d’évaluation de la PIO – indications, technique et résultats;
8. L'examen du fond d'œil ;
a. L’ophtalmoscopie du fond d’œil ;
b. La biomicroscopie du fond d’œil ;
c. Les repères anatomiques normaux du FO ;

9. L’examen de la motilité oculaire ;


a. L’évaluation de la déviation strabique

10. Les manœuvres en ophtalmologie


a. L’instillation des gouttes et l’application des pommades ophtalmiques ;
b. Les pansements oculaires ;
c. L’attitude en urgence face à une brulure oculaire ;
d. L’attitude en urgence face à une plaie oculaire ;
e. L’échographie oculaire ; 

11. Le diagnostic différentiel de l’œil rouge ;


1. Anatomie oculaire

a. L'appareil dioptrique de l‘oeil

- la cornee 40 Dioptries, le cristallin 20 D


- axe antero-posterieur 22-24 mm
- diametre corneen 11-12 mm
- axe visuelle - ligne qui unit le centre de la fovéa avec le point de fixation (objet du
regard) et axe optique - ligne qui passe par le centre de la cornée vers la portion nasale
de la fovéa

b. les tuniques oculaire – la conjonctive, la sclera, la choroide et la retine.

c. les voies optiques – le nerve optique, chiasma, les tracts optique, bandelettes optiques,
les aires visuelles occipitalles.

d. division globe oculaire

- segment anterieur – entre la cornee et la la face anterieur du vitree – hyaloide anterieur:


la cornee, la chamber anterieur, l’iris et le cristallin

- segment posterieur – le vitree, la retine

Le segment anterieur – chambre anterieur – entre la cornee et capsule anterieur du


cristallin,

- Chambre posterieur – entre face posterieur iris et posterieur


cristallin et la hyaloide anterieur

e. les annexes – les paupieres, l’appareil lachrymal, les muscles extraoculaire –


oculomoteurs.

2. La mesure de l'acuité visuelle ;

a. Chez l’enfant ;
b. Chez l’adulte (AV entre 0.1 – 1) ; optotypes – de loin et de pres - AV correspond à la
dernière ligne lue en proportion de 75% . AV = d/D
c. Chez l’adulte (AV< 0.1) ; - 4/50 – 1/50, cld, vbm, pl
d. Le diagnostic différentiel de la baisse d’AV ; troubles de la refraction, opacification
des mieux transparents oculaires, lession neuro-retiniennes
e. L’examen de la rougeur pupillaire: technique et résultats ;

absence rouge pupillaire - leucocorie = pupille blanc –– cataracte, retinoblastome,


persistance vitree primitif, decollement retine – retinophatie du prematurite

ombre dans rouge pupillaire – opacites pol anterieur sont fixes, dans le vitree, pol
posterieur les opacification sont mobiles
f. Le test du trou sténopéique: technique et résultats ;
Positive – le patient corrige avec le trou stenopeique – trouble refractive = ametropie
Negative – le patient ne corrige pas – opacification des mieux transparents (cornee,
cristallin, vitree) ou lesions neuro-retiniennes

3. L’étude de la réfraction :

a. Les méthodes objectives ; refractometrie automatique, skiascopie, keratometrie

b. La méthode subjective Donders ;


c. Les principes de la correction optique dans les amétropies ;

- hypermetropie – lentilles spheriques convergentes +, la plus grand avec la quelle le


patient corrige
- myopie – lentilles spheriques divergents -, la plus petite lentille avec laquelle le patient
corrige
- astigmatism – lentilles aspheriques, cylindriques
d. Types de lunettes et comment les reconnaitre ;
- lunnetes monofoyer, bifoyer, progressives
- lentille sferique – convergentes +, divergentes –, aspherique – signe du vague
- methode de neutralisation

4. L’examen du champ visuel ;

a. Le champ visuel normal ;

- Limites absolues – nez et rebords orbitaires

- Chaque point de la rétine correspond à un point du champ visuel.

L'image formée par la dioptrie oculaire est Inversé de haut en bas et droit – gauche.

Des points dans la rétine nasale sont projetés dans le champ visuel temporal – image en
mirroir

La tete du nerf optique – la tache aveugle sur le CV – scotome physiologique, qui est
situee en temporal sur le CV.

Sur le CV normal la sensibilite retinienne est Presque pareille pour les toutes les pointes,
plus grand au centre que dans la peripherie. On a pas des scotomes, sauf la tache aveugle.

b. L’examen du champ visuel par confrontation ;


c. Les méthodes de périmétrie ; la methode cinetique - Goldmann et la methode
statique _ Humphrey
d. La sémiologie des anomalies du champ visuel ;

Les deficits du CV
1. nonsystematisee - unilateral
systématisee - bilateral – HBT – lession chiasma fibre nasales
- HLH – lession retrochiasma

2. Absolu – phisiologique – blind spot tache aveugle, scotome central a l’obscurite

- pathologique – scotome central/peripherique

Relative
3. Retrecissement des isopteres
4. Scotomes central- atteinte maculaire

Peripherique – decollement retine peripherique

Centrocecal – central + tache aveugle

Result nasal - glaucome

Anomalies du CV en atteintes retiniennes


Anomalies du CV en atteintes du nerf optique
Anomalies du CV en atteintes des voies visuelles – chiasma HBT et retrochiasma HLH

5. L’examen de la vision des couleurs ;


a. La perception normale des couleurs ;
- photorecepteurs cones et batonnets. Sensation lumineuse – cones. 3 types des cones –
rouge, vert, bleu
- cel ganglionnaire
- cortex visuel
- Les signaux neuronaux sont combinés pour créer un mécanisme achromatique (apporte
des informations sur la luminosité, le blanc et le noir et combine) et deux chromatiques -
perception du rouge et du vert et perception du jaune et du bleu. Ces signaux seront traités au
niveau cortical.
- La théorie trichromatique de Young-Helmholtz stipule qu'il existe 3 types de cônes dans
l'œil, chacun contenant un pigment photosensible pour l'une des couleurs fondamentales: le
rouge, le vert et le bleu. Lorsque ces particules sont stimulées par la lumière, la sensation de
cette couleur se produit. En mélangeant dans différentes combinaisons des trois couleurs
fondamentales, toutes les sensations colorées sont obtenues.
- La théorie de Hering des paires opposées explique comment se transmettre la sensation
chromatique. Selon cette théorie, l'information est codée en signaux interrompus bicolores
dans les cellules ganglionnaires rétiniennes. Il existe trois systèmes de transmission qui
fonctionnent par paires: noir et blanc, rouge-vert et bleu-jaune.
- Pour chaque couleur, il existe une autre couleur qui, en mélangeant, détermine la
sensation de blanc - couleurs complémentaires.

b. La classification des anomalies de la vision des couleurs ;


hereditaire et acquise
hereditaire – trichromate anormal, dichromate, monochromate et achromate. Opie =
pas des cones, anomalie = anomalie des pigments. Rouge – protanopie/protanomalie,
vert – deuteranopie/deuteranomalie, blue jeune – tritanopie/tritanomalie.
Acquise – dyschromatopsies et chromatopsies
c. Techniques d’évaluation de la vision des couleurs ; (nommer les couleurs,
classification, discrimination – Isihara, egalisation)

6. L’examen du segment antérieur du globe oculaire ;

a. Les techniques d’évaluation ; - illumination laterale simple et combine,


biomicroscopie pol anterieur – semiologie (lampe a fente)

b. Le test a la fluorescéine: indications, technique, résultats ;

indications – traumatisme contusive, suspicion corp etranger souspalpebral, keratite

technique

resultat – positive – colorization du epithelium lesse, endommage, en jeune-vert.


colorization en plaque – erosion cornean, ulcer, colorization punctee superficiel – keratite,
lesion specifique – keratite herpetique superficielle en branche d’arbre

negative – l epitelium est integer, ne colore pas avec fluoresceine

d. La gonioscopie ;
- gonioscopie : on pratique parfois un examen de l’angle irido-cornéen ou
gonioscopie qui est réalisée à la lampe à fente à l’aide d’un verre de contact
comportant un miroir permettant d’apprécier les différents éléments de l’angle irido-
cornéen. La verre Goldmann a un mirroir centrale pour visualiser le pole posterieur
central, et 3 mirroir dans lequelles on voit l’angle (la mirroir en dome) et dans les 2
autres on examine la peripherie de la retine.
- L’angle camerulaire est la zone essentielle pour le drainage de l’humeur aqueuse. Le
grade d’ouverture de l’angle est apprécié par la visibilité des structures de l’angle
camerulaire durant l’examen.
- Il existe 5 stade d’ouverture d’angle – 0=ferme, 1 et 2 angle ouvert, mais etroit et 3
et 4 bien ouvert. En fonction de ca, on fait la clasiffication du glaucome – angle
ouvert ou angle ferme.
- on le fait en but diagnostique, mais aussi therapeutique – glaucome congenital :
goniotomie, indentation en gluacome aigue angle ferme.
- gonioscopie direct – visualisation direct du angle
indirect – Goldmann, image en mirroir , visualisation d’angle oppose
- technique - anesthesie topique, on place la lentille au niveau de la corne et on bouge
la lentille pour voir toutes les 4 quadrans. On regarde dans la lentille en forme de
dome.
- on voit l angle iridocornean – les stades d’ouverure d’angle. On peut trouver
neovaisseaux dans l’angle, pigment, synechies.

7. L’évaluation du tonus oculaire;

a. La pression intraoculaire (PIO) normale ; - voir debut tp pio

b. Les méthodes objectives d’évaluation de la PIO – classification et limites ; par


aplanotonometrie et par identation
c. La méthode subjective d’évaluation de la PIO – indications, technique et résultats; -
methode comparative.
Indications – pour pio plus elevee – glaucome aigue ou plus basse – globe
atrophique, decollement retine.
Contraindique dans les traumatismes oculaires, les plaies, corps etranger corneen
Resultat – en fonction de notre tension

8. L'examen du fond d'œil ;

a. L’ophtalmoscopie du fond d’œil  - ophtalmoscopie directe et indirecte;


b. La biomicroscopie du fond d’œil ; - lampe a fente et verres contact ou non
contact. Ca donne une image tridimensionelle,inversee, ; permet d evaluer la
retine centale et peripherique. Pour mieux visualiser, il faut dilater la pupille.
Decriver le FO normal
c. Les repères anatomiques normaux du FO ;

d. Angiographie
e. Une angiographie à la fluorescéine est utilisée pour observer les
hypoperfusions et les néovascularisations dans les maladies telles que le
diabète, la dégénérescence maculaire liée à l'âge, les occlusions vasculaires
rétiniennes et l'inflammation oculaire. Elle est également utile dans les bilans
avant les interventions au laser sur la rétine. Après une injection IV d'une solution
de fluorescéine, la vascularisation de la rétine, de la choroïde, de la papille
optique ou de l'iris est photographiée en séquence rapide.
f. L'angiographie au vert d'indocyanine est utilisée pour visualiser la
vascularisation de la rétine et de la choroïde et peut parfois fournir plus de détails
sur le système vasculaire de la choroïde que l'angiographie à la fluorescéine. Elle
est utilisée pour l'imagerie de la dégénérescence maculaire liée à l'âge et peut
être particulièrement utile dans la détection de la néovascularisation.

g. Tomographie par cohérence optique


h. La tomographie par cohérence optique (OCT) fournit des images haute résolution
des structures oculaires postérieures, telles que la rétine (y compris de
l'épithélium pigmentaire rétinien), la choroïde et le vitré postérieur. Un œdème
rétinien peut être identifié. La tomographie par cohérence optique (OCT)
fonctionne d'une manière similaire à celle de l'échographie mais utilise la lumière
au lieu des ondes sonores; elle ne comporte pas d'utilisation de produits de
contraste ou de rayonnements ionisants et est non invasive. La tomographie par
cohérence optique (OCT) est utile pour l'imagerie des troubles rétiniens qui
provoquent un œdème maculaire ou une prolifération fibreuse au-dessus ou en
dessous de la macula, dont la dégénérescence maculaire liée à l'âge,
la rétinopathie diabétique , les trous maculaires et les membranes épirétiniennes .
Elle est également utile pour surveiller l'évolution du glaucome.

9. L’examen de la motilité oculaire ;

a. L’évaluation de la déviation strabique


AV, motilite oculaire, VB, deviation strabique + messure, examen segment
anterieur et posterieur
La determination de la deviation strabique
- test des triangles sclerales, reflets cornean Hirshberg, test sous ecran cover
uncover
La messure de la deviation strabique
- reflets cornean avec prisms – Krimsky, test sous ecran avec des prisms
- la prisme – avec la basse dans la direction opposee de la deviation strabique

Les etapes de VB

1. la vision simultanée (1er degré) – un oeil voit une cage, l’autre une oiseau . Si la 1 er
stade est present – l’oiseau dans la cage
2. la fusion (2e degré) - un oeil voit un lapin avec queu , l autre voit un lapin sans queu
mais avec des fleurs. Si la 2 eme stade est present – lapin avec queu et fleurs
3. la vision stéréoscopique (3e degré) – 2 cercles decalle, un dans l’autre
- methode Titmus – avec la mouche – l enfant essaye de prendre les ailles de mouche,
qui sont en relief si la VB est present

10.Les manœuvres en ophtalmologie

a. L’instillation des gouttes et l’application des pommades ophtalmiques ;

b. Les pansements oculaires ;

c. L’attitude en urgence face à une brulure oculaire ;

- avec alkali – la substance penetre en profondeur, est plus aggressive que les acides

- avec acides – ils determinant une barierre protectrice par coagulation

Les brulures peuvent causer necrose de la conjonctive et de la cornee, peuvent


affecter la vascularization au niveau du limb – ischemie perilimbique. On a une
perte des celulles stem. Pour l’alkali, on peut avoir une atteinte d’iris et du cristallin.

Conduit a tenir – lavage abondent avec serum physiologique ou l’eau, au moins 15


min, l’eversion paupiere superieur pour debridement. Le traitement est avec
instillation gouttes et pomades antibiotique, corticoids court term, cycloplegique.

En fonction de l’ischemie perilimbique, on a 4 stade, le premier c’est sans atteinte


de la vascularization perilimbique et stade 4, avec ischemie importante et oedeme
corneen.

Comme complications – trichiasis, cicatrice de la cornee – leucom, oedeme corneen


chronique.

i. L’attitude en urgence face à une plaie oculaire ;


- traumatisme penetrante – plaie cornean, scleral ou sclerocornean
- symptomes – douleur, œil rouge, baisse AV
- investigations paraclinique – radiographie orbite, CT – copr etranger
metalique, IRM – corp etranger vegetale, nonmetalique, echographie oculaire –
rupture globe, corp etranger
- complication – incarceration de l’iris, atteinte du cristallin – cataracte
traumatique (rupture et penetration capsule anterieur du cristallin - urgence, peut
donner une uveite agressive), incarceration du vitree qui peut donner une
docollement retine
- traitement en urgence – profilaxie tetanos, antibiotique par voie generale,
pansement oculaire et envoyer dans une service ophtalmo.
- ttt ophtalmo – maitre le patient sur antibiotique et coricotherapie generale pour
prevenir l’ophtalmie sympatique.
- plaie superficielle, sans penetree la chambre anterieur, limitee a
la cornee – lentille contact therapeutique et antibiotique local
- plaie profonde avec incarceration structures- suture, reposition
iris ou excision la portion necrose, antibiotique dans la chambre anterieur,
pansament oculaire

e. L’échographie oculaire ; 

Echographie conventionnelle – utilisée pour évaluer une pathologie de pole postérieur quand
des troubles de transparence ne permettent pas l’examination du fond d’œil

Echographie biomicroscopique - méthode échographique qui utilise des fréquences tres


hautes pour evaluer les structures de l’angle camerulaire (degré de ouverture, relation avec la
racine de l’iris)

en mode A - apprécier la longueur du globe

en mode B, dont l’indication essentielle est de dépister un éventuel décollement de la rétine


lors de trouble des milieux, ou pour localiser un corps étranger intraoculaire ou bien aider au
diagnostic d'une tumeur intraoculaire ou intraorbitaire.

L'onde de ultasonds est transmise et reçue par un transducteur placé directement sur le globe
oculaire ou sur la paupière.

Mode A - A- amplitude

- Image unique avec des pics dont l'amplitude varie au long d'une ligne plate

Mode B - B → luminosité

- Image bidimensionnelle produite par coalescence de points avec différents degrés


de luminosité en fonction de la réflectivité de l'écho-source

Dg differential - retinoblastoma – calcification au niveau de la tumeur

- Melanoma malign choroidien – en forme de champignon, avec


vascularization local

Dg diff decollement retine – forme de v ou u, lie par le nerf optique, mobilite moderee

Decollement posterieur du vitree – pas en lien avec le nerf optique, tres mobile

SECTION (Coupe) AXIALE - Le patient regarde en position primaire et le transducteur est


placé axialement

SECTION TRANSVERSALE - Positionnement perpendiculaire du transducteur →


demander au patient de regarder dans la direction opposée. Donner Informations sur
l'extension latérale des lesions.

SECTION LONGITUDINALE - Utile pour mettre en évidence les limites antéro-postérieures


de la lésion et les tuniques de la tête du NO.
11.Le diagnostic différentiel de l’œil rouge ;

Conjonctivite, keratite, uveite anterieur, glaucoma aigue, trauma – contusive ou


perforante

Regarder dans le tableau word

Il faut dire

- definition
- Symptomes
- Examen lampe a fente (conjonctive, cornee, chambre ant, pupille – myosis dans
uveite, mydriase glaucome aigue !!!!, dans les keratites – pupille normal !!!, test a la
fluoresceine)
- traitement

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