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Résumé Texte 1

Le Maroc Sera Bientôt Le Taïwan De L’Afrique

Le Maroc dans une situation de blocage cherche à se développer et ceci en allant vers
des marchés et des partenaires lointain tel que l’Europe et l’Afrique de l’ouest, c’est le modèle
taiwanais. Cette décision provoque deux altitudes :
1) favorable et enthousiaste, dans le cadre régional  « arabe et africain », le Maroc
confirme son choix d’un modèle de développement propre.
2) sceptique et défavorable dans le sens ou ses espoirs son démesuré, cette volonté
rencontre auprès des décideurs comme du patronat un enthousiasme que ni les industries, ni la
politique des barrages, ni la relance par la consommation intérieure n’ont rencontré. Cette
comparaison avec l’extrême orient n’est pas absurde mais ce que le Maroc cherche et crois
trouver en Asie c’est le modèle compradorial .
Taïwan, Hong Kong et Singapour se sont retrouvés coincés entre l’océan et le
continent chinois et nord-coréen. Se verrouillage à forge la bourgeoisie taiwanaise et sa
suprématie, tel est le cas du Maroc qui est bloqué par les choix autarciques du régime
d’Alger.
En effet, le Maroc c est engagé économiquement vue la nature de ses investissements dans un
modèle similaires au modèle taiwanais par exemple : Le TGV, le port de Tanger Med ou les
multiples accords de libre-échange sont incompréhensibles lorsqu’on les déchiffre à l’échelle
maghrébine. Ce dernier investit à une dimension continentale.

En guise de conclusion, Le Maroc encore une fois, par les décisions économiques
prises par l’Algérie et en absence d’un marché maghrébin intégré tout comme Taïwan ou la
Corée du sud, ce dernier accomplira probablement une mutation économique puisqu’il
cherchera très loin les ressources de son développement
Résumé Texte 2
Le Maroc Comme Hub Du Capital Risque En Afrique

Le Maroc est aux prémices de la quatrième révolution. En effet, il regroupe toutes les
caractéristiques nécessaires permettant aux entreprises de se lancer et d’investir dans le secteur
de la technologie afin de transformer les défis en opportunités.

En outre, Le montant investi dans les startups technologiques en Afrique a été multiplié par
8,7 de 2012 à 2016. Les plus grands investisseurs au niveau mondial s'intéressent aujourd'hui à
l'Afrique ; On peut notamment citer : Marc Zukerberg fondateur de Facebook en investissant
dans la startup de codage nigériane Andela, Jack Ma fondateur D’Ali baba qui a lancé des fonds
dédié aux startups technologique africaines et aussi orange digital ventures a récemment annoncé
la mise en place d’un fonds pour les startups africaines. Dans cette effervescence, trois
écosystèmes se distinguent : le Nigeria, l'Afrique du Sud et le Kenya, qui se distinguent des
autres et représentent la majorité des capitaux levés en 2016 pour un cumul de 288 millions de
dollars. Le Rwanda a également su tirer son épingle du jeu, plaçant le développement
technologique au centre de sa stratégie en 2020 ; 4500 km de fibre optique, drones, wifi à bord du
Rwanda air etc… plusieurs projets innovateurs ont vu le jour, ainsi on comprend mieux l’intérêt
des investisseurs étrangers porté au continent? Le train est en marche...mais où en est le Maroc ?

LE MAROC est toujours présent et JOUE UN ROLE SRATEGIQUE et centrale


puisque  durant ces quatre dernières années l’écosystème entrepreneurial marocain a connu un
dynamique et une évolution grandiose. Waystocap, Omni up ou encore Manavette, toutes ces
startups marocaines innovantes ont connu une croissance prometteuse.
Cependant, le Maroc a encore besoin d’innovation en matière d’entreprenariat,
d’accès au financement, le relationnel et startups ainsi qu’au niveau du cadre réglementaire et
fiscal. Pour le financement en capital risque, l’initiative de fonds de la CCG et Innov
Invest prévoient de créer deux autres fonds de d’investissement, pour les projets innovants au
Maroc. Mais le Maroc doit avoir une vision lointaine, car il y’a de grande opportunité à saisir
au niveau africain. Néanmoins, un grand nombre de fonds ciblant l’Afrique vont voir le jour,
mais suite a la structure en Afrique et aussi son cadre juridique incompatible aux critères
exigés, les startups africaines doivent porter une attention très particulière et ceci en créant
de nouvelles structures à l’île Maurice et au Luxembourg ou encore l’état du Delaware au
Etats-Unis; pour recevoir ces fonds internationaux. Le Maroc doit donc saisir cette
opportunité en faisant du Casablanca Finance City un hub technologique des startups
africaines où seront réunis tous les flux d’investissement destinés aux startups africaine et
aussi en ciblant des bailleurs de fonds internationaux comme BEI et BAD et IFC

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