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Les probleme de l'accueil dans stricture administratif

definition
Accueillir le public dans des conditions optimales nécessite des qualités relationnelles et

professionnelles de la part des équipes, un espace privilégié et des outils permettant à

l’usager de s’approprier la bibliothèque, ses collections et ses services. La bibliothèque est

un lieu ouvert à tous, installée au cœur d’un territoire dans un contexte évolutif. L’entrée y

est libre et gratuite.

La qualité de l’accueil suppose que les conditions de fonctionnement et l’ensemble des

services proposés par la bibliothèque soient connus des équipes. L’attention portée à

l’accueil conditionne le dynamisme et la fréquentation de la bibliothèque. Il s’agit de placer cette


mission au cœur des préoccupations des équipes en mettant en pratique des repères.

I. Les causes et les comcequence du mal d'accueil dans


les strictures
La question de l’accueil dans les urgences a toujours été le nœud des problèmes du système de santé
sénégalais. Décrié et souvent géré par des non-professionnels , explique dans cet entretien les
blocages et fait qui entraine cette effet negatif.

LES MANQUEMENTS ET COMPORTEMENTS DANS STRUCTURE DE SANTE :

les nombreux manquements notés dans les structures de santé. Il s'agit, "du manque d'hygiène, de
l'accueil des urgences et des malades hospitalisées, mais également du comportement du personnel
des structures de santé", qu'il juge "mauvais". 32,5% des patients ont déclaré avoir la phobie de
l'hôpital pour le mauvais comportement du personnel d'accueil",

Quand on écoute les stagiaires en formation exprimer les difficultés qu’ils rencontrent en service
public, on comprend que la situation est problématique et que les solutions n’ont pas encore été
trouvées aux problèmes , tel qu’il est défini. Que disent-ils ?« Les étudiants sont mal élevés. »« Les
lecteurs ne respectent pas le règlement. »« Ils sont de mauvaise foi. »« Ils font trop de bruit… »

Les comportement des sage femmes sur les hopitaux ;


souvant chez les sage femmes ayants du mauvait comportant an vers les malades . favorise également
les personnes riches sur la coté des autres personnes peuvres. Manque de respect et solider
Si le cas de la femme enceinte était dans le passé un souci pour les sages-femmes dans les salles
d’accouchements, les donnes ont changé depuis un certain temps. Du laisser-aller et des termes mal
placés surtout dans les établissements sanitaires publiques, les femmes sur les salles d’accouchement
sont confrontées à plusieurs difficultés qui émanent de celles qui sont censées les soutenir dans cette
épreuve, les sages-femmes. Nous avons pu recueillir quelques témoignages sur la question.

Mme A.T, sage-femme à la retraite accuse la nouvelle génération de sages-femmes : ‘‘ Je pense que
c’est un manque de déontologie et de l’éthique dans ce métier, sinon dans tout travail il y a un
serment à prêter surtout dans le secteur de la santé, mais il faut aussi dire que ce monde manque
d’indulgence et de la solidarité depuis longtemps.’’

Le cas de ce qui s’est passé à Pikine


Permettez-moi d’abord de présenter mes condoléances à la famille de la victime. Nous regrettons que
l’information soit traitée de façon aussi disproportionnée. Comme vous le savez, la presse a fait état
d’un enfant qui aurait rendu l’âme, parce que ses parents n’avaient pas de quoi payer la facture

Le cas d'Astou Sokhna a l'hopital


Le triste sort d’Astou Sokhna, morte en couche, émeut le pays. Présumée négligée par le personnel
soignant de l’hôpital Amadou Sakhir Mbaye, elle n’a pas survécu à ses douleurs. Elle est morte avec
son enfant, dans le ventre, faute d’assistance.

Ce cas n’est qu’une illustration du traitement réservé souvent aux malades dans les structures
sanitaires.

Cet incident malheureux n’est d’une négligence présumée, n’est que l’arbre qui cache la forêt d’un mal
qui ronge tous les secteurs des services publics et l’administration.

Les récits faits sur les réseaux sociaux, sur l’affaire Astou Sokhna, témoignent d’un mauvais accueil et
d’un traitement anormal qui sont une réalité décriée dans les établissements publics de santé. Les
hôpitaux sénégalais sont des «mouroirs» que ne fréquentent que des citoyens dont la bourse ne
permet pas d’accéder aux privés.

Sur les autres secteurs :


Et dire que les établissements de santé ne sont pas les seules structures publiques dans lesquelles, les
Sénégalais éprouvent des difficultés ; le mal est dans toute l’administration.

Le citoyen n’a pas le traitement qu’il mérite. En plus d’un accueil désagréable, l’attitude de l’agent
trouvé sur place frise parfois un mépris et même parfois l’«insolence» envers son interlocuteur. Le non-
respect des horaires de travail coûte aux usagers plusieurs va-et-vient pour une formalité qui aurait dû
être simple. A titre d’exemple, dans certains tribunaux, avoir un extrait du Casier judiciaire est un vrai
parcours du combattant.
L’accueil dans les structures de santé est souvent décrié. Qu’est-ce qui est fait à votre niveau ?

Le problème de l’accueil, le plus souvent, est organisationnel. Le diagnostic a été posé depuis
longtemps ; les solutions ont été identifiées. Mais il n’y a pas encore une volonté pour matérialiser ces
solutions. La première étape, après avoir mis en place des unités d’accueil et d’orientation qui sont
actuellement dans beaucoup de structures, c’est l’identification du personnel.

Aujourd’hui, ce n’est pas seulement le médecin qui porte une blouse blanche. Vous entrez à l’hôpital,
tous ceux qui portent des blouses, on les considère comme étant des médecins. Il faut corriger ce point
et revenir à l’orthodoxie. Il y a une nomenclature des blouses dans un hôpital. Le médecin porte sa
blouse blanche, la sage-femme porte sa blouse rose, les autres agents portent leurs blouses.

Il faut que cette orthodoxie soit respectée et que l’on puisse dire que tel occupe telle catégorie, rien
qu’à travers sa tenue. C’est la première étape qu’il faudra prendre en charge. La deuxième chose, c’est
d’abord la sélection de ceux qui travaillent dans le service d’accueil. Mais on assiste à une sélection de
copinage.

On recrute des gens sur je ne sais quelle base, c’est par l’entremise d’un ou d’une amie et non sur la
base des critères établis. Vous venez dans une structure d’accueil ou d’orientation, la personne que
vous y trouvez ne sait même pas son rôle.

Elle fait ce travail parce qu’elle a été coptée comme ça. Les personnes prises pour faire ce travail n’ont
pas les compétences. Sur ce point, les rôles sont partagés. Nous avons dit que, si on parvenait à régler
ce problème, on a réglé 50% du problème. Si on respecte la pyramide sanitaire, beaucoup de
problèmes vont être réglés.

Aujourd’hui, j’habite dans un quartier X, j’ai de simples maux de tête, au lieu d’aller dans le centre de
santé qui est à côté, je vais à l’hôpital. Alors que le problème peut être réglé dans le centre de santé.
Ce qui fait que les hôpitaux sont pleins. Après, les gens diront qu’ils sont allés à l’hôpital, mais qu’on ne
les a pas reçus ou accueillis. Alors que vous avez laissé un centre de santé où l’on pouvait vous prendre
en charge de la façon la plus simple.

conclusion

Compte tenu de ces résultats, la Cicodev a recommandé au ministre de la Santé, la mise en place dans
toutes les structures sanitaires, d'un guichet d'accueil et de référence des urgences, la facilitation de
l'orientation des usagers mais aussi un service de restauration, afin de donner une alimentation saine
aux malades hospitalisés.

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