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NOM Prénom, 3 DTS IMRT, 20..-20.., promotion….
Mai …
Sous la direction de …
Au quotidien dans nos relations de soins, sans même s’en rendre compte, nouson utilisonse en
permanence des phrases telles que « Ne vous inquiétez pas. », « Il n’y a pas de soucis. », « Vous
n’avez pas mal ? », et un tas d’autres phrases qui induisent du négatif.f…
Lorsque nous somme diplômés du DTS IMRT2, nous avons la possibilité de continuer à nous
former, en ayant des diplômes supplémentaires. Il y a Je vous en donne quelques exemples :
DIU 3 d’échographie, DIU d’hygiéne, DIU d’hypnose médicale clinique et thérapeutique,
formation pour devenir PCR4, et bien d’autres…
Les évolutions sont également possibles en tant que cadre, en passant par l’école des cadres,
d’ingénieur d’application, ou encore de dosimétriste en radiothérapie.
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France Assos Santé
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Diplôme de technicien supérieur en imagerie médicale et radiologie thérapeutique
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Diplôme inter-universitaire
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Personne compétente en radioprotection
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A. Mieux communiquer pour mieux soigner
Il est vrai, que leur conscience spontanée naturelle est négative, due à bon nombre de facteurs
angoissants tels que : l’environnement, la pose de la perfusion, la douleur, les résultats et bien
d’autres…
Ils peuvent aussi parfois être désagréables car la douleur leur est atroce, ou parce qu’ils perdent
le contrôle d’eux-mêmes à cause de l’angoisse…
En tant que manipulateurs radio, je pense que nous avons déjà tous vécu la situation où l’on dit
au patient de se changer, en disant « Alors Monsieur vous allez enlever le pull, le pantalon, les
chaussures, tout ce qui est métallique donc appareils dentaires et auditifs, mais en gardant le
slip, les chaussettes et le t-shirt, d’accord ? « Je reviens vous chercher dans 5 minutes, à tout de
suite ». En ayant déblatéré tout cela en à peine 10 secondes. Puis, on retourne chercher notre
patient pour l’examen, mais il est assis, encore tout habillé avec son manteau sur le dos. Et oui,
c’est une situation qui arrive, d’où l’importance de la communication et de s’assurer que le
patient comprenne ce qu’on lui dit…
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Manipulateur en électroradiologie médicale
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De plus, il ne s’agit pas juste de ne plus utiliser de négations, mais bien d’adapter notre
langage. Des abus de langage sont parfois entendus dans les services, nous pouvons évoquer je
pense notamment le au fait de dire à un patient « Vous pouvez baisser les bras, c’est terminé »,
qui dans un climat parfois anxiogène ne fait qu’alourdir l’ambiance. Il est préférable de dire
« Vous pouvez mettre les bras le long du corps, l’examen est complet. ».
Parler le langage du patient, ceci est une chose indispensable. Pour cela, il est nécessaire
d’observer le patient. Parler son langage peut être réalisé de façon verbale, non verbale ou para
verbale.
Il y a également un autre outil, plus ou moins perceptible que l’on peut appliquer lorsque
l’on veut améliorer sa communication, c’est le mirroring corporel. Il s’agit de faire pareil que
le patient, de reproduire ses gestes. C’est-à-dire, si un patient s’appuie contre un mur, on peut
faire pareil ; s’il est assis, on peut s’asseoir aussi. Cela lui apporte un climat de confiance…
Si le patient est angoissé par la pose de la perfusion, on peut essayer de détourner son attention,
en lui posant des questions comme « Qu’est-ce que vous allez faire après l’examen ? ». Cela
amène le patient à réfléchir, et donc à moins se focaliser sur le geste, ce qui nous est totalement
bénéfique.
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Pour remettre notre patient dans une conscience critique, on peut utiliser la technique
du VAKOG. Cet acronyme provient de la programmation neurolinguistique, théories et
pratiques inspirées des travaux de Erickson Milton, psychiatre et psychologue américain.
C’est un endroit calme, confortable, où le patient se sent réellement bien, apaisé, tranquillisé,
lui permettant ainsi de ne pas se focaliser sur la peur, la douleur, mais plutôt sur ce lieu qu’il
aura lui-même choisi. Nous pouvons, face à un patient stressé, l’amener tranquillement à penser
à ce lieu.
Ces questions l’invitent à réellement s’imaginer dans son lieu et à s’y immerger. On peut, tout
simplement lui demander ce qu’il voit, ce qui l’entoure, ce qu’il ressent ou encore ce qu’il sent.
Malgré mes nombreux stages lors de ma formation de manipulatrice radio, c’est seulement dans
quelques lieux de stages où j’ai pu observer des professionnels utiliser la technique du lieu de
sécurité. En radiologie interventionnelle, cette technique est d’autant plus utile car les patients
sont plus stressés, et les procédures sont bien plus longues.
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Dans le service d’hémodynamique de la cavale-blanche, et dans le service de médecine
nucléaire de l’hôpital Morvan, un casque de réalité virtuelle est proposé aux patients pour
certaines procédures.
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En discutant avec des manipulateurs radio sur le sujet de la communication thérapeutique, j’ai
pu entendre un jour un professionnel me dire « Moi j’ai pas ça dans le sang », certains pensent
aussi que c’est un don naturel, un talent. Pourtant nous pourrions penser que cette technique
Pour ma part, je reste intimement persuadée qu’elle s’apprend, se travaille, se perfectionne avec
le temps et l’expérience.
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Quelques fois, des outils peuvent nous paraître simples, néanmoins leur mise en application est-
elle bien plus compliquée, c’est pourquoi la pratique est notre meilleure alliée…//
Il faut une énorme adaptabilité importante pour chacun de nos patients, qui sont tous différents,
et demandent donc une prise en charge bien particulière, qui leur est propre.
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III. Des enquêtes pour comprendre les attentes et les besoins de chacun
L’élaboration du questionnaire est une étape importante. Il est nécessaire qu’il soit bien
construit, car il n’est pas possible d’avoir davantage de compléments sur ce que les étudiants
ont répondu. Il était primordial de toujours penser à l’objectif de celui-cioù est-ce que je voulais
en venir, pour réaliser un questionnaire pertinent et et m’apportant le plus de réponses possibles.
Mon questionnaire n’était pas lama seule enquête. J’ai aussi beaucoup discuté avec des
manipulateurs formés à la communication positive, tout au long des mes études. Chacun a ainsi
pu m’apporter son ressenti, les bienfaits de cette utilisation sur la prise en charge des patients.
Ils m’ont aiguillé sur leur façon de faire, m’ont partagé leurs techniques. Toutes ces discussions
sont une vraie ont été pour moi une vraie aide dans l’élaboration de mon mémoire.
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C. Analyse des l’enquêtes : réponses des étudiants (espacer d’une ligne)
Comme beaucoup le savent, le pourcentage de femmes étudiants en tant que MERM6
est plus important que celui des hommes. Ceci s’est révélé également vrai lors de mon sondage.
Effectivement, 96 % des personnes ayant répondu au questionnaire étaient des femmes. La
moyenne d’âge des étudiants était de 20 ans…//
Les personnes ayant répondu à mon sondage pensent que la communication positive s’apprend,
qu’elle n’est pas innée, ils sont d’ailleurs 97 % à vouloir l’améliorer, et presque l’ensemble des
étudiants (99 %) aimeraient avoir des cours sur le sujet.
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D. Limites des enquêtes (espacer d’une ligne)
Pour lama méthode d’enquête, nous avons choisi j’ai décidé de ne travailler uniquement
qu’avec un seul questionnaire. Il n’y a pas euJe n’ai pas réalisé d’ entretien avec des
manipulateurs formés à la communication positive, ou avec des étudiants, ce qui aurait
sûrement pu nousm’apporter des informations supplémentaires, ainsi qu’une approche
différente de mon sujet, car ils auraient pu me donner leur vision des choses.
De plus, en analysant mon questionnaire, certaines réponses donnent la perspective m’ont fait
penser à de nouvelles hypothèses, de nouvelles pistes à explorer, des questions que nous aurions
pu j’ aurais pu introduire en plus dans mon questionnaire, comme par exemple, sur les bénéfices
de la pratique de la communication positive sur les soignants.
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Manipulateur en électroradiologie médicale
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RETOUR SUR HYPOTHÈSES
À la suite de mon travail de recherche, aux échanges que j’ai pu avoir avec de multiples
professionnels et étudiants au cours des mes trois années de formation, et à l’analyse de mon
questionnaire, nous pouvons je peux à présent analyser les hypothèses émises au début de ce
projet.
CONCLUSION
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