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Rapport de stage

Nom : Alexie Pellan-Sayegh


Foyer : 511

Date du stage : 10 au 12 février 2020

Domaine : Médecine, plus spécifiquement dans la radiographie

Nom de l’emplacement : Hôpital Maisonneuve-Rosemont

Nom du parrain : Docteur Michel-Pierre Dufresne, Département de


radiologie, radio-oncologie et médecine nucléaire

Autre élève qui a fait le stage avec moi : Carole Attia (foyer 511)
Partie 1 – Avant le stage
1) Quelle profession ou quel domaine d’emploi as-tu choisi pour ton stage d’un jour ?
En quoi ce choix est-il en lien avec tes études ou ton projet de carrière?

Je voulais aller dans un domaine de santé et ce qui m’intéresse le plus dans la santé
est la médecine, alors j’ai recherché un peu et j’ai vu un stage dans le domaine de
la radiographie et cela m’intéressait énormément puisque j’avais déjà fait une
journée dans ce domaine lors d’une semaine de camp à l’hôpital Sainte-Justine. Plus
tard, j’aimerais travailler comme médecin pédiatrique. Je pense que de simplement
être dans un hôpital pendant 3 jours entourée de médecins et de personnels
hospitaliers va m’aider à me faire une idée sur mon quotidien si j’allais plus tard en
médecine.

2) Comment s’est déroulée la recherche de ton stage? Est-ce que c’était facile?
Difficile? As-tu puisé dans tes réseaux de contacts ou est-ce que tu t’es servi de
l’internet? En quoi est-ce que cette démarche ressemblerait à la recherche d’un
emploi?
J’ai trouvé l’obtention d’un stage moyennement difficile. Pour commencer, j’ai contacté
une personne du CHUM qui est responsable du bénévolat et il m’a donné les informations
pour contacter les personnes qui s'occupent des stages. Finalement, je les ai contactés et
ils m’ont dit qu’il commençait seulement les mesures de stage à partir du 1er janvier,
alors j’ai dû me trouver une autre option puisque je n’étais pas pour attendre si longtemps
pour un stage. Par la suite, j’ai fait une mini réflexion pour voir qui que je connaissais dans
le domaine de la médecine et je me souvenais que mon voisin travaillait dans un hôpital,
alors je l'ai contacté et j’ai pu obtenir un stage avec lui et ses collègues de travail pour 3
jours.

3) Avant d’arriver en milieu de stage, tu devrais préparer une question SciMaTic.


C’est-à-dire, une question concernant ton milieu de stage qui porte sur les sciences,
les mathématiques ou la technologie (de communication ou autres). Lors de ton
stage, à l’aide de tes expériences et de ton parrain/marraine, tu devras répondre à
cette question et ensuite indiquer la réponse dans ton rapport de stage.

La question que je vais me poser est: Comment est-ce que la technologie a pu aider
l’avancée dans le domaine de la radiologie? Jusqu’à où ça pourrait aller? Est-ce
possible qu’à un point, il n’y ait plus d’humains pour diriger les radiologies ou
analyser les photographies?
Une autre question que je voudrais me poser durant mon stage est la suivante :
Qu’est-ce qui m’intéresse le plus dans le domaine de la médecine, plus
spécifiquement entre les différents domaines que j’ai vu durant le stage, lesquels
est-ce que je me verrais faire plus tard comme carrière? (Je ne repondérerais pas à
cette question, mais c’est une réflexion que je veux avoir durant mon stage)

Partie 2 - Pendant le stage


4) Quel est le cheminement à suivre pour accéder à cette profession (type de
formation, endroit de formation, nombre d’années d’études, etc.) ?

Pour avoir la qualification de mammographie, le temps d’étude dépend du chemin


que chaque personne prend, mais normalement ça prend jusqu’à 15 ans pouvoir
toute la finir. La mammographie est une branche de la radiologie, qui est une
branche de la médecine. Pour être certifié médecin, ça peut prendre entre 5 et 6
ans, qui permet d’avoir un diplôme de formation générale en sciences médicales,
qui est la base de la médecine et en plus, un diplôme de formation approfondie en
sciences médicales. Par la suite, il faut faire un internat et une spécialisation via le
DES radiologie et imagerie médicale (5 ans) ou le DES radiologies interventionnelles
avancées (6 ans), ce qui permet l’obtention du diplôme d’État de docteur en
médecine. Ensuite, il faut suivre des cours en mammographie qui peuvent prendre
plusieurs années à compléter, incluant le stage. Pour un médecin radiologue ayant
toutes ses formations antérieures, c’est une surspécialisation. Les endroits sont
multiples pour la formation en médecine (Université de Montréal, de McGill, de
Sherbrooke, etc.) tandis que la spécialisation en mammographie est définitivement
plus restreinte dans ses options d’offres de ce cours. Bien sûr, en médecine
pratique, il y a beaucoup de stages qui doivent être faites souvent en même temps
que quelques cours permettant de faire découvrir les vraies réalités en médecine et
les approches à suivre avec les patients, parce que c’est très important d’être une
aide chaleureuse et rassurante pour tous les patients.

Pour un technologue, que ça soit en radiologie interventionniste ou en


mammographie, il faut juste faire un DEC au cégep. Ce métier est quand même très
important, puisqu’il aide les médecins à préparer son matériel ou nettoyer après,
permettant au médecin de pouvoir passer plus de patients. Pour un technologue en
mammographie, il faut suivre le AEC en mammographie, comportant 3 cours et un
stage de 4 semaines. Cette formation est offerte par le Collège Ahuntsic.

5) Décris le déroulement de ta semaine (3 jours) ou de l’une de tes journées (si elles


étaient semblables). Élabore tes réponses.

La première journée, je suis allée en radiologie interventionnelle, où j’ai vu plusieurs


intubations de patients (PICC line ou cathéters). Les intubations permettent aux
employés de l’hôpital de leur donner à manger ou de leur faire passer des
médicaments par voie sanguine. J’ai vu tous ces éléments en étant dans la salle
avec les patients. En plus, le médecin qui faisait ses démarches, il était entouré
d’appareils l’aidant à voir l’intérieur des patients.

La deuxième journée, j’ai suivi le radiologue surspécialisé en mammographie. J’ai vu


des biopsies en utilisant l’échographie, des installations de harpons permettant aux
chirurgiens de voir l’emplacement du cancer et des biopsies. Je l’ai suivi dans les
salles de patients et également dans son bureau pour évaluer les imageries des
seins des patients. Le processus était le suivant : il allait à son bureau pour évaluer
le cas du patient et voir ce qu’il doit faire (biopsie, mettre des harpons). En même
temps, les technologues vont aller chercher le patient dans la salle d’attente et
amènent le patient dans la salle appropriée. Par la suite, le technologue prépare le
matériel nécessaire selon ce que le médecin doit faire. Par la suite, le patient et
technologue attend le médecin. Ensuite, le médecin arrive et fait les manœuvres.
Par la suite, le médecin retourne dans son bureau, vérifie à l’aide des
mammographies que tout est correct, et ensuite, le patient peut retourner
tranquillement chez lui. C’est comme cela toute la journée en alternatif.

La troisième journée, j’ai fait 3 différents ateliers durant la journée :


Le premier atelier, je suis allée dans un bureau de radiologue et nous avons analysé
des imageries Rayons X et plusieurs autres types d’images. J’ai vu un saignement
interne d’un patient et comment le médecin l’a réglé. Pour le régler, il a mis rentrer
un fil de métal enrobé sur lui-même pour créer un blocage au bout de l’artère qui
créait le saignement.
Le deuxième atelier, je suis allé en écographie pour les femmes enceintes et j’ai vu
quelques révélations de sexe et aussi on pouvait constater les parties du corps du
fœtus, comme son profil, ses mains, ses os, etc. On pouvait aussi voir le petit cœur
du bébé battre et bouger dans l’échographie.
Le troisième atelier, je suis allée à la clinique de mammographie, où ils analysent
les cas, comme ceux qui ont des cancers de seins. Ils les analysent et prennent les
démarches nécessaires pour les différents cas. Par exemple, ils vont arranger un
rendez-vous pour une biopsie, et par la suite, l’envoyer en pathologie pour analyser
les résultats, les renvoyer au radiologue spécialisé en mammographie, qui va
mettre les harpons pour aider à précisez l’emplacement du cancer et par la suite, le
patient s’en ira en chirurgie.

6) Qu’as-tu le plus apprécié du milieu de stage? Explique.

J’ai énormément aimé de pouvoir suivre un médecin pendant 3 journées complètes


et de pouvoir m’informer sur ce qu’est véritablement la radiologue, parce non, ce
n’est pas seulement l’analyse d’imageries. J’ai également beaucoup aimé voir des
patients et voir comment le médecin agit et interagit avec le patient. Également,
quelles actions il prend pour régler le problème (cancer, infection, besoin d’un PICC
line, etc.). J’aime beaucoup les responsabilités que les médecins ont dans leur
milieu ; s’occuper des patients, aider les gens dans le besoin de soins et parfois
même, une vie qui peut changer dans le positif, comme la découverte d’un cancer
qui va pouvoir être traité et enlever dans l’espace d’un an. J’aime également tout ce
qui est pratique sur le patient, donc les interventions envers les patients. Après
avoir regardé les médecins faire plusieurs intubations, je voulais prendre leur place
et m’en occuper moi-même.

7) Qu’as-tu le moins apprécié du milieu de stage? Explique.


J’ai le moins apprécié tout le travail des technologues; organiser le matériel pour le
médecin, aller chercher le patient de la salle d’attente, attendre que le médecin
arrive pour faire les démarches nécessaires pour le patient, regarder faire le
médecin les manœuvres sur le patient. En fin de compte, je n’apprécie pas tout ce
qui est inférieur aux tâches d’un médecin ou de quelqu’un qui donne des ordres et
fait plusieurs manipulations importantes. Je me connais assez pour dire que je
n’aime pas être inférieur à quelqu’un, alors je n’aimerais pas être inférieur au
médecin ou à n’importe qui d’autre. J’ai moins aimé ma demi-journée dans le
bureau du radiologue en train de voir des imageries, de les analyser et de remplir
de la documentation par rapport aux contenues vues et présente sur les images. Je
me connais également assez pour dire que je ne serais pas capable de faire un
travail qui me force à rester assis sur une chaise à longueur de journée. J’ai besoin
de bouger et de faire des éléments pratiques. Ce que j’ai le moins apprécié
également est la pollution faite lors des interventions avec les patients. Pour une
seule intervention, ils doivent utiliser une paire de gants par intervenants (qui est
majoritairement 3 personnes), tous les outils sont jetés sauf le métal qui peut être
nettoyé pour le rendre stérile et tous les emballages pour mettre les gants stériles,
les outils, les vestes stériles, etc. Ils gaspillent énormément de matériel et j’ai
réalisé à quel point c’est de la pollution. En plus, dans un hôpital, il n’y a pas qu’une
intervention par jour, il peut y avoir 2000.

8) Quelles sont les qualités requises pour exercer cette profession ?

Il y a plusieurs qualités pour exercer cette profession, dont la patience envers le


personnel (envers la lenteur des technologues), d’avoir de la vitesse pour agir en
fonction de différents problèmes chez les patients. Il y a également la persévérance,
parce que le nombre d’années d’étude est extrêmement long et il faut être motivé.
Il y a aussi l’agilité, car les médecins et radiologues doivent être agiles à
manœuvrer des outils sur les patients. Il doivent également avoir un bon œil pour
voir les anomalies sur les imageries d’un patient, car ils peuvent être très
minuscules, mais elles ne sont pas détectées, cela pourrait avoir un impact majeur
sur la vie du patient. Une autre qualité très importante est la compassion, ils
doivent pouvoir parler aux patients d’une façon qu’ils vont se sentir confortables et
à l’aise de se faire traiter par ce médecin. Ils doivent aussi garder le sang-froid par
rapport aux situations médicales d’un patient. Il y en a avec des histoires
horrifiantes et extrêmement tristes et ils ne peuvent pas pleurer devant eux. Aussi,
si quelqu’un meurt, ils doivent être en mesure de le dire à la famille sans être
émotif eux-mêmes.

9) Aimerais-tu un jour occuper ce genre d’emploi ? Pourquoi ?

Oui, j’aimerais exercer ce genre d’emploi, parce que non seulement j’adore la
biologie et tout ce qui est soigner les autres et régler leur problème (je suis
également sauveteur), mais je veux faire une différence directe dans la société. Je
ne serais pas motivée à être ingénieur par exemple, puisque selon moi, ça ne fait
pas une aide directe à une population. Oui, c’est clair, ce sont des métiers très
importants, mais je trouve que l’un à un impact direct sur la santé de quelqu’un et
l’autre travaille dans un bureau à faire des documents et les remplir. J’ai été
énormément impressionné et intéressé à ce genre de métier et je posais beaucoup
de questions. C’est sûr, plus tard, je me vois faire une différence pour la société! Je
veux aller plus tard dans la médecine et si possible aller en pédiatrie.

10) Qu’as-tu appris sur toi en réalisant cette expérience ?

Avant le stage, mon parrain m’a dit que ça se peut que je voie du sang et qu’il ne fallait
pas que je m’évanouisse. Une fois que je suis arrivée là-bas et j’ai vu comment les
médecins faisaient, j’ai vraiment réalisé que le métier de médecin était celui qui
m’intéressait le plus. J’ai parlé avec plusieurs personnes et ils m’ont tous dit que ça l’allait
être difficile, mais que si je voulais, je devais foncer pour l’avoir. J’ai souvent eu des
doutes d’aller en médecine, parce que j’ai peur de ne pas avoir la Cote R la plus élevée,
mais j’ai réalisé que si la médecine n’était pas faite pour moi, alors quelque chose l’était,
mais je me suis dit que j’allais faire le plus de mes capacités pour essayer d’aller en
médecine. S’il faut que je fasse un baccalauréat avant de pouvoir réappliquer en
médecine, je vais le faire. J’ai réalisé que je ne suis pas seulement très motivée à aller en
médecine, mais que j’adore énormément cela.

Partie 3 : Après le stage

11) Maintenant, répond à ta question SciMaTic : Comment est-ce que la technologie


a pu aider l’avancée dans le domaine de la radiologie? Jusqu’à où ça pourrait aller?
Est-ce possible qu’à un point, il n’y ait plus d’humains pour diriger les radiologies ou
analyser les photographies?

La technologie dans le domaine de la radiologie a énormément évolué et est rendu


un outil très important dans leur travail de chaque jour. Ça aide tous les travailleurs
médicaux à peaufiner leurs manœuvres tous les jours.
Pour les biopsies, il y a plusieurs machines qui peuvent aider les médecins à la faire.
Tout dépendamment où ils veulent la biopsie, s’il y a une grande profondeur, etc., ils
vont choisir la machine qui va plus les aider. Il y a une grosse machine qui s'appelle
l'appareil stéréotaxique, qui permet de voir en temps réel sur un écran l’intérieur du
patient. Pour une biopsie du sein, une mammographie peut être faite, qui va
permettre une très grande précision à l’aide de trois angles permettant de voir sur
l’axe des x, des y et des z exactement où le médecin doit aller chercher la biopsie,
qui dans le cas du sein est souvent pour voir s’il y a un cancer. Il y a aussi
l’échographie qui aide pour faire les biopsies. Elle aide à voir des images en temps
réel. L’écographie aide plus pour les biopsies mineures. L’écographie aide aussi pour
des suivies après un traitement quelconque comme une chirurgie ou même pour
voir des bébés à l’intérieur de leur mère. Elle permet également l’installation de
harpons à l’intérieur du sein pour permettre au chirurgien de bien voir où la tumeur
est. Pour l’installation de harpons, il y a également l’appareil stéréotaxique qui
permet également une bonne précision pour son installation.
L’imagerie par résonnance magnétique est un autre outil utilisé beaucoup dans la
médecin permettant de voir un corps par plusieurs différentes façons : en 2D ou
même en 3D. Il permet aussi d’avoir plusieurs vues : coronale, sagittale et axiale.
Dans la radiologie interventionnelle, une machine aide énormément tous les
médecins : l’angiographie (Philips numérique). Cette machine permet de voir en
temps réel tout ce qui se passe dans une grande partie du corps, comme le torse ou
une jambe complète ou autre. Il faut juste bien placer la partie que l’on veut
regarder en dessous de la caméra et le médecin va avoir une belle vision de
l’intérieur du patient. Souvent en radiologie interventionnelle, il y a beaucoup de
PICC line, donc ça va permettre au médecin de voir où la tige de métal est dans le
corps et cela facilite l’entrée des tubes dans le corps. Un PICC line est un cathéter
veineux central permettant aux patients qui doivent recevoir plusieurs éléments par
intraveineuse. Ces éléments peuvent être des antibiotiques, des suppléments
nutritifs ou même d’autres médicaments. Il aide aussi les patients ayant besoin de
chimiothérapie de recevoir tous les médicaments nécessaires à leur récupération
adéquate.
Tout ce qui est de la paperasse et de l’informatique est également quelque chose
qui est utilisé dans le quotidien du personnel médical. Sur les feuilles des patients, il
y a quasiment juste des chiffres qui permettent de voir le dossier du patient en ligne,
alors j’ai l’impression qu’à un point, l’utilisation du papier ne sera plus nécessaire.
Aussi, en seulement quelques secondes, un chirurgien peut envoyer un spécimen de
l’opération au radiologue pour qu’il l’analyse et puisse terminer l’opération là. C’est
incroyable que cela puisse se passer, mais c’est grâce aux avancées technologiques
que tout cela est réalisable.
Les avancées technologiques vont en direction de pouvoir avoir des examens
médicaux à distance; une partie de l’examen peut facilement se faire à distance,
mais il y a toujours une partie qui nécessite une présence physique du patient à
l’hôpital ou à la clinique. Je ne pense clairement pas qu’un jour, il n’y aurait plus
d’humains dans la médecine, pour la simple et bonne raison, qu’un patient a besoin
de compassion et de réconfort et pas toutes les tâches pourront être faites par un
robot. Ce qui est clair, c’est que certains travaux pourront être délégués aux robots,
comme le nettoyage de l’hôpital ou peut-être même l’installation de PICC line, mais
il y aura toujours un humain en arrière qui va régler la machine ou bien l’installer.
Dans la radiologie, j’ai l’impression que quelques tâches pourront être déléguées,
comme l’interprétation de certaines images, mais il y aura toujours quelqu’un qui va
vérifier que le tout est vrai, car c’est sûr que les technologies ne sont pas parfaites,
alors il y aura besoin d’une vérification fréquente et quotidienne. Aussi, si nous
avons de nouveaux outils dans la médecine, de nouveaux métiers vont être mis en
place, comme la réparation des robots, ou même la vérification qu’ils sont bien
calibrés et en bon état, car ça ne doit pas nuire aux patients, comme si la machine
fait une chirurgie, mais elle devient défectueuse en plein milieu, ça pourrait aller à
tuer le patient.
12) Qu’est-ce que tu penses de la durée du stage? Trop court? (Retour à une
semaine?) Trop long? (Une journée?) Ceci dépend de ton expérience et de ce qu’il y
avait à faire lors de ton lieu de stage.
Je pense que la durée du stage était parfaite parce qu’elle nous a permis de ne pas
trop être en retard dans nos travaux et en plus de manquer seulement 2 jours
d’école et non 3. Durant la troisième journée, mon parrain a essayé de me mettre
dans plusieurs différents domaines et sections de l’hôpital parce qu’il n’avait plus
grand-chose à nous montrer. Je trouverais ça extrêmement mieux que le stage
serait de 2 jours parce qu’il permettrait au parrain de montrer en 2 jours tout ce
qu’il veut lui montrer sans avoir de perte de temps. Les élèves aimeraient aussi
mieux ça d’être plus actifs pendant 2 jours que de l’être moins pendant 3 jours et
avoir des pertes de temps et des moments ennuyeux. J’ai beaucoup aimé tout ce
que mon stage m’a montré sur la médecine et sur la radiologie, mais puisque c’est
un stage d’observation, ne rien faire manuellement pendant 3 jours complets
devient un peu long surtout le troisième jour, donc je pense que 2 jours seraient
idéaux.

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