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* = correction

Casus 1 :

1. Il s’agit d’un régime mixte ou semi-présidentielle (mixte entre régime présidentielle et


parlementaire). Le cas de la France.
*juste

2. La raison est que dans ce régime, le président est élu au suffrage universel, donc il peut être issue
de n’importe quel partie politique (gauche ou droite). Le premier ministre lui doit être choisit par le
président, néanmoins le président doit désigner ce premier ministre parmi le partie majoritaire du
parlement, et cette majorité du parlement peut tout à fait être le partie politique adverse du
président.
*juste

3. Oui, le parlement peut tout à fait dissoudre le pouvoir exécutif c’est à dire «éjecter» le président
et le premier ministre.
*juste, le moyen que dispose le parlement pour faire cela c’est d’émettre une motion de censure ou
vote de confiance pour témoigner de sa confiance avec le gouvernement en place.

Casus 2 :

1. Le régime politique de l’état E. est un régime parlementaire. Le pouvoir est bicéphale c’est à dire
qu’il y’ a un chef de gouvernement, dit 1er ministre qui est choisit par la majorité du parlement et il
y’ a un chef de l’état qui peut-être un président, un monarque héréditaire etc, sauf que sa fonction
est principalement honorifique et n’exerce pas de pouvoir institutionnel (à part la possibilité de
dissoudre le parlement).
* à moitié juste, c’est effectivement un régime parlementaire, cependant c‘est le chef de l’état qui
nomme le chef du gouvernement (premier ministre) au sein de la majorité issue du parlement. Le
reste est juste.

2. Un partie politique ou même mieux → une coalition (unification de plusieurs parties politiques) à
condtion d’être majoritaire au sein du parlement, pour qu’il devienne le gouvernement du régime.
*juste.

3. Parce que les autres parties politiques peuvent former une coalition entre eux et dépasser en
nombre le PP.
*juste, je complémente en disant qu’il faut donc une coalition majoritaire. Dans ce cas le PP ne peut
rester en parti unique et doit former une coalition pour obtenir une majorité au parlement.

Casus 3 :

1. Le conseillé fédérale
*Faux, en Suisse on a la fonction nommé chancelier ou chancelière qui aide le conseil fédéral mais
n’a pas les mêmes compétences que la chancelière en Allemagne, donc en Suisse, elle n’a pas de
compétence exécutif, uniquement des compétence de coordination et d’assistance au conseil fédéral
qui est le pouvoir exécutif.

2. Le conseil fédérale (Bundesrat dans quel sens ? Chambre au parlement ou le conseil fédéral
traduit en suisse allemand? On part du principe que c’est la chambre au parlement, qu’elle voulait
dire)
* = correction

*Faux, en Suisse, on appelle cela le conseil des états c’est l’équivalent du Bundesrat (chambre au
parlement) allemand, là où il y’ a une différence c’est dans le mode d’élection et les conditions
relatif à cela (c’est à dire la durée du mandat, etc).

3. Ne pas le ou les réélire lors des prochaines élections.


* à moitié juste, je complémente en disant qu’en Suisse, l’assemblé fédérale ne peut pas
dissoudre/renverser le conseil fédéral puisque celui-ci ne répond pas de ses décisions devant
l’assemblé fédéral.

Casus 4 :

1. Elle pourra continuer d’exercer dans ses postes mais devra rendre public sa profession, selon le
principe de transparence, afin de faire connaître ses intérêts.
*juste, je complémente en disant qu’il n’y pas d’incompatibilité au vue de l’art.144 cst féd et (14
Lparl ?), cependant elle doit rendre public ses liens avec des groupes d’intérêts, en vue de l’art.161
al.2 cst féd et renvoie aussi à l’art.11 Lparl.

2. Si elle est élue Conseillère fédérale, elle aura le devoir de ne plus exercer ses fonctions actuelles.
* Juste, je complément en justifiant avec l’incompatibilité et en citant l’art. 144 al.1 cst féd «ni
exercer d’autre activité lucrative» et Art. 60 al.1 LOGA qui dit que aucun membre du conseil
fédéral ne peut exercer une activité lucrative. Si cela arrive, sa ne veut pas dire que l’élection est
nulle, sa signifie qu’elle devra simplement choisir entre son poste de conseillère fédérale ou son
travail.

Casus 5 :

1. Il doit remplir les conditions de l’Art. 143 cst féd, donc parallèlement renvoie à l’Art.136 al.1 Cst
féd qui précise qui a le droit de vote.
*à moitié juste, je complémente en précisant qu’il doit faire attention aux incompatibilité d’après
Art. 15 al. 2 Lparl, à partir du moment où il est élu cette personne a 6 mois pour faire un choix entre
sa fonction parlementaire et sa profession de juriste, si il n’a rien choisit durant ce délai, il est déchu
de sa fonction parlementaire.

2. Il peut être sanctionné sans problème, puisque il n’a ni immunité relatif ni immunité absolue, car
au moment où il fait ses «diffamations», il n’est pas dans le cadre de ses fonctions parlementaire, il
le fait dans le cadre de son travail privé.
*Juste, il a cette inviolabilité, uniquement durant les sessions parlementaire, néanmoins il peut y
renoncer avec certaines conditions, qui sont le consentement écrit ou une procédure de la
commission compétente.

3. (Je ne trouve aucune base légale concernant ce sujet, voir la correction)


* Art. 161 al.1, sa capacité de décision est libre, cependant cette article ne s’applique pas dans le cas
d’espèce. On ne parle pas d’immunité car ce n’est pas un propos tenus, on peut parler de corruption
selon art. 322ter code pénal. Mais pour faire cette procédure de corruption il faut lever son
immunité relative donc il y’ a des conditions pour cela.

Casus 6 :

Aucune idée
* = correction

*On regarde si il cela concerne le conseil des états, dans ce cas les cantons sont compétents selon
art. 150 al.3 cst féd. Il y’ a encore les questions d’incompatibilité à réponde pour l’élu. Pour le
conseil national c’est la confédération qui règlement cela selon l’art. 39 cst féd, on se pose ensuite
la question d’incompatibilité (voir les art 14,15 etc Lparl).

Casus 7 :

1. Oui, elle va tout à fait dans les sens de l’Art.150 al.3 cst féd.
*Juste, je complémente en disant qu’il faut aussi préciser l’art. 39 al.1 cst féd, pour dire que les
cantons règle les questions de droits politiques, donc elle peut octroyer des droits politiques aux
étrangers et ensuite renvoyer à l’art 150 al.3 cst féd. Néanmoins la doctrine et jurisprudence propose
des limites pour les conditions éligibilité des cantons.

2. Oui tout à fait (Art.150 al.3 cst féd.)


*Juste, je complémente en disant qu’il faut passer par l’art. 39 al.1 cst féd, pour dire que les cantons
règle les questions de droits politiques, donc elle peut octroyer des droits politiques aux étrangers et
ensuite renvoyer à l’art 150 al.3 cst féd.

3. Non, en vertu de l’Art. 149 al.2 et cst féd.


*Juste, préciser aussi l’art.39 cst féd.

Casus 8 :

1. Aucune idée
* On qualifie cela de haute surveillance et elle est régit à l’art. 169 cst féd, elle peut s’exercer sur
toute les activités au niveau fédéral, donc elle peut exercer sont activité de surveillance sur
l’administration fédéral. Cependant la haute surveillance est avant tout politique, elle ne peut
modifier une décision.

2. Aucune idée
* Lors de cette procédure de haute surveillance, elle se fait entre les organes politiques (…. pas eu
le temps pour écrire le reste).

3 Aucune idée
* Cette haute surveillance (de l’assemblé fédérale) ne peuve pas être revu par le tribunal fédéral
selon art.189 al.4 cst féd.

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