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→ L’art 1 de la const est essentiel : « la France est une république indivisible, laïc,
démocratique, et sociale. Elle assure l’égalité devant la loi de tous les citoyens sans
distinction d’origine de race ou de religions, elle respecte toutes les croyance. Son
organisation est décentralisée »
• « indivisibilités » = la règle est la même pour tous, l’état fixe une règle applicable
pour tous et
• « décentralisation » = La notion décentralisé à été ajoutée par la révision
constitutionnelle de 2003
→ En vertu de l’art 72 Alinéa 4 : « les collectivités territoriales disposent d’un pouvoir
réglementaire pour l’exercice de leurs compétences » = le pouvoir de prendre des mesures
générales et impersonnelles.
→ Cet article précise que le pouvoir réglementaire s’exerce dans les conditions prévues par
la loi.
→ Art L115-1 du code générale des collectivités territoriales : dans le respect des
engagements internationaux de la France les collectivités territoriales et leurs groupements
peuvent mettre en œuvre ou soutenir toute action internationale, ou de coopération, aide au
développement, ou au caractère humanitaire
→ art 52 et 53 de la c : c’est l’état qui négocie les traites les communes ne peuvent en
changer les modalités.
→ Une collectivité territoriale ne peut pas prendre partie dans un conflit international.
→ L’indivisibilité = la loi est la même pour tous sur tous les points du territoire.
↳ 9 mai 1991 → Le conseil constitutionnel a jugé que l’expression « peuple français » a une
valeur constitutionnelle → pas possible de parler de peuple corse car il n’y a que un peuple
Français
→ Mais le P de la rep n’est pas démunie de pouvoir, il préside le conseil des ministres
→ l’art 13 de la C. Le P de la rep signe les ordonnances et les décrets délibérés en conseil des
ministres. Le P de la rep est élu qu suffrage universel direct et en principe, le p d el a rep n’est
plus menacé par une cohabitation qui a pour effets de transformer l’essentiel des pouvoir au 1
er ministre.
ORGANISATION :
→ Le président de la rep est entouré par :
Dans cet arrêt on considérait que un décret devait être délibéré en conseil des
ministres quand la C. ou la loi avait exigé ce passage.
Dans cet arrêt m. Meyet introduit un recours contre un décret qui selon lui a suivi une
procédure irrégulière car aucun art n’avait exigé ce passage en conseil des ministre.
Le conseil d’état le rejette et juge que des lors que le décret a été délibéré en conseil
des ministre, le président de la rep en vertu de l’art 13 devait le signer.
art 15 de la C : le P préside les conseils et les comités supérieurs de défense nationale
car il est le chef des armée.
→ Un décret du 24 dec 2009 a crée le conseil de défense et de sécurité nationale (=
CDSL) : Il est présidé par le P
lieu où les décisions sont prises alors que la C situe la prise de décision ailleurs
DROIT APPLICABLE :
→ En droit fr : une personne publique qui commande une prestation doit respecter les
règles des marchés publics :
publicité
mise en concurrence
choix de la meilleur offre
Sarko a indique qu’il souhaité plus de transparence et que le budget de l’Élysée soit
soumit a la cour des comptes.
Un premier rapport parut donc en 2008 Philippe Séguin dit peuvent être plus
détaillées.
Une association « anticort » qui bénéficie d’un agreement lui permet de porter plainte
si elle constate de la corruption
3) Le gouvernement : organisation du gouvernement : ministres, secrétaires,
commissaires, le secrétariat général du gouvernement
Le gouvernement
→ Mathieu Caron qui a écrit « droit gouvernemental » en 2020, défend l’idée qu’il existe
un droit gouvernemental comme il existe un droit parlementaire.
→ En pratique : règlements autonomes = rares : ils sont fondés sur une loi.
règlements autonomes = des décrets que prend le 1er ministre sans y être habilité par
la loi
par ex : le travail gouvernemental se fait dans des comités interministériels, ces
comités sont crées par des décrets autonomes.
Sa structure :
→ le nombre de ministre que peut compter un gouvernement => rien n’est écrit dans la C
→ aucune loi sur la distinction entre les ministre d’état, ministre , ministre délégué…
d’état
délégué
des secrétaires d’état.
->La différence = le ministre siège au conseil des ministre chaque semaine alors que
le secrétaire d’état ne s’y trouve que s’il est invité.
→ Pour renforcer son pouvoir le gouvernement a dit qu’il avait les fonctions de ministres
Alors que selon l’art 23 : les fonctions de membre du gouv sont incompatibles avec
l’exercice de tout mandat parlementaire
→ crée par une loi du 24 déc 1934 : nommé par décret en conseil des ministres et même si
aucun texte ne l’exige il est normalement issus du conseil d’état.
→ lien entre ce secrétariat général et le conseil d’état : les deux institutions éditent,
rédigent un guide de légistique : dans le quel, décrivent les règles qu’il faut respecter dans la
préparation des textes pour éviter leur contestation ( loi, arrêt, décret …)
Il doit avoir le texte suffisamment à l’avance pour le présenter au 1er ministre pour
accord et le transmettre au conseil d’état si l’avis du conseil est requis.
le ministre :
→ Une fois la composition annoncée, le 1er ministre édicte, les décrets d’attribution des diff
ministres -> décret du 22 janv 1959 relatif aux attribution des ministres
les décrets d’attribution des ministres sont délibérés en conseil des ministres
→ Ce décret a été modifié le 16 janv 2014 il précise que si un ministre estime se trouver en
situation de conflit d’intérêt il doit en informer par écrit le premier ministre et lui indiquer
les questions sur lesquels il a des intérêts.
→ Un décret détermine les attributions que le 1er ministre va exercer à la place du ministre
intéressé.
Donc un décret du 9 juillet 2018 a dit que la ministre de la culture ne connait pas de
tous les actes de toutes nature à la société « acte sud » mais également elle ne connaît
pas la tutelle sur le Centre national du livre, et elle ne peut pas connaître la régulation
économique du secteur de l’édition littéraire.
les memes précautions on été prise our le garde des sceaux : Dupont Moretti mais 3
jours avant il était avocat donc dans un décret du 3 oct 2020, qu’il ne connaîtrait pas
des actes de toutes natures relatifs à la mise en cause du comportement d’un magistrat
raison d’affaire implication des parties dont il a été avocat. Il ne peut pas connaître
non plus d’action introduit de pers qui aurait pu agir contre lui en qualité d’avocat. Il
ne peut pas avoir des remontés d’information à propos d’affaires qu’il a eu à connaître
en tant avocat.
→ Décret portant attribution d’un ministre => ils changent à chaque gouvernement
Il est préciser que sans préjudice des attributions du ministre de la justice, il prépare et
met en oeuvre dans la limite de ses attributions la pol du gouvernement en matière de
citoyenneté et d’accès a la nationalité française.
→ Pour accomplir ces missions, le ministre de l’intérieur a besoin de service sinon il ne peut
rien faire !
→ Le décret d’attribution, indique que le ministre de l’intérieur a autorité sur les services
qui sont indiqué, énumérant dans un décret du 12 aout 2013. C’est un décret portant
organisation générale de l’administration centrale du ministère de l’intérieur. Et il indique
que l’administration centrale il y a un secrétaire générale et plusieurs directions (ex : la
direction générale des collectivités locales (DGCL) ( directions de la polices nationales ect ))
→ Le décret de 2020 relatif a Darmadin indique qu’il a autorités sur eux a l’exception de la
direction générale des collectivités locales et d’outre mer. Car dans le gouvernement castex,
il y’a un ministre de l’outre mer qui a autorité sur sa direction. Et il y a un ministre de la
cohésion des territoires qui a donc autorité sur la DGCL.
→ mais elles peuvent selon les gouvernement passer de l’autorité d’un ministre à un autre.
→ Lorsque les décrets d’attribution des ministres sont publiés les spécialistes observent
qu’elles sont les attributions des ministres et les administrations sur les quels il a autorité.
→ Deux ministres peuvent avoir une autorité conjointe sur une direction.
Par ex : il existe une direction des français a l’étranger, dans le décret du 15 juill 2020,
le ministre de l’intérieur a autorité conjointement avec le ministre des affaires
européennes et étrangère sur cette direction car nécessite les compétences des trois
ministères.
→ Il faut se reporter aussi a son décret d’attribution : a -t-il véritablement autorité sur des
directions ?
→ Le ministre est épaulé par un cabinet, dans une administration centrale il y’a une
administration stable avec des fonctionnaires.
4) Notion de déconcentration
→ l’état, réfléchie a son organisation territoire, pour être efficace pour des raisons
financière
Son art 1 dit « l’administration territoriale de la rep est assurée par les collectivités
territoriales et par les services déconcentrés de l’état »
l’administration déconcentrée de l’état est organisée dans les circonscriptions
suivantes :
o régionales
o départementales
o arrondissement
→ l’évolution des limites et collectivité territoriale est sans effet sur les circonscriptions
administratives de l’état.
En 2015 → reforme de la carte régionale elle n’a pas d’effet sur l’administration
d’état au niveau régional.
→ L’objectif est de confier que aux administration centrales et aux services a compétences
nationales les seules missions qui présentent un caractère nationale.
→ L’art 3 du décret, précise qu’elles sont les misions nationales : les administrations
centrales doivent assurer au niveau national un rôle de conception animation et appui, des
services déconcentrés.
→ les régions était des administrations des l’états chargées de mener des pol de
développement économiques
→ Le préfet de région à un rôle important à jouer, il a autorité sur les diff administrations
régional
→ C’est pour ça que le sénat (représentant des collectivités territoriales) à mené une étude
en 2017 « où va l’état territoriale »
La RGPP (révision générale des politiques publiques) a eu pour but de réduire les
services régionaux d’une vingtaine à moins de 10.
Une loi du 16 janv 2015 a procédé a une nouvelle délimitation des régions pour
réduire le nombre de régions pour les rendre plus efficaces.
L’état a parallèlement réorganisé ses services régionaux pour qu’ils correspondent aux
limites des nouvelles régions.
→ De 2009 à 2015 : 3300 emploies ont été supprimé sous préfectures donc le but n’était pas
d’augmenter leurs pouvoir.
→ Un ministère est efficace : s’il peut compter sur les administrations déconcentrées
régionale et départementales.
Pdt très longtemps ça na pas été le cas pour le ministère de l’environnement qui a été
crée en 1971 et jusqu’en 91, il n’avait pas de direction départementale ou régional de
l’environnement.
→ Les choses ont en suite changé et les administrations de l’état avaient un rôle d’expertise
technique auprès des collectivités territoriale
5) Le préfet
→ Le décret du 29 avril 2004 → determine les missions des prefets : possible d’introduire
un recours hiérarchique devant les ministres contre les décisons des préfets de départements
et de région
→ le maire est :
→ Lorsque 2 autorités sont dans une relation hiérarchique cela implique que le supérieur
hiérarchique ait certains pouvoir à l’égard du subordonné.
→ Le superieur a un pouvoir de:
➢ instruction (= il peut par des actes lui indiquer comment la regle de droit doit etre
appliquée)
➢ réformation (= il peut prendre une autre decisons que celle qu’a pris le subordonné)
→ Il est possible d’introduire un recours hierchique devant le ministre du prefet qui pourra
annuler la decison du prefet.
Il peut créer des personnes publiques spéciales, ce sont des personnes morales ( ex :
les établissements publics)
Il y a des institutions de l’état qui ont une grande autonomie (ex : les juridictions,
ce sont des institutions de l’état )
→ se sont des autorités de l’état, mais elle ne sont pas soumise au pouvoir hiérarchique du
gouvernement
C’est une institution qui existe tjrs et qui est chargée que l’utilisation des données
internet ne porte pas atteinte à nos libertés.
->Un ministre ne peut pas être appelé à s’exprimer sur la CNIL devant le
parlement.
→ CNIL => AAI car l’usage des données informatiques pouvaient permettre de porter
atteintes un liberté donc on ne pouvait pas confier un telle pouvoir de contrôle à un ministre
du gouvernement de l’état.
→ fin des années 70 : lois qui visent à améliorer les relations entre les administrations et les
administrés.
→ Loi du 17 juillet 1978 : garanti aux administré l’accès aux documents administratif =
les documents produit par les administrations sont communicables.
si communication est refusée par l’administration alors l’administré peut saisir une
commission administrative la CADA qui va rendre un avis sur le caractère
communicable ou non du doc.
Si il n’a pas obtenu la communication du doc, il peut saisir le juge administratif d’un
recours contre ce refus de communication.
→ La CADA est considéré comme une AAI, elle a des points communs avec la CNIL :
→ Mais : La CNIL a un pouvoir de décision alors que la CADA donne des avis = une
magistrature d’influence
→ La loi du 11 juillet 1979 : oblige l’administration à motiver ses décidons individuelles
défavorable car tout acte administratif expose sur un motif
loi du 29 juillet 1982, sur la communication audiovisuel. L’art 1 de cette loi dispose
que « la communication audiovisuelle est libre »
En 1988 la gauche revient au pouvoir et une loi est votée pour la supprimer et la
remplacer par le conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA).
Le CSA n’a été supprimé que en 2021, qui est remplacé par l’autorité de régulation
de la communication audiovisuelle et numérique (ACORM) = fusion du CSA et de
HADOPI
→ En 1973 avait été créer en fr le Médiateur, il a pour mission d’essayer de régler les litiges
à l’amiable sans saisir le juge mais que un pouvoir de recommandation.
Télécommunication
L’électricité
Gaz
Chemin de fer …
Avant ces activités étaient confiées a une entreprise propriété de l’état (publique) qui
avait le monopole.
Apres : L’Union européenne adopte des directives pour prévoir que ces activités
seront ouverte a la concurrence.
→ comme ces activités sont ouverts à la concurrence, il faut que une autorité assure la
régulation du marché :
Une ordonnance du 1er déc 86, à instituer la liberté des prix (les prix fixé par le
jeux de l’offre et de la demande)
l’ordonnance créée le conseil de la concurrence (une AAI) => qui est chargée de
sanctionner par des amendes les entreprises qui commentent des pratiques anti-
concurrentielles.
par ex :
o Le CSA est une AAI et est devenu l’ARCOM qui est une autorité publique
indépendante.
il faut être certain que les formation proposées par les universités soient de
qualité pour que l’argent soit dispensé par l’État. Mais en vertu du principe
d’indépendance de l’université le gouvernement ne doit pas évaluer donc c’est
pour cela que l’on a crée le HCERES qui va évaluer les formations
proposées par l’université et les centres de recherches.
→ les lois créants les AAI ont été soumises au contrôle du conseil constitutionnel
1er pb :
Argument contre les AAI : Les AAI échappent aux pourvoir hiérarchique du
gouvernement donc le gouvernement ne disposant pas des AAI, il n’y a pas de
contrôle parlementaire.
Argument contre : Mais la C Dispose que c’est le 1er ministre qui détient le pouvoir
réglementaire (art 21). Donc une loi qui créer une AAI lui confie un pouvoir
réglementaire qui est retiré au 1er ministre or la loi est inférieur a la constitution.
Le conseil a rejette ce grief dans la décision du 18 sept 86, il juge que même si l’art
21 attribue au 1er min le pouvoir réglementaire cela n’exclue pas qu’un pouvoir
réglementaire soit confié a une autre AAI même indépendante des lors que ce pouvoir
réglementaire intervient dans un domaine déterminé et que les actes règlementaire
de l’AAI seront soumis dans la hiérarchie des normes à la loi ou au décret du 1er
ministre.
3ème pb :
Argument contre : Jusqu’au début des années 80 seule le juge pénale pouvait infliger
de telles amendes, donc certains on soutenu qu’il y avait inconstitutionnalité car ce
pouvoir empiéter sur le pouvoir du juge pénal garanti par la déclaration des droits de
l’homme.
Le conseil constitutionnel a rejeté le grief, dans deux décisions : 17 janv 1989, relatif
au CSA et une autre du 28 juill 1989 à propos de la commission des opérations de
bourses.
Il juge que le principe de séparation des pouvoir (art 16 de la DDHC ou autres regles
constitutionnel) n’interdit pas de confier un pouvoir de sanction a une AA même une
sanction très lourde (= une punition).
La seule réserve est que la sanction ne peut pas être une mesure de privation de
liberté. Et il ajoute que si une AA se voit accorder un pouvoir de punition elle devra
respecter les principes qui s’impose au juge pénale :
Les sanctions infligée par les AAI, doivent également respecter la convention
européennes des droits de l’homme et notamment son article 6 : « des lors que le
litige porte sur une accusions en matière pénale ou sur une contestation de caractère
civile le citoyen a le droit au respect d’une procédure équitable, à l’accès a un tribunal
indépendant et impartial, qui statue publiquement, dans un délai raisonnable».
le conseil d’états dans un arrêt du 3 dec 1999 à indiqué qu’a certaines conditions
une AAI, est un tribunal « au sens de l’art 6 » elle doit donc respecter une
procédure équitable.
→ Années 80 : multiplication des AAI -> le législateur s’en est préoccupé et il a considéré
qu’il fallait donc rationaliser :
Une manifestation :
→ révison de 2008 a créer le Défenseur des droits qui se substitue a un certains nombre
d’autorité ( la HALD, le Mediateur ect )
→ sa mission est de veiller ( art 71-1 ) : « au respect des droits et libertés par les
administrations publiques »
→ Dans la trad fr, la protection des libertés repose sur le juge donc le défenseur en est une
exception.
→ Mais il a un lien avec la justice car il peut déposer des observations durant les procès.
Le parlement s’est préoccupé de cette multiplication, donc une loi du 20 janv 2017
portant statut général des AAI et des API.
C’est une loi qui a pour objet de fixer des règles communes applicables a toutes les
AAI sous réserve des dispositions propre a chacune d’elles.
la durée d’un membre d’une AAI ou API doit être comprise entre 3 et 6ans sauf
quand le membre est parlementaire (son mandat = celui de parlementaire)
Le membre d’une AAI ou API, doit respecter le secret des délibérations puis il doit
s’abstenir de prendre des positions publiques qui seraient préjudiciable au bon
fonctionnement de l’institution.
→ L’établissement public : est une personne morale de droit public ( ≠ association c’est
de droit privée ) qui a des compétences spéciales et est soumis au pouvoir de tutelle de
l’état et il est rattaché a une collectivité a compétence générale ( notion qui évolue car les
collectivités avait une compétence générale mais ce n’est plus vrai )
> art 34 de la C. = Le législateur est compétent pour créer les nouvelles catégories
d’établissement public
> mais quand il faut créer un établissement qui rentre dans une catégorie qui existe, un
décret suffit
→ Des lors que un établissement public est créer pour donner une autonomie a un service,
certains l’on comparé à la création de collectivité territoriale.
-> mais ce n’est pas possible car la décentralisation territoriale repose sur la c. (Titre
12) qui accorde des garanties aux collectivités territoriales.
→ Barbé soutient que : l’établissement public est un moyen pour l’état de mettre en place un
contrôle sur l’administration d’un établissement. L’établissement public lui est tjrs soumis a
l’autorisation du gouvernement ou du législateur.
→ jusqu’en 2000, le législateur qui voulait donner une autonomie à un service ne pouvait
que créer un établissement public.
Par ex : les collèges et lycée sont des personnes morales de droit publics qui ont pour
mission la prise en charge du service public d’éducation nationale. C’est plus logique
que qu’ils soient autonomes .
→ Par exception : Il y a des établissements qui n’assure pas une mission de service
public.
- fondatif
- corporatifs
- Leurs missions : il se peut que des travaux doivent être entrepris pour le bien de
propriétaire privées mais qui intéresse l’intérêt générale, les travaux ne seront
efficaces que si tous les propriétaires acceptent d’y participer donc le préfet peut
ordonner aux propriétaires de ce réunir dans une association syndicale de propriétaire
si elle est constituée d’office par le préfet.
→ dans une décision du 9 dec 1899, « association syndical du canal de Gignac » le juge a
jugé que l’asso syndical de proprio constitué d’office par le préfet est un établissement public,
la loi ne le disait pas et que Celles qui sont libres sont privées.
Maurice hauriou à dit que « on nous change notre état » car nous sommes dans un
régime libérale avec des propriétaires privée qui se retrouve obligé de s’associer.
→ Ce sont des établissements corporatifs car leurs assemblée est composé de propriétaires
privés.
→ Ça permet de comprendre que l’établissement est autonome avec des limites car il est
rattaché avec l’état, il a une mission de service public.
- La chambre de métier est sous la tutelle de l’état, il y’a un pouvoir de contrôle mais
elle est administrée à l’intérieur par des membres élus.
- en matière de santé : les agences régionales de santé public (ARS) qui est un
établissement public fondatif de l’état. Elle joue un grand rôle dans l’organisation de
l’accès au soin. L’agence régional de santé va jouer un rôle dans l’établissent de la
carte hospitalière
Pk on les a créés ? :
réduire les inégalités territoriales devant la mort (mais marche pas car on constate une
surmortalité en Bretagne)
→ le directeur général de l’agence régional de santé exerce des compétences au nom de l’état
et échappe au contrôle du préfet de région.
en 1945 création de la sécu ( ce sont des organismes qui ne sont pas l’état ),
o En 1970 le maire perd ses prérogatives au profit d’un directeur nommé par le
ministre de la santé ( l’adm de l’état commence à apparaître)
années 90 : reforme hospitalière en 91 qui fait des hôpitaux des établissements public
de santé
en 1995, il y a les ordonnances Juppé (1er ministre), dans ces ordo on dit que le
système de santé coûte chère il est déficitaire, il faut une reprise en main par l’état. On
repasse a un contrôle par l’état.
en 2003, l’état a opter pour une tarification à l’activité, l’hôpital a une tarification en
fonction des actes de ce qu’il fait. C’est la fédération hospitalière qui a demandé ça
car la tarification globale avait pour effet de transposer les patients dans le privé.
en 2009 une loi « hôpital patient santé territoire » à renforcer les pv des directeur au
détriment des médecins. Cette loi a insisté au regroupement d’hôpitaux car on pense à
l’efficacité
La cause de dépôt et conciliation a été en 1816, et réformer par une loi du 22 mai
2019, loi pacte.
La caisse des dépôts a été créer pour être autonome par rapport à l’état pour éviter
qu’il utilise l’argent déposer a son propre besoin.
→ Le directeur de la caisse des dépôts qui est nommé par le gouvernement à une certaine
autonomie et est controlé par une commission de surveillance composé de parlementaire et de
la cour des compte de la chambre de commerce de paris.
→ aujourd’hui la loi, dispose que la caisse des dépôts et ses filiales constituent un grp
public au service de l’intérêt général et du dev eco du pays.
- L’établissement public créer a la suite de ça, pourra avoir une forme expérimentale
c’est à dire que l’établissement pourra regrouper des entité qui peuvent conserver
leur personnalité moral.
→ L’établissement public est régit au regime de spécialité, il a les competences que la loi lui
a donné.
→ Les EPCI a fiscalité propre sont les communautés de commune, d’agglomération, urbaines
et métropoles.
→ Le consiel d’état a considéré que un établissement public pouvait prendre en charge les
activités complémentaires de son activité statutaire si ca lui permet de mieux accomplir son
activité principale.
→ Tout établissement public est soumis a la tutelle de l’état car la France est un État unitaire
donc il faut un controle sur toute personne public.
→ pv hierachique ≠ pv de tutelle
→ « il n’y a pas de tutelle sans texte » = l’autorité de tutelle n’a que les pouvoir que la loi lui
a conféré.
→ La tutelle qui pèse sur un établissement public dépend des lois qui ont instituée
l’établissement public.
→ L’établissement public est rattaché a une collectivités qui a compétence generale c’est à
dire l’etat ou une collectivité territoriale. Tout dépend de la nature du service public confié.
11) Les personnes publiques spéciales autres que les établissements publics
→ Jusqu’en 2000 on considérait qu’il n’y avait pas d’autre personne publiques spéciale mais
le juge a reconnu qu’il en existe d’autre
la banque de franque :
- Le conseil d’état dans un arrêt du 22 mars 2000, le conseil à jugé que la banque de fr
est une personne public sui-generis : c’est à dire qu’elle n’entre pas dans une
catégorie.
o Pour créer la monnaie unique il fallait instituer une banque central européenne
qui va être chargée de gère cette monnaie.
o Dans une première étape, les états devaient donner une indépendance à leur
banque central, c’est pour ça que une loi de 1993 a été voté en France pour
modifier le statut de la banque de France.
le GIP :
- créer par une loi du 15 juill 1982 : Loi d’orientation et de programmation pour la
recherche
- c’est une personne morale de droit public dotée de l’autonomie adm et financière
- constituée par convention et approuvée par l’état soit pour regrouper plusieurs pers de
droit public soit une ou plusieurs de droit public ou une pers privée c’est une loi du 17
mai 2011 qui établit le régime du GIP.
- Elle créer le GIP pour permettre l’association pour les recherches entre les universités
et les centres de vaccins.
- Le tribunal des conflit dans une décision du 14 fev 2000 « habitat et intervention
social pour les ma logé et sans abris » dans cette décision, le tribunal des conflit a jugé
que le GIP n’est pas un établissement public :« c’est une pers public soumise a un
régime spécifique ».
- Il a rendu cette décision car le GIP est créer par un contrat, une convention approuvée
par l’état alors que l’établissement public est créer par un acte unilatéral.
- Les deux premier API ont été crée par une loi du 1er aout 2003 qui a créer l’autorité
des marchés financiers chargé d’assurer les règles les marchés financiers et la
commission de contrôle des assurances.
la personnalité morale :
- Pas dans un texte officiel le premier a l’utiliser c’est un auteur de droit public = Léon
Duguit qui en 1903 il utilise le terme de collectivité territoriale dans un ouvrage.
- l’art 69 de la charte de 1830 annonce que une loi devra créer des institutions
départementales et municipales fondée sur un système électif.
- Sur le fondement de cet art 69 une loi du 21 mars 1831 prévoit l’élection des conseils
municipaux par un corp municipal remplissant certaine condition d’âge et de
capacité.
- loi de 1884 que les maires ne seront plus nommé par le pouvoir central, mais par le
Consiel municipal.
1ère proposition => il s’agit d’un principe inscrit dans la constitution ( art 72 + 34 )
mais la C ne donne pas son contenu, il reviendra donc au juge d’en donner le
contenu
2ème proposition => la libre administration est une liberté de gestion, ce n’est pas une
liberté de gouvernement ( pas un État fédéral )
4ème proposition => le principe implique que la collectivité territoriale est des
compétences effectives (une loi qui retirerait à la commune toute ses compétences
serait contraire au principe)
5ème proposition => les collectivités territoriales doivent disposer d’un certain
pouvoir réglementaire en vertu de ce principe
→ La clause générale de compétence est affirmée dans la loi de 1884, qui est la grande loi
sur les communes, et elle dispose que le Conseil municipal règle par ses délibérations les
affaires de la communes.
→ Ces dispositions figure tjrs dans le droit positif dans le code général des collectivité
territoriale.
ou
est ce que la commune n’a que des compétences qui découles de la loi ?
C’est une idée qui est contestée, la doctrine considère que la commune n’a que les
compétences que la loi lui confère
→ L’idée que la commune puisse avoir des compétences qui pré existe a la loi :
- résulte de la révolution.
- La révolution fr a été déclenchée par les municipalités, donc le pouvoir des communes
préexiste
→ Maurice Bourgogne avait soutenue que les collectivités territoriales ont un pouvoir
réglementaire sans que la loi leur a attribué -> rejeté par le conseil constitutionnel
- La commune détient jrs une clause générale de compétence mais elle n’existe plus
pour le département n’y pour la région qui sont pourtant encore des collectivités
territoriales.
→ Dans ces deux schéma le conseil régional fixe des orientations pour son territoire.
→ Pour que cela est un sens il faut que ce schéma soit respecté par les communes et les
départements => Les textes prévoient que les documents de la communes notamment le PLU
doivent être compatible avec les schémas régionaux.
= un rapport de conformité
Des compétences déterminées par loi ou la constitution et un juge pour les protéger :
→ Des lors que les collectivité territoriale on un statut garantit par la constitution cela leur
donne des immunités importantes face à l’état et au pouvoir législatif car réviser la
constitution = pas facile
→ On pourrait imaginer une autre protection pour les collectivités territoriales résultant des
conventions internationales car (arrêt du conseil d’état de 1989 -> NICOLO) les traités ont
une autorité supérieur a la loi (l’art 55 de la C)
- Mais l’arrêt nicolo accepte de vérifier qu’une loi respecte le traité mais uniquement
dans les règles de fond pas pour les règles de forme, de procédure.
→ une collectivité territoriale bénéficie de droit fondamentaux dont elle peut obtenir la
protection devant le conseil constitutionnel.
- Donc elle peut par ex invoquer le droit de propriété
→ il y a un organe :
- délibérant
- exécutif
Par ex : l’art L 2121 pour la commune dispose que le corps municipale de chaque
commune se compose du conseil municipal du maire et d’un ou plusieurs adjoints.
Organes délibérant :
- Le mode de scrutin est diff selon que la commune a moins de 1 000 ou plus
d’habitant :
- Il est prévu que le Conseil municipal se réuni au moins une fois par trimestre
- Un conseil municipal ne peut être dissout que par décret pris en conseil des
ministre
→ Les conseillers départementaux : sont élus dans le cadre d’une circonscription uni est le
canton.
- Ils sont élus pour 6 ans intégralement (car avant une loi de 2013, il était renouvelé
par moitié tout les 3ans.)
- les élections ont lieu au mois de mars. Pour être élu au premier tours, il faut 1/ 4 des
inscrit + majorité absolue. La majorité relative suffit au second tour.
- Les élections ont lieu en même temps que le renouvellement que les conseils
départementales.
- Les conseillers régionaux sont élus dans chaque régions au scrutin de liste a deux
tours sans adjonction ni suppression de nom.
- Chaque liste est composée autant de section qu’il y a de département dans le région.
- le mode de scrutin prévoit une prime a la liste qui a obtenue la majorité abs au
premier tours ou en tête au second tours.
- Comme pour les départementales, la liste qui n’a pas obtenu au moins 5% des
suffrages exprimés n’a pas de siège (pas admise a la répartition)
L’exécutif de la collectivité :
→ Le maire :
- pour être élu maire il faut avoir obtenu la majorité absolu aux deux premiers tours
et au troisième tours la majorité relative suffit.
- Le maire doit avoir au moins 18 ans
- Maastricht (1992) : les ressortissant de l’UE peuvent voter aux élections municipal et
peuvent être élu conseillers municipal.
→ Les adjoints :
- C’est le conseil municipal qui désigne du nombre d’adjoint dans la limite du tiers du
nombre de conseiller municipaux.
- Le minimum de conseiller est 7 c’est à dire qu’il ne pourra avoir que 2 adjoints.
Départ :
→ Si divergence entre eux : si le conseil veut le départ du maire les conseillers doivent
démissionner.
→ Le conseils municipal peut également être dissous par décrets en conseil des ministre.
→ S’il y a de grave dissensions, que le budget des ne peuvent pas être voté par ex, le
président prend un décret qui mène a de nouvelles élections du conseil.
→ La dissolution des conseils régionaux ne peut pas être menée par voie générale
14) Le référendum local
Référendum 1 :
→ art 72-1 alinéa 2 : dans les conditions prévu par la loi organique, les projets de
délibération ou d’acte relevant de la compétence d’une collectivité territoriale peuvent à son
initiative être soumis par voie de référendum a la décision des électeurs de cette collectivité.
→ art 72-1 : nous indique qu’il est complété par une loi organique intervenu le 1 août 2003
L’art indique que l’assemblée délibérante peut soumettre à un référendum locale tout
projet de délibération tendant a régler une affaire de la compétence de cette
collectivité territoriale.
o la délibération doit être transmise au préfet dans les 8 jours, il peut dans les 10
jours décider de déféré la délibération du tribunal administratif s’il estime
qu’elle est illégale ou ne porte pas sur les compétences de la collectivité.
→ Le référendum ne peut pas être utilisé dans les 6 mois avant le renouvèlement du conseil
Le pb de cette procédure :
Référendum 2 :
→ Dans une année, un lecteur ne peut signer qu’une fois, et faire parti des 1/5.
Référendum 3 :
→ Depuis qql années, volonté dans le discours pol de créer un droit à la différenciation pour
les collectivités + veut l’inscrire dans la consti (n’a pas marché).
– Ex : RSA → qui peut l’avoir (régis par une loi), est ce qu’il est possible de permettre
au département de déroger à cette disposition.
→ Le Conseil d'Etat, avis du 7 décembre 2017, la consti ne permet pas à la loi d’opérer des
transfert de compétences entre C de catégories différentes car la consti proclame un principe
d’égalité entre les citoyens et il serait méconnu si on permettait ces différenciation.
→ Le CE rappel : il est possible si les CT sont dans des situations diff d’opéré un traitement
diff.
– Le principe d’égalité implique qu’il est possible de traiter des personnes diff de
manière diff.
→ La loi Montagne du 9 janvier 1985 dispose que les pol publiques dans un certains
nombres de domaines (santé, transport) peuvent être adaptées au spécificité de la montagne.
→ La loi impose la création d’un EPCI à fiscalité propre qui regroupe les communes.
→ Une communauté de commune doit regrouper au moins 15 000 habitants mais
pour les communes de montagne ce chiffre est à 5000.
→ Dans cet avis de 2017, le conseil d’état limite les possibilités de différenciation.
→ Dedans = application du principe d’égalité. Cet article permet à la loi une différenciation
déjà possible avant.
16) L’expérimentation
→ Le conseil constitutionnel dans une décision du 17 janv 2002 à propos de la corse, avait
exclu l’expérimentation pour les collectivités territoriales.
À l’art 37-1 de la C qui dispose « la loi et le règlement peuvent comporter pour uni
objet et une durée limitée des dispositions à caractère expérimental ».
→ Cette loi était nécessaire car l’année d’avant, le conseil constitutionnel avait jugé que une
loi ne pouvait pas autoriser une collectivité territoriale à déroger au principe fixé par la loi.
→ Il faut donc que la loi autorise expressément les collectivités territoriales à déroger pour
un objet et une durée limité. Mais aussi, que l’expérimentation ne peut pas permettre de
porter atteinte a une liberté fondamentale
→ Car la loi organique qui en précisait les modalité était trop restrictive.
→ C’est pour ça que le 19 avril 2021, une loi organique a été votée « relative a la mise ne
oeuvre des expérimentations », et à simplifier les conditions de mise en œuvre de
l’expérimentation.
→ En vertu de cette loi de 2021, les collectivités territoriales pourront participer à une
expérimentation ouverte par la loi en le décidant par une délibération.
→ Il n’est plus nécessaire qu’un décret les y autorise.
→ L’art 72-2 de la C indique que les collectivités territoriales bénéficient de ressource dont
elles peuvent disposer librement
→ cet article a été complété par une loi organique du 29 Juillet 2004 qui définit de manière
restrictive la notion de ressources propres.
- La loi du 10 janv 1980 avait reconnu à la commune le pouvoir de fixer les taux des
4 impôts directs locaux : « les quatre vieilles » :
- l’autonomie des communes qui résultait de cette loi de 80 a été réduite par rapport a
cette loi de 80.
- C’est ainsi qu’une loi de 2009 « loi de finance pour 2010 » => elle supprime la taxe
professionnel et la remplace par un certains nombre d’impôts:
- Et il en résulte que la commune n’est donc plus compétente pour fixer le taux de la
CVAE → c’est la loi (l’état) qui fixe un taux unique de 1,5%.
- Pour la CFE le taux est fixé par l’établissement public de coopération intercommunal
a fiscalité propre ( l’EPCI).
→ Cette loi de 2009 a été déférée au conseil constitutionnel par 60 parlementaires qui
soutiennent que cette loi méconnaît l’art 72-2 sur la garantie de ressource propre sur les
communes . Le conseil a rejeté cet argument. Il dit que « les ressources propres se sont les
impôts pour lesquels la loi autorise les collectivités territoriales a en fixer l’assiette, le taux ou
le tarif. Mais c’est également, ce sont des ressources pour lesquelles la loi détermine elle-
même le taux ça reste une ressource propre même s’il en détermine plus le taux».
- une des ressources des plus importante des départements c’est le droit de mutation a
titre onéreux :« les frais de notaire ».
- C’est la loi qui fixe le taux de cet impôt et non le département. C’est une ressource
propre même si ce n’est pas le département qui fixe le taux car c’est le département
qui touche l’impôt.
→ suppression de la taxe d’habitation qui a été mise en œuvre : juridiquement il s’agit d’un
« dégrèvements » de la taxe d’habitation. => C’est à dire que juridiquement la taxe d’hab
subsiste mais c’est l’état qui la paye à la place des contribuables.
les communes
Les départements
Les régions
→ elles doivent avoir des ressources propres qui représentent une part déterminante de leurs
ressources.
→ De ces ressources totales il faut exclure les emprunts et certains transferts financier liés à
des transfert de compétences.
→ le code générale des collectivités territoriales indique que pour chaque catégorie :
- la part des ressources propres ne peut pas être inférieur au niveau de ressource propre
constaté en 2003.
- Quand une loi reforme les finances locale elle ne doit pas affecter ce pourcentage de
ressource propre.
→ La taxe d’habitation comme la taxe foncière sur le bâti est calculé sur la valeur locative
cadastrale (=loyer théorique annuel que le bien serait susceptible de généré) du bien occupé.
→ Le pb est que cette valeur locative cadastrale n’a pas été réévaluée depuis 1970. Aucun
gouvernement ne s’attèle à cette révision car ça risque de provoquer une tension.
→ L’enjeu des prochaines années c’est de savoir si les communes n’auront pas la tentation
d’augmenter la taxe foncière sur les propriétés bâties pour compenser la perte de la taxe
d’habitation.
→ Le gouvernement actuel à également baissé les impôts de production qui pesaient sur les
entreprises → A la place, les régions qui perd la CVAE, perçoivent une fraction de la TVA.
→ La TVA qui est un impôt d’état est devenu la première recette fiscale des. La deuxième
recette sont les droits de mutation a titre onéreux.
Taxe d’habitation
Taxe professionnelle
- était antiéconomique
- sera complètement supprimée sauf sur les résidences secondaire en 2023.
La coupe est compétente pour assurer le service d’enlèvement des ordures ménagère,
la commune peut financer le service en instituant :
o prix ( une redevance) qui est complexe a géré car l’habitant ne doit la payer
que s’il met des déchets
Ou
→ Les recettes du département sont essentiellement les droits de mutation a titre onéreux
(=DMTO) « frais de notaire », qui est aujourd’hui a 4,5%
par exemple : l’augmentation du prix de l’immobilier a paris est une chance pour la
collectivité a statué particulier de paris qui est a la fois une commune et un
département.
Selon une agence de notation, les droits de mutation couvre a peut prêt 22% des frais
de gestions de la ville de paris, en 2020 ils ont rapporté 13 milliards d’euros.
→ Les impôts et taxes que les collectivités territoriales perçoivent ne suffisent pas pour
alimenter le budget des collectivités territoriales.
→ C’est pour ça que l’état verse des donations aux collectivités territoriales, par ex: dgf.
19) Compensation et péréquation
la compensation :
→ Si la compétence était sous dotée quand l’état l’exerçait, et bien la collectivité territoriale,
n’a pas la garanti de recevoir la dotation suffisante.
→ Le pb s’est posé quand l’état a décidé par une loi du 13 aout 2004, de transférer l’essentiel
du réseau routier aux départements.
Ex :L’état ne conserve que dan sales routes nationales celles qui présentent un intérêt
européen. Les autres roues sont transféré aux département et devienne route
départementale.
→ l’ art 72-2 qui pose le principe de compensation garanti simplement que l’état transfert les
sommes financières qu’il affectait à la compétence lorsqu’il l’exerce.
→ Donc si la compétence était sous dotée c’est cette sous dotation qui doit transférée la
collectivité territoriale et pas plus même si ce n’est pas suffisant pour entretenir la
compétence transférée .
→ Le maire exerce des compétences au nom de l’état. Quand le législateur transfert au maire
des nouvelles compétences en qualité d’autorité de l’état, le principe de compensation ne
s’applique pas.
- car ils ont des compétences essentiellement en matière sociale, de distribution d’aides
sociales ( ex: le rsa).
la péréquation :
→ La péréquation est un moyen d’assurer une certaine équité entre les collectivité territoriale.
→ Juridiquement : les collectivités territoriales sont soumises aux memes régimes juridiques
→ En fait : les collectivités territoriales n’ont pas les memes moyens financiers.
→ Il en existe 2 formes :
→ S’agissant de la verticale, chaque année l’état verse des sommes aux collectivités
territoriales.
→ la loi de finance pour 2021, les transfert financiers de l’état en faveur des collectivités
territoriales se répartissent en 3 grandes catégories :
- les concours financiers (ex: routes coutent cher, ils ont soutenu que le produit des
amendes devait leurs revenir.)
- les prélèvements sur recettes ( ex : la dgf qui est une somme verse par le bujdet de
l’état pour subvenir au besoin des collectivités territoriales; aussi le fond de
compensation pour la valeur ajoute)
??
→ Depuis 1983, les dépense des collectivités territoriales ont augmentés de manière continu :
en 83 les dépense était de 56 milliard et 271 milliard maintenant.
- L’idée du ministre est de faire une économie d’échelle mais il n’y en a pas eu car les
intercommunailtés ont recruté du personnel.
→ le rapport Pébereau dit que l’état a pris conscience de l’endettement public il dit qu’il a
plusieurs cause : certaine proviennent de l‘État et certaines des collectivités territoriales.
→ L’emprunt ne peut être que utilisé que pour la section de fonctionnement, ce n’est que
pour investir.
→ loi du 31 dec 2012 de programmation des finance public de 2012 et 2017 pose le principe
que les collectivités territoriales doivent contribuai a l’effort de remboursement de la dette
publique
→ c’est à dire celles qui ont des dépenses de fonctionnement supérieur a 60 millions d’euros.
→ contre un objectif de réduction de leur dépense de la part des collectivités et l’état indique
qu’il va réduire les dotations.
→ Dans le syndicat : la commune conserve une grande marge de liberté car en principe le
syndicat est organisé par un comité de syndicat et en principe selon le code chaque commune
a la même nombre de délégués que les autres dans ce comité.
→ Il y a des :
→ Mais a partir des années 60, le législateur a créer d’autres formes d’intercommunalités :
- une loi de 66 qui a crée la communauté urbaine (existe tjrs) -> l’état considère qu’il
faut oblige les communes à coopérer. Les premières sont Lyon, Lille et Bordeaux
crées par la loi les autres seront aux volontariat
→ La loi jox avait prévu que lorsque les communes crée une communauté de ville cela
implique un certain nombre de compétences et également le transfert de la taxe
professionnelle mais elles ne voulaient pas abandonner cette taxe donc échec .
→ La loi chevenement prévoit que les commune qui crées une communauté d’agglomération
touchera une dotation de l’état très interessante
→ Pour les petites commune, le mileu rural la structure adaptée est la comunauté de
commune ( loi jox ).
→ C’est la communauté de principe car pour créer une communauté de commune a l’époque
il n’y avait pas un seul de population minimun exigé.
o la loi chevenement exige 500 000 hab pour créer une communauté urbaine.
→ la loi du 16 dec 2010, de reforme de la décentralisation + une loi du 27 janv 2014 «loi
maptam » ont crées une nv categorie d’EPCI => la métropole
Pk ? :
- en raison de l’influence du discours qui consiste a dire que le métropole sont facteurs
de richesse et il faut qu’elles soient organisées pour pouvoir concurrence les
agglomérations équivalentes internationale.
→ pour justifier la création de métropole le seuil de la communauté urbaine a été abaissé 500
000 hab -> a 250 000 hab (loi le notre)
→ La création d’un EPCI a fiscalité propre repose sur la volonté des communes : nécessite un
vote a la majorité qualifié des communes concernées puis il faudra un arrêt du préfet
approuvant la décision.
1 :
- les syndicats se voyaient confier la gestion de service public, la compétence est assez
délimitée.
- Les communautés sur le modele de la construction européenne ont des compétences
dynamiques qui demandent a être précisée. la commune se dessaisi mais ne sait
jamais de quoi
2 :
3 :
Au sien de l’organe les communes vont être représentée en fonctions de leur seuil de
population.
Dans l’organe délibérant aucune commune ne peut avoir la majorité absolu des sièges
( sinon plus de coopération) donc cette règle à pour effet de sous représenter la
commune centre.
→ L’inter co qui est la plus critiquée est la communauté de commune car pour la
communauté d’agglomération et d’urbaine il n’y a pas eu de surprise, on sait combien d’aires
urbaines remplissent les conditions mais les communauté de communes pouvait être créer par
deux commune au moins sans seuils de population exigé.
→ La loi du 16 dec 2010 pose une règle importante : désormais, tout commune de fr devra
être membre d’un EPCI à fiscalité propre
→ Le comité Balladur propose de donner une structure à la dizaine des grande agglo fr pour
qu’elles puissent rentrer en concurrence donc la création de métropole
→ La loi du 16 dec 2010 traduit les propositions de Balladur et elle créer la catégorie
métropole
→ mais mais ne correspond a ce que voulait Balladur car la loi indique que la métropole est
un EPCI à fiscalité propre et non une collectivité à statut particulier.
→ les premiers métropole sont créer par décret du 1er ministre (non par la volonté des
communes membres).
- Sont transforme par décret en métropole les EPCI à fiscalité propre qui forme un
ensemble de + de 400 000 hab dans une aire urbaine de plus de 650 000 hab.
→ d’autre seront créer librement par les communes intéressées, la création nécessitera un
vote a la majorité qualifie des conseils municipaux (2/3 des conseils représentant la moitié de
la population ou l’inverse)
- Ça vise les EPCI à fiscalité propre qui forme un ensemble de plus de 500 000 hab et
dans le périmètre desquels se trouvent les chef lieu de région ( Montpellier )
- Ça vise aussi les EPCI qui ne sont pas créer par décret, pas de chef lieu de régions
mais ceux qui sont le centre d’une zone d’emploi de plus de 400 000 hab (Brest)
- il a été ensuite possible de créer une métropole quand l’EPCI compte 250 000 hab
- Les communes subsistent, mais il y’a une organisation : la ville nouvelle qui est
décide par l’état. Les communes qui sont concerne par cette pol des villes nouvelles
doivent coopérer et la loi leur offre deux options :
→ La région île de France, a été crée par une loi du 6 mai 1996 et c’est le préfet de région
qui la préside.
→ Depuis la loi pasqua de 95, la région est compétente pour élaborer, le schéma régionale
de la région IDF ( SRRIDF) = document qui fixe les orientations en matière de logement,
eco ect pour les 15 prochaines années.
→ La ville de paris, n’acquiert une plus grande autonomie que avec la loi du 31 dec 1975,
- cette loi décide que pour la première fois que le maire de paris sera lui aussi élu au
suffrage universel (par liste).
→ Àla fin des années 90 → commence a y avoir une réflexion sur l’organisation de
l’agglomération parisienne :
L’idée est de créer un réseau de transport qui va relié ces 8 territoires qui sont en banlieue
- Donc une loi du 3 juin 2010, relative au grand paris, créée deux établissement public :
la société du grand paris et l’établissement public paris saclay, qui doit aménager
les terrains agricole pour accueillir des écoles. Au seine de la société du grand paris,
l’état détient la moitié des sièges au conseil d’administration. Ce projet repose sur
l’emprunt et il sera remboursé par les redevances que devront acquittés par les
sociétés de transport qui vont utiliser le réseau.
→ Il faut faire attention aux intitulés : la société du grand paris → c’est un établissent
public, une personne publique
→ Paris et les villes voisines ont crées en 2009 un syndicat mixte : paris métropole dont le
siège a été créer à Clichy sous bois.
→ Il est mixte car il réuni des communes mais aussi des interco : les régions.
→ Le comité Balladur estime qu’il faudrait créer une collectivité territoriale à statut
particulier (art 72 de la C) qui s’appellerait le grand paris et qui aurai pour périmètre paris et
la petite couronne.
→ Dans le texte initiale de la loi maptam, la métropole était un syndicat où subsistait les
communes mais elles coopère dans un syndicat.
→ le sénat rejette ce texte, le gouvernement dépose un amendement dans lequel il est indiqué
que sera créer la métropole du grand paris qui entraine la suppression des EPCI à fiscalité
propre qui avait été créée.
→ La métropole va regrouper :
Paris
Les communes de la petites couronne
Des communes des autres départements voisin qui font le choix
d’adhérer à la métropole du grand paris.
→ la loi maptam crée un EPCI a fiscalité propre qui s’appelle la métropole du grands paris
qui a des compétences très étendu
- par ex la loi de 2014 prévoit que la métropole va adopter un PLU à la place des
communes qui va fixer les règles de constructions.
→ la loi notre → les territoires qui en 2014 n’avaient pas la perso morale deviennent des
établissent public territoriaux et sont créer par un décret du premier ministre du 11 dec 2015
→ Ce n’est pas la seule reforme qui est apportée par la loi notre, la loi maptam etait tres
ambitieuse, et finalement la loi notre revient sur cette ambition portée l’année d’avant
→ Donc la métropole du grand Paris t’elle-qu’elle résulte du grand paris, a des pouvoir assez
limités :Elle n’est plus compétente pour élaborer un plu.
→ débats parlementaires en 2015 : le dev de la métropole du grd paris qui intéresse la petite
couronne et de la grande couronne risque de se faire au détriment de la région.
→ Madame pecresse dit : la métropole du grand paris c’est la région donc ca sert a rien.
→ Mais le dev des transport doit se faire en parallèle avec le dev des logements
→ La région est devenu une collectivité territoriale avec la loi du 2 mars 82, cette loi a pris
effet en 1986 c’est à dire la première fois que les conseil régionaux ont été élu au suffrage
universel car l’art 72 de la C pose la règle selon laquelle les collectivités territoriales doivent
être administré par les conseil élu.
→ Une loi de 92 avait créer la région en tant que établissement public car il y a une reforme
en 69 qui avait échoué, qui a réduit les ambition dan cette matière
La reforme de 69 :
→ Le projet de réforme des régions proposé par la général de gaulle en 69 a entrainé sont
départ, consultés le 27 avril le peuple fr a rejette le projet.
- cette reforme du sénat est la création de la région mais aussi un moyen pour CDG de
mettre en oeuvre son idée maitresse qui est la participation.
- C’est d’ailleurs ce qui explique que ce projet de reforme qui crée la région déçoit
certain partisans de la création de collectivité territoriale régional.
- Dans le projet de loi rejeté par le peuple fr, la région devient une collégialité
territoriale, auparavant elle était une adm déconcentrée de l’état qui avait
essentiellement des compétences économiques.
- Autre élément critique : l’organe délibérant s’appelle le conseil régional mais il n’y a
pas d’élection au suffrage universel direct de conseiller régional.
- Le conseil est composé des députés et des sénateurs de là régions, de conseillers élu
par les conseils généraux et municipaux et les conseillères régionaux
socioprofessionnels.
La reforme de 2015 :
→ La région a été créer sous forme de collectivité territoriale il faut de la durée or les régions
n’ont pas cette légitimité, il ne l’ont pas acquis.
→ En 2015 le législateur a décider de redessiner la carte des régions alors qu’elles souffraient
de manque de légitimité.
- donner aux régions une taille critique sur le plan géographique, démographique, et
économique. ->Les régions de fr n’avait pas une taille suffisante pour rivaliser les
collectivité identique dans les pays voisins. (Faux)
- par ex l’Alsace qui était une région à difficilement accepté d’être noyé dans la région
grand est, elle aurai souhaité garder son particularisme.
→ Il y a une administration régionale créée dans les années 60 qui était une administration
d’état qui avait des compétence économique .
- Tous les 6 ans élections régionales et une fois élus le nv conseil doit élaborer ce nv
schéma.
→ en fait non car en droit il y a une hiérarchie des norme donc le plu doit être compatible et
non un stricte rapport de conformité donc on peut déduit que le schéma régionale n’implique
pas une tutelle sur les collectivités car c’est un simple rapport
→ Donc il n’est pas possible de faire du sur mesure -> c’est pour ça que on la fait
Avant 2003 :
→ C’est pour levé cet obstacle que la révision on de 2003 a inséré dans la C le statut de
collectivités particulières
PARIS :
→ La métropole de paris : est un établissement public qui réunie 123 communes et paris
étant l’une de ces 123 communes.
→ logique contradictoire :
- Mais c’est la ville capitale associée a des troubles, la où siège le gouvernement. Donc
le gouvernement se méfie.
→ jusqu’en 1977 la ville est sous le control de l’état :
→ Une loi est votée le 31 dec 75 => prévoit que le conseil de Paris élira son maire comme les
autres conseils municipaux.
- donc la commune et le département de paris sont remplace par une collectivité à statut
particulier.
- Les arrondissements subsistent mais pour les élections les 4 premiers n’en font plus
qu’un.
LYON :
→ La création de la Métropole de Lyon repose sur un consensus entre les élus locaux :
- Le maire de Lyon + le P du conseil départemental sont d’accord pour créer une
Métropole de Lyon.
→ le comité Balladur suggérait de créer dans les 10 plus grandes métropoles des
collectivités à statut particulier qui aurait remplacé les 10 plus grandes communes .
→ Les conseillers de là métropoles seront élus au suffrage universel directe pour 6ans à la
représentation proportionnelle avec une prime majoritaire :
→ il était prévu que le maire d’une commune ( lyon) pouvait être président de la métropole et
donc cumulé la présidence.
Mais La conseil constitutionnel a été saisi de la loi Maptam et a jugé que ce cumule
était contraire à la C car la Métropole de Lyon exerce les compétences d’une
commune et du département (collectivités a statut part) or la loi interdit qu’un homme
cumule des fonctions de président et de maire.
CORSE :
- En aout 1975, des militants nationalistes corses, prennent en otage des travailleurs
agricoles
→ Le conseil constitutionnel l’a admis mais limite : la loi est la même pour tous.
Dans une décision du 9 mai 91 le conseil a censure un article très symbolique celui
qui affirmait l’existence d’un peuple Corse.
→ Le 2 mars 2022 Ivan Colonat a été assigné en prison à Arles -> provoque des mouv en
corse car ils se réclamé que les prisonniers corses soient prisonniers en corse.
→ La volonté d’être indépendant est contesté car => lors des dernières élections ce sont les
autonomistes qui ont remporté les l’élections.
Que soit créer le statut de résidant car 40% des logements en corses sont occupés
par les non résidents ( les corse n’arrivent plus a se loger )
→ La corse est une collectivité a statut particulier donc elle a un statut original : elle a des
institutions propre
• Un conseil exécutif a sa tête un President du conseil exécutif ils sont élue par
l’assemblée de corse, et la liste qui obtient la majorité obtient la totalité des sièges au
conseil exécutif.
- Pour y mettre un terme : le 1er min de l’époque avait fait signer l’accord de Nouméa
et la c fr devait prévoir un calendrier permettant au calédonien de choisir s’ils
voulaient rester ou sortir de la fr et devenir indépendant.
- En 88 la constitution a été révisé et ajoute un titre 13 réservé a ce processus
calédonien.
- Le conseil d’état dans un arrêt du 13 dec 2006 a indique que la nouvelle Calédonie
n’est plus une collectivité territoriale.
La C de 58 qui comportait les art 73 et 74, avait repris le régime introduit dans la
Conti de 46.
- cette loi dispose que la Guadeloupe/ la Martinique/ la réunion/ la Guyane sont des
départements fr.
la loi prévoit que les lois nouvelles entrent en vigueur dans ces départements mais
sous réserve d’adaptation = principe d’assimilation.
Les lois déjà en vigueur qui ne sont pas encore appliqué à ces colonies feront l’objet
de décret d’application.
- Art 73 -> les dom => « les régimes administratif et législatif des dom peuvent faire
l’objet de mesure d’adaptation nécessité par leur statut particulier »
- Mais il n’existe pas un texte identique pour la Guyane, l’art 44 de la loi de 1905
dispose que des décrets détermineront les conditions dans le quel la loi sera applicable
en Algérie et aux colonies. Donc en 1911 le gouvernement a exprime que la loi de
1905 ne s’applique pas a la Guyane.
- la question du sur de la loi de 1905 en Guyane a été pose dans une décision du 2 juin
2017 : Le conseil constitutionnel a estime que le régime de la guyane qui exclu
l’application de l’application de 1905 ne heurte pas la Conti. -> donc elle doit payer
les prêtes.
- La spécialité législative : les Tom avait un statut part, les lois fr de souveraineté
étaient applicables mais pour le restes les règles pouvaient être particulière.
- En vertu de ce principe une loi n’était applicable que s’il elle avait été soumis à un
décret exprès d’application
o La nouvelle caledonie
o la Polynésie fr
o les îles Wallis et Futuna
o les terres australes et antarctiques fr ( TAAF)
→ Les 4 dom :
- Martinique
- Guadeloupe
- Guyane
- Réunion
- à la fin des années 90 les guyanais ont souhaité l’instauration des collectivité
territoriale unique à la place du département de guyane et la région.
- les territoire d’outre mer de l’art 74 n’avaient pas une unité juridique bien défini car
chaque territoire repose sur un statut particulier.
En 58 la C prévoit la création d’une communauté mais les etats d’Afrique ont opté
pour l’indépendance pleine.
Et pour les TAAF, qui étaient devenu des territoires d’outre mer affirment qu’ils sont
un Tom mais une collectivité territoriale suppose (art 72) qu’une administration par
des organes élus or les TAAF n’ont pas d’organes élus, pas de population.
Le territoire de Walis et Futuna est doté d’une assemble élue mais l’exécutif est un
agent de l’état.
La Polynésie fr à acquise à partir des années 90 une plus grande autonomie donc ça à
conduit à réviser les art 73 et 74.
→ Mais dans les collectivités d’outre mer les lois de souveraineté doivent s’appliquer.
- pour les collectivités d’outre mer mais également pour la corse. L’idée est que
l’éloignement, l’insularité entraine des coûts et contrainte supplémentaires.
- Le conseil constitutionnel a jugé que la continuité territoriale n’a pas une valeur
constitutionnelle : décision du 17 juill 2003.
- En vertu de cette continuité territoriale, les personnes qui résident là bas bénéficient
d’aides apportés par un fond de continuité territoriale
Art 73 = « Dans les départements et les régions d'outre-mer, les lois et règlements sont
applicables de plein droit. Ils peuvent faire l'objet d'adaptations tenant aux caractéristiques
et contraintes particulières de ces collectivités.» -> assimilation mais adaptation possible.
→ Une précision est apporté aussi : la possibilité pour la région ou département d’outre mer
ne peut pas remettre en cause les conditions nécessaires d’exercice d’une liberté publique
ou d’un droit constitutionnellement garanti
par exemple :
- la réunion à le statut de région et dom
mais l’art 73 indique expressément que la réunion ne peut pas être habilité par la
loi de prendre des mesures qui relève du domaine de la loi.
- Mayotte, est rattaché a la fr depuis 1841, il a 3 autres îles qui ont constituées la
république islamique des Comores. Les 3 îles de Comores ont choisi l’indépendance
mais pas Mayotte.
Pour confirme ce choix la France à organisé un second référendum et ils ont confirme
ce choix.
Cette évolution a été critiqué à l’ONU car les Comores devaient devenir
indépendantes en bloc, les 4 îles ensembles, donc Mayotte a été détaché de ce bloc.
Cette situation attire les convoitise pour Mayotte qui subit des vagues
d’immigrations immenses. Ça créer une insécurité terrible.
Pour marquer leur attachement a la France les majorais ont souhaité devenir des
départements
La Guyane :
→ car dans une décision de 82 le conseil Consti avait refuser que une assemble unique
incarne deux collectivité.
- Mais les électeurs qui ont été consultés ils ont refuser cette évolution ( referendum de
janv 2010).
- Les électeurs se prononcent pour la création d’une collectivité unique d’ou le vote de
la loi du 27 juill 2011 relative aux collectivité unique de Guyane et de Martinique.
- Donc la collectivité territoriale de Guyane qui a été mise en place de 2016 à les
compétences d’une région et d’un département.
→ un congres de élus est prévus par le code générale des collectivités territoriales qui réunie
les élus et qui est compétent pour se prononcer sur les évolutions nécessaires –
- en 2017, la Guyane a connu des tensions liées a l’insécurité qui a abouti aux accord
de Guyane en 2007.
et Dans un rapport de 2020 le sénat a indique que certaine règles sont inadaptés a la
Guyane
par ex la Guyane souffre d’insécurité qui est liée à la lutte des orpailleurs ( chercheurs
d’or) donc il faudrait des règles particulières pour lutte contre ce phénomène.
- Polynésie fr
- Walis et Futuna
- Saint-pierre et micron
- saint Bart
- saint Martin.
→ Ces collectivité d’outre mer sont régies par le principe de spécialité législative = que les
loi et règlements de l’état ne sont pas applicables sauf si le législateurs le décide.
→ Les lois de souveraineté elles y sont directement applicables ( nationalité, droit civique,
droit pénal )
→ donc le régime de ces collectivités est déterminé par un statut qui résulte d’une loi
organique qui est votée par le parlement mais qui est soumise a un régime particulier.
→ chaque lois organique va déterminer pour chaque collectivité d’outre mer quels sont son
statut.
→ Il est préciser que l’assemblée délibérante de la collectivité d’outre mer peut modifier
une loi promulguée si le Conseil constitutionnel qui a été saisi à constaté que cette loi est
intervenu a tort dans le domaine de compétences de la Collectivité.
- Ex : la Polynésie fr
Depuis une trentaine d’années elle a fait l’objet de plusieurs lois organiques, on a été
plus loin dans son autonomie.
L’art 7 explique que dans 8 domaine la loi fr n’ pas a préciser quelle s’applique
( nationalité, l’état des personnes)
o les autorités de Polynésie fr sont compétente dans toutes les matières qui ne
sont pas dévolu a l’état.
→ La loi organique reprend les utilisées expressions utilisées dans la C fr pour définir les
institutions polynésiennes
Ex :
→ Parmi les actes que vote cette assemblée il y a des lois du pays :
→ Les lois du pays interviennent essentiellement dans des matières qui en métropole relève
du domaine de la loi (parlement fr)
- mais pour permettre a une collectivité territoriale de déroger a la loi fr il faudrait une
révision de la C.
- Donc la loi 3D ne peut pas modifier cela.
→ En Polynésie : cette différenciation existe, l’assemblée de poly intervient dans un
certains nombre de matière qui en métropole relève du domaine de la loi.
→ L’art 115 de la loi org dispose que le fr est la langue officielle mais la langue
tahitienne et les autres langues polynésiennes peuvent être utilisée.
La loi organique en 96 avait prévu que le conseil des min de poly était compétent
pour designer les services chargés de recueillir les déclarations d’associations.
le conseil à censuré la loi organique qui permettait au Conseil des min de poly de
contrôler la liberté d’association.
Le conseil juge que une collectivité d’outre-mer peut disposer d’une autonomie qui
intervienne dans le domaine législatif mais en tout État de cause les conditions
essentielles d’une liberté fondamentale ne doit pas être affecté.
→ À l’intérieur d’une même personne morale = relations hiérarchiques (le ministre exerce un
pouvoir hierachique sur le prefet)
→ relation de tutelle = ce n’est pas aussi clair : le contenu est moins précis
– c’est à dire que l’autorité de tutelle n’a que les compétences de contrôle que lui
confère la loi.
– Quand Deux pers morales => l’autorité qui domaine a un pouvoir de tutelle sur
l’autre.
– Les collectivité territoriale sont des pers morale, l’état aussi donc normalement
relations de tutelle.
→ Les pouvoir de tutelles varient selon les lois précises et pouvoir que la loi accorde aux
autorités de tutelle :
– en 2018 = loi sur l’autonomie des universités état voulu donner plus d’autonomie aux
université mais quand on regarde le code de l’éducation et il apparaît que le recteur
qui est le representant de l’état chargé de la pol de l’éducation dans son académie, s’il
estime que une decision de l’université est illégale peut seulement la déférer au juge
administratif.
→ Quand la loi du 2 mars 82 dispose qu’elle supprime les tutelles : la loi ne peut pas
supprimer les contrôles de l’état a l’égard des collectivités territoriales car c’est l’art 72 qui
le dispose et second point : le controle de l’état doit rester sur les collectivités peut etre très
souple et rester une tutelle.
→ le prefet peut seulement quand il estime qu’un acte d’une collectivité est illégale le défère
au juge adm, comme le recteur avec l’université qui s’appelle une tutelle
➢ le déféré préfectoral :
– ex : quand une pers publique a besoin d’une fournitures, d’une prestation de service,
d’un travail. La personne publique doit passer un marché public ( = un contrat ).
Il existe un cahier des charges qui sont établies par des autorités d’état : le ministres.
Il regle par avance les éventuelles litiges qui peuvent intervenir dans le marché.
Avant 1982 la collectivité territoriale devait appliquer le cahier des charges établie par
le ministre. La loi de 82 supprime cette obligation de tutelle technique. C’est à dire
que elle peut etablir son propre cahier des charges.
→ en vertu d’une loi de 1970, le prefet ne pouvait plus annuler lui même un acte d’une
collectivité territorial que dans 4 ou 5 cas et pour les autres saisir le juge.
→ juge adm règle le litige entre la collectivité territoriale qui a pris un acte et le préfet qui
considère que cet acte est illégale.
→ La loi de fer prévoyait que les actes des collectivités territoriales sont exécutoire de plein
droit sous réserve d’avoir été :
→ mais le conseil juge que ce controle des actes des collectivités territoriales tel qu’il a été
organisé est contraire a la C. car l’acte est exécutoire des lors de sa publication, et durant le
délai de 15 jours min le prefet n’a pas le moyen d’exercer le controle adm.
→ La loi de juillet 82, prévoit que l’acte de la collectivité territoriale pour être exécutoire
doit etre transmit au préfet sinon il n'est pas exécutoire.
– Donc il n’est plus necessaire de donner un délai aux collectivités territoriales pour
transmettre l’acte car il ne sera pas exécutoire si pas transmit.
→ le préfet pourra s’il estime que l’acte est illégale le deferer au tribunal adm => « déféré
préfectoral » ( il a 2 mois à compter du jour où il a reçu l’acte en cause).
– Seuls les plus importants doivent etre obligatoirement transmis (acte de délibération,
de police du maire ect) les autres sont exécutoires des leurs publications.
→ Le prefet peut également assortir son référé d’une demande de suspension de l’acte.
→ les services d préfectures ne sont pas équipés, dotés de personnel leur permettant d’exercer
un contrôle sérieux. Donc le contrôle est assez souple.
→ En 2006 a été créer un pôle d’appui inter régional au controle de l’égalité, composé de
juristes spécialisées qui sont chargés d’aider les préfets. Il siège a lyon et est chargé d’aider
les préfets quand ils ont un doute sur la légalité d’un acte.
→ Le consiel d‘État a juge que le préfet n’avait pas l’obligation de déféré un acte a tribunal
adm même s’il est illégale
→ En pratique les préfets ont préféré dialoguer avec les collectivités territoriales.
→ Dans le délai de 2Mois le préfet peut introduire un recours gracieux devant la collectivité
et lui demander de reconsidère son acte.
→ La loi du 13 aout 2004 impose que les decision individuelles qui doivent etre transmises,
le soit dan s’un délai de 15 jours a compter de leur signatures car le prefet gardien de la
légalité doit être saisi au plus vite.
➢ le pouvoir de substitution :
→ Dans certains cas limitativement précisés par la loi, le prefet a le pouvoir de se substituer à
la collectivité territoriale c’est à dire agir a sa place car elle n’agit pas.
Ex :le maire en tant que agent de l’état, s'il ne prend pas de mesure de police alors
qu’il y a des troubles dans sa commune, le préfet doit le lui adresser une mise en
demeure d’agir et s’il n’agir pas le préfet se substitue à lui.
D’ailleurs quand le prefet prend une mesure a la place du maire, il l’a prend au nom
de la commune.
→Apres avoir été entendu le maire et ses adjoints peuvent être suspendu par un arret du
ministre de l’intérieur pour une durée qui ne peut pas être superieur à un mois
→ le maire et ses adjoints peuvent être révoqué par un decret pris en conseil des ministre.
→ il apparaît dans la JP que le juge admet la suspension ou la révocation d’un maire s'il a
commis une faute dans la mision d’agent de l’état et/ou en tant que agent de la communauté.
→ le consiel consti a jugé qu’il n’y avait pas d’atteinte à la libre administration des
collectivités territoriales.
→ Le premier véritable statut => loi du 19 oct 46 (reprend les éléments de 41)
→ Le statut de 46 a été abrogé en 59 par une ordo car la Consti de 58 a voulu opérer une rev
juridique et a distingué :
un domaine de loi
un domaine du règlement
→ Debré prend une ordonnance qui porte « nouveau statut de la fonction public » : consiste à
retirer du statut législatif les dispo qui relève du domaine réglementaire.
→ Jusqu’ici les fonctionnaires de l’état étaient protégé par un statut général de 59 et ce n’était
pas le cas des agents des collectivités territoriales => loi est votée en 83 pour fixer des
principes applicables à tous les fonctionnaires.
→ La dernière grande reforme => créer un code de la fonction public → ordo du 24 nov
2021.
Ex: avant 1946, les agents de la fonction publiques n’ont pas le droit de grève, le
statut de 46 et la C de 46 reconnaissent le droit de grève au fonctionnaire.
→ loi de 46 :
Caractéristique 1 :
institué des conseils paritaire dans lesquels siègent des représentants de
l’administration et des représentants des syndicats.
Caractéristique 2 :
Un emploi public doit être selon l’art 6 de la DDHC doit être pourvu sur des
critères de vertus, de talents, de compétences.
il ne le perdra que :
démission
faute grave
retraite.
→ Avant la loi du 26 janv 1984 qui porte statut de la fonction public territoriale était vigueur
une loi de 1952, mais cette loi ne reconnaissait pas les agents communaux comme
propriétaire de leur grade.
→ donne une indépendance a la fonction publique, aux agents, qui peuvent résister au
pouvoir politique qui est de passage.
→ Le statut générale de la fonction public garanti certains droits aux fonctionnaires :
→ quand un agent public devient élu, il a l’assurance de retrouver son poste après que sa
carrière pol s’arrête.
→ Maurice Hauriou ( professeur à Toulouse sous la 3eme rep) avait expliqué que pour un
fonctionnaire est une certaine indépendance :
il faut que les règles applicables aux fonctionnaires soient déterminées par la loi et
non pas par le chef de service -> ça a été suivi
→ par exception : pour certain fonctionnaire, la sanction est prononcée par une juridiction
Par ex : les universitaires s’ils commettent des fautes seront jugées par la section
disciplinaire de l’universitaire
alors que aujourd’hui une réduction d’activité dans la fonction publique n’implique
pas un licenciement.
→ Après la loi du 2 mars 82, loi de fer, d’autres lois ont été votées :
- loi du 7 janv 83 : qui a transféré les compétences de l’état aux collectivités
territoriales par ex : elle a confie la mise en disposition aux collectivités territoriales la
gestion des bâtiments d’enseignement
- en 2004, les établissements d’enseignement ont été transférés aux communes, régions
ect
- en82 et 84 loi qui crée des règles communes pour les fonctionnaires des diff
collectivités.
- loi du 13 juillet 1983, portant droit et obligation des fonctionnaires -> elle s’applique
a tous les fonctionnaires (de l’états, des hôpitaux, des collectivités)