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Question examen d’introduction au droit :

1. hiérarchie des sources de droit public ?


1 = bas de la pyramide , 7ème =haut de la pyramide
er

- 1er niveau = circulaire


-2ème niveau = arrêtés ministérielle
- 3ème niveau = arrêtés royaux / arrêté du gouvernement de région et communauté
-4ème niveau= loi / décret et ordonnance
- 5ème niveau = lois spécial
- 6ème niveau = constitution
- 7ème niveau = traité + droit dérivé

2. comment les sources de droits public s’articulent entre elles ?

 il existe une primauté des droits supérieur sur les sources droits inférieur
 obligation pour les sources de droit inférieures d’être conforme aux sources de droit
supérieures
 illégalité des sources de droit inférieures si non conforme aux sources de droit
supérieur

3. qu’est-ce qu’un traité ?

 il s’agit d’un accord entre deux ou plusieurs états


 ils créent des droits et des obligations entre états ,
 mais certains d’entre eux peuvent créer des droits directement dans le chef du
citoyens ou des personnes morales membre de ces états. Mais il doit être
suffisamment précis et qu’il y ai une volonté des parties contractantes.
 Les traités ont un effet direct (ne nécessite pas que ce soit retranscrit dans la loi )
 Les individus peuvent s’en prévaloir à l’égard des autorités publiques , le cas échéant
en agissant en justice pour réclame le bénéfice d’un droit garanti par la traité

 Exemple de traité : convention de Genève, convention européenne des droits de


l’homme, traité sur le fonctionnement de l’union européenne (libre circulation) ,
traité sur la lutte anti-tabac

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4. Qu’est-ce qu’une directive ?

 Il s’agit d’un acte législatif , adopté par les organes législatif européens (parlement
et conseil propre au droit européen.
 Elle fixe des objectifs à atteindre , mais elle délègue le choix des moyens aux états
 Peut concerner un état de l’union, plusieurs ou tous les états de l’union
européenne.
 Le législateur national doit adopter un acte de transposition en droit interne qui
adapte la législation national au regard des objectifs définis dans la directive
 Elles ne sont pas auto suffisante , elle fixe un délais aux états membre.

 Exemple : directive sur l’application des droits des patients en matières de soins de
santé transfrontaliers, directive sur la publicité du tabac…

5. qu’est-ce qu’un règlement ?

 A l’inverse des directives , un règlement est immédiatement obligatoire.


 Il n’est pas nécessaire que des mesures de transposition soient adopté = effet
direct
 Il est auto suffisant
 Il s’applique de la même manière partout

 Exemples de règlement : parlement européen et du conseil relatif aux produits


cosmétique

6. Quelles sont les normes de droit international ?

- Traités
- Directives
- Règlements

7. quelles sont les deux normes de valeur casi constitutionnelles ?

 la constitution
 les lois spéciales

8. qu’est-ce que la constitution ?

 elle constitue la loi fondamentale d’un état

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 elle établit les compétences ( roi/ président, parlement gouvernement, autorités
judiciaire) et définit leurs pouvoirs.
 Elle regroupe des règles relative aux mode de fonctionnement de ces institutions.
 La constitution belge reprend aussi un catalogue de droits et libertés garantie aux
citoyens.
 Norme suprême au niveau national
 Quelques pays n’ont pas de constitution = royaume unis , ils ont des règles
constitutionnelle = lois très anciennes et coutume constitutionnelle.

9. Qu’est ce que des lois spéciales ?

 Elles doivent être adopté à une majorité renforcée (quorum ) majorité dans chaque
groupe linguistique
 Elle concerne
- la délimitation de la frontière linguistique
- les compétences des communautés et des régions
- le mode de fonctionnement des entités fédérées

 Elles sont parmi les normes à valeur casi constitutionnelle dès lors qu’elles touchent
au fonctionnement des institutions .
 La cour constitutionnelle est compétente pour assurer le respect du quorum.

 Exemples de loi spéciale réforme institutionnelles

10. Qu’elles sont les normes de valeurs législatives ?

 Les lois
 Les décrets
 Les ordonnances
 La constitution laisse le parlement agir sur certaine matière.

11. Qu’est-ce qu’une loi ?

 Norme à valeur législative adopté par le parlement (législateur et débutés)


 Fédéral
 Dans le respect de la constitution et de la convention international

 Exemple : loi sur les droits des patients , loi sur l’indemnisation des dommages
résultants des soins de santé.

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12. Qu’est-ce qu’un décret ?

 Norme à valeur législatif


 Adopté par le
- Parlement flamand
- Parlement wallon
- Parlement de la communauté française
- Parlement de la communauté germanophone

 Exemple : décret relatif à la prévention des risques pour la santé dans le sport.

13. Qu’est-ce qu’une ordonnance ?

 Norme à valeur législatif adopté seulement par le parlement bruxellois

14. Quelles sont les normes à valeur règlementaire ?

 Arrêtés royaux
 Arrêtés ministériels
 Circulaires

15. Qu’est qu’un arrêtés royal ?

 Norme de valeur réglementaire adopté par le roi


 But est d’exécuter une loi
 L’objectif est de concrétiser ce qui a été dit par le législateur
 Les arrêtés sont toujours contre signé par un ministre ( le roi règne mais ne
gouverne pas)

16. Qu’est qu’un arrêtés ministériels? (communautés et régions)

 Norme à valeur règlementaire adopté par un ou plusieurs ministres.


 But d’exécuter une loi ou un arrêté royal
 Le roi n’a pas de rôle dans les arrêtés ministériels

17. Qu’est qu’une circulaire ?

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 Directive interprétative émanant d’un ministre ou d’un chef de service
 Objectif clarifier ou explicité une norme
 elle ne crée pas du droit , ce n’est pas une règle de droit
 elle explicite tous (arrêtés…)

18. exercices :

Le Directeur général de l’Agence fédérale des médicaments et des produits de santé se sent
à l’étroit dans ses bureaux de la place Horta, à Saint-Gilles.
Il souhaiterait que son administration puisse occuper un des beaux bureaux qui viennent
d’être construits par l’Etat près de la gare de Leuven.
Il décide d’appeler son vieil ami, le secrétaire d’état à la santé. Celui-ci l’écoute d’une oreille
attentive et vous confie la tache de rédiger l’arrêté autorisant l’occupation de ces nouveaux
bureaux qui appartiennent à l’Etat.
Cela vous semble-t-il envisageable, alors que l’article 22 de la loi du 20 juillet 2006 portant
création de l’Agence prévoit que l’Agence a son siège à Bruxelles ?
- Non car la loi est une norme à valeur supérieur par rapport à un arrêté, il aurait été
plus judicieux de ne pas mettre la situation géographique du siège dans la loi. Si on
veut modifier une loi il faut d’abord la faire annuler via le parlement.

19. Qu’est-ce qu’un acte unilatéral ?

 Acte judiciaire unilatéral


 Auteur s’engage à réaliser l’objet de son engagement
 Testament (legs)

20. Principe de la hiérarchie des normes ?

 Traités à effet direct


 Règlements et directives européennes
 Constitution
 Lois spéciales
 Norme à valeur législatives
 Arrêtés royaux
 Arrêtés ministériels

21. Quels sont les 3 différentes règles en droit privé et public ?

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I. Règle d’ ordre public :
 Elle ne peut être dérogé (indérogeable)
 Le partie protégé par la norme ne peut s’opposer à cette nullité.
 Elle peut être invoqué à tous moment et par n’import qui (même le juge)
II. Règle impérative
 elle ne peut être dérogé par contrat
 la partie protégée peut néanmoins renoncer à la protection que lui offre la loi et
renoncer à invoquer la nullité de la clause du contrat.
 Elle protège des clauses abusives dans les contrats.
III. Règle supplétive
 Règles à laquelle il peut être dérogé
 S’applique si rien d’autres n’est prévu
 Garantie vice caché , le vendeur peut stipuler dans le contrat qu’il n’est pas
responsable.

22. Quels sont les 3 pouvoirs ?


 Pouvoir législatif :
 Pouvoir judiciaire
 Pouvoir exécutif

 Dans les états démocratiques les lois sont adoptées par le pouvoir législatif
( parlement) , elles sont exécutés par le pouvoir exécutif ( gouvernement) et
elles sont appliquée par le pouvoir judiciaire ( juge)

23. Qu’est ce que le pouvoir législatif ?


 En Belgique, le pouvoir législatif est exercé par le parlement et le roi, ceci implique
que toute loi doit recevoir l’accord du roi et donc du gouvernement.
 Le gouvernement dispose d’un droit d’initiative et peut déposer des projets de loi
 Le roi peut déterminer des règles plus précise quand à l’attribution de
l’enregistrement individuel et le retrait de suspension.

24. Qu’est ce que le pouvoir exécutif ?


 Exécuté par le roi et le gouvernement
 Exécution des lois en fixant des points de détail

25. Qu’est ce que le pouvoir judiciaire ?


 les juges ne se limitent pas à appliquer la loi
 ils sont sources de droit, compte tenu de la porté des textes ils peuvent faire l’objet
de plusieurs interprétation .

26. quelles sont les étapes du parcours parlementaire ?


1) dépôt d’un projet de loi

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2) discussions et vote en commission
3) séances plénière à la chambre
4) promulgation par le roi
5) publication au moniteur belge
6) entré en vigueur

 la publication ne se fait plus qu’en 1 exemplaire , mais disponible en ligne.


 Pas de guideline de durée entre le vote et la publication au moniteur belge
 Sauf si stipuler la loi entre en vigueur 10 jours après la date de publication dans le
moniteur Belge, sauf si l’entré en vigueur est stipuler dans la loin, la date peut aussi
être à effet rétroactif. (date antérieur)
 Peut de chance de refus de loi par la chambre car gouvernement soutenue à + 50%
du parlement.
 Si on est pas d’accord avec la loi il faut déposer un amendement
 si loi refuser il faut passer par le conseil d’état.

27. Quel a été le processus de la fédéralisation ?


 On est passé d’un état unitaire à un état fédéral en 1993 constitution modifié
 1830 : état unitaire mais décentralisé en province et commune
 Monarchie constitutionnelle
 Démocratie représentative
 1970 : création des communautés
 1980 : créations des régions (flamande et wallonne)
 1989 : création de la région Bruxelles-capitale.

28. Impact de la fédéralisation ?

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Etat belge - Parlement (+roi)
Loi, loi spéciale, constitution (modifier
majorité de 2/3, vote majorité)
- Roi (+gouvernement / ministre)
Arrêté royal
- Ministres
arrêté ministériel
Communautés - Parlement
(+gouvernement)
Décret
- Gouvernement
Arrêté du gouvernement

- Ministres
Arrêté ministériel

Région flamandes et wallones - Parlement (+gouvernement)


Décret
- Gouvernement
Arrêté du gouvernement
- Ministres
Arrêté ministériel
Région de Bruxelles –capital - Parlement (+gouvernement)
Ordonnance
- Gouvernement
Arrêté du gouvernement
- Ministres
Arrêté ministériel

29. Système de répartition des compétence dans l’Etat fédéral belge ?

 Triple structure :
- Etat fédéral

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- Communautés
- Régions
 Chaque entité dispose de ces compétences qui lui sont propre et exclus l’intervention
d’une autre entité .
 Transfert pleine et entière des compétences .
 Le fédéralisme se construit par dé-tricotage des compétences de l’Etat fédéral.
 Les compétences de l’état fédéral sont transféré aux communautés et régions
 L’état fédéral exerce des compétences résiduaires ( celle qui n’ont pas été transféré)
 Transfert logique : communauté = enseignement, culture et région : matières
économiques.

30. Particularité des droits de la santé dans le partage des compétences ?

 La santé est divisé entre les 3 entités


- Matière fédéral : assurance maladie invalidité, aide médicale urgente
- Matière communautaire : politique et dispersion des soins
- Matière régionale : protection de l’environnement.
 Il existe donc 3 autorités compétentes en la matière.

31. Quels sont les principes fondamentaux du système belge ?

 Fédéralisation par transfert de compétences pleine et entière


 Liberté et autonomie de chaque entité dans l’exercice de ses compétences
 Pas de concurrences
 Absence de contrôle ou tutelle
 Absence de hiérarchie entre les règles fédérales et les règles adoptés par les entités.
 Possibilité de politique et règle différente également de valeur législative.

32. Quelles sont les obligations de l’état fédéral et ses entités ?

 Les règles de répartition des compétences


 Les règles adopter par chaque entité dans ses compétences propres
 Le principe de proportionnalité

33. Différence entre communautés , régions et régions linguistique ?

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Les communautés : (entité politique ) - Communauté française
- Communauté flamande
- Communauté germanophone
Matières d’enseignement, culturelle,
secteur de soins.
Bruxelles : compétence selon la langue
Ex : école francophone = communauté
française

Les régions : (entité politique) - Région wallonne


- Région flamande
- Région bxl capitale
Urbanisme et aménagement du territoire ,
libère les permis

Les régions linguistique C’est un territoire et rien d’autres , elles


n’ont donc aucune compétence
- Région de la langue française
- Région de la langue flamande
- Région de la langue germanophone
- Région bilingue de Bruxelles-
capitale

34. Impact du le droit primaire union européenne ?

 En adhérant à l’union européenne , la Belgique accepte les règles qui figurent dans le
traité.
 Y figure les grandes libertés , l’interdiction des actes anti-concurrentiels
 Impact direct sur le processus de formation du droit interne.

35. Impact du droit dérivée union européenne ?

 Le droit dérivé est constitué de norme ( règlements , directives) qui sont adopté par
le parlement et le conseil de l’union .
 Elles sont directement applicable
 Ils doivent se conformer aux règlements
 Les directives impactent aussi le processus normatif , oblige les états à adopter des
normes nécessaire à la traduction en droit interne des objectifs qu’elles poursuivent.

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36. Qu’est ce que le principe de subsidiarité ?

Les organes de l’union européenne n interviennent de base que en 2éme recours


(subsidiaire) . Sauf quand l’objectif ne peuvent pas être réalisés de manière suffisante par les
états membres . Elles seront donc réalisé au niveau communautaires ( ensemble des états
membres)
70% des normes sont issus des droits de l’union européenne.

37. Les grands principes de la convention des droits de l’homme ?

 Elle garantie des droits et des libertés aux bénéfices de citoyens.


 Les états membre ne peuvent pas adopter de loi ou d’arrêtés qui serait contraire à la
convention (CEDH)
 Si une infraction est détecter l’affaire est reporter aux juges de la cour européenne
des droits de l’homme, l’état en cause devra donc modifier la loi incriminé.
 C’est la cour européenne des droits de l’homme qui interprète le contenue du texte =
impact de la jurisprudence
 Obligation vaccinale sera reprise sous l’angle des doits à la vie privée.

38. Qu’est-ce qu’un contrat ?

 Accord de volonté , chacune des parties s’engage à vendre, donner, acheter ou faire
quelque chose.
 Il y a un consentement
 Il faut être minimum 2, bilatéral ou synallagmatique
 L’écrit = preuve n’est pas nécessaire pour que le contrat existe. Il sera néanmoins
difficile à prouver en l’absence d’écrit.
 Il produit des effets de droit
 Certaines réglementations particulière exigent l’existence d’un contrat écrit et
érigent cette formalité en condition de validité du contrat.

 Donation accord entre 2 personnes

39. Quelles sont les conditions de validité du contrat ?

 Consentement non vicié


- Erreur : représentation inexacte de la réalité, peut être la conséquence de
manœuvre dolosives
- Dol : sciemment manœuvré pour que l’autre conclut le contrat , en le trompant
( trafiquer un compteur biométrique
- Violence : sous la contrainte physique ou mental.

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- Lésion : disproportion importante entre les avantages des parties, ex : vente d’une
maison inférieur à 7/12 ème de sa valeur = 10 ans pour se rétracter héritiers ou
vendeur.
 Sa capacité de le contracter = aptitude (incapacité d’exercices des médecins,
pharmaciens ,… à recevoir une donation de la part de leur patient)
- Capacité de jouissance : aptitude à faire valoir personnellement ces droits et
obligations.
- Capacité d’exercices : aptitude à faire valoir personnellement ces droits obligations .
et à agir soi-même.
 Un mineur à des capacités de jouissance mais pas d’exercices , il ne peut donc pas
conclure un contrat sans se faire représenter .
 Un objet : peut-être une chose futur , mais il doit être déterminé ou déterminable . il
doit porter sur une chose du commerce. (sang, organe, embryon … = capacité on en
fait don). L’objet doit être licite
 Une cause licite : mobile déterminant pas nécessairement commun
 Si une des conditions n’est pas respecté contrat annulable mais pas
nécessairement nul.

40. Qu’est-ce qu’une cause illicite ?

 Quand elle est prohibé par la loi , contraire aux bonnes mœurs ou à l’ordre public.

41. Quelle est la différence entre vice caché et dol ?

 Dol : il est connu par le vendeur et caché pour qu’il ne se voit pas , il fait savoir le
prouver
 Vice caché : il ne doit pas être commun aux 2 parties, il peut ne pas être connu.

42. Qu’est ce que le principe de convention de loi ?

 Les parties doivent se soumettre à la loi contractuelle


 Le contrat à la même force que la loi .

43. Qu’est ce que l’exécution de bonne foi du contrat ?

 Peut-être subjective
 Elles doivent être exécuté de bonne foi
 On ne peut abuser , si on abuse on rompt le contrat, l’intention de nuire.
 Les 3 devoirs sont
- Devoir de renseignement , de mise en garde, conseil

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- Devoir de prendre toutes les mesures pour éviter qu’un dommage ne s’aggrave
- Devoir de faciliter l’exécution du contrat de l’autre partie .
 Il faut pouvoir tolérer un écart entre la réalité et la demande = être de bonne foi.

44. Qu’est ce que la responsabilité contractuelle ?

Si le cocontractant n’exécute pas le contrat , il y a deux possibilité :


- L’exécution en nature : contraint à exécuter le contrat tels qu’il était prévu , n’est pas
envisageable dans tous les contrats.
- La résolution : aux torts de l’autre partie, anéantissement rétroactif du contrat . il
faut une faute dans le contrat, il n’y a pas de réparation . Permet de se libérer de ses
obligations. Si c’est possible restitution du matériel.
Attention résiliation différent : dans la résiliation il n’y a pas de faute (renon bail )
 Annulation = il doit y avoir fautes (4 fautes)

45. Responsabilité civile (extracontractuelle ) et pénal ?

 La responsabilité d’un individu est engagée si il y a faute , lien causal (si il n’y avait
pas eu la faute , il n’y aurait pas eu le dommage) et un dommage (atteinte porté à un
intérêt ou perte d’un avantage quelconque si celui-ci est stable et légitimes) ,
matériel, moral pas toujours indemnisé.
 L’individu devra donc réparer sa faute, soit en nature soit par équivalent (versement
de dommage et intérêts.

46. Les 2 situations de faute civile extracontractuelle ?

 La violation d’une règle légale imposant une abstention ou un comportement.


 La violation d’une norme ( bon père de famille) de bon comportement.
 La faute peut être multiple, il peut y avoir faute sans dommage, dommage sans
faute. Faire une erreur ne veut pas dire être fautif.

47. Prescription faute civile ?

- Toutes actions doit être entrepris dans les 5 ans qui suit le jour ou la personne à pris
connaissance du dommage , ou de son aggravation ou de l’identité de la personne
responsable. Si non il se prescrit à 20 ans à partir du jour qui suit celui qui s’est
produit le fait qui a provoqué le dommage.

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48. Loi sur les fautes résultants des soins de santé ?

 Il faut une faute avéré


 Un préjudice
 Il doit y avoir un rapport de cause à effet.
Il existe un régime facultatif , intervention des fonds des accidents médicaux si il y a un
défaut de l’assureur ou si y a un accident médical sans responsabilité.

49. Critères pour avoir recourt aux fonds des accidents médicaux ?

 Accident médical sans responsabilité avec un dommage estimé grave.


- Invalidité permanente égal ou supérieur à 25%
- Mort du patient
- Incapacité temporaire de travail de plus de 6 mois consécutif ou non consécutif sur
une période de 12 mois.
- Le dommage occasionne des troubles graves , y compris d’ordre économique

50. Qu’est ce qu’un accident médical sans responsabilité ?

 Un accident
 Lié a une prestation de soin de santé
 Qui n’engage pas la responsabilité du soignant
 Ne résulte pas de l’état du patient
 Entraine un dommage anormal : compte tenu de l’état actuel de la sciences et de
l’état du patient et de son évolution.
 Un échec thérapeutique et une erreur non fautive de diagnostic ne constituent
pas un accident médical sans responsabilité .
 Permet au victime d’obtenir une indemnité lorsqu’il ne peuvent pas l’obtenir
selon le droit commun. Il n’y a pas d’obligation, il rembourse moins.

51. Autres cas d’intervention du fonds.

 Lorsque la responsabilité incompte au prestataire mais que sa responsabilité civile


n’est pas ou pas suffisamment couvert par un contrat d’assurance.
 Lorsque la responsabilité incompte au prestataire mais que lui ou son assureur
conteste la responsabilité. Pour autant que le dommage répond à un des critères de
gravité.
 Lorsque l’assureur couvrant le prestataire fournit une offre d’indemnisation qu’il juge
manifestement insuffisante.

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 Le rôle du fond est donc d’indemnisé rapidement la personne. Et ensuite il se
retournera vers l’auteur ou l’assureur.
 On ne peut pas être indemnisé plusieurs fois.

52. Conditions de mises en œuvre de la responsabilité pénale ?

 la responsabilité civile n’est pas mise en œuvre par un agent de l’état , à l’inverse
de la responsabilité pénale.

- Un fait délictueux : il faut démontrer qu’une infraction a été commise. Pour cela il
faut des lois et des sanctions lié à cette loi. Si pas de sanction on ne peut pas
poursuivre. Il peut s’agir d’une abstention ou d’un fait. C’est le rôle du législateur de
dire ce qui n’est pas permis et de prévoir des sanctions.
- Un fait imputable : il faut démontrer que le fait commis l’a été par la personne dont
la responsabilité est recherché, il peut y avoir des Co auteurs : plusieurs à faire
l’infraction et des complices ceux qui ont contribué à l’infraction.
- Un fait dolosive : La volonté physique et psychique de commettre l’infraction .
l’infraction a été commise avec connaissance et volonté. Attention un infraction peut
se produire sans critère ( inattention , imprudence)

53. Les causes d’exonération de la responsabilité civile ?

- L’état de nécessité : une situation de crise caractérisé par un dilemme moral ou un


conflit de valeur. Avec des conséquences plus néfastes si la loi était respecté.
L’exonération est sujet à interprétation stricte. On a commis une infraction mais on
avait pas le choix.
- La légitime défense : une personne qui pour se protéger à infliger des lésions à une
autre. Il faut que l’acte soit proportionnelle et légitime. Il est aussi sujet à
interprétation stricte. ( cas de figure de l’état de nécessité).
- L’ordre ou l’autorisation de la loi : une personne qui part sa fonction et dans des
situation particulière à le droit d’enfreindre la loi : exemple policier.
- La prescription : les preuves s’érodent avec le temps , au-delà d’un certain délais il
n’est plus possible de juger. Sauf pour les actes imprescriptible. Code de la route = 6
mois.

54. La dépénalisation de l’euthanasie ?

 Il n’y a pas eu dépénalisation complète de l’euthanasie elle est dépénaliser que selon
certaines conditions bien précise = dépénalisation partielle.
 Dépénalisation = modification du cadre légale et permettre ce qui était interdit avant.
 Conditions pour pratiquer une euthanasie :
Majeur ou anticipé :
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- Une demande du patient rédigé , daté et signé . si il n’est pas en mesure de le faire ,
confier à une autre personne sans intérêt et accompagner du médecin , explication
de la situation qui empêche le patient de rédiger lui-même sa demande.
- Délais espacé entre chaque concertation avec le patient
- A tout moment le patient peut se rétracter , le document sera alors retirer de son
dossier et rendu au patient.
- La demande doit être rédigé de manière volontaire , réfléchie et répétée sans
pression extérieur
- La personne doit être en possession de ces moyens ( capacité de discernement )
- La personne doit souffrir d’une maladie sans issus entrainant des souffrances
physique, psychique constante et insupportable qui ne peuvent être apaisé et dont
l’issus est grave et incurable
- Consultation d’un autre médecin indépendant.
- Si décès n’intervient pas à brève échéance il faut consulter un 3 ème médecins,
psychiatres ou spécialiste.
- Il faut 1 mois entre la demande écrite et l’euthanasie.
Mineur :
- Condition semblable sauf que la demande écrite doit être signé par les parents ou
tuteur.
- La situation médical doit entrainer un décès à brève échéance.
- Obligation de consulter un pédopsychiatre afin de s’assurer de la capacité de
discernement.
Si déclaration anticipé :
- Document daté et signé , et contre signé par 2 majeurs dont l’un n’a pas d’intérêt
financier
- Le document doit daté de moins de 5 ans avant le début de l’impossibilité de
manifester sa volonté
Il faut constater :
- Le patient à une affection grave et incurable
- Qu’il est inconscient
- Que cette situation est irréversible

 Au décès il faut une attestation médicale .

55. Particularité de l’avortement ?

 Tout comme l’euthanasie , il n’est pas dépénaliser totalement et soumis à des


conditions stricte.

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 Doit se faire avant 12 semaines (date de conception ) , et 6 jours après la 1 ère
consultation , un prolongation de 6 jours est possible si délais trop court. Elle peut
être pratiqué le jour ouvrable suivant si cela tombe sur un week-end.
 Il doit être pratiqué dans des bonnes conditions médicale.
 Le médecin doit informer des risques , s’assurer de la détermination de la femme et
rappeler les diverses possibilité.
 Le jour de l’intervention la femme devra consigner par écrit sa volonté de pratiquer
l’intervention.
 Si danger pour la mère l’avortement peut se faire à tout âge gestationnel.
 Si pathologie sur le fœtus reconnu comme incurable , nécessite l’avis d’un 2ème
medecins.
 Aucun soignant n’est tenu de pratiquer une IVG il doit néanmoins orienter la patiente
vers un autre soignant.

56. Le criminel tient le civil en état ?

 Si la victime d’une infraction introduit une action civile, le juge civile ne pourra pas
statuer tant que le juge pénal n’aura pas tranché.
 Intérêt civile = réparation des dommages à la fin du procès.
 Les poursuites pénale suspendent les poursuites civile.
 Une faute civile = ne pas se comporter de manière approprié , une faute pénal =
violation de la loi.

57. Les différents modes alternatifs de règlement des conflits.

A. Médiation civile :
 Processus volontaire et confidentiel
 Un médiateur externe , indépendant et impartial
 le médiateur n’apporte pas de solution
 il essaye d’élaborer une entente équitable et durable
 pour en arriver à un accord au terme du processus de médiation
 permet de désengorger les tribunaux.
 Le médiateur n’est pas là pour trancher
 Si aucune solution n’est trouvé l’affaire ira au tribunaux
 Les frais du médiateur sont divisé en 2
B. Médiation pénale :
 c’est le procureur du roi qui essaie de régler le conflit sans l’intervention d’un juge , il
réunit l’auteur et la victime.
 il essaye de trouver un accord entre l’auteur et la victime et de réparer le dommage
 les 2 parties doivent être d’accord et collaborer avec la médiation

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 indemnisation de la victime
 le procureur peut proposer les choses suivante : guidance thérapeutique , travaux
d’intérêt généraux , formation
 le dossier sera envoyé à la maison de justice
 l’assistant de justice confirme l’accord ou pas entre les 2 parties en les convoquant
séparément
 audience de médiation organisé par le procureur du roi .
 si l’auteur exécute les mesures il n’est pas poursuivi , si il ne les exécute pas le dossier
sera renvoyer au procureur du roi et l’auteur sera poursuivi.

C. Arbitrage :
 Il s’agit d’un règlement alternatif de litige
 L’arbitre n’est pas un agent d’état, il est là pour trancher.
 Tribunal arbitral , n’est pas composer de magistrats professionnel mais plutôt de
personnes experte dans le domaine concerné. Arbitre désigné par les parties.
 Les 2 parties doivent avoir un consentement explicite soit par un contrat existant ou
pas un contrat conclu à la naissance du conflit
 Le tribunal rend une sentence arbitrale = sentence obligatoire entre parties
 Les frais seront entièrement payé par la partie perdante , à la différence des
tribunaux ou les frais sont au forfait ( si avocat hors de prix c est à l’autre partie de le
payé , mais pas dans l’arbitrage) .
 Raisons du choix d’un arbitrage :
- Dossier complexe mise en doute des compétences du juge en la matière
- Dossier confidentiel (caractère secret)
- Plus rapide
- Dossier à registre internationaux , on ne veut pas que le tribunal d’un pays tranche ,
peur que le tribunal ne soit pas neutre.

58. Qu’est-ce que la jurisprudence ?

 C’est un ensemble de juge, c’est une source de droit = le précédent


 Lorsqu’un juge décide dans un sens cette décision peut faire jurisprudence , elle va
donc influencer les autres juges et les décisions future dans des affaires identique.
 La décision vaudra donc de précédent.
 Le droit n’est pas juste un syllogisme : mode de raisonnement classique du juriste.
 Le juge peut parfois plus qu’interpréter les loi , il crée parfois des lois.

59. Quelles sont les rôles de la jurisprudence ?

 Rôle d’interprétation
 Rôle de création du droit
 N’est pas un simple syllogisme.
 Valeur de précédent.

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 Appliquer le droit à un cas donné.

60. La justice civile en quelques mots ?

 Elle tranche sur les affaires ayant pour objet la protection, la reconnaissance ou la
conservation des droits subjectifs
 Le droit n’est pas un sciences exacte dépend des circonstance
 Outils utilisé par des humains, selon le juge le raisonnement peut être différent.
 Il existe plusieurs corps de juridiction
 Il s’agit d’un droit subjectif : droit sur une chose, une personne ou à l’égard d’une
personne.

61. Les différentes juridiction civile sont ?

1) En premier degré :
 Juge de paix : compétence spécifique location, copropriété ou affaire avec un
montant maximum de 5000 euros.
 Tribunal de police en section civile : dommage et intérêt qui relève des matières de
roulage.
 Tribunaux de première instance (civile)
 Tribunal du travail
 Tribunal de l’entreprise
2) En appel :
 Tribunaux de première instance civiles , statuent les recours des décisions rendues
par le juge de paix
 5 cours d’appel : Mons, Liège, Gand, Anvers et Bruxelles
 Chacune de ces cours à une chambre civile qui traite des appels des jugements rendu
en 1er degré par le tribunal de première instance en sa section civile et tribunaux de
commerce.
 5 cours du travail : Bruxelles, liège ; Mons , Gand , Anvers.

3) En cassation :
 la cour de cassation ne connait pas le fond des affaires , elle est le juge de la légalité
des jugements. Elle ne se prononce pas sur les faits . ce recours n’est envisageable
qu’après avoir épuisé les voies de recours ordinaire.

62. La justice pénale en quelques mots ?

 Elle statue sur l’existence d’infraction et condamne les auteurs de ces infractions.
 Elle statue sur la peine , ce n’est pas un procureur du roi qui juge , c’est le tribunal
 C’est la peine qui va orienter vers l’un ou l’autre tribunal.

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63. Les différentes juridiction pénale ?

1) En premier degré :
 Tribunal de police (appel possible)
- Les contraventions : infraction ( 1 à 7 jours de privation de liberté ou amende de 1 à
25 euros)
- Les délits contraventionnalisés : des délits normalement punisable en correctionnels
mais avec circonstances atténuantes ( de 8 j à 5 ans de privation de liberté ou
amende supérieur à 25 euros)
- L’ensemble des litiges en matière de roulage (civile ou pénale)
 Tribunal de première instance correctionnel (appel possible)
- Délits ou crimes correctionnalisés donc avec des circonstances atténuante.
- Délits de presse à caractère raciste ou xénophobe.
2) En appel :
 Tribunal de 1er instance en son tribunal correctionnel ( appel pour le tribunal de
police)
 La cour d’appel chambre correctionnel , appel pour le tribunal correctionnel.
3) La cours d’assise : en 1er degré : délits politiques et de presse , en dernier ressort ,
pour les crimes ( pas d’appel possible)
4) En cassation :
 La cour de cassation chambre pénale , casse ou annule un jugement. Son rôle est de
vérifier que le juge a bien fait son travail si le jugement est conforme aux droits.
Après annulation elle renvoi le dossier vers une autre juridiction pour qu’il soit
rejuger.

64. La justice administrative, le conseil d’état ?

 Justice administrative plusieurs section, le conseil d’état est la plus importante.


 Le conseil d’état est compétent pour l’annulation ou suspension des actes individuels
et règlementaires pris par des autorité administrative : violation des formes
substantielle ou prescrite à peine de nullité , excès ou détournement de pouvoir.
 Veille au respect de la légalité objective et à la hiérarchie des normes.
 c’est un conseiller du gouvernement son avis est obligatoire mais pas contraignant
( l’avis ne bloque pas la suite du processus.

65. Quelles sont les 2 sections du conseil d’état ?

 Section de législation : rend des avis sur des projets de loi, décret et ordonnance.
 Section du contentieux administratif : les juges vont trancher des litiges
- Litige = soumettre au conseil d’ état un acte administratif , décision prise par une
autorité publique
- Objet : légalité d’un acte administratif contraire aux normes du droit dans la
hiérarchie des lois.

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66. Quelles sont les rôles du conseil d’état ?

 Vérifie le respect des normes de valeurs supérieurs ( hiérarchie des normes)


 Contrôle uniquement des actes administratifs :
- Acte règlementaire : ( porté général et abstraite) nombre indéterminé de cas :
confinement.
- Acte administratifs individuels (nomination, permis , autorisation) vise une personne
en particulier

67. Quelles sont les 3 matières dans lequel le conseil d’état est saisi ?

 Recours en annulation : dans un délais de 60 jours de la connaissance de l’acte ou la


publication. Si pas de recours il devient définitif après les 60 jours ( sécurité
juridique). Annulation = l’acte a existé mais il n’existe plus avec effet rétroactif. (on
retourne dans le passé)

 Recours en suspension si urgences : suspend (geler les effets juridique), la décision


permet d’attendre la décision de recours en annulation. Il faut démontrer la
condition d’urgences. Procédure plus courte quelques mois.
 Recours en suspension d’extrême urgences : quand on ne sait pas attendre quelques
mois, le conseil d’état peut statuer en extrême urgences. Le délais de la demande
doit être rapide et convocation se fait dans les 2 à 3 jours suivant la demande.

68. Qu’est-ce que les juridictionnelles disciplinaires ?

 Objectif de de faire respecter les règles déontologiques et la discipline dans le chef


des membres des ordres professionnel.

69. Qu’est ce que la cour constitutionnelle ?

 Juridiction composé de 12 juges qui vielle au respect de la constitution par les


législateurs belge.
 Respect des règles de répartitions de compétences et respect des droits
fondamentaux.
 Elle peut annuler, suspendre et déclarer inconstitutionnels des lois , décrets et
ordonnance si violation du titre 2 de la constitution.
 Contrôle uniquement des normes à valeurs législative
 Vieille au respect de la constitution.

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70. Normes dont la constitutionnalité est contrôlée par la cours constitutionnelle ?

 La cour est habilitée à contrôlé les normes ayant force de loi = disposition matériels
ou formelle.
 Par le parlement ( lois) et communauté et régions ( décret et ordonnance)
 Ils ne peuvent pas statuer sur autres choses donc pas les arrêtés quel qu’il soit ni les
règlements , ni les décisions.
 La cour peut se prononcer sur une violation par une norme ayant force de loi , des
droits et libertés fondamentaux.

71. Mode de saisis de la cour :

 Saisie de deux matière :


- un recours en annulation peut être introduite par toute autorité désignée par la loi
ou par toute personne concerné. Introduire la demande en annulation dans les 6
mois de la publication dans le moniteur belge. Un recours en suspension est possible
- saisi à titre préjudiciel lors d’un litige soumis à une question de conformité de loi,
décret et ordonnance aux règles de répartition des compétences. Elle doit en
principe poser une question préjudicielle à la cour constitutionnelle. La procédure
sera suspendu en l’attente de la réponse de la cour.

72. Quelques mots sur la juridictions internationales ?

 Composé de la cour européenne des droits de l’homme et de la cour de justice de


l’union européenne .

73. Cours européenne des droits de l’homme ?

 Organe juridictionnel supranational crée par la convention des droits de l’homme


dans le cadre du conseil de l’Europe.
 Veille au respect de la convention des droits de l’homme.
 Peut être saisi par un état , une personne physique ou morale victime de la violation
de la convention
 La personne doit néanmoins avoir d’abord épuisé toutes les voies de recours interne
avant de saisir la cour. Cela peut prendre parfois plus de 10ans.

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74. La cour de justice de l’union européenne ?

 Organe juridictionnel supranational crée dans le cadre de l’union européenne.


 Veille au respect des droits européen
 Renvoi préjudiciel : les juges nationaux doivent se tourner vers la cour de justice pour
demander de préciser un point d’interprétation des droits de l’union afin de vérifier
la conformité des droits nationaux et peut aussi viser le contrôle de validité d’un acte
de droit de l’union.
 Recours en manquement : contrôler le respect par les états membres des obligations.
 Recours en annulation : demande en annulation d’un acte d’une institution , d’un
organe ou d’un organisme de l’union .
 Recours en carence : permet de vérifier la légalité de l’inaction des institutions , d’un
organe ou d’un organisme de l’union. Il ne peut pas être introduit avant que
l’institution concerné ait été invité à agir.

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