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Droit → exigence en vertu d’une règle reconnue =règle, prescription.

Une règle n’est pas uniforme et n’a pas la vocation d’universalité. Chaque états à son propre droit,
ses propres institutions. On peut regrouper le système juridique occidentaux en 2 familles :

1) Droit romano-germanique
Fond commun est le droit romain (origine), c’est un droit écrit et influencé sur différents pays,
nation(les règles).
Les droits des pays latin:Italie, Espagne, Portugal ont influencés les nations germaniques.
Puis la France va jouer une influence au 19e siècle avec Napoléon. Il va imposé le code civil en
1804 puis le code du commerce, code du travail…
En France, il y a actuellement 68 codes. C’est un droit écrit et généralise tous les pays.
L’Allemagne aura le code identique en 1820. Ainsi que l’Autriche et la Suisse plus tard. Et le
Luxembourg influencé également par la France.

2) Droit dit de commonlaw


Système née en Angleterre, appliqué dans tous les pays de langue anglaise actuellement.
Il se différencie car il n’est pas basé sur l’écrit, il est basé sur la jurisprudence, sur des décisions
de justice rendues.
Il n’a jamais raisonné du droit romain, raisonnement différent. Le juriste voudra essayer de
rechercher la décision déjà prise, se fait de manière empirique.

→ Ces 2 droits ont une même finalité social =permettre la vie en société, organiser la relation entre
les individus. Si absence de règle abouti, ce serai la loi du plus fort.

Plusieurs notions :
-règle juridique → droit objectif
-ensemble de prérogative (chaque personne physique est sujet de droit) dont une personne est
titulaire →droit subjectif
Les anglais utilisent 2 termes différents : law → obj et right → subj

II. L’opposition entre droit national et international


A. Le droit international public
Droit des gens, règles applicables apporté aux états entre eux et défini les organisations,
compétences et le pouvoir des organisations international. Pas de pouvoir au dessus des états.

Chapitre II:Les sources du droit

I. Les sources national


Le traité sera exécutif de façon réciproque par signataire =principe de réciprocité .
Traité intérieur exerce une primauté sur les normes législatives, principe à l’art 55 de la
constitution.
Les traités ont dès lors interprétation une autorité supérieur à celle des lois sous réserve de son
application par l’autre parti.
Le traité se voit une place proéminente. Il a une valeur supra législative qui permet au juge de
réalisé un contrôle de conventionnalité= juge refuse d’appliquer les lois qui sont contraire au traités
ratifié par la France.
Grâce a une décision de la cour de cassation 24/05/1975 réalisé pour la jurisprudence
administrative 20/10/1989 Loi nicolo.

Les textes européens,


depuis 1951, les traités européens crée des règles de droit =droit européens
Adopté par le conseil, le parlement.
Les règle sont de 3types : Règlement, directives et décisions.
Le règlement est le plus important=texte qui s’applique immédiatement dès son adoption et sa
publication, effet direct.
La directive impose aux états membres de mettre leurs droits interne en conformité dans un
certain délai avec objection annoncé dans la directive. A pour finalité d’harmoniser le droit des
pays membres.

Les décisions n’engagent que les destinataires évoqué par l’UE dans la décision.

A. Constitution
1ère source nationale, normes juridique suprême, encadre le pouvoir juridique dans un cadre
juridique. Elle détermine les règles importante, l’organisation de l’état, le pouvoir public et les droits
fondamentaux.
-Préambule (qui forme le bloc de constitualité) qui va évoqué les droits fondamentaux.

B. Source écrite
La loi et le règlement
Loi est écrite et évoqué par le parlement, il y a plusieurs catégories :
-Loi ordinaire, celle voté dans n’importe quel matière mais en France ont prévu un domaine de la
loi limité (art 34 de la constitution) exclusivement à la loi. On peut agir par voie réglementaire par
un décret et par le gouvernement.
-Loi constitutionnel, loi de révision de la constitution adopté selon une procédure spécifique de la
loi ordinaire.
-Loi organique, qui précise et complète la constitution sans la modifier.
La constitution ne peut pas tous prévoir, certain articles vont alors envoyé à une loi organique, loi
qui précise les modalités de l’article.
-Loi de finance, désigne une loi déterminant la nature, le montant et l’affectation des ressources et
des échanges de l’état ; 2sortes = loi de finance de l’année, et loi de finance rectificative, adopté
aux cours de l’année, à l’état les besoins de loi de finance de l’année.
-Loi de financement de la sécurité sociale, voté annuellement pour le budget de la sécu (depuis
1996) voté par les parlementaires.

Les ordonnances à la fois législatif et réglementaires voté par le moment c’est réglementaire et
quand rectification c’est législatif.

Le pouvoir réglementaire, règlement englobe les décisions du pouvoir exécutif.


Art 37, les matières autres que celle du domaine de loi ont des caractère réglementaire.
2 catégories : -Sois intervient en matière réservé à la loi pour la préciser ou compléter : pouvoir
réglementaire dérivé à travers un décret d’application.
-agit dans le silence de la loi:décret autonome.
-est pris par le 1er ministre.
Mais différents décrets : décret simple signé par le 1er ministre avec les ministre qui ont la charge
de son exécution.
-Les décrets en conseil des ministres signé par le président de la république, ne signe que les
décrets qui ont été fixé au conseil des ministres.

-Le pouvoir d’évocation, le président va signer le décret en dehors du conseil des ministres, si le
1er ministre signe également.
-Les décrets en conseil d’état pris par le gouvernement après avis du conseil d’état mais sans que
cet avis ne s’impose à lui.

-Les arrêtés se distingue selon son auteur et ne classe hiérarchiquement selon les autorités.
Les arrêtés préfectoraux, municipaux viennent préciser les décisions prises.

-Les circulaires, par un ministre, instruction à des fonctionnaires, éclaire et interprète l’application
d’une loi ou décret pour les fonctionnaire chargé de les appliquer.

C. Les sources non écrites


Une règle de droit existe que si elle est écrite et prise par une autorité spécifique mais la coutume
peut aussi être source de droit si elle ne va pas à l’encontre du droit.
Une coutume est un comportement habituelle suivi par des penser qui considère un caractère
obligatoire, n’est dans aucun texte de loi.
2 éléments :
Matériel → répété sur une longue période de temps de façon habituelle, comportement doit être
ancien et constant.
Psychologique → croyance partagé par tous en son caractère obligatoire.

Coutume = règle de droit mais peu disparaître lorsqu’elle n’est plus suivi par l’ordre. Elle peut
suivre la loi, sa force est reconnu par la loi elle même et lui donne un caractère supplétif ou
impératif.

II. Les sources informelles et d’interprétation


A. La jurisprudence
Sens large = ensemble des décisions de justices rendues par les juridictions.
Sens étroit = interprétation de règle de droits défini tel qu’elle est admise par les juges.
Il faut que le juge réalise et adapte le décret en conséquence. Raison pour laquelle le juge va
donner un sens à la loi, il va faire un travail d’interprétation.

1) Méthode d’interprétation du juge


-exégétique : la plus ancienne, 19e siècles
interpréter le texte en se demandant quelle à été la volonté du législateur.
Texte de loi obscu ou incomplet
-Théologie : recherche de la finalité du texte de loi et son but social.
-historique ou évolutique : reconnaître au juge le droit d’adopter le texte au nécessité de son
époque.
-libre recherche scientifique= parfois même national ont leurs limites et le juge élabore une solution
en s’aidant des données pour solutionné le litige qui lui est soumis.

4methodes permettent au juge de prendre une décision.

2) Limite à l’interprétation du juge


Il a l’interdiction de créer la loi, art 5 du CC « il est défendu aux juges de prononcer par voix de
disposition général et réglementaire sur les causes qui leurs sont soumises ».
Il ne peut pas créer de texte de loi, il est là que pour l’appliquer.
Exp historique : ancien droit, les parlements rendaient justice au nom du roi, peu à peu ont
attribuer un pouvoir législatif.

A la révolution, remise en cause : 16 et 24 août 1790.

Obligation d’appliqué la loi


Le juge qui refusera de juger sous prétexte du silence de l’obscurité ou insuffisance de la loi pourra
être poursuivi comme coupable de délit de justice.

Lorsque le texte est clair, il doit l’appliquer purement et simplement.

Le juge législateur supplétif


Pas possible au juge de se retrancher de l’incertitude de la règle de droit, ce qui peut conduire à
un législateur supplétif.
Conformément à la règle de droit obscur dont le sens est incertain, le juge va se référer à la
décision de ces collègues et à force de décision du même sens, une jurisprudence va se créer,
une règle de droit va s’imposer en tant que règle à suivre.

Le juge peut apparaître comme le législateur de cas particulier.

B. Le droit négocié
La règle de droit édictée par l’institution public est unilatéralement sans négociation du contenu
pourtant des règles peuvent être négocié. Ex:Le contrat, librement négocié par les parties dans les
limites de la loi.

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