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Titre III – Les sources du droit.

Ce terme désigne parfois l’ensemble des données sociale, moral, psychologique, politique,
éco que le législateur prend en considération pour édicter une source d’inspiration. Ces derniers ont
été dénommé par un auteur RIPERT comme une source de force créatrice de droit, on le nomme
aussi des sources réel de droit. Ces derniers ne font pas partie du droit positif.
Elle désigne aussi à des sources formelles du droit (on va s’intéresser à cette dernière). Il faut
entendre par là les formes sous lesquelles naissent les r de droit et les différentes façons dont les r
juridique sont établis. La France appartenant au syst de d romano-germanique, nous avons évoqué le
fait que la loi était la source principale du d. nous allons voir aujourd’hui que le législateur français
n’est plus le seul maitre à bord. Les source de droit se multiplie. On parle à ce titre de pluralisme
juridique ou encore de dispersion de normes. Les r de d que nous avons en France sont étiqueté par
des organisation supranational de telle sorte qu’il faut distinguer les source interne et internationale.

Chapitre 1 : les sources internationales.


I- Les traités internationaux
A- Ordinaire :
Ce dernier est un accord conclus entre les états. il peut être bilatérale ou multilatérale. Il r
des question de d publics (traité avec des organisme internationale) que de d privée (traité de
commerce international). Son importance tient à leur nbre qui ne cesse d’augmenter mais aussi à
leur autorité, leur force en droit.
Art. 55 de la constitution : « les traités ou accord régulièrement ratifiés ou approuvés ont, dès leur
publication, une autorité supérieure à celle des lois, sous réserve, pour chaque accord ou traité, de
son application par l’autre partie ».
La question que son pose : un simple particulier peut-il invoqué le traité devant les
tribunaux ? dans l’affirmative est-ce que je peux invoquer le traité à l’encontre d’un autre
particulier ?
On appelle ces derniers un effet direct ou à un effet direct. La réponse dépend de la façon dont le
traité est rédigé. Pour reconnaitre un effet direct à un traité on se fonde sur l’intention des auteurs,
dans étendre les stipulation aux autres. Une critère subjectif. On recherche ensuite, si la disposition
en cause est suffisamment précise et inconditionnel. Critère objectif.
La r posait ne doit pas être une simple déclaration d’intention. C’est dc au cas par cas qu’on
va déterminer si une r contenu dans un traité est suffisamment précise pour qu’un simple particuliers
sans prévaloir. Il y a un traité qu’on ne se pose pas une question c’est la CEDH
B- La CEDH
Ce dernier est un traité international, signé à Rome le 4 novembre 1950. Ratifier par la
France en 1974. Pendant 20 ans ce dernier ne s’appliquer pas en France. Il a pris bcp de tps car en
France on estime qu’on a déjà notre propre droit de l’homme avec la DDH.
D’abord elle est applicable dans 47 états, c’est très rare pour un traité internationale.
Surtout, une juridiction spécifique, européenne, a été spécialement créé pour en contrôler la bonne
application par les signataires. C’est la cour européenne des droit de l’homme qui siège à Strasbourg
avec des juges issu de plrs états. tt les art de cette convention sont directement applicable et vont dc
être appliquer par le juge français. Si un état ne respecte pas les disposition de la CEDH, il sera
sanctionné par la cour européenne des droit de l’homme pour manquement. Tt citoyen peut saisir
cette cour et permet, une fois que la cour de cassation rejette notre pourvoie, de dire que par cet
arrêt mes droit non pas était appliquer.
Les décision de cette cour s’impose aux juridiction française mais aussi à l’état français.
Mais ces arrêt n’ont qu’un caractère déclaratoire = il constate la violation par un état de la
convention sans la faire cessait eux même. c’est à l’état de choisir de quelle mesure on mettra fin à
la constations.

II- Le droit de l’union européenne :


Il réunit aujourd’hui 27 états. Ce dernier à le d primaire et dérivé qu’il faut distingué.
A- Le droit primaire :
Droit issu des traité. Les traités ont contribué à la création d’un marché intérieur entre les signataires
impliquant une union éco et monétaire, une libre circulation des personnes et des Ka. Une
harmonisation de politique éco. Deux traité fondamentaux :
- Traité de Rome de 1957 : institué la CE
- Traité de Maastricht de 1992 : institue l’UE
Ces deux derniers ont été conservé mais modifié par le traité de Lisbonne signée en 2007.
Dorénavant existe le traité de l’UE et le traité sur le fonctionnement de l’UE qui remplace le traité
instituant la CE.
Le traité de Lisbonne reconnu la personnalité juridique à l’union et confère une valeur
contraignante à la charte des d fondamentaux de l’union. A la différence des traité ordinaire, les
traité constitutif de la communité européen et de l’UE ont créé un nvelle ordre juridique qui s’intègre
à l’ordre juridique interne des états membre. Dans la décision de Van Gend en Loos du 5 février
1963, la cour de justice des communité européen CJCE, la cour de justice a posé le principe de l’effet
direct du droit primaire à la condition que les obligations soit précise, claire, inconditionnel et
quelle n’appelle de mesure complémentaire de nature nationale ou européenne.
B- Le droit dérivé :
Renvoi au d sécréter par les institution mis en place par les traités. A côté de la CJUE ont une
institution européen qui peut étiqueté deux types de r qui prenne deux forme différentes :
- Les règlements de l’union : équivalent des loi interne, s’applique directement dans tt les
états membres et sont obligatoire dans tt leur disposition. Un particulier va pouvoir les
invoquer devant les tribunaux français.
- Les directives de l’union : contrairement au règlement les directives ne sont pas directement
applicables en droit interne, elles doivent d’abord faire l’objet d’une transposition en droit
nationale par une loi française ou par un décret pris par un gouvernement. L’état à un délai
pour transposer une directive. On se pose du coup : si une directive non transmis dans les
délai, peut-on l’invoquer ? la directive peut produire un effet direct en cas de non-
transposition dans les délai imparti ou une transposition indirect, lorsqu’elles sont
inconditionnelles et suffisamment précise et claire. Cependant, l’effet direct ne peut être
que de nature verticale et dc ne peut qu’être invoquer par un particulier contre son état et
non de façon horizontale. La CJUE considère toutefois qu’il existe deux palliatif qui permet
de protéger le particulier :

 Le particulier peut demander à l’état la réparation du préjudice découlant d’une


violation de l’état de la disposition d’une directive même si elle n’est pas d’effet direct.

 Le juge national doit procéder à une interprétation conforme du droit national.


Décision Marleasing du 13 novembre 1990. Son effort d’interprétation conforme s’avère
parfois si poussé que le juge national envie à réécrire la disposition national en cause de
sorte qu’indirectement tt se passe comme si la directive s’appliquer.

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