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Notre engagement environnemental

À l’heure où le problème du réchauffement climatique est – à juste titre – sur le


devant de la scène médiatique, un grand nombre d’entreprises cherchent sincèrement
à réduire leur impact environnemental. Quelles actions mettons-nous en place à
*nom de l’entreprise* pour parvenir à un meilleur bilan environnemental ?

Impact (empreinte) carbone


La problématique de l’impact carbone (ou empreinte carbone), des émissions de gaz
à effet de serre est désormais connue de tous, mais pourtant complexe à améliorer.
Nous vous invitons à creuser le sujet auprès de sources sûres (comme ici).
À Arcadie, notre impact carbone dépend de plusieurs facteurs principaux :
Facteur 1 : L’impact carbone de l’agriculture pratiquée sur les zones de
production où nous achetons nos épices et aromates
Nos actions :
– Développer une agriculture peu émettrice de gaz à effet de serre : l’agriculture
biologique n’utilise pas d‘engrais azotés de synthèse, très émetteurs de gaz à effet de
serre.  L’efficacité de l’agriculture pratiquée sur nos zones d’approvisionnement doit
cependant être interrogée plus en profondeur du point de vue de l’impact carbone.
Cet axe de progrès repose en grande partie sur l’engagement des producteurs avec
lesquels nous travaillons, et nous les encourageons fortement en ce sens.

Même l’agriculture bio doit


encore progresser en efficacité
pour réduire sa contribution à
l’émission de gaz à effet de serre
(photo Maime Beaufey).
Facteur 2 : L’impact du
transport jusqu’à nos ateliers.
Deux facteurs principaux sont en
jeu à ce niveau : les distances
parcourues, et le mode de transport.
Nos actions :
 Diminuer les distances de transport : difficile pour nos épices car un certain
nombre d’entre elles ne poussent pas sous nos latitudes. Nous avons plus de
possibilités pour les plantes aromatiques et médicinales (PAM). Nous avons
mis un indicateur spécifique en place et nous sommes en mesure d’affirmer que
nous achetons en France actuellement 52% des matières productibles en
France. Cela peut sembler peu, mais trouver des volumes suffisants pour des
productions bio et de qualité en plantes aromatiques et médicinales est très
compliqué. Il faut parfois créer de toutes pièces les filières
d’approvisionnement : trouver des agriculteurs intéressés, mettre en place de
nouvelles cultures, développer les infrastructures nécessaires. Cela prend du
temps. Cela fait par exemple 10 ans que nous œuvrons pour constituer une
filière agricole de production de PAM en régions Occitanie et Sud, avec à ce
jour pas loin de 100 hectares en production.
 Améliorer les modalités de transport : nous avons d’ores et déjà renoncé au
transport aérien. La majorité de nos matières premières transitent ainsi par
bateau jusqu’à la France (puis en camion jusqu’à nos ateliers dans le Gard).
Mais le transport maritime actuel est tout de même polluant, sans parler des
conditions sociales souvent déplorables pour les personnes qui travaillent sur
les bateaux. Nous avons ainsi décidé de contribuer à changer cela en
construisant un voilier-cargo à faible émission carbone, qui transportera nos
épices depuis Madagascar jusqu’en France. Cela représentera 20% de tous
nos achats annuels et la consommation de carburant pourra être réduite
jusqu’à 90% par rapport aux bateaux actuels. Et au passage, l’équipage sera
bien traité…

Facteur 3 : L’impact de nos bureaux et ateliers (bâtiments, machines, éclairage,


chauffage, déplacements des salariés).
Nos bâtiments actuels ont déjà un bilan carbone réduit par rapport à bien d’autres
locaux d’entreprise : utilisation de matières naturelles (bois, cellulose), production
d’électricité photovoltaïque…
À l’occasion du prochain agrandissement de nos bâtiments, nous voulons aller encore
plus loin en termes de réduction des émissions de GES, des consommations de
ressources. Des systèmes de récupération de chaleur, encore plus de matériaux
naturels (murs en terre crue, pergola végétale) et l’aménagement de zones dédiées à la
biodiversité permettront d’aller encore plus loin en termes de réduction de l’impact
environnemental.
Enfin, comme chaque geste compte, la pratique du vélo et le co-voiturage se
développe pour les trajets domicile-travail, et le train est privilégié pour les
déplacements pro.
Le matériau bois est très présent dans nos bureaux et dans nos ateliers.

Facteur 4 : L’impact de nos fournitures et emballages sur l’ensemble de leur cycle


de vie.
Nous travaillons également avec nos fournisseurs pour réduire l’impact “emballage”,
que ce soit sur les emballages de nos produits, des matières ou des autres fournitures).
Nous cherchons globalement à réduire l’impact à la conception, à allonger la durée de
vie et à permettre un recyclage en fin d’utilisation.

Pour la part inévitable de déchets, nous avons prévu de déployer une grande énergie
à former nos collaborateurs pour un tri optimal, permettant une bonne valorisation.
Nous récupérons notamment les déchets organiques de broyage pour les composter
sur les terres de notre ferme à quelques kilomètres de là.

Les autres substances polluantes ?


La pratique de l’agriculture biologique réduit le risque de contamination de
l’environnement par des molécules chimiques de synthèse aux effets délétères sur la
santé.
Néanmoins, nous vérifions tous les lots entrants pour éviter les risques de
contamination accidentelle.

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