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A
1°/ Z X Z : Numéro atomique ; nombre de charges ou nombre de protons
A : Nombre de masse : A=Z+N
2°/ 2 nucléides ayant même Z sont appelés isotopes :
35 37
Exemple : Cl et Cl.
3°/ mX = Z mP + N mn + Z me- mX A mP
mP mN >> me-
d’où : MX = AA mP A (g)
1°/ a) L’hydrogénoïde est un système formé par un noyau ayant pour charge (Z e) et
d’un seul électron qui gravite sur une orbite autour de ce noyau.
e-
Ze R.F.D : ⃗F ext = me ⃗a
L’électron est soumis à 2 forces :
* Une force électrostatique
⃗
F elec : attraction du noyau,
⃗
* Une force centrifuge f c : due à son mouvement circulaire autour du noyau.
Avec : ║
⃗
F elec ║ = qe ║ ⃗E ║ = Z e²/ 40r² ⃗
et ║ f c ║ = meaN = mev²/ r
Ze ²
d’où : Z e²/ 40r² = mev²/ r alors : v² = 4 πε 0m er (1)
b) ET = EC + EP
EC = ½ mev² = Z e²/ 80r
L’énergie potentielle V est égale au travail de la force électrostatique :
dV = ║
⃗
F elec ║dl d’où : dV = Z e²/ 40r².dr
r
∫
V = Z e²/40 ∞ dr/ r² = Z e²/40 [– 1/r]r = Z e²/40 (– 1/r + 1/) = – Z e²/40r
L’énergie totale varie en (– 1/r) alors ET peut prendre n’importe quelle valeur entre
r = 0 et r = ce qui n’est pas en accord avec les observations expérimentales: l’émission est
discontinue.
2°/ a) Postulat de Bohr : Quantification du moment cinétique de l’électron :
⃗F Λ me v⃗ = me v r = n h/ 2 me v r = nh/ 2 (3)
Ze ² ε 0h² n²
(1) me² 4 πε 0 m e r n . r² = n² h²/ 4² alors :
n rn = ( πm e e ² ). Z
Z²
(2) En = – (mee / 80²h²). n ²
4
ε 0h²
b) 1 ère
orbite : n = 1 alors : r1 = a0 = πm e e ² . (1)² A.N : a0 = 0,53 Å
1
E1 = – (mee / 80²h²).
4 (1)² A.N : E1 = – 2,165.10-18 J
E1 = – 13,53 eV
n =1 r1 = a0 = 0,53 Å
ε 0h²
r1 = a 0 = πm ee² n =2 r2 = 4 a0 = 2,12 Å
rn = a0 n² n =3 r3 = 9 a0 = 4,77 Å
n =4 r4 = 16 a0 = 8,48 Å
1 1
En = – (mee / 80²h²).
4 n² = E1 . ²
n avec E1 = – 13,53 eV
n =1 E1 = – 13,53 eV
n =2 E2 = E1/ 4 = – 3,38 eV
n =3 E3 = E1/ 9 = – 1,50 eV
n =4 E4 = E1/ 16 = – 0,84 eV
Emax = 0 – E1 = 1 3,6 eV
I = 13,6 eV
H (n = 1 ; E1 = – E0 = – 13,6 eV) H* (n = ? ; En = ?)
I = E = EH+ – EH = 13,6 eV
b) He+ (Z = 2)
2
I2 = E = EHe2+ – EHe+ = 13,6 ( 1 )2 = 54,4 eV
1°/ La théorie de Bohr est établie sur le modèle planétaire : l’électron tournant autour
du noyau est soumis à la force d’attraction de celui-ci et à la force centrifuge.
Les résultats de cette théorie ne s’appliquent pas aux systèmes ayant plus d’un électron en
mouvement autour du noyau : Il faudra dans ce cas tenir compte aussi des forces de répulsion
entre les électrons.
b) He+ (Z = 2)
Transition : 4 2