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COURS 17A
Supervision
Résumé de Théorie
Deuxième Année
Programme de Formation des Techniciens
Spécialisés en Électronique
RÉDACTION
Stéphane Nicol
RÉVISION TECHNIQUE
Claude Théorêt
RÉVISION LINGUISTIQUE
François Gaudreau
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GRACIEUSETÉ DE WONDERWARE
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GRACIEUSETÉ DE ICONICS
De même, l’ordinateur est un organe important car il permet de gérer adéquatement l’image
virtuelle du procédé selon les informations qui lui parviennent des appareils du plancher de
production. Aussi, il interprète les actions effectuées sur l’image et les transforme en
commandes numériques qu’il transmet, via un protocole de communication standardisé, aux
différents appareils qui contrôlent le procédé.
Donc, les systèmes de supervision en industrie consistent à gérer, à piloter, à surveiller et à
contrôler l’ensemble des étapes constituant le processus de fabrication.
afin d’assurer la synchronisation parfaite des tâches entre les diverses machines de production
tout en offrant une vue globale du processus. C’est ainsi que les systèmes de supervision
devinrent un élément important pour combler les nouveaux besoins des industries.
Système Système Système Système
#1 #2 #3 #4
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Notons que les anciens systèmes instaurés, principalement des contrôleurs de procédé et les
premiers automates programmables industriels, ne contrôlaient qu’une infime portion du procédé
et qu’ils étaient tous isolés les uns des autres. La Figure 1-3 présente cette situation, qui était
imputable à l’absence de fonctions permettant de relier les appareils entre eux en utilisant des
protocoles de communication standards. Le contrôle d’une portion du processus de fabrication
était donc local et indépendant du reste du procédé. Il est alors aisé d’imaginer les nombreuses
limites d’un tel mode de fonctionnement. Pour un technicien devant équilibrer une ligne de
production en fonction d’une multitude de données, il est fort improbable qu'il puisse y parvenir
en ne consultant qu'un seul appareil de contrôle. Cette situation devient une contrainte sérieuse
puisqu’il lui est impossible d’établir la communication entre les différents systèmes.
Par ailleurs, il est difficile d’avoir accès aux différents paramètres des conrôleurs isolés
autrement que par leur programmation individuelle. Par exemple, si l’un des appareils est destiné
au contrôle de la vitesse d’un convoyeur, il est nécessaire de se déplacer si l’on désire modifier
les paramètres internes ou pour simplement effectuer un changement de consigne (la nouvelle
valeur de la vitesse désirée pour le convoyeur).
Le besoin d’accéder à l’information de plusieurs types d’appareils différents, comme illustré à la
Figure 1-4, a nécessité la création de certains protocoles de communication pour instaurer ce que
l’on nomme les réseaux de terrain. La possibilité d’échanger des données, entre plusieurs
différents appareils, est rapidement apparue comme une solution permettant de réaliser de
nouvelles stratégies de contrôle plus efficaces. Parmi les standards de communication les plus
usuels, on dénote le RS-232C, le RS-485 et le RS-422A. Chacun de ces protocoles se distingue
par son mode et ses capacités physiques concernant la transmission des données. Donc, il est
certain que la tendance actuelle est de favoriser la communication entre les multiples appareils
reliés aux postes de travail.
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Bien sûr, les fabricants de systèmes de contrôle ont tôt fait de réaliser l’importance de s’adapter
aux exigences croissantes des entreprises. Aussi, quelques fabricants d’envergures ont développé
et instauré leur propre réseau afin de relier leurs produits entre eux. Néanmoins, ces réseaux sont
généralement accessibles via des modules de communication effectuant la conversion des
signaux avec les autres systèmes existants.
L’intéret des réseaux de terrain est multiple. L’utilisation de tels réseaux simplifie le câblage et
la conception grâce à une modularité aussi bien matérielle que logiciel. Un réseau de terrain, qui
permet d’interfacer des produits provenant de plusieurs fabricants, est qualifié d’architecture
ouverte. Tandis que celui mis en oeuvre par un seul fabricant possède une architecture de type
propriétaire. Il est clair qu’un réseau ouvert rend les utilisateurs indépendants des constructeurs
et leur permet de mettre en place des structures plus évolutives.
Par ailleurs, l’avénement des microprocesseurs puissants et fiables a permis l'implantation des
micro-ordinateurs en industrie. Conjointement à la popularité grandissante de l'ordinateur en
entreprise, on assiste à l’augmentation du nombre des postes automatisés et à la mise en oeuvre
de systèmes de plus en plus complexes. Si l'instauration des réseaux de terrain a permis de relier
les systèmes de contrôle entre eux, elle a aussi provoqué une croissance effrénée du flot
d’information relatif à la fabrication d’un produit.
Aussi, la nécessité de distribuer d'énormes volumes de données, sans pour autant encombrer les
réseaux en opération, est rapidement devenue un aspect non négligeable lors de la conception.
L'ordinateur, de par ses fonctions remarquables pour le traitement des données, est apparu
comme étant l'élément le plus apte à accomplir adéquatement ces tâches connexes à la
production.
Une multitude de données, provenant du processus de fabrication, se doit d’être accessible pour
les différents membres du personnel de l’entreprise. Ainsi, plusieurs systèmes de supervision ont
été développés afin de répondre à ces nouvelles exigences et, par le fait même, de bien contrôler
ce flot d’information (voir Figure 1-5), ou, plus simplement, afin de bien superviser l’évolution
de la fabrication d’un certain lot de pièces.
Système de supervision
(syst. centralisé)
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À notre époque, les rapides développements de l’informatique contribuent à l’essor des systèmes
de supervision. Plusieurs systèmes informatiques permettent désormais d’avoir accès à des
représentations graphiques très détaillées et de les animées de façon à reproduire plus fidèlement
la réalité. De même, certaines plateformes offrent des fonctions très utiles pour les logiciels de
supervision. Aussi, les possibilités fascinantes du multimédia ouvrent de nouveaux horizons à
exploiter afin de rendre l’utilisation des systèmes de supervision encore plus conviviale.
Dans quelques années, il ne sera pas rare de visualiser des séquences vidéo, d’écouter des
extraits sonores ou d’interagir par commandes vocales avec les systèmes qui piloteront les
procédés de fabrication. Les nombreux progrès en informatique seront vraisemblablement
incorporés comme caractéristiques de bases pour les prochaines générations de logiciels de
supervision en industrie.
Gestion
Niveau 4 générale
de l’entreprise
Niveau 3 Gestion de la
production
Niveau 2 Système de supervision
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Temps de réponse :
Niveau 2 1s < T < 1h
Temps de réponse : Volume de Temps de
Niveau 1 < 1s données réponse
Temps de
Niveau 0 réponse :
0.1s
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Le temps de réponse que l’on observe au niveau 0 est de l’ordre d’une fraction de seconde car il
est parfois très important de réagir rapidement aux informations reçues par les capteurs. Il n’est
pas rare que des lignes de production, qui fonctionnent à des vitesses très rapides, se doivent de
réagir très promptement lors d’une défaillance quelconque.
À l’opposé, les gestionnaires de l’entreprise doivent consulter un important volume de données
afin de planifier leurs objectifs à court et long terme. L’information qui circule à ce niveau
concerne surtout la productivité et les performances globales de l’entreprise; ces informations
sont obtenues en analysant un ensemble de paramètres bien précis sur une période de temps
donnée. Ce type d’information provient généralement d’une base de donnée est il et donc inutile
de les transiger à des vitesses vertigineuses.
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pour consulter un graphique des tendances et pour analyser l’historique du procédé, il peut
s’avérer intéressant de posséder toutes ces informations simultanément à l’écran.
Aussi, la possibilité d’utiliser la couleur permet aux représentations graphiques d’être plus fidèle
à la réalité qu’ils reproduisent. De plus, l’utilisation de la couleur permet d’indiquer rapidement
et simplement l’état dans lequel se trouve le procédé. Il suffit d’imaginer la vue d’ensemble
d’une ligne de production dont les convoyeurs actifs sont représentés en vert et ceux qui sont
inactifs, en rouge. Un simple coup d’oeil suffit pour localiser les convoyeurs à l’arrêt.
L’image est un puissant moyen de communication et c’est l’un des aspects les plus importants
d’un système de supervision.
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RÉVISION TECHNIQUE
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RÉVISION LINGUISTIQUE
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Voici une brève description de chacune des étapes de la configuration du logiciel de supervision
Aimax.
Émetteur Récepteur
Récepteur Émetteur
15 m ...................... 20 kbauds
Par la suite, la norme EIA RS-485 est apparue afin d’améliorer les performances de la norme
RS-422A. La modification principale provient du simple fait que les sorties sont dorénavant à
trois états (Tri-State).
+
120R 120R
-
12 m ................. 10 Mbauds
122 m ................. 1 Mbauds
1220 m ................. 100 kbauds
C’est une norme que l’on retrouve souvent dans les réseaux de terrain car ces caractéristiques
électriques lui permettent d’être efficace lors des applications en réseau. En effet, elle permet de
brancher jusqu’à 32 transmetteurs, et de 32 récepteurs par ligne de transmission. Aussi, la norme
RS-485 est une spécification à ligne balancée, donc beaucoup moins sensible au bruit. Aussi, la
longueur maximale des câbles est d’environ 1220 mètres mais, à cette distance, la cadence est
limitée à 100,000 bps.
T AB L E AU 2- 1 C O M P AR AI S O N E N T R E L E S P R O T O C O L E S D E C O M M U N I C AT I O N
RS-232C RS-485
Mode de transmission référencé à la masse différentiel
Nombre maximale d’émetteurs 1 32
Nombre maximale de récepteurs 1 32
Longueur maximale de ligne 15 m 1220 m
Cadence maximale 20 000 bps 10 000 000 bps
Tension maximale de sortie +/- 25 V -7 V , +12 V
Courant maximale de sortie - +/- 100 uA
Plage d’entrée du récepteur -15 V , +15 V -7 V , +12 V
Sensibilité du récepteur +/- 3 V +/- 0,2 V
Résistance d’entrée du récepteur 3 à 7 Kohms > 12 Kohms
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GRACIEUSETÉ DE TA ENGINEERING CO.
Tout d’abord, il faut choisir l’option 1. Configure Database présente dans le menu principal.
Pour effectuer la configuration du système, il faut choisir le sous-menu SYSCFG à l’aide de la
touche de fonction F1. Le premier sous-menu qui retient notre attention concerne les paramètres
de communication, soit la touche F2 (COMPORT). Après avoir inscrit les valeurs appropriées
(Figure 2-5), il suffit de les enregistrer à l’aide de la touche F9 (SAVE).
La seconde étape consiste à spécifier au logiciel que l’on désire communiquer avec un contrôleur
FOXBORO 761. Pour ce faire, il faut choisir le sous-menu DEVICE à l’aide de la touche F3.
Une fois à l’intérieur du sous-menu (Figure 2-6), il suffit de spécifier l’adresse et le type de
l’appareil que l’on utilise. Après avoir inscrit les valeurs appropriées, il suffit de les enregistrer à
l’aide de la touche F9 (SAVE).
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GRACIEUSETÉ DE TA ENGINEERING CO.
Maintenant que la base de données est configurée adéquatement, il est nécessaire de procéder à
sa validation afin de rendre fonctionnelles les changements effectués. De retour au menu
principal, il faut donc choisir l’option 2. Arrange database.
Par contre, si la tâche en arrière plan est en fonction (l’option 4. Start Background a déjà été
sélectionnée préalablement), il est nécessaire de la mettre à l’arrêt puis de la relancer de
nouveau. Donc, afin d’éviter tout problème éventuel, il est fortement conseillé, lorsqu’il est
nécessaire de configurer la base de donné du logiciel, de suivre l’ordre des opérations suivantes:
• s’assurer que la tâche en arrière plan est à l’arrêt (sinon, dans le menu principal,
choisir l’option 3. Stop Background);
• configurer la base de donnée (l’option 1. Configure Database);
• valider la base de donnée (l’option 2. Arrange database);
• si nécessaire, remettre en fonction la tâche en arrière plan (l’option 3. Start
Background).
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GRACIEUSETÉ DE TA ENGINEERING CO.
Le fonctionnement d’un tel graphique est fort simple. À chacune des plumes du graphique
correspond une seule variable du procédé. Le système de supervision effectue une lecture des
données, via le port de communication, contenues à l’intérieur du contrôleur. L’ensemble des
données que celui-ci possède est alors transféré au système de supervision. Ce dernier
s’empresse d’afficher graphiquement, selon l’échelle choisie, le point correspondant à la valeur
de la variable pistée. Selon la base de temps déterminée préalablement, le système de
supervision recommence le cycle de lecture de la donnée et reporte la valeur graphique à la suite
des autres points reccueillis auparavant. C’est ainsi que l’on voit apparaître une courbe (la
courbe de tendance) qui exprime la tendance, en temps réel, du progrès d’une variable dans le
temps.
Il est à noter que les courbes, qui sont obtenues en temps réel, ne peuvent pas être sauvegardées
afin de permettre une consultation ultérieure. Pour conserver ces courbes, via les nombreuses
informations qui les composent, il faut plutôt utiliser la fonction qui permet de conserver
l’historique du procédé, fonction qui est présentée à la prochaine section du présent module.
2.7.2 La qualité de l’information
Pusqu’il faut toujours avoir l’esprit critique lorsqu’on consulte des données qui ont été
numérisées, la consultation d’une courbe de tendance n’échappe pas à cette règle. En effet, la
donnée analogique, qui est affichée à l’écran, a subi plusieurs conversions avant de pouvoir être
affichée sous la forme d’un pixel. Et, malheureusement, à chacune des conversions, il s’est
infiltré une petite erreure, étant donnée la résolution finie des mécanismes en jeu.
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GRACIEUSETÉ DE TA ENGINEERING CO.
simuler la rotation du moteur lorsque celui-ci est en marche, ce qui est réalisable avec une
multitude de logiciels de supervision. Dans le même ordre d’idée, il serait possible de
schématiser un réservoir et de procéder à l’animation de son contenu; ainsi, un simple coup
d’oeil permet de vérifier le niveau réel du réservoir.
La majorité des logiciels de supervision offre la possibilité de pouvoir animer les représentations
graphiques en fonction du véritable état des éléments du procédé. Certains logiciels se
distinguent par la qualité et les caractéristiques très développées concernant l’animation des
graphiques. Néanmoins, les capacités d’animation sont fonctions de la plateforme utilisée ainsi
que des périphériques disponibles.
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GRACIEUSETÉ DE ICONICS
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GRACIEUSETÉ DE ICONICS
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GRACIEUSETÉ DE ICONICS
Afin d’offrir une bonne vue d’ensemble de ce produit, il importe d’énumérer les principales
caractéristiques.
• Il possède une architecture modulaire, ce qui permet au client de choisir les
utilitaires nécessaires afin d’obtenir un logiciel parfaitement adapté à ses besoins
bien particuliers.
• Il possède un serveur (logiciel) qui s’assure, grâce à son fonctionnement multi-
tâche préemptif en temps réel, que la priorité est destinée au rafraîchissement des
entrées provenant du procédé. Un gestionnaire d’alarmes est inclus.
• 250 pilotes sont disponibles pour établir la communication avec des appareils de
contrôles industriels (API, contrôleurs de procédé, etc).
• Plusieurs outils sont disponibles afin de faciliter la création des graphiques
animés.
• Un puissant gestionnaire d’événements qui permet d’intercepter plusieurs types
d’informations différentes. Cet utilitaire peut paramétrer entièrement le système
en réponse à un changement au niveau du procédé ou à une action quelconque de
l’opérateur.
• Il est possible d’effectuer des modifications sur la représentation graphique même
si le logiciel est en mode de supervision. Donc, ce n’est plus nécessaire de mettre
le système à l’arrêt pour effectuer des changements.
• Les macro-commandes (fonctions utilisateurs) sont compatibles avec le langage
objet de Microsoft Visual Basic. Mais, pas besoin de connaître la programmation
car un assistant (logiciel) peut les concevoir par lui-même.
• Une base de données, qui est très simple à utiliser, est disponible.
• Création aisée de graphiques orientés-objets.
• Librairies de fonctions déjà prêtes pour l’utilisation.
• Aide en ligne.
• Supporte l’échange de données dynamique (DDE), les liens OLE et les liens de
type DLL, tout pour assurer le transfert des données entre les applications.
• Offre un support technique pour de nombreuses années (en fait, c’est pour la vie).
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GRACIEUSETÉ DE ICONICS
Si le modèle de base est jugé incomplet, il est possible de choisir une extension logicielle:
• 11 fonctions optionnelles (en fonction du logiciel de base sélectionné)
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GRACIEUSETÉ DE TÉLÉMÉCANIQUE
Afin d’offrir une bonne vue d’ensemble de ce produit, il importe d’énumérer les principales
caractéristiques.
• Il possède aussi une architecture modulaire.
• De base, il possède le gestionnaire de communication UNI-TE qui permet la
connexion au bus UNI-TELWAY via le port série ainsi que la connexion aux
réseaux X-WAY via des cartes additionnelles.
• En option, il est possible d’obtenir une communication Modbus et une
communication réseau (Token-Ring, DECnet)
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GRACIEUSETÉ DE TÉLÉMÉCANIQUE