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DIVISION 10 SPÉCIALITÉS
Section 10 44 13 Armoires pour extincteurs portatifs
Section 10 44 16 Extincteurs portatifs
DIVISION 22 PLOMBERIE
Section 22 05 00 Exigences communes concernant les travaux de plomberie
Section 22 05 13 Exigences générales concernant les moteurs d’appareils de plomberie
Section 22 05 16 Raccords et lyres de dilatation pour tuyauteries de plomberie
Section 22 05 19 Thermomètres et manomètres pour tuyauterie de plomberie
Section 22 05 23.06 Robinetterie d’usage général pour tuyauterie de plomberie – Bronze
Section 22 05 29 Supports et suspension pour tuyauterie et équipement de plomberie
Section 22 05 33 Traçage thermique pour tuyauteries de plomberie
Section 22 05 48 Systèmes et dispositifs antivibratoires et parasismiques pour tuyauterie et appareils
de plomberie
Section 22 05 53 Identification pour la tuyauterie et l’équipement de plomberie
Section 22 07 19 Calorifugeage de la tuyauterie et de l’équipement de plomberie
Section 22 08 03 Nettoyage et mise en service des réseaux d’eau domestique
Section 22 11 16.03 Tuyauterie d’alimentation pour eau domestique - cuivre
Section 22 11 19 Tuyauterie d’alimentation pour eau domestique – accessoires
Section 22 11 23 Abrogée
Section 22 13 16 Tuyauterie de drainage sanitaire et d’évent
Section 22 13 19 Tuyauterie de drainage et d’évent – appareils spéciaux
Section 22 14 16.03 Tuyauterie de drainage pluvial en fonte et en cuivre
Section 22 14 16.06 Tuyauterie de drainage pluvial en plastique
Section 22 14 23 Tuyauterie de drainage pluvial – appareils spéciaux
Section 22 14 26 Avaloirs en toiture
Section 22 14 29.16 Abrogée
Section 22 42 00 Appareils sanitaires commerciaux
Section 22 61 13 Tuyauteries d’air comprimé pour établissements fournissant des services de santé et
laboratoires
Section 22 66 00 Systèmes d’évacuation de produits chimiques résiduaires pour établissements
fournissant des services de santé et laboratoires
Section 22 67 00 Systèmes d’eau traitée pour établissements fournissant des services de santé et
laboratoires
DIVISION 26 ÉLECTRICITÉ
Section 26 05 00 Exigences communes concernant les travaux d’électricité
Section 26 05 19 Fils et câbles (0 – 1000 V)
Section 26 05 23 Fils et câbles de contrôle (0 – 1 000 V)
Section 26 05 26.06 Mise à la terre du secondaire
Section 26 05 29 Attaches et supports
Section 26 05 33.03 Connecteurs pour câbles et boîtes (0 – 1 000 V)
Section 26 05 33.06 Conduits, attaches et raccords de conduits
Section 26 05 33.09 Boîtes de sortie, de dérivation et raccords
Section 26 05 33.13 Boîtes de jonction, de tirage et de répartition
Section 26 05 36 Chemins de câbles
DIVISION 27 COMMUNICATIONS
Section 27 05 00 Exigences communes concernant les travaux de communications
Section 27 05 28 Réseau de canalisation pour télécommunications
Section 27 05 48 Systèmes et dispositifs antivibratoires et parasismiques pour systèmes de
communications
Section 27 10 05 Câblage structuré pour réseaux de télécommunication
Section 27 51 23 Système d’intercom et de diffusion de programmes
Section 27 53 13 Horloge et programme de transmission électronique
NUMÉRO TITRE
M-00 Mécanique
Liste des dessins
M-01 Mécanique
Légende
M-02 Mécanique
Protection Incendie
Démolition
Sous-Sol
M-03 Mécanique
Protection Incendie
Aménagement
Sous-sol
M-04 Mécanique
Protection Incendie
Niveau 3
Détails
M-05 Mécanique
Plomberie
Services
Sous-sol et vide technique
M-06 Mécanique
Plomberie
Chauffage et refroidissement
Sous-sol et vide technique
M-07 Mécanique
Plomberie
Drainage
Sous-sol
M-08 Mécanique
Plomberie
Services, Chauffage et refroidissement
Niveau 3
M-09 Mécanique
Plomberie
Drainage
Niveau 3
M-10 Mécanique
Plomberie
Chauffage
Toit
M-11 Mécanique
Plomberie
Drainage
Toit
M-12 Mécanique
Plomberie
Services
Diagrammes
M-13 Mécanique
Plomberie
Chauffage et refroidissement
Diagrammes
M-14 Mécanique
Plomberie
Drainage
Diagramme
M-15 Mécanique
Plomberie
Drainage
Diagrammes (Suite)
M-16 Mécanique
Plomberie
Fiches techniques
M-17 Mécanique
Plomberie
Fiches techniques (Suite)
M-18 Mécanique
Plomberie
Fiches techniques (Suite)
M-19 Mécanique
Plomberie
Fiches techniques (Suite)
M-20 Mécanique
Plomberie
Fiches techniques (Suite) et détails
M-21 Mécanique
Plomberie
Détails (Suite)
M-22 Mécanique
Plomberie
Détails (Suite)
M-23 Mécanique
Plomberie
Détails (Suite) et tableaux
M-24 Mécanique
Plomberie
Détails (Suite) et tableaux (Suite)
M-25 Mécanique
Ventilation
Sous-sol
M-26 Mécanique
Ventilation
Sous-sol (Identification)
M-27 Mécanique
Ventilation
Niveau 3
M-28 Mécanique
Ventilation
Niveau 3
Coupes
M-29 Mécanique
Ventilation
Toit
M-30 Mécanique
Ventilation
Diagramme
M-31 Mécanique
Ventilation
Détails
M-32 Mécanique
Ventilation
Tableaux
M-33 Mécanique
Ventilation
Tableaux (Suite)
M-34 Mécanique
Ventilation
Tableaux (Suite) et
Tableaux des unités de ventilation
M-35 Mécanique
Ventilation
Tableaux des unités de ventilation (Suite)
M-36 Mécanique
Ventilation
Bilan d'air
M-37 Mécanique
Ventilation
Bilan D'air (Suite)
M-38 Mécanique
Automatisation intégrée
Sous-Sol
M-39 Mécanique
Automatisation intégrée
Niveau 3
M-40 Mécanique
Automatisation intégrée
Diagrammes
M-41 Mécanique
Automatisation intégrée
Diagrammes (Suite)
M-42 Mécanique
Automatisation intégrée
Diagramme (Suite)
M-43 Mécanique
Automatisation intégrée
Diagrammes (Suite)
M-44 Mécanique
Automatisation intégrée
Diagrammes (Suite)
M-45 Mécanique
Automatisation intégrée
Diagrammes (suite)
E-00 Électricité
Liste des dessins
E-01 Électricité
Légende, liste des luminaires
et appareils de chauffage
E-02 Électricité
Services et éclairage - Démolition
Sous-sol
E-03 Électricité
Éclairage – Aménagement
Sous-sol
E-04 Électricité
Services – Aménagement
Sous-sol
E-05 Électricité
Services et éclairage – Aménagement
Niveau 3
E-06 Électricité
Services – Aménagement Toit et diagramme d’alarme-incendie
E-07 Électricité
Distribution électrique
E-08 Électricité
Panneaux électriques
E-09 Électricité
Détails - Implantation
E-10 Électricité
Détails
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 3
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières.
1.02 SOMMAIRE
B. Aucune indemnité ou supplément ne sera accordé pour couvrir les erreurs, omissions ou interférences
lorsqu’elles auraient pu être décelées avant le début des travaux par un examen sérieux des plans et
des conditions sur les lieux.
A. Si des erreurs, des omissions ou des contradictions sont relevées dans les plans ou dans les documents
du contrat, ou au cas où il aurait des doutes quant à leur signification, en aviser immédiatement
l'Ingénieur qui pourra envoyer des instructions écrites à tous les soumissionnaires.
A. Pendant les travaux, l'Ingénieur peut émettre des plans et dessins additionnels pour clarifier certains
détails de construction. Ces plans et dessins additionnels ont la même signification et la même portée
que s'ils étaient inclus dans les plans, devis et documents d’appel d’offres.
A. L'entrepreneur reconnaît comme pourparler seulement, toutes communications verbales qu'il pourrait
avoir avec l'Ingénieur. Les décisions, amendements et modifications pour être valides, doivent être
autorisés par écrit par l'Ingénieur ou être inscrits dans les procès-verbaux de réunion tenue en sa
présence.
PARTIE 2 - PRODUITS
PARTIE 3 - EXÉCUTION
P:\12412L\DOC-PROJ\80\80ADD\12412L_Section_00_91_13.01.doc
CSSS de Laval - CSL Exigences d'approvisionnement et Division 00
Aménagement de laboratoires de pathologie d'adjudication Section 00 91 13.01
Étape 2 : Construction Page 3 de 5
No réf. (client) : 2014-005-AO 2016-085 Addenda no ME-1 Novembre 2016
No réf. (BPR) : 12412L Révision : 0
P:\12412L\DOC-PROJ\80\80ADD\12412L_Section_00_91_13.01.doc
CSSS de Laval - CSL Exigences d'approvisionnement et Division 00
Aménagement de laboratoires de pathologie d'adjudication Section 00 91 13.01
Étape 2 : Construction Page 4 de 5
No réf. (client) : 2014-005-AO 2016-085 Addenda no ME-1 Novembre 2016
No réf. (BPR) : 12412L Révision : 0
C. M-20 – Mécanique – Plomberie – Fiches techniques (Suite) et détails, daté 23-11-2016 (révisé).
1. Le détail d’installation d’un chauffe-eau domestique au gaz naturel est annulé.
E. M-24 – Mécanique – Plomberie – Détails (Suite) et tableaux (Suite), daté 23-11-2016 (révisé).
1. Le tableau des réservoirs d’eau chaude domestique est annulé.
P:\12412L\DOC-PROJ\80\80ADD\12412L_Section_00_91_13.01.doc
CSSS de Laval - CSL Exigences d'approvisionnement et Division 00
Aménagement de laboratoires de pathologie d'adjudication Section 00 91 13.01
Étape 2 : Construction Page 5 de 5
No réf. (client) : 2014-005-AO 2016-085 Addenda no ME-1 Novembre 2016
No réf. (BPR) : 12412L Révision : 0
J. M-34 – Mécanique – Ventilation – Tableaux (Suite) et tableaux des unités de ventilation, daté 23-11-
2016 (révisé).
1. Le tableau des performances du caisson de récupération d’énergie a été identifié « HORS
CONTRAT – PHASE 2 ».
2. Le ventilateur d’évacuation VE-3.3 est annulé sur le dessin des ventilateurs d’évacuation.
K. M-35 – Mécanique – Ventilation – Tableaux des unités de ventilation (Suite), daté 23-11-2016 (révisé).
1. Les trois volets de contournement des serpentins de récupérations, de refroidissement et de
chauffage sont annulés.
FIN DE L’ADDENDA
P:\12412L\DOC-PROJ\80\80ADD\12412L_Section_00_91_13.01.doc
CSSS de Laval - CSL Exigences d'approvisionnement et Division 00
Aménagement de laboratoires de pathologie d'adjudication Section 00 91 13.02
Étape 2 : Construction Page 2 de 3
No réf. (client) : 2014-005-AO 2016-085 Addenda no ME-2 Novembre 2016
No réf. (BPR) : 12412L Révision : 0
P:\12412L\DOC-PROJ\80\80ADD\ADDENDA ME-2\12412L_Section_00_91_13.02.doc
CSSS de Laval - CSL Exigences d'approvisionnement et Division 00
Aménagement de laboratoires de pathologie d'adjudication Section 00 91 13.02
Étape 2 : Construction Page 3 de 3
No réf. (client) : 2014-005-AO 2016-085 Addenda no ME-2 Novembre 2016
No réf. (BPR) : 12412L Révision : 0
A. Généralités
1. Tous les éléments qui ne sont pas indiqués « fournis par le propriétaire » sont fournis aux termes
des divisions respectives.
C. Section 23 82 29 – Radiateurs.
1. Cette Section est abrogée.
FIN DE L’ADDENDA
P:\12412L\DOC-PROJ\80\80ADD\ADDENDA ME-2\12412L_Section_00_91_13.02.doc
CSSS de Laval - CSL Exigences générales Division 01
Aménagement de laboratoires de pathologie Section 01 11 00
Étape 2 : Construction Sommaire des travaux Page 1 de 8
No réf. (client) : 2014-005-AO 2016-085 Novembre 2016
No réf. (BPR) : 12412L Révision : 1- Addenda ME-2
1.02 DÉFINITIONS.................................................................................................................................. 2
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 8
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
Les travaux faisant l'objet du présent contrat comprennent la construction générale relié a l’aménagement de
l’unité de débordement de la Cité-de-la-Santé située au 1755 boulevard René-Laennec de la ville de Laval.
1.02 DÉFINITIONS
A. Les termes « Architecte » ou « Ingénieur » désignent les firmes nommées ainsi que leurs représentants
dûment désignés. Le terme « Propriétaire » désigne le donneur d’ouvrage ou son représentant dûment
désigné.
A. Déposer les soumissions à la date et à l’heure fixées par le Bureau des soumissions déposées du
Québec. Fournir une copie pour l’Ingénieur.
A. Entrepreneur général
1. L’entrepreneur responsable des travaux généraux agit comme entrepreneur général.
2. Nonobstant l’organisation indiquée ci-dessous pour le dépôt des soumissions, la responsabilité
incombe à l’entrepreneur général de s’assurer qu’il reçoit, de la part de ses éventuels sous-
traitants, des soumissions complètes couvrant tous les travaux à exécuter. Tout travail non inclus
dans la soumission d’un sous-traitant doit être exécuté directement par l’entrepreneur général.
L’ordonnancement et l’assemblage des Divisions et Sections du devis ne visent pas à répartir les
travaux entre les sous-traitants, tâche qui incombe à l’entrepreneur général. L’Ingénieur n’assume
aucune responsabilité pour des soumissions incomplètes ou redondantes.
B. À moins d’indication contraire de la part de l’entrepreneur général, déposer les soumissions en les
organisant et en les identifiant comme suit :
1. Protection contre l’incendie : soumission pour les travaux de protection contre l’incendie : inclut
sans s’y limiter :
a. Les dessins et conditions générales du contrat, incluant les clauses générales et les clauses
particulières, ainsi que les Sections de spécification de la Division 01 – Exigences générales.
b. Tous les travaux de la Division 02 – Conditions existantes afférents aux autres travaux de
cette soumission. Notamment les travaux décrits dans les Sections suivantes :
1) Section 02 41 19 – Démolition sélective.
c. Tous les travaux de la Division 21 – Protection contre l’incendie.
d. Tous les travaux de la Division 10 – Spécialités afférents à la protection contre l’incendie.
Notamment les travaux décrits dans les Sections suivantes :
1) Section 10 44 13 - Armoires pour extincteurs portatifs.
2) Section 10 44 16 - Extincteurs portatifs.
2. Plomberie et tuyauterie de CVCA : Soumission pour les travaux de plomberie et les travaux
concernant les réseaux de tuyauterie de CVCA : inclut sans s’y limiter :
a. Les dessins et conditions générales du contrat, incluant les clauses générales et les clauses
particulières, ainsi que les Sections de spécification de la Division 01 – Exigences générales.
b. Tous les travaux de la Division 02 – Conditions existantes afférents aux travaux de la
Division 22 – Plomberie et aux travaux de la Division 23 - Chauffage, ventilation et
conditionnement de l’air (CVCA) concernant les réseaux de tuyauterie. Notamment les
travaux décrits dans les Sections suivantes :
1) Section 02 41 19 – Démolition sélective.
c. Tous les travaux de la Division 22 – Plomberie, sauf :
1) Les travaux de la Section 22 61 13 - Tuyauterie d’air comprimé pour établissements
fournissant des services de santé et laboratoires.
d. Tous les travaux de la Division 23 - Chauffage, ventilation et conditionnement de l’air (CVCA)
concernant les réseaux de tuyauterie.
3. Gaz médicaux : Soumission pour les travaux de Gaz médicaux : inclut sans s’y limiter :
a. Les dessins et conditions générales du contrat, incluant les clauses générales et les clauses
particulières, ainsi que les Sections de spécification de la Division 01 – Exigences générales.
b. Tous les travaux de la Division 02 – Conditions existantes afférents aux travaux de Gaz
médicaux de la Division 22. Notamment les travaux décrits dans les Sections suivantes :
1) Section 02 41 19 – Démolition sélective.
c. Tous les travaux de la Section 22 61 13 - Tuyauterie d’air comprimé pour établissements
fournissant des services de santé et laboratoires.
4. Réseaux aérauliques : Soumission pour les travaux concernant les réseaux aérauliques et
connexes : inclut sans s’y limiter :
a. Les dessins et conditions générales du contrat, incluant les clauses générales et les clauses
particulières, ainsi que les Sections de spécification de la Division 01 – Exigences générales.
a. Les dessins et conditions générales du contrat, incluant les clauses générales et les clauses
particulières, ainsi que les Sections de spécification de la Division 01 – Exigences générales.
b. Travaux ne faisant pas partie des soumissions ci-dessus.
c. Travaux effectués directement par l’entrepreneur général.
d. Travaux décrits sur les plans et dans le devis de l’Architecte.
e. Travaux décrits sur les plans et dans le devis de l’Ingénieur en structure.
f. Travaux décrits sur les plans et dans le devis de tout autre consultant ou dans les documents
émis par le Propriétaire.
A. Maintenir l'accès aux fins de la lutte contre l'incendie; prévoir également les moyens de lutte contre
l'incendie.
A. Le chantier peut être utilisé sans restriction jusqu'à l'achèvement substantiel des travaux.
B. L'utilisation des lieux est restreinte aux zones nécessaires à l'exécution des travaux et d'accès afin de
permettre :
1. l'occupation des lieux par le Propriétaire;
2. l'occupation partielle des lieux par le Propriétaire;
3. l'exécution de travaux par d'autres entrepreneurs;
4. l'utilisation des lieux par le public;
D. Trouver les zones de travail ou d'entreposage supplémentaires nécessaires à l'exécution des travaux
aux termes du présent contrat et en payer le coût.
E. Enlever ou modifier l'ouvrage existant afin d'éviter d'en endommager les parties devant rester en place.
F. Réparer ou remplacer selon les directives de l’Ingénieur, aux fins de raccordement à l'ouvrage existant
ou à un ouvrage adjacent, ou aux fins d'harmonisation avec ceux-ci, les parties de l'ouvrage existant qui
ont été modifiées durant les travaux de construction.
G. Une fois les travaux achevés, l'ouvrage existant doit être dans un état équivalent ou supérieur à l'état
qu'il présentait avant le début des travaux.
A. Exécuter les travaux en nuisant le moins possible à l'exploitation du bâtiment et aux occupants et à
l'utilisation normale des lieux. Prendre les arrangements nécessaires avec le Propriétaire pour faciliter
l'exécution des travaux.
A. Avant d'interrompre des services d'utilités, en informer le Propriétaire ainsi que les entreprises d'utilités
concernées, et obtenir les autorisations nécessaires.
B. S'il faut exécuter des piquages sur les canalisations d'utilités existantes ou des raccordements à ces
canalisations, donner au Propriétaire un avis préalable de 48 heures avant le moment prévu
d'interruption des services électriques ou mécaniques correspondants. Veiller à ce que la durée des
interruptions soit aussi courte que possible. Exécuter les travaux aux heures fixées par les autorités
locales compétentes, en gênant le moins possible les activités des locataires.
D. Avant le début des travaux, définir l'étendue et l'emplacement des canalisations d'utilités qui se trouvent
dans la zone des travaux et en informer le Propriétaire.
F. Fournir des services d'utilités temporaires afin que soient maintenus les systèmes critiques du bâtiment
et des locataires.
G. Installer des passerelles de chantier pour le franchissement des tranchées, afin de maintenir une
circulation piétonne et automobile normale.
H. Lorsque des canalisations d'utilités non répertoriées sont découvertes, en informer immédiatement
l’Ingénieur et les consigner par écrit.
I. Protéger, déplacer ou maintenir en service les canalisations d'utilités qui sont fonctionnelles. Si des
canalisations non fonctionnelles sont découvertes durant les travaux, les obturer d'une manière
autorisée par les autorités compétentes.
J. Consigner l'emplacement des canalisations d'utilités qui sont maintenues, déplacées ou abandonnées.
B. Préséances
1. En cas de contradiction ou de divergence sur les plans ou les devis, l’ordre de priorité est le
suivant :
a. Les dimensions chiffrées indiquées sur les dessins ont préséance, même si elles diffèrent des
dimensions prises à l’échelle.
b. Les dessins établis à la plus grande échelle ont préséance sur les dessins à l’échelle réduite.
c. Les cotes priment les mesures à l’échelle.
d. Les plans de détails priment les plans d’ensemble.
e. Entre les unités en système international (SI) et les unités en système impérial, ce sont les
unités correspondantes aux exigences le plus strictes qui ont préséance.
2. Par ailleurs, entre deux documents de même type, celui portant la date la plus récente a
préséance.
C. Aucune mesure prise à l'échelle sur les plans ne doit servir à l'interprétation des dimensions de la
construction.
D. Les plans des ouvrages de mécanique et d'électricité n'indiquent pas tous les détails structuraux, et tout
renseignement comportant des dimensions exactes du bâtiment doit être fondé sur les dimensions
écrites des plans architecturaux ou sur des mesures prises dans ou sur le bâtiment.
E. Les plans indiquent d'une façon générale la position et le tracé que doivent suivre les tuyaux, conduites,
etc., qui doivent être installés. Lorsque leur emplacement n'est pas indiqué sur les plans ou qu'il l'est de
façon schématique, les poser de façon à entraver le moins possible l'utilisation des espaces qu'ils
traversent.
F. Laisser libre tout espace réservé, sur les plans, à des appareils ou à un équipement futur; de plus,
installer si nécessaire, toute la tuyauterie et tout autre matériel relatif de façon à rendre possible le
raccordement futur de ces appareils ou de cet équipement.
PARTIE 2 - PRODUITS
PARTIE 3 - EXÉCUTION
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 3
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières.
1.02 SOMMAIRE
A. Se référer aux conditions générales du contrat pour connaître les exigences concernant les heures de
travail de ce projet et fournir un prix de soumission en fonction de ces exigences.
B. Il est strictement interdit aux employés de l'Entrepreneur de circuler aux endroits autres que ceux où des
travaux sont effectués.
A. L'Ingénieur, l'Architecte et le Propriétaire ou leurs représentants dûment désignés ont en tout temps droit
d'accès au chantier et aux travaux, qu'ils soient en voie de préparation ou d'exécution.
B. Faciliter l’accès à ces professionnels et leurs permettre d'effectuer toutes les inspections et vérifications
qu'ils désirent.
A. Fournir une main-d’œuvre de qualité, qualifiée et compétente pour toute la durée des travaux.
PARTIE 2 - PRODUITS
PARTIE 3 - EXÉCUTION
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 4
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières.
1.02 SOMMAIRE
A. Les exigences ci-après mentionnées ont pour but d'établir une certaine qualité de matériaux et services
à être utilisés pour le projet et d'éliminer la pratique de marchandage pour de nouvelles alternatives
après l'octroi du contrat, ce qui serait au détriment du Propriétaire.
B. Par ailleurs, le but recherché n'est pas d'éliminer l'honnête concurrence dans les soumissions
appliquées à des matériaux et produits de substitution.
C. L’Entrepreneur doit soumettre un prix basé seulement sur les appareils, l'équipement, les matériaux et
les produits spécifiés et sur les modes d’exécution prévus au dossier de soumission.
D. Au terme de ce contrat, « Produit(s) acceptable(s) » signifie que l’article indiqué sert de critère de
rendement et de qualité du matériel et de l’exécution.
G. Là où un, deux ou plusieurs noms de fabricants ou de marques de commerce sont spécifiés, le choix est
laissé au soumissionnaire, sans qu’il ait à présenter de demande de substitution.
H. Avertir immédiatement l’Ingénieur si des produits, des équipements ou des matériaux sont discontinués.
Dans ce cas, l’Ingénieur fournira une nouvelle liste de produits acceptables à utiliser.
I. Si l’entrepreneur désire utiliser des matériaux considérés par lui comme « équivalents » à ceux décrits
par une marque de commerce, il doit soumettre une demande d’équivalence avec sa soumission, en
indiquant la différence de prix qu'il y aurait si la substitution était acceptée.
J. Des substitutions aux noms de fabricants ou de marques de commerce spécifiés peuvent être
proposées selon les conditions suivantes :
1. Le prix de la soumission est basé sur les produits spécifiés et sur les modes d’exécution prévus au
dossier de soumission.
2. Les substitutions doivent rencontrer toutes les exigences spécifiées (caractéristiques,
performances, conformité aux normes, etc.).
3. Assumer les coûts de tout travail et ajustements additionnels résultant de l’acceptation des
substitutions proposées incluant les frais des autres corps de métier.
4. Les demandes de substitutions doivent être inscrites sur le formulaire de demande de substitutions
qui doit être joint à la formule de soumission (ne pas joindre à la formule de soumission si aucune
substitution n’est demandée). Inscrire sur le formulaire de demande de substitution la section et le
numéro d’article du devis, le fabricant et le modèle proposé ainsi que la variation de coût applicable
à ladite substitution.
5. Toute demande de substitution qui n’est pas inscrite sur le formulaire de demande de substitution
joint à la soumission, sera refusée.
6. Aucune substitution soumise après l’entrée des soumissions, ne sera acceptée.
K. Ces demandes de substitution seront étudiées uniquement après octroi du contrat. En conséquence,
l’Entrepreneur aura trente (30) trente jours après cette adjudication pour faire la preuve de l'équivalence.
L. Tout matériel ou produit proposé comme « équivalent » sera considéré comme « non-équivalent »
jusqu'à ce qu'un certificat d'équivalence ait été émis par l'Ingénieur.
M. Aucune demande de substitution ne sera étudiée si elle est reçue après l'ouverture des soumissions,
sauf si le matériel ou produit spécifié n'était plus disponible. Par conséquent, aucune substitution ne
sera considérée après la signature du contrat, à moins d'une raison majeure déterminée par l’Ingénieur.
B. L’Ingénieur pourra accepter ou refuser les demandes de substitution et sa décision sera finale.
C. Le Propriétaire ne s’engage nullement à accepter une équivalence une fois la preuve d’équivalence
établie.
D. Si l’Entrepreneur substitue des équipements ou matériaux sans une autorisation préalable, il encourt
automatiquement le rejet du matériel substitué. De plus, le remplacement des équipements et
matériaux substitués par le produit spécifié est à ses frais et inclut entre autres, les coûts connexes de
raccord, supports, électricité, contrôle, etc.
PARTIE 2 - PRODUITS
PARTIE 3 - EXÉCUTION
PROJET :
SOUMISSIONNAIRE :
DATE :
NOTES :
1. Pour chaque substitution proposée, nous nous engageons à fournir la preuve d’équivalence.
2. Notre soumission est basée sur les produits acceptables spécifiés et les modes d’exécution prévus aux
documents d’appel d’offres et non sur les substitutions décrites ci-haut.
3. Dans le cas où le Propriétaire refuserait une ou toutes les substitutions proposées, nous nous engageons à
utiliser les produits acceptables spécifiés.
4. Nous joignons _____ feuilles de « Formulaire de demande de substitution », incluant celle-ci, à la formule de
soumission.
Signature du soumissionnaire :
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 3
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières.
1.02 SOMMAIRE
A. Aucune modification aux plans et devis ne sera permise sans en faire une demande écrite à l’Ingénieur
ou au Propriétaire.
B. Si au cours de la construction, l’Entrepreneur est avisé de faire un changement et qu’il croit avoir droit à
une rémunération supplémentaire, il doit avertir par écrit l’Ingénieur et le Propriétaire, et ne pas procéder
au changement avant d’en avoir reçu l’autorisation écrite.
C. Aucune rémunération supplémentaire ne sera payée à l'Entrepreneur pour un travail autre que celui
stipulé au contrat, à moins que ces derniers n'obtiennent une autorisation écrite du Propriétaire.
A. Les informations qui suivent complètent la clause « Évaluation des changements aux travaux » des
conditions générales.
B. La proportion de 15% ou de 10% pour les frais généraux de l’entrepreneur général et la proportion de
15% pour les frais généraux de ses sous-traitants, se calculent toujours avant les taxes et incluent
notamment les items suivants :
1. Salaire du gérant et/ou surintendant.
2. Coût d’estimation et de préparation des documents.
3. Coût de secrétariat.
4. Frais de papeterie, timbres, téléphone et bureau-chef.
5. Frais généraux du bureau-chef.
6. Frais de comptabilité.
7. Charges sociales.
8. Déplacements.
9. Bonis et bénéfices marginaux.
PARTIE 2 - PRODUITS
PARTIE 3 - EXÉCUTION
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 2
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières, ainsi que les Sections de spécification de la Division 01.
1.02 SOMMAIRE
A. Avant de demander le premier paiement progressif, présenter une ventilation détaillée des coûts ainsi
que le montant global du contrat. Une fois approuvée par l'Ingénieur, la ventilation des coûts servira de
base au calcul des paiements progressifs.
1.04 QUITTANCES
A. L’Entrepreneur doit, avec chaque demande de paiement, produire une quittance signée par le ou les
sous-traitants et fournisseurs de matériaux identifiés par le Propriétaire ou l’Ingénieur, attestant que les
sommes qui leurs sont dues ont été entièrement payées par l’Entrepreneur.
A. Les demandes de paiement de l’Entrepreneur ne pourront excéder 90% de la valeur du contrat tant et
aussi longtemps que tous les éléments à soumettre à l’achèvement des travaux, exigibles en vertu des
différentes Section du devis, n’auront pas été reçus et revus par l’Ingénieur.
PARTIE 2 - PRODUITS
PARTIE 3 - EXÉCUTION
1.03 DÉFINITIONS..................................................................................................................................2
PARTIE 3 - EXÉCUTION.......................................................................................................... 12
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières, ainsi que les Sections de spécification de la Division 01.
1.02 SOMMAIRE
1.03 DÉFINITIONS
A. Liste des contrats de sous-traitance : Préparer par écrit un sommaire indiquant les personnes ou firmes
proposées pour chacune des parties des travaux, incluant celles devant fournir des produits ou
équipements fabriqués selon une conception spéciale. Indiquer les renseignements suivants sous forme
de tableau :
1. Nom, adresse et numéro de téléphone de l'entité réalisant le sous-contrat ou fournissant les
produits.
2. Numéro et titre des Sections du devis faisant l'objet du sous-contrat.
3. Numéro de dessin et références au détail, selon le cas, faisant l'objet du sous-contrat.
B. Noms des personnes clés : Dans les 15 jours suivant le début des activités de construction, soumettre
une liste des tâches assignées aux personnes clés, dont notamment le surintendant et autre personnel
en poste au chantier. Identifier les individus ainsi que leurs tâches et responsabilités; indiquer la liste des
adresses et numéros de téléphones, au domicile, au bureau, ainsi que les numéros de téléphones
cellulaires et les adresses de courriels. Fournir les noms, adresses et numéros de téléphones des
personnes remplaçant celles assignées au projet en cas d'absence.
1. Afficher des copies de la liste dans la salle de réunion utilisée dans le cadre du projet, dans le
bureau de chantier temporaire, sur le site Web de projet et auprès de chaque appareil téléphonique
temporaire. Tenir la liste à jour en permanence.
A. Coordination : Coordonner les activités de construction définies dans les différentes Sections du devis
en vue d'une réalisation efficace et ordonnée de chacune des parties de l’ouvrage. Coordonner les
activités de construction définies dans différentes Sections, mais qui dépendent les unes des autres
pour une installation, une interface et un fonctionnement adéquats.
1. Planifier les activités de construction dans l'ordre voulu pour obtenir les meilleurs résultats lorsque
l'installation d'une partie de l'ouvrage dépend de l'installation d'autres composants, avant ou après.
2. Coordonner l'installation des différents composants afin de maximiser les performances et
d'assurer l'accessibilité en vue de l'entretien et des réparations.
3. Prendre les dispositions voulues pour recevoir les articles dont l'installation est prévue plus tard.
B. Préparer des notes de service à l'intention de chacune des parties concernées et décrivant les
procédures nécessaires à la coordination. Inclure des éléments comme les avis, rapports et listes des
participants aux réunions.
1. Préparer des notes similaires à l'intention du Propriétaire et des entrepreneurs distincts lorsque la
coordination de leurs travaux est nécessaire.
D. Conservation : Coordonner les activités de construction de sorte que l'on tienne compte, lors de
l'exécution des travaux, de la conservation de l'énergie, de l'eau et des matériaux. Coordonner
l'utilisation des installations temporaires en vue de minimiser les déchets.
1. Récupérer les matériaux et équipements utilisés durant les travaux, mais non incorporés aux
installations réalisées. Se reporter aux autres Sections pour l'élimination des matériaux récupérés
et désignés comme étant la propriété du Propriétaire.
A. Dessins de coordination, généralités : Préparer les dessins de coordination selon les exigences définies
dans les Sections individuelles et également lorsque les dessins d'atelier ne montrent pas entièrement
l'installation, lorsque l'espace limité nécessite une coordination ou lorsqu'une telle coordination facilite
l'intégration des produits et matériaux fabriqués ou installés par plus d'une entité.
1. Contenu : Informations particulières au projet, définies avec précision et à une échelle
suffisamment grande pour faire apparaître et résoudre les conflits. Ne pas établir les dessins de
coordination à partir de données imprimées standards. Inclure les informations suivantes, le cas
échéant :
a. Préparer les dessins de coordination à partir des dessins applicables. Préparer les vues en
coupe et en élévation, ainsi que les détails nécessaires à la définition des relations entre les
divers systèmes et composants.
b. Coordonner l'ajout par des entrepreneurs multiples d'informations spécifiques aux corps de
métiers aux dessins de coordination, dans un ordre assurant au mieux la coordination des
renseignements et la résolution des conflits entre les composants installés avant soumission
pour examen.
c. Indiquer les relations fonctionnelles et spatiales entre les composants de l'architecture, de la
structure et du génie civil, ainsi que des systèmes mécaniques et électriques.
d. Préciser les dégagements nécessaires à l'entretien périodique et au remplacement des
composants durant la vie utile de l'installation.
e. Montrer l'emplacement et les dimensions des portes d'accès aux registres, robinets et
commandes dissimulés.
f. Indiquer les séquences d'installation.
g. Indiquer les dimensions figurant sur les dessins. Noter en particulier les dimensions pour
lesquelles il semble y avoir conflit avec les équipements soumis ainsi que les dégagements
minimaux exigés. Fournir à l'Ingénieur des croquis montrant les solutions proposées pour
résoudre de tels conflits. Les modifications mineures de dimensions et les installations
difficiles ne sont pas considérées comme des modifications au contrat.
B. Élaboration des dessins de coordination : Élaborer les dessins de coordination comme suit :
1. Vues en plan des étages et plans de plafonds réfléchis : Montrer les éléments d'architecture et de
structure, ainsi que les installations mécaniques, de plomberie, de protection contre l'incendie,
d'alarme incendie et d'électricité. Montrer l'emplacement des dispositifs visibles montés au plafond
par rapport aux carreaux acoustiques de ce plafond. Lorsque c'est nécessaire pour représenter
adéquatement l'installation, compléter les vues en plan par des coupes.
2. Plénum : Indiquer le faux cadre servant à supporter le plafond, les cloisons et les équipements
mécaniques et électriques, ainsi que les installations connexes. Choisir l'emplacement des
composants dans le plénum de plafond de manière à pouvoir monter les appareils d'éclairage
indiqués sur les dessins. Indiquer les zones de conflit entre les appareils d'éclairage et les autres
composants.
3. Salles de mécanique : Fournir des dessins de coordination des salles de mécanique et montrant
les vues en plan et élévation des équipements mécaniques, de plomberie, de protection contre
l'incendie, d'alarme incendie et d'électricité.
4. Pénétrations dans la structure : Indiquer les pénétrations et les ouvertures pour toutes les
disciplines.
5. Bord de dalle et éléments encastrés : Indiquer l'emplacement des bords de dalle, ainsi que les
dimensions et la position des éléments encastrés recevant des ensembles métalliques
préfabriqués, manchons, boulons d'ancrage, plaques d'appui, cornières, ferme-portes sur plancher,
les parties de dalle en creux recevant les finis de planchers, les bordures et les dalles de propreté,
ainsi que les articles similaires.
6. Installations de plomberie et de mécanique : Indiquer les éléments suivants :
a. Dimensions et niveaux bas des gaines, des tuyauteries et des tronçons de conduits, incluant
l'isolation, les contreventements, les brides et les systèmes de supportage.
b. Les dimensions des composants principaux, comme les registres, robinets, diffuseurs, portes
d'accès, regards de nettoyage et équipements de distribution électrique.
c. Enceintes résistant au feu autour des gaines.
7. Installations électriques : Indiquer les éléments suivants :
a. Tronçons de conduits verticaux et horizontaux de diamètre supérieur ou égal à 32 mm
(1 ¼ pouce).
b. Emplacement des appareils d'éclairage, indicateurs de sortie, batteries de secours, détecteurs
de fumée et alarmes incendie.
c. Emplacement des panneaux de distribution, des armoires de commutation, de l’appareillage
de connexion, des transformateurs, des barres sous gaine, des génératrices et des centres de
commande de moteurs.
d. Emplacement des boîtes de tirage et des boîtes de jonction, par rapport à l'axe des colonnes.
8. Système de protection contre l'incendie : Indiquer les éléments suivants :
a. Emplacements des colonnes montantes, tuyauteries principales, embranchements, piquages
vers le bas et têtes d'extincteurs automatiques.
9. Examen : Avant le début des travaux, l'Ingénieur examine les dessins de coordination pour vérifier
que la coordination s’effectue, mais pas pour les détails de la coordination, tâche qui incombe à
l'Entrepreneur. Lorsque l'Ingénieur juge que les dessins de coordination ne sont pas de portée
suffisante ou ne sont pas assez détaillés, ou présentent d'autres lacunes, l'Ingénieur en informe
l'Entrepreneur, qui doit faire les modifications exigées et soumettre à nouveau ces dessins.
10. Copies de dessins de coordination : Préparer les copies des dessins de coordination selon les
exigences définies dans la Section 01 33 00 – Procédures pour les éléments à soumettre.
B. Contenu d'une DDR : Donner une description détaillée et claire de l'élément nécessitant un complément
d'information ou une interprétation, ainsi que :
1. Le nom du projet.
2. Le numéro de projet.
3. La date.
4. Le nom de l’Entrepreneur.
5. Le nom de l’Ingénieur.
6. Le numéro de DDR, choisi de façon séquentielle.
7. L'objet de la DDR.
8. Le numéro de Section du devis, ainsi que le titre et les paragraphes concernés, selon le cas.
9. Le numéro de dessin et la référence au détail, selon le cas.
10. Les dimensions et conditions au chantier, selon le cas.
11. La proposition de l'Entrepreneur. Lorsque cette proposition a une incidence sur le calendrier
d'exécution ou le coût contractuel, l'Entrepreneur doit donner les détails correspondants dans la
DDR.
12. La signature de l'Entrepreneur.
13. Pièces jointes : Annexer des croquis, descriptions, mesures, photos, caractéristiques de produits,
dessins d'atelier, dessins de coordination et autres informations nécessaires à une définition
complète des éléments exigeant une interprétation.
a. Indiquer sur des croquis joints les dimensions, épaisseurs, références sur la grille de structure,
ainsi que les détails des matériaux, assemblages et fixations en cause.
D. Action de la part de l'Ingénieur : L'Ingénieur examine chaque DDR, décide de la suite à donner et
répond. Prévoir sept jours ouvrables comme délai de réponse de la part de l'Ingénieur pour chaque
DDR. Une DDR reçue par l'Ingénieur après 13 h est considérée comme ayant été reçue le jour
ouvrable suivant.
1. Les DDR suivantes, produites par l'Entrepreneur, seront renvoyées sans suite :
a. Demandes d'approbation d'éléments à soumettre.
b. Demandes d'approbation de substitutions.
c. Demandes d'approbation de moyens et méthodes utilisées par l'Entrepreneur.
d. Demandes d'informations sur la coordination qui sont déjà indiquées dans les documents
contractuels.
e. Demandes d'ajustements concernant le calendrier d'exécution ou le coût contractuels.
f. Demandes d'interprétation des actions de l'Ingénieur portant sur les éléments à soumettre.
g. DDR incomplètes ou DDR imprécises.
2. L'Ingénieur peut demander des informations complémentaires, auquel cas le délai de réponse de
l’Ingénieur débute au moment de la réception de ces informations.
3. Lorsque l'Entrepreneur estime que la réponse à une DDR entraîne un changement de calendrier
d'exécution ou de coût contractuels, il doit en avertir l'Ingénieur par écrit dans les 10 jours de la
réception de la réponse à la DDR.
E. Registre des DDR : Préparer, tenir à jour et soumettre un registre des DDR sous la forme d'un tableau
construit en se basant sur les numéros de DDR. Soumettre le registre toutes les semaines. Inclure les
éléments suivants :
1. Le nom du projet.
2. Le nom et l'adresse de l’Entrepreneur.
3. Le nom et l'adresse de l'Ingénieur.
4. Les numéros de DDR, y compris ceux des DDR renvoyées sans suite ou retirées.
5. La description de la DDR.
6. La date de soumission de la DDR.
7. La date de réception de la réponse de l'Ingénieur.
F. Sur réception de la suite donnée par l'Ingénieur, mettre à jour le registre des DDR et distribuer
immédiatement la réponse aux parties concernées. Lorsque, après examen, l'Entrepreneur n'est pas
d'accord avec la réponse, il doit en avertir l'Ingénieur sous sept jours.
A. Utiliser le site Web de projet de l'Ingénieur pour l'hébergement et la gestion des communications et de
la documentation dans le cadre du projet, jusqu'à ce qu'il soit terminé. Le site Web de projet doit remplir
les fonctions et contenir les éléments suivants :
1. Annuaire de projet.
2. Correspondance de projet.
3. Procès-verbaux de réunions.
4. Formulaires et registres de modifications au contrat.
5. Formulaires et registres de DDR.
6. Gestion des tâches et questions.
7. Documentation photographique.
8. Gestion du calendrier d'exécution.
9. Formulaires et registres d'éléments à soumettre.
10. Formulaires de demande de paiement.
11. Hébergement, visualisation et mise à jour des dessins et devis.
12. Collaboration en ligne sur l'élaboration des documents.
13. Aide-mémoire et suivi.
14. Archivage.
A. Généralités : Le Propriétaire programme et conduit des réunions et conférences sur le site du projet sauf
indications contraires.
1. Participants : Informer les participants et autres personnes concernées, ainsi que les individus dont
la présence est requise, sur la date et l'heure de chaque réunion.
2. Procès verbal : L'entité responsable de la conduite de la réunion enregistre les discussions et
décisions essentielles. Distribuer le procès-verbal de la réunion aux personnes concernées.
C. Conférences préalables à l'installation : Conduire une conférence préalable à l'installation sur le site du
projet avant chaque activité de construction nécessitant une coordination avec les autres travaux de
construction.
1. Participants : L'installateur, ainsi que les représentants des fabricants participant à, ou concernés
par, l'installation et la coordination ou l'intégration aux autres ouvrages et installations déjà réalisés
ou qui vont suivre, doivent assister à la réunion. Aviser l'Ingénieur, et l’Expert de la mise en service
du Propriétaire des dates des réunions prévues.
2. Ordre du jour : Examiner l'avancement des autres activités de construction et des travaux
préparatoires à l'activité particulière considérée, incluant les exigences relatives aux éléments
suivants :
a. Documents contractuels.
b. Options.
c. DDR connexes.
d. Ordres de changement connexes.
e. Achats.
f. Livraisons.
g. Éléments à soumettre.
h. Examen des maquettes.
i. Conflits possibles.
j. Exigences de compatibilité.
k. Calendriers d'exécution.
l. Limitations dues aux intempéries.
m. Directives écrites du fabricant.
n. Exigences de garantie.
o. Compatibilité des matériaux.
PARTIE 2 - PRODUITS
PARTIE 3 - EXÉCUTION
Nom de l’Entrepreneur :
Nom de l’Ingénieur :
DDR numéro :
Objet :
Numéro de Section du devis, ainsi que le titre et les paragraphes concernés, selon le cas :
Signature de l'Entrepreneur
CSSS de Laval - CSL Exigences générales Division 01
Aménagement de laboratoires de pathologie Section 01 33 00
Étape 2 : Construction Procédures pour les Page 1 de 14
No réf. (client) : 2014-005-AO 2016-085 éléments à soumettre Octobre 2016
No réf. (BPR) : 12412L Révision : 0
1.03 DÉFINITIONS..................................................................................................................................2
PARTIE 3 - EXÉCUTION.......................................................................................................... 10
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières, ainsi que les Sections de spécification de la Division 01.
1.02 SOMMAIRE
A. La Section présente les exigences concernant le calendrier de remise des éléments à soumettre, ainsi
que les exigences administratives et celles relatives aux procédures de soumission des dessins d'atelier,
données techniques sur les produits et autres éléments à soumettre.
1.03 DÉFINITIONS
A. Éléments à soumettre pour action : Informations sous forme écrite ou graphique et échantillons
physiques nécessitant une action de la part de l’Ingénieur. Les éléments à soumettre pour action sont
ceux indiqués dans les Sections individuelles du devis comme étant des « éléments à soumettre pour
action ».
B. Éléments à soumettre pour information : Informations sous forme écrite ou graphique et échantillons
physiques ne nécessitant aucune action de la part de l’Ingénieur. Les éléments à soumettre pour
information sont ceux indiqués dans les Sections individuelles du devis comme étant des « éléments à
soumettre pour information ».
C. Protocole de transfert de fichier (FTP) : Il s'agit d'un protocole de communication permettant un transfert
de fichiers entre ordinateurs par le biais d'un réseau et qui sert de base aux protocoles standards
Internet. Un site FTP est une partie de réseau située à l'extérieur des coupe-feu et dans laquelle les
utilisateurs internes et externes ont accès aux fichiers.
D. Format de document portable (PDF) : Il s'agit d'un format de fichier standard ouvert mis au point par
Adobe Systems, utilisé pour représenter des documents sous un format fixe, indépendant de
l'application ou de la plate-forme ainsi que de la résolution d'affichage.
A. Fichiers de données numériques de l’Ingénieur : Les fichiers de données numériques correspondant aux
dessins du contrat sont fournis par l’Ingénieur à l'Entrepreneur pour la préparation des éléments à
soumettre par ce dernier.
1. L’Ingénieur fournit à l'Entrepreneur un jeu de fichiers de données numériques relatifs aux dessins
du contrat pour la préparation des dessins d'atelier et des dessins conformes à l'exécution dans le
cadre du projet.
a. L’Ingénieur ne fait aucune représentation quant à l'exactitude ou à la complétude des fichiers
de données numériques relatifs aux dessins du contrat.
C. Durée de traitement : Déterminer la durée d'examen d'un élément à soumettre, incluant celle
correspondant au traitement d'un élément soumis à nouveau, de la manière suivante. La période
d'examen débute au moment de la réception de l'élément à soumettre par l’Ingénieur. Aucun
allongement du calendrier d'exécution ne sera autorisé lorsque les éléments à soumettre n'auront pas
été transmis suffisamment à l'avance par rapport au début des travaux pour en permettre le traitement,
incluant le traitement d'un élément soumis à nouveau.
1. Examen initial : Prévoir 15 jours pour l'examen initial de chaque élément à soumettre. Augmenter
cette durée lorsqu'une coordination avec les éléments à soumettre subséquents est nécessaire.
L’Ingénieur avise l'Entrepreneur lorsqu'un élément à soumettre en cours de traitement doit être
remis plus tard pour une question de coordination.
2. Examen intermédiaire : Traiter un élément à soumettre qui doit faire l'objet d'un examen
intermédiaire de la même façon que l'élément à soumettre initial.
3. Examen d'un élément à soumettre soumis à nouveau : Prévoir 15 jours pour l'examen de chaque
élément soumis à nouveau.
4. Examen séquentiel : Lorsqu'un examen séquentiel des éléments à soumettre par l’Ingénieur,
l’Architecte, le Propriétaire ou autres parties est indiqué, prévoir 21 jours pour l'examen initial de
chaque élément à soumettre.
D. Éléments à soumettre sous format papier : Identifier chaque élément à soumettre au moyen d'une
étiquette ou d'un cartouche.
1. Indiquer sur l'étiquette ou sur le cartouche le nom de la firme ou de l'entité ayant préparé chacun
des éléments à soumettre.
2. Prévoir un espace d'environ 150 par 200 mm (6 par 8 pouces) sur l'étiquette ou à côté du
cartouche pour enregistrer l'examen par l'Entrepreneur et consigner les notes d’examen ainsi que
les mesures prises par l’Ingénieur.
3. Indiquer les informations suivantes pour le traitement et l'enregistrement des mesures prises :
a. Le nom du projet.
b. La date.
c. Le nom de l’Ingénieur.
d. Le nom du Gérant de construction.
e. Le nom de l’Entrepreneur.
f. Le nom du sous-traitant.
g. Le nom du fournisseur.
h. Le nom du fabricant.
i. Numéro ou autre identificateur unique d'élément à soumettre, incluant l'identificateur de
révision.
1) Le numéro d'élément à soumettre doit comprendre le numéro de Section du devis suivi
d'un point décimal et d'un numéro séquentiel (par ex. 061000.01). Les éléments soumis à
nouveau doivent avoir un numéro comprenant une lettre comme suffixe à la suite d'un
autre point décimal (par ex. 061000.01.A).
j. Numéro et titre de la Section appropriée du devis.
k. Le numéro de dessin et le détail de référence, selon le cas.
l. L'endroit (les endroits) où le produit doit être installé.
m. Toute autre identification nécessaire.
4. Transmission des éléments à soumettre sous format papier : Constituer chaque élément à
soumettre de manière individuelle et appropriée en vue de la transmission et de la manipulation.
Transmettre chaque élément à soumettre à l'aide d'un formulaire de transmission. L’Ingénieur
mettra au rebut les éléments à soumettre reçus de sources autres que l'Entrepreneur.
a. Formulaire de transmission des éléments à soumettre sous format papier : Utiliser une copie
du spécimen de formulaire inclus en annexe à cette Section ou préparer et utiliser un
formulaire de transmission en y prévoyant des endroits pour indiquer les renseignements
suivants :
1) Le nom du projet.
2) Le numéro du projet.
3) La date.
4) Les destinataires.
5) L'expéditeur.
6) Le nom et l’adresse de l’Ingénieur.
E. Éléments à soumettre sous forme électronique : Définir et insérer les informations dans chaque fichier
électronique d'élément à soumettre de la manière suivante :
1. Réunir le lot complet d'éléments à soumettre en un seul fichier indexé contenant les exigences
relatives aux éléments à soumettre d'une seule Section du devis et le formulaire de transmission
avec des liens permettant une navigation vers chaque élément.
2. Nommer le fichier d'après le numéro ou autre identificateur unique d'élément à soumettre, incluant
l'identificateur de révision.
a. Le nom du fichier doit comprendre l'identificateur du projet et le numéro de Section du devis
suivi d'un point décimal et d'un numéro séquentiel (par ex. LNHS-061000.01). Les éléments
soumis à nouveau doivent avoir un numéro comprenant une lettre comme suffixe à la suite
d'un autre point décimal (par ex. LNHS-061000.01.A).
3. Formulaire de transmission des éléments à soumettre sous forme électronique : Utiliser un
formulaire produit à l'aide d'un logiciel de gestion du projet ou un formulaire sous forme
électronique acceptable par l’Ingénieur, comprenant les renseignements suivants :
a. Le nom du projet.
b. La date.
c. Le nom et l’adresse de l’Ingénieur.
d. Le nom du Gérant de construction.
e. Le nom de l’Entrepreneur.
f. Le nom de la firme ou de l'entité ayant préparé l'élément à soumettre.
g. Les noms du sous-traitant, du fabricant et du fournisseur.
G. Écarts et renseignements complémentaires : Sur une feuille jointe séparée, préparée sur une lettre à en-
tête de l'Entrepreneur, inscrire les informations pertinentes, les demandes de données, de révisions
autres que celles demandées par l’Ingénieur sur les éléments à soumettre précédents, ainsi que les
écarts par rapport aux exigences des documents contractuels, incluant les modifications et limitations
mineures. Indiquer les mêmes éléments d'identification que pour l'élément à soumettre concerné.
H. Éléments soumis à nouveau : Lorsqu'un élément est soumis à nouveau, utiliser le même format et le
même nombre de copies que pour l'élément à soumettre initial.
1. Noter la date et le contenu de l'élément à soumettre précédent.
2. Noter la date et l'objet de la révision sur l'étiquette ou sur le cartouche et indiquer clairement la
teneur de la révision.
3. Resoumettre un élément jusqu'à ce qu'il soit revêtu du sceau d’examen de la part de l’Ingénieur.
I. Distribution : Fournir des copies des éléments à soumettre finaux aux fabricants, sous-traitants,
fournisseurs, installateurs, autorités compétentes et autres parties concernées par les activités de
construction. Indiquer la distribution sur les formulaires de transmission.
J. Usage pour construction : Conserver des copies complètes des éléments à soumettre sur le site du
projet. Utiliser uniquement les éléments à soumettre finaux qui sont revêtus du sceau d’examen de la
part de l’Ingénieur.
PARTIE 2 - PRODUITS
A. Exigences générales relatives aux procédures concernant les éléments à soumettre : Préparer et
soumettre les éléments exigés dans les Sections individuelles du devis. Les types d'éléments à
soumettre sont indiqués dans les Sections individuelles du devis.
E. Données techniques sur les produits : Rassembler les informations en un seul élément à soumettre pour
chaque élément de construction et type de produit ou d'équipement.
1. Lorsque les données standards publiées ne peuvent pas être utilisées et que les informations
doivent être spécialement préparées pour les besoins de l'élément à soumettre, soumettre sous
forme de dessins d'atelier et non de données sur les produits.
2. Marquer chaque copie de chacun des éléments à soumettre en indiquant quels sont les produits et
options qui s'appliquent.
3. Inclure les informations suivantes, le cas échéant :
a. Extraits de catalogue de fabricant.
b. Spécifications des produits du fabricant.
c. Tableaux de couleurs standards.
d. Conformité aux normes de référence spécifiées.
e. Essais par un organisme d'essais reconnu.
F. Dessins d’atelier : Préparer les informations particulières au projet en les représentant à l'échelle et
avec précision. Ne pas élaborer les dessins d'atelier en reproduisant les documents contractuels ou les
données imprimées standards, à moins qu'il ne soit permis par ailleurs de produire des éléments à
soumettre basés sur les fichiers de dessins numériques de l’Ingénieur.
1. Préparation : Illustrer complètement les exigences figurant dans les documents contractuels.
Inclure les informations suivantes, le cas échéant :
a. Identification des produits.
b. Bordereaux.
c. Conformité aux normes spécifiées.
d. Mention des exigences de coordination.
e. Mention des dimensions obtenues par mesurage au chantier.
f. Relations avec et fixation à l'installation adjacente clairement indiquées.
g. Sceau et signature de l'ingénieur professionnel, lorsque spécifié.
2. Dimensions de feuille : À l'exception des gabarits, modèles et dessins similaires en vraie grandeur,
soumettre les dessins d'atelier sur des feuilles d'au moins 215 par 280 mm (8 1/2 par 11 pouces),
mais sans dépasser 915 par 1220 mm (36 par 48 pouces).
3. Soumettre les dessins d'atelier sous le format suivant :
a. Documents dont les dimensions de la version papier n’excèdent pas celle du format de feuille
280 par 430 mm (11 par 17 pouces) :
1) Fichier électronique PDF ou format papier.
b. Documents dont les dimensions de la version papier excèdent celle du format de feuille 280
par 430 mm (11 par 17 pouces) :
1) Trois copies opaques de chaque élément à soumettre. L’Ingénieur conserve une copie;
les autres sont retournées.
G. Échantillons : Soumettre des échantillons pour examen du type, de la couleur, du motif et de la texture; il
s'agit de vérifier ces caractéristiques du composant réel, livré et installé, ainsi que les autres éléments,
et de les comparer avec celles figurant dans l'élément à soumettre.
1. Transmettre les échantillons comprenant des composants multiples et reliés, comme des
accessoires, en un seul lot d'élément à soumettre.
2. Identification : Sur le côté non apparent des échantillons, apposer une étiquette indiquant ce qui
suit :
a. Description générique de l'échantillon.
b. Nom du produit et nom du fabricant.
c. Source de l'échantillon.
d. Numéro et titre de la Section du devis qui s'applique.
e. Numéro de paragraphe du devis et nom générique de chacun des articles.
I. Demande de paiement et bordereau des montants des coûts : Se conformer aux exigences prescrites
dans les Sections 01 29 00 - Procédures de paiement et 01 29 00.03 – Procédures de paiement –
exigences complémentaires.
J. Rapports d’inspection et d’essais et bordereau des éléments à soumettre sur les inspections et essais :
Se conformer aux exigences prescrites dans la Section 01 78 00 – Éléments à soumettre à
l’achèvement des travaux.
K. Éléments à soumettre à l’achèvement des travaux et éléments à soumettre sur l'entretien : Se conformer
aux exigences prescrites dans la Section 01 78 00 – Éléments à soumettre à l’achèvement des travaux.
L. Données sur la qualification : Préparer des informations écrites montrant les capacités et l'expérience de
la firme ou de la personne. Inclure la liste des projets réalisés, en indiquant les noms et les adresses des
lieux de ces derniers, les coordonnées des consultants et propriétaires, ainsi que les autres
renseignements spécifiés.
M. Certificats en soudage : Certifier par écrit que les modes opératoires de soudage et le personnel affecté
au soudage satisfont aux exigences des documents contractuels. Soumettre les documents exigés par
les autorités de juridiction. Indiquer les noms des firmes et des personnes certifiées.
N. Certificats d'installateur : Certifier par écrit, sur une lettre à en-tête du fabricant, que l'installateur satisfait
aux exigences des documents contractuels et, lorsque nécessaire, qu'il est autorisé par le fabricant à
participer à ce projet en particulier.
O. Certificats de fabricant : Certifier par écrit, sur une lettre à en-tête du fabricant, que le fabricant satisfait
aux exigences des documents contractuels. Fournir une preuve de l'expérience du fabricant, lorsque
nécessaire.
P. Certificats de produits : Certifier par écrit, sur une lettre à en-tête du fabricant, que les produits satisfont
aux exigences des documents contractuels.
Q. Certificats de matériaux : Certifier par écrit, sur une lettre à en-tête du fabricant, que les matériaux
satisfont aux exigences des documents contractuels.
R. Rapports d’essais de matériaux : Soumettre des rapports écrits par un organisme d’essais habilité, sur
des formulaires standards de ce dernier, indiquant et interprétant les résultats d'essais de matériaux
pour vérification de conformité aux exigences des documents contractuels.
S. Rapports d’essais de produits : Soumettre des rapports écrits indiquant que les produits actuels
provenant du fabricant satisfont aux exigences des documents contractuels. Établir les rapports en
tenant compte des essais réalisés par le fabricant sous la surveillance d'un organisme d’essais habilité
ou des essais réalisés entièrement par un organisme d’essais habilité.
T. Rapports de recherche : Soumettre une preuve écrite, provenant d'un organisme de rédaction de codes
modèles et agréé par les autorités de juridiction, montrant que le produit est conforme au code du
bâtiment utilisé dans le cadre du projet. Inclure les renseignements suivants :
1. Nom de l'organisme d'évaluation.
2. Date d’évaluation.
3. Période de validité du rapport.
4. Noms du produit et du fabricant.
5. Description du produit.
6. Méthodes d'essai et résultats.
7. Limites d'utilisation.
U. Rapports d’essais préalables à la construction : Soumettre des rapports écrits par un organisme d’essais
habilité, sur des formulaires standards de ce dernier, indiquant et interprétant les résultats des essais
effectués avant l'installation du produit, pour vérification de conformité aux exigences des documents
contractuels.
V. Rapports d’essais de compatibilité : Soumettre des rapports écrits par un organisme d’essais habilité,
sur des formulaires standards de ce dernier, indiquant et interprétant les résultats d'essais de
compatibilité effectués avant installation du produit. Inclure des recommandations écrites sur les apprêts
et la préparation du substrat nécessaires à une bonne adhérence.
W. Rapports d’essais au chantier : Soumettre des rapports écrits indiquant et interprétant les résultats des
essais effectués au chantier soit durant l'installation du produit, soit une fois le produit installé à son
emplacement définitif, pour vérification de la conformité aux exigences des documents contractuels.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
A. Éléments à soumettre pour action et pour information : Examiner chaque élément à soumettre et vérifier
s'il est coordonné avec les autres travaux dans le cadre du contrat et s'il y a conformité aux documents
contractuels. Noter les corrections et les dimensions relevées au chantier. Apposer le sceau
d'approbation avant soumission à l’Ingénieur.
B. Sceau d'approbation : Tamponner chacun des éléments à soumettre d'un sceau d'approbation uniforme.
Indiquer le nom et l'emplacement du projet, le numéro d'élément à soumettre, le titre et le numéro de la
Section du devis, le nom de l'examinateur, la date d'approbation par l'Entrepreneur et certifier par écrit
que l'élément à soumettre a été examiné, vérifié et approuvé en conformité avec les documents
contractuels.
A. La revue des dessins par l'Ingénieur est générale et n'a pour but que de rendre service à l’Entrepreneur.
Ceci ne dispense pas l’Entrepreneur de la responsabilité qu'il a de vérifier les dessins lui-même et ne le
relève pas de sa responsabilité quant aux erreurs qu'il aurait commises ou quant aux modifications des
plans et devis de l'Ingénieur qu'il n'aura pas signalées par écrit à l'Ingénieur.
B. De plus, cette revue est faite à la seule fin de s’assurer de l’exactitude de l’arrangement général de
conception. Cette revue ne signifie pas que l’Ingénieur approuve les plans et détails inhérents aux
dessins d’atelier. Cette responsabilité demeure celle de l’Entrepreneur qui soumet ses dessins et une
telle revue ne libère pas l’Entrepreneur de sa responsabilité pour les erreurs et les omissions sur les
dessins d’atelier, ni de sa responsabilité de rencontrer toutes les exigences des documents du contrat.
L’Entrepreneur est également responsable des dimensions qui doivent être validées et certifiées sur le
chantier.
C. Les commentaires ou corrections apposés sur ces dessins ne dégagent en rien l'Entrepreneur de son
obligation à se conformer à toutes les exigences contractuelles ni ne constituent une caution ou
approbation quelconque dans le cas où une dérogation à ces exigences serait présente.
A. Éléments à soumettre pour action : L’Ingénieur examine chaque élément à soumettre, marque les
corrections ou révisions exigées et le retourne. L’ingénieur tamponne chacun des éléments à
soumettre d'un sceau d'intervention approprié indiquant l’intervention, selon les indications suivantes :
1. Pas de commentaires, commencer fabrication/installation.
2. Commencer fabrication selon annotations.
3. Commencer fabrication selon annotations mais soumettre à nouveau les dessins corrigés.
4. Voir commentaires ou instructions spéciales.
5. Refusé, soumettre à nouveau avant fabrication.
6. Annuler.
7. Émettre dessins certifiés.
B. Éléments à soumettre pour information : L’Ingénieur examine chaque élément à soumettre sans le
retourner, ou le retourne s'il ne satisfait pas aux exigences. L’Ingénieur remet chaque élément à
soumettre à la partie concernée.
C. Les éléments à soumettre partiels préparés pour une partie des travaux sont examinés lorsque leur
utilisation a été approuvée au préalable par l’Ingénieur.
D. Tout élément à soumettre incomplet est inacceptable et considéré comme non conforme; il sera
retourné sans examen pour nouvelle soumission.
E. Les éléments à soumettre non exigés selon les documents contractuels peuvent être retournés par
l’Ingénieur sans suite donnée.
Projet
Entrepreneur spécialisé
Corps de métier : Inscrire le nom du corps de métier, ex. : Plomberie, Protection contre l’incendie, Tuyauterie, Électricité
Intervenants
Laval, le
Monsieur
BPR
2500, boulevard Daniel-Johnson
Bureau 810
Laval (Québec) H7T 2P6
Nom du projet :
Monsieur,
Nous reconnaissons que les fichiers informatiques Autocad en question nous sont prêtés gratuitement
pour notre usage seulement, et nous nous engageons à ne pas les diffuser.
Nous convenons de plus, que nous ne tiendrons pas responsable BPR advenant que les fichiers
informatiques Autocad en question comportent certaines imprécisions ou erreurs (mécanique,
électricité, structure ou architecture si applicable), et nous nous engageons à vérifier l’exactitude des
informations qui y sont contenues comme si nous avions réalisé la totalité de ces dessins nous-mêmes.
Signature
Adresse
Téléphone Télécopieur
Courriel
CSSS de Laval - CSL Exigences générales Division 01
Aménagement de laboratoires de pathologie Section 01 37 00
Étape 2 : Construction Prérogative de l’Ingénieur Page 1 de 4
No réf. (client) : 2014-005-AO 2016-085 durant la construction Octobre 2016
No réf. (BPR) : 12412L Révision : 0
1.01 OBJET...........................................................................................................................................2
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 4
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
1.01 OBJET
A. Cette section décrit, pour l'information de l'Entrepreneur, l'objet, la nature et l'étendue des services qui
seront fournis par l'Ingénieur au cours de la période de construction, dans le cadre de son mandat, afin
que l’Entrepreneur planifie ses travaux en conséquence.
B. Les services dont il est question dans cette section seront exécutés par l'Ingénieur ou son représentant,
pour le compte du propriétaire, soit à partir du bureau de l'Ingénieur, directement sur le chantier ou en
usine.
C. Cette section énumère les tâches incluses au mandat de l'Ingénieur, de même que celles normalement
exclues du mandat de l'Ingénieur tel qu'octroyé par le Propriétaire à l'Ingénieur.
A. Le mandat de l'Ingénieur durant les travaux a pour objectif fondamental de s'assurer que d'une façon
générale le progrès des travaux, leur exécution, la qualité des matériaux et de la main d’œuvre
respectent les exigences des documents contractuels, le tout sans assumer quelque responsabilité que
ce soit envers l'Entrepreneur, ce dernier demeurant seul responsable de la complète exécution des
travaux conformément à son contrat.
B. Au chapitre des méthodes de travail et des ouvrages temporaires, ceux-ci relèvent à tous égards de la
seule responsabilité de l’Entrepreneur qui doit engager ses propres experts, le cas échéant.
C. Sur requête de l’Ingénieur, l’Entrepreneur doit informer l’Ingénieur sur l’un ou l’autre des aspects de ces
méthodes ou ouvrages temporaires, mais d’aucune façon, une telle transmission d’information ne peut
être considérée comme une approbation, une caution ou une permission quelconque, dégageant de
quelque manière l’Entrepreneur de ses responsabilités contractuelles.
1. Le cas échéant, le suivi de l'Ingénieur durant l’exécution des travaux permet d'ajuster les plans,
devis ou prescriptions contractuelles à de nouvelles demandes du Propriétaire ou à des réalités
non anticipées lors de la conception.
B. La présence de l'Ingénieur ou de son représentant aux réunions de chantier lorsque cela est pertinent.
D. Le contrôle des dessins d'atelier afin de constater la conformité générale de l'ouvrage et la revue des
dessins d'atelier révisés lorsque des corrections ont été demandées lors de la première soumission.
F. Une (1) analyse de demande d'équivalence par produit spécifié et une (1) recommandation à cet égard
au Propriétaire.
G. Une (1) analyse et une (1) recommandation relativement à chacune des demandes de changement ou
réclamations de l'Entrepreneur.
I. La rédaction d'une (1) liste de déficience et une (1) vérification de la correction complète de tous les
items de cette liste.
A. L'Entrepreneur doit pleinement collaborer avec l'Ingénieur lors des opérations de vérification, lui faciliter
en tout temps l'accès au chantier et aux ouvrages, et l'avertir aux moments opportuns pour que les
ouvrages soient inspectés tandis qu'une telle inspection est possible.
B. L’Entrepreneur s’engage à défrayer à titre de dédommagements tous les honoraires et frais encourus
par l’Ingénieur pour tout travail supplémentaire effectué par ce dernier suite à la faute, l’incapacité ou la
négligence de l’Entrepreneur, ou l’un de ses sous-traitants, par action ou par omission, à s’acquitter de
ses obligations contractuelles relativement au projet. Ces frais incluent le temps et les dépenses de
déplacement, subsistance, impression, etc. L’Ingénieur sera payé à même des sommes retenues par le
Propriétaire sur des paiements dus à l’Entrepreneur ou directement par l’Entrepreneur le cas échéant.
PARTIE 2 - PRODUITS
PARTIE 3 - EXÉCUTION
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 4
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières.
1.02 SOMMAIRE
B. Tous les appareils sous pression doivent être construits et installés conformément aux normes applicables
du CSA, de l'ASME et l'ASTM et de toute autre norme provinciale adoptée comme norme minimale.
C. Respecter les bulletins du CSA touchant l'électricité, en vigueur; bien que non désignés par un numéro
dans la présente Division, ils doivent être considérés comme partie intégrante du Code Canadien de
l’électricité ou du Code d’Électricité du Québec.
D. Les exigences applicables des normes indiquées sur les dessins et dans les devis ne doivent jamais être
réduites sous prétexte que les règlements provinciaux et locaux sont moins rigoureux. Lorsqu'il y a
contradiction entre les plans, les règlements ou les codes, la prescription la plus restrictive s’applique.
L'ingénieur se réserve le droit d'interpréter ses plans et devis.
E. Lorsque le devis fait référence à une norme, l’édition la plus récente avant la date du début des travaux
s’applique. Se procurer les éditions en vigueur des codes et normes applicables.
F. Tout l’équipement et les ouvrages ainsi que les essais et l’assurance qualité, doivent être conformes aux
normes et codes applicables des associations suivantes :
A. Tous les appareils et équipements installés doivent porter le sceau des différents organismes de
normalisation et d’approbation qui régissent ces équipements dont entre autres, les sceaux de la CSA,
de l’ULC et de la FM.
B. Dans le cas où il n'existe pas d'autre choix que de fournir de l'équipement non homologué, obtenir, avant
la mise en opération de l’équipement, l'approbation spécifique d’un organisme d'inspection reconnu et
en assumer les frais.
A. Payer tous les permis et taxes exigés par les autorités et se conformer aux codes et règlements en
vigueur (dernière édition).
B. Effectuer la demande de permis de construction et la demande de permis de coupe de rue (si requise).
Payer tous les frais relatifs à ces demandes de permis.
C. Effectuer toute autre demande de permis requise aux travaux et en assumer les frais.
A. Faire approuver tous les plans requis par les services d'inspection avant le début des travaux et payer
tous les frais connexes.
B. S’assurer que les travaux soient inspectés au cours de la construction et obtenir des autorités
compétentes les certificats d'approbation lorsque les ouvrages sont complétés et que les systèmes ont
été vérifiés et mis en marche conformément aux instructions de l'Architecte et de l’Ingénieur.
C. Fournir, avant l'émission des certificats de paiement définitifs, tous les certificats d'inspection
nécessaires, à titre de preuve que les installations mécaniques et électriques ont été exécutées
conformément aux lois et règlements de toutes les autorités.
PARTIE 2 - PRODUITS
PARTIE 3 - EXÉCUTION
1.03 ABRÉVIATIONS...............................................................................................................................2
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 5
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières.
1.02 SOMMAIRE
1.03 ABRÉVIATIONS
A. Les mots, phrases et abréviations qui ont une signification technique bien connue auront cette même
signification, entre autres :
V: Volt
W: Watt
W-h: Wattheure
kW kilowatt
kW-h : Kilowattheure
HP ou Hp : horse-power
kVA : kilovolt-ampère
f: fil conducteur
EMT : conduit rigide à paroi mince
PVC : conduit en chlorure de polyvinyle
C: conduit
std : standard
btu : unité thermique anglaise
pcm : pied cube par minute
ppm : pied par minute
H.C. : hors-contrat
CSA: Canadian Standard Association
ACNOR: Association Canadienne de Normalisation
ULC : Underwriter's Laboratories of Canada
CCE : Code Canadien de l'électricité
CEQ : Code de l’électricité du Québec
BNQ : Bureau de Normalisation du Québec
ASTM : American Society for Testing and Materials
A.P.I. : American Petroleum Institute
M.S.S. : Manufacturer’s Standardization Society
C.G.S.B. : Canadian Government Specifications Board
S.N.A. : Standard National Association
A.M.C.A. : Air moving and Conditioning Association
C.G.A. : Canadian Gas Association
A.G.A. : American Gas Association
C.E.M.A. : Canadian Electrical Manufacturers Association
A.S.H.R.A.E. : American Society of Heating Refrigerating and Air Conditioning
Engineers
A.S.P.E.: American Society of Plumbing Engineers
A.W.W.A. : American Water Works Association
A.C.I. : Alloy Casting Institute
A.I.S.I. : American Iron & Steel Institute
I.A.O. : Insurers Advisory Organization of Canada
C.C.A. : Canadian Construction Association
A.C.C. : Association canadienne de la construction
I.E.E.E. : Institute of Electrical and Electronics Engineers
I.E.S.N.A. : Illuminating Engineering Society of North America
F.M. : Factory Mutual
A.F.I. : Air Filter Institute
Institut de la filtration d’air
D.B.I.U. : Dominion Board of Insurance Underwriters
I.B.R. : Institute of Boiler and Radiator Manufacturers
A. Le tableau suivant indique les dimensions nominales équivalentes utilisées dans le présent document.
DIMENSIONS NOMINALES *
po mm mm*** po mm po mm
1/8 5 11 275 44 1100
1/4 8 12 300 45 1125
3/8 10 12 13 325 46 1150
1/2 15 16 14 350 47 1175
5/8** 18** 15 375 48 1200
3/4 20 21 16 400 49 1225
7/8** 23** 17 425 50 1250
1 25 27 18 450 51 1275
1-1/8** 28** 19 475 52 1300
1-1/4 32 35 20 500 53 1325
1-3/8** 35** 21 525 54 1350
1-1/2 40 41 22 550 55 1375
1-5/8** 42** 23 575 56 1400
1-3/4 45 24 600 57 1425
2 50 53 25 625 58 1450
2-1/8** 52** 26 650 59 1475
2-1/4 60 27 675 60 1500
2-1/2 65 63 28 700 72 1800
2-5/8** 68** 29 725 84 2100
2-3/4 70 30 750 96 2400
3 75 78 31 775 108 2700
3-1/8** 82** 32 800 120 3000
3-1/2 90 91 33 825 132 3300
3-5/8** 92** 34 850 144 3600
4 100 103 35 875 156 3900
4-1/8** 102** 36 900 168 4200
4-1/2 116 37 925 180 4500
5 125 129 38 950
6 150 155 39 975
7 175 40 1000
DIMENSIONS NOMINALES *
po mm mm*** po mm po mm
8 200 41 1025
9 225 42 1050
10 250 43 1075
PARTIE 2 - PRODUITS
PARTIE 3 - EXÉCUTION
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 4
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières.
1.02 SOMMAIRE
A. Cette Section présente les exigences concernant les installations temporaires, les installations de
soutien, ainsi que de sécurité et de protection.
1.03 RÉFÉRENCES
A. ASTM International
1. ASTM E 84-07 : Standard Test Method for Surface Burning Characteristics of Building Materials
A. Généralités : L'installation et l'enlèvement, ainsi que les frais d'utilisation des installations temporaires
doivent être compris dans le coût contractuel sauf indications contraires. Autoriser les autres entités à
utiliser les services et installations temporaires sans frais, dont notamment, sans que la liste soit
limitative, le personnel du Propriétaire affecté à la construction, l’Ingénieur, l'Architecte, les occupants du
site du projet, les organismes d’essais et les autorités de juridiction.
B. Services d'eau et d'égout à partir du système existant : Le système d'alimentation en eau existant du
Propriétaire est utilisable sans compteur et sans frais. Fournir les raccordements au système et les
compléments d'installation nécessaires aux activités de construction.
A. Programme de protection contre l’incendie : Indiquer la conformité aux exigences du CNPI et des
autorités de juridiction. Indiquer le personnel de l'Entrepreneur responsable de la gestion du programme
de protection contre l'incendie.
B. Plan de lutte contre la poussière et CVCA : Soumettre un dessin de coordination et un texte décrivant
les mesures prises pour lutter contre la poussière et l'utilisation du système de CVCA à cet effet, les
endroits proposés et le calendrier de leur mise en application. Rechercher des options supplémentaires
lorsque les mesures proposées se montrent par la suite inadéquates. Inclure les éléments suivants :
1. Emplacements des cloisons servant à lutter contre la poussière durant chaque phase des travaux.
2. Schéma d'isolation du système de CVCA.
3. Emplacement du refoulement du système de filtration d'air.
4. Procédures de manutention des déchets.
5. Autres mesures de lutte contre la poussière.
A. Service d'électricité : Se conformer aux normes et règlements NECA, NEMA et UL en ce qui a trait au
service d'électricité temporaire. Réaliser l'installation en conformité au Code de construction du Québec,
chapitre V - Électricité.
B. Essais et inspections : Prendre les dispositions nécessaires pour que les autorités de juridiction
effectuent les essais et l'inspection de chaque installation temporaire avant utilisation. Obtenir les
certificats et permis exigés.
PARTIE 2 - PRODUITS
A. Feuille de polyéthylène : Feuille renforcée, résistante au feu, de 0,25 mm (10 mils) d'épaisseur minimale,
avec indice de propagation de la flamme inférieur ou égal à 15 selon ASTM E 84 et satisfaisant aux
exigences d'essai selon NFPA 701 Test Method 2.
B. Essuie-pieds à surface adhésive anti-poussière : Fournir des essuie-pieds d'un minimum de 914 par
1 624 mm (36 par 60 pouces).
2.02 ÉQUIPEMENTS
A. Extincteurs : Portables, conçus selon ULC; classe et agent extincteur exigés selon les endroits et les
classes d'exposition au feu.
B. Équipements de CVCA : À moins que le Propriétaire permette d'utiliser le système permanent de CVCA,
fournir des appareils de chauffage avec évacuation, autonomes, à gaz de propane liquide ou à mazout,
ainsi que des commandes thermostatiques individuelles dans les locaux.
1. Il est interdit d'utiliser des poêles à essence, des appareils de chauffage à flamme nue ou de type
salamandre.
2. Appareils de chauffage : Enregistrés et marqués selon le type de combustible consommé, par un
organisme d'essais agréé et acceptable par les autorités de juridiction, et marqués selon
l'emplacement et l'application prévus.
C. Unités de filtration d’air : Unités portables équipées de filtres primaire et secondaire à haute efficacité
(HEPA) comportant quatre étages de filtration. Prévoir un interrupteur simple pour arrêt d’urgence.
Concevoir les unités pour un fonctionnement continu.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
A. Disposer les installations de sorte qu’elles répondent adéquatement aux besoins du projet tout en
gênant le moins possible le déroulement des travaux. Déplacer et modifier les installations en fonction
de l’avancement des travaux.
B. Fournir des installations prêtes à utiliser lorsque nécessaire, afin d’éviter tout retard. Ne les enlever que
lorsqu’elles ne sont plus nécessaires ou lorsqu’elles ont été remplacées suite à une autorisation
d’utilisation des installations permanentes.
A. Service d’eau : Se raccorder aux installations existantes de service d’eau du Propriétaire. Nettoyer les
installations et les maintenir dans un état acceptable par le Propriétaire. Lors de l’achèvement
substantiel, remettre ces installations dans leur état initial avant utilisation.
C. Isolement des zones de travail dans des locaux occupés : Empêcher la poussière, les fumées et les
odeurs d’entrer dans les zones occupées.
1. Avant le début des travaux, isoler le système de CVCA dans la zone où l’on doit réaliser les travaux
selon les dessins de coordination.
a. Dans la zone des travaux, débrancher les gaines d’alimentation et de retour des systèmes de
CVCA desservant les zones occupées.
b. Maintenir une pression d’air négative dans la zone des travaux, à l’aide d’unités de filtration
d’air équipées de filtres à haute efficacité (HEPA), depuis le début de la construction des
cloisons temporaires jusqu’à leur enlèvement.
2. Conserver en place les cloisons anti-poussière durant les travaux. Installer des dispositifs de
collecte sous vide sur les équipements produisant de la poussière. Lorsque les travaux dans une
zone occupée sont limités, utiliser des dispositifs de rétention de la poussière portables.
3. Lors des travaux de construction, effectuer un nettoyage quotidien, puis un nettoyage final à l’aide
d’équipements sous vide munis de filtres à haute efficacité (HEPA).
D. Ventilation et régulation du taux d’humidité : Fournir la ventilation temporaire nécessaire aux activités de
construction, pour la conservation ou le séchage des installations terminées ou la protection d’un
ouvrage installé contre les effets nuisibles d’une humidité trop élevée. Sélectionner des équipements
sans danger pour les installations terminées ou les éléments en cours d’installation. Coordonner les
exigences en matière de ventilation afin d’obtenir les conditions ambiantes voulues tout en minimisant la
consommation d’énergie.
1. Le cas échéant, fournir des systèmes de déshumidification afin de réduire l’humidité sur les
substrats à un degré convenant à l’installation ou à l’application des finis.
F. Éclairage : Fournir un éclairage temporaire en installant des interrupteurs locaux de manière à obtenir
un éclairement adéquat pour les activités de construction, les observations, les inspections et la
circulation.
1. Installer et utiliser un système d’éclairage temporaire qui satisfait aux exigences de sécurité et de
protection sans avoir à faire fonctionner le système complet.
2. Installer un éclairage des panneaux indicateurs dans le cadre du projet.
G. Gaz médicaux : Fournir la main d’œuvre, les équipements, les bonbonnes et gaz médicaux requis dans
l’hôpital pour le maintien des services aux patients pendant les arrêts de service sur les réseaux d’air
médical et d’oxygène. Le nombre de stations d’alimentation à prévoir défini par le CSSS de Laval est de
11 pour le réseau d’oxygène et de 13 pour le réseau d’air médical. La supervision des installations
temporaires des bonbonnes et équipements sur les différents emplacements à l’intérieur de l’hôpital doit
être faite par l’entrepreneur. Ce dernier doit coordonner avec les responsables de l’hôpital
l’emplacement des stations d’alimentation, la quantité et les emplacements pour connecter ces stations
sur les réseaux existants. L’entrepreneur devra définir les besoins finaux et coordonner le tout avec les
responsables de l’hôpital.
H. Le nombre de cylindres, de régulateurs et de chariots requis pour transporter les cylindres pendant
l’arrêt de service est de :
1. 50 cylindres d’oxygène;
B. Stationnement : Utiliser les zones désignées des terrains de stationnement existants du Propriétaire
pour les besoins du personnel de construction.
D. Installations d’élimination des déchets : Fournir des contenants de dimensions suffisantes pour recevoir
les déchets provenant des activités de construction. Satisfaire aux exigences des autorités de juridiction.
Satisfaire aux exigences de nettoyage durant les travaux.
E. Appareils de levage et palans : Fournir les équipements nécessaires au levage des matériaux et du
personnel.
1. Les grues sur camion et les engins similaires, utilisés pour lever les matériaux, sont considérés
comme des « outils et équipements » et non comme des installations temporaires.
a. Tous les travaux de levage qui nécessitent l’utilisation d’une grue, doivent être planifiés avec
le Propriétaire et la municipalité.
2. Les méthodes retenues par l’Entrepreneur, pour effectuer le levage et la mise en place de
l’équipement, sont sous son entière responsabilité.
a. Les méthodes de levage ne doivent pas utiliser la structure du bâtiment.
F. Utilisation d’un ascenseur temporaire : L’utilisation des ascenseurs n’est pas permise .
G. Escaliers temporaires : En attendant que les escaliers permanents soient utilisables, fournir des
escaliers temporaires, là où les échelles ne conviennent pas.
H. Utilisation temporaire des escaliers permanents : Il est permis d’utiliser les escaliers neufs durant la
construction, à condition qu’ils soient protégés et qu’ils soient remis à neuf (finition) au moment de
l’achèvement substantiel.
A. Protection des installations existantes : Protéger la végétation existante, les équipements, structures,
installations et autres améliorations sur le site du projet et les propriétés adjacentes, à l’exception de
ceux indiqués comme devant être enlevés ou modifiés. Réparer les dommages aux installations
existantes.
B. Enceinte de sécurité et zone fermée : Installer une enceinte temporaire autour des zones de
construction partiellement terminées. Prévoir des entrées pouvant être fermées à clé afin d’empêcher
toute entrée non autorisée, le vandalisme, le vol et les actes similaires de violation de la sécurité.
Fermer les entrées à clé à la fin de la journée de travail.
C. Barricades, signes de mise en garde et feux : Satisfaire aux exigences des autorités de juridiction et
portant sur l’installation de barricades ayant une résistance structurale adéquate, incluant les signes et
les feux de mise en garde.
D. Moyens d’évacuation temporaires : Mettre en place des moyens d’évacuer temporairement les
installations occupées existantes selon les indications et conformément aux exigences des autorités de
juridiction.
E. Cloisons temporaires : Installer des cloisons anti-poussière du plancher au plafond, afin de limiter la
propagation de la poussière et de la saleté et pour mettre à l’abri les zones occupées par le Propriétaire
et les locataires des fumées et du bruit.
1. Construire des cloisons anti-poussière à l’aide de panneaux en carton-plâtre avec rubans sur joints
du côté occupé et du contreplaqué traité ignifuge du côté construction.
2. Construire des cloisons anti-poussière formées de deux couches de feuilles de polyéthylène de
0,14 mm (6 mils) d’épaisseur de chaque côté. Recouvrir le plancher de deux couches de feuilles en
polyéthylène de 0,14 mm (6 mils), en prolongeant les feuilles sur les murs à une hauteur de
460 mm (18 pouces). Faire chevaucher les joints sur toute leur longueur et les recouvrir d’un ruban.
Recouvrir le plancher de contreplaqué traité ignifuge.
a. À chaque entrée dans une cloison temporaire, construire le vestibule et le sas en prévoyant
une distance minimale de 1 219 mm (48 pouces) entre les portes. Disposer des essuie-pieds
humectés d’eau dans le vestibule.
3. Lorsque des cloisons temporaires résistantes au feu sont prescrites ou exigées par les autorités de
juridiction, construire ces cloisons selon la résistance au feu des ensembles considérés.
4. Isoler les cloisons de manière à lutter contre la transmission du bruit aux zones occupées.
5. Rendre étanches les joints et le périmètre. Là où des ouvertures doivent être prévues, équiper les
cloisons de portes anti-poussière avec joints d’étanchéité et de serrures de sécurité.
6. Protéger les équipements de traitement de l’air.
7. Prévoir des essuie-pieds à chacune des entrées par une cloison temporaire.
F. Protection temporaire contre l’incendie : Installer et entretenir des installations temporaires de protection
contre l’incendie d’un type choisi pour une protection adéquate contre des pertes par incendie
raisonnablement prévisibles et maîtrisables. Se conformer au CNPI; appliquer un programme de
protection contre l’incendie.
1. Interdire de fumer dans les zones de construction.
2. Surveiller les travaux de soudage, les appareils de chauffage temporaires du type à combustion et
les sources similaires d’inflammation selon les exigences des autorités de juridiction.
A. Entretien : Maintenir les installations en bon état de fonctionnement jusqu’à leur enlèvement.
1. Maintenir en fonction les enveloppes, le chauffage, le refroidissement, le contrôle de l’humidité, la
ventilation et les installations temporaires similaires sur une base de 24 heures, lorsqu’exigé pour
obtenir les résultats indiqués et éviter toute possibilité d’endommagement.
B. Passage des installations temporaires aux installations permanentes : Ne pas passer des installations
temporaires de sécurité et de protection aux installations permanentes avant l’achèvement substantiel.
C. Fin et enlèvement : Enlever une installation temporaire lorsqu’elle ne correspond plus à un besoin,
lorsqu’elle a été remplacée, avec autorisation, par une installation permanente ou au plus tard lors de
l’achèvement substantiel. Terminer ou, si nécessaire, remettre en état une construction permanente
dont l’achèvement a été retardé à cause d’une interférence avec une installation temporaire. Réparer les
dommages à l’ouvrage, nettoyer les surfaces exposées et remplacer une construction impossible à
réparer correctement.
1. Les matériaux et les éléments constituant les installations temporaires sont la propriété de
l’Entrepreneur. Le Propriétaire se réserve le droit de prendre possession des panneaux
d’identification du projet.
2. Lors de l’achèvement substantiel, réparer, rénover et nettoyer les installations permanentes
utilisées durant la construction. Satisfaire aux exigences relatives au nettoyage final.
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 3
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières.
1.02 SOMMAIRE
A. Sauf indications contraires, tous les matériaux doivent être neufs de première qualité et exempts de tout
défaut de fabrication.
B. Fournir et poser des matériaux et de l'équipement neufs de conception et de qualité prescrites, ayant une
performance conforme aux normes établies et pour lesquels on peut se procurer facilement des pièces de
remplacement.
C. Sauf indications contraires, utiliser les produits d'un seul fabricant dans le cas de matériaux et
d'équipement d'un même type ou d'une même classe.
D. Les pièces correspondantes d’un même équipement ou d’un équipement identique seront
interchangeables et lorsqu’elles seront interchangées, elles auront des performances égales.
E. Les unités seront conçues de façon que l’installation, le démontage et l’entretien puissent être faits à un
coût minimal.
F. Les tableaux de commande et les éléments constitutifs doivent être assemblés en usine.
A. Le stockage de l’équipement sur le chantier n’est pas permis, sauf lorsque autorisé spécifiquement par
le Propriétaire.
B. Tout équipement ou marchandise devra être transporté immédiatement à son lieu d'installation ou de
stockage. Il est strictement interdit pour quelque raison que ce soit de laisser des équipements sur le
quai de livraison.
C. Les matériaux et l’équipement doivent être livrés et stockés sur le chantier, de manière à conserver
intacts le sceau et l’étiquette du fabricant.
D. Éviter que les matériaux et l'équipement ne soient endommagés, altérés ou salis pendant la livraison, la
manutention et le stockage. Les matériaux et l'équipement refusés par l’Entrepreneur, le Propriétaire,
l’Ingénieur ou l’Architecte doivent être transportés immédiatement hors du chantier.
F. Ragréer au chantier et à la satisfaction de l'Ingénieur, les dommages causés aux surfaces finies. Utiliser
un apprêt ou de l'émail s'harmonisant au fini original. Ne pas peinturer les plaques signalétiques.
G. Fermer les portes de l’équipement et les tenir verrouillées. Protéger le matériel contre les dommages et
la poussière.
H. Au besoin, caler les pièces mobiles pour éviter de les endommager lors du déplacement ou de
l’expédition du matériel. Retirer les cales selon les directives du fabricant.
I. Entreposer à l’intérieur ou à l’abri des intempéries le matériel prévu pour l’installation intérieure.
J. Déplacer les matériaux et le matériel stockés qui nuisent aux travaux de l'Ingénieur ou d'un autre corps
de métier.
K. Obtenir du Propriétaire l'autorisation de stoker l'équipement dans des lieux définis par ce dernier.
A. Cinq jours ouvrables, avant d'entreprendre les travaux, aviser le Propriétaire par écrit concernant l’usage
de tout produit ou procédé pouvant dégager des odeurs fortes, des vapeurs ou des gaz et fournir deux
copies de fiches signalétiques des produits contrôlés qui seront employés lors des travaux de
construction.
1. Adresser les avis et les deux copies des fiches signalétiques au Propriétaire.
E. Prévoir une ventilation adéquate de façon à ne pas incommoder les usagers du bâtiment.
PARTIE 2 - PRODUITS
PARTIE 3 - EXÉCUTION
1.03 DÉFINITIONS..................................................................................................................................2
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 4
3.03 INSTALLATION................................................................................................................................5
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières, ainsi que les Sections de spécification de la Division 01.
1.02 SOMMAIRE
A. La Section présente les exigences administratives et des procédures générales régissant l'exécution des
travaux, incluant notamment, sans que la liste soit limitative :
1. Découpage et réparation.
2. Coordination des produits installés par le Propriétaire.
3. Démarrage et ajustements.
4. Protection des installations construites.
5. Correction des ouvrages.
1.03 DÉFINITIONS
B. Réparation : Travaux de reprise et de réparation servant à ramener une partie construite à son état
original suite à l’installation d’autres composants.
A. Découpage et réparation : Satisfaire aux exigences et aux limitations relatives aux travaux de
découpage et réparation des éléments de construction.
1. Éléments de structure : Lors du découpage et de la réparation d’éléments de structure, informer
l’Ingénieur des endroits et détails des travaux de découpage, puis attendre ses instructions avant
de commencer. Étayer, contreventer et supporter les éléments de structure lors du découpage et
de la réparation. La méthode de découpage et réparation des éléments de structure ne doit pas
modifier leur capacité de charge, ni en augmenter le fléchissement.
2. Éléments opérationnels : La méthode de découpage et réparation des éléments opérationnels et
des composants connexes ne doit pas entraîner de réduction de leur capacité à satisfaire aux
exigences prévues, ni augmenter les besoins en entretien, ni réduire la durée de vie utile ou la
sécurité. Les éléments opérationnels comprennent entre autres :
a. Systèmes et équipements opérationnels primaires.
b. Systèmes d’extinction d’incendie.
c. Tuyauteries, réseau de gaines, réservoirs et équipements de systèmes mécaniques.
d. Systèmes de commande.
e. Convoyeurs.
f. Supports d’équipements.
g. Dispositifs et systèmes d’insonorisation et antivibratoires.
h. Systèmes de câblage électrique.
i. Systèmes de communications.
j. Systèmes de détection et d’alarme incendie.
k. Systèmes de construction spéciale.
3. Autres éléments de construction : La méthode de découpage et réparation des autres éléments ou
composants de construction ne doit pas entraîner de réduction de leur capacité à satisfaire aux
exigences prévues, ni augmenter les besoins en entretien, ni réduire la durée de vie utile ou la
sécurité. Les autres éléments de construction comprennent ceux qui suivent, sans que la liste soit
exhaustive :
a. Cloisons coupe-feu.
b. Pare-air ou pare-fumée.
c. Barrières contre l’humidité ou pare-vapeur.
d. Membranes et solins.
e. Construction de murs-rideaux extérieurs.
f. Matériaux pulvérisés résistants au feu.
4. Éléments visuels : La méthode de découpage et réparation d’une construction ne doit pas laisser
de traces visuelles. Les travaux de découpage et réparation d’une construction apparente ne
doivent pas, de l’avis de l’Ingénieur, diminuer les qualités esthétiques du bâtiment. Retirer et
remplacer toute construction qui a été coupée et réparée d’une manière non satisfaisante du point
de vue visuel.
B. Directives d’installation des fabricants : Obtenir et appliquer les recommandations et directives écrites
des fabricants concernant l’installation des produits et des équipements.
PARTIE 2 - PRODUITS
2.01 MATÉRIAUX
B. Matériaux en place : Pour la réparation, utiliser des matériaux identiques à ceux déjà en place. Dans le
cas des surfaces apparentes, utiliser des matériaux qui, du point de vue visuel, sont le plus possible en
harmonie avec les matériaux des surfaces adjacentes en place.
1. Lorsqu’il n’existe pas de matériaux identiques ou qu’il est impossible d’en utiliser, prévoir des
matériaux qui, une fois installés, formeront avec les matériaux en place un ensemble suffisamment
harmonieux et acceptable par l’Ingénieur, des points de vue visuel et performance.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
3.01 EXAMEN
A. Examen et acceptation des conditions : Avant de débuter chacun des lots de travaux, examiner les
parties sous-jacentes, les différentes zones et conditions, le cas échéant avec l’installateur ou
l’applicateur, pour voir si elles satisfont aux exigences relatives aux tolérances d’installation et aux
autres conditions ayant une incidence sur les performances. Enregistrer les observations.
1. Examiner les raccordements des systèmes mécaniques et électriques afin de vérifier les
emplacements réels des connexions avant installation des équipements et des appareils.
2. Vérifier si l’état des murs, planchers et toits convient à l’installation des produits et systèmes.
3. Vérifier la compatibilité et l’adéquation des couches sous-jacentes, incluant la compatibilité avec les
finis ou apprêts existants.
B. Rapport écrit : Lorsqu’un rapport écrit donnant la liste des conditions susceptibles de nuire à l’exécution
des travaux est exigé selon d’autres Sections, inclure les éléments suivants :
1. Description des travaux.
2. Liste des conditions nuisibles, incluant celles relatives aux couches sous-jacentes.
3. Liste des tolérances d’installation non acceptables.
4. Corrections recommandées.
C. Réaliser l’installation uniquement après correction des conditions non satisfaisantes. L’exécution des
travaux suppose une acceptation des surfaces et conditions.
3.02 PRÉPARATION
A. Mesures et vérifications au chantier : Effectuer les mesures et vérifications au chantier qui sont
nécessaires à une exécution adéquate des travaux. Avant installation d’un produit, revérifier ces
mesures. Lorsque les travaux portent sur certaines parties à raccorder à une autre construction, vérifier
les dimensions de cette dernière au moyen de mesures au chantier avant fabrication. Coordonner le
calendrier de fabrication avec l’avancement de la construction afin d’éviter tout retard d’exécution.
1. Vérifier le sens d’écoulement des fluides dans la tuyauterie existante avant d’y raccorder
l’équipement, le sens d’écoulement ayant pu être mal indiqué sur les lieux ou sur les dessins.
B. Encombrement : Vérifier l’encombrement et les dimensions des éléments indiqués schématiquement sur
les dessins.
C. Examen des documents contractuels et des conditions au chantier : Lorsqu’on estime qu’une
clarification des documents contractuels s’impose parce que les conditions au chantier diffèrent des
conditions contractuelles et que l’Entrepreneur n’en a pas la maîtrise, soumettre une demande
d’information à l’Ingénieur selon les exigences de la Section 01 31 00 - Gestion de projet et coordination.
3.03 INSTALLATION
A. Généralités : Positionner les éléments et composants à construire avec précision, en respectant le tracé
et l’élévation indiqués.
1. Construire les éléments verticaux d’aplomb et les éléments horizontaux de niveau.
2. Lorsque l’espace est limité, installer les composants de manière à augmenter au maximum
l’espace disponible pour l’entretien et la dépose des pièces en vue de leur remplacement.
3. Dans les zones recevant une finition, dissimuler les tuyauteries, gaines et câbles, sauf indications
contraires.
B. Se conformer aux directives et recommandations écrites du fabricant lors de l’installation des produits
dans les applications indiquées.
C. Installer les produits au moment et dans les conditions assurant les meilleurs résultats possibles.
Maintenir les conditions assurant de bonnes performances du produit jusqu’à l’achèvement substantiel.
D. Exécuter les travaux de construction de sorte qu’aucun des éléments concernés ne soit endommagé par
des activités nuisibles ou une charge supérieure à celle prévue dans les conditions normales
d’occupation.
E. Prévoir une séquence d’exécution et des dégagements suffisants pour le déplacement des composants
au chantier et leur positionnement aux endroits définitifs.
F. Outils et équipements : Ne pas utiliser d’outils ni d’équipements générant des niveaux de bruit nuisibles.
G. Gabarits : Se procurer et distribuer aux parties concernées les gabarits prévus pour les composants
spécifiés comme étant préparés à l’usine et installés au chantier. Vérifier les dessins d’atelier des autres
composants afin d’assurer que des dispositions adéquates ont été prévues pour le positionnement et
l’installation des produits en vue de satisfaire aux exigences indiquées.
H. Fixation : Fournir les plaques et ancrages de fixation et de blocage, ainsi que les attaches de
dimensions et en quantité suffisantes pour fixer en sécurité chacun des composants, positionnés avec
précision et alignés avec les autres parties construites. En l’absence d’indications sur les dimensions et
le type des attaches, déterminer ces paramètres en fonction des conditions de charge exigées.
1. Hauteur de fixation : En l’absence d’indications, monter les composants à la hauteur prescrite par
l’Ingénieur.
2. Tenir compte des déplacements du bâtiment, incluant notamment la dilatation et la contraction
thermiques.
3. Coordonner l’installation des ancrages. Fournir les dessins, gabarits et directives en vue de
l’installation des ancrages, incluant les manchons, pièces encastrées dans le béton, boulons
d’ancrage et articles munis d’ancrages incorporés, qui doivent être encastrés dans le béton ou la
maçonnerie. Livrer de tels articles au chantier à temps pour l’installation.
I. Joints : Réaliser des joints de largeur uniforme. Dans le cas d’une construction apparente, en l’absence
d’indications sur la position des joints, disposer ces derniers en vue d’obtenir le meilleur effet visuel
possible. Réaliser les raccords apparents en formant des joints parfaitement aboutés.
J. Matériaux dangereux : Utiliser pour l’installation des produits, produits de nettoyage et matériaux qui ne
sont pas considérés comme dangereux.
A. Découpage et réparation – Généralités : Confier les travaux de découpage et réparation à des ouvriers
expérimentés. Exécuter les travaux de découpage et réparation le plus tôt possible et les terminer sans
retard.
1. Couper les éléments de construction en place afin de permettre l’installation d’autres composants
ou d’exécuter d’autres travaux de construction, puis remettre en état pour ramener les surfaces à
leur état original.
B. Garanties existantes : Enlever, remplacer, remettre en état et réparer les matériaux et surfaces coupées
ou endommagées durant l’installation ou les travaux de découpage et réparation, en utilisant des
méthodes et des matériaux qui ne risquent pas d’annuler les garanties existantes.
D. Protection : Protéger les éléments construits déjà en place durant les travaux de découpage et
réparation afin d’éviter tout dommage. Protéger contre les intempéries les éléments du projet
susceptibles d’être exposés durant les opérations de découpage et réparation.
E. Zones occupées adjacentes : Lorsqu’il est impossible d’éviter une incidence sur l’utilisation des zones
adjacentes ou l’interruption du libre passage vers les zones adjacentes, coordonner les travaux de
découpage et réparation selon les exigences de la Section 01 11 00 – Sommaire des travaux.
G. Découpage : Découper les éléments en place par sciage, perçage, abattage, burinage, meulage et
méthodes similaires, incluant l’excavation, en utilisant les techniques les moins susceptibles
d’endommager les éléments conservés ou les parties construites adjacentes. Dans la mesure du
possible, examiner les méthodes proposées avec l’installateur original et se conformer aux
recommandations écrites de ce dernier.
1. De manière générale, utiliser des outils manuels ou de faible puissance conçus pour le sciage et le
meulage, et non le battage et le hachage. Découper des trous et des fentes nets aux dimensions
minimales exigées et en perturbant le moins possible les surfaces adjacentes. Recouvrir
temporairement les ouvertures non utilisées.
2. Surfaces finies : Couper ou percer vers les surfaces dissimulées en partant du côté apparent ou
fini.
3. Béton et maçonnerie : Couper à l’aide d’une machine prévue à cet effet, comme une scie abrasive
ou une mèche à couronne annulaire avec diamants.
4. Services mécaniques et électriques : Couper les tuyaux ou conduits dans les murs ou cloisons à
retirer. Obturer par un bouchon ou un robinet et rendre étanche la partie d’une tuyauterie ou d’un
conduit demeurant en place, afin d’empêcher l’humidité ou d’autres corps étrangers de pénétrer
après la coupe.
5. Effectuer la réparation une fois que les travaux de construction exigeant des opérations de
découpage sont terminés.
H. Réparation : Réparer les éléments construits par remplissage, colmatage, reprise de la finition,
fermeture et opérations similaires à la suite des autres travaux. Les joints formés lors de la réparation
doivent être aussi invisibles que possible. Fournir les matériaux et satisfaire aux exigences d’installation
prescrites dans d’autres Sections, lorsque cela s’applique.
1. Inspection : Lorsque c’est faisable, soumettre à des essais et inspecter les zones remises en état
afin de démontrer l’intégrité physique de l’installation.
2. Finis apparents : Refaire les finis apparents des zones remises en état et étendre cette opération
aux éléments construits adjacents conservés, de manière à minimiser toute trace deréparation et
de reprise des finis.
a. Nettoyer les tuyauteries, conduits et composants similaires avant d’appliquer une peinture ou
d’autres matériaux de finition.
b. Ramener les revêtements de tuyauteries endommagés à leur état initial.
3. Planchers et murs : Lorsque des murs ou cloisons doivent être retirés, faire chevaucher les zones
finies, remettre en état et réparer les surfaces de planchers et de murs dans le nouvel espace.
Réaliser une surface unie, de finition, couleur, texture et aspect uniformes. Enlever les revêtements
de planchers et de murs existants et les remplacer par des neufs, si nécessaire, afin d’obtenir une
couleur et un aspect uniformes.
a. Lorsque la réparation porte sur une surface peinte, préparer le subjectile et appliquer les
couches d’apprêt et de peinture intermédiaires convenant au subjectile sur la partie réparée,
puis appliquer la couche de peinture finale sur toute la surface contenant la partie réparée.
Appliquer des couches supplémentaires jusqu’à ce que cette partie réparée se fonde avec les
surfaces adjacentes.
4. Plafonds : Remettre en état, réparer ou suspendre à nouveau les plafonds en vue d’obtenir une
surface unie et d’apparence uniforme.
5. Enveloppe extérieure du bâtiment : Remettre en état les composants de sorte que l’enveloppe
retrouve sa résistance aux intempéries et que l’intégrité de cette enveloppe soit assurée, en ce qui
a trait à la chaleur et à l’humidité.
I. Nettoyage : Nettoyer les zones et espaces dans lesquels on réalise des travaux de découpage et
réparation. Enlever la peinture, le mortier, les huiles, le mastic et les matériaux similaires des surfaces
adjacentes finies.
A. Accès au site : Fournir un accès au site du projet à l’usage du personnel de construction du Propriétaire.
B. Coordination : Coordonner les activités de construction avec les travaux réalisés par le personnel de
construction du Propriétaire.
1. Calendrier de construction : Informer le Propriétaire sur le calendrier de construction préférentiel de
l’Entrepreneur en ce qui a trait à la partie des travaux concernant le Propriétaire. Choisir les dates
du calendrier de construction après entente mutuelle entre les deux parties. Avertir le Propriétaire
lorsqu’il est nécessaire de modifier le calendrier à la suite d’écarts par rapport à l’avancement prévu
des travaux.
2. Réunions portant sur la pré-installation : Inviter le personnel de construction du Propriétaire aux
réunions relatives à la pré-installation et concernant les parties de l’ouvrage devant recevoir les
installations du Propriétaire. Assister aux réunions relatives à la pré-installation et organisées par le
personnel de construction du Propriétaire lorsque des parties de l’ouvrage sont assujetties à la
construction par le Propriétaire.
A. Faire démarrer les équipements et les composants opérationnels afin d’en confirmer le bon
fonctionnement. En cas de mauvais fonctionnement, retirer l’unité, la remplacer par une neuve et
reprendre les essais.
B. Régler les équipements pour un bon fonctionnement. Régler les composants opérationnels pour un
fonctionnement adéquat et en douceur.
C. Soumettre chaque équipement à un essai de bon fonctionnement. Soumettre à un essai et régler les
dispositifs de commande et de sécurité. En cas d’endommagement ou d’anomalie, remplacer les
commandes et équipements concernés.
A. Prévoir une protection finale et maintenir des conditions telles que les composants installés ne soient ni
endommagés, ni détériorés au moment de l’achèvement substantiel.
B. Se conformer aux directives écrites du fabricant en ce qui a trait à la température et à l’humidité relative.
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 3
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières.
1.02 SOMMAIRE
A. Retenir et payer les services des représentants autorisés des manufacturiers des équipements installés
au chantier pour superviser la mise en marche des installations et pour vérifier, régler, équilibrer et
étalonner les divers éléments.
B. Fournir ces services durant une période suffisante, en prévoyant le nombre de visites nécessaires pour
faire la mise en marche et s’assurer que le personnel d’exploitation est familier avec tous les aspects de
l’entretien et du fonctionnement de l’équipement.
A. Lorsque des essais en usine d’équipement sont spécifiés au devis, l’Ingénieur et le Propriétaire se
réservent le droit d’examiner les équipements en usine et d’assister aux essais.
B. Aviser l’Ingénieur et le Propriétaire au moins une semaine à l’avance de la date, de l’heure et du lieu où
se dérouleront les essais en usine.
C. Faire parvenir trois (3) copies certifiées des rapports sur les essais en usine à l’Ingénieur.
A. À la fin des travaux, effectuer en présence des autorités de juridiction et de l’Ingénieur, des essais de
nature à prouver que les ouvrages remplissent toutes les conditions exigées.
B. Si l'ouvrage laisse paraître quelque défaut que ce soit, remédier à ces défauts et prouver par un
deuxième essai en présence de l’Ingénieur, que l'exécution des travaux rencontre pleinement les
exigences du contrat.
1. Si l’Ingénieur se présente au chantier à la date et à l’heure convenues et que les essais ne peuvent
être effectués, l’Ingénieur transmettra à l’Entrepreneur une facture d’honoraires pour la visite non
requise au chantier. Coût minimal 750 $.
D. Ne pas calorifuger ou dissimuler l'ouvrage avant qu'il ait été soumis à l'essai et approuvé. Suivre le
calendrier des travaux et prendre les dispositions voulues en vue de l'essai.
E. Avant de procéder aux essais, débrancher toutes pièces d'équipement ou autre matériel qui ne sont pas
conçus pour résister aux contraintes d'essai.
A. Le propriétaire se réserve le droit d'utiliser n'importe quelle pièce d'équipement mécanique ou électrique
installée selon les termes de cette convention et ce, pour des durées et à des moments qui seront requis
et d'en faire un essai complet et minutieux, avant l'exécution complète et l'acceptation des travaux. De
tels essais ne devront pas être interprétés comme une preuve qu'une partie quelconque des travaux est
acceptée et il sera entendu et convenu qu'aucune réclamation en dommages ne sera présentée par
l’Entrepreneur à cause de dommages ou bris causés, à quelque pièce que ce soit, par les essais ci-haut
mentionnés, que la cause en soit attribuable au manque de résistance ou à la faiblesse des pièces, à
des matériaux défectueux ou à la malfaçon, de quelque nature qu'elle soit.
B. Les pièces principales de l'équipement doivent être vérifiées en présence d'un représentant du fabricant,
de l'Architecte et de l'Ingénieur. Ces personnes devront être avisées assez tôt pour être en mesure
d'assister aux essais et de procéder à une inspection convenable.
PARTIE 2 - PRODUITS
PARTIE 3 - EXÉCUTION
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 5
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières.
1.02 SOMMAIRE
A. Aucune demande d'acceptation des travaux de la part de l'Entrepreneur ne pourra être considérée, à
moins qu'elle ne soit accompagnée ou n'ait été précédée de tous les certificats, déclarations,
attestations et documents suivants :
1. Documents et pièces à fournir :
a. Garantie du manufacturier des appareils et équipements de ce contrat;
b. Garantie des travaux;
c. Six (6) copies des guides de fonctionnement et d'entretien (manuels d'instructions);
d. Lettre d'attestation et preuve de conformité aux exigences de la loi sur la santé et sécurité au
travail;
e. Une (1) copie des plans conservés propres sur le chantier, sur lesquels tous les changements
apportés au cours de la construction auront été notés au crayon rouge.
A. À la fin des travaux, soumettre à l'Ingénieur six (6) exemplaires d'un manuel d'entretien rassemblant les
données d'exploitation et d'entretien de l'équipement. Ce manuel sera rédigé en français ou selon la
langue parlée par le client conformément aux directives de ce dernier. Il sera préparé de la façon
suivante :
1. Inscrire les données sur des feuilles mobiles de 215 mm x 275 mm (8½ po x 11 po) reliées dans un
cartable à trois (3) anneaux à couverture rigide en vinyle.
2. Inscrire sur la page du titre « Guide d’exploitation et d'entretien », le nom de l'installation, la date et
la table des matières.
3. Diviser le contenu en sections appropriées, conformément aux subdivisions du devis
correspondant. Marquer chaque section d'un onglet étiqueté recouvert de celluloïd fixé à un feuillet
de division en papier rigide.
B. Inclure les renseignements suivants dans chacun des cahiers composant le Manuel d’exploitation et
d’entretien :
1. Tables des matières du cahier.
2. Liste du matériel de remplacement.
3. Liste des outils spéciaux.
4. Les copies des diverses garanties et cautions indiquant :
a. Le nom et l’adresse des ouvrages.
b. La date d’entrée en vigueur de la garantie (date du certificat définitif d’achèvement).
c. La durée de garantie.
d. L’objet précis de la garantie et la mesure correctrice offerte par la garantie.
e. La signature et le sceau de l’Entrepreneur.
C. Inclure dans les fiches d'exploitation et d'entretien les renseignements suivants en plus des données
prescrites :
1. Les détails des éléments constitutifs, les caractéristiques de construction, la fonction et les
exigences d'entretien des divers composants, pour faciliter la mise en marche, l'exploitation,
l'entretien, la réparation, les modifications, le prolongement et l'expansion de toute partie, réseau
ou caractéristique de l'installation;
2. Les données techniques et les caractéristiques des produits doivent être accompagnées de
renseignements supplémentaires tels que bulletins, illustrations et vues éclatées des pièces
constitutives, des descriptions techniques et des listes de pièces;
3. La description complète de l'équipement et des pièces incluant la liste des pièces de rechange
requises. Donner les renseignements de la plaque signalétique, tels la marque, les dimensions, la
capacité et le numéro de série;
4. Le nom, l'adresse et le numéro de téléphone et de télécopieur des entrepreneurs spécialisés et des
fournisseurs;
5. Une copie sur disque compact des plans et dessins de fabrication qui ont été produits en format
numérique (Autocad ou autres);
D. Le matériel supplémentaire employé en vue d'achever les travaux et mentionné dans les diverses
sections, de même que le nom du fabricant et la source d'approvisionnement.
E. Taper proprement les listes et les remarques. S'assurer de la clarté des dessins, des diagrammes ou
des publications des fabricants. Les dépliants de réclame ou brochures publicitaires ne sont pas
acceptés.
F. Ajouter une série complète des dessins d'atelier (approuvés et liés séparément) portant les corrections
et les changements effectués durant la fabrication et l'installation.
1.06 GARANTIE
B. Si un statut quelconque ou une section du Code Civil du Québec prévoit une période de garantie plus
longue qu'un an, elle devra être appliquée.
C. Garantir leurs travaux et l'équipement installé pour une durée de un (1) an à partir de la date de
l'émission du certificat de d'acceptation provisoire des travaux. Cette garantie comprend le
remplacement ou la réparation sans frais (matériaux et main d’œuvre au chantier) de tout élément
trouvé défectueux durant cette période, et tous les appels de service afin de maintenir les systèmes en
bon état de fonctionnement.
A. Une (1) copie des plans concernant les travaux doit être conservée sur le chantier et tous les
changements dans les travaux doivent être notés en rouge sur ces plans, au fur et à mesure qu'ils sont
effectués.
B. Conserver les dessins et y noter fidèlement tous les écarts par rapport aux prescriptions des documents
contractuels, les changements imposés par la nature du chantier, et les changements apportés, sur
demande du Propriétaire, de l'Ingénieur ou de l'Architecte.
PARTIE 2 - PRODUITS
PARTIE 3 - EXÉCUTION
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 2
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières.
1.02 SOMMAIRE
A. Fournir les outils, le matériel et les services d'instructeurs qualifiés pour assurer la formation du
personnel d'exploitation et d’entretien quant au fonctionnement, à la commande, à l'entretien, au
réglage, au diagnostic des problèmes d’opération et de fonctionnement de l'équipement et en ce qui
concerne tous changements ou modifications apportés à l'équipement en vertu de la garantie.
B. La formation doit être donnée pendant les heures normales de travail, avant que les systèmes aient été
acceptés et remis au personnel d'exploitation.
E. La formation devra inclure au minimum, une partie théorique (incluant des exemples concrets sur
papier) et des mises en situations pratiques.
F. Fournir ces services pour la période voulue et pour le nombre de visites nécessaires afin de mettre
l'installation en marche, et pour s'assurer que les opérateurs et le personnel d’entretien soient familiers
avec les divers aspects de l'entretien et du fonctionnement des équipements.
G. Le guide d'exploitation et d'entretien doit servir à la formation du personnel et doit être vérifié par
l’ingénieur avant le début de la formation.
PARTIE 2 - PRODUITS
PARTIE 3 - EXÉCUTION
1.04 DÉFINITIONS..................................................................................................................................2
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 4
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières, ainsi que les Sections de spécification de la Division 01.
1.02 SOMMAIRE
1.03 RÉFÉRENCES
A. CSA
1. CSA S350-M1980 (R2003) : Code of Practice for Safety in Demolition of Structures
B. NFPA
1. NFPA 241-2004: Safeguarding Construction, Alteration, and Demolition Operations
D. Québec
1. c. Q-2, r. 15.01 : Règlement sur les halocarbures.
1.04 DÉFINITIONS
A. Enlever : séparer des éléments d'une construction existante et les éliminer de manière légale en dehors
du site, à moins qu'ils ne doivent faire l'objet d'un enlèvement et d'une récupération ou d'un enlèvement
et d'une réinstallation.
B. Enlever et récupérer : détacher avec soin d'une construction existante, en utilisant une méthode
prévenant tout dommage et remettre au Propriétaire prêt à réutiliser.
C. Enlever et réinstaller : séparer des éléments d'une construction existante, les préparer en vue de leur
réutilisation et les réinstaller aux endroits indiqués.
D. Existant à conserver : éléments existants d'une construction non destinés à être retirés de manière
permanente et par ailleurs non mentionnés comme devant être enlevés, enlevés et récupérés ou
enlevés et réinstallés.
B. [
A. Mesures de protection proposées : soumettre un rapport, comprenant des dessins, qui définit les
mesures proposées pour protéger les personnes et la propriété concernant, la protection de
l'environnement, la lutte contre la poussière et la lutte contre le bruit. Indiquer les endroits prévus pour
la construction de barrières.
C. Inventaire : soumettre une liste des articles à enlever et à récupérer et la remettre au Propriétaire avant
le début des travaux de démolition.
E. Garanties : documentation confirmant que les garanties existantes sont toujours en vigueur une fois la
démolition sélective terminée.
B. Avertir l'Ingénieur des différences entre les conditions existantes et les dessins avant de débuter les
travaux de démolition sélective.
1. Maintenir en service les installations de protection contre l'incendie durant les travaux de démolition
sélective.
1.10 GARANTIE
A. Garanties existantes : enlever, remplacer et réparer les matériaux et les surfaces coupés ou
endommagés durant les travaux de démolition sélective en utilisant les méthodes et les matériaux
voulus pour ne pas annuler les garanties existantes. Avertir la compagnie à l'origine de la garantie avant
de commencer. Les garanties existantes portent sur ce qui suit :
B. À la fin des travaux de démolition sélective, avertir la compagnie à l'origine de la garantie et obtenir la
documentation confirmant que le système existant a été inspecté et que la garantie demeure en vigueur.
Soumettre la documentation à l’achèvement des travaux.
PARTIE 2 - PRODUITS
A. Exigences réglementaires : se conformer à la réglementation des autorités de juridiction sur les avis qui
s'appliquent, concernant la protection de l’environnement avant de débuter les travaux de démolition
sélective. Respecter la règlementation des autorités de juridiction concernant le transport et la mise au
rebut.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
3.01 EXAMEN
A. Vérifier que les services d’utilités ont été débranchés et obturés avant de débuter les travaux de
démolition sélective.
B. Faire un relevé des conditions existantes et établir une corrélation avec les exigences définies afin de
déterminer l'étendue de la démolition sélective nécessaire.
3.03 PRÉPARATION
A. Accès au chantier et mesures temporaires : réaliser les travaux de démolition sélective et d'enlèvement
des débris de sorte qu'il y ait un minimum d'interférence avec les routes, rues, trottoirs, allées et autres
installations adjacentes occupées et utilisées.
B. Installations temporaires : mettre en place des barricades et autres moyens de protection temporaires
afin d'éviter des blessures aux personnes et des dommages aux installations et bâtiments adjacents
demeurant en place.
1. Prévoir des moyens de protection assurant une circulation sécuritaire des personnes autour de la
zone de démolition sélective ainsi que vers les parties occupées du bâtiment.
2. Mettre en place une protection temporaire contre les intempéries, durant la période comprise entre
la démolition sélective de la construction existante sur les surfaces extérieures et la nouvelle
construction, afin d'empêcher les fuites d'eau et les dommages à la structure et aux zones
intérieures.
3. Protéger les murs, plafonds, planchers et autres éléments de finition existants qui doivent être
conservés ou qui sont exposées durant les travaux de démolition sélective.
4. Recouvrir et protéger les meubles, fournitures et équipements qui n'ont pas été enlevés.
5. Satisfaire aux exigences concernant les enceintes temporaires, l'évacuation de la poussière, le
chauffage et le refroidissement définies dans la Section 01 50 00 - Installations temporaires.
C. Étayage temporaire : installer et maintenir en place l’étayage, les contreventements et les supports
structuraux nécessaires à la préservation de la stabilité et à la prévention du déplacement, du tassement
ou de l'effondrement de la construction et des éléments de finition devant rester en place, ainsi que pour
empêcher tout déplacement imprévu ou non contrôlé ou encore tout effondrement de la construction en
cours de démolition.
1. Au cours des travaux de démolition sélective, renforcer les supports ou en ajouter de nouveaux
lorsque nécessaire.
A. Généralités : démolir et enlever les éléments de construction existants dans la limite des besoins
correspondant à la nouvelle construction et selon les indications. Réaliser les travaux selon des
méthodes respectant les limitations imposées par la réglementation applicable et selon les dispositions
suivantes :
1. Les travaux de démolition sélective doivent être systématiques, en commençant par le niveau le
plus haut et en terminant par le plus bas. Terminer les opérations de démolition sélective au-
dessus de chacun des planchers ou étages avant de travailler sur les éléments de supportage au
niveau inférieur suivant.
2. Découper les ouvertures et les trous proprement, d'aplomb, d'équerre et selon les dimensions
exactes requises. Utiliser les méthodes de coupe les moins susceptibles d'endommager la
construction restant en place ou la construction adjacente. Utiliser des outils manuels ou de petits
outils électriques conçus pour scier ou meuler, et non pour marteler et hacher, afin de perturber le
moins possible les surfaces adjacentes. Recouvrir temporairement les ouvertures à conserver.
3. Couper ou percer du côté exposé ou fini vers la surface dissimulée afin de ne pas égratigner les
surfaces finies existantes.
4. Ne pas utiliser de torches de découpage tant qu'il reste des matériaux inflammables dans la zone
de travail. Vérifier l'état et le contenu des espaces dissimulés, comme l'intérieur des conduits et
tuyauteries, avant toute opération de découpage à la flamme. Assurer la vigilance pour prévenir
l’incendie et disposer d'extincteurs portables durant une opération de découpage à la flamme.
5. Prévoir une ventilation adéquate lorsqu'on utilise une torche de découpage.
6. Enlever les matériaux dégradés, infestés de vermine ou par ailleurs dangereux ou inutilisables et
les éliminer rapidement hors site.
7. Choisir l'emplacement des équipements de démolition sélective et enlever les débris et matériaux
de manière à ne pas soumettre les murs, planchers ou charpentes à des charges excessives.
B. Réutilisation des éléments de bâtiment : le projet a été conçu pour les taux suivants de réutilisation des
éléments de bâtiments en fin de projet. Ne pas démolir plus d'éléments de bâtiments que ceux indiqués
sur les dessins sans l'approbation de l'Ingénieur.
E. Articles existants à conserver : protéger les éléments de construction indiqués comme devant être
conservés contre les dommages et avaries durant la démolition sélective. Lorsque le Propriétaire le
permet, les articles peuvent être emportés dans un lieu de stockage convenable et protégé durant les
travaux de démolition sélective. les nettoyer et les réinstaller à leur emplacement d'origine une fois les
opérations de démolition sélective terminées.
A. Généralités : à l'exception des articles et matériaux désignés comme étant à, réutiliser, récupérer,
réinstaller ou autrement indiqués comme étant à conserver par le Propriétaire, enlever les matériaux
démolis du site du projet.
1. Ne pas laisser les matériaux démolis s'accumuler sur le site.
2. Enlever et transporter les débris en évitant tout déversement sur les surfaces et zones adjacentes.
3. Enlever les débris des parties supérieures du bâtiment à l'aide de goulottes, de palans ou autres
dispositifs permettant d'amener ces débris au niveau du sol de manière contrôlée.
C. Mise au rebut : transporter les matériaux démolis et les éliminer dans les zones de déblai désignées par
le Propriétaire sur sa propriété.
D. Mise au rebut : transporter les matériaux démolis en dehors de la propriété et les mettre au rebut de
manière légale.
3.06 NETTOYAGE
A. Nettoyer les structures et les parties améliorées adjacentes pour en ôter la poussière, la saleté et les
débris résultant des opérations de démolition sélective. Ramener les zones adjacentes à leur état avant
le début des opérations de démolition sélective.
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 3
3.01 INSTALLATION................................................................................................................................3
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les dessins et les dispositions générales du contrat, incluant les
Conditions générales et les Conditions supplémentaires, ainsi que les Sections de la Division 01.
1.02 RÉFÉRENCES
B. CAN/ULC-S508-M90, Rating and Fire Testing of Fire Extinguishers and Class « D » Extinguishing
Media.
B. Données techniques sur les produits : pour chaque type de produit indiqué.
A. Fournir les fiches d'entretien requises et les joindre au manuel mentionné à la Section 01 78 00 –
Éléments à soumettre à l’achèvement des travaux.
PARTIE 2 - PRODUITS
A. En acier de 1.6 mm d'épaisseur, avec porte en acier de 2.5 mm d'épaisseur s'ouvrant à 180° et munie
d'un dispositif de verrouillage.
B. Armoires ayant un degré de résistance au feu équivalent à celui de l'ouvrage sur lequel elles seront
installées.
D. Finition
1. Caisse : revêtue d'un apprêt.
2. Porte et cadre : en acier inoxydable 304, au fini satiné no 4.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
3.01 INSTALLATION
A. Installer ou monter les extincteurs dans des armoires ou sur des supports, selon les indications.
B. Conformément au Code national de prévention des incendies, les extincteurs portatifs dont le poids total
est inférieur à 18 kg doivent être installés de façon à ce que leur partie supérieure soit au plus à
1 524 mm au-dessus du plancher.
2.01 GÉNÉRALITÉS................................................................................................................................2
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 3
3.01 INSPECTION...................................................................................................................................3
3.02 INSTALLATION................................................................................................................................3
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières, ainsi que les Sections de spécification de la Division 01.
1.02 RÉFÉRENCES
B. Normes ULC
1. CAN/ULC-S508-M90 : Rating and Fire Testing of Fire Extinguishers and Class « D » Extinguishing
Media.
B. Données techniques sur les produits : pour chaque type de produit indiqué.
A. Fournir les fiches d'entretien requises et les joindre au manuel mentionné à la Section 01 78 00 –
Éléments à soumettre à l’achèvement des travaux.
PARTIE 2 - PRODUITS
2.01 GÉNÉRALITÉS
A. Fabricants : sous réserve de leur conformité au devis, fournir les produits de l’un des fabricants
suivants :
1. Amerex Corporation.
2. Ansul Incorporated; Tyco International.
3. National Fire Equipment Ltd.
4. Pyro-Chem; Tyco Fire Suppression & Building Products.
A. Extincteurs de type « Water-Mist » à base d’eau distillée dans un contenant en acier émaillé, munis d’un
manomètre, pour lutte contre les feux de classe A où il existe des dangers électriques (classe C)
homologué ULC et de capacité nominale classée 2-A:C, 9.5-L (2.5-gal.).
A. Extincteur à agent propre à base d’un mélange de HFC et de matériel inerte dans un contenant en acier
émaillé, pour lutte contre les feux de classe A et B où il existe des dangers électriques (classe C),
homologués ULC et de capacité nominale classée 1-A:10-B:C, 4.5-kg (10-lb).
PARTIE 3 - EXÉCUTION
3.01 INSPECTION
A. Inspecter les extincteurs selon la procédure décrite dans la norme NFPA 10 pour confirmer que leur
charge et leur identification sont adéquats.
1. Enlever et remplacer les extincteurs endommagés, défectueux ou mal chargés.
B. Procéder à l’installation seulement lorsque les conditions inadéquates auront été corrigées.
3.02 INSTALLATION
A. Généralités : Installer les extincteurs dans des armoires ou sur des supports, selon les indications et les
exigences des autorités de juridiction.
1. Installer les extincteurs dont le poids total est inférieur ou égal à 18 kg de façon à ce que leur partie
supérieure soit au plus à 1524 mm du plancher.
2. Installer les extincteurs dont le poids total est supérieur à 18 kg de façon à ce que leur partie
supérieure soit au plus à 1070 mm du plancher.
3. Dans tous les cas, le dégagement entre le dessous des extincteurs et le plancher doit être d’au
moins 100 mm.
B. Supports : fixer les supports aux surfaces, d’équerre et d’aplomb, aux endroits indiqués.
C. Identification : Lettrage conforme aux exigences des autorités de juridiction en ce qui concerne. le style
la taille, la couleur et l’espacement des lettres.
1. Installer les affiches d’identification au-dessus des extincteurs portatifs à une hauteur de 2 m par
rapport au niveau du sol ou selon les indications aux plans.
PARTIE 3 - EXÉCUTION.......................................................................................................... 11
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les dessins et les dispositions générales du contrat, incluant les
Conditions générales et les Conditions supplémentaires, ainsi que les Sections de la Division 01.
1.02 RÉFÉRENCES
A. Québec
1. CCQ : Code de construction du Québec – Chapitre I, Bâtiment, et Code national du bâtiment –
Canada 2005 (modifié).
A. La présente Section doit être considérée un devis de performance en ce qui concerne les éléments
suivants :
1. Calculs et conception des systèmes de protection contre l’incendie. Il est obligatoire de mandater
un ingénieur à ces fins. Se référer à l’article « Services d’un ingénieur ».
6. Superviser les activités de contrôle de la qualité sur place et être présent durant ces activités. Se
référer à l’article « Contrôle de la qualité sur place ».
7. Produire et signer un certificat de conformité.
a. Se référer à l’article « Éléments à soumettre à l’achèvement des travaux ».
B. Qualifications
1. L’ingénieur, ci-après nommé « l’ingénieur qualifié », doit être un membre de l’OIQ, spécialisé et
reconnu dans le domaine de la protection incendie. Il doit bien connaître les codes, normes et
règlements référencés dans cette Section.
2. Fournir le curriculum vitae de l’ingénieur qualifié.
A. Les plans de protection incendie de l’Ingénieur identifient de façon sommaire l'agencement des travaux
de protection incendie désirés. Ces dessins ont volontairement été résumés afin que l’ingénieur qualifié
puisse élaborer les systèmes de protection incendie en fonction de ses propres méthodes de
conception, tout en respectant les codes et exigences en vigueur.
B. Avant de commencer les dessins pour construction, obtenir du Propriétaire, des jeux complets des plans
d'architecture, de structure, de mécanique, d'électricité, ou tout autre requis pour assurer une
coordination adéquate de la conception avec tous les composants du bâtiment. Les plans fournis par le
Propriétaire et disponibles pour coordination ne sont pas nécessairement à jour, faire les vérifications
requises au chantier.
A. Les systèmes de protection contre l’incendie devront être conçus suivant des calculs hydrauliques.
B. Avant le début des travaux, soumettre les plans pour construction, les calculs hydrauliques et les fiches
techniques du matériel pour revue par l’Ingénieur et par les autorités de juridiction.
C. Les plans et les calculs hydrauliques soumis pour revue doivent porter le sceau et la signature de
l’ingénieur qualifié.
D. Les fiches techniques soumises pour le matériel doivent avoir été préalablement vérifiées par l’ingénieur
qualifié et porter son estampe de vérification.
A. Fournir les fiches d'exploitation et d'entretien requises et les joindre au manuel mentionné à la
Section 01 78 00 – Éléments à soumettre à l’achèvement des travaux.
B. Les documents/éléments suivant doivent être soumis avant l’acceptation provisoire des travaux.
1. Certificat d'inspection de la Ville.
2. Certificat d’inspection de SCM Services d’assurances.
3. Certificats d'approbation des autorités de juridiction.
4. Certificat de conformité produit par l’ingénieur qualifié.
a. Le certificat produit par l’ingénieur qualifié doit attester que l’ensemble des installations finales
sont conformes :
1) À ses plans et devis.
2) À ses calculs hydrauliques.
3) Aux fiches techniques soumises pour les produits.
4) Aux exigences des règlements, codes et normes applicables.
5) Aux exigences des autorités de juridiction.
5. Certificats de garantie.
6. Gicleurs de rechange et clés de remplacement.
7. Une copie des plans tenue à jour en format Autocad.
A. Sauf indications contraires, exécuter les travaux conformément à la dernière édition en vigueur des
codes, normes et règlements suivants :
1. Code national du bâtiment du Canada.
2. Réglementation de la municipalité visant la construction et les incendies.
3. Normes de la "National Fire Protection Association".
a. NFPA 10: Portable Fire Extinguishers.
b. NFPA 13 : Installation of Sprinkler Systems.
c. NFPA 14 : Standpipe and Hose Systems.
B. Tout le matériel du système de protection contre l’incendie doit avoir l’agrément ULC ou FM.
A. Maintenir opérationnel en tout temps, le système d’extincteurs automatiques sous eau existant dans les
secteurs en rénovation et dans les secteurs existants non modifiés.
B. Dans les secteurs en rénovation, lorsque des arrêts de service temporaire du système de protection
incendie seront requis, fournir deux (2) extincteurs portatifs de 4.5 kg (10 lb), de type ABC, par 100 mètres
carrés (1000 pieds carrés) de bâtiment non protégé par extincteurs automatiques.
A. Vidanger les réseaux existants lorsque requis pour réaliser les travaux et les remplir à nouveau.
B. L’ingénieur autorisera l’utilisation des nouveaux réseaux d’extincteurs automatiques sous eau pendant les
travaux, au fur et à mesure que l’installation de ceux-ci progresse.
1.13 COORDINATION
A. Coordonner les travaux de protection contre l’incendie avec ceux des autres Divisions. Annoter et
signer les plans de fabrication des conduits d’air de la Division 23 qui auront été annotés et signés par
les autres corps de métier, afin de confirmer, à l'ensemble des intervenants, que la coordination au
chantier a été effectuée.
B. Aucun supplément ne sera payé à l’Entrepreneur pour modifier les installations et la position des
équipements, si des équipements interfèrent avec d’autres, suite à un manque de coordination au
chantier.
C. Obtenir l’approbation écrite du Propriétaire pour la position exacte et finale des équipements et
accessoires dans les différentes pièces du bâtiment.
A. Fournir et installer jusqu'aux drains ouverts les plus près, la tuyauterie nécessaire au drainage des
systèmes de protection contre l’incendie.
B. Fournir toutes les alimentations temporaires d'eau pour permettre les essais sur la tuyauterie et le
remplissage permanent.
B. Utiliser le système d’étanchéisation des percements « Link Seal » distribué par la compagnie Corrosion
Service.
A. Percements
1. Effectuer les percements requis par les travaux de cette Division et les coordonner conformément
aux prescriptions de la Section 01 31 00 - Gestion de projet et coordination. Indiquer la position
des ouvertures à percer sur le plan de découpage et réparation exigé à la Section 01 73 00 -
Exécution des travaux.
2. Pour tous les travaux susceptibles d'altérer la structure, obtenir l'approbation écrite de l'Ingénieur
en structure.
3. Le percement des trous par marteau pneumatique ou électrique à action vibratoire ainsi que le
percement à la main et tout autre procédé par chocs mécaniques sont prohibés. Effectuer les
percements au moyen d’une foreuse rotative à eau ou tout autre appareil accepté par l’Ingénieur en
structure.
4. Repérer la position de l’acier d’armature ou de tout élément encastré avant de procéder au
perçage. Éviter d’endommager l’acier d’armature ou les éléments encastrés lors du carottage ou
du perçage. Avertir l’Ingénieur en structure si l’on rencontre de l’acier d’armature ou autres
éléments encastrés lors du perçage. Localiser et éviter les armatures de précontrainte, les
conduits électriques et de télécommunications, ainsi que les conduites de gaz.
5. Effectuer les percements de trous dans le béton ou la maçonnerie après que le béton, le mortier ou
le coulis a atteint sa pleine résistance de conception.
B. Manchons
1. Les manchons doivent avoir les dimensions minimales suivantes en fonction des diamètres
nominaux des tuyaux y passant :
a. Tuyaux de DN 25 (NPS 1) à DN 90 (NPS 3-1/2) : manchon de diamètre nominal de 50 mm
(2 po) de plus que celui du tuyau y passant.
b. Tuyaux de DN 100 (NPS 4) et plus : manchon de diamètre nominal de 100 mm (4 po) de plus
que celui du tuyau y passant.
2. Calfeutrer l’espace annulaire entre le tuyau et le manchon.
3. Pour les manchons traversant le béton, utiliser du tuyau en acier de série 40, dépassant de chaque
côté le béton de 50 mm (2 po) lorsque le manchon traverse un plancher et de 25 mm (1 po)
lorsqu’il traverse un mur.
4. Les manchons sont requis dans les cas suivants :
a. Lors de la mise en place d’un nouveau plancher de béton au travers duquel passera de la
tuyauterie.
b. Dans le percement d’un mur de maçonnerie, d’une cloison sèche coupe-feu ou d’un plancher.
5. Les manchons ne sont pas requis dans les cas suivants :
a. Percement d’un mur de béton pour le passage de nouvelle tuyauterie.
b. Percement des planchers d’une cage d’escalier pour l’installation de tuyauterie de drainage et
gicleurs.
c. Dans une cloison sèche non coupe-feu.
C. Ouvertures préfabriquées
1. Les ouvertures à effectuer dans les éléments structuraux et architecturaux préfabriqués seront
faites à l'usine.
A. En conformité avec le Chapitre I du CCQ, à tous les endroits où des tuyaux ou des conduits traversent
un mur coupe-feu, un plancher ou toute autre barrière coupe-feu, fournir et installer un système de
scellement pare-feu et fumée. Calfeutrer l'espace libre entre les canalisations et les ouvertures selon les
méthodes approuvées par les ULC ou Warnoc Hersey.
B. Utiliser des produits pour assemblage à base de latex qui ne contiennent aucune silicone, ni solvant, ni
agent halogène.
E. Lorsque des manchons sont prévus pour le passage de câbles ou canalisations futures, ceux-ci doivent
avoir un diamètre minimal de 25 mm de plus que le diamètre du câble ou de la canalisation future.
Bourrer les manchons inutilisés de laine minérale et les calfeutrer pour les rendre étanches à l'air avec
un scellant ignifuge.
B. Réaliser des joints hermétiques entre les ouvrages et les tuyaux, manchons, canalisations et conduits.
C. Exécuter les travaux d'ajustement et de scellement nécessaires pour que les ouvrages raccordés ou liés
entre eux soient parfaitement assujettis.
D. Lors du raccordement d’un nouvel ouvrage à un autre déjà en place, et que ce dernier est modifié,
exécuter les travaux de scellement et de remise en état nécessaires pour l'adapter à l'ouvrage déjà en
place.
E. Exécuter les percements de manière que les rives soient propres et lisses, et faire en sorte que les joints
de scellement soient le moins apparents possible.
A. Sauf indication contraire, dissimuler les tuyaux, conduits et câblage dans les murs et les plafonds des
aires finies.
B. Aviser l’ingénieur avant de fermer les murs, planchers et plafonds dissimulant des tuyaux, conduits et
câblages afin qu’il effectue les inspections requises.
1. À défaut de se conformer à cette exigence, et à la demande de l’Ingénieur, découvrir les ouvrages
aux fins d’examen et les ragréer sans compensation.
A. Fournir les portes d'accès requises afin de rendre accessibles tous les équipements et accessoires
dissimulés nécessitant de l'entretien, des réparations ou un ajustement.
B. Choisir le modèle selon son attribution et le type de matériau dans lequel elles sont installées (voir la
Section 09 21 16).
1.21 PEINTURE
A. Aucun gicleur ne doit être peinturé. Protéger les gicleurs avec des sacs avant qu'on procède aux
travaux de peinture. Une fois les travaux de peinture terminés, remplacer tout gicleur peint ou
endommagé et en assumer les frais.
PARTIE 2 - PRODUITS
PARTIE 3 - EXÉCUTION
3.01 EXAMEN
A. La localisation de l'équipement montré aux plans est approximative. Vérifier sur les lieux avant de
commencer les travaux.
A. Effectuer, en présence de l’ingénieur qualifié et sous sa supervision, tous les essais et inspections sur
place.
B. Les essais doivent être effectués en présence des représentants, du Service des incendies de la Ville,
des représentants de SCM Services d’assurances. et des autorités de juridiction.
C. Effectuer les essais requis afin de vérifier la conformité aux exigences prescrites.
2.01 GÉNÉRALITÉS................................................................................................................................2
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 3
3.01 GÉNÉRALITÉS................................................................................................................................3
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les dessins et les dispositions générales du contrat, incluant les
Conditions générales et les Conditions supplémentaires, ainsi que les Sections de la Division 01.
1.02 RÉFÉRENCES
B. FM : Factory Mutual
D. UL : Underwriters Laboratories
1. UL 393 : Indicating Pressure Gauges for Fire-Protection Service
B. Données techniques sur les produits : pour chaque type de produit indiqué.
PARTIE 2 - PRODUITS
2.01 GÉNÉRALITÉS
A. Le point de mesure des manomètres choisis doit se situer au centre de la plage graduée.
2.02 MANOMÈTRES
A. Agréments
1. Répertoriés par UL et approuvés par FM.
D. Accessoires requis :
1. Robinet d’arrêt et port de drainage.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
3.01 GÉNÉRALITÉS
A. Placer les manomètres de manière qu'on puisse en faire la lecture à partir du plancher ou d'une plate-
forme.
B. Installer les manomètres à un endroit où ils ne seront pas soumis au gel et de manière à ce qu’ils
puissent être enlevés facilement.
C. Installer les manomètres entre les appareils et le premier raccord ou élément de robinetterie placé en
aval ou en amont, selon le cas.
3.02 MANOMÈTRES
2.01 GÉNÉRALITÉS................................................................................................................................2
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 5
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les dessins et les dispositions générales du contrat, incluant les
Conditions générales et les Conditions supplémentaires, ainsi que les Sections de la Division 01.
B. Données techniques sur les produits : pour chaque type de produit indiqué.
PARTIE 2 - PRODUITS
2.01 GÉNÉRALITÉS
A. Fabriquer les suspensions, les supports et les pièces de contreventement conformément aux normes
ANSI B31.1 et MSS-SP58.
B. Sauf indication contraire, tous les supports doivent être attachés directement à la structure ; il n’est pas
permis de suspendre une pièce d’équipement à une autre pièce d’équipement, gaine ou tuyau. Il n’est
pas permis d’utiliser du ruban métallique perforé en guise de collier ou support de tuyauterie ou
d’équipement. Les supports doivent être attachés à la structure au moyen d’attaches mécaniques.
C. Fixer les supports et les suspensions à la partie supérieure des éléments de charpente. S'il n'y a pas
d'éléments de charpente ou si les douilles d'ancrage ne se trouvent pas au bon endroit, fournir et
installer toutes les pièces de charpente supplémentaires nécessaires. Ne pas suspendre au tablier
métallique.
D. Aucun ancrage au fusil ne doit être employé à moins d'autorisation écrite de l'Ingénieur. Obtenir la
permission avant d’utiliser des douilles d’ancrage verticales à expansion. Utiliser au moins (2) deux
douilles pour tenir chaque étrier ou support.
F. Tous les supports doivent comporter au moins les trois pièces suivantes : douille d’ancrage, tige de
suspension, collier ou étrier.
G. L’espacement entre les supports de tuyaux groupés sera établi en fonction du tuyau de plus faible
dimension.
A. Ouvrage en béton
1. Douille d'ancrage pour ouvrage en béton coulé en place : douille à coin, en acier galvanisé,
conforme à la norme MSS-SP58, type 18, homologuée par les ULC pour la tuyauterie de diamètre
DN 3/4 à DN 8.
a. Qualité requise : Anvil, fig. 281.
2. Boulons d’ancrage adhésifs : système d’ancrage à pré-perçage et à capsule contenant une résine
polyvinylique ou à base d’uréthane méthacrylate et un accélérateur, ou à adhésif polymérique ou
en mortier hybride injecté. Fournir les boulons d’ancrage et accessoires en acier galvanisé.
Choisir les boulons d’ancrage ayant la résistance prescrite pour l’ancrage selon essais suivant la
norme ASTM E 488.
3. Boulons d’ancrage mécaniques : du type à pré-perçage, à goujon en biseau ou à cône femelle, en
acier galvanisé. Choisir les boulons d’ancrage ayant la résistance prescrite pour l’ancrage selon
essais suivant la norme ASTM E 488. Longueur minimale égale à huit fois le diamètre.
4. Plaque en acier au carbone avec étrier, pour montage en applique : douille en fer malléable,
cheville expansible et boulon; au moins deux chevilles expansibles et deux boulons pour chaque
suspension.
a. Qualité requise : Anvil : plaque fig. 49, douille fig. 290 et cheville expansible fig. 117.
2. Tuyauterie de diamètre égal ou supérieur à DN 2-1/2 : étrier pour fixation à la semelle supérieure
d'une poutre, constitué d'une mâchoire en acier, d'une tige-crochet avec écrou, d'une rondelle
élastique et d'une rondelle ordinaire, conforme à la norme MSS-SP58, type 25, homologué par les
ULC.
a. Qualité requise : Anvil, fig. 227.
D. Poutrelle en acier :
1. Tuyauterie de diamètre égal ou inférieur à DN 2 : plaquette d'appui en acier, avec deux écrous de
blocage.
a. Qualité requise : Anvil, fig. 60.
2. Tuyauterie de diamètre égal ou supérieur à DN 2-1/2 : plaquette d'appui en acier avec deux écrous
de blocage, attaches soudables en acier au carbone et écrou à œillet en fer malléable.
a. Qualité requise : Anvil : plaque d'appui, fig. 60; attache soudable, fig. 66; écrou à œillet,
fig. 290.
A. Tige filetée, en acier au carbone, au fini noir ou électrogalvanisé, pour salles de machines.
1. Qualité requise : Anvil, fig. 146.
B. Les supports de tuyaux groupés seront fabriqués d’acier structural de formes I.U.H. ou de cornières et
de profilés préfabriqués en acier galvanisé. La soudure sera continue et exempte de grumeaux. Ces
supports seront assujettis à la structure avec des ancrages Philipps Red Head ou équivalent approuvé.
C. Des guides devront être fournis et installés aux endroits requis afin d’éviter le déplacement latéral de la
tuyauterie.
D. Tuyauterie en acier : étrier réglable, conforme à la norme MSS-SP58, type 1, homologué par les ULC.
1. Qualité requise : Anvil, fig. 260.
E. Tuyauterie en cuivre : étrier réglable, conforme à la norme MSS-SP58, type 1, au fini cuivré.
1. Qualité requise : Anvil, fig. CT-65, CT-121.
A. Pour tuyauterie en acier : collier en acier au carbone, au fini galvanisé, conforme à la norme MSS-SP58,
type 42, homologué par les ULC.
1. Qualité requise : Anvil, fig. 261.
B. Pour tuyauterie en cuivre : collier en acier au carbone, au fini cuivré, conforme à la norme MSS-SP58,
type 42.
1. Qualité requise : Anvil, fig. CT-121.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
A. L'espacement entre les supports/suspensions ainsi que le diamètre des tiges de suspension doivent être
conformes aux plus strictes des exigences précisées aux alinéas suivants ou dans le tableau ci-après.
B. Tuyauterie en cuivre de diamètre nominal DN 1/2 et moins : un (1) support/suspension tous les 1.5 m.
C. Tuyauterie cannelée à joints souples : selon les exigences du tableau ci-après, en comptant au moins
un (1) support/suspension à chaque joint.
Espacement maximal
Diamètre nominal du tuyau
Diamètre de la tige
(DN)
Acier Cuivre
Jusqu’à :
20 mm (¾ po) 10 mm (3/8 po) 1.5 m (5 pi) 1.5 m (5 pi)
25 mm (1 po) 10 mm (3/8 po) 1.5 m (5 pi) 1.5 m (5 pi)
30 mm (1¼ po) 10 mm (3/8 po) 2.1 m (7 pi) 1.8 m (6 pi)
40 mm (1½ po) 10 mm (3/8 po) 2.7 m (9 pi) 2.4 m (8 pi)
50 mm (2 po) 10 mm (3/8 po) 3.0 m (10 pi) 2.7 m (9 pi)
65 mm (2½ po) 15 mm (½ po) 3.0 m (10 pi) 3.0 m (10 pi)
75 mm (3 po) 15 mm (½ po) 3.0 m (10 pi) 3.0 m (10 pi)
90 mm (3½ po) 15 mm (½ po) 3.0 m (10 pi) 3.0 m (10 pi)
100 mm (4 po) 18 mm (5/8 po) 3.0 m (10 pi) 3.0 m (10 pi)
125 mm (5 po) 18 mm (5/8 po) 3.0 m (10 pi) 3.0 m (10 pi)
150 mm (6 po) 20 mm (¾ po) 3.0 m (10 pi)
200 mm (8 po) 23 mm (7/8 po) 3.0 m (10 pi)
250 mm (10 po) 23 mm (7/8 po) 3.0 m (10 pi)
300 mm (12 po) 23 mm (7/8 po) 3.0 m (10 pi)
A. Décaler les éléments d'ancrage des suspensions de manière que les tiges de suspension soient bien
droites lorsque le réseau est en service.
B. Régler la hauteur des tiges de suspension de manière que la charge soit uniformément répartie entre les
supports/suspensions.
A. Appliquer aux étriers, supports et pièces en métal ferreux non galvanisé deux couches de revêtement
prémélangé riche en zinc organique.
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 8
3.01 INSPECTION...................................................................................................................................8
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les dessins et les dispositions générales du contrat, incluant les
Conditions générales et les Conditions supplémentaires, ainsi que les Sections de la Division 01.
1.02 SOMMAIRE
A. Cette Section est un devis de performance en ce qui concerne les éléments suivants :
1. Calculs, conception et vérification des dispositifs de retenue parasismiques pour l’ensemble des
travaux de la Division 21. Il est obligatoire de mandater un ingénieur à ces fins. Se référer à
l’article « Services d’un ingénieur ».
B. Qualifications
1. L’ingénieur, ci-après nommé « l’ingénieur qualifié », doit être un membre en règle de l’OIQ,
spécialisé et reconnu dans le domaine de la protection sismique des composants fonctionnels et
opérationnels des bâtiments. Il doit bien connaître les normes référencées dans cette Section et
les prescriptions de la Partie 4 du CCQ relatives au calcul des dispositifs de retenue
parasismiques.
2. Fournir, sur demande, le curriculum vitae de l’ingénieur qualifié.
1.05 RÉFÉRENCES
D. CCQ : Code de construction du Québec – Chapitre 1, Bâtiment, et Code national du bâtiment – Canada
2005 (modifié).
K. OSHPD: Office of Statewide Health Planning and Development for the State of California.
B. Bâtiments existants : installer des dispositifs parasismiques sur les nouveaux équipements comme s’il
s’agissait de bâtiments neufs.
C. Documents concernant la conception comme suit : pour les détails des dispositifs antivibratoires et de
retenue parasismique devant être conformes aux exigences de performance et critères de conception, y
compris les données d’analyse signées par l’ingénieur qualifié responsable de leur préparation.
B. Certificats en soudage.
C. Données de qualification : pour l’ingénieur qualifié; se référer à l’article « Services d’un ingénieur ».
B. Fournir les fiches d'exploitation et d'entretien requises et les joindre au manuel mentionné à la Section
01 78 00 – Éléments à soumettre à l’achèvement des travaux.
C. Rapports de vérification et d’essais de contrôle de la qualité sur place. Se référer à l’article « Contrôle
de la qualité sur place » de la Partie 3.
D. Certificats de conformité.
1. L’ingénieur qualifié doit produire et signer des certificats de conformité aux étapes suivantes :
a. À l’achèvement des travaux dissimulés ;
b. À l’achèvement de l’ensemble des travaux.
1) Le certificat doit attester :
A) Que la totalité des travaux de la Division 21 est conforme aux exigences du CCQ en
matière de protection contre les charges dues aux séismes.
B) Que tous les dispositifs de retenues parasismiques sont conformes aux exigences
de cette Section ainsi qu’aux dessins d’ateliers soumis et revues.
A. Se conformer aux exigences du CCQ et de NFPA-13 en matière de protection sismique, sauf dans le
cas où les exigences de la présente Section sont plus rigoureuses.
B. Soudage : déterminer les procédures et habiliter le personnel selon l’AWS D1.1/D1.1M, « Structural
Welding Code - Steel. »
C. Les dispositifs de retenue parasismiques doivent être soumis à des essais et analyses de charges
horizontales et verticales et doivent porter un numéro OPA d’approbation préalable de l’ancrage de
l’OSHPD, avoir l’approbation préalable de l’ICC-ES, ou une approbation préalable d’un autre organisme
agréé par les autorités de juridiction, faisant apparaître les caractéristiques maximales des dispositifs de
retenue parasismiques. Les caractéristiques reposant sur des essais indépendants sont préférables à
celles provenant de calculs. Dans le cas où l’on ne dispose pas de caractéristiques pré-approuvées, les
données basées sur des essais indépendants sont préférables. Les calculs (comprenant les calculs des
charges de traction et de cisaillement combinées) venant à l’appui des conceptions des dispositifs de
retenue parasismiques doivent être signés par l’ingénieur qualifié.
PARTIE 2 - PRODUITS
A. Fabricants : sous réserve de leur conformité aux spécifications, les produits seront fournis par l’un des
fabricants suivants :
1. Amber/Booth Company, Inc.
2. California Dynamics Corporation.
3. Cooper B-Line, Inc.; a division of Cooper Industries.
4. Hilti, Inc.
5. Kinetics Noise Control.
6. Loos & Co.; Cableware Division.
7. Mason Industries.
8. TOLCO Incorporated; a brand of NIBCO INC.
9. Unistrut; Tyco International, Ltd.
B. Exigences générales pour les dispositifs de retenue : les résistances nominales, caractéristiques et
applications devront être telles que définies dans les rapports d’un membre d’un service d’évaluation de
l’ICC-ES, de l’OSHPD ou d’une agence agréée par les autorités de juridiction.
C. Type CV-1 : Contrevents à profilés en U : contrevents fabriqués en usine ou sur place, conformes à la
norme MFMA-4, composés de profilés en U à fentes en acier; les supports sont munis à une extrémité
d’accessoires de fixation à un composant de contreventement et, à l’autre extrémité, d’accessoires de
fixation à la structure du bâtiment ainsi que d’autres composants assortis; les supports sont protégés par
un revêtement résistant à la corrosion et ils doivent avoir la résistance à la tension, à la compression et
à la torsion spécifiées.
D. Type RT-1 : Raidisseur de tige de suspension : tuyau d’acier ou manchon de supportage en acier à
fentes avec fixations intérieures boulonnées à la tige de suspension; ou cornière de renforcement en
acier fixée à la tige de suspension.
E. Type DR-1 : Douilles pour boulons d’ancrage des équipements montés au sol : douilles en néoprène
pour supports rigides des équipements et assorties aux types et dimensions des boulons et goujons
d’ancrage.
F. Type DR-2 : Douilles pour ancrage des équipements montés au mur : éléments en néoprène et
manchons en acier prévus pour les supports rigides des équipements et assortis aux types et
dimensions des dispositifs de fixation utilisés.
H. Boulons d’ancrage mécaniques : du type à pré-perçage, à goujon en biseau ou à cône femelle, en acier
galvanisé. Choisir les boulons d’ancrage ayant la résistance prescrite pour l’ancrage selon essais
suivant la norme ASTM E 488. Longueur minimale égale à huit fois le diamètre.
I. Boulons d’ancrage adhésifs : système d’ancrage à pré-perçage et à capsule contenant une résine
polyvinylique ou à base d’uréthane méthacrylate et un accélérateur, ou à adhésif polymérique ou en
mortier hybride injecté. Fournir les boulons d’ancrage et accessoires en acier galvanisé. Choisir les
boulons d’ancrage ayant la résistance prescrite pour l’ancrage selon essais suivant la norme
ASTM E 488.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
3.01 INSPECTION
A. Inspecter les zones et les équipements devant recevoir les isolateurs de vibration et dispositifs
parasismiques pour en vérifier la conformité aux exigences de tolérances d’installation et autres
conditions pouvant affecter le comportement des isolateurs et dispositifs.
B. Inspecter l’installation primaire des renforcements et des ancrages coulés sur place afin de vérifier les
emplacements réels avant installation.
C. Ne procéder à l’installation que lorsque les conditions non satisfaisantes ont été corrigées.
3.02 APPLICATIONS
A. Supports de tuyauteries multiples : fixer les tuyauteries aux membrures trapézoïdales à l’aide de colliers
de serrage approuvés pour l’application par un membre d’un service d’évaluation de l’ICC-ES, l’OSHPD
ou une agence agréée par les autorités de juridiction.
B. Raidisseurs de tiges de suspension : installer des raidisseurs de tiges de suspension lorsqu’ils sont
nécessaires pour empêcher le flambage des tiges de suspension sous l’action des forces sismiques.
C. Résistance des supports et dispositifs de retenue parasismiques : lorsqu’il n’existe aucune indication,
choisir les tailles des composants de façon à ce que leur résistance soit suffisante pour supporter les
charges statiques et sismiques actuelles et futures dans les limites de charges spécifiées.
C. Installer des dispositifs de retenue parasismiques en employant les méthodes approuvées par un
membre d’un service d’évaluation de l’ICC-ES, l’OSHPD ou une agence agréée par les autorités de
juridiction et en soumettant pour vérification les documents requis pour le composant. Se référer à
l’article « Éléments à soumettre pour action ».
D. Installer les douilles pour boulons d’ancrage des équipements montés au sol de façon à pouvoir installer
un matériau résilient entre le boulon d’ancrage et le trou de fixation dans la base en béton.
E. Installer les douilles pour boulons de fixation des équipements montés au mur de façon à pouvoir
installer un matériau résilient à l’endroit où l’équipement ou les profilés de montage de l’équipement sont
fixés au mur.
F. Fixation à la structure : si un type spécifique de fixation n’est pas indiqué, fixer le contreventement à la
structure aux ailes de poutres, aux membrures supérieures des fermes de poutres en treillis, ou aux
éléments de béton.
G. Ancrages à pré-perçage :
1. Repérer la position de l’acier d’armature ou de tout élément encastré avant de procéder au perçage
des trous pour ancrages. Ne pas endommager l’acier d’armature ou les éléments encastrés lors du
carottage ou du perçage. Avertir l’Ingénieur en structure si l’on rencontre de l’acier d’armature ou
autres éléments encastrés lors du perçage. Localiser et éviter les armatures de précontrainte, les
conduits électriques et de télécommunications, ainsi que les conduites de gaz.
2. Ne pas percer de trous dans le béton ou la maçonnerie avant que le béton, le mortier ou le coulis
n’ait atteint sa pleine résistance de conception.
A. Installer des raccordements flexibles dans les tuyauteries aux endroits où elles traversent des joints
sismiques, aux endroits où des sections ou embranchements adjacents sont supportés par des
éléments de structure différents, et lorsque le dernier raccordement se trouve sur un équipement ancré
à un élément de structure différent de celui supportant les raccordements en amont de cet équipement.
Se conformer aux exigences des différentes Sections de la Division 21 traitant des tuyauteries pour
l’installation des raccordements flexibles.
2.02 PLAQUES D'IDENTIFICATION DES RÉSEAUX, DES APPAREILS ET DES ROBINETS ...................................3
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 5
3.03 INSTALLATION................................................................................................................................6
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les dessins et les dispositions générales du contrat, incluant les
Conditions générales et les Conditions supplémentaires, ainsi que les Sections de la Division 01.
1.02 SOMMAIRE
1.03 RÉFÉRENCES
B. Données techniques sur les produits : pour chaque type de produit indiqué.
C. Échantillons
1. Soumettre des échantillons, des plaques d'identification et des étiquettes, ainsi que les listes des
légendes proposées.
PARTIE 2 - PRODUITS
A. Plaques signalétiques en métal ou en stratifié, fixées mécaniquement aux pièces de matériel par le
fabricant.
C. Les renseignements ci-après, selon le cas, doivent être indiqués sur les plaques signalétiques.
1. Appareil : nom du fabricant, modèle, dimensions, numéro de série, puissance, débit.
2. Moteur : tension, fréquence du courant d'alimentation, nombre de phases, puissance, type de
service, dimensions du bâti.
A. Couleurs
1. Lettrage blanc sur fond rouge.
C. Formats
1. Selon les indications du tableau ci-après.
2.03 PEINTURE
B. Lorsque le système d'identification existant ne prévoit pas l'identification des nouveaux ouvrages
installés, ceux-ci doivent être identifiés selon les prescriptions de cette Section.
C. Le fluide véhiculé dans les tuyauteries doit être identifié par des marquages de couleur de fond, par des
pictogrammes (au besoin) ou par des légendes; le sens d'écoulement doit être indiqué par des flèches.
À moins d'indications contraires, les tuyauteries doivent être identifiées conformément à la norme
CAN/CGSB 24.3.
D. Pictogrammes
1. Le cas échéant, les pictogrammes doivent être conformes aux exigences du Système d'information
sur les matières dangereuses utilisées au travail (SIMDUT).
E. Légendes
1. Lettres majuscules de hauteur conformes au tableau suivant :
Diamètre extérieur
Dimensions
du tuyau ou
des lettres (mm)
de son revêtement
20 à 32 mm 13 mm
40 à 50 mm 20 mm
65 à 150 mm 32 mm
200 à 250 mm 65 mm
Plus de 250 mm 90 mm
H. Matériaux
1. Peinture : conforme à la norme CAN/CGSB-1.60.
2. Matériaux de fabrication des marquages de couleur de fond, du lettrage (légendes) et des flèches
a. Tubes et tuyaux de 20 mm de diamètre ou moins : étiquettes en plastique, autocollantes,
hydrofuges et résistantes à la chaleur.
b. Autres tuyaux : étiquettes en toile plastifiée, autocollantes, à revêtement de protection et à
endos enduit d'un adhésif de contact hydrofuge, conçues pour résister à un taux d'humidité
relative de 100 %, à une chaleur constante de 150°C et à une chaleur intermittente de 200°C.
c. Enrouler les étiquettes autour du tuyau en faisant chevaucher les extrémités sur une longueur
équivalente au diamètre du tuyau.
d. Produit acceptable : Brady Worldwide.
Eau, extincteur automatique EAU EXTINCTEUR AUTO Rouge Blanc Rouge RAL3024
Eau, canalisation incendie EAU CANALISATION INCENDIE Rouge Blanc Rouge RAL3024
A. Les inscriptions servant à l'identification des systèmes et des éléments doivent être rédigées en français.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
A. N'entreprendre l'identification des réseaux et des appareils que lorsque tous les travaux de peinture sont
terminés dans l’édifice.
3.03 INSTALLATION
A. Sauf indication contraire, identifier les réseaux et les appareils conformément à la norme
CAN/CGSB-24.3.
A. Il faut qu'on puisse les lire facilement. Elles ne doivent pas être peinturées ni recouvertes de calorifuge.
3.05 PEINTURAGE
A. Emplacement
1. Les plaques doivent identifier clairement les appareils et/ou les réseaux de tuyauterie et elles
doivent être posées à des endroits où elles seront bien en vue et facilement lisibles à partir du
plancher de travail.
B. Protection
1. Ne pas appliquer de peinture, ni aucun revêtement sur les plaques d'identification.
A. Sur les longues tuyauteries dans les aires ouvertes des chaufferies, des locaux de matériel et des
galeries techniques : à intervalles n'excédant pas 17 m, de manière qu'on puisse en voir facilement au
moins un à partir de n'importe quel point des aires d'exploitation ou des allées.
C. Dans chaque petite pièce où passent les canalisations (au moins un élément).
D. De chaque côté des obstacles visuels ou aux endroits où il est difficile de suivre le tracé des réseaux.
E. De chaque côté des séparations, comme les murs, les planchers ou les cloisons.
F. Aux endroits où les tuyauteries sont dissimulées dans un caniveau, un vide de plafond, une gaine ou
une galerie technique, ou tout autre espace restreint, aux points d'entrée et de sortie, et près des
ouvertures de visite.
G. Aux points de départ et d'arrivée de chaque canalisation ou conduit, et près de chaque pièce de
matériel.
H. Immédiatement en amont des principaux appareils de robinetterie, sinon le plus près possible, de
préférence du côté amont.
I. De manière que la désignation soit facilement lisible à partir des aires d'exploitation habituelles et de
tous les points facilement accessibles.
1. Perpendiculairement à la meilleure ligne de vision possible, compte tenu de l'endroit où se trouve
habituellement le personnel d'exploitation, des conditions d'éclairage, de la diminution de visibilité
des couleurs ou des légendes causée par l'accumulation de poussière et de saleté, ainsi que du
risque d'endommagement ou d'avarie.
A. Identifier tous les robinets de contrôle, de drainage et d’essai avec des plaques indiquant leur fonction.
1. Les plaques d’identification des robinets de contrôle doivent aussi indiquer la portion de l’immeuble
desservi.
B. Lorsque des robinets de contrôle sont installés dans une pièce fermée ou dans un espace dissimulé,
installer des plaques d’identification à des endroits approuvés à l’extérieur de la pièce ou près de
l’espace dissimulé pour indiquer leur l’emplacement.
A. Installer des plaques telles qu’exigées par les normes NFPA 13 et NFPA 14 pour donner les paramètres
de calcul hydraulique des systèmes de protection contre l’incendie. Placer ces plaques près des
robinets de contrôles d’entrées d’eau, des soupapes d’alarme, des systèmes à préaction et des
systèmes déluges alimentant les zones correspondant à ces paramètres de conception.
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 5
3.01 INSTALLATION................................................................................................................................5
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les dessins et les dispositions générales du contrat, incluant les
Conditions générales et les Conditions supplémentaires, ainsi que les Sections de la Division 01.
1.02 RÉFÉRENCES
A. Système d'extincteurs automatiques calculé conformément aux Normes NFPA 13 et NFPA 45, en
fonction des paramètres suivants :
1. Risque à maîtriser
a. Les niveaux de risques à maîtriser sont indiqués sur les dessins. Il est interdit de concevoir
quelconque partie des installations à un niveau de risque inférieur.
b. Diamètre et disposition de la tuyauterie
1) Installation conçue selon le calcul hydraulique.
2) Disposition des têtes d'extincteurs : selon la Norme NFPA 13.
3) Alimentation en eau
A) Soumettre le réseau d'alimentation en eau à des essais hydrostatiques
(débit/pression), à proximité du système d'extincteurs prévu, afin de déterminer les
données de base qui serviront aux calculs, selon la Norme NFPA 13.
c. Zonage du système d'extincteurs
1) Système divisé en zones, selon les indications.
A. Se conformer aux exigences de la Section 01 33 00 – Procédures pour les éléments à soumettre et aux
exigences de la Norme NFPA 13.
B. Données techniques sur les produits : pour chaque type de produit indiqué.
A. Fournir les instructions relatives à l'entretien du système et les joindre au manuel mentionné à la
Section 01 78 00 – Éléments à soumettre à l’achèvement des travaux.
B. Fournir les têtes d'extincteurs de rechange dans un boîtier et les outils nécessaires, selon la Norme
NFPA 13.
PARTIE 2 - PRODUITS
A. Tuyauterie
1. En acier noir pour une pression d’opération minimum de 1 200 kPa et maximum de 2 070 kPa.
2. Tuyauterie à souder ou à rainurer par laminage.
a. Jusqu’à DN 125 mm : série 10, ASTM A-135, grade A.
b. Jusqu’à DN 150 mm : 3,4 mm, ASTM A-53, grade A.
c. Jusqu’à DN 200 mm et 250 mm : 4,78 mm, ASTM A-135, grade A.
3. Tuyauterie à fileter ou à rainurer par taillage.
a. Jusqu’à DN 150 mm : série 40, ASTM A-54, grade A.
b. DN 200 mm et plus : série 30, ASTM A-53, grade A.
4. Tuyauterie à fileter ou à rainurer par taillage, à paroi mince. À utiliser dans des applications à risque
faible, avec des systèmes sous eau, lorsque la tuyauterie est protégée des chocs.
B. Raccords et joints
1. Raccords pour des pressions d’opération de 1 200 kPa.
a. En fonte filetée; classe 125, selon ANSI, B16.4.
b. En fonte à brides; classe 125, selon ANSI, B16.1.
c. En fer malléable fileté; classe 150, selon ANSI, B16.3.
d. En acier soudé selon ASTM A-234.
e. À brides pour la tuyauterie et les raccords de classe 300, sleon ANSI B16.5.
f. Accouplements et raccords pour la tuyauterie à rainure.
1) Produit(s) acceptable(s) : Victaulic.
2. Raccords pour des pressions d’opération de 2 070 kPa.
a. En fonte filetée, classe 250, selon ANSI B16.4.
b. En fer malléable fileté, classe 300, selon ANSI B16.3.
c. En acier à souder selon ASTM A-234.
d. À brides pour la tuyauterie et les raccords de classe 300, selon ANSI B16.5.
A. Exigences générales : têtes d'extincteurs selon la Norme NFPA 13, homologuées par les ULC ou FM
pour utilisation dans un système de protection incendie.
B. Têtes inversées couverture étendue têtes pendantes a action rapide, chromées, à ampoule de verre
avec garde protecteur serie TY-B de Tyco.
1. Produit(s) acceptable(s) ; Tyco, serie EC-11 et EC-14
C. Têtes pendantes couverture étendue à action rapide pour montage encastré (pour installation dans les
plafonds), fini blanc.
1. Produit(s) acceptable(s) : tyco, modèle Royal Flush II.
D. Garde en tige d’acier recouvert d’un placage de zinc, permettant de protéger les têtes d’extincteurs
exposés aux chocs mécaniques.
1. Produit(s) acceptable(s) : Grinnell, Viking.
A. Caractéristiques générales : contacteurs conformes à la Norme NFPA 13, homologués par les ULC et
FM pour utilisation dans un système de protection incendie.
C. Contacteurs de débit.
1. Contacteurs avec contacts normalement ouverts et contacts normalement fermés, conçus pour
assurer la surveillance du système.
2. Produit(s) acceptable(s) : Potter, modèle VSR; Viking
D. Manocontacteurs d'alarme
1. Contacteurs avec contacts normalement ouverts et normalement fermés, conçus pour assurer la
surveillance du système.
2. Produit(s) acceptable(s) : Potter, modèle PS10-A; Viking
2.04 MANOMÈTRES
A. Manomètres homologués par les ULC et FM, conformes aux prescriptions de la Section 21 05 19 -
«Manomètres pour systèmes de protection contre l’incendie.
B. Pression maximale égale à deux fois, au moins, la pression de service au point d'installation.
A. Armoires pour entreposage du matériel d'entretien, des outils spéciaux et des têtes de rechange.
B. Armoires construites selon les Normes des fabricants des têtes d'extincteurs.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
3.01 INSTALLATION
B. Faire les essais en présence du représentant, des autorités compétentes ou de l’Ingénieur et fournir les
certificats des essais tels que demandés par la Norme NFPA 13.
C. Installer la tuyauterie de drainage des soupapes d’essai des réseaux d’extincteurs aux drains ouverts
prévus à cette fin.
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 8
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les dessins et les dispositions générales du contrat, incluant les
Conditions générales et les Conditions supplémentaires, ainsi que les Sections de la Division 01.
1.02 RÉFÉRENCES
A. Québec
1. CCQ : Code de construction du Québec – Chapitre I, Bâtiment, et Code national du bâtiment –
Canada 2005 (modifié).
A. Tous les travaux de la Division 22 doivent être exécutés par du personnel qualifié et détenteur d'une
carte de compétence.
A. Fournir et installer toute la tuyauterie et les accessoires temporaires de drainage sanitaire et pluvial et
d'eau froide et chaude domestique requis pour maintenir entièrement opérationnel, les équipements et
services qui doivent demeurer fonctionnels pendant les travaux et ce, dans les secteurs nouveaux et
réaménagés.
B. Les méthodes utilisées par l’Entrepreneur pour assurer le fonctionnement temporaire des équipements
sont de son entière responsabilité. Cependant, les méthodes et les accessoires doivent respecter en
tout temps les exigences des codes et normes en vigueur.
C. Les équipements à maintenir opérationnels sont en fonction des phases des travaux décrits aux
conditions générales du contrat de l'Entrepreneur. Coordonner les travaux temporaires avec le
Propriétaire, et avec tous les corps de métier concernés.
D. Les travaux temporaires de tuyauterie s'appliquent à tous les appareils existants et devant être
maintenus opérationnels au cours des travaux, ainsi qu'aux équipements relocalisés temporairement.
A. Vidanger les réseaux existants lorsque requis pour réaliser les travaux et les remplir à nouveau.
B. À la jonction des raccordements sur les réseaux existants, remplacer par un isolant identique ou
similaire, l’isolant enlevé pour effectuer les raccordements incluant le chemisage et la finition.
1.06 COORDINATION
A. Coordonner les travaux de plomberie avec ceux des autres Divisions. Annoter et signer les plans de
fabrication des conduits d’air de la Division 23 qui auront été annotés et signés par les autres corps de
métier, afin de confirmer, à l'ensemble des intervenants, que la coordination au chantier a été effectuée.
B. Aucun supplément ne sera payé à l’Entrepreneur pour modifier les installations et la position des
équipements, si des équipements interfèrent avec d’autres, suite à un manque de coordination au
chantier.
C. Obtenir l’approbation écrite du Propriétaire pour la position exacte et finale des équipements et
accessoires dans les différentes pièces du bâtiment.
A. Installer tout l’équipement fourni aux termes d’une autre Division qui demande à être raccordés aux
systèmes fournis et installés aux termes de la présente Division, et faire tous les raccordements
nécessaires montrés aux plans ou décrits au devis.
B. Matériel fourni aux termes de la Division 25 – Automatisation intégrée, sans être limitative, la liste inclut :
1. Puits d’immersion pour l’instrumentation de la Division 25.
2. Robinets de contrôle.
B. Utiliser le système d’étanchéisation des percements « Link Seal » distribué par la compagnie Corrosion
Service.
A. Percements
1. Effectuer les percements requis par les travaux de cette Division et les coordonner conformément
aux prescriptions de la Section 01 31 00 - Gestion de projet et coordination. Indiquer la position
des ouvertures à percer sur le plan de découpage et réparation exigé à la Section 01 73 00 -
Exécution des travaux.
2. Pour tous les travaux susceptibles d'altérer la structure, obtenir l'approbation écrite de l'Ingénieur
en structure.
3. Le percement des trous par marteau pneumatique ou électrique à action vibratoire ainsi que le
percement à la main et tout autre procédé par chocs mécaniques sont prohibés. Effectuer les
percements au moyen d’une foreuse rotative à eau ou tout autre appareil accepté par l’Ingénieur en
structure.
4. Repérer la position de l’acier d’armature ou de tout élément encastré avant de procéder au
perçage. Éviter d’endommager l’acier d’armature ou les éléments encastrés lors du carottage ou
du perçage. Avertir l’Ingénieur en structure si l’on rencontre de l’acier d’armature ou autres
éléments encastrés lors du perçage. Localiser et éviter les armatures de précontrainte, les
conduits électriques et de télécommunications, ainsi que les conduites de gaz.
5. Effectuer les percements de trous dans le béton ou la maçonnerie après que le béton, le mortier ou
le coulis a atteint sa pleine résistance de conception.
B. Manchons
1. Les manchons doivent avoir un minimum de 25 mm (1 po) de plus que les éléments passant au
travers, isolation incluse s'il y a lieu. Calfeutrer l'espace libre entre ces éléments et le contour du
manchon. Pour les manchons traversant le béton, utiliser du tuyau en acier de série 40, de
diamètre permettant le passage du conduit et dépassant de chaque côté le béton de 50 mm (2 po)
lorsque le manchon traverse un plancher ; 25 mm (1 po) au travers un mur.
2. Les manchons sont requis dans les cas suivants :
a. Lors de la mise en place d’un nouveau plancher de béton au travers duquel passera de la
tuyauterie.
b. Dans le percement d’un mur de maçonnerie, d’une cloison sèche coupe-feu ou d’un plancher.
3. Les manchons ne sont pas requis dans les cas suivants :
a. Percement d’un mur de béton pour le passage de nouvelle tuyauterie
b. Percement des planchers d’une cage d’escalier pour l’installation de tuyauterie de drainage.
c. Dans une cloison sèche non coupe-feu.
C. Ouvertures préfabriquées
1. Les ouvertures à effectuer dans les éléments structuraux et architecturaux préfabriqués seront
faites à l'usine.
A. En conformité avec le Chapitre I du CCQ, à tous les endroits où des tuyaux ou des conduits traversent
un mur coupe-feu, un plancher ou toute autre barrière coupe-feu, fournir et installer un système de
scellement pare-feu et fumée. Calfeutrer l'espace libre entre les canalisations et les ouvertures selon les
méthodes approuvées par les ULC ou Warnoc Hersey.
B. Utiliser des produits pour assemblage à base de latex qui ne contiennent aucune silicone, ni solvant, ni
agent halogène.
E. Lorsque des manchons sont prévus pour le passage de câbles ou canalisations futures, ceux-ci doivent
avoir un diamètre minimal de 25 mm de plus que le diamètre du câble ou de la canalisation future.
Bourrer les manchons inutilisés de laine minérale et les calfeutrer pour les rendre étanches à l'air avec
un scellant ignifuge.
B. Réaliser des joints hermétiques entre les ouvrages et les tuyaux, manchons, canalisations et conduits.
C. Exécuter les travaux d'ajustement et de scellement nécessaires pour que les ouvrages raccordés ou liés
entre eux soient parfaitement assujettis.
D. Lors du raccordement d’un nouvel ouvrage à un autre déjà en place, et que ce dernier est modifié,
exécuter les travaux de scellement et de remise en état nécessaires pour l'adapter à l'ouvrage déjà en
place.
E. Exécuter les percements de manière que les rives soient propres et lisses, et faire en sorte que les joints
de scellement soient le moins apparents possible.
A. Sauf indication contraire, dissimuler les tuyaux, conduits et câblage dans les murs et les plafonds des
aires finies.
B. Aviser l’ingénieur avant de fermer les murs, planchers et plafonds dissimulant des tuyaux, conduits et
câblages afin qu’il effectue les inspections requises.
1. À défaut de se conformer à cette exigence, et à la demande de l’Ingénieur, découvrir les ouvrages
aux fins d’examen et les ragréer sans compensation.
A. Fournir des raccords diélectriques pour joindre des tuyaux faits de métaux différents.
B. Fournir des raccords-unions diélectriques sur la tuyauterie de DN 50 et moins et des brides sur la
tuyauterie de DN 65 et plus.
A. Aux endroits où il est nécessaire de disjoindre la tuyauterie de l'équipement, installer des brides ou des
unions.
1. Sur la tuyauterie de DN 50 et moins, installer des unions de même calibre que les accessoires et
les robinets.
2. Sur la tuyauterie de DN 65 et plus, installer des brides de marque Ladish, Tube ou Taylor Forge ou
équivalent, de même calibre que les accessoires et les robinets. Utiliser des brides de type
«welding neck».
B. Munir tous les joints à brides de boulons, de grosseurs appropriées, d’écrous et de rondelles. Utiliser
des boulons de longueur égale à l'épaisseur des deux brides, de l'écrou et des deux rondelles.
C. Sur la tuyauterie en acier inoxydable utiliser des brides et des écrous en acier inoxydable. Prévoir des
rondelles et des manchons en néoprène pour éviter le contact de deux métaux différents.
A. Poser des écussons de parement là où les tuyaux traversent des murs, cloisons, planchers et plafonds
finis.
B. Aux murs et aux plafonds, poser des écussons en laiton chromé ou nickelé munies de vis d'arrêt.
C. Le diamètre intérieur doit correspondre au diamètre extérieur du tuyau calorifugé. Le diamètre extérieur
doit être supérieur à celui de l'ouverture ou du manchon.
D. Si le manchon dépasse le plancher fini, les écussons ou les plaques doivent entourer le prolongement
du manchon.
E. Les fixer au tuyau ou à la surface finie, mais non au calorifuge. Dans les salles insonorisées, une
rondelle en caoutchouc doit être posée entre le tuyau et l’écusson pour empêcher la vibration.
A. Fournir les portes d'accès requises afin de rendre accessibles tous les équipements et accessoires
dissimulés nécessitant de l'entretien, des réparations ou un ajustement.
B. Choisir le modèle selon son attribution et le type de matériau dans lequel elles sont installées (voir la
Section 09 21 16.
A. Avant d'effectuer les travaux de drainage ou de plomberie, s’assurer que la profondeur des égouts est
telle que les drains puissent être posés de façon satisfaisante en conformité avec les plans.
1. S'il n'en est pas ainsi, en informer immédiatement l'Ingénieur, lui donnant tous les détails et
n'effectuer cette partie de l'ouvrage que sur réception d’un plan révisé et après avoir vérifié que les
inexactitudes ont été rectifiées.
PARTIE 2 - PRODUITS
PARTIE 3 - EXÉCUTION
A. Emplacement
1. L'emplacement des équipements, conduits et appareils divers indiqués ou décrits sur les dessins,
est approximatif.
2. Avant d'installer tout appareil, équipement, conduits et accessoires, vérifier l’emplacement exact
des équipements et s'assurer également que les installations existantes ne nuisent d'aucune façon.
3. Advenant qu’il y ait divergence entre les plans de différent professionnels (Architecte, Ingénieur)
concernant l’emplacement des équipements, demander par écrit aux professionnels concernés,
une confirmation quant à la position définitive des équipements. Si l’Entrepreneur installe des
équipements avant d’obtenir l’interprétation des plans et devis par les professionnels, il devra, si
requis, relocaliser les équipements en fonction des directives des professionnels et en assumer les
frais.
4. Installer les appareils et les conduits de manière à limiter les encombrements et à conserver le plus
de surface utile possible, et ce, conformément aux recommandations du fabricant et aux exigences
du Propriétaire quant à la sécurité, à l'accès et à l'entretien.
5. Assumer les coûts reliés aux déviations requises dans les conduits et accessoires, pour éviter toute
interférence entre les ouvrages des différents corps de métier.
6. À la demande de l'Ingénieur, soumettre les plans d’agencement indiquant la position proposée pour
les divers services et équipements.
7. Informer l'Ingénieur du calendrier d'installation et demander son approbation quant à l'emplacement
exact assigné.
a. En fonction des commentaires du Propriétaire sur le chantier, la position finale de
l’équipement pourrait être légèrement modifiée par rapport à celle indiquée sur les dessins.
Par contre, elle sera indiquée avant l’installation et aucun frais associé à de tels changements
de position ne pourra être facturé.
B. Installation
1. Sauf indications contraires, se conformer aux plus récentes instructions écrites du fabricant
concernant les matériaux et l’équipement à utiliser, et les méthodes d’installation.
a. Aviser l’Ingénieur, par écrit, de toutes divergences entre les plans et devis et les instructions
du fabricant afin qu’il détermine les documents à utiliser.
2. S’assurer que les planchers et les dalles recevant les équipements au sol sont de niveau.
3. Fournir les pièces de fixation et les accessoires en métal de même texture, couleur et fini que le
support auquel ils sont fixés. Utiliser des attaches, des ancrages et des cales à l’épreuve de la
corrosion pour assujettir les ouvrages extérieurs et intérieurs.
4. Assujettir solidement aux éléments constitutifs du bâtiment tous les équipements montés sur une
structure d’acier ou de béton par l’intermédiaire de ressort antivibration ou de poutre Utiliser des
boulons d’ancrage ou de cordons de soudure afin d’assurer que l’ensemble des équipements ne
peut glisser de ses points d’attache en raison de vibrations du bâtiment ou à proximité du bâtiment.
5. Aligner les rives des pièces d’équipement avec les murs du bâtiment.
6. S'assurer que l'entretien et le démontage pourront se faire en n’ayant pas à déplacer les éléments
de jonction de la tuyauterie et des conduits par l’utilisation de raccords, unions et de brides et ce,
sans que les éléments de charpente du bâtiment ou toute autre installation constituent un obstacle.
7. Vérifier les raccords effectués en usine et les resserrer au besoin pour assurer l’intégrité de
l’installation.
8. Amener les canalisations de drainage d’équipement aux drains.
9. Fournir un moyen facile de lubrifier le matériel, y compris les paliers lubrifiés à vie. Les points de
lubrification difficiles d’accès ou multiples pour un même appareil seront ramenés à un même
endroit à l’aide de tubes.
A. Généralités
1. Installer toute la tuyauterie et l’équipement de plomberie le plus haut possible afin de permettre
l'installation des plafonds le plus haut possible dans chacune des pièces.
2. Poser la tuyauterie en ligne droite, près des murs et des plafonds, et parallèlement à ces surfaces.
Régulariser la pente de la tuyauterie conformément aux prescriptions. Utiliser des raccords
standards et des coudes à long rayon lorsque la canalisation change de direction.
3. Poser les groupes de tuyaux parallèlement les uns aux autres; les espacer de façon à faciliter le
calorifugeage, l'identification des tuyaux, l'entretien et les réparations. Monter les tuyaux sur des
colliers de suspension trapézoïdaux.
4. Poser les canalisations dissimulées le plus près possible de la charpente du bâtiment pour réduire
au minimum l'espace réservé à la fourrure; laisser le plus grand dégagement possible.
5. Poser des réducteurs excentriques sur la tuyauterie horizontale de façon à faciliter la vidange et à
éliminer les poches d'air.
6. Lorsque le diamètre des tuyaux diffère du diamètre des raccords de l'équipement, poser des
réducteurs sur ces derniers. Il est défendu d'utiliser des manchons de réduction.
7. Les tuyaux et tubes en laiton et en cuivre ne doivent pas être endommagés; dans le cas contraire, il
faut les remplacer.
8. Aléser les extrémités des tuyaux avant de procéder au raccordement.
9. Poser les tubes en cuivre de façon à ce qu'ils ne soient pas en contact avec un métal différent et
qu'ils ne soient pas bosselés ou aplatis.
10. Utiliser un lubrifiant non corrosif ou du ruban en téflon pour recouvrir le filetage.
a. Ruban de téflon :
C. Dilatation
1. Installer la tuyauterie de sorte qu'elle ait la liberté de se dilater et de se contracter sans imposer
d'efforts excessifs aux embranchements, ou causer du flambage.
D. Manchons de caoutchouc
1. Fournir et installer des manchons en caoutchouc à tous les endroits où la tuyauterie de cuivre est
en contact avec tout matériau ferreux.
2.01 GÉNÉRALITÉS................................................................................................................................3
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 4
3.02 INSTALLATION................................................................................................................................4
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières, ainsi que les Sections de spécification de la Division 01.
1.02 SOMMAIRE
B. Les responsabilités du fournisseur et de l'installateur sont indiquées sur la nomenclature des moteurs,
des commandes et des appareils, qui fait partie des dessins des installations électriques, et les
responsabilités touchant les appareils mécaniques connexes sont indiquées sur la nomenclature des
systèmes mécaniques, qui fait partie des dessins des installations mécaniques.
C. Le câblage et les canalisations électriques des circuits de commande sont prescrits à la Division 26,
sauf pour le câblage, les canalisations et les connexions de moins de 50 V associés aux systèmes de
commande/régulation prescrits à la Division 25. Pour connaître les exigences concernant la qualité des
matériaux et la qualité d'exécution des travaux, se reporter à la Division 26.
1.03 RÉFÉRENCES
A. Fiches techniques
1. Soumettre les fiches techniques requises ainsi que les spécifications et la documentation des
fabricants concernant les produits conformément à la Section 01 33 00 – Procédures pour les
éléments à soumettre. Préciser les caractéristiques des produits, les critères de performance et les
contraintes.
A. Fournir les fiches d'entretien des moteurs, des transmissions et des gardes, et les joindre au manuel
mentionné à la Section 01 78 00 – Éléments à soumettre à l’achèvement des travaux.
PARTIE 2 - PRODUITS
2.01 GÉNÉRALITÉS
A. Fournir des moteurs à rendement élevé, selon les indications de la norme ASHRAE 90.1-2004 et du
tableau suivant :
Note : Les efficacités nominales doivent être déterminées en conformité avec la norme MG1 de la NEMA. Design A et
Design B sont des désignations de classe de la National Electrical Manufacturers Association (NEMA) pour des moteurs
CA, petits et moyens, à induction et à fréquence fixe.
2.02 MOTEURS
A. Fournir les moteurs prescrits pour les appareils et les systèmes mécaniques visés.
B. Moteurs de moins de 1/2 HP: sauf indication contraire sur les dessins ou dans le devis, moteurs
monophasés, 120 V, vitesse selon les indications, pour service continu, avec protection intégrée contre
les surcharges et support résilient.
C. Moteurs de 1/2 HP et plus : sauf indication contraire, moteurs abrités, conformes aux normes EEMAC
pertinentes, triphasés, 575 V, de classe B, à induction à cage d'écureuil, à roulements à billes, vitesse
selon les indications, pour service continu, à élévation de température ne dépassant pas 40 degrés
Celsius.
D. Roulements :
1. Moteurs de moins de 15 HP : à billes prélubrifiées.
E. Exigence générale concernant les moteurs pour entraînement à vitesse variable : Conformes à la norme
NEMA MG-1, Section IV, Partie 31.
A. Si un retard dans la livraison d'un moteur prescrit a pour conséquence de retarder l'achèvement des
travaux ou la mise en service de l'installation, installer un moteur provisoire approuvé par l'Ingénieur.
Les travaux seront acceptés seulement lorsque le moteur prescrit aura été installé.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
3.02 INSTALLATION
B. Les appareils et les éléments doivent être amovibles aux fins d'entretien et ils doivent être faciles à
remettre et à fixer en place.
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 3
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les dessins et les dispositions générales du contrat, incluant les
Conditions générales et les Conditions supplémentaires, ainsi que les Sections de la Division 01.
1.02 SOMMAIRE
A. Compatibilité : les produits doivent être conçus en fonction des fluides véhiculés, ainsi que des
matériaux, pressions et températures de service des tuyauteries.
B. Capacité : les produits doivent absorber 200 % du déplacement axial maximal entre ancrages.
B. Données techniques sur les produits : pour chaque type de produit indiqué.
B. Certificats en soudage.
A. Données d'entretien : celles relatives aux joints de dilatation doivent figurer dans les manuels
d’entretien.
PARTIE 2 - PRODUITS
PARTIE 3 - EXÉCUTION
A. Installer des joints de dilatation dont les diamètres correspondent à ceux des tuyauteries concernées.
3.02 ENDROITS
2.01 GÉNÉRALITÉS................................................................................................................................2
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 3
3.01 GÉNÉRALITÉS................................................................................................................................3
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières, ainsi que les Sections de spécification de la Division 01.
1.02 RÉFÉRENCES
B. CAN/CGSB-14.4, Thermomètres indicateurs, à dilatation de liquide dans une gaine de verre, de type
commercial/industriel.
B. Soumettre les fiches techniques produites par les fabricants dans le cas des éléments suivants:
1. Thermomètres.
2. Manomètres.
PARTIE 2 - PRODUITS
2.01 GÉNÉRALITÉS
A. Le point de mesure des thermomètres et des manomètres choisis doit se situer au centre de la plage
graduée.
A. Thermomètres industriels, à angle de lecture variable, à affichage DEL, fonctionnant à l’énergie solaire,
boîtier de 180 mm de longueur.
1. Produit de référence : Trerice SX9 Solar Therm.
2. Produit(s) acceptable(s) : Ashcroft; Marsh; Winters.
2.04 MANOMÈTRES
B. Les caractéristiques ou les éléments suivants doivent être prévus pour chacun des thermomètres et des
manomètres installés, selon le cas :
1. Un amortisseur lorsqu'il s'agit de réseaux soumis à des pulsations de pression.
2. Un séparateur à membrane lorsqu'il s'agit de réseaux de fluides corrosifs.
3. Une collerette et un évent de sécurité à l'arrière, un bourrelet de renfort à l'avant.
4. Un robinet d'arrêt.
5. Type à bain d'huile dans le cas d'installations soumises à des vibrations.
6. Produit(s) acceptable(s) : Ashcroft; Marsh; Trerice; Winters.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
3.01 GÉNÉRALITÉS
A. Placer les instruments de manière qu'on puisse en faire la lecture à partir du plancher ou d'une plate-
forme. Autrement, installer des téléthermomètres et des télémanomètres.
B. Installer les instruments entre les appareils et le premier raccord ou élément de robinetterie placé en
aval ou en amont, selon le cas.
3.02 THERMOMÈTRES
A. Placer toujours les thermomètres dans des puits thermométriques garnis d'un matériau
thermoconducteur.
B. Installer des thermomètres aux endroits indiqués ainsi qu'à l'entrée et à la sortie des appareils suivants:
1. Pompes.
2. Chauffe-eau domestique.
3. Échangeurs de chaleur.
4. À tous les autres endroits indiqués.
C. Utiliser des rallonges lorsque les thermomètres sont posés sur des tuyauteries calorifugées.
3.03 MANOMÈTRES
2. Pompes.
3. Échangeurs.
4. À tous les autres endroits indiqués.
B. Utiliser des rallonges lorsque les manomètres sont posés sur des tuyauteries calorifugées.
2.01 GÉNÉRALITÉS................................................................................................................................2
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 5
3.01 INSTALLATION................................................................................................................................5
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières, ainsi que les Sections de spécification de la Division 01.
1.02 RÉFÉRENCES
A. American National Standards Institute (ANSI)/ American Society of Mechanical Engineers (ASME)
1. ANSI/ASME B1.20.1, Pipe Threads, General Purpose (Inch).
C. Manufacturers Standardization Society of the Valve and Fittings Industry, Inc. (MSS)
1. MSS-SP-67, Butterfly Valves.
2. MSS-SP-70, Cast Iron Gate Valves, Flanged and Threaded Ends.
3. MSS-SP-80, Bronze Gate Globe, Angle and Check Valves.
B. Données techniques sur les produits : pour chaque type de produit indiqué.
A. Soumettre les fiches d'entretien requises et les joindre au manuel mentionné à la Section 01 78 00 –
Éléments à soumettre à l’achèvement des travaux.
PARTIE 2 - PRODUITS
2.01 GÉNÉRALITÉS
A. Exception faite des appareils spéciaux, le cas échéant, toute la robinetterie doit être fournie par un seul
et même fabricant.
2.02 RACCORDEMENT
A. Lorsque des appareils de robinetterie à réglage protégé sont prescrits, prévoir quatre clés d'accès en
fonte malléable cadmiée pour chaque diamètre d'appareils installés.
2.04 ROBINETS-VANNES
B. Clapets de retenue de diamètre égal ou inférieur à DN 50, à battant, à obturateur (clapet) en bronze, de
classe 150.
1. Corps : modèle incliné (en Y), siège intégré à 45°, et chapeau fileté à tête hexagonale.
2. Pression de service : 1.03 MPa.
3. Obturateur et siège : obturateur rotatif renouvelable, monté sur bras d'articulation deux pièces,
siège rectifiable.
4. Produit(s) acceptable(s) : Jenkins fig. 4092J, Newman Hattersley A60M, Crane, Kitz.
C. Clapets de retenue de diamètre égal ou inférieur à DN 50, à levée verticale, pour montage sur
canalisations verticales, à obturateur en bronze, de classe 125.
1. Corps : à siège intégré; pression de service de 860 kPa et de 1.4 MPa.
2. Obturateur : obturateur rotatif avec guides au sommet et à la base et bagues de retenue.
D. Clapets de retenue de diamètre égal ou inférieur à DN 50, à battant, à obturateur (clapet) en bronze, de
classe 200.
1. Corps : modèle incliné (en Y), siège intégré à 45°, et chapeau fileté à tête hexagonale.
2. Pression de service : 1.03 MPa.
3. Obturateur et siège : obturateur rotatif renouvelable, monté sur bras d'articulation deux pièces;
siège rectifiable.
4. Produit(s) acceptable(s) : Jenkins fig. 4092J, Newman Hattersley A60M, Crane 137, Kitz, Grinnell.
A. Robinet à tournant sphérique avec corps en bronze, taraudé, avec bouchon, chaîne et filets pour
boyaux.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
3.01 INSTALLATION
A. Installer les appareils de robinetterie à tige montante à la verticale, la tige orientée vers le haut.
B. Enlever les pièces internes avant de procéder au raccordement par brasage tendre.
2.01 GÉNÉRALITÉS................................................................................................................................2
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 7
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières, ainsi que les Sections de spécification de la Division 01.
1.02 RÉFÉRENCES
B. ASTM International
1. ASTM E488 / E488M-10 : Standard Test Method for Strength of Anchors in Concrete Elements.
PARTIE 2 - PRODUITS
2.01 GÉNÉRALITÉS
A. Fabriquer les suspensions, les supports et les pièces de contreventement conformément aux normes
ANSI B31.1 et MSS-SP58.
B. Sauf indication contraire, tous les supports doivent être attachés directement à la structure; il n’est pas
permis de suspendre une pièce d’équipement à une autre pièce d’équipement, gaine ou tuyau. Il n’est
pas permis d’utiliser du ruban métallique perforé en guise de collier ou support de tuyauterie ou
d’équipement. Les supports doivent être attachés à la structure au moyen d’attaches mécaniques.
C. Fixer les supports et les suspensions à la partie supérieure des éléments de charpente. S'il n'y a pas
d'éléments de charpente ou si les douilles d'ancrage ne se trouvent pas au bon endroit, fournir et
installer toutes les pièces de charpente supplémentaires nécessaires. Ne pas suspendre au tablier
métallique.
D. Aucun ancrage au fusil ne doit être employé à moins d'autorisation écrite de l'Ingénieur. Obtenir la
permission avant d’utiliser des douilles d’ancrage verticales à expansion. Utiliser au moins (2) deux
douilles pour tenir chaque étrier ou support.
F. Tous les supports doivent comporter au moins les trois pièces suivantes : douille d’ancrage, tige de
suspension, collier ou étrier.
G. L’espacement entre les supports de tuyaux groupés sera établi en fonction du tuyau de plus faible
dimension.
A. Ouvrage en béton
1. Douille d'ancrage pour ouvrage en béton coulé en place : douille à coin, en acier galvanisé,
conforme à la norme MSS-SP58, type 18, homologuée par les ULC pour la tuyauterie de diamètre
DN 3/4 à DN 8.
a. Qualité requise : Anvil, fig. 281.
2. Boulons d’ancrage adhésifs : système d’ancrage à pré-perçage et à capsule contenant une résine
polyvinylique ou à base d’uréthane méthacrylate et un accélérateur, ou à adhésif polymérique ou
en mortier hybride injecté. Fournir les boulons d’ancrage et accessoires en acier galvanisé.
Choisir les boulons d’ancrage ayant la résistance prescrite pour l’ancrage selon essais suivant la
norme ASTM E 488.
3. Boulons d’ancrage mécaniques : du type à pré-perçage, à goujon en biseau ou à cône femelle, en
acier galvanisé. Choisir les boulons d’ancrage ayant la résistance prescrite pour l’ancrage selon
essais suivant la norme ASTM E 488. Longueur minimale égale à huit fois le diamètre.
4. Plaque en acier au carbone avec étrier, pour montage en applique : douille en fer malléable,
cheville expansible et boulon; au moins deux chevilles expansibles et deux boulons pour chaque
suspension.
a. Qualité requise : Anvil : plaque fig. 49, douille fig. 290 et cheville expansible fig. 117.
2. Tuyauterie froide de diamètre égal ou supérieur à DN 2-1/2 et tuyauterie chaude de tout diamètre :
étrier pour poutre, en fer malléable, conforme à la norme MSS-SP58, type 28 ou 29, homologué
par les ULC.
a. Qualité requise : Anvil, fig. 218 et 157.
D. Poutrelle en acier :
1. Tuyauterie froide de diamètre égal ou inférieur à DN 2 : plaquette d'appui en acier, avec
deux écrous de blocage.
a. Qualité requise : Anvil, fig. 60.
2. Tuyauterie froide de diamètre égal ou supérieur à DN 2-1/2 et tuyauterie chaude de tout diamètre :
plaquette d'appui en acier avec deux écrous de blocage, attaches soudables en acier au carbone
et écrou à œillet en fer malléable.
a. Qualité requise : Anvil : plaque d'appui, fig. 60; attache soudable, fig. 66; écrou à œillet,
fig. 290.
tige-crochet et d'une rondelle ordinaire, conforme à la norme MSS-SP58, type 25, homologué par
les ULC.
a. Qualité requise : Anvil, fig.227.
A. Tige filetée, en acier au carbone, au fini noir ou électrogalvanisé, pour salles de machines.
1. Qualité requise : Anvil, fig. 146.
A. Pour les tuyaux isolés, utiliser des dispositifs de support avec protecteurs de métal de fort calibre et de
longueur suffisante aux points de suspension des tuyaux, là où l’isolant doit résister à la compression.
Ces dispositifs de support seront de l’isolant de type « foamglass » de la même épaisseur que l’isolant.
Les dispositifs de support reposeront sur les protecteurs de métal installés entre la surface de l’isolant et
le support de tuyau.
B. Dans le cas de tuyaux en cuivre non calorifugés, utiliser des supports cuivrés.
C. Les supports de tuyaux groupés seront fabriqués d’acier structural de formes I.U.H. ou de cornières et
de profilés préfabriqués en acier galvanisé. La soudure sera continue et exempte de grumeaux. Ces
supports seront assujettis à la structure avec des ancrages Philipps Red Head ou équivalent approuvé.
D. Des guides devront être fournis et installés aux endroits requis afin d’éviter le déplacement latéral de la
tuyauterie.
E. Tuyauterie froide en acier ou en fonte, tuyauterie chaude en acier, à mouvement horizontal de moins de
25 mm; tuyauterie chaude en acier suspendue sur des tiges de plus de 300 mm de longueur : étrier
réglable, conforme à la norme MSS-SP58, type 1, homologué par les ULC.
1. Qualité requise : Anvil, fig. 260ISS.
F. Tuyauterie froide en cuivre, tuyauterie chaude en cuivre à mouvement horizontal de moins de 25 mm,
tuyauterie chaude en cuivre suspendue sur des tiges de plus de 300 mm de longueur : étrier réglable,
conforme à la norme MSS-SP58, type 1, au fini cuivré.
1. Qualité requise : Anvil, fig. CT-65, CT-121.
H. Tuyauterie chaude en acier et en cuivre, supportée par le bas : socle à rouleau conforme à la norme
MSS-SP58, type 45.
1. Qualité requise : Anvil, fig. 271.
I. Des supports à rouleaux devront être installés dans les cas suivants :
1. Sur les réseaux de tuyauterie opérant à 60oC (140oF) et plus, lorsque la longueur de la tige de
suspension à 500 mm (20 po) ou moins ou lorsque la tuyauterie est supportée sur des fers angles.
2. Sur les réseaux de tuyauterie opérant à moins de 60oC (40oF), lorsque la tige de suspension a une
longueur de 300 mm (12 po) ou moins ou lorsque la tuyauterie est supportée sur des fers angles.
3. Produits acceptables : Anvil 181, 175, 271 ou équivalent.
J. Supports antivibration :
1. Toute la tuyauterie de 75 mm (3 po) de diamètre et plus, localisée dans les salles de mécanique et
raccordée à un appareil pouvant générer de la vibration, devra être supportée sur des isolateurs
antivibration à ressort dont le premier aura une déflexion statique égale à la déflexion des
isolateurs supportant l’appareil et les autres auront une déflexion de 25 mm (1 po). Les isolateurs
seront de Vibro-Acoustics ou équivalent approuvé, type SH pour la tuyauterie suspendue et du type
SL et/ou CM pour la tuyauterie supportée au plancher. Ceci sera applicable aux (3) trois premiers
supports en amont et en aval des appareils.
A. Pour tuyauterie en acier ou en fonte : collier en acier au carbone, au fini galvanisé, conforme à la norme
MSS-SP58, type 42, homologué par les ULC.
1. Qualité requise : Anvil, fig. 261.
B. Pour tuyauterie en cuivre : collier en acier au carbone, au fini cuivré, conforme à la norme MSS-SP58,
type 42.
1. Qualité requise : Anvil, fig. CT-121.
A. Tuyauterie froide de diamètre égal ou supérieur à DN 1-1/4 : demi coquille de protection pour tuyauterie
dotée d'un calorifuge à haute densité avec pare-vapeur continu.
1. Qualité requise : Anvil, fig. 167.
A. Sauf indication contraire aux plans, asseoir toute pièce d'équipement sur une dalle de propreté de 150
mm (6 po) de hauteur, à bouts biseautés et débordant d'au moins 150 mm (6 po) tout autour des
appareils pour faciliter leur nettoyage.
B. Les dalles de propreté doivent être conçues par l’Ingénieur en structure et coulées sous sa supervision.
Elles doivent être armées, ancrées solidement à la structure du bâtiment et conçues pour permettre
l’ancrage de l’équipement qu’elles supportent en tenant compte des charges dues aux séismes et au
vent.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
A. L'espacement entre les supports/suspensions ainsi que le diamètre des tiges de suspension doivent être
conformes aux plus strictes des exigences précisées aux alinéas suivants ou dans le tableau ci-après.
1. Tuyauterie pour réseau de plomberie : selon les exigences les plus strictes du Code canadien de la
plomberie, du code provincial pertinent ou des autorités compétentes.
2. Tuyauterie en cuivre de diamètre nominal DN 1/2 et moins : un (1) support/suspension tous les
1.5 m.
3. Tuyauterie cannelée à joints souples : selon les exigences du tableau ci-après, en comptant au
moins un (1) support/suspension à chaque joint.
4. Un (1) support/suspension à moins de 300 mm (12 po) de chaque coude horizontal.
A. Décaler les éléments d'ancrage des suspensions de manière que les tiges de suspension soient bien
droites lorsque le réseau est en service.
B. Régler la hauteur des tiges de suspension de manière que la charge soit uniformément répartie entre les
supports/suspensions.
A. Appliquer aux étriers, supports et pièces en métal ferreux non galvanisé deux couches de revêtement
prémélangé riche en zinc organique.
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 4
3.03 INSTALLATION................................................................................................................................5
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les dessins et les dispositions générales du contrat, incluant les
Conditions générales et les Conditions supplémentaires, ainsi que les Section de la Division 01 du Devis
descriptif.
1.02 SOMMAIRE
A. Cette Section comprend le traçage thermique des tuyauteries de plomberie pour la prévention du gel, le
maintien de la température d'eau chaude à usage domestique, ainsi que la fonte de neige et de glace
sur les toits et dans les gouttières et dalots, au moyen des câbles chauffants électriques suivants :
1. Autorégulateurs, résistances en parallèle.
1.03 RÉFÉRENCES
B. Québec
1. CCQ : Code de construction du Québec – Chapitre V, Électricité.
A. Fournir les fiches d'exploitation et d'entretien relatives aux câbles chauffants et les joindre au manuel
mentionné à la Section 01 78 00 – Éléments à soumettre à l’achèvement des travaux.
1.07 GARANTIE
A. Garantie spéciale : le fabricant s'engage à réparer ou remplacer tout câble chauffant électrique
présentant des défauts de matériaux ou de fabrication au cours de la période de garantie spécifiée.
1. Période de garantie : cinq années à compter de la date d'achèvement substantiel.
PARTIE 2 - PRODUITS
A. Fabricants : sous réserve de leur conformité au devis, fournir les produits de l’un des fabricants
suivants :
1. Chromalox, Inc.
2. Delta-Therm Corporation.
3. Easy Heat; de EGS Electrical Group LLC.
4. Pyrotenax.
5. Raychem.
6. Watts Radiant.
C. Élément chauffant : paire de fils collecteurs en cuivre tressé, en parallèle n° 16 AWG, étamés, revêtus
de nickel, insérés dans une partie centrale en polymère conducteur réticulé, qui fait varier la puissance
de chauffage en fonction de la température sur sa longueur. Terminer par des fils non chauffants,
montés en usine, étanches à l'eau et munis de connecteurs à une extrémité, et rendre étanche à l'eau
l'extrémité opposée. Le câble doit pouvoir se croiser lui-même une fois sans surchauffe.
E. Revêtement de câble : tresse cuivre étamé et gaine extérieure en polyoléfine avec inhibiteur de rayons
ultraviolets.
H. Composants, dispositifs et accessoires électriques : enregistrés et marqués selon les définitions dans le
Chapitre V du CCQ, par un organisme d'essais agréé et marqués selon l'application et l'emplacement
prévus.
I. Capacités et caractéristiques :
1. Puissance calorifique maximale : 26 W/m (8 W/pi).
2. Diamètre de tuyauterie : indiqué aux dessins.
3. Caractéristiques électriques pour connexion à circuit unique :
a. Volts : 208.
b. Phases : monophasé.
c. Hertz : 60.
2.02 COMMANDES
2.03 ACCESSOIRES
A. Accessoires d'installation de câble : ruban en fibre de verre, mastic conducteur de la chaleur, attaches
de câbles, joints d'extrémités et nécessaires à épissures en silicone et agrafes d'installation, tous ces
accessoires étant fournis par le fabricant ou suivant les recommandations écrites de ce dernier.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
3.01 EXAMEN
A. Inspecter les surfaces et les substrats devant recevoir les câbles chauffants électriques pour en vérifier
la conformité aux exigences de tolérances d’installation et autres conditions pouvant affecter les
performances.
1. Vérifier que les surfaces et tuyauteries en contact avec les câbles chauffants électriques sont
exemptes de bavures et de protubérances pointues.
B. Ne procéder à l’installation que lorsque les conditions non satisfaisantes ont été corrigées.
3.02 APPLICATIONS
A. Installer les types suivants de câblés chauffants électriques pour les applications décrites :
1. Maintien de température d'eau chaude à usage domestique : câble chauffant à résistances en
parallèle, autorégulateur.
3.03 INSTALLATION
A. Installer les câbles chauffants électriques sur les joints de dilatation, de construction et de retrait selon
les directives écrites du fabricant ; protéger les câbles par des conduits et laisser du mou permettant aux
câbles de se déplacer sans subir de dommages.
B. Installation de câbles chauffants électriques pour maintien de température d'eau chaude à usage
domestique :
1. Installer les câbles chauffants électriques une fois que la tuyauterie a été soumise aux essais et
avant la pose de l'isolation thermique.
2. Installer l'isolation sur la tuyauterie munie des câbles chauffants électriques selon les prescriptions
de la Section 22 07 19 – Calorifugeage de la tuyauterie et de l’équipement de plomberie.
3. Poser un ruban de mise en garde sur l'isolation des tuyauteries équipées de câbles chauffants
électriques.
C. Régler les interrupteurs et contacteurs réglables au chantier, ainsi que les plages de déclenchement des
disjoncteurs.
3.04 RACCORDEMENTS
A. Mettre à la terre les équipements selon la Section 26 05 26.06 - Mise à la terre des circuits secondaires.
A. Services du fabricant au chantier : engager un représentant de service autorisé par le fabricant pour les
essais et l'inspection des composants, assemblages et équipements, incluant les raccordements.
2. Avant la mise sous tension, tester les câbles pour en vérifier la continuité électrique et l'intégrité de
l'isolation.
3. Vérifier par des essais les caractéristiques nominales et la puissance des câbles. Mettre sous
tension et mesurer simultanément la tension et l'intensité du courant.
C. Un câble est considéré comme défectueux lorsqu'il n'a pas subi avec succès les essais et inspections.
3.06 PROTECTION
A. Protéger les câbles chauffants installés, incluant les fils non chauffants, contre les dommages durant la
construction.
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 9
3.01 INSPECTION...................................................................................................................................9
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières, ainsi que les Sections de spécification de la Division 01.
1.02 SOMMAIRE
A. Cette Section est un devis de performance en ce qui concerne les éléments suivants :
1. Calculs, conception et vérification des dispositifs de retenue parasismiques pour l’ensemble des
travaux de la Division 22. Il est obligatoire de mandater un ingénieur à ces fins. Se référer à
l’article « Services d’un ingénieur ».
5. Superviser les activités d’essais et inspections mentionnées à l’article « Contrôle de la qualité sur
place » de la Partie 3.
6. Produire et signer des attestations de conformité.
a. Se référer à l’article « Éléments à soumettre à l’achèvement des travaux ».
B. Qualifications
1. L’ingénieur, ci-après nommé « l’ingénieur qualifié », doit être un membre en règle de l’OIQ,
spécialisé et reconnu dans le domaine de la protection sismique des composants fonctionnels et
opérationnels des bâtiments. Il doit bien connaître les normes référencées dans cette Section et
les prescriptions de la Partie 4 du CCQ relatives au calcul des dispositifs de retenue
parasismiques.
2. Fournir, sur demande, le curriculum vitae de l’ingénieur qualifié.
1.05 RÉFÉRENCES
D. CCQ : Code de construction du Québec – Chapitre 1, Bâtiment, et Code national du bâtiment – Canada
2005 (modifié).
I. OSHPD: Office of Statewide Health Planning and Development for the State of California.
B. Bâtiments existants : installer des dispositifs parasismiques sur les nouveaux équipements comme s’il
s’agissait de bâtiments neufs.
C. Documents concernant la conception comme suit : pour les détails des dispositifs antivibratoires et de
retenue parasismique devant être conformes aux exigences de performance et critères de conception, y
compris les données d’analyse signées par l’ingénieur qualifié responsable de leur préparation.
1. Calculs de conception : calculer les charges statiques et dynamiques dues au poids et au
fonctionnement de l’équipement, les forces sismiques permettant le choix des isolateurs de
vibration, des dispositifs de retenue parasismiques et la conception des bases antivibratoires.
2. Détails des bases antivibratoires : donner les détails au sujet des dimensions hors-tout, y compris
les ancrages et fixations à la structure et aux appareils supportés. Inclure les glissières auxiliaires
de guidage des moteurs, le poids des socles, les charges statiques des équipements, et les
charges de transmission de puissance, de désalignement des composants, et de porte-à-faux.
3. Détails des dispositifs de retenue parasismiques :
a. Analyse de la conception : a pour but de corroborer le choix et l’agencement des dispositifs de
retenue parasismiques. Inclure les calculs des charges de traction et de cisaillement
combinées.
b. Détails : détails de fabrication et d’agencement. Donner les détails des fixations des
dispositifs de retenue aux composants retenus et à la structure. Montrer les emplacements
des points de fixation, leur espacement et les méthodes employées. Identifier les
composants, énumérer leur résistance et indiquer le sens et les valeurs des forces transmises
à la structure lors d’un tremblement de terre. Montrer l’association avec les dispositifs
antivibratoires.
c. Documentation d’évaluation et d’approbation préalable : par un membre d’un service
d’évaluation de l’ICC-ES, de l’OSHPD ou d’une agence agréée par les autorités de juridiction,
faisant apparaître les caractéristiques maximales de chaque dispositif de retenue et les
éléments sur lesquels repose l’approbation (essais ou calculs).
B. Certificats en soudage.
C. Données de qualification : pour l’ingénieur qualifié; se référer à l’article « Services d’un ingénieur ».
A. Les documents/éléments doivent être soumis avant l’acceptation provisoire des travaux.
B. Fournir les fiches d'exploitation et d'entretien requises et les joindre au manuel mentionné à la Section
01 78 00 – Éléments à soumettre à l’achèvement des travaux.
C. Rapports de vérification et d’essais de contrôle de la qualité sur place. Se référer à l’article « Contrôle
de la qualité sur place » de la Partie 3.
D. Certificats de conformité.
1. L’ingénieur qualifié doit produire et signer des certificats de conformité aux étapes suivantes :
a. À l’achèvement des travaux dissimulés ;
b. À l’achèvement de l’ensemble des travaux.
A. Se conformer aux exigences du CCQ en matière de protection sismique, sauf dans le cas où les
exigences de la présente Section sont plus rigoureuses.
B. Soudage : déterminer les procédures et habiliter le personnel selon l’AWS D1.1/D1.1M, « Structural
Welding Code - Steel. »
C. Les dispositifs de retenue parasismiques doivent être soumis à des essais et analyses de charges
horizontales et verticales et doivent porter un numéro OPA d’approbation préalable de l’ancrage de
l’OSHPD, avoir l’approbation préalable de l’ICC-ES, ou une approbation préalable d’un autre organisme
agréé par les autorités de juridiction, faisant apparaître les caractéristiques maximales des dispositifs de
retenue parasismiques. Les caractéristiques reposant sur des essais indépendants sont préférables à
celles provenant de calculs. Dans le cas où l’on ne dispose pas de caractéristiques pré-approuvées, les
données basées sur des essais indépendants sont préférables. Les calculs (comprenant les calculs des
charges de traction et de cisaillement combinées) venant à l’appui des conceptions des dispositifs de
retenue parasismiques doivent être signés par l’ingénieur qualifié.
PARTIE 2 - PRODUITS
A. Type CM-1 : Supports élastiques de colonnes montantes : ancrage de tuyauterie du type acoustique
multidirectionnel, se composant de deux tubes en acier séparés par un élément en néoprène d’une
épaisseur minimale de 13 mm (1/2 po). Prévoir des butées de fin de course verticales en acier et en
néoprène disposées de façon à s’opposer au déplacement vertical dans les deux sens. Le support devra
être conçu pour une charge maximale de 3,45 MPa (500 psig) sur le matériau isolant et aura une
résistance égale dans toutes les directions.
B. Type CM-2 : Guides élastiques de colonnes montantes : montage télescopique de deux tubes en acier,
ou ensemble tige et manchon, séparés par un élément en néoprène d’une épaisseur minimale de
13 mm (1/2 po). Dans les cas où les dégagements (espaces) ne sont pas facilement visibles, on devra
poser un guide de hauteur réglé en usine comportant une goupille de cisaillement pour permettre le
mouvement vertical dû à la dilatation et au retrait de la tuyauterie. La goupille de cisaillement pourra être
démontée et remise en place pour permettre le choix du déplacement de la tuyauterie. Les guides
devront pouvoir accommoder le mouvement de la tuyauterie de façon à remplir les exigences relatives à
leur emplacement.
A. Fabricants : sous réserve de leur conformité aux spécifications, les produits seront fournis par l’un des
fabricants suivants :
1. Amber/Booth Company, Inc.
2. California Dynamics Corporation.
3. Cooper B-Line, Inc.; a division of Cooper Industries.
4. Hilti, Inc.
5. Kinetics Noise Control.
6. Loos & Co.; Cableware Division.
7. Mason Industries.
8. TOLCO Incorporated; a brand of NIBCO INC.
9. Unistrut; Tyco International, Ltd.
B. Exigences générales pour les dispositifs de retenue : les résistances nominales, caractéristiques et
applications devront être telles que définies dans les rapports d’un membre d’un service d’évaluation de
l’ICC-ES, de l’OSHPD ou d’une agence agréée par les autorités de juridiction.
C. Types LD-1 et LD-2 : Limiteurs de débattement : fabriqués en usine à partir de profilés et tôles en acier
de construction soudé, boulons d’ancrage, et rondelles et douilles d’isolation résilientes remplaçables.
1. Les boulons d’ancrage pour fixation au béton seront qualifiés parasismiques, à pré-perçage, à
goujon en biseau ou à cône femelle.
2. Rondelles et douilles d’isolation résilientes : en néoprène résistant à l’huile et à l’eau.
3. Lame d’air maximale de 6 mm (1/4 po), et coussin élastique d’une épaisseur minimale de 6 mm
(1/4 po).
D. Type CV-1 : Contrevents à profilés en U : contrevents fabriqués en usine ou sur place, conformes à la
norme MFMA-4, composés de profilés en U à fentes en acier; les supports sont munis à une extrémité
d’accessoires de fixation à un composant de contreventement et, à l’autre extrémité, d’accessoires de
fixation à la structure du bâtiment ainsi que d’autres composants assortis; les supports sont protégés par
un revêtement résistant à la corrosion et ils doivent avoir la résistance à la tension, à la compression et
à la torsion spécifiées.
E. Type CR-1 : Câbles de retenue ASTM A 603 galvanisé à l’intérieur et ASTM A 492 acier inoxydable à
l’extérieur ou dans les environnements corrosifs - câbles d’acier avec raccords d’extrémité fait
d’ensembles en acier comprenant cosses, fixations, tourillon et boulons conçus pour service avec câbles
de retenue, et comportant au moins deux boulons de serrage pour l’accrochage du câble.
F. Type RT-1 : Raidisseur de tige de suspension : tuyau d’acier ou manchon de supportage en acier à
fentes avec fixations intérieures boulonnées à la tige de suspension; ou cornière de renforcement en
acier fixée à la tige de suspension.
G. Type DR-1 : Douilles pour boulons d’ancrage des équipements montés au sol : douilles en néoprène
pour supports rigides des équipements et assorties aux types et dimensions des boulons et goujons
d’ancrage.
H. Type DR-2 : Douilles pour ancrage des équipements montés au mur : éléments en néoprène et
manchons en acier prévus pour les supports rigides des équipements et assortis aux types et
dimensions des dispositifs de fixation utilisés.
J. Boulons d’ancrage mécaniques : du type à pré-perçage, à goujon en biseau ou à cône femelle, en acier
galvanisé pour utilisation à l’intérieur, et en acier inoxydable pour utilisation à l’extérieur. Choisir les
boulons d’ancrage ayant la résistance prescrite pour l’ancrage selon essais suivant la norme
ASTM E 488. Longueur minimale égale à huit fois le diamètre.
K. Boulons d’ancrage adhésifs : système d’ancrage à pré-perçage et à capsule contenant une résine
polyvinylique ou à base d’uréthane méthacrylate et un accélérateur, ou à adhésif polymérique ou en
mortier hybride injecté. Fournir les boulons d’ancrage et accessoires en acier galvanisé pour utilisation
à l’intérieur et en acier inoxydable pour utilisation à l’extérieur. Choisir les boulons d’ancrage ayant la
résistance prescrite pour l’ancrage selon essais suivant la norme ASTM E 488.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
3.01 INSPECTION
A. Inspecter les zones et les équipements devant recevoir les isolateurs de vibration et dispositifs
parasismiques pour en vérifier la conformité aux exigences de tolérances d’installation et autres
conditions pouvant affecter le comportement des isolateurs et dispositifs.
B. Inspecter l’installation primaire des renforcements et des ancrages coulés sur place afin de vérifier les
emplacements réels avant installation.
C. Ne procéder à l’installation que lorsque les conditions non satisfaisantes ont été corrigées.
3.02 APPLICATIONS
A. Supports de tuyauteries multiples : fixer les tuyauteries aux membrures trapézoïdales à l’aide de colliers
de serrage approuvés pour l’application par un membre d’un service d’évaluation de l’ICC-ES, l’OSHPD
ou une agence agréée par les autorités de juridiction.
B. Raidisseurs de tiges de suspension : installer des raidisseurs de tiges de suspension lorsqu’ils sont
nécessaires pour empêcher le flambage des tiges de suspension sous l’action des forces sismiques.
C. Résistance des supports et dispositifs de retenue parasismiques : lorsqu’il n’existe aucune indication,
choisir les tailles des composants de façon à ce que leur résistance soit suffisante pour supporter les
charges statiques et sismiques actuelles et futures dans les limites de charges spécifiées.
C. Installer les câbles de façon à ce qu’ils ne fléchissent pas sur les angles de l’équipement voisin ou de la
structure du bâtiment.
D. Installer des dispositifs de retenue parasismiques en employant les méthodes approuvées par un
membre d’un service d’évaluation de l’ICC-ES, l’OSHPD ou une agence agréée par les autorités de
juridiction et en soumettant pour vérification les documents requis pour le composant. Se référer à
l’article « Éléments à soumettre pour action ».
E. Installer les douilles pour boulons d’ancrage des équipements montés au sol de façon à pouvoir installer
un matériau résilient entre le boulon d’ancrage et le trou de fixation dans la base en béton.
F. Installer les douilles pour boulons de fixation des équipements montés au mur de façon à pouvoir
installer un matériau résilient à l’endroit où l’équipement ou les profilés de montage de l’équipement sont
fixés au mur.
G. Fixation à la structure : si un type spécifique de fixation n’est pas indiqué, fixer le contreventement à la
structure aux ailes de poutres, aux membrures supérieures des fermes de poutres en treillis, ou aux
éléments de béton.
H. Ancrages à pré-perçage :
1. Les boulons d’ancrage du type à expansion ne sont pas autorisés pour les équipements non isolés
d’une puissance supérieure à 10 hp (7,46 kW).
2. Repérer la position de l’acier d’armature ou de tout élément encastré avant de procéder au perçage
des trous pour ancrages. Ne pas endommager l’acier d’armature ou les éléments encastrés lors du
carottage ou du perçage. Avertir l’Ingénieur en structure si l’on rencontre de l’acier d’armature ou
autres éléments encastrés lors du perçage. Localiser et éviter les armatures de précontrainte, les
conduits électriques et de télécommunications, ainsi que les conduites de gaz.
3. Ne pas percer de trous dans le béton ou la maçonnerie avant que le béton, le mortier ou le coulis
n’ait atteint sa pleine résistance de conception.
4. Ancrages à expansion : protéger le filetage contre l’endommagement lors de l’installation de
l’ancrage. Installer les ancrages à coquille renforcée en engageant complètement la coquille dans
l’élément de structure auquel l’ancrage doit être fixé.
5. Ancrages adhésifs : nettoyer les trous pour faire disparaître les matériaux inconsistants et la
poussière de perçage avant de mettre en place l’adhésif. Mettre l’adhésif dans les trous en
commençant par le fond et en remontant progressivement vers la surface de façon à empêcher la
formation de poches d’air dans l’adhésif.
6. Serrer les ancrages au couple recommandé par le fabricant, en se servant d’une clé
dynamométrique.
7. Installer les ancrages galvanisés à l’intérieur et ceux en acier inoxydable pour les applications
extérieures.
A. Installer des raccordements flexibles dans les tuyauteries aux endroits où elles traversent des joints
sismiques, aux endroits où des sections ou embranchements adjacents sont supportés par des
éléments de structure différents, et lorsque le dernier raccordement se trouve sur un équipement ancré
à un élément de structure différent de celui supportant les raccordements en amont de cet équipement.
Se conformer aux exigences des différentes Sections de la Division 22 traitant des tuyauteries pour
l’installation des raccordements flexibles.
B. Essais et inspections :
1. Effectuer les essais et inspections sous la supervision et en présence de l’ingénieur qualifié.
2. Fournir les preuves qu’un étalonnage de l’appareillage d’essai a été récemment effectué par un
organisme d’essais agréé par les autorités de juridiction.
3. Programmer les essais avec le Propriétaire, par l’intermédiaire de l’Ingénieur, avant de raccorder
un dispositif d’ancrage au composant qu’il retient (à moins que les essais après raccordement
n’aient été approuvés) et ce, après notification donnée au moins sept jours à l’avance.
4. Obtenir l’approbation de l’Ingénieur avant d’appliquer les charges d’essais à la structure. Prévoir
des membrures temporaires de répartition des charges.
5. Procéder aux essais sur au moins quatre ancrages et attaches de chaque type et taille installés et
ce, au choix de l’Ingénieur.
6. Effectuer les essais à 90 % de la charge d’épreuve nominale de chaque dispositif.
7. Mesurer le dégagement du dispositif isolant de retenue.
8. Mesurer la déflexion des isolateurs.
9. Vérifier les dégagements minimaux des limiteurs de débattement.
10. Dans le cas où un des dispositifs fait défaut, modifier toutes les installations du même type et
procéder à de nouveaux essais jusqu’à l’obtention de résultats satisfaisants.
11. L’ingénieur qualifié doit préparer les rapports d’essais et d’inspection et les remettre à l’Ingénieur.
3.06 RÉGLAGES
A. Régler les isolateurs après que le système de tuyauterie ait atteint son poids en ordre de marche.
B. Régler les butées de fin de course sur les isolateurs à ressort à retenue de façon à installer l’équipement
à sa hauteur normale d’exploitation. Après installation complète des matériels, régler les butées de fin
de course de façon à ce qu’elles ne viennent pas au contact en service normal.
D. Ajuster les dispositifs de retenue de façon à ce que les équipements puissent se déplacer librement en
mode de fonctionnement normal.
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 6
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières, ainsi que les Sections de spécification de la Division 01.
1.02 RÉFÉRENCES
B. Soumettre les échantillons et la liste des légendes avant de faire graver les inscriptions.
A. Exécution des travaux : selon la norme CAN/CGSB 24.3-92, à moins d’indication contraire.
B. Faire exécuter les travaux de peinture par des ouvriers qualifiés titulaires d’un « Certificat de
compétence d’homme de métier ». Se conformer aux exigences des Sections de la Division 09 qui
concernent les travaux de peinturage.
PARTIE 2 - PRODUITS
A. Chaque pièce d'équipement doit être munie d'une plaque signalétique en métal, fixée mécaniquement et
comportant un lettrage en saillie ou en retrait.
B. Les plaques doivent indiquer ce qui suit : modèle, nom du fabricant, numéro de série, tension, fréquence
du courant d'alimentation, nombre de phases et puissance du moteur.
A. Couleurs
1. Matières dangereuses : lettrage rouge sur fond blanc.
2. Autres matières : lettrage noir sur fond blanc (sauf indication contraire dans le code pertinent).
B. Construction
1. Caractéristiques générales : 3 mm d'épaisseur, en plastique laminé ou en aluminium anodisé
blanc, fini mat, coins équarris, lettres alignées avec précision et gravées à la machine jusque dans
l'âme.
C. Dimensions
1. Conformes au tableau ci-dessous.
2.03 PEINTURE
2.05 TUYAUTERIE
A. Identification
1. Identifier le fluide véhiculé au moyen d'une légende lettrée et de couleurs de classification primaire
et secondaire, et indiquer le sens d'écoulement du fluide au moyen de flèches.
B. Dimensions
1. Légende : lettres majuscules de dimensions suivantes.
C. Matériaux
a. Ruban pour légendes et bandes de couleurs pour flèches : toile dont l'extérieur enduit de
plastique forme une couche protectrice et dont l'endos comporte un adhésif de contact
hydrofuge conçu pour résister à une humidité relative de 100 %, à une chaleur constante de
150 °C et à une chaleur intermittente de 200 °C. Poser le ruban ou les bandes sur des
surfaces préparées à cette fin. Enrouler le ruban autour du tuyau en faisant chevaucher les
extrémités sur une longueur équivalent au diamètre du tuyau.
b. Étiquettes de repérage en plastique hydrofuge et résistant à la chaleur, attachées aux tubes et
tuyaux de 20 mm ou moins de diamètre nominal.
c. Produit(s) acceptable(s) : W.H. Brady Inc.
D. Légende et couleurs
1. Identification de la tuyauterie et des robinets
Alimentation – Eau froide ALIM. EAU F. POTABLE Vert Noir Vert pâle RAL6019
potable
Alimentation – Eau chaude ALIM. EAU C. POTABLE Vert Noir Vert pâle RAL6019
potable
Recirculation – Eau chaude RECIRC. EAU C. POTABLE Vert Noir Vert pâle RAL6019
potable
Alimentation – Eau froide de ALIM. EAU F. LABO. Jaune Noir Vert RAL6011
laboratoire
Alimentation – Eau chaude de ALIM. EAU C. LABO. Jaune Noir Vert RAL6011
laboratoire
Recirculation – Eau chaude de RECIRC. EAU C. LABO. Jaune Noir Vert RAL6011
laboratoire
Eau d’appoint EAU APP. Jaune Aucune Vert RAL6011
Air comprimé (1) AIR COMPRIMÉ Vert Aucune Aqua foncé RAL5021
Égout pluvial ÉGOUT PLUV. Vert Aucune Aucune
Égout sanitaire ÉGOUT SAN. Vert Aucune Aucune
Évent (plomberie) EV. PLOMB. Vert Aucune Aucune
Purge PURGE Jaune Noir Selon l’application
(1) Voir la Section 22 61 13, pour l’identification des réseaux dans les établissements fournissant des services de santé et les
laboratoires.
2. Légendes et flèches
a. De couleur noire ou blanche, contrastante par rapport à la couleur primaire.
B. Fournir à l'Ingénieur, pour chacun des réseaux, six schémas de fonctionnement, de format approuvé, y
compris une liste d'étiquetage précisant le numéro de désignation des robinets/vannes, le réseau, la
fonction et l'emplacement de chaque élément étiqueté, ainsi que la position normale de fonctionnement
des robinets.
A. Les inscriptions servant à l'identification des systèmes et des éléments doivent être rédigées en
français.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
A. Placer les plaques de manière qu'on puisse les lire facilement. Elles ne doivent pas être peinturées ni
recouvertes de calorifuge.
A. Emplacements
1. Les plaques doivent identifier clairement les appareils et les réseaux de canalisations de manière
appropriée, et elles doivent être posées à des endroits où elles seront bien en vue, pour en faciliter
la lecture à partir du plancher.
2. Sur les surfaces chauffées ou calorifugées, fournir des cales d'espacement et les poser sous les
plaques d'identification.
3.03 TUYAUTERIE
A. Fixer des étiquettes au moyen de chaînettes ou de crochets « S » fermés en métal non ferreux sur les
robinets et les régulateurs, sauf sur les appareils de plomberie et de chauffage, sauf s'ils sont à
proximité et à la vue du matériel auquel ils sont reliés.
B. Installer des exemplaires du schéma de fonctionnement et de la liste des robinets. Insérer également
un exemplaire dans chacun des manuels d'exploitation et d'entretien.
A. Tous les appareils de mécanique fournis et installés seront identifiés avec des plaques en Bakelite grise.
Les plaques seront vissées sur ou au-dessus de l’équipement et l’inscription dénotera le système auquel
l’équipement appartient et sa fonction.
3.06 PEINTURAGE
1.03 DÉFINITIONS..................................................................................................................................2
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 6
3.03 POSE SUR LES COLLIERS ET RACCORDS RAINURÉS DES TUYAUTERIES ..............................................6
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les dessins et les dispositions générales du contrat, incluant les
Conditions générales et les Conditions supplémentaires, ainsi que les Sections de la Division 01.
1.02 RÉFÉRENCES
1.03 DÉFINITIONS
B. Données techniques sur les produits : pour chaque type de produit indiqué.
C. Échantillons :
1. Soumettre un ensemble complet de chaque type de complexe calorifuge proposé comprenant le
matériau calorifuge proprement dit, l'enduit de revêtement et la colle. Monter l'échantillon sur un
panneau de contreplaqué de 12 mm. Placer sous l'échantillon une étiquette dactylographiée
indiquant le réseau/fluide véhiculé.
B. Soumettre les instructions des fabricants visant la pose des matériaux calorifuges.
1. Les instructions doivent préciser les méthodes à utiliser de même que la qualité d'exécution exigée.
C. Soumettre les instructions des fabricants visant l'installation, le façonnage et le jointoiement des tuyaux,
des raccords et des appareils de robinetterie.
A. Exécuter les travaux en utilisant des méthodes conformes aux « Guide des bonnes pratiques » de
l’ACIT.
1. Conserver une copie de ce guide au chantier.
2. En cas de différence, les exigences de cette Section ont priorité.
B. L'installateur doit, être un expert dans le domaine, posséder au moins trois années d'expérience
probante dans la réalisation de travaux de type et d'envergure correspondant à ceux du projet, et être
membre de l'ACIT.
A. Les matériaux doivent être livrés au chantier dans leur emballage d'origine et porter une étiquette
indiquant le nom et l'adresse du fabricant.
B. Les matériaux doivent être protégés contre les intempéries et les dommages susceptibles d'être causés
par la circulation des personnes, du matériel et des véhicules.
D. Les matériaux doivent être entreposées aux températures et dans les conditions exigées par le
fabricant.
PARTIE 2 - PRODUITS
A. Type P-1 :
1. Matériaux: fibre de verre prémoulé avec pare-vapeur intégré installé en usine et chemise tout
usage;
2. Conductibilité thermique : 0.033 W/m • °C à 24°C;
3. Épaisseur du revêtement : voir le bordereau dans la Partie 3.
4. Produits acceptables:
Manufacturier Produit
Johns Manville Micro-Lok
Knauf 1000° Pipe Insulation
Manson Alley-K
Owens Corning Fiberglas Pipe Insulation
B. Type E-1 :
1. Matériaux: fibre de verre prémoulé avec pare-vapeur en papier d’aluminium renforcé;
2. Conductibilité thermique : 0.043 W/m • °C à 24°C;
3. Épaisseur du revêtement : voir le bordereau dans la Partie 3.
4. Produits acceptables:
Manufacturier Produit
Johns Manville Micro-Flex
Knauf Kwikflex Pipe and tank
Manson AK Flex
Owens Corning Fiberglas Pipe and tank Insulation
3. Emplacement prévu: toute la tuyauterie sur coude et Y, robinets, échangeurs, vase d’expansion;
4. Produit acceptable: Fattal thermocanvas ou équivalent.
Manufacturier Produit
Johns Manville Zeston 300 Series PVC
Knauf Proto PVC Fitting Covers
C. Ciment isolant :
1. Matériaux: composé de fibres isolantes diverses et d'adhésif mélangé avec de l'eau et du ciment,
produisant une pâte plastique.
2. Emplacement prévu: toute la tuyauterie.
3. Produit acceptable: CHILDERS ou équivalent.
A. Colle servant à sceller les joints et les coutures de l'isolant de fibre de verre: colle à prise rapide.
1. Produit acceptable: FOSTER.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
3.01 PRÉPARATION
A. Ne poser le calorifuge qu'une fois l'essai hydrostatique du réseau (tuyauteries et appareils auxquelles
elles sont raccordées) terminé et les résultats certifiés par l'autorité compétente qui aura assisté à
l'essai.
B. S'assurer que les surfaces à recouvrir de calorifuge ou à revêtir d'un enduit sont propres, sèches et
exemptes de matières étrangères.
3.02 POSE
A. Réaliser les travaux selon les exigences des normes nationales pertinentes de l'ACIT.
B. Poser le calorifuge selon les instructions des fabricants et les prescriptions de la présente section.
C. Si l'épaisseur de calorifuge nominale requise est supérieure à 75 mm, réaliser l'ouvrage en deux
couches, en décalant les joints.
E. Supports et suspensions
1. Poser un calorifuge à haute résistance à la compression, approprié aux conditions de service,
lorsqu'aucune sellette ou aucun bouclier de protection du calorifuge n'est prévu.
A. Destination: à poser aux joints de dilatation, appareils de robinetterie, dispositifs primaires de mesure de
débit, brides et raccords-unions reliant les tuyauteries aux appareils desservis.
C. Description :
1. Calorifuge, produits ou dispositifs de fixation et enduits de finition correspondant au complexe
calorifuge adjacent.
A. L’épaisseur et le type de calorifuge pour chaque fluide sont décrits dans le tableau ci-dessous.
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 3
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les dessins et les dispositions générales du contrat, incluant les
Conditions générales et les Conditions supplémentaires, ainsi que les Sections de la Division 01.
1.02 SOMMAIRE
1.03 RÉFÉRENCES
PARTIE 2 - PRODUITS
A. Eau/chlore
1. Le chlore peut être ajouté à l’eau en utilisant une solution eau/chlore, par injection directe du gaz
dans l’eau ou en utilisant un mélange d’hypochlorite de calcium et d’eau.
a. Si l’injection directe du gaz de chlore est utilisée, l’injection doit être faite soit avec un
chlorateur alimenté par une solution, soit par un chlorateur à pression avec un diffuseur dans
la tuyauterie.
b. Si l’hypochlorite de calcium est utilisé, il doit être comparable à des produits commerciaux tels
que Perchloron, HTH ou Maxochlor. La poudre doit être mélangée avec de l’eau pour former
une pâte, ensuite diluée davantage et pompée ou injectée dans la tuyauterie.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
A. Nettoyer l’intérieur des réseaux de tuyauterie d’eau domestique. Enlever la saleté et les débris au fur et
à mesure que les travaux progressent.
D. Préparer et soumettre les rapports des activités de purge et désinfection. Inclure des copies des
approbations reçues des autorités de juridiction pour les échantillons d’eau soumis.
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 4
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les dessins et les dispositions générales du contrat, incluant les
Conditions générales et les Conditions supplémentaires, ainsi que les Sections de la Division 01.
1.02 SOMMAIRE
1.03 RÉFÉRENCES
A. Fournir les fiches d'entretien requises et les joindre au manuel mentionné à la Section 01 78 00 –
Éléments à soumettre à l’achèvement des travaux.
PARTIE 2 - PRODUITS
2.01 TUYAUTERIE
A. Tuyauteries de recirculation d'eau et d'alimentation en eau chaude et en eau froide situées à l'intérieur
d'un bâtiment
1. À installer hors sol : tubes en cuivre écroui, du type L, conformes à la norme ASTM B88M.
2. À enfouir ou à noyer : tubes en cuivre recuit, du type K, conformes à la norme ASTM B88M, en
tronçons de grande longueur et ne comportant pas de joints dans la partie à enfouir.
2.02 RACCORDS
A. Brides et raccords à brides en bronze, de classes 150 et 300 : conformes à la norme ANSI B16.24.
B. Raccords à visser en bronze coulé, de classes 125 et 150 : conformes à la norme ANSI/ASME B16.15.
E. Raccords de diamètre égal ou supérieur à NPS 2 : à embouts rainurés par roulage, conformes à la
norme CSA B242.
2.03 JOINTS
B. Boulons à tête à six pans, écrous et rondelles : série lourde, conformes à la norme ASTM A307.
E. Accouplements pour éléments à extrémités rainurées par roulage : avec coussinets aux boulons
latéraux servant à assurer un joint rigide, et garniture EPDM à languette centrale (Flush-Seal).
2.04 ROBINETTERIE
A. Conforme aux prescriptions de la Section 22 05 23.06 – Robinetterie d’usage général pour tuyauterie de
plomberie – Bronze.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
B. Couper les tubes d'équerre, les débarrasser de tout corps étranger, puis ébarber et nettoyer les
extrémités, nettoyer les emboîtements des raccords et joindre les éléments sans les forcer.
C. Assembler la tuyauterie au moyen de raccords fabriqués selon les normes pertinentes de l'ANSI.
D. Installer la tuyauterie près des murs et des plafonds de façon à réduire le moins possible l'espace utile
des pièces. Grouper les canalisations apparentes et les installer parallèlement aux murs.
F. Sauf indication contraire, raccorder la tuyauterie aux appareils sanitaires et autres, conformément aux
instructions des fabricants.
G. Tuyauterie à enfouir
1. Installer la tuyauterie sur un lit de sable lavé, bien compacté et conforme aux exigences de la
norme AWWA (lit de pose de classe « B »).
2. Plier les tubes sans les plisser ou sans réduire leur section utile (diamètre intérieur). Utiliser le
moins de raccords possible.
3.02 ROBINETTERIE
A. Isoler les canalisations de dérivation ainsi que les canalisations d'alimentation du matériel et des
appareils sanitaires au moyen de robinets.
B. Effectuer les essais à une pression correspondant à la plus élevée des valeurs suivantes, à savoir 860
kPa ou une fois et demie la pression maximale de service.
A. Nettoyer et désinfecter les tuyauteries d’eau potable conformément aux prescriptions de la Section
22 08 03 – Nettoyage et mise en service des réseaux d’eau domestique.
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 7
3.02 INSTALLATION................................................................................................................................7
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les dessins et les dispositions générales du contrat, incluant les
Conditions générales et les Conditions supplémentaires, ainsi que les Sections de la Division 01.
1.02 SOMMAIRE
1.03 RÉFÉRENCES
B. Données techniques sur les produits : pour chaque type de produit indiqué.
1. Les données techniques doivent préciser les dimensions, les détails de construction et les
matériaux de fabrication des appareils et du matériel prescrits.
C. Inspections effectuées sur place par le fabricant : soumettre les rapports d’inspection requis.
A. Fournir les fiches d'exploitation et d'entretien requises et les joindre au manuel mentionné à la
Section 01 78 00 – Éléments à soumettre à l’achèvement des travaux.
PARTIE 2 - PRODUITS
A. Filtres à corps incliné (Y), éprouvés à une pression manométrique de 860 kPa (125 lb/po²) et munis d’un
tamis amovible en monel, en bronze ou en acier inoxydable, à mailles de grosseur 20.
B. Filtres de DN 50 (NPS 2) ou moins : corps en bronze à faible contenu en plomb (<0.25%), embouts à
visser et chapeau en laiton.
1. Conformité : Listé par NSF - Standard 61, Annex G.; certifié selon NSF/ANSI 372.
2. Fabricants : sous réserve de leur conformité au devis, fournir les produits de l’un des fabricants
suivants :
a. Watts (modèle LF777).
b. Zurn Wilkins (modèle SXL).
a. Fabricants : sous réserve de leur conformité au devis, fournir les produits de l’un des
fabricants suivants :
1) Watts (modèle LF909 et pour température jusqu’à 98°C (210°F) modèle LF909HW).
2) Zurn Wilkins (modèle 975XL-lead free).
D. Siège : laiton.
F. Membrane : EPT.
J. Diamètre, capacité et pression de service des robinets : choisis en fonction du système dans lequel ils
sont installés, avec pression de service et capacité réglées en usine et modifiables sur place.
A. Fabricants : sous réserve de leur conformité au devis, les produits seront fournis par l'un des fabricants
suivants :
1. Conbraco Industries, Inc.
D. Siège : laiton.
F. Membrane : EPT.
J. Diamètre, capacité et pression de service des robinets : conformes aux exigences du code ASME Boiler
and Pressure Vessel Code : Section IV et choisis en fonction du système dans lequel ils sont installés,
avec pression de service et capacité réglées en usine et modifiables sur place.
2.06 ANTIBÉLIERS
B. Antibéliers en cuivre avec piston en laiton pré-comprimé, joint d’étanchéité en EPDM et connexion mâle
filetée.
C. Produits acceptables : Zurn, série Z-1705; Watts, série SG; Jay R. Smith, série 520-T.
2.07 BRISE-VIDE
A. Appareils conformes aux normes CSA de la série B64, atmosphériques, intermédiaires pour robinets de
laboratoire.
A. Robinets en bronze munis d’un dispositif anti-refoulement intégré, d’un embout fileté pour tuyau souple
de DN ¾ et d’un obturateur remplaçable, en matériau composite. Dans les aires finies, les robinets
doivent être chromés.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
3.02 INSTALLATION
A. Installer les appareils selon les exigences du Code provincial de plomberie pertinent et des autorités
locales de juridiction.
B. Installer les appareils de plomberie spéciaux conformément aux instructions du fabricant et aux
prescriptions formulées.
A. Installer des dispositifs antirefoulement aux endroits indiqués et aux autres endroits prescrits dans le
code, conformément aux normes CSA de la série B64.
D. Installer un filtre à tamis en amont des dispositifs antirefoulement pour les applications considérées à
« risque modéré » et à « risque élevé » en vertu des définitions dans la norme CSA B64.10.
A. Installer les réducteurs de pression avec robinets d’arrêt et manomètres en amont et en aval. Installer
une voie de dérivation avec robinet d’équilibrage à butée mémoire.
A. Installer des soupapes de sûreté sur les appareils de production d'eau chaude, ainsi qu'aux endroits
exigés selon le code ASME Boiler and Pressure Vessel Code. Installer un coude avec bac
d'égouttement sur la tuyauterie de sortie des soupapes de sûreté et amener la tuyauterie, sans robinet
vers l'extérieur; amener la tuyauterie de drainage au drain de plancher le plus proche ou selon les
indications des dessins. Se conformer aux exigences du code ASME Boiler and Pressure Vessel Code :
Section VIII, Division 1, en ce qui a trait à l'installation.
3.08 ANTIBÉLIERS
A. Monter un antibélier sur les canalisations d'alimentation reliées à chaque appareil sanitaire ou à chaque
groupe d'appareils sanitaires ainsi qu'aux endroits indiqués.
A. Installer des robinets de puisage/vidange au bas de toutes les colonnes montantes, aux points bas des
réseaux ainsi qu'aux endroits indiqués.
A. Généralités
1. Selon les prescriptions de la Section 01 75 00 – Mise en marche et réglages et de cette Section.
A. Généralités
1. Selon les prescriptions de la Section 01 75 00 – Mise en marche et réglages et de cette Section.
C. Filtres
1. Nettoyer le tamis des filtres jusqu'à ce que le fluide véhiculé dans le réseau soit propre.
2. S'assurer que le bouchon de dégorgement et le tamis sont faciles d'accès.
3. S'assurer qu'il n'y a pas de fuite au bouchon de dégorgement.
1. Vérifier si l'appareil et le tampon sont étanches et accessibles aux fins d'exploitation et d'entretien.
2. Simuler des conditions d'inversement d'écoulement et de contre-pression pour vérifier le
fonctionnement des brise-vide et des dispositifs antirefoulement.
3. S'assurer que la mise à l'air libre des appareils est disposée de manière que toute décharge soit
bien visible.
E. Réducteurs de pression
1. Régler les points de consigne selon l'emplacement et les conditions de débit et de pression.
F. Antibéliers
1. S'assurer que les antibéliers installés sont de type approprié et qu'ils sont correctement mis en
place.
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................5
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les dessins et les dispositions générales du contrat, incluant les
Conditions générales et les Conditions supplémentaires, ainsi que les Sections de la Division 01.
1.02 RÉFÉRENCES
A. ASME
1. ASME B16.21-2011 : Nonmetallic Flat Gaskets for Pipe Flanges.
2. ASME B16.22-2013 : Wrought Copper and Copper Alloy Solder-Joint Pressure Fittings.
3. ASME B16.23-2011 : Cast Copper Alloy Solder Joint Drainage Fittings: DWV.
4. ASME B16.29-2012 : Wrought Copper and Wrought Copper Alloy Solder-Joint Drainage Fittings-
DWV.
5. ASME B18.2.1-2012 : Square, Hex, Heavy Hex, and Askew Head Bolts and Hex, Heavy Hex, Hex
Flange, Lobed Head, and Lag Screws (Inch Series).
B. ASTM
1. ASTM B32-08(2014) : Standard Specification for Solder Metal.
2. ASTM B88-14 : Standard Specification for Seamless Copper Water Tube.
3. ASTM B306-13 : Standard Specification for Copper Drainage Tube (DWV).
4. ASTM C564 : Specification for Rubber Gaskets for Cast Iron Soil Pipe and Fittings.
5. ASTM B 813-10 : Standard Specification for Liquid and Paste Fluxes for Soldering of Copper and
Copper Alloy Tube.
6. ASTM C 1277-08 : Specification for Shielded Couplings Joining Hubless Cast Iron Soil Pipe and
Fittings.
7. ASTM C 1540-14 : Standard Specification for Heavy Duty Shielded Couplings Joining Hubless Cast
Iron Soil Pipe and Fittings.
8. ASTM D2235-04(2011) : Standard Specification for Solvent Cement for Acrylonitrille – Butadiene –
Stryrene (ABS) Plastic Pipe and Fittings.
9. ASTM D2564-12 : Standard Specification for Solvent Cements for Poly (Vinyl-Chloride) (PVC)
Plastic Piping Systems.
C. CSA
1. CSA-B70 : Tuyaux et raccords d'évacuation d'eaux usées en fonte et méthodes de raccordement.
2. CSA-B181.1-15 : Acrylonitrile-butadiene-styrene (ABS) drain, waste, and vent pipe and pipe fittings.
3. CSA-B181.2 -15: Polyvinylchloride (PVC) and chlorinated polyvinylchloride (CPVC) drain, waste,
and vent pipe and pipe fittings.
4. CSA-B182.1-15 : Plastic drain and sewer pipe and pipe fittings.
5. CSA B182.11-15 : Standard practice for the installation of thermoplastic drain, storm, and sewer
pipe and fittings.
6. CSA B602-10 : Mechanical Couplings for Drain, Waste, and Vent Pipe and Sewer Pipe.
D. MSS
1. MSS SP-123-2013 : Non-Ferrous Threaded and Solder-Joint Unions for Use With Copper Water
Tube.
E. Québec
1. CCQ – Chapitre III : Code de construction du Québec – Chapitre III - Plomberie, et Code national
de plomberie – Canada 2010 (modifié)
B. Données techniques sur les produits : pour chaque type de produit indiqué.
A. Fournir les fiches d’entretien requises et les joindre au manuel mentionné à la Section 01 78 00 –
Éléments à soumettre à l’achèvement des travaux.
PARTIE 2 - PRODUITS
A. Se conformer aux exigences de l’article « Bordereau des tuyauteries » pour la sélection des matériaux
des tuyaux, tubes et raccords et des méthodes de jointoiement en fonction des services spécifiques, des
localisations des services et des dimensions des tuyauteries.
A. Tuyaux d'évacuation des eaux sanitaires et d’évent, en fonte, de diamètre nominal égal ou supérieur à
DN 80 (NPS 3), destinés à être enfouis dans le sol, et raccords connexes, conformes à la norme
CAN/CSA-B70, et recouverts d'une couche d'enduit protecteur.
1. Fabricants : sous réserve de leur conformité au devis, fournir des tuyaux et raccords fabriqués dans
une fonderie nord-américaine. Les fabricants proposant des produits pouvant être employés dans
les ouvrages considérés comprennent, sans y être limités, les suivants :
a. Bibby-Ste-Croix.
B. Raccords de drainage en cuivre : Raccords pour joints brasés, en cuivre coulé ASME B16.23 ou en
cuivre forgé ASME B16.29.
C. Tubes en cuivre rigide : Tubes d’eau à l’état étiré, ASTM B 88M, Type B and Type C (ASTM B 88,
Type L and Type M).
E. Brides en cuivre : ASME B16.23, classe 150, en cuivre coulé, avec bouts pour joints brasés.
1. Matériaux de la garniture : AME B16.21, de pleine surface, non-métallique, sans amiante, d’une
épaisseur maximale de 3.2 mm (1/8 po) à moins qu’indiqué un matériau ou une épaisseur
spécifique.
2. Boulons des brides : ASME B18.2.1, en acier au carbone à moins d’indication contraire.
F. Brasage tendre : ASTM B 32, sans plomb avec fondant pour brassage lavable à l’eau ASTM B 813.
A. Tuyaux DWV en ABS et en PVC, destinés à être enfouis dans le sol, conformes aux normes suivantes :
1. CSA-B181.1.
2. CSA-B181.2.
3. CSA-B182.1.
B. Joints collés
1. Adhésif à solvant pour joints de tuyaux en ABS : conforme à la norme ASTM D2235.
2. Adhésif à solvant pour joints de tuyaux en PVC : conforme à la norme ASTM D2564.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
A. Installer les éléments conformément aux exigences du CCQ – Chapitre III, et des autorités locales de
juridiction.
B. Installer la tuyauterie hors sol parallèlement aux murs et aux plafonds et près de ceux-ci de façon à
réduire le moins possible le volume utile des pièces. Respecter la pente indiquée.
C. Installer la tuyauterie à enfouir sur un lit de sable propre, lavé, d'une épaisseur de 150 mm. Respecter
la pente, les lignes et les niveaux indiqués. Remblayer avec une couche de sable lavé de 150 mm
d'épaisseur.
A. Assujettir la tuyauterie de façon à ce que les joints ne soient soumis à aucune force axiale occasionnée
par le poids des tuyaux, la pression hydrostatique ou le mouvement du fluide. À cette fin, utiliser des
ancrages, guides, contrevents et dispositifs de retenue appropriés selon les méthodes recommandées à
l’annexe informative A.1 de la norme CSA B602-05 intitulée « Use of Mechanical Couplings Subject to
Thrust Restraints ».
A. Installer les tuyaux et les raccords DWV conformément à la norme CSA B182.11.
B. Lorsque les colonnes de drainage sont en fonte, le branchement souterrain doit se faire en fonte sur un
mètre de longueur à partir de la colonne avant de se raccorder à la tuyauterie de plastique souterraine.
Applications Diamètres Tubes, tuyaux, raccords et joints Joints des tuyaux de matériaux
différents
Drainage gravitaire, DN 40 (NPS 1-½) Cuivre DWV, joints à emboîtements Accouplements de transition
hors-sol et moins brasés blindés
Drainage gravitaire, DN 50 à DN 100 (NPS 2 à NPS 4) Fonte, joints mécaniques, accouplements Accouplements de transition
hors-sol blindés, type « usage intensif » blindés
Drainage gravitaire, DN 125 (NPS 5) Fonte, joints mécaniques, accouplements Accouplements de transition
hors-sol et plus blindés, type « usage intensif » blindés
Évents, DN 40 (NPS 1-1/2) Cuivre DWV, joints à emboîtements Accouplements de transition
hors-sol et moins brasés blindés
Évents, DN 50 à DN 100 (NPS 2 à NPS 4) Fonte, joints mécaniques, accouplements Accouplements de transition
hors-sol blindés, type « usage intensif » blindés
Évents, DN 125 (NPS 5) Fonte, joints mécaniques, accouplements Accouplements de transition
hors-sol et plus blindés, type « usage intensif » blindés
Drainage gravitaire, DN 100 (NPS 4) ABS, joints à emboîtement collés Accouplements de transition
enfoui et moins blindés
Drainage gravitaire, DN 125 (NPS 5) PVC, joints à emboîtement collés Accouplements de transition
enfoui et plus blindés
Drainage pompé, DN 50 (NPS 2) Cuivre rigide Type B (Type L), joints à Unions diélectriques
Hors-sol et moins pression, brasés
Drainage pompé, DN 50 (NPS 2) Cuivre rigide Type B (Type L), joints à Unions diélectriques
enfoui et moins emboîtements brasés
Figure 1 - Installation d’un joint mécanique sur tuyauterie rectiligne horizontale ou verticale.
2.04 DISPOSITIFS D’ÉTANCHÉITÉ PAR INSERTION SERVANT À MAINTENIR LA GARDE D’EAU DES SIPHONS .....4
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 4
3.01 INSTALLATION................................................................................................................................4
3.04 DISPOSITIFS D’ÉTANCHÉITÉ PAR INSERTION SERVANT À MAINTENIR LA GARDE D’EAU DES SIPHONS .....5
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les dessins et les dispositions générales du contrat, incluant les
Conditions générales et les Conditions supplémentaires, ainsi que les Sections de la Division 01.
1.02 SOMMAIRE
1.03 RÉFÉRENCES
B. Fiches techniques
1. Soumettre les fiches techniques requises ainsi que les spécifications et la documentation du
fabricant concernant le matériel et les appareils prescrits.
2. Les fiches techniques doivent préciser les dimensions, les détails de construction et les matériaux
de fabrication des appareils et du matériel prescrits.
A. Fournir les fiches techniques et les fiches d'entretien requises, et les joindre au manuel mentionné dans
la Section 01 78 00 – Éléments à soumettre à l’achèvement des travaux. Les fiches doivent comprendre
ou indiquer ce qui suit :
1. Une description des appareils spéciaux, y compris le nom du fabricant, le type, le modèle, l'année
de fabrication et la puissance, le débit ou la contenance.
2. Les détails pertinents relatifs à l'exploitation, à l'entretien et à la maintenance des appareils.
3. Une liste des pièces de rechange recommandées.
PARTIE 2 - PRODUITS
A. Bouchons de dégorgement : manchon en fonte robuste avec vis en laiton et bouchon à visser en laiton
ou en bronze, siège en plomb maté ou garniture en néoprène.
B. Tampons de visite
1. Montage au mur : tampons carrés ou ronds selon les indications aux dessins, en acier inoxydable
ou en bronze au nickel poli, montés d'affleurement ou en applique, munis de vis de fixation à tête
noyée, avec cadre à bords biseautés et à pattes d'ancrage.
2. Montage au sol : boîtes de visite rectangulaires ou rondes selon les indications aux dessins, en
métal moulé, munies de pattes d'ancrage.
a. Bouchons : à boulonner, en bronze, munis d'une garniture en néoprène.
b. Tampons pour planchers en béton non finis : ronds ou carrés selon les indications aux
dessins, en bronze au nickel, munis d'une garniture d'étanchéité et de vis inviolables.
c. Tampons pour planchers revêtus de terrazzo : en laiton ou bronze au nickel poli, comportant
un creux et pouvant être recouverts de terrazzo, munis de vis de blocage inviolables.
d. Tampons pour planchers revêtus d'un carrelage ou de linoléum : en bronze au nickel poli,
comportant un creux et pouvant être recouverts de carreaux ou de linoléum, munis de vis de
blocage inviolables.
e. Tampons pour planchers revêtus de moquette : en bronze au nickel poli, comportant un creux
et pouvant être recouverts de moquette, munis d'un dispositif de retenue de la moquette et de
vis de blocage inviolables.
A. Apparent :
1. Pour tuyauterie en fonte et cuivre : clapets à corps en fonte très robustes, munis d’un siège et d’un
battant en bronze ainsi que d’un chapeau à visser.
a. Produit(s) acceptable(s) : Zurn, figure Z-1090, Jay R. Smith.
2. Pour tuyauterie en ABS ou en PVC : clapets à corps en battant du même matériau que le réseau.
a. Produit(s) acceptable(s) : IPEX.
2.04 DISPOSITIFS D’ÉTANCHÉITÉ PAR INSERTION SERVANT À MAINTENIR LA GARDE D’EAU DES SIPHONS
B. Clapet mou et flexible en CPV élastomérique, conforme à la norme ASSE 1072, en forme de bec, ouvert
sur le dessus avec fermeture courbée en-dessous et moulé autour d’un manchon en CPV. Le clapet
s’insère à l’intérieur d’un avaloir de sol. Il s’ouvre pour permettre aux effluents de passer et se referme
pour empêcher les gaz du réseau sanitaire de s’échapper.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
3.01 INSTALLATION
A. Installer les appareils selon les exigences du Code provincial de plomberie pertinent et des autorités
locales compétentes.
B. Installer les appareils de plomberie spéciaux conformément aux instructions du fabricant et aux
prescriptions formulées.
A. Installer des regards de nettoyage au bas des colonnes d’évacuation des eaux usées (chute et renvoi),
aux autres endroits mentionnés dans le code pertinent et à tous les endroits indiqués.
B. Installer les regards de nettoyage d'affleurement avec le mur ou le plancher fini à moins qu'il s'agisse
d'un montage au sol et qu'il soit possible de les atteindre, aux fins d'entretien, à partir d'un endroit situé
sous le plancher.
C. Afin d’éviter qu’ils s’ouvrent accidentellement sous l’effet des forces induites par la poussée hydraulique,
fixer solidement les regards de nettoyage qui sont assemblés à l’aide de collets mécaniques. Utiliser
des contreventements installés selon les méthodes recommandées à l’annexe informative A.1 de la
norme CSA B602-05 intitulée « Use of Mechanical Couplings Subject to Thrust Restraints ».
D. Le diamètre nominal des regards de nettoyage montés sur les collecteurs principaux et les colonnes
d'évacuation des eaux usées doit être égal à celui de la canalisation mais en aucun cas supérieur à
DN 4.
A. Monter un clapet de non-retour dans les canalisations principales d'égout aux endroits indiqués.
3.04 DISPOSITIFS D’ÉTANCHÉITÉ PAR INSERTION SERVANT À MAINTENIR LA GARDE D’EAU DES SIPHONS
A. Installer un dispositif d’étanchéité par insertion servant à maintenir la garde d’eau des siphons dans le
cas des avaloirs au sol et de tout autre appareil indiqué.
A. Généralités
1. Selon les prescriptions de la Section 01 75 00 – Mise en marche et réglages et de cette Section.
A. Généralités
1. Selon les prescriptions de la Section 01 75 00 – Mise en marche et réglages et de cette Section.
C. Avaloirs au sol
1. Vérifier le fonctionnement des dispositifs d’étanchéité par insertion servant à maintenir la garde
d’eau des siphons.
2. Vérifier que la grille est bien en place, qu’elle est accessible et facile à enlever.
3. Nettoyer le panier à sédiments.
D. Regards de nettoyage
1. S'assurer que le tampon est étanche aux gaz, qu'il est bien fixé et qu’il est facile à enlever.
2. S'assurer que la baguette de nettoyage peut se rendre facilement jusqu'au regard suivant.
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 4
3.01 INSTALLATION................................................................................................................................4
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les dessins et les dispositions générales du contrat, incluant les
Conditions générales et les Conditions supplémentaires, ainsi que les Sections de la Division 01.
1.02 RÉFÉRENCES
A. ASME
1. ASME B16.21-2011 : Nonmetallic Flat Gaskets for Pipe Flanges.
2. ASME B16.22-2013 : Wrought Copper and Copper Alloy Solder-Joint Pressure Fittings.
3. ASME B16.23-2011 : Cast Copper Alloy Solder Joint Drainage Fittings: DWV.
4. ASME B16.29-2012 : Wrought Copper and Wrought Copper Alloy Solder-Joint Drainage Fittings-
DWV.
5. ASME B18.2.1-2012 : Square, Hex, Heavy Hex, and Askew Head Bolts and Hex, Heavy Hex, Hex
Flange, Lobed Head, and Lag Screws (Inch Series).
B. ASTM
1. ASTM B32-08(2014) : Standard Specification for Solder Metal.
2. ASTM B88-14 : Standard Specification for Seamless Copper Water Tube.
3. ASTM B306-13 : Standard Specification for Copper Drainage Tube (DWV).
4. ASTM C564 : Specification for Rubber Gaskets for Cast Iron Soil Pipe and Fittings.
5. ASTM B 813-10 : Standard Specification for Liquid and Paste Fluxes for Soldering of Copper and
Copper Alloy Tube.
6. ASTM C 1277-08 : Specification for Shielded Couplings Joining Hubless Cast Iron Soil Pipe and
Fittings.
7. ASTM C 1540-14 : Standard Specification for Heavy Duty Shielded Couplings Joining Hubless Cast
Iron Soil Pipe and Fittings.
8. ASTM D2235-04(2011) : Standard Specification for Solvent Cement for Acrylonitrille – Butadiene –
Stryrene (ABS) Plastic Pipe and Fittings.
9. ASTM D2564-12 : Standard Specification for Solvent Cements for Poly (Vinyl-Chloride) (PVC)
Plastic Piping Systems.
C. CSA
1. CSA-B70 : Tuyaux et raccords d'évacuation d'eaux usées en fonte et méthodes de raccordement.
2. CSA-B181.1-15 : Acrylonitrile-butadiene-styrene (ABS) drain, waste, and vent pipe and pipe fittings.
3. CSA-B181.2 -15: Polyvinylchloride (PVC) and chlorinated polyvinylchloride (CPVC) drain, waste,
and vent pipe and pipe fittings.
D. MSS
1. MSS SP-123-2013 : Non-Ferrous Threaded and Solder-Joint Unions for Use With Copper Water
Tube.
E. Québec
1. CCQ – Chapitre III : Code de construction du Québec – Chapitre III - Plomberie, et Code national
de plomberie – Canada 2010 (modifié)
B. Données techniques sur les produits : pour chaque type de produit indiqué.
A. Fournir les fiches d’entretien requises et les joindre au manuel mentionné à la Section 01 78 00 –
Éléments à soumettre à l’achèvement des travaux.
PARTIE 2 - PRODUITS
A. Se conformer aux exigences de l’article « Bordereau des tuyauteries » pour la sélection des matériaux
des tuyaux, tubes et raccords et des méthodes de jointoiement en fonction des services spécifiques, des
localisations des services et des dimensions des tuyauteries.
B. Tuyaux d'évacuation des eaux sanitaires et d’évent, en fonte, de diamètre nominal égal ou supérieur à
DN 80 (NPS 3), destinés à être enfouis dans le sol, et raccords connexes, conformes à la norme
CAN/CSA-B70, et recouverts d'une couche d'enduit protecteur.
1. Fabricants : sous réserve de leur conformité au devis, fournir des tuyaux et raccords fabriqués dans
une fonderie nord-américaine. Les fabricants proposant des produits pouvant être employés dans
les ouvrages considérés comprennent, sans y être limités, les suivants :
a. Bibby-Ste-Croix.
a. ANACO-Husky.
b. Dallas Specialty & Mfg. Co.
c. Fernco Inc.
d. Matco-Norca, Inc.
e. MIFAB, Inc.
f. Mission Rubber Company; a division of MCP Industries, Inc.
g. Stant.
h. Tyler Pipe.
2. Normes : CAN/CSA-B602, ASTM C 1277 et ASTM 1540.
3. Description : de type « usage intensif » avec blindage d’acier inoxydable ondulé, colliers et
dispositifs de serrage en acier inoxydable; garniture de compression en caoutchouc conforme à la
norme ASTM C 564 ou CAN/CSA-B70 avec butée intégrale de tuyau au centre.
B. Raccords de drainage en cuivre : Raccords pour joints brasés, en cuivre coulé ASME B16.23 ou en
cuivre forgé ASME B16.29.
C. Tubes en cuivre rigide : Tubes d’eau à l’état étiré, ASTM B 88M, Type B and Type C (ASTM B 88,
Type L and Type M).
E. Brides en cuivre : ASME B16.23, classe 150, en cuivre coulé, avec bouts pour joints brasés.
1. Matériaux de la garniture : AME B16.21, de pleine surface, non-métallique, sans amiante, d’une
épaisseur maximale de 3.2 mm (1/8 po) à moins qu’indiqué un matériau ou une épaisseur
spécifique.
2. Boulons des brides : ASME B18.2.1, en acier au carbone à moins d’indication contraire.
F. Brasage tendre : ASTM B 32, sans plomb avec fondant pour brassage lavable à l’eau ASTM B 813.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
3.01 INSTALLATION
A. Installer les éléments conformément aux exigences du CCQ – Chapitre III, et des autorités locales de
juridiction.
B. Installer la tuyauterie hors sol parallèlement aux murs et aux plafonds et près de ceux-ci de façon à
réduire le moins possible le volume utile des pièces. Respecter la pente indiquée.
C. Installer la tuyauterie à enfouir sur un lit de sable propre, lavé, d'une épaisseur de 150 mm. Respecter
la pente, les lignes et les niveaux indiqués. Remblayer avec une couche de sable lavé de 150 mm
d'épaisseur.
A. Assujettir la tuyauterie de façon à ce que les joints ne soient soumis à aucune force axiale occasionnée
par le poids des tuyaux, la pression hydrostatique ou le mouvement du fluide. À cette fin, utiliser des
ancrages, guides, contrevents et dispositifs de retenue appropriés selon les méthodes recommandées à
l’annexe informative A.1 de la norme CSA B602-05 intitulée « Use of Mechanical Couplings Subject to
Thrust Restraints ».
Applications Diamètres Tubes, tuyaux, raccords et joints Joints des tuyaux de matériaux
différents
Drainage gravitaire, DN 50 à DN 100 (NPS 2 à NPS 4) Fonte, joints mécaniques, accouplements Accouplements de transition
hors-sol blindés, type « usage intensif » blindés
Drainage gravitaire, DN 125 (NPS 5) Fonte, joints mécaniques, accouplements Accouplements de transition
hors-sol et plus blindés, type « usage intensif » blindés
Drainage pompé, DN 50 (NPS 2) Cuivre rigide Type B (Type L), joints à Unions diélectriques
Hors-sol et moins pression, brasés
Drainage pompé, DN 50 (NPS 2) Cuivre rigide Type B (Type L), joints à Unions diélectriques
enfoui et moins emboîtements brasés
Figure 1 - Installation d’un joint mécanique sur tuyauterie rectiligne horizontale ou verticale.
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 3
3.01 INSTALLATION................................................................................................................................3
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les dessins et les dispositions générales du contrat, incluant les
Conditions générales et les Conditions supplémentaires, ainsi que les Sections de la Division 01.
1.02 RÉFÉRENCES
A. ASTM :
1. ASTM D2235-04(2011) : Standard Specification for Solvent Cement for Acrylonitrille – Butadiene –
Stryrene (ABS) Plastic Pipe and Fittings.
2. ASTM D2564-12 : Standard Specification for Solvent Cements for Poly (Vinyl-Chloride) (PVC)
Plastic Piping Systems.
B. CSA
1. CSA-B181.1-15 : Acrylonitrile-butadiene-styrene (ABS) drain, waste, and vent pipe and pipe fittings.
2. CSA-B181.2 -15: Polyvinylchloride (PVC) and chlorinated polyvinylchloride (CPVC) drain, waste,
and vent pipe and pipe fittings.
3. CSA-B182.1-15 : Plastic drain and sewer pipe and pipe fittings.
4. CSA B182.11-15 : Standard practice for the installation of thermoplastic drain, storm, and sewer
pipe and fittings.
B. Données techniques sur les produits : pour chaque type de produit indiqué.
A. Fournir les fiches d’entretien requises et les joindre au manuel mentionné à la Section 01 78 00 –
Éléments à soumettre à l’achèvement des travaux.
PARTIE 2 - PRODUITS
A. Tuyaux DWV en ABS et en PVC, destinés à être enfouis dans le sol, conformes aux normes suivantes :
1. CSA-B181.1.
2. CSA-B181.2.
3. CSA-B182.1.
B. Joints collés
1. Adhésif à solvant pour joints de tuyaux en ABS : conforme à la norme ASTM D2235.
2. Adhésif à solvant pour joints de tuyaux en PVC : conforme à la norme ASTM D2564.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
3.01 INSTALLATION
A. Installer les éléments conformément aux exigences du Code de plomberie et des autorités locales
compétentes.
B. Installer la tuyauterie hors sol parallèlement aux murs et aux plafonds et près de ceux-ci de façon à
réduire le moins possible le volume utile des pièces. Respecter la pente indiquée.
C. Installer la tuyauterie à enfouir sur un lit de sable propre, lavé, d'une épaisseur de 150 mm. Respecter
la pente, les lignes et les niveaux indiqués. Remblayer avec une couche de sable lavé de 150 mm
d'épaisseur.
D. Installer les tuyaux et les raccords DWV conformément à la norme CSA B182.11.
E. Lorsque les colonnes de drainage sont en fonte, le branchement souterrain doit se faire en fonte sur un
mètre de longueur à partir de la colonne avant de se raccorder à la tuyauterie de plastique souterraine.
Applications Diamètres Tubes, tuyaux, raccords et joints Joints des tuyaux de matériaux
différents
Drainage gravitaire, DN 100 (NPS 4) ABS, joints à emboîtement collés Accouplements de transition
enfoui et moins blindés
Drainage gravitaire, DN 125 (NPS 5) PVC, joints à emboîtement collés Accouplements de transition
enfoui et plus blindés
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 4
3.01 INSTALLATION................................................................................................................................4
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les dessins et les dispositions générales du contrat, incluant les
Conditions générales et les Conditions supplémentaires, ainsi que les Sections de la Division 01.
1.02 SOMMAIRE
1.03 RÉFÉRENCES
B. Québec
1. Code de construction du Québec – Chapitre III - Plomberie, et Code national de plomberie –
Canada 2010 (modifié)
B. Fiches techniques
1. Soumettre les fiches techniques requises ainsi que les spécifications et la documentation du
fabricant concernant le matériel et les appareils prescrits.
2. Les fiches techniques doivent préciser les dimensions, les détails de construction et les matériaux
de fabrication des appareils et du matériel prescrits.
A. Fournir les fiches techniques et les fiches d'entretien requises, et les joindre au manuel mentionné dans
la Section 01 78 00 – Éléments à soumettre à l’achèvement des travaux. Les fiches doivent comprendre
ou indiquer ce qui suit :
1. Une description des appareils spéciaux, y compris le nom du fabricant, le type, le modèle, l'année
de fabrication et la puissance, le débit ou la contenance.
2. Les détails pertinents relatifs à l'exploitation, à l'entretien et à la maintenance des appareils.
3. Une liste des pièces de rechange recommandées.
PARTIE 2 - PRODUITS
A. Bouchons de dégorgement : manchon en fonte robuste avec vis en laiton et bouchon à visser en laiton
ou en bronze, siège en plomb maté ou garniture en néoprène.
B. Tampons de visite
1. Montage au mur : tampons carrés ou ronds selon les indications aux dessins, en acier inoxydable
ou en bronze au nickel poli, montés d'affleurement ou en applique, munis de vis de fixation à tête
noyée, avec cadre à bords biseautés et à pattes d'ancrage.
2. Montage au sol : boîtes de visite rectangulaires ou rondes selon les indications aux dessins en
métal moulé, munies de pattes d'ancrage.
a. Bouchons : à boulonner, en bronze, munis d'une garniture en néoprène.
b. Tampons pour planchers en béton non finis : ronds ou carrés selon les indications aux
dessins, en bronze au nickel, munis d'une garniture d'étanchéité et de vis inviolables.
c. Tampons pour planchers revêtus de terrazzo : en laiton ou en bronze au nickel poli,
comportant un creux et pouvant être recouverts de terrazzo, munis de vis de blocage
inviolables.
d. Tampons pour planchers revêtus d'un carrelage ou de linoléum : en bronze au nickel poli,
comportant un creux et pouvant être recouverts de carreaux ou de linoléum, munis de vis de
blocage inviolables.
e. Tampons pour planchers revêtus de moquette : en bronze au nickel poli, comportant un creux
et pouvant être recouverts de moquette, munis d'un dispositif de retenue de la moquette et de
vis de blocage inviolables.
A. Apparent :
1. Pour tuyauterie en fonte et cuivre : clapets à corps en fonte très robustes, munis d’un siège et d’un
battant en bronze ainsi que d’un chapeau à visser.
a. Produit(s) acceptable(s) : Zurn, figure Z-1090, Jay R. Smith.
2. Pour tuyauterie en ABS ou en PVC : clapets à corps en battant du même matériau que le réseau.
a. Produit(s) acceptable(s) : IPEX.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
3.01 INSTALLATION
A. Installer les appareils selon les exigences du Code provincial de plomberie pertinent et des autorités
locales de juridiction.
B. Installer les appareils de plomberie spéciaux conformément aux instructions du fabricant et aux
indications.
A. Généralités
1. Selon les prescriptions de la Section 01 75 00 – Mise en marche et réglages et de cette Section.
A. Installer des regards de nettoyage au bas des colonnes d’évacuation pluviales, aux autres endroits
mentionnés dans le code pertinent et à tous les endroits indiqués.
B. Installer les regards de nettoyage d'affleurement avec le mur ou le plancher fini à moins qu'il s'agisse
d'un montage au sol et qu'il soit possible de les atteindre, aux fins d'entretien, à partir d'un endroit situé
sous le plancher.
C. Afin d’éviter qu’ils s’ouvrent accidentellement sous l’effet des forces induites la pression hydrostatique
ou la poussée hydraulique, fixer solidement les regards de nettoyage qui sont assemblés à l’aide de
collets mécaniques. Utiliser des contreventements installés selon les méthodes recommandées à
l’annexe informative A.1 de la norme CSA B602-05 intitulée « Use of Mechanical Couplings Subject to
Thrust Restraints ».
D. Le diamètre nominal des regards de nettoyage montés sur les collecteurs principaux et les colonnes
d'évacuation des eaux usées doit être égal à celui de la canalisation mais en aucun cas supérieur à
DN 4.
A. Monter un clapet de non-retour dans les canalisations principales aux endroits indiqués.
A. Généralités
1. Selon les prescriptions de la Section 01 75 00 – Mise en marche et réglages et de cette Section.
C. Regards de nettoyage
1. S'assurer que le tampon est étanche aux gaz, qu'il est bien fixé et qu’il est facile à enlever.
2. S'assurer que la baguette de nettoyage peut se rendre facilement jusqu'au regard suivant.
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 2
3.01 INSTALLATION................................................................................................................................2
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les dessins et les dispositions générales du contrat, incluant les
Conditions générales et les Conditions supplémentaires, ainsi que les Sections de la Division 01.
1.02 RÉFÉRENCES
A. ASME
1. ASME A112.6.4 : Roof Deck, and Balcony Drains.
PARTIE 2 - PRODUITS
PARTIE 3 - EXÉCUTION
3.01 INSTALLATION
A. Installer les appareils selon les exigences du Code de plomberie de la province et des autorités locales
compétentes.
B. Installer les appareils de plomberie spéciaux conformément aux instructions du fabricant et aux
prescriptions formulées.
A. Vérifier si les avaloirs sont installés aux endroits appropriés, aux points bas de la toiture.
B. Vérifier si la grille bombée est bien fixée en place et si elle est facile à enlever.
C. Régler le déversoir selon la pente réelle du toit et s'assurer que l'ensemble satisfait aux exigences de
calcul.
D. Nettoyer la cuvette.
E. S'assurer que des moyens ont été prévus pour permettre les mouvements de la toiture.
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 3
3.01 MATÉRIEL FOURNI ET INSTALLÉ AUX TERMES D’UNE AUTRE SECTION ................................................3
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les dessins et les dispositions générales du contrat, incluant les
Conditions générales et les Conditions supplémentaires, ainsi que les Sections de la Division 01.
1.02 RÉFÉRENCES
A. ANSI/ARI 1020, Application and Installation of Drinking Fountains and Drinking Water Coolers.
B. CSA
1. CAN/CSA-Série B45-F02 (C2013) : Appareils sanitaires.
2. ASME A112.18.1-2012/CSA B125.1-12 : Plumbing supply fittings.
3. CSA B125.3-12 : Plumbing fittings.
4. ASME A112.18.6-09/CSA B125.6-09 (R2014) : Flexible water connectors.
C. CCQ : Code de construction du Québec – Chapitre 1, Bâtiment, et Code national du bâtiment – Canada
2005 (modifié).
B. Données techniques sur les produits : pour chaque type de produit indiqué.
A. Fournir les fiches d'exploitation et d'entretien requises et les joindre au manuel mentionné à la
Section 01 78 00 – Éléments à soumettre à l’achèvement des travaux.
PARTIE 2 - PRODUITS
D. Nombre d'appareils et d'accessoires et emplacement de ceux-ci : selon les indications des dessins
d'architecture.
E. Appareils installés dans une même pièce : du même type et provenant du même fabricant.
F. Robinetterie et accessoires installés dans une même pièce : du même type et provenant du même
fabricant.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
A. Installer la tuyauterie brute, à savoir les canalisations d'alimentation en eau chaude et en eau froide
avec robinets d'arrêt, les canalisations d'évacuation et les canalisations de ventilation nécessaires au
raccordement du matériel fourni aux termes d'une autre Section.
A. Hauteurs de montage
1. Hauteur de montage des appareils en général : selon les recommandations du fabricant, à moins
d'indications contraires dans le devis ou sur les dessins.
2. Hauteur de montage des appareils muraux : selon les indications, mesurée à partir du plancher
revêtu.
3. Hauteur de montage des appareils conçus et prévus pour les personnes en fauteuil roulant : selon
les exigences du CCQ.
3.03 RÉGLAGE
A. Réglage
1. Régler le débit normal de façon à ce qu'il corresponde au débit calculé.
2. Régler la pression d'alimentation en eau des appareils de façon à ce qu'il ne se produise pas
d'éclaboussure à la pression maximale.
3. Dans le cas des robinets de chasse, faire les réglages nécessaires en fonction des conditions
existantes sur les lieux.
4. Régler les minuteries de chasse des urinoirs.
5. Régler le débit d'alimentation au bec des fontaines ordinaires et des fontaines réfrigérées de façon
à prévenir les débordements d'eau.
6. Régler les robinets de chasse automatiques des W.-C. et des urinoirs de façon à éviter que des
chasses non nécessaires se déclenchent durant les heures d'inoccupation des lieux.
B. Vérification
1. Vérifier la chasse des W.-C. et des urinoirs.
2. Vérifier le fonctionnement des brise-vide et des dispositifs antirefoulement.
3. Vérifier le fonctionnement des dispositifs de commande d'alimentation des fontaines.
C. Vérifier le fonctionnement ainsi que les températures de consigne des fontaines réfrigérées.
1.04 DÉFINITIONS..................................................................................................................................5
2.04 COFFRETS DE COMMANDE POUR RÉGULATION DE PRESSION D’AIR COMPRIMÉ À USAGE MÉDICAL .......9
PARTIE 3 - EXÉCUTION.......................................................................................................... 10
3.08 CONTRÔLE DE LA QUALITÉ SUR PLACE DES TUYAUTERIES D'AIR COMPRIMÉ À USAGE MÉDICAL
POUR ÉTABLISSEMENTS FOURNISSANT DES SERVICES DE SANTÉ ....................................................14
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les dessins et les dispositions générales du contrat, incluant les
Conditions générales et les Conditions supplémentaires, ainsi que les Sections de la Division 01.
1.02 SOMMAIRE
1.03 RÉFÉRENCES
12. ASTM F 656-02: Specification for Primers for Use in Solvent Cement Joints of Poly Vinyl Chloride
(PVC) Plastic Pipe and Fittings
13. ASTM F 2063-00: Specification for Wrought Nickel-Titanium Shape Memory Alloys for Medical
Devices and Surgical Implants
K. U.S. Pharmacopeia
1. USP 28 - NF 23. 2004.
1.04 DÉFINITIONS
A. Très basse tension : selon la définition donnée dans le Code canadien de l’électricité pour des circuits et
équipements fonctionnant à moins de 30 V ou des circuits de commande à distance et de signalisation
de puissance limitée.
B. Systèmes de tuyauteries d’air comprimé à usage médical : dans le but de simplifier le texte de cette
Section, comprennent les systèmes de tuyauteries d'air de laboratoire.
A. Performances d’ordre sismique : Les tuyauteries et tous les composants des réseaux doivent résister
aux effets des déplacements sismiques calculés selon le Code National du bâtiment.
1. Le terme « résister » signifie que « tous les composants du système demeurent en place sans
séparation d'aucune partie, lorsque le système est soumis aux forces sismiques spécifiées et que
le système sera pleinement fonctionnel après l’événement sismique. »
C. Certificats en brasage.
A. Fournir les fiches d'exploitation et d'entretien requises et les joindre au manuel mentionné à la
Section 01 78 00 – Éléments à soumettre à l’achèvement des travaux.
B. Données d’exploitation et d’entretien : celles relatives aux composants à usage spécialisé des systèmes
de tuyauteries d'air comprimé doivent figurer dans les manuels d'intervention d'urgence et d’exploitation
et d’entretien.
A. Qualifications de l’installateur :
1. Systèmes de tuyauteries d’air comprimé à usage médical pour établissements fournissant des
services de santé : qualifier les installateurs selon la norme NQ 5710-500.
B. Qualifications de l’organisme d’essais : organisme indépendant, ayant l’expérience et les capacités pour
procéder aux essais des tuyauteries d’air comprimé indiqués, qui est membre de la Medical Gas
Professional Healthcare Organization ou est un laboratoire d’essais reconnu nationalement et agréé par
les autorités de juridiction.
1. Qualifier le personnel chargé des essais selon les normes NQ 5710-500 et NQ 5710-900.
C. Brasage : qualifier les procédés et les opérateurs selon le code ASME Boiler and Pressure Vessel
Code : Section IX, « Welding and Brazing Qualifications » ou la norme AWS B2.2, « Standard for
Brazing Procedure and Performance Qualification ».
D. Conformité ASME :
1. Se conformer à ASME B31.9, « Building Services Piping », pour les tuyauteries d'air comprimé de
laboratoire dont la pression de service est inférieure à 1 035 kPa (150 psig).
A. Mise hors service des systèmes existants d'air comprimé de laboratoire et à usage médical : Ne pas
mettre hors service un système d'air comprimé de laboratoire ou à usage médical desservant un
établissement occupé par le Propriétaire ou des tiers, sauf autorisation dans les conditions ci-après et
uniquement après avoir pris les dispositions nécessaires pour assurer un service temporaire satisfaisant
aux exigences énoncées :
1. Avertir le Propriétaire au moins deux jours avant la mise hors service prévue des systèmes d'air
comprimé de laboratoire et à usage médical.
2. Ne pas mettre hors service les systèmes d'air comprimé de laboratoire et à usage médical sans
l'autorisation écrite du Propriétaire.
PARTIE 2 - PRODUITS
A. Tubes en cuivre pour gaz médicaux : ASTM B 819, type K, sans couture, à l'état étiré, nettoyés, purgés
et scellés par le fabricant pour utilisation avec gaz médicaux ou selon CGA G-4.1 pour utilisation avec
de l’oxygène. Prévoir un marquage standard à code couleur « OXY », « MED », « OXY/MED »,
« OXY/ACR » ou « ACR/MED », en vert pour un tube de type K et en bleu pour un tube de type L.
1. Exigences générales pour les raccords en cuivre : nettoyés, purgés et ensachés par le fabricant
pour une utilisation avec de l'oxygène selon CGA G-4.1.
2. Raccords en cuivre battu : ASME B16.22, type à pression pour brasage tendre ou MSS SP-73,
avec dimensions pour joints brasés.
3. Unions en cuivre : ASME B16.22 ou MSS SP-123, cuivre battu ou alliage de cuivre coulé.
C. Tubes en cuivre pour l'eau : ASTM B 88, type M (ASTM B 88M, type C), sans couture, à l'état étiré.
1. Raccords en cuivre : cuivre coulé ASME B16.18 ou cuivre battu ASME B16.22, type à pression
pour brasage tendre.
A. Métaux d'apport pour brasage tendre : alliages sans plomb ASTM B 32. Utiliser du flux de brasage
lavable à l'eau selon la norme ASTM B 813.
B. Métaux d'apport pour brasage fort : alliages de cuivre-phosphore AWS A5.8/A5.8M, série BCuP, pour
brasage fort en général, sauf indications contraires.
2.03 ROBINETS
A. Exigences générales pour les robinets : nettoyés, purgés et ensachés par le fabricant pour une
utilisation avec de l'oxygène selon CGA G-4.1.
D. Robinets de zone : robinets à tournant sphérique MSS SP-110, corps en 3 pièces, laiton ou bronze,
avec manomètre.
1. Fabricants : sous réserve de leur conformité au devis, fournir les produits de l’un des fabricants
suivants :
a. Allied Healthcare Products, Inc.; Chemetron Div.
b. Allied Healthcare Products, Inc.; Oxequip Health Industries.
c. Amico Corporation.
d. BeaconMedaes.
e. Squire-Cogswell/Aeros Instruments, Inc.
f. Tri-Tech Medical.
2. Pression nominale : 300 psig (2 070 kPa) minimum.
3. Sphère : à passage intégral, en laiton chromé.
4. Sièges : PTFE ou TFE.
5. Poignée : avec levier à verrouillage.
6. Tige : inéjectable avec joint en PTFE ou TFE.
7. Extrémités : rallonges en tube de cuivre ASTM B 819, installées par le fabricant.
8. Manomètre : installé par le fabricant sur l'une des rallonges en tube de cuivre.
E. Coffrets de robinet de zone : acier formé avec ancrages pour montage encastré; trous dans les côtés du
coffret, munis d'anneaux pour la protection des rallonges de tuyaux; dimensions suffisantes pour un
robinet ou plusieurs robinets avec manomètres et pour une commande manuelle des robinets.
1. Fabricants : sous réserve de leur conformité au devis, fournir les produits de l’un des fabricants
suivants :
a. Allied Healthcare Products, Inc.; Chemetron Div.
b. Allied Healthcare Products, Inc.; Oxequip Health Industries.
c. Amico Corporation.
d. BeaconMedaes.
e. Squire-Cogswell/Aeros Instruments, Inc.
2. Finition intérieure : émail blanc appliqué en usine.
3. Plaque-couvercle : acier inoxydable avec fini n° 4 NAAMM AMP 503 avec fenêtres cassantes ou
amovibles.
4. Fenêtres de coffrets de robinets : matière plastique transparente ou teintée avec étiquetage
indiquant les pièces desservies, selon NQ 5710-500.
F. Soupapes de sécurité : corps en bronze, fabrication ASME, du type à décharge, à clapet, avec pression
de réglage satisfaisant aux exigences du système.
G. Régulateurs de pression : corps et pièces internes en bronze; à ressort, à commande par membrane
avec protection contre les surpressions; réglage manuel de la pression; conçus pour une pression
nominale minimale à l'entrée de 1 725 kPa (250 psig) et capables de réguler la pression d'air fournie à
moins de 5.0 kPa par tranche de 100 kPa (0.5 psig près par tranche de 10 psig) de pression d'entrée.
H. Robinets de vidange automatiques : corps et pièces internes en acier inoxydable, conçus pour une
pression de service nominale minimale de [380 kPa (200 psig)], capables d'évacuer automatiquement le
condensat recueilli. Prévoir un support de fixation en cas de montage mural.
2.04 COFFRETS DE COMMANDE POUR RÉGULATION DE PRESSION D’AIR COMPRIMÉ À USAGE MÉDICAL
A. Fabricants : sous réserve de leur conformité au devis, fournir les produits de l’un des fabricants
suivants :
1. Allied Healthcare Products, Inc.; Chemetron Div.
2. Amico Corporation.
3. BeaconMedaes.
B. Description : coffret et supports en acier pour montage brut encastré, avec plaque-couvercle en acier
inoxydable ou aluminium anodisé portant des directives d'utilisation imprimées. Prévoir un collecteur
comprenant un robinet d'alimentation (entrée), un manomètre à l'entrée, un régulateur de pression dans
la conduite, un manomètre à la sortie, un branchement DISS et une sortie de tuyauterie pour
branchement à distance.
1. Pression de service minimale : 1 380 kPa (200 psig).
2. Régulateur de pression dans la conduite : type à membrane, à protection automatique contre les
surpressions et avec réglage manuel de précision.
3. Manomètres : plage de 0 à 2 070 kPa (0 à 300 psig).
4. Branchement : sortie d'air d’instrumentation, CGA V-5, DISS n°1160.
5. Avant montage final, prévoir un pare-poussière et un tube en U pour les essais.
6. Apposer sur la plaque-couvercle l'étiquette : « Régulation de pression d'air ».
2.05 AZOTE
A. Description : satisfaire aux exigences de USP 28 - NF 23 relatives à l'azote sec et exempt d'huile.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
3.01 PRÉPARATION
A. Nettoyage des tubes pour gaz médicaux : lorsqu'on ne dispose pas de raccords ou de tubes nettoyés et
obturés par le fabricant ou lorsque des raccords ou des tubes déjà nettoyés doivent l'être de nouveau
parce qu'ils ont été exposés, demander au fournisseur ou à un organisme séparé agréé par les autorités
de juridiction d'exécuter les procédures suivantes :
1. Nettoyer les tubes et raccords, robinets, indicateurs et autres composants pour gaz médicaux, afin
d'en ôter l'huile, la graisse et autres substances facilement oxydables, selon les exigences relatives
à l'utilisation avec de l'oxygène, définies dans CGA G-4.1, « Cleaning Equipment for Oxygen
Service ».
2. Laver les tuyaux et les composants pour gaz médicaux dans une solution chaude eau-nettoyant
alcalin de carbonate de sodium ou de phosphate trisodique à raison de 0,453 kg (1 lb) de produit
chimique pour 11,3 L (3 gallons US) d'eau.
a. Frotter à fond pour un nettoyage complet.
b. Rincer à l’eau chaude propre pour éliminer la solution de nettoyage.
A. Raccorder une nouvelle tuyauterie à une tuyauterie existante au moyen de manchons métalliques à
mémoire.
B. Tuyauteries d’air laboratoire médical : utiliser des tubes pour gaz médicaux en cuivre, de type K, des
raccords en cuivre battu et des joints brasés (brasure forte).
A. Les plans, schémas et diagrammes indiquent de manière générale l'emplacement et la disposition des
tuyauteries d'air comprimé. Les emplacements et dispositions définis ont été pris en compte pour
dimensionner les tuyauteries et calculer les pertes de charge, la dilatation, les compresseurs d'air et
réaliser les autres parties de la conception. Installer les tuyauteries selon les indications, à moins que
des écarts par rapport à l'implantation aient été approuvés sur les plans de coordination.
C. Installer les tuyauteries en les dissimulant et les protégeant du contact physique avec les occupants de
l'immeuble, sauf indications contraires et à l'exception des salles d'équipements (mécaniques,
électriques) et des secteurs de service.
D. Installer les tuyauteries qui doivent être apparentes et celles situées dans les salles d'équipements et les
secteurs de service perpendiculairement ou parallèlement aux murs de l'immeuble. Les tronçons en
diagonale sont interdits sauf indications contraires spécifiques.
E. Installer les tuyauteries au-dessus d'un plafond accessible en prévoyant suffisamment d'espace pour le
retrait des panneaux de plafond et coordonner avec les autres services dans cet espace.
F. Installer les tuyauteries adjacentes à un équipement ou un matériel à usage spécialisé avec des
dégagements suffisants pour les réparations et l'entretien.
G. Prévoir une pente négative de 1 pour cent dans le sens de l'écoulement, lors de l'installation d'une
tuyauterie d'air ou de vidange.
H. Installer des mamelons, unions, raccords à usage spécialisé et robinets ayant une pression nominale
supérieure ou égale à la pression nominale du système, utilisée dans les applications ci-dessous, sauf
indications contraires.
I. Installer des réductions excentriques, lorsqu'on en dispose, aux endroits où le diamètre de la tuyauterie
d'air comprimé diminue dans le sens de l'écoulement; le bas des deux parties de la tuyauterie doit être à
affleurement avec la réduction.
J. Raccorder les embranchements à la partie supérieure des canalisations principales d'air comprimé.
Prévoir un pot de purge et un purgeur à l'extrémité de chaque canalisation principale et embranchement,
ainsi qu'aux points bas.
L. Lors de l'installation des tuyauteries, éviter les points de fléchissement et les cintres.
N. Installer des dispositifs de retenue parasismiques sur les tuyauteries d'air comprimé. Les dispositifs de
retenue parasismiques sont spécifiés dans la Section 22 05 48 - Systèmes et dispositifs antivibratoires
et parasismiques pour tuyauteries et appareils de plomberie.
O. Raccorder les tuyauteries d'air comprimé aux sorties d'air comprimé et équipements nécessitant de l'air
comprimé.
P. Installer des raccords unions sur les tuyauteries d'air comprimé en cuivre adjacentes à chaque robinet et
au raccordement final à chaque équipement, machine et appareil à usage spécialisé.
Q. Installer des manchons aux endroits où les tuyauteries passent dans un mur, un plafond ou un plancher.
Se conformer aux exigences sur les manchons de la Section 22 05 00 - Exigences communes
concernant les travaux de plomberie.
R. Installer des joints de manchons aux endroits où les tuyauteries passent dans un mur ou une dalle de
béton. Se conformer aux exigences sur les joints d'étanchéité de manchons de la Section 22 05 00 -
Exigences communes concernant les travaux de plomberie.
S. Installer des cache-entrées aux endroits où les tuyauteries passent dans un mur, un plafond et un
plancher. Se conformer aux exigences sur les cache-entrées de la Section 22 05 00 - Exigences
communes concernant les travaux de plomberie.
A. Installer un robinet d'arrêt à chaque raccordement d'entrée et de sortie d'un équipement ou d'un matériel
à usage spécialisé à air comprimé.
B. Installer des clapets de non-retour afin d'assurer un écoulement d'air comprimé dans le bon sens à partir
des équipements à air comprimé.
C. Installer des coffrets à robinets dissimulées dans les murs et ancrées au substrat. Un coffret unique peut
recevoir plusieurs robinets desservant la même zone ou assurant la même fonction.
D. Installer les robinets de zone et les manomètres dans des coffrets à robinets. Orienter les robinets en les
pivotant de sorte qu'il ne soit pas possible de fermer le couvercle lorsqu'un robinet est fermé.
E. Installer des régulateurs de pression sur les tuyauteries d'air comprimé lorsqu'on a besoin d'une
pression réduite.
F. Installer des robinets de vidange automatiques sur les équipements, appareils à usage spécialisé et
tuyauteries munis d'un raccord de vidange. Amener la tuyauterie de vidange jusqu'à un drain de
plancher, de sorte que le liquide se déverse au-dessus ou dedans.
B. Avant assemblage, ôter les écailles, les scories de coupe, la saleté et les débris de l'extérieur des tubes
et raccords.
C. Joints vissés : enrouler le ruban approprié sur les filets des tuyaux.
D. Joints brasés (brasure forte) : assembler les tubes et raccords en cuivre selon les prescriptions du
manuel « Copper Tube Handbook » de la CDA (Copper Development Association), chapitre « Joints
brasés ». Pendant le brasage, purger continuellement l'assemblage avec de l'azote sec et exempt
d'huile.
E. Joints brasés (brasure tendre) : enduire l'extrémité des tubes de flux de brasage lavable à l'eau selon la
norme ASTM B 813. Assembler les tubes et raccords en cuivre selon la norme ASTM B 828.
F. Assemblage des manchons métalliques à mémoire : raccorder les tubes en cuivre neufs aux tubes
existants selon les méthodes mises au point par le fabricant des raccords pour installer les manchons
métalliques à mémoire.
B. Satisfaire aux exigences prescrites dans la Section 22 05 29 – Supports et suspension pour tuyauterie
et équipement de plomberie et concernant les pendards de tuyauterie et les dispositifs de supportage.
E. Tronçons de tuyauteries horizontaux, multiples, droits de 30 m (100 pieds) ou plus : supports à rouleaux,
MSS type 44. Supporter les rouleaux sur des trapèzes. Installer les supports à rouleaux sur des
trapèzes. Satisfaire aux exigences prescrites dans la Section 22 05 29 – Supports et suspension pour
tuyauterie et équipement de plomberie et concernant les pendards en trapèze.
G. Supporter les tuyauteries horizontales à moins de 300 mm (12 pouces) d'un raccord ou d'un manchon.
H. Le diamètre de tige peut être réduit d'une taille dans le cas d'un pendard à tige double, mais sans être
inférieur à 10 mm (3/8 pouce).
I. Installer les pendards pour tuyauteries de cuivre en respectant les espacements horizontaux maximaux
et les diamètres de tiges minimaux suivants :
J. Sur les tuyauteries verticales en cuivre, installer des supports à tous les 3 m (10 pieds).
A. Installer des étiquettes et dispositifs d'identification sur les tuyauteries, robinets et appareils à usage
spécialisé à air comprimé pour laboratoires non médicaux. Se conformer aux exigences de la
Section 22 05 53 - Identification pour la tuyauterie et l’équipement de plomberie.
B. Installer des étiquettes et dispositifs d'identification sur les tuyauteries d'air comprimé à usage médical
selon NQ 5710-500. Utiliser les lettrages et codes couleur suivants ou similaires sur les produits de
tuyauteries selon les exigences de NQ 5710-500 et NFPA 99 :
1. Air de laboratoire médical : lettres noires sur fond à damiers jaunes et blancs.
3.08 CONTRÔLE DE LA QUALITÉ SUR PLACE DES TUYAUTERIES D'AIR COMPRIMÉ À USAGE MÉDICAL POUR
ÉTABLISSEMENTS FOURNISSANT DES SERVICES DE SANTÉ
A. Organisme d’essais : Engager un organisme d’essais qualifié pour procéder aux essais et inspections
des tuyauteries d'air comprimé à usage médical dans les établissements fournissant des services de
santé et préparer les rapports d'essais.
B. Procéder aux essais et inspections des tuyauteries d'air comprimé à usage médical dans les
établissements fournissant des services de santé et préparer les rapports d'essais.
C. Essais et inspections :
1. Préparation : effectuer les essais suivants (installateur) selon les exigences prescrites dans
NQ-5710-500 :
a. Purge initiale.
b. Essai sous pression initial.
c. Essai d'interconnexion.
d. Essai de purge des tuyauteries.
e. Essai de maintien en pression des tuyauteries d'air comprimé à usage médical à pression
positive.
f. Réparer les fuites éventuelles et procéder à de nouveaux essais jusqu’à ce que toute fuite ait
disparu.
D. Démonter et remplacer les éléments n'ayant pas subi avec succès les essais et inspections, puis
procéder à de nouveaux essais comme il est indiqué ci-dessus.
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 9
3.14 DÉMONSTRATION.........................................................................................................................15
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les dessins et les dispositions générales du contrat, incluant les
Conditions générales et les Conditions supplémentaires, ainsi que les Sections de la Division 01.
1.02 SOMMAIRE
1.03 RÉFÉRENCES
A. ACI International
1. ACI 318/318R-1999 : Building Code Requirements for Structural Concrete (ACI 318) and
Commentary (ACI 318R)
B. ASME International
1. ASME B16.21-1992 : Nonmetallic Flat Gaskets for Pipe Flanges.
C. ASTM International
1. ASTM D 3222-99 : Specification for Unmodified Poly(Vinylidene Fluoride) (PVDF) Molding
Extrusion and Coating Materials.
2. ASTM D 4101-04a : Specification for Propylene Plastic Injection and Extrusion Materials.
3. ASTM F 1412-01 : Specification for Polyolefin Pipe and Fittings for Corrosive Waste Drainage
Systems.
4. ASTM F 1673-04 : Specification for Polyvinylidene Fluoride (PVDF) Corrosive Waste Drainage
Systems.
A. Pression nominale de la tuyauterie à paroi simple : 450 kPa (50 pieds de hauteur d'eau).
B. Délégation de conception : concevoir les dispositifs de retenue parasismiques pour les tuyauteries hors
sol, incluant des études d'ingénierie détaillées par un ingénieur professionnel qualifié, en se basant sur
les exigences de performance et les critères de conception indiqués à la Section 22 05 48 - Systèmes et
dispositifs antivibratoires et parasismiques pour tuyauteries et appareils de plomberie.
B. Données techniques sur les produits : pour chaque type de produit indiqué.
C. Dessins d’atelier : pour le système de neutralisation ; comprennent les vues en plan, en élévation, en
coupe, ainsi que les détails et les interfaces avec les autres installations.
1. Montrer les détails du système de neutralisation, les dimensions, les poids, les charges, les
dégagements nécessaires, la méthode d'assemblage au chantier, les composants, ainsi que
l'emplacement et le diamètre de chaque raccordement au chantier.
2. Schémas électriques : alimentation électrique, transmission de signaux et câblage de commande.
A. Dessins avec vues de profil pour les tuyauteries souterraines extérieures : montrer le système de
tuyauterie en élévation. Dessiner les vues de profil à une échelle horizontale non inférieure à 1:500
(1 pouce pour 50 pieds) et à une échelle verticale non inférieure à 1:50 (1 pouce pour 5 pieds). Indiquer
les structures et les tuyauteries souterraines. Montrer les types, dimensions, matériaux et élévations des
autres installations de services généraux croisant le système de tuyauterie.
B. Dessins de coordination : montrer les diamètres, emplacements et élévations des tuyauteries. Indiquer
les autres tuyauteries dans une même tranchée et les dégagements par rapport à la tuyauterie du
réseau d'égout. Indiquer l'interface et la relation dans l'espace entre la tuyauterie et les structures
situées à proximité.
A. Fournir les fiches d'exploitation et d'entretien requises et les joindre au manuel mentionné à la
Section 01 78 00 – Éléments à soumettre à l’achèvement des travaux.
B. Données d’exploitation et d’entretien : celles relatives aux composants à usage spécialisé des systèmes
de produits chimiques résiduaires et des réservoirs de neutralisation, doivent figurer dans les manuels
d'intervention d'urgence, d’exploitation et d’entretien.
A. Livrer et stocker la tuyauterie et les composants à usage spécialisé munis de bouchons d'obturation ou
d'une protection aux extrémités.
1.10 COORDINATION
A. Coordonner les dimensions et l'emplacement des bases de béton en fonction des équipements
effectivement fournis. Encastrer les chemises pour boulons d'ancrage dans les bases. Exigences
relatives au béton, à l'armature et aux coffrages selon la Division 03.
A. Fournir des matériaux supplémentaires compatibles avec les produits installés, placés dans un
emballage de protection en vue du stockage et identifiés par des étiquettes décrivant le contenu.
1. Pierre à chaux pour réservoir de neutralisation : quantité égale à 200 pourcent de la quantité
correspondant à la charge initiale de chaque fosse de réservoir. Fournir la pierre à chaux en sacs
de 22,7 kg (50 lb).
PARTIE 2 - PRODUITS
2. Fabricants : sous réserve de la conformité de leurs produits avec les spécifications, retenir les
services de l'un des fabricants suivants :
a. IPEX Inc.
b. Orion Fittings, Inc.; une division de Watts Water Technologies Inc.
c. Sloane, George Fischer, Inc.
d. Watts Industries (Canada) Inc.
e. Zurn Plumbing Products Group; Chemical Drainage Systems.
B. Tuyaux et raccords d'évacuation en PVDF : ASTM F 1673, série 40, tuyaux et raccords conçus pour le
drainage. Inclure les raccords munis d'extrémités assemblées par fusion ou par joints mécaniques.
1. Fabricants : sous réserve de la conformité de leurs produits avec les spécifications, retenir les
services de l'un des fabricants suivants :
a. Orion Fittings, Inc.; une division de Watts Water Technologies Inc.
b. Watts Industries (Canada) Inc.
c. Zurn Plumbing Products Group; Chemical Drainage Systems.
A. Manchons : ensembles comprenant des colliers, joints d'étanchéité, manchons et pièces filetées ou à
brides; compatibles avec la tuyauterie et le liquide dans le système; produits par le fabricant de
tuyauterie pour assembler le système.
A. Siphons anticorrosion :
1. Type : siphon cylindrique (avec bocal translucide dévissable permettant de le vider des débris).
2. DN 40 ou DN 50 (NPS 1 1/2 ou NPS 2), selon le diamètre de la tuyauterie raccordée.
3. PP : ASTM D 4101, avec assemblages de tuyauterie à raccords mécaniques.
4. PVDF : ASTM D 3222, avec assemblages de tuyauterie à raccords mécaniques.
B. Drains de plancher en PP :
1. Fabricants : sous réserve de la conformité de leurs produits avec les spécifications, retenir les
services de l'un des fabricants suivants :
a. IPEX Inc.
b. Orion Fittings, Inc.; une division de Watts Water Technologies, Inc.
c. Schier Products Company.
d. Sloane, George Fischer Inc.
e. Watts Industries (Canada) Inc.
2. Corps : avec diamètre de partie haute de 178 à 230 mm (7 à 9 pouces), avec collerette de serrage
et orifices d’égouttement ; et avec collier de serrage, filtre à panier, entonnoir et raccordement pour
siphon.
3. Sortie : par le bas, selon la tuyauterie raccordée, de DN 50, DN 80, DN 100 ou DN 150 (NPS 2,
NPS 3, NPS 4 ou NPS 6), selon les indications.
D. Sorties d’éviers en PP :
1. Description : DN 40 (NPS 1 1/2), avec dispositif de serrage, butée et trop-plein de 178 mm
(7 pouces) de hauteur.
A. Réservoir anticorrosion à paroi double, en plastique renforcé de fibres (PRF), avec revêtement interne
en Ester de vinyle.
B. Inclure :
1. un regard de 560 mm (22 po) doté d’une extension jusqu’au plancher, d’un couvercle amovible en
PRF renforcé, étanche aux gaz ;
2. une entrée et une mise à l'air libre avec connexions de tuyauterie à brides sur la paroi latérale ou
selon les indications aux dessins ;
3. un puits pour sonde de monitorage ;
4. une sonde de niveau anticorrosion, une sonde de détection de fuite anticorrosion dans l’interstice
de la paroi double et un système électronique de monitorage permettant d’afficher le volume de
liquide accumulé en litres, de donner une alarme de fuite et de relayer l’information au système
d’automatisation du bâtiment ;
5. les ancrages et des bandes permettant de fixer le réservoir au plancher.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
3.01 TERRASSEMENT
A. Ancrer les réservoirs de neutralisation et les réservoirs de formol aux dalles de béton.
1. Pour l'équipement installé, poser des boulons d'ancrage revêtus d'époxyde qui s'insèrent dans le
plancher de béton structural.
2. Mettre en place et fixer les ancrages. Pour les composants à encastrer, utiliser les dessins
d'implantation, gabarits, schémas et directives fournis.
3. Installer les boulons d'ancrage aux élévations nécessaires à une fixation adéquate de l'équipement
à supporter.
4. Satisfaire aux exigences prescrites dans la Division 03 concernant les bétons coulés en place et
leur pose.
A. Encastrer les drains de plancher dans du béton d'une épaisseur minimale de 100 mm (4 pouces) autour
du fond et sur les côtés. Se conformer aux exigences de la Section 03 30 00 - Béton coulé en place.
D. Installer les regards de nettoyage et les colonnes montantes entre la tuyauterie d'égout et ces regards
au niveau du sol. Utiliser des raccords du même matériau que celui de la tuyauterie d'égout aux
embranchements pour les regards de nettoyage et les colonnes montantes entre la tuyauterie d'égout et
ces regards. Installer la tuyauterie en orientant l'ouverture des regards de nettoyage dans le sens de
l'écoulement.
1. Encastrer le corps des regards de nettoyage dans un bloc de béton coulé en place dans le sol, de
450 par 450 par 300 mm (18 par 18 par 12 pouces) de profondeur. Placer le dessus à 25 mm
(1 pouce) au-dessus du sol avoisinant. Dans un revêtement de béton, monter les bouchons des
regards de nettoyage à affleurement avec la surface du revêtement. Se conformer aux exigences
de la Section 03 30 00 - Béton coulé en place en ce qui a trait au coffrage, à l'armature et aux
caractéristiques du béton.
E. Installer les clapets de non-retour en position horizontale. Inclure la colonne montante jusqu'au regard
de nettoyage au niveau du sol.
B. Assembler les matériaux de tuyauteries dissemblables à l'aide d'adaptateurs compatibles avec les
matériaux des tuyauteries à assembler.
A. Les diamètres des tuyauteries dans cet article sont valables pour des tuyauteries hors sol, à simple
paroi.
C. Satisfaire aux exigences prescrites dans la Section 22 05 29 – Supports et suspension pour tuyauterie
et équipement de plomberie et concernant les pendards de tuyauteries et les dispositifs de supportage.
Installer les éléments suivants :
1. Tuyauteries verticales : colliers de colonnes montantes MSS type 8 ou MSS type 42.
2. Tronçons de tuyauteries horizontaux, droits, individuels :
a. 30 m (100 pieds) et moins : étriers, acier, réglables, MSS type 1.
b. Plus de 30 m (100 pieds) : pendards à rouleaux, réglables, MSS type 43.
c. Plus de 30 m (100 pieds), si indiqué : rouleaux à ressorts, MSS type 49.
3. Tronçons de tuyauteries horizontaux, multiples, droits de 30 m (100 pieds) ou plus : Pendards à
rouleaux, MSS type 44. Rouleaux de supportage de tuyauteries sur trapèzes.
4. Base des tuyauteries verticales : pendards à ressorts, MSS type 52.
D. Satisfaire aux exigences prescrites dans la Section 22 05 29 – Supports et suspension pour tuyauterie
et équipement de plomberie et concernant l'installation des supports.
E. Supporter les tuyauteries horizontales à moins de 300 mm (12 pouces) d'un raccord et d'un manchon.
G. Le diamètre de tige peut être réduit d'une taille dans le cas d'un pendard à tige double, à un minimum de
10 mm (3/8 pouce).
H. Installer les pendards revêtus de vinyle pour tuyauteries en PP en respectant les espacements
horizontaux maximaux et les diamètres de tiges minimaux suivants :
1. DN 50 (NPS 2) : 840 mm (33 pouces) avec tige de 10 mm (3/8 pouce).
2. DN 65 et DN 80 (NPS 2 1/2 et NPS 3) : 1 067 mm (42 pouces) avec tige de 13 mm (1/2 pouce).
3. DN 100 et DN 125 (NPS 4 et NPS 5) : 1 220 mm (48 pouces) avec tige de 10 mm (5/8 pouce).
4. DN 150 (NPS 6) : 1 220 mm (48 pouces) avec tige de 10 mm (3/4 pouce).
5. DN 200 (NPS 8) : 1 220 mm (48 pouces) avec tige de 10 mm (7/8 pouce).
I. Sur les tuyauteries verticales en PP, installer des supports tous les 1 830 mm (72 pouces).
J. Installer les pendards revêtus de vinyle pour tuyauteries en PVDF en respectant les espacements
horizontaux maximaux et les diamètres de tiges minimaux suivants :
1. DN 15 (NPS 2) et moins : 760 mm (30 pouces) avec tige de 10 mm (3/8 pouce).
2. DN 20 à DN 40 (NPS 3/4 à NPS 1 1/2) : 910 mm (36 pouces) avec tige de 10 mm (3/8 pouce).
3. DN 50 (NPS 2) : 910 mm (36 pouces) avec tige de 10 mm (3/8 pouce).
4. DN 65 et DN 80 (NPS 2 1/2 et NPS 3) : 1 067 mm (42 pouces) avec tige de 13 mm (1/2 pouce).
5. DN 100 et DN 125 (NPS 4 et NPS 5) : 1 220 mm (48 pouces) avec tige de 10 mm (5/8 pouce).
6. DN 150 (NPS 6) : 1 220 mm (48 pouces) avec tige de 10 mm (3/4 pouce).
K. Sur la tuyauterie verticale en PVDF de DN 40 (NPS 1 1/2), installer des supports tous les 1 220 mm
(48 pouces) et tous les 1 830 mm (72 pouces) sur la tuyauterie de diamètre nominal supérieur ou égal à
DN 50 (NPS 2).
L. Supporter les tuyauteries ne figurant pas dans la liste ci-dessus selon la norme MSS SP-69.
B. Installer le dessus des couvercles des réservoirs à affleurement avec la surface finie lorsque ces
couvercles se trouvent dans un revêtement de sol.
C. Installer les réservoirs sur une surface de plancher lisse et de niveau. Inclure une charge initiale
complète de pierre à chaux.
A. Se conformer aux exigences de la Section 03 30 00 - Béton coulé en place concernant les supports en
béton.
3.09 RACCORDEMENTS
A. Les dessins définissent l'implantation générale des tuyauteries, raccords et composants à usage
spécialisé.
B. Réaliser les raccordements à la tuyauterie existante de sorte que l'installation, une fois terminée, soit
conforme le plus possible aux exigences prescrites pour une installation neuve.
D. Protéger la tuyauterie existante afin d'empêcher toute entrée de béton ou de débris lors de la réalisation
des raccordements. Enlever les débris ou autres corps étrangers qui pourraient s'accumuler.
E. Installer la tuyauterie adjacente aux équipements avec des dégagements suffisants pour les réparations
et l'entretien.
A. Inspecter l'intérieur des tuyauteries d'évacuation pour vérifier s'il n'y a pas de déplacement de conduites
ou d'autres dommages. Inspecter lorsqu'une épaisseur d'environ 610 mm (24 pouces) de matériau de
remblayage a été mise en place et de nouveau à la fin du projet.
1. Les défauts suivants nécessitent une correction :
a. Alignement : l'intérieur de la tuyauterie n'est pas visible sur tout le diamètre entre les points
d'inspection.
b. Déflexion : déflexion dans une tuyauterie flexible telle qu'il est impossible de faire passer
dedans une boule ou un cylindre d'un diamètre non inférieur à 92,5 pour cent de celui de la
tuyauterie.
c. Tuyauterie écrasée, rompue, fissurée ou autrement endommagée.
d. Épreuves hydrauliques des tuyauteries de drainage : se conformer à UNI-B-6.
1) Taux de fuite maximal admissible à 4.6 L par mm de diamètre nominal par km (50 gal.
par pouce de diamètre nominal par mile) durant une période de 24 heures.
2) Fermer les ouvertures du système et le remplir d'eau.
B. Remplacer une tuyauterie d'évacuation qui fuit par des matériaux neufs et reprendre l'essai jusqu'à ce
que le débit de fuite corresponde aux tolérances spécifiées.
C. Services du fabricant au chantier : engager un représentant de service autorisé par le fabricant pour
l'inspection, les essais et les réglages des composants, assemblages et équipements, incluant les
raccordements.
E. Essais et inspections :
1. Services du fabricant au chantier : engager un représentant de service autorisé par le fabricant
pour l'inspection des réservoirs de neutralisation, ainsi que de leur installation, incluant les
raccordements des tuyauteries et électriques, et pour apporter une assistance lors des essais.
2. Essayer et régler les dispositifs de commande et de sécurité. Remplacer les commandes et
équipements endommagés ou défectueux.
F. Une tuyauterie de produits chimiques résiduaires est considérée comme défectueuse lorsqu'elle n'a pas
subi avec succès les essais et inspections.
A. Engager un représentant de service autorisé par le fabricant et qui sera chargé d'effectuer la mise en
service des réservoirs de neutralisation.
1. Effectuer les vérifications d'installation et de mise en route selon les directives écrites du fabricant.
3.12 RÉGLAGES
B. Régler les commandes et les points de consigne des appareils du système de détection de fuite.
3.13 NETTOYAGE
A. Utiliser les procédures prescrites par les autorités de juridiction ou, s'il n'y en a pas, utiliser celles
décrites ci-après :
1. Purger la tuyauterie neuve et les parties de la tuyauterie existante qui ont été modifiées, agrandies
ou réparées, avant utilisation.
2. Nettoyer la tuyauterie par rinçage à l'eau potable.
3.14 DÉMONSTRATION
A. Engager un représentant de service autorisé par le fabricant et qui sera chargé de former le personnel
d’entretien du Propriétaire en matière de réglage, de fonctionnement et d’entretien des réservoirs de
neutralisation.
A. Sauf indications contraires, il est possible d'utiliser dans les applications ci-dessous des raccords de
transition et des raccords spéciaux dont la pression nominale est au moins égale à celle de la tuyauterie.
B. Tuyauteries d'évacuation de produits chimiques résiduaires à simple paroi : Utiliser les matériaux de
tuyauterie ci-après pour chaque gamme de diamètres :
1. Dans les plafonds fermés, tous les diamètres : tuyaux et raccords d'évacuation en PVDF.
2. Ailleurs, tous les diamètres : tuyaux et raccords d'évacuation en PP.
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 5
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les dessins et les dispositions générales du contrat, incluant les
Conditions générales et les Conditions supplémentaires, ainsi que les Sections de la Division 01.
1.02 SOMMAIRE
1.03 RÉFÉRENCES
B. ASME International
1. ASME B31.3-2006: Process Piping
2. 2007 ASME Boiler and Pressure Vessel Code: Section IX, "Welding and Brazing Qualifications"
C. ASTM International
1. ASTM D 2447-03: Specification for Polyethylene (PE) Plastic Pipe, Schedules 40 and 80, Based on
Outside Diameter
2. ASTM D 2657-03: Practice for Heat Fusion Joining of Polyolefin Pipe and Fittings
3. ASTM D 4101-01a: Specification for Polypropylene Injection and Extrusion Materials
D. Québec
1. CCQ : Code de construction du Québec – Chapitre 1, Bâtiment, et Code national du bâtiment –
Canada 2005 (modifié).
B. Performances d’ordre sismique : les tuyauteries d'eau doivent résister aux effets des déplacements
sismiques calculés selon le Code de construction du Québec.
B. Données techniques sur les produits : pour chaque type de produit indiqué.
B. Certification de qualification du fabricant en matière sismique : Soumettre un document certifiant que les
tuyauteries d'eau, accessoires et composants résisteront aux forces sismiques définies dans la Section
22 05 48 - Systèmes et dispositifs antivibratoires et parasismiques pour tuyauteries et appareils de
plomberie. Inclure les éléments suivants :
1. Base de certification : Préciser si la certification de résistance est basée sur des essais en vraie
grandeur des composants assemblés ou sur des calculs.
2. Description détaillée et exigences d'installation des ancrages des tuyauteries sur lesquels se base
la certification.
A. Conformité ASME : se conformer à ASME B31.3, « Process Piping », pour les tuyauteries véhiculant un
fluide dont la pression de service est étale ou supérieure à 105 kPa (15 psig).
PARTIE 2 - PRODUITS
A. Tuyaux et raccords en polypropylène BETA (PPH) pour assemblage par fusion thermique : matériau
rencontrant la norme FDA CFR 21 177.1520 et USP 25 classe VI;
1. Produit de référence : sous réserve de la conformité au devis, fournir le produit PROGEF
Standard de George Fisher LLC.
2. Tuyaux et raccords SDR11 : tuyaux fabriqués selon ASTM D792, en dénomination métrique
ou selon des dimensions SDR 11 ; à fusion « bout-à-bout » sans contact, fabriqués en
fonction des dimensions des tuyaux. Le diamètre de la tuyauterie indiqué sur les plans
correspond au diamètre intérieur de la tuyauterie.
A. Abrogé.
D. Robinets à membrane en PP :
1. Produit de référence : sous réserve de la conformité au devis, fournir le produit PROGEF
Standard PP de George Fisher LLC.
2. Description :
a. Pression nominale : 1 035 kPa (150 psig) à 23°C (73°F).
b. Matériau du corps : ASTM D 4101, résine de PP.
c. Conception du corps : de type union.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
A. Dispositions et emplacements généraux : les plans et dessins de détails indiquent de manière générale
l'emplacement et la disposition des tuyauteries d'eau. L'emplacement et la disposition de la tuyauterie
tiennent compte des données de conception. Installer la tuyauterie selon les indications, dans la mesure
du possible. Là où aucune directive d'installation spécifique n'existe, suivre les recommandations
écrites du fabricant.
B. Installer des dispositifs de retenue parasismiques sur les tuyauteries. Satisfaire aux exigences
prescrites dans la Section 22 05 48 - Systèmes et dispositifs antivibratoires et parasismiques pour
tuyauteries et appareils de plomberie et concernant les dispositifs de retenue parasismiques.
C. Installer les tuyauteries en les dissimulant et les protégeant du contact physique avec les occupants de
l'immeuble, sauf indications contraires et à l'exception des salles d'équipements (mécaniques,
électriques) et des secteurs de service.
D. Installer les tuyauteries qui doivent être apparentes et celles situées dans les salles d'équipements et les
secteurs de service perpendiculairement ou parallèlement aux murs de l'immeuble. Les tronçons en
diagonale sont interdits sauf indications contraires spécifiques.
E. Installer les tuyauteries au-dessus d'un plafond accessible en prévoyant suffisamment d'espace pour le
retrait des panneaux de plafond et coordonner avec les autres services dans cet espace.
F. Installer la tuyauterie adjacente aux équipements avec des dégagements suffisants pour les réparations
et l'entretien.
H. Installer des mamelons, unions, raccords à usage spécialisé et robinets ayant une pression nominale
supérieure ou égale à la pression nominale du système, sauf indications contraires.
J. Toute soudure de type « bout à bout » devra être exécutée en utilisant une soudeuse spécialisée
telle Georg Fischer IR63;
1. Soudeuse de type sans-contact, infrarouge;
2. Mécanisme (microprocesseur) de contrôle de procédures intégrées à la soudeuse;
3. Soudeuse pourvue d’un mécanisme d’impression d’étiquettes autocollantes, qui seront
collées auprès de chacune des soudures, portant le numéro de séquence ainsi que les
initiales du technicien;
4. Soudeuse pourvue d’un mécanisme d’impression de feuille de conformité (format 8½x11)
sur laquelle l’historique et la conformité des procédures de soudures ont été respectés pour
chacune des soudures infrarouge ;
5. Tous techniciens opérant les soudeuses de type IR63 devront avoir été certifiés par le
fabricant de la plomberie spécialisée au préalable. Ils devront présenter ces certificats ou
attestations sur demande.
K. Lors de l'installation des tuyauteries, éviter les points de fléchissement et les cintres.
M. Installer des manchons aux endroits où les tuyauteries passent dans un mur, un plafond ou un plancher.
Se conformer aux exigences sur les manchons de la Section 22 05 00 – Prescriptions générales.
N. Installer des joints de manchons aux endroits où les tuyauteries passent dans un mur ou une dalle de
béton. Se conformer aux exigences sur les joints d'étanchéité de manchons de la Section 22 05 00 –
Prescriptions générales.
O. Installer des cache-entrées aux endroits où les tuyauteries passent dans un mur, un plafond ou un
plancher. Se conformer aux exigences sur les cache-entrées de la Section 22 05 00 – Prescriptions
générales.
A. Là où aucune directive spécifique de fabrication des joints n'existe, suivre les recommandations écrites
du fabricant.
B. Joints assemblés par fusion thermique sur les tuyauteries en PP : selon la norme ASTM D 2657.
A. Installer des robinets d'arrêt adjacents aux canalisations principales sur chaque embranchement et
colonne montante desservant un équipement.
B. Installer des robinets d'isolement avec unions ou brides sur chaque équipement, en les disposant de
sorte que l'on puisse réparer, entretenir et retirer l'équipement sans arrêter le système.
C. Positionner les robinets pour en faciliter l'accès et prévoir des supports séparés si nécessaire.
D. Installer des robinets de même diamètre que celui de la tuyauterie sauf indications contraires.
F. Sur une tuyauterie horizontale, installer les robinets en plaçant la tige au niveau de l'axe de la tuyauterie
ou au-dessus.
G. La position d'installation des robinets doit permettre le déplacement complet de la tige et du levier.
H. Installer les clapets de non-retour à boule en position horizontale ou verticale de sorte que la sphère ne
soit pas en appui sur le siège lors d'un écoulement normal.
I. Installer les clapets de non-retour à battant en position horizontale et en plaçant l'axe de battant de
niveau.
B. Satisfaire aux exigences prescrites dans la Section 22 05 29 – Supports et suspension pour tuyauterie
et équipement de plomberie et concernant les pendards de tuyauteries et les dispositifs de supportage,
ainsi que l'installation.
1. Installer des pendards en acier au carbone pour les tuyauteries horizontales dans un
environnement non corrosif.
2. Installer des colliers en acier au carbone pour les tuyauteries verticales dans un environnement non
corrosif.
3. Colliers pour tuyauteries verticales : MSS type 8 ou type 42.
4. Tronçons de tuyauteries horizontaux, droits, individuels :
a. 30 m (100 pieds) et moins : étriers réglables, MSS type 1.
b. Plus de 30 m (100 pieds) : pendards à rouleaux, réglables, MSS type 43.
c. Plus de 30 m (100 pieds), si indiqué : rouleaux à ressorts, MSS type 49.
5. Tronçons de tuyauteries horizontaux, multiples, droits de 30 m (100 pieds) ou plus : pendards à
rouleaux, MSS type 44. Rouleaux de supportage de tuyauteries sur trapèzes.
6. Base des tuyauteries verticales : pendards à ressorts, MSS type 52.
C. Supporter les tuyauteries horizontales à moins de 300 mm (12 pouces) d'un raccord, d'un robinet et d'un
manchon.
D. Soutenir la tuyauterie PROGEF Standard pour toute sa longueur (à l’exception des points où se
retrouve une union), tel que présenté au plan ;
F. Le diamètre de tige peut être réduit d'une taille dans le cas d'un pendard à tige double, à un minimum de
10 mm (3/8 pouce).
G. Installer les pendards rembourrés pour tuyauteries en PP en respectant les espacements horizontaux
maximaux et les diamètres de tiges minimaux suivants :
1. ≤D32 (NPS 1): 813 mm (32 pouces) avec tige de 10 mm (3/8 pouce).
2. D40 à D63 (NPS 1-1/2 à NPS 2) : 1 220 mm (48 pouces) avec tige de 10 mm (3/8 pouce).
3. D75 et D90 (NPS 2-1/2 et NPS 3) : 1 220 mm (48 pouces) avec tige de 13 mm (1/2 pouce).
H. Sur la tuyauterie verticale en PP de ≥D75 (NPS 2-1/2), installer des supports rembourrés tous les 3 000
mm (120 pouces) et à mi-étage sur la tuyauterie de diamètre nominal inférieur ou égal à DN 50 (NPS 2).
I. Supporter les tuyauteries ne figurant pas dans la liste ci-dessus selon la norme MSS SP-69 et les
directives écrites des fabricants.
3.05 RACCORDEMENTS
A. Les dessins définissent l'implantation générale des tuyauteries, raccords et composants à usage
spécialisé.
B. Installer la tuyauterie adjacente aux équipements avec des dégagements suffisants pour les réparations
et l'entretien.
C. Raccorder les tuyauteries d'eau désionisée aux équipements et prises de service à l'aide d'unions ou de
brides.
3.06 IDENTIFICATION
A. Vérifier s'il n'y a pas de fuites et de défauts dans la tuyauterie neuve et les parties de la tuyauterie
existante qui ont été modifiées, agrandies ou réparées.
1. Planifier les essais et inspections connexes par le Propriétaire après notification donnée au moins
24 heures à l’avance.
2. Ne pas recouvrir la tuyauterie ni la mettre en service avant inspection.
3. Réaliser les essais des tuyauteries terminées selon les prescriptions du Propriétaire. En l'absence
de procédures écrites fournies par le Propriétaire, réaliser les essais comme suit :
a. Épreuves hydrauliques : soumettre les tuyauteries à un essai, en utilisant une eau purifiée
(déminéralisée et stérile) sous une pression au moins égale à 1 1/2 fois la pression
maximale de service du système, sans être supérieure à 1 035 kPa (150 psig).
1) Exception : ne pas soumettre une tuyauterie en verre à une pression supérieure à la
pression nominale indiquée par le fabricant pour le diamètre considéré.
4. Remplacer les joints qui fuient par des neufs et reprendre l'essai jusqu'à disparition des fuites.
5. Soumettre des rapports séparés pour les différents essais.
6. Prélever un échantillon et faire analyser les BHAA (36 heures de croissance) dans un
laboratoire certifié à cet effet .
3.08 NETTOYAGE
A. Utiliser les procédures prescrites par le Propriétaire ou, s'il n'y en a pas, utiliser celles décrites ci-après :
1. Purger la tuyauterie neuve et les parties de la tuyauterie existante qui ont été modifiées, agrandies
ou réparées, avant utilisation.
2. Nettoyer les tuyauteries en les rinçant avec de l'eau désionisée et un biocide approprié ;
a. La fin de la procédure de nettoyage des réseaux doit démontrer l’absence totale de biocide ;
A. Tuyauteries d’eau désionisée : utiliser les matériaux de tuyauterie ci-après pour chaque gamme de
diamètres :
1. ≤D90 (NPS 3) et moins : tuyaux et raccords en PROGEF Standard et assemblages par fusion
thermique « bout-à-bout, sans contact ».
A. Les dessins indiquent les types de robinets à utiliser. En l'absence d'indication d'un type de robinet
spécifique, les exigences suivantes s'appliquent :
1. Fonction d'arrêt : installer des robinets à tournant sphérique sur la tuyauterie de ≤D63 (NPS 2).
Installer des robinets à papillon ou à membrane sur la tuyauterie de ≥D75 (NPS 2½).
2. Fonction de réglage (par étranglement) : installer des robinets à tournant sphérique sur la
tuyauterie de ≤D63 (NPS 2). Installer des robinets à membrane sur la tuyauterie de ≥D75
(NPS 2½).
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 8
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les dessins et les dispositions générales du contrat, incluant les
Conditions générales et les Conditions supplémentaires, ainsi que les Sections de la Division 01.
1.02 RÉFÉRENCES
A. Québec
1. CCQ : Code de construction du Québec – Chapitre I, Bâtiment, et Code national du bâtiment –
Canada 2005 (modifié).
A. Tous les travaux de la Division 23 doivent être exécutés par du personnel qualifié et détenteur d'une
carte de compétence.
A. Fournir et installer toute la tuyauterie et les accessoires temporaires de chauffage et de gaz naturel
requis pour maintenir entièrement opérationnel, les équipements et services qui doivent demeurer
fonctionnels pendant les travaux et ce, dans les secteurs nouveaux et réaménagés.
B. Les méthodes utilisées par l’Entrepreneur pour assurer le fonctionnement temporaire des équipements
sont de son entière responsabilité. Cependant, les méthodes et les accessoires doivent respecter en
tout temps les exigences des codes et normes en vigueur.
C. Les équipements à maintenir opérationnels sont en fonction des phases des travaux décrits aux
conditions générales du contrat de l'Entrepreneur. Coordonner les travaux temporaires avec le
Propriétaire, et avec tous les corps de métier concernés.
D. Les travaux temporaires de tuyauterie s'appliquent à tous les appareils existants et devant être
maintenus opérationnels au cours des travaux, ainsi qu'aux équipements relocalisés temporairement.
A. Vidanger les réseaux existants lorsque requis pour réaliser les travaux et les remplir à nouveau.
B. Remplir les réseaux avec un fluide ayant les mêmes caractéristiques que celui vidangé.
C. À la jonction des raccordements sur les réseaux existants, remplacer par un isolant identique ou
similaire, l’isolant enlevé pour effectuer les raccordements incluant le chemisage et la finition.
A. Fournir les plans de fabrication des conduits d’air et des équipements des réseaux aérauliques à
l’échelle 1 :30 (3/8" = 1’-0") conformément aux prescriptions des Sections 01 31 00 - Gestion de projet et
coordination et 01 33 00 – Procédures pour les éléments à soumettre.
B. Montrer l’équipement fourni aux termes des autres Divisions et qui influe sur la coordination des travaux.
C. Présenter les plans avec un cartouche qui inclue l’information suivante : nom de l’Entrepreneur, nom du
projet, nom de l’Ingénieur, nom de l’Architecte, numéro de plan avec référence aux plans de l’Ingénieur,
échelle, date, révision.
1.07 COORDINATION
A. Coordonner les travaux de CVCA avec ceux des autres Divisions. Coordonner les plans de fabrication
des conduits d’air en tenant compte des travaux de tous les corps de métier. Faire annoter et signer ces
plans, par tous les corps de métier des Divisions 21, 22, 23, 25, 26, 27 et 28, afin de confirmer, à
l'ensemble des intervenants, que la coordination au chantier a été effectuée. Remettre une copie de ces
plans annotée et signée à l'Ingénieur pour vérification avant le début des travaux.
B. Aucun supplément ne sera payé à l’Entrepreneur pour modifier les installations et la position des
équipements, si des équipements interfèrent avec d’autres, suite à un manque de coordination au
chantier.
C. Grilles et diffuseurs
1. Coordonner les positions au plafond des grilles et des diffuseurs avec celles des têtes de gicleurs,
des appareils d’éclairage et des détecteurs d’incendie.
2. Prévoir que tout diffuseur, ou toute grille, peut être déplacé d’une distance maximale de 2 m (6 pi)
de l’endroit indiqué sur les plans et en assumer les frais.
A. Installer tout l’équipement fourni aux termes d’une autre Division qui demande à être raccordé aux
systèmes fournis et installés aux termes de la présente Division, et faire tous les raccordements
nécessaires montrés aux plans ou décrits au devis.
B. Matériel fourni aux termes de la Division 25 – Automatisation intégrée, sans être limitative, la liste inclut :
1. Puits d’immersion pour l’instrumentation de la Division 25.
2. Robinets de contrôle.
3. Débitmètres.
1.09 GARDES D’EAU ET DRAINAGE DES BACS D’ÉGOUTTEMENT DES SERPENTINS DE REFROIDISSEMENT ET DES
PRISES D'AIR FRAIS
A. Pourvoir chaque drain d’une garde d’eau individuelle. Faire la garde d’eau d’une profondeur équivalente
à au moins deux fois la pression statique du système.
B. Fournir pour chaque bac de drainage des serpentins de refroidissement et des prises d'air frais, un
tuyau de drainage en cuivre, menant de l'équipement à égoutter au drain le plus près.
C. Si cette tuyauterie ne peut être dissimulée, l’installer de façon propre et hors de tout passage où elle
pourrait être un embarras.
B. Utiliser le système d’étanchéisation des percements « Link Seal » distribué par la compagnie Corrosion
Service.
A. Percements
1. Effectuer les percements requis par les travaux de cette Division et les coordonner conformément
aux prescriptions de la Section 01 31 00 - Gestion de projet et coordination. Indiquer la position
des ouvertures à percer sur le plan de découpage et réparation exigé à la Section 01 73 00 -
Exécution des travaux.
2. Pour tous les travaux susceptibles d'altérer la structure, obtenir l'approbation écrite de l'Ingénieur
en structure.
3. Le percement des trous par marteau pneumatique ou électrique à action vibratoire ainsi que le
percement à la main et tout autre procédé par chocs mécaniques sont prohibés. Effectuer les
percements au moyen d’une foreuse rotative à eau ou tout autre appareil accepté par l’Ingénieur en
structure.
4. Repérer la position de l’acier d’armature ou de tout élément encastré avant de procéder au
perçage. Éviter d’endommager l’acier d’armature ou les éléments encastrés lors du carottage ou
du perçage. Avertir l’Ingénieur en structure si l’on rencontre de l’acier d’armature ou autres
éléments encastrés lors du perçage. Localiser et éviter les armatures de précontrainte, les
conduits électriques et de télécommunications, ainsi que les conduites de gaz.
5. Effectuer les percements de trous dans le béton ou la maçonnerie après que le béton, le mortier ou
le coulis a atteint sa pleine résistance de conception.
B. Manchons
1. Les manchons doivent avoir un minimum de 25 mm (1 po) de plus que les éléments passant au
travers, isolation incluse s'il y a lieu. Calfeutrer l'espace libre entre ces éléments et le contour du
manchon. Pour les manchons traversant le béton, utiliser du tuyau en acier de série 40, de
diamètre permettant le passage du conduit et dépassant de chaque côté le béton de 50 mm (2 po)
lorsque le manchon traverse un plancher; 25 mm (1 po) au travers un mur.
C. Ouvertures préfabriquées
1. Les ouvertures à effectuer dans les éléments structuraux et architecturaux préfabriqués seront
faites à l'usine.
A. En conformité avec le Chapitre I du CCQ, à tous les endroits où des tuyaux ou des conduits traversent
un mur coupe-feu, un plancher ou toute autre barrière coupe-feu, fournir et installer un système de
scellement pare-feu et fumée. Calfeutrer l'espace libre entre les canalisations et les ouvertures selon les
méthodes approuvées par les ULC ou Warnoc Hersey.
B. Utiliser des produits pour assemblage à base de latex qui ne contiennent aucune silicone, ni solvant, ni
agent halogène.
E. Lorsque des manchons sont prévus pour le passage de câbles ou canalisations futures, ceux-ci doivent
avoir un diamètre minimal de 25 mm de plus que le diamètre du câble ou de la canalisation future.
Bourrer les manchons inutilisés de laine minérale et les calfeutrer pour les rendre étanches à l'air avec
un scellant ignifuge.
B. Réaliser des joints hermétiques entre les ouvrages et les tuyaux, manchons, canalisations et conduits.
C. Exécuter les travaux d'ajustement et de scellement nécessaires pour que les ouvrages raccordés ou liés
entre eux soient parfaitement assujettis.
D. Lors du raccordement d’un nouvel ouvrage à un autre déjà en place, et que ce dernier est modifié,
exécuter les travaux de scellement et de remise en état nécessaires pour l'adapter à l'ouvrage déjà en
place.
E. Exécuter les percements de manière que les rives soient propres et lisses, et faire en sorte que les joints
de scellement soient le moins apparents possible.
A. Sauf indication contraire, dissimuler les tuyaux, conduits et câblage dans les murs et les plafonds des
aires finies.
B. Aviser l’ingénieur avant de fermer les murs, planchers et plafonds dissimulant des tuyaux, conduits et
câblages afin qu’il effectue les inspections requises.
1. À défaut de se conformer à cette exigence, et à la demande de l’Ingénieur, découvrir les ouvrages
aux fins d’examen et les ragréer sans compensation.
A. Fournir des raccords diélectriques pour joindre des tuyaux faits de métaux différents.
B. Fournir des raccords-unions diélectriques sur la tuyauterie de DN 50 (NPS 2) et moins et des brides
diélectriques sur la tuyauterie de DN 65 (NPS 2-½) et plus.
A. Aux endroits où il est nécessaire de disjoindre la tuyauterie de l'équipement, installer des brides ou des
unions.
1. Sur la tuyauterie de DN 50 et moins, installer des unions de même calibre que les accessoires et
les robinets.
2. Sur la tuyauterie de DN 65 et plus, installer des brides de marque Ladish, Tube ou Taylor Forge ou
équivalent, de même calibre que les accessoires et les robinets. Utiliser des brides de type
«welding neck».
B. Munir tous les joints à brides de boulons, de grosseurs appropriées, d’écrous et de rondelles. Utiliser
des boulons de longueur égale à l'épaisseur des deux brides, de l'écrou et des deux rondelles.
C. Sur la tuyauterie en acier inoxydable utiliser des brides et des écrous en acier inoxydable. Prévoir des
rondelles et des manchons en néoprène pour éviter le contact de deux métaux différents.
A. Poser des écussons de parement là où les tuyaux traversent des murs, cloisons, planchers et plafonds
finis.
B. Aux murs et aux plafonds, poser des écussons en laiton chromé ou nickelé munies de vis d'arrêt.
C. Le diamètre intérieur doit correspondre au diamètre extérieur du tuyau calorifugé. Le diamètre extérieur
doit être supérieur à celui de l'ouverture ou du manchon.
D. Si le manchon dépasse le plancher fini, les écussons ou les plaques doivent entourer le prolongement
du manchon.
E. Les fixer au tuyau ou à la surface finie, mais non au calorifuge. Dans les salles insonorisées, une
rondelle en caoutchouc doit être posée entre le tuyau et l’écusson pour empêcher la vibration.
A. Fournir les portes d'accès requises afin de rendre accessibles tous les équipements et accessoires
dissimulés nécessitant de l'entretien, des réparations ou un ajustement.
B. Choisir le modèle selon son attribution et le type de matériau dans lequel elles sont installées (voir la
Section 09 21 16).
PARTIE 2 - PRODUITS
PARTIE 3 - EXÉCUTION
A. Emplacement
1. L'emplacement des équipements, conduits et appareils divers indiqués ou décrits sur les dessins,
est approximatif.
2. Avant d'installer tout appareil, équipement, conduits et accessoires, vérifier l’emplacement exact
des équipements et s'assurer également que les installations existantes ne nuisent d'aucune façon.
3. Advenant qu’il y ait divergence entre les plans de différent professionnels (Architecte, Ingénieur)
concernant l’emplacement des équipements, demander par écrit aux professionnels concernés,
une confirmation quant la position définitive des équipements. Si l’Entrepreneur installe des
équipements avant d’obtenir l’interprétation des plans et devis par les professionnels, il devra, si
requis, relocaliser les équipements en fonction des directives des professionnels et en assumer les
frais.
4. Installer les appareils et les conduits de manière à limiter les encombrements et à conserver le plus
de surface utile possible, et ce, conformément aux recommandations du fabricant et aux exigences
du Propriétaire quant à la sécurité, à l'accès et à l'entretien.
5. Assumer les coûts reliés aux déviations requises dans les conduits et accessoires, pour éviter toute
interférence entre les ouvrages des différents corps de métier.
6. À la demande de l'Ingénieur, soumettre les plans d’agencement indiquant la position proposée pour
les divers services et équipements.
7. Informer l'Ingénieur du calendrier d'installation et demander son approbation quant à l'emplacement
exact assigné.
a. En fonction des commentaires du Propriétaire sur le chantier, la position finale de
l’équipement pourrait être légèrement modifiée par rapport à celle indiquée sur les dessins.
Par contre, elle sera indiquée avant l’installation et aucun frais associé à de tels changements
de position ne pourra être facturé.
B. Installation
1. Sauf indications contraires, se conformer aux plus récentes instructions écrites du fabricant
concernant les matériaux et l’équipement à utiliser, et les méthodes d’installation.
a. Aviser l’Ingénieur, par écrit, de toutes divergences entre les plans et devis et les instructions
du fabricant afin qu’il détermine les documents à utiliser.
2. S’assurer que les planchers et les dalles recevant les équipements au sol sont de niveau.
3. Fournir les pièces de fixation et les accessoires en métal de même texture, couleur et fini que le
support auquel ils sont fixés. Utiliser des attaches, des ancrages et des cales à l’épreuve de la
corrosion pour assujettir les ouvrages extérieurs et intérieurs.
4. Assujettir solidement aux éléments constitutifs du bâtiment tous les équipements montés sur une
structure d’acier ou de béton par l’intermédiaire de ressort antivibration ou de poutre Utiliser des
boulons d’ancrage ou de cordons de soudure afin d’assurer que l’ensemble des équipements ne
peut glisser de ses points d’attache en raison de vibrations du bâtiment ou à proximité du bâtiment.
5. Aligner les rives des pièces d’équipement avec les murs du bâtiment.
6. S'assurer que l'entretien et le démontage pourront se faire en n’ayant pas à déplacer les éléments
de jonction de la tuyauterie et des conduits par l’utilisation de raccords, unions et de brides et ce,
sans que les éléments de charpente du bâtiment ou toute autre installation constituent un obstacle.
7. Vérifier les raccords effectués en usine et les resserrer au besoin pour assurer l’intégrité de
l’installation.
8. Amener les canalisations de drainage d’équipement aux drains.
9. Fournir un moyen facile de lubrifier le matériel, y compris les paliers lubrifiés à vie. Les points de
lubrification difficiles d’accès ou multiples pour un même appareil seront ramenés à un même
endroit à l’aide de tubes.
A. Généralités
1. Installer toute la tuyauterie et l’équipement de CVCA le plus haut possible afin de permettre
l'installation des plafonds le plus haut possible dans chacune des pièces. Porter une attention
particulière à la coordination pour la pose de la tuyauterie de condensat des réseaux de vapeur qui
doit se drainer par gravité.
2. Poser la tuyauterie en ligne droite, près des murs et des plafonds, et parallèlement à ces surfaces.
Régulariser la pente de la tuyauterie conformément aux prescriptions. Utiliser des raccords
standards et des coudes à long rayon lorsque la canalisation change de direction.
3. Poser les groupes de tuyaux parallèlement les uns aux autres; les espacer de façon à faciliter le
calorifugeage, l'identification des tuyaux, l'entretien et les réparations. Monter les tuyaux sur des
colliers de suspension trapézoïdaux.
4. Poser les canalisations dissimulées le plus près possible de la charpente du bâtiment pour réduire
au minimum l'espace réservé à la fourrure; laisser le plus grand dégagement possible.
5. Poser des réducteurs excentriques sur la tuyauterie horizontale de façon à faciliter la vidange et à
éliminer les poches d'air.
6. Lorsque le diamètre des tuyaux diffère du diamètre des raccords de l'équipement, poser des
réducteurs sur ces derniers. Il est défendu d'utiliser des manchons de réduction.
7. Les tuyaux et tubes en laiton et en cuivre ne doivent pas être endommagés; dans le cas contraire, il
faut les remplacer.
8. Aléser les extrémités des tuyaux avant de procéder au raccordement.
9. Poser les tubes en cuivre de façon à ce qu'ils ne soient pas en contact avec un métal différent et
qu'ils ne soient pas bosselés ou aplatis.
10. Utiliser un lubrifiant non corrosif ou du ruban en téflon pour recouvrir le filetage.
11. Pour les tuyaux à extrémités cannelés, couper les tuyaux d'équerre: la surface de contact doit être
propre et exempte de toute entaille ou encoche.
12. Poser des joints à rotule pour raccorder les colonnes montantes aux canalisations principales.
Utiliser des manchons pour raccorder chaque sortie de plancher aux colonnes montantes.
13. Poser des brides ou des raccords-unions de façon à pouvoir enlever les pièces d'équipement sans
avoir à déplacer la tuyauterie.
14. Nettoyer les extrémités des tuyaux ou tubes et les cavités des raccords qui doivent être brasés ou
soudés. Joindre les pièces sans les coincer.
15. Enlever les dépôts et la saleté à l'intérieur et à l'extérieur, avant et après l'assemblage.
3. Toute tuyauterie intérieure enfouie devra être recouverte d’un minimum de 75 mm de pierre
concassée 0-19 mm.
C. Dilatation
1. Installer la tuyauterie de sorte qu'elle ait la liberté de se dilater et de se contracter sans imposer
d'efforts excessifs aux embranchements, ou causer du flambage.
D. Manchons de caoutchouc
1. Fournir et installer des manchons en caoutchouc à tous les endroits où la tuyauterie de cuivre est
en contact avec tout matériau ferreux.
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 5
3.07 MISE À LA TERRE DES ÉQUIPEMENTS POUR LE SOUDAGE À L’ARC ÉLECTRIQUE À PROXIMITÉ D’UN
GROUPE ÉLECTROGÈNE (LORSQU’APPLICABLE) ...............................................................................6
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les dessins et les dispositions générales du contrat, incluant les
Conditions générales et les Conditions supplémentaires, ainsi que les Section de la Division 01 du Devis
descriptif.
1.02 RÉFÉRENCES
B. Échantillons
1. Soumettre au début du projet trois échantillons de tuyaux de 6 po. soudés pour chacun des
matériaux utilisés. Les échantillons doivent être réalisés au chantier par les soudeurs qui
réaliseront les travaux.
2. Les échantillons seront envoyés dans un laboratoire pour inspection selon la norme ASME B31.1 et
une analyse au rayon-X sera aussi réalisée. Seuls les soudeurs ayant réussi les tests seront
autorisés à effectuer les travaux de soudage. Les frais pour la première analyse seront payés par
le Propriétaire.
3. Advenant que les tests de laboratoire échouent, apporter les corrections nécessaires et soumettre
à nouveau trois échantillons pour analyse. À ce moment, les frais d'analyse seront payés par
l'Entrepreneur.
A. Conformité :
1. Exécuter les travaux conformément aux exigences des normes suivantes :
a. ASME B31.1.
b. ASME Boiler and Pressure Vessel Code, Sections I et IX.
c. ANSI/AWWA C206.
d. NQ 3650-900
2. Utiliser des méthodes conformes aux normes suivantes :
a. AWS B.3.0
b. AWS C1.1.
3. Méthodes particulières spécifiées ailleurs dans les Sections la Division 22.
A. Les règles de sécurité à observer pour le soudage, le coupage et les opérations connexes doivent être
conformes aux exigences de la norme CAN/CSA- W117.2.
B. Avant d’effectuer tout travail de soudage dans le bâtiment, obtenir un permis de soudage émis par
l’équipe de sécurité de l’immeuble. Effectuer la demande au moins 24 heures à l’avance.
C. Avoir à proximité du lieu des travaux, deux extincteurs portatifs de type ABC et de capacité de 10 livres.
D. Pour les travaux à l’intérieur du bâtiment, fournir et utiliser un système de captation à la source des
fumées de soudage. Ce système devra être du type mobile et ayant une capacité d’aspiration de 750
pi.cu./min c/a préfiltre en aluminium, filtre fini en cellulose à efficacité minimum de 99 % et filtre à
charbon actif pour filtrer les gaz contenus dans l’air pollué.
E. Le soudeur doit respecter l’A.C. 3787 « Santé et sécurité au travail, Établissements industriels et
commerciaux », article 9.4 :
1. Les opérations de soudage et de découpage sont interdites à proximité de matériaux combustibles
ou dans les lieux contenant des poussières, gaz ou vapeurs inflammables ou explosives, à moins
que des précautions spéciales ne soient prises pour prévenir le feu ou les explosions.
2. Aux endroits où les travaux de soudage et de découpage sont normalement pratiqués et où des
personnes autres que les soudeurs travaillent ou circulent, on doit installer des écrans de protection
fixes ou amovibles.
3. On ne doit effectuer aucun découpage, soudage, ni aucun travail à flamme nue sur un récipient, un
réservoir, un tuyau ou autre contenant où il y a une présence possible de substance inflammable
ou explosive à moins que :
a. l’on ait prélevé des échantillons d’air indiquant que le travail peut être fait sans danger ou,
b. l’on ait pris des dispositions pour assurer la sécurité du travail.
A. Enregistrer les méthodes de soudage conformément aux prescriptions de la norme CSA B51.
B. Un exemplaire de la description des méthodes de soudage utilisées doit être conservé sur les lieux en
tout temps, à des fins de référence. Les méthodes de soudage doivent indiquées entre autres,
l’ampérage, le voltage, la qualité d’électrodes employées et la répartition des passes (selon le matériel à
souder, acier noir, acier inoxydable, etc.) De plus, dans les modes opératoires de soudage, inclure les
méthodes utilisées pour souder de l’acier inoxydable sur de l’acier noir.
C. La soudure sur de la tuyauterie devra être pleine pénétration. La tuyauterie sera proprement préparée
pour des joints soudés en V. Souder d’abord les tuyaux par point, n’effectuer la soudure complète
qu’après inspection. On doit pouvoir passer une lame mince entre les deux parties à souder.
A. Le soudage de la tuyauterie en acier inoxydable devra être réalisé par un maximum de trois soudeurs
identifiés au début des travaux.
B. Soumettre deux échantillons de tuyaux soudés pour chaque soudeur pour analyse par un laboratoire
selon les exigences du paragraphe « Échantillons ».
C. Réaliser les travaux de soudage pour l'acier inoxydable sous flux inerte (à l'argon).
PARTIE 2 - PRODUITS
2.01 ÉLECTRODES
B. Le soudage sur les tuyaux d’acier sera fait à l’arc électrique avec tige de soudage 704D, classification E-
60-10 A.W.S.
C. Le soudage, sur la tuyauterie en acier inoxydable sera fait à l’arc électrique avec des tiges à souder à
acier inoxydable.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
B. Anneaux de support
1. Le cas échéant, ajuster les anneaux de manière à réduire au minimum l'espace entre l'anneau et la
paroi intérieure du tuyau.
2. Ne pas poser d'anneaux aux brides de plaques à orifice.
C. Raccords
1. DN 50 (NPS 2) et moins : poser des douilles à souder.
2. Raccords de dérivation : poser des tés à souder ou des raccords forgés.
A. Avant d'entreprendre les travaux, revoir, avec l'Ingénieur, toutes les exigences relatives à la qualité des
soudures et aux défauts acceptables, formulées dans les normes et les codes pertinents.
C. Ne pas dissimuler les soudures avant qu'elles aient été examinées, soumises à des essais et
approuvées par un inspecteur.
D. Permettre à l'inspecteur d'examiner visuellement toutes les soudures au début des travaux de soudage,
conformément aux exigences de la norme AWS W1. Au besoin, réparer ou reprendre toutes les
soudures défectueuses conformément aux codes pertinents et aux prescriptions formulées dans la
présente Section.
A. Généralités
1. Avant le début des travaux de soudage, le Propriétaire retiendra, si requis, les services d’un
laboratoire indépendant qui passera en revue, avec l’Entrepreneur, les méthodes de soudage et les
certificats de qualification des soudeurs proposés.
2. Des inspections et des essais doivent être effectués par un spécialiste qualifié aux termes des
normes CSA W178.1 et CSA W178.2, et être approuvés par l'Ingénieur.
3. Les inspections et les essais doivent être effectués conformément aux prescriptions du ASME
Boiler and Pressure Vessel Code, Section V, et de la norme CSA B51, ainsi qu'aux exigences des
autorités compétentes.
4. Conformément au plan d'inspection et d'essai, soumettre toutes les soudures à un examen visuel.
B. Toutes les soudures doivent subir un essai hydrostatique satisfaisant aux exigences de la norme
ASME B31.1.
C. Les joints de tuyauterie qui auront été raccordés par soudage seront radiographiés par un laboratoire
indépendant retenu et payé par le Propriétaire. Le nombre de joints radiographiés sera de l’ordre de
20% et sera augmenté ou diminué en fonction des résultats obtenus des premières radiographies.
D. Si une soudure radiographiée est jugée inacceptable par le laboratoire et l’Ingénieur, et ce, selon la
norme ASME, Section VIII, division 1 (ANSI.B31.3), elle devra être réparée aux frais de l’Entrepreneur.
La soudure sera radiographiée à nouveau.
E. Examens visuels : examiner toutes les soudures réalisées sur la circonférence extérieure et en tous
points où cela est possible, sur la circonférence intérieure.
A. Conformément aux exigences de la norme ASME B31.1 et du ASME Boiler and Pressure Vessel Code.
A. Ré-inspecter et soumettre à un nouvel essai les soudures réparées ou reprises, aux frais de
l'Entrepreneur.
A. Les réclamations présentées en raison de délais touchant l'achèvement des travaux ne seront pas
admises si ces délais sont attribuables à des soudures rejetées lors des inspections ou des essais.
3.07 MISE À LA TERRE DES ÉQUIPEMENTS POUR LE SOUDAGE À L’ARC ÉLECTRIQUE À PROXIMITÉ D’UN
GROUPE ÉLECTROGÈNE (LORSQU’APPLICABLE)
A. Les mises à la terre de l’équipement de soudage ne doivent jamais passer par les mises à la terre des
groupes électrogènes et leurs accessoires.
B. Débrancher les raccords flexibles sur les groupes électrogènes avant de débuter des travaux de
soudage sur les conduits d’évacuation des groupes, et ce de manière à éliminer toute mise à la terre
d’équipement de soudage au travers les groupes électrogènes et leurs accessoires.
2.01 GÉNÉRALITÉS................................................................................................................................3
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 5
3.02 INSTALLATION................................................................................................................................5
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières, ainsi que les Sections de spécification de la Division 01.
1.02 SOMMAIRE
B. Les responsabilités du fournisseur et de l'installateur sont indiquées sur la nomenclature des moteurs,
des commandes et des appareils, qui fait partie des dessins des installations électriques, et les
responsabilités touchant les appareils mécaniques connexes sont indiquées sur la nomenclature des
systèmes mécaniques, qui fait partie des dessins des installations mécaniques.
C. Le câblage et les canalisations électriques des circuits de commande sont prescrits à la Division 26,
sauf pour le câblage, les canalisations et les connexions de moins de 50 V associés aux systèmes de
commande/régulation prescrits à la Division 25. Pour connaître les exigences concernant la qualité des
matériaux et la qualité d'exécution des travaux, se reporter à la Division 26.
1.03 RÉFÉRENCES
B. Fiches techniques : Préciser les caractéristiques des produits, les critères de performance et les
contraintes.
A. Fournir les fiches d'entretien des moteurs, des transmissions et des gardes, et les joindre au manuel
mentionné à la Section 01 78 00 – Éléments à soumettre à l’achèvement des travaux.
PARTIE 2 - PRODUITS
2.01 GÉNÉRALITÉS
Note : Les efficacités nominales doivent être déterminées en conformité avec la norme MG1 de la NEMA. Design A et
Design B sont des désignations de classe de la National Electrical Manufacturers Association (NEMA) pour des moteurs
CA, petits et moyens, à induction et à fréquence fixe.
2.02 MOTEURS
A. Fournir les moteurs prescrits pour les appareils et les systèmes mécaniques visés.
B. Moteurs de moins de 1/2 HP: sauf indication contraire sur les dessins ou dans le devis, moteurs
monophasés, 120 V, vitesse selon les indications, pour service continu, avec protection intégrée contre
les surcharges et support résilient.
C. Moteurs de 1/2 HP et plus : sauf indication contraire, moteurs abrités, conformes aux normes EEMAC
pertinentes, triphasés, 575 V, de classe B, à induction à cage d'écureuil, à roulements à billes, vitesse
selon les indications, pour service continu, à élévation de température ne dépassant pas 40 degrés
Celsius.
1. Les moteurs de 10 HP et plus doivent avoir une protection de perte de phase intégrée dans leur
démarreur.
2. Les moteurs de 25 HP et plus doivent avoir des dispositifs de protection thermique à sondes de
type thermistors.
D. Roulements :
1. Moteurs de moins de 15 HP : à billes prélubrifiées.
2. Moteurs de 15 HP et plus : à billes regraissables.
E. Exigence générale concernant les moteurs pour entraînement à vitesse variable : Conformes à la norme
NEMA MG-1, Section IV, Partie 31.
A. Si un retard dans la livraison d'un moteur prescrit a pour conséquence de retarder l'achèvement des
travaux ou la mise en service de l'installation, installer un moteur provisoire approuvé par l'Ingénieur.
Les travaux seront acceptés seulement lorsque le moteur prescrit aura été installé.
A. Des courroies renforcées doivent être installées dans la poulie motrice. Les courroies multiples doivent
être fournies et montées par jeux assortis.
B. Les poulies doivent être en fonte ou en acier, et être fixées sur les arbres au moyen de clavettes
amovibles, sauf indication contraire.
C. Moteurs de moins de 10 HP: poulies motrices standard à diamètre réglable sur une plage de plus ou
moins 10 %. Utiliser la position intermédiaire au moment du réglage de la vitesse prescrite.
D. Moteurs de 10 HP et plus : sauf indication contraire, poulies à diamètre fixe, avec bague conique fendue
et rainure de clavette. Fournir des poulies de dimensions appropriées, convenant aux caractéristiques
d'équilibrage du réseau.
E. Les dimensions requises des poulies seront déterminées au cours de la mise en service.
F. Caractéristiques nominales des transmissions : au moins 1.5 fois les valeurs nominales indiquées sur la
plaque signalétique du moteur. Sur les arbres des moteurs d'entraînement, les charges en porte-à-faux
doivent rester en deçà des limites de calcul du fabricant.
G. Les plaques de montage sur glissières doivent permettre les ajustements dans l'axe.
H. Fournir un jeu de courroies de rechange pour chaque jeu installé, conformément à la Section 01 78 00 –
Éléments à soumettre à l’achèvement des travaux.
A. Prévoir des gardes pour les transmissions qui ne sont pas protégées.
D. Les gardes des courroies doivent permettre le déplacement des moteurs pour le réglage de la tension.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
3.02 INSTALLATION
B. Les appareils et les éléments doivent être amovibles aux fins d'entretien et ils doivent être faciles à
remettre et à fixer en place.
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 3
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières, ainsi que les Sections de spécification de la Division 01.
1.02 SOMMAIRE
A. Compatibilité : les produits doivent être conçus en fonction des fluides véhiculés, ainsi que des
matériaux, pressions et températures de service des tuyauteries.
B. Capacité : les produits doivent absorber 200 % du déplacement axial maximal entre ancrages.
B. Données techniques sur les produits : pour chaque type de produit indiqué.
A. Données d'entretien : celles relatives aux joints de dilatation doivent figurer dans les manuels
d’entretien.
PARTIE 2 - PRODUITS
PARTIE 3 - EXÉCUTION
A. Installer des joints de dilatation dont les diamètres correspondent à ceux des tuyauteries concernées.
3.02 ENDROITS
2.01 GÉNÉRALITÉS................................................................................................................................2
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 3
3.01 GÉNÉRALITÉS................................................................................................................................3
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières, ainsi que les Sections de spécification de la Division 01.
1.02 RÉFÉRENCES
B. CAN/CGSB-14.4, Thermomètres indicateurs, à dilatation de liquide dans une gaine de verre, de type
commercial/industriel.
B. Soumettre les fiches techniques produites par les fabricants dans le cas des éléments suivants:
1. Thermomètres.
2. Manomètres.
PARTIE 2 - PRODUITS
2.01 GÉNÉRALITÉS
A. Le point de mesure des thermomètres et des manomètres choisis doit se situer au centre de la plage
graduée.
B. Thermomètres industriels, à angle de lecture variable, à affichage DEL, fonctionnant à l’énergie solaire,
boîtier de 180 mm de longueur.
1. Produit de référence : Trerice SX9 Solar Therm.
2. Produit(s) acceptable(s) : Ashcroft; Marsh; Winters.
2.03 MANOMÈTRES
B. Les caractéristiques ou les éléments suivants doivent être prévus pour chacun des thermomètres et des
manomètres installés, selon le cas :
1. Un siphon lorsqu'il s'agit de réseaux de vapeur.
2. Un amortisseur lorsqu'il s'agit de réseaux soumis à des pulsations de pression.
3. Un séparateur à membrane lorsqu'il s'agit de réseaux de fluides corrosifs.
4. Une collerette et un évent de sécurité à l'arrière, un bourrelet de renfort à l'avant.
5. Type à bain d'huile dans le cas d'installations soumises à des vibrations.
6. Produit(s) acceptable(s) : Ashcroft; Marsh; Trerice; Winters.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
3.01 GÉNÉRALITÉS
A. Placer les instruments de manière qu'on puisse en faire la lecture à partir du plancher ou d'une plate-
forme. Autrement, installer des téléthermomètres et des télémanomètres.
B. Installer les instruments entre les appareils et le premier raccord ou élément de robinetterie placé en
aval ou en amont, selon le cas.
3.02 THERMOMÈTRES
A. Placer toujours les thermomètres dans des puits thermométriques garnis d'un matériau
thermoconducteur.
B. Installer des thermomètres aux endroits indiqués ainsi qu'à l'entrée et à la sortie des appareils suivants:
1. Pompes.
2. Chaudière à eau chaude.
3. Refroidisseur (côté évaporateur et condenseur).
4. Serpentins.
5. Échangeurs de chaleur.
6. À tous les autres endroits indiqués.
C. Utiliser des rallonges lorsque les thermomètres sont posés sur des tuyauteries calorifugées.
3.03 MANOMÈTRES
B. Utiliser des rallonges lorsque les manomètres sont posés sur des tuyauteries calorifugées.
2.01 GÉNÉRALITÉS................................................................................................................................2
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 6
3.01 INSTALLATION................................................................................................................................6
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières, ainsi que les Sections de spécification de la Division 01.
1.02 RÉFÉRENCES
A. American National Standards Institute (ANSI)/ American Society of Mechanical Engineers (ASME)
1. ANSI/ASME B1.20.1, Pipe Threads, General Purpose (Inch).
C. Manufacturers Standardization Society of the Valve and Fittings Industry, Inc. (MSS)
1. SP-25, Standard Marking System for Valves, Fittings, Flanges and Unions.
2. SP-80, Bronze Gate Globe, Angle and Check Valves.
B. Données techniques sur les produits : pour chaque type de produit indiqué.
A. Soumettre les fiches d'entretien requises et les joindre au manuel mentionné à la Section 01 78 00 –
Éléments à soumettre à l’achèvement des travaux.
PARTIE 2 - PRODUITS
2.01 GÉNÉRALITÉS
A. Exception faite des appareils spéciaux, le cas échéant, toute la robinetterie doit être fournie par un seul
et même fabricant.
2.02 RACCORDEMENT
A. Lorsque des appareils de robinetterie à réglage protégé sont prescrits, prévoir quatre clés d'accès en
fonte malléable cadmiée pour chaque diamètre d'appareils installés.
2.04 ROBINETS-VANNES
C. Clapets de retenue de diamètre égal ou inférieur à DN 2, à levée verticale, pour montage sur
canalisations verticales, à obturateur en bronze, de classe 125.
1. Corps : à siège intégré; pression de service de 860 kPa et de 1.4 MPa.
2. Obturateur : obturateur rotatif avec guides au sommet et à la base et bagues de retenue.
A. Robinet à tournant sphérique avec corps en bronze, taraudé, avec bouchon, chaîne et filets pour
boyaux.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
3.01 INSTALLATION
A. Installer les appareils de robinetterie à tige montante à la verticale, la tige orientée vers le haut.
B. Enlever les pièces internes avant de procéder au raccordement par brasage tendre.
C. Installer des poulies à chaîne sur les robinets installés à une hauteur de 6 pieds et plus.
D. Aux points bas de tous les réseaux fermés, installer des robinets de vidange et des raccords pour
boyaux.
2.01 GÉNÉRALITÉS................................................................................................................................2
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 5
3.01 INSTALLATION................................................................................................................................5
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières, ainsi que les Sections de spécification de la Division 01.
1.02 RÉFÉRENCES
A. American National Standards Institute (ANSI)/ American Society of Mechanical Engineers (ASME)
1. ANSI/ASME B16.1, Cast Iron Pipe Flanges and Flanged Fittings, Class 25, 125, 250, and 800.
C. Manufacturers Standardization Society of the Valve and Fittings Industry, Inc. (MSS)
1. SP-70-1990, Cast Iron Gate Valves, Flanged and Threaded Ends.
2. SP-71-1990, Cast Iron Swing Check Valves, Flanged and Threaded Ends.
3. SP-82-1992, Valve Pressure Testing Methods.
4. SP-85-1994, Cast Iron Globe and Angle Valves, Flanged and Threaded Ends.
B. Données techniques sur les produits : pour chaque type de produit indiqué.
A. Soumettre les fiches d'entretien requises et les joindre au manuel mentionné à la Section 01 78 00 –
Éléments à soumettre à l’achèvement des travaux.
PARTIE 2 - PRODUITS
2.01 GÉNÉRALITÉS
A. Exception faite des appareils spéciaux, le cas échéant, toute la robinetterie doit être fournie par un seul
et même fabricant.
B. Prescriptions types
1. Robinets-vannes: selon la norme MSS SP-70.
2. Robinets à soupape: selon la norme MSS SP-85.
3. Clapets de retenue: selon la norme MSS SP-71.
2.03 ACTIONNEURS
A. Types d'actionneurs
1. Volants: pour tous les appareils de robinetterie à moins d'indications contraires.
C. Bagues de siège : renouvelables, en bronze selon la norme ASTM B 61, vissées au corps.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
3.01 INSTALLATION
2.01 GÉNÉRALITÉS................................................................................................................................2
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 7
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières, ainsi que les Sections de spécification de la Division 01.
PARTIE 2 - PRODUITS
2.01 GÉNÉRALITÉS
A. Fabriquer les suspensions, les supports et les pièces de contreventement conformément aux normes
ANSI B31.1 et MSS-SP58.
B. Fixer les supports et les suspensions à la partie supérieure des éléments de charpente. S'il n'y a pas
d'éléments de charpente ou si les douilles d'ancrage ne se trouvent pas au bon endroit, fournir et
installer toutes les pièces de charpente supplémentaires nécessaires. Ne pas suspendre au tablier
métallique.
C. Aucun ancrage au fusil ne doit être employé à moins d'autorisation écrite de l'Ingénieur. Obtenir la
permission avant d’utiliser des douilles d’ancrage verticales à expansion. Utiliser au moins deux douilles
pour tenir chaque étrier ou support.
E. Tous les supports doivent comporter au moins les trois pièces suivantes : douille d’ancrage, tige de
suspension, collier ou étrier.
F. L’espacement entre les supports de tuyaux groupés sera établi en fonction du tuyau de plus faible
dimension.
A. Ouvrage en béton
1. Douille d'ancrage pour ouvrage en béton coulé en place : douille à coin, en acier galvanisé,
conforme à la norme MSS-SP58, type 18, homologuée par les ULC pour la tuyauterie de diamètre
DN 3/4 à DN 8.
a. Qualité requise : Anvil, fig. 281.
2. Boulons d’ancrage adhésifs : système d’ancrage à pré-perçage et à capsule contenant une résine
polyvinylique ou à base d’uréthane méthacrylate et un accélérateur, ou à adhésif polymérique ou
en mortier hybride injecté. Fournir les boulons d’ancrage et accessoires en acier galvanisé.
Choisir les boulons d’ancrage ayant la résistance prescrite pour l’ancrage selon essais suivant la
norme ASTM E 488.
3. Boulons d’ancrage mécaniques : du type à pré-perçage, à goujon en biseau ou à cône femelle, en
acier galvanisé. Choisir les boulons d’ancrage ayant la résistance prescrite pour l’ancrage selon
essais suivant la norme ASTM E 488. Longueur minimale égale à huit fois le diamètre.
4. Plaque en acier au carbone avec étrier, pour montage en applique : douille en fer malléable,
cheville expansible et boulon; au moins deux chevilles expansibles et deux boulons pour chaque
suspension.
a. Qualité requise : Anvil : plaque fig. 49, douille fig. 290 et cheville expansible fig. 117.
D. Poutrelle en acier :
1. Tuyauterie froide de diamètre égal ou inférieur à DN 2 : plaquette d'appui en acier, avec deux
écrous de blocage.
a. Qualité requise : Anvil, fig. 60.
2. Tuyauterie froide de diamètre égal ou supérieur à DN 2-1/2 et tuyauterie chaude de tout diamètre :
plaquette d'appui en acier avec deux écrous de blocage, attaches soudables en acier au carbone
et écrou à œillet en fer malléable.
a. Qualité requise : Anvil : plaque d'appui, fig. 60; attache soudable, fig. 66; écrou à œillet, fig.
290.
A. Tige filetée, en acier au carbone, au fini noir ou électrogalvanisé, pour salles de machines.
1. Qualité requise : Anvil, fig. 146.
A. Pour les tuyaux isolés, utiliser des dispositifs de support avec protecteurs de métal de fort calibre et de
longueur suffisante aux points de suspension des tuyaux, là où l’isolant doit résister à la compression.
Ces dispositifs de support seront de l’isolant de type « foamglass » de la même épaisseur que l’isolant.
Les dispositifs de support reposeront sur les protecteurs de métal installés entre la surface de l’isolant et
le support de tuyau.
B. Dans le cas de tuyaux en cuivre non calorifugés, utiliser des supports cuivrés.
C. Les supports de tuyaux groupés seront fabriqués d’acier structural de formes I.U.H. ou de cornières et
de profilés préfabriqués en acier galvanisé. La soudure sera continue et exempte de grumeaux. Ces
supports seront assujettis à la structure avec des ancrages Philipps Red Head ou équivalent approuvé.
D. Des guides devront être fournis et installés aux endroits requis afin d’éviter le déplacement latéral de la
tuyauterie.
E. Tuyauterie froide en acier ou en fonte, tuyauterie chaude en acier, à mouvement horizontal de moins de
25 mm; tuyauterie chaude en acier suspendue sur des tiges de plus de 300 mm de longueur : étrier
réglable, conforme à la norme MSS-SP58, type 1, homologué par les ULC.
1. Qualité requise : Anvil, fig. 260ISS.
F. Tuyauterie froide en cuivre, tuyauterie chaude en cuivre à mouvement horizontal de moins de 25 mm,
tuyauterie chaude en cuivre suspendue sur des tiges de plus de 300 mm de longueur : étrier réglable,
conforme à la norme MSS-SP58, type 1, au fini cuivré.
1. Qualité requise : Anvil, fig. CT-65, CT-121.
H. Tuyauterie chaude en acier et en cuivre, supportée par le bas : socle à rouleau conforme à la norme
MSS-SP58, type 45.
1. Qualité requise : Anvil, fig. 271.
I. Des supports à rouleaux doivent être installés dans les cas suivants :
1. Sur les réseaux de tuyauterie opérant à 60oC (140oF) et plus, lorsque la longueur de la tige de
suspension à 500 mm (20 po) ou moins ou lorsque la tuyauterie est supportée sur des fers angles.
2. Sur les réseaux de tuyauterie opérant à moins de 60oC (140oF), lorsque la tige de suspension a
une longueur de 300 mm (12 po) ou moins ou lorsque la tuyauterie est supportée sur des fers
angles.
3. Produits acceptables : Anvil fig 181, 175, et 271.
J. Supports antivibration :
1. Toute la tuyauterie de 75 mm (3 po) de diamètre et plus, localisée dans les salles de mécanique et
raccordée à un appareil pouvant générer de la vibration, devra être supportée sur des isolateurs
antivibration à ressort dont le premier aura une déflexion statique égale à la déflexion des
isolateurs supportant l’appareil et les autres auront une déflexion de 25 mm (1 po). Les isolateurs
seront de Vibro-Acoustics ou équivalent approuvé, type SH pour la tuyauterie suspendue et du type
SL et/ou CM pour la tuyauterie supportée au plancher. Ceci sera applicable aux (3) trois premiers
supports en amont et en aval des appareils.
A. Pour tuyauterie en acier ou en fonte : collier en acier au carbone, au fini galvanisé, conforme à la norme
MSS-SP58, type 42, homologué par les ULC.
1. Qualité requise : Anvil, fig. 261.
B. Pour tuyauterie en cuivre : collier en acier au carbone, au fini cuivré, conforme à la norme MSS-SP58,
type 42.
1. Qualité requise : Anvil, fig. CT-121.
A. Tuyauterie froide de diamètre égal ou supérieur à DN 1-1/4 : demi coquille de protection pour tuyauterie
dotée d'un calorifuge à haute densité avec pare-vapeur continu.
1. Qualité requise : Anvil, fig. 167.
A. Sauf indication contraire aux plans, asseoir toute pièce d'équipement sur une dalle de propreté de
150 mm (6 po) de hauteur, à bouts biseautés et débordant d'au moins 150 mm (6 po) tout autour des
appareils pour faciliter leur nettoyage.
B. Les dalles de propreté doivent être conçues par l’Ingénieur en structure et coulées sous sa supervision.
Elles doivent être armées, ancrées solidement à la structure du bâtiment et conçues pour permettre
l’ancrage de l’équipement qu’elles supportent en tenant compte des charges dues aux séismes et au
vent.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
A. Lorsqu’ils ne sont pas précisés à même une Section du Devis traitant d’une application spécifique,
l'espacement entre les supports/suspensions ainsi que le diamètre des tiges de suspension, doivent être
conformes aux plus strictes des exigences précisées aux alinéas suivants ou dans le tableau ci-après.
1. Tuyauterie en cuivre de diamètre nominal DN 1/2 et moins : un (1) support/suspension tous les
1.5 m.
2. Tuyauterie cannelée à joints souples : selon les exigences du tableau ci-après, en comptant au
moins un (1) support/suspension à chaque joint.
3. Un (1) support/suspension à moins de 300 mm (12 po) de chaque coude horizontal.
Espacement maximal
Diamètre nominal du
Diamètre de la tige
tuyau (DN)
Acier Cuivre
Jusqu’à :
20 mm (¾ po) 10 mm (3/8 po) 1.5 m (5 pi) 1.5 m (5 pi)
25 mm (1 po) 10 mm (3/8 po) 1.5 m (5 pi) 1.5 m (5 pi)
30 mm (1¼ po) 10 mm (3/8 po) 2.1 m (7 pi) 1.8 m (6 pi)
40 mm (1½ po) 10 mm (3/8 po) 2.7 m (9 pi) 2.4 m (8 pi)
50 mm (2 po) 10 mm (3/8 po) 3.0 m (10 pi) 2.7 m (9 pi)
65 mm (2½ po) 15 mm (½ po) 3.0 m (10 pi) 3.0 m (10 pi)
75 mm (3 po) 15 mm (½ po) 3.0 m (10 pi) 3.0 m (10 pi)
90 mm (3½ po) 15 mm (½ po) 3.0 m (10 pi) 3.0 m (10 pi)
100 mm (4 po) 18 mm (5/8 po) 3.0 m (10 pi) 3.0 m (10 pi)
125 mm (5 po) 18 mm (5/8 po) 3.0 m (10 pi) 3.0 m (10 pi)
150 mm (6 po) 20 mm (¾ po) 3.0 m (10 pi)
200 mm (8 po) 23 mm (7/8 po) 3.0 m (10 pi)
250 mm (10 po) 23 mm (7/8 po) 3.0 m (10 pi)
300 mm (12 po) 23 mm (7/8 po) 3.0 m (10 pi)
A. Décaler les éléments d'ancrage des suspensions de manière que les tiges de suspension soient bien
droites lorsque le réseau est en service.
B. Régler la hauteur des tiges de suspension de manière que la charge soit uniformément répartie entre les
supports/suspensions.
A. Appliquer aux étriers, supports et pièces en métal ferreux non galvanisé deux couches de revêtement
prémélangé riche en zinc organique.
PARTIE 3 - EXÉCUTION.......................................................................................................... 15
3.01 INSPECTION.................................................................................................................................15
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières, ainsi que les Sections de spécification de la Division 01.
1.02 SOMMAIRE
A. Cette Section est un devis de performance en ce qui concerne les éléments suivants :
1. Calculs, conception et vérification des dispositifs de retenue parasismiques pour l’ensemble des
travaux de la Division 23. Il est obligatoire de mandater un ingénieur à ces fins. Se référer à
l’article « Services d’un ingénieur ».
B. Qualifications
1. L’ingénieur, ci-après nommé « l’ingénieur qualifié », doit être un membre en règle de l’OIQ,
spécialisé et reconnu dans le domaine de la protection sismique des composants fonctionnels et
opérationnels des bâtiments. Il doit bien connaître les normes référencées dans cette Section et
les prescriptions de la Partie 4 du CCQ relatives au calcul des dispositifs de retenue
parasismiques.
2. Fournir, sur demande, le curriculum vitae de l’ingénieur qualifié.
1.05 RÉFÉRENCES
D. CCQ : Code de construction du Québec – Chapitre 1, Bâtiment, et Code national du bâtiment – Canada
2005 (modifié).
J. OSHPD: Office of Statewide Health Planning and Development for the State of California.
C. Bâtiments existants : installer des dispositifs parasismiques sur les nouveaux équipements comme s’il
s’agissait de bâtiments neufs.
C. Documents concernant la conception comme suit : pour les détails des dispositifs antivibratoires et de
retenue parasismique devant être conformes aux exigences de performance et critères de conception, y
compris les données d’analyse signées par l’ingénieur qualifié responsable de leur préparation.
1. Calculs de conception : calculer les charges statiques et dynamiques dues au poids et au
fonctionnement de l’équipement, les forces sismiques et de vent permettant le choix des isolateurs
de vibration, des dispositifs de retenue parasismiques et contre le vent et la conception des bases
antivibratoires.
a. Coordonner les calculs de conception avec les calculs des charges de vent prescrites pour les
équipements installés à l’extérieur. Se conformer aux exigences des autres Sections de la
Division 23 relatives aux équipements installés à l’extérieur.
2. Détails des bases antivibratoires : donner les détails au sujet des dimensions hors-tout, y compris
les ancrages et fixations à la structure et aux appareils supportés. Inclure les glissières auxiliaires
de guidage des moteurs, le poids des socles, les charges statiques des équipements, et les
charges de transmission de puissance, de désalignement des composants, et de porte-à-faux.
3. Détails des dispositifs de retenue parasismiques et contre le vent :
a. Analyse de la conception : a pour but de corroborer le choix et l’agencement des dispositifs de
retenue parasismiques et contre le vent. Inclure les calculs des charges de traction et de
cisaillement combinées.
b. Détails : détails de fabrication et d’agencement. Donner les détails des fixations des
dispositifs de retenue aux composants retenus et à la structure. Montrer les emplacements
des points de fixation, leur espacement et les méthodes employées. Identifier les
composants, énumérer leur résistance et indiquer le sens et les valeurs des forces transmises
à la structure lors d’un tremblement de terre. Montrer l’association avec les dispositifs
antivibratoires.
c. Coordonner les détails des dispositifs de retenue parasismiques et antivibratoires, ainsi que
ceux prévus pour résister au vent, dans le cas des équipements installés à l’extérieur. Se
conformer aux exigences des autres Sections de la Division 23 relatives aux équipements
installés à l’extérieur.
d. Documentation d’évaluation et d’approbation préalable : par un membre d’un service
d’évaluation de l’ICC-ES, de l’OSHPD ou d’une agence agréée par les autorités de juridiction,
faisant apparaître les caractéristiques maximales de chaque dispositif de retenue et les
éléments sur lesquels repose l’approbation (essais ou calculs).
B. Certificats en soudage.
C. Données de qualification : pour l’ingénieur qualifié; se référer à l’article « Services d’un ingénieur ».
A. Les éléments doivent être soumis avant l’acceptation provisoire des travaux.
B. Fournir les fiches d'exploitation et d'entretien requises et les joindre au manuel mentionné à la
Section 01 78 00 – Éléments à soumettre à l’achèvement des travaux.
C. Rapports de vérification et d’essais de contrôle de la qualité sur place. Se référer à l’article « Contrôle
de la qualité sur place » de la Partie 3.
D. Certificats de conformité.
1. L’ingénieur qualifié doit produire et signer des certificats de conformité aux étapes suivantes :
a. À l’achèvement des travaux dissimulés ;
b. À l’achèvement de l’ensemble des travaux.
1) Le certificat doit attester :
A) Que la totalité des travaux de la Division 23 est conforme aux exigences du CCQ en
matière de protection contre les charges dues aux séismes et les charges de vent.
B) Que tous les dispositifs de retenues parasismiques sont conformes aux exigences
de cette Section ainsi qu’aux dessins d’ateliers soumis et revues.
A. Se conformer aux exigences du CCQ en matière de protection sismique, sauf dans le cas où les
exigences de la présente Section sont plus rigoureuses.
B. Soudage : déterminer les procédures et habiliter le personnel selon l’AWS D1.1/D1.1M, « Structural
Welding Code - Steel. »
C. Les dispositifs de retenue parasismiques doivent être soumis à des essais et analyses de charges
horizontales et verticales et doivent porter un numéro OPA d’approbation préalable de l’ancrage de
l’OSHPD, avoir l’approbation préalable de l’ICC-ES, ou une approbation préalable d’un autre organisme
agréé par les autorités de juridiction, faisant apparaître les caractéristiques maximales des dispositifs de
retenue parasismiques. Les caractéristiques reposant sur des essais indépendants sont préférables à
celles provenant de calculs. Dans le cas où l’on ne dispose pas de caractéristiques pré-approuvées, les
données basées sur des essais indépendants sont préférables. Les calculs (comprenant les calculs des
charges de traction et de cisaillement combinées) venant à l’appui des conceptions des dispositifs de
retenue parasismiques doivent être signés par l’ingénieur qualifié.
PARTIE 2 - PRODUITS
A. Fabricants : sous réserve de leur conformité au devis, les produits seront fournis par l’un des fabricants
suivants :
1. Ace Mountings Co., Inc.
2. Amber/Booth Company, Inc.
3. California Dynamics Corporation.
4. Isolation Technology, Inc.
5. Kinetics Noise Control.
6. Mason Industries.
7. Vibration Eliminator Co., Inc.
8. Vibration Isolation.
9. Vibration Mountings & Controls, Inc.
B. Type CE-1 : Patins amortisseurs : disposés en couches simples ou multiples de rigidité suffisante pour
que la charge se répartisse uniformément sur la surface des patins, moulés avec une texture
antidérapante et munis de plaques d’assise en acier galvanisé, et découpés en usine afin de s’adapter
aux caractéristiques de l’équipement à supporter.
1. Matériaux résilients : Néoprène, caoutchouc ou fibre de verre comprimée étanche résistant à l’huile
et à l’eau.
Type CE-1
C. Type IR-2 : Isolateurs à ressort parasismiques : isolateurs à ressort ouverts en acier, autoporteurs, avec
dispositifs de retenue parasismique ou butées de fin de course.
1. Boîtier : en acier avec butées de fin de course verticale élastiques destinées à empêcher
l’allongement du ressort en cas de retrait de la charge, plaque d’assise percée en usine collée à un
patin amortisseur en néoprène ou en caoutchouc d’une épaisseur de 6 mm (1/4 po), fixé à la face
inférieure de la plaque d’assise; et avec dispositifs ajustables de montage de l’équipement et
boulon de mise à niveau servant de blocage pendant l’installation.
2. Dispositif de retenue : dispositif parasismique ou butée de fin de course tel qu’exigé pour
l’équipement et par les autorités de juridiction.
3. Diamètre extérieur des ressorts : ne doit pas être inférieur à 80 % de la hauteur du ressort
comprimé sous la charge nominale.
4. Course supplémentaire minimale : 50 % de la déflexion spécifiée sous la charge nominale.
5. Rigidité latérale : supérieure à 80 % de la rigidité verticale nominale.
6. Capacité de surcharge : doit pouvoir supporter 200 % de la charge nominale, complètement
comprimé, sans déformation ou défaillance.
Type IR-2
D. Type PR-2 : Pendards à ressorts avec butée de fin de course verticale : Pendard à combinaison de
ressort hélicoïdal et pièce rapportée en élastomère avec ressort et pièce rapportée en compression, et
avec une butée de fin de course verticale.
1. Monture : en acier, conçue pour raccordement à des tiges de suspension filetées et autorisant un
désalignement angulaire maximal de 30 degrés de ces tiges sans coincement ou diminution de
l’efficacité d’amortissement.
2. Diamètre extérieur des ressorts : ne doit pas être inférieur à 80 % de la hauteur du ressort
comprimé sous la charge nominale.
3. Course supplémentaire minimale : 50 % de la déflexion spécifiée sous la charge nominale.
4. Rigidité latérale : supérieure à 80 % de la rigidité verticale nominale.
5. Capacité de surcharge : doit pouvoir supporter 200 % de la charge nominale, complètement
comprimé, sans déformation ou défaillance.
6. Élément en élastomère : élément moulé en caoutchouc ou en néoprène résistant à l’huile.
7. Butée verticale réglable : rondelle en acier avec rondelle en néoprène de « butée haute » située sur
la tige filetée inférieure.
8. Capuchon de tige de suspension auto-centreur assurant la concentricité de la tige de suspension et
du ressort hélicoïdal de supportage.
Type PR-2
E. Type CM-1 : Supports élastiques de colonnes montantes : ancrage de tuyauterie du type acoustique
multidirectionnel, se composant de deux tubes en acier séparés par un élément en néoprène d’une
épaisseur minimale de 13 mm (1/2 po). Prévoir des butées de fin de course verticales en acier et en
néoprène disposées de façon à s’opposer au déplacement vertical dans les deux sens. Le support devra
être conçu pour une charge maximale de 3,45 MPa (500 psig) sur le matériau isolant et aura une
résistance égale dans toutes les directions.
F. Type CM-2 : Guides élastiques de colonnes montantes : montage télescopique de deux tubes en acier,
ou ensemble tige et manchon, séparés par un élément en néoprène d’une épaisseur minimale de
13 mm (1/2 po). Dans les cas où les dégagements (espaces) ne sont pas facilement visibles, on devra
poser un guide de hauteur réglé en usine comportant une goupille de cisaillement pour permettre le
mouvement vertical dû à la dilatation et au retrait de la tuyauterie. La goupille de cisaillement pourra être
démontée et remise en place pour permettre le choix du déplacement de la tuyauterie. Les guides
devront pouvoir accommoder le mouvement de la tuyauterie de façon à remplir les exigences relatives à
leur emplacement.
A. Fabricants : sous réserve de leur conformité aux spécifications, les produits seront fournis par l’un des
fabricants suivants :
1. Amber/Booth Company, Inc.
2. California Dynamics Corporation.
3. Isolation Technology, Inc.
4. Kinetics Noise Control.
5. Mason Industries.
6. Vibration Eliminator Co., Inc.
7. Vibration Isolation.
8. Vibration Mountings & Controls, Inc.
B. Type BA-1 : Bases d’acier : bases et rails en acier de construction soudé fabriqués en usine.
1. Exigences de conception : hauteur de montage la plus faible possible avec espace minimal de
25 mm (1 po) au-dessus du plancher. Prévoir les boulons d’ancrage de l’équipement et les socles
des glissières auxiliaires de guidage des moteurs.
2. Acier de construction : profilés, tôles et barres d’acier conformes à la norme ASTM A 36/A 36M.
Les bases doivent avoir une forme adaptée à l’équipement supporté.
3. Ferrures supports : ferrures en acier soudées en usine sur bâti pour supports antivibratoires en
saillie et prévues pour boulons d’ancrage et support des équipements.
C. Type BA-2 : Bases d’inertie : socles et rails en acier de construction soudé fabriqués en usine, prêts à
être installés pour recevoir du béton coulé sur place.
1. Exigences de conception : hauteur de montage la plus faible possible avec espace minimal de 25
mm (1 po) au-dessus du plancher. Prévoir les boulons d’ancrage de l’équipement et les socles des
glissières auxiliaires de guidage des moteurs.
a. Inclure les supports pour les coudes d’aspiration et de refoulement des pompes.
2. Acier de construction : profilés, tôles et barres d’acier conformes à la norme ASTM A 36/A 36M.
Les bases doivent avoir une forme adaptée à l’équipement supporté.
3. Ferrures supports : ferrures en acier soudées en usine sur bâti pour supports antivibratoires en
saillie et prévues pour boulons d’ancrage et support des équipements.
4. Fabrication : fabriquer des gabarits en acier destinés à maintenir en place les coquilles des boulons
d’ancrage et les ancrages de l’équipement lors du coulage du béton. Se procurer les gabarits des
boulons d’ancrage auprès du fabricant de l’équipement supporté.
A. Fabricants : sous réserve de leur conformité aux spécifications, les produits seront fournis par l’un des
fabricants suivants :
1. Amber/Booth Company, Inc.
2. California Dynamics Corporation.
3. Cooper B-Line, Inc.; a division of Cooper Industries.
4. Hilti, Inc.
5. Kinetics Noise Control.
6. Loos & Co.; Cableware Division.
7. Mason Industries.
8. TOLCO Incorporated; a brand of NIBCO INC.
9. Unistrut; Tyco International, Ltd.
B. Exigences générales pour les dispositifs de retenue : les résistances nominales, caractéristiques et
applications devront être telles que définies dans les rapports d’un membre d’un service d’évaluation de
l’ICC-ES, de l’OSHPD ou d’une agence agréée par les autorités de juridiction.
C. Type CV-1 : Contrevents à profilés en U : contrevents fabriqués en usine ou sur place, conformes à la
norme MFMA-4, composés de profilés en U à fentes en acier; les supports sont munis à une extrémité
d’accessoires de fixation à un composant de contreventement et, à l’autre extrémité, d’accessoires de
fixation à la structure du bâtiment ainsi que d’autres composants assortis; les supports sont protégés par
un revêtement résistant à la corrosion et ils doivent avoir la résistance à la tension, à la compression et
à la torsion spécifiées.
D. Type CR-1 : Câbles de retenue ASTM A 603 galvanisé à l’intérieur et ASTM A 492 acier inoxydable à
l’extérieur ou dans les environnements corrosifs - câbles d’acier avec raccords d’extrémité fait
d’ensembles en acier comprenant cosses, fixations, tourillon et boulons conçus pour service avec câbles
de retenue, et comportant au moins deux boulons de serrage pour l’accrochage du câble.
E. Type RT-1 : Raidisseur de tige de suspension : tuyau d’acier ou manchon de supportage en acier à
fentes avec fixations intérieures boulonnées à la tige de suspension; ou cornière de renforcement en
acier fixée à la tige de suspension.
F. Type DR-1 : Douilles pour boulons d’ancrage des équipements montés au sol : douilles en néoprène
pour supports rigides des équipements et assorties aux types et dimensions des boulons et goujons
d’ancrage.
G. Type DR-2 : Douilles pour ancrage des équipements montés au mur : éléments en néoprène et
manchons en acier prévus pour les supports rigides des équipements et assortis aux types et
dimensions des dispositifs de fixation utilisés.
I. Boulons d’ancrage mécaniques : du type à pré-perçage, à goujon en biseau ou à cône femelle, en acier
galvanisé pour utilisation à l’intérieur, et en acier inoxydable pour utilisation à l’extérieur. Choisir les
boulons d’ancrage ayant la résistance prescrite pour l’ancrage selon essais suivant la norme
ASTM E 488. Longueur minimale égale à huit fois le diamètre.
J. Boulons d’ancrage adhésifs : système d’ancrage à pré-perçage et à capsule contenant une résine
polyvinylique ou à base d’uréthane méthacrylate et un accélérateur, ou à adhésif polymérique ou en
mortier hybride injecté. Fournir les boulons d’ancrage et accessoires en acier galvanisé pour utilisation
à l’intérieur et en acier inoxydable pour utilisation à l’extérieur. Choisir les boulons d’ancrage ayant la
résistance prescrite pour l’ancrage selon essais suivant la norme ASTM E 488.
A. Finition : peinture standard du fabricant appliquée avant expédition aux équipements assemblés et
essayés en usine.
1. Revêtement en poudre sur les ressorts et les boîtiers.
2. Les accessoires devront être galvanisés. Les composants pour emploi à l’extérieur devront être
galvanisés à chaud.
3. Émail cuit ou revêtement en poudre pour les composants métalliques des isolateurs employés à
l’intérieur.
4. Code couleur ou autre repérage des isolateurs de vibrations et dispositifs parasismiques et contre
le vent indiquant la gamme de capacités.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
3.01 INSPECTION
A. Inspecter les zones et les équipements devant recevoir les isolateurs de vibration et dispositifs
parasismiques et contre le vent pour en vérifier la conformité aux exigences de tolérances d’installation
et autres conditions pouvant affecter le comportement des isolateurs et dispositifs.
B. Inspecter l’installation primaire des renforcements et des ancrages coulés sur place afin de vérifier les
emplacements réels avant installation.
C. Ne procéder à l’installation que lorsque les conditions non satisfaisantes ont été corrigées.
3.02 APPLICATIONS
A. Supports de tuyauteries multiples : fixer les tuyauteries aux membrures trapézoïdales à l’aide de colliers
de serrage approuvés pour l’application par un membre d’un service d’évaluation de l’ICC-ES, l’OSHPD
ou une agence agréée par les autorités de juridiction.
B. Raidisseurs de tiges de suspension : installer des raidisseurs de tiges de suspension lorsqu’ils sont
nécessaires pour empêcher le flambage des tiges de suspension sous l’action des forces sismiques.
C. Résistance des supports et dispositifs de retenue parasismiques : lorsqu’il n’existe aucune indication,
choisir les tailles des composants de façon à ce que leur résistance soit suffisante pour supporter les
charges statiques et sismiques actuelles et futures dans les limites de charges spécifiées.
A. Se conformer aux exigences de la Division 07 pour l’installation des rails pour montage sur toiture, des
supports d’équipements et des éléments traversant le toit.
3. Prévoir un support avec contreventement sur tout changement de direction de longueur supérieure
à 3,7 (12 pieds).
D. Installer les câbles de façon à ce qu’ils ne fléchissent pas sur les angles de l’équipement voisin ou de la
structure du bâtiment.
E. Installer des dispositifs de retenue parasismiques en employant les méthodes approuvées par un
membre d’un service d’évaluation de l’ICC-ES, l’OSHPD ou une agence agréée par les autorités de
juridiction et en soumettant pour vérification les documents requis pour le composant. Se référer à
l’article « Éléments à soumettre pour action ».
F. Installer les douilles pour boulons d’ancrage des équipements montés au sol de façon à pouvoir installer
un matériau résilient entre le boulon d’ancrage et le trou de fixation dans la base en béton.
G. Installer les douilles pour boulons de fixation des équipements montés au mur de façon à pouvoir
installer un matériau résilient à l’endroit où l’équipement ou les profilés de montage de l’équipement sont
fixés au mur.
H. Fixation à la structure : si un type spécifique de fixation n’est pas indiqué, fixer le contreventement à la
structure aux ailes de poutres, aux membrures supérieures des fermes de poutres en treillis, ou aux
éléments de béton.
I. Ancrages à pré-perçage :
1. Les boulons d’ancrage du type à expansion ne sont pas autorisés pour les équipements non isolés
d’une puissance supérieure à 10 hp (7,46 kW).
2. Repérer la position de l’acier d’armature ou de tout élément encastré avant de procéder au perçage
des trous pour ancrages. Ne pas endommager l’acier d’armature ou les éléments encastrés lors du
carottage ou du perçage. Avertir l’Ingénieur en structure si l’on rencontre de l’acier d’armature ou
autres éléments encastrés lors du perçage. Localiser et éviter les armatures de précontrainte, les
conduits électriques et de télécommunications, ainsi que les conduites de gaz.
3. Ne pas percer de trous dans le béton ou la maçonnerie avant que le béton, le mortier ou le coulis
n’ait atteint sa pleine résistance de conception.
4. Ancrages à expansion : protéger le filetage contre l’endommagement lors de l’installation de
l’ancrage. Installer les ancrages à coquille renforcée en engageant complètement la coquille dans
l’élément de structure auquel l’ancrage doit être fixé.
5. Ancrages adhésifs : nettoyer les trous pour faire disparaître les matériaux inconsistants et la
poussière de perçage avant de mettre en place l’adhésif. Mettre l’adhésif dans les trous en
commençant par le fond et en remontant progressivement vers la surface de façon à empêcher la
formation de poches d’air dans l’adhésif.
6. Serrer les ancrages au couple recommandé par le fabricant, en se servant d’une clé
dynamométrique.
7. Installer les ancrages galvanisés à l’intérieur et ceux en acier inoxydable pour les applications
extérieures.
A. Installer des raccordements flexibles dans les tuyauteries aux endroits où elles traversent des joints
sismiques, aux endroits où des sections ou embranchements adjacents sont supportés par des
éléments de structure différents, et lorsque le dernier raccordement se trouve sur un équipement ancré
à un élément de structure différent de celui supportant les raccordements en amont de cet équipement.
Se conformer aux exigences des différentes Sections de la Division 23 traitant des tuyauteries pour
l’installation des raccordements flexibles.
B. Essais et inspections :
1. Effectuer les essais et inspections sous la supervision et en présence de l’ingénieur qualifié.
2. Fournir les preuves qu’un étalonnage de l’appareillage d’essai a été récemment effectué par un
organisme d’essais agréé par les autorités de juridiction.
3. Programmer les essais avec le Propriétaire, par l’intermédiaire de l’Ingénieur, avant de raccorder
un dispositif d’ancrage au composant qu’il retient (à moins que les essais après raccordement
n’aient été approuvés) et ce, après notification donnée au moins sept jours à l’avance.
4. Obtenir l’approbation de l’Ingénieur avant d’appliquer les charges d’essais à la structure. Prévoir
des membrures temporaires de répartition des charges.
5. Procéder aux essais sur au moins quatre ancrages et attaches de chaque type et taille installés et
ce, au choix de l’Ingénieur.
6. Effectuer les essais à 90 % de la charge d’épreuve nominale de chaque dispositif.
7. Mesurer le dégagement du dispositif isolant de retenue.
8. Mesurer la déflexion des isolateurs.
9. Vérifier les dégagements minimaux des limiteurs de débattement.
10. Dans le cas où un des dispositifs fait défaut, modifier toutes les installations du même type et
procéder à de nouveaux essais jusqu’à l’obtention de résultats satisfaisants.
11. L’ingénieur qualifié doit préparer les rapports d’essais et d’inspection et les remettre à l’Ingénieur.
3.06 RÉGLAGES
A. Régler les isolateurs après que le système de tuyauterie ait atteint son poids en ordre de marche.
B. Régler les butées de fin de course sur les isolateurs à ressort à retenue de façon à installer l’équipement
à sa hauteur normale d’exploitation. Après installation complète des matériels, régler les butées de fin
de course de façon à ce qu’elles ne viennent pas au contact en service normal.
D. Ajuster les dispositifs de retenue de façon à ce que les équipements puissent se déplacer librement en
mode de fonctionnement normal.
Identification de Emplacement de
Épaisseur
Déflexion
minimale
l’équipement l’équipement
Nombre
statique
(mm)
(mm)
Type
Type
Type
PO1 S. mécanique, 3e étage IR-2 40 BA-2 (1)
PO2 S. mécanique, 3e étage IR-2 40 BA-2 (1)
PO3 S. mécanique, 3e étage IR-2 40 BA-2 (1)
PO4 S. mécanique, 3e étage IR-2 40 BA-2 (1)
PO5 S. mécanique, 3e étage IR-2 40 BA-2 (1)
PO6 S. mécanique, 3e étage IR-2 40 BA-2 (1)
PO7 S. mécanique, 3e étage IR-2 40 BA-2 (1)
(1) : Inclure les supports pour les coudes d’aspiration et de refoulement des pompes.
(2) : 65 au duromètre
(3) : Découper le patin pour épouser la forme de la base ou de la margelle tout en assurant l’étanchéité à l’air.
(4) : Dimensionner la base pour recevoir un module de refroidisseur supplémentaire. Fixer temporairement sur la base un
contrepoids équivalent au poids du futur module.
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 6
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières, ainsi que les Sections de spécification de la Division 01.
B. Échantillons : soumettre les échantillons et la liste des légendes avant de faire graver les inscriptions.
A. Exécution des travaux : selon la norme CAN/CGSB 24.3-92, à moins d’indication contraire.
B. Faire exécuter les travaux de peinture par des ouvriers qualifiés titulaires d’un « Certificat de
compétence d’homme de métier ». Se conformer aux exigences des Sections de la Division 09 qui
concernent les travaux de peinturage.
PARTIE 2 - PRODUITS
A. Chaque pièce d'équipement doit être munie d'une plaque signalétique en métal, fixée mécaniquement et
comportant un lettrage en saillie ou en retrait.
B. Les plaques doivent indiquer ce qui suit : modèle, nom du fabricant, numéro de série, tension, fréquence
du courant d'alimentation, nombre de phases et puissance du moteur.
A. Couleurs
1. Matières dangereuses : lettrage rouge sur fond blanc.
2. Autres matières : lettrage noir sur fond blanc (sauf indication contraire dans le code pertinent).
B. Construction
1. Caractéristiques générales : 3 mm d'épaisseur, en plastique laminé ou en aluminium anodisé
blanc, fini mat, coins équarris, lettres alignées avec précision et gravées à la machine jusque dans
l'âme.
C. Dimensions
1. Conformes au tableau ci-dessous.
2.03 PEINTURE
2.05 TUYAUTERIE
1. Identifier le fluide véhiculé au moyen d'une légende lettrée et de couleurs de classification primaire
et secondaire, et indiquer le sens d'écoulement du fluide au moyen de flèches.
B. Dimensions
1. Légende : lettres majuscules de dimensions suivantes.
C. Matériaux
a. Ruban pour légendes et bandes de couleurs pour flèches : toile dont l'extérieur enduit de
plastique forme une couche protectrice et dont l'endos comporte un adhésif de contact
hydrofuge conçu pour résister à une humidité relative de 100 %, à une chaleur constante de
150 °C et à une chaleur intermittente de 200 °C. Poser le ruban ou les bandes sur des
surfaces préparées à cette fin. Enrouler le ruban autour du tuyau en faisant chevaucher les
extrémités sur une longueur équivalent au diamètre du tuyau.
b. Étiquettes de repérage en plastique hydrofuge et résistant à la chaleur, attachées aux tubes et
tuyaux de 20 mm ou moins de diamètre nominal.
c. Produit(s) acceptable(s) : W.H. Brady Inc.
D. Légende et couleurs
1. Identification de la tuyauterie et des robinets/vannes
Couleur du
Légende pour
Légende pour repère Couleur Couleur tuyau
étiquette de
de tuyauterie primaire secondaire lorsque
robinetterie
peinturé
Alimentation – Eau de ALIM. EAU CHAUF. Jaune Noir Brun pâle
chauffage (……ºC) RAL3012
Retour – Eau de RET. EAU CHAUF. Jaune Noir Brun pâle
chauffage RAL3012
Alimentation – Eau ALIM. EAU Vert Aucune Bleu pâle
refroidie REFROID. RAL5012
Retour – Eau refroidie RET. EAU Vert Aucune Bleu pâle
REFROID. RAL5012
Alimentation – Eau ALIM. EAU COND. Vert Noir Bleu foncé
condenseur RAL 5010
Retour – Eau RET. EAU COND. Vert Noir Bleu foncé
condenseur RAL 5010
Alimentation – Eau ALIM. EAU GLYC. Jaune Noir Jaune clair
glycolée (…….ºC) RAL1016
Retour – Eau glycolée RET. EAU GLYC. Jaune Noir Jaune clair
(…….ºC) RAL1016
Vapeur (…….kPa) VAP (…….kPa) Jaune Noir Orange
RAL2008
Retour – Condensat RET. CONDENSAT Jaune Noir Orange pâle
RAL1028
Gaz naturel (…….kPa) « GAZ NATUREL » Jaune Aucune Jaune
RAL1026
Évent de vapeur ÉVENT VAP. Jaune Noir Beige
RAL1011
Évent de gaz ÉVENT GAZ Jaune Noir Jaune
RAL1026
Purge PURGE Jaune Noir Selon
l’application
2. Légendes et flèches
a. De couleur noire ou blanche, contrastante par rapport à la couleur primaire.
E. Gaz naturel
1. Peinturer tout le réseau incluant les endroits dissimulés. Supprimer la légende et les flèches
seulement lorsqu'il n'y a pas de risque d'une mauvaise identification, et avec l'approbation des
autorités compétentes.
B. Fournir à l'Ingénieur, pour chacun des réseaux, six schémas de fonctionnement, de format approuvé, y
compris une liste d'étiquetage précisant le numéro de désignation des robinets/vannes, le réseau, la
fonction et l'emplacement de chaque élément étiqueté, ainsi que la position normale de fonctionnement
des robinets/vannes.
A. Lettres de 50 mm de hauteur et flèches indiquant le sens d'écoulement des fluides; 150 mm de longueur
x 50 mm de hauteur, de couleur noire, marquées au pochoir.
A. Les inscriptions servant à l'identification des systèmes et des éléments doivent être rédigées en français.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
A. Placer les plaques de manière qu'on puisse les lire facilement. Elles ne doivent pas être peinturées ni
recouvertes de calorifuge.
A. Emplacements
1. Les plaques doivent identifier clairement les appareils et les réseaux de canalisations de manière
appropriée, et elles doivent être posées à des endroits où elles seront bien en vue, pour en faciliter
la lecture à partir du plancher.
2. Sur les surfaces chauffées ou calorifugées, fournir des cales d'espacement et les poser sous les
plaques d'identification.
3.03 TUYAUTERIE
6. Placer la légende de manière qu'on puisse la lire facilement à partir des aires d'exploitation
habituelles et de tous les points facilement accessibles.
7. Positionner les légendes perpendiculairement à la ligne de vision la plus pratique en tenant compte
de l'endroit où se trouve habituellement le personnel d'exploitation, des conditions d'éclairage, de la
visibilité réduite des couleurs ou légendes causée par la poussière et la saleté, ainsi que du risque
d'accidents aux personnes appelées à les lire.
A. Fixer des étiquettes au moyen de chaînettes ou de crochets « S » fermés en métal non ferreux sur les
robinets/vannes et les régulateurs, sauf sur les appareils de plomberie et de chauffage, sauf s'ils sont à
proximité et à la vue du matériel auquel ils sont reliés.
A. Tous les appareils de mécanique fournis et installés seront identifiés avec des plaques en bakelite gris.
Les plaques seront vissées sur ou au-dessus de l’équipement et l’inscription dénotera le système auquel
l’équipement appartient et sa fonction.
A. Poser une plaque d'identification des conduits d'air aux endroits suivants :
1. Sur les longs conduits placés dans les aires ouvertes, chaufferies, salles d'équipement, gaines
techniques et tunnels, de manière qu'il y ait au moins une plaque qu'on puisse voir facilement à
partir de n'importe quel endroit situé dans les aires d'exploitation ou allées. Poser des plaques à
intervalles n'excédant pas 17 m.
2. Près de chaque endroit où un conduit change de direction.
3. Dans chaque petite pièce où passe un conduit (au moins une plaque).
4. De chaque côté des obstacles visuels ou aux endroits où il est difficile de suivre le tracé des
conduits.
5. De chaque côté de toute séparation comme, par exemple, des murs, planchers ou cloisons.
6. Aux endroits où les conduits sont dissimulés dans un caniveau, une gaine technique, ou autre
espace restreint, aux points d'entrée et de départ, et près de chaque ouverture d'accès.
7. Aux points de départ et d'arrivée de chaque conduit, et près de chaque pièce d'équipement.
8. Immédiatement en amont des principaux registres à commande manuelle ou automatique. Lorsque
cela n'est pas possible, poser la plaque d'identification le plus près possible du registre, de
préférence du côté amont.
9. Placer la légende de manière qu'on puisse la lire facilement à partir des aires d'exploitation
habituelles et de tous les points facilement accessibles.
10. Positionner les légendes perpendiculairement à la ligne de vision la plus pratique, en tenant compte
de l'endroit où se trouve habituellement le personnel d'exploitation, des conditions d'éclairage, de la
visibilité réduite des couleurs ou légendes causée par la poussière et la saleté ainsi que du risque
d'accidents aux personnes appelées à les lire.
11. Poser une plaque près de chaque trappe ou porte d'accès aux conduits.
12. Marquer les plaques au pochoir sur le fini définitif seulement.
3.07 PEINTURAGE
1.02 GÉNÉRALITÉS................................................................................................................................3
1.08 REVUE DES TERMES DES DOCUMENTS CONTRACTUELS RELATIFS AUX OPÉRATIONS D 'ERE ...............4
1.10 FONCTIONNEMENT DES APPAREILS ET DES SYSTÈMES PENDANT LES OPÉRATIONS D 'ERE .................4
1.13 ÉCARTS ENTRE LES VALEURS MESURÉES ET LES VALEURS RÉELLES .................................................5
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 6
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières, ainsi que les Sections de spécification de la Division 01.
1.02 GÉNÉRALITÉS
A. Les opérations d'ERE sont des opérations d'essai, de réglage et d'équilibrage destinées à assurer aux
différents systèmes un fonctionnement conforme aux exigences énoncées dans les documents
contractuels. Les opérations d'ERE comprennent également tous les autres travaux décrits dans cette
Section.
A. Dans les dix jours suivant l'attribution du contrat, soumettre à l'approbation de l'Ingénieur la liste des
personnes qui seront chargées d'effectuer les opérations d'ERE.
A. Les opérations d’ERE doivent être exécutées par l’un des entrepreneurs suivants :
1. Caltech.
2. Hydraulique R & O.
3. S.M. Leblanc.
A. Faire l'essai des systèmes pour vérifier s'ils fonctionnent de façon sûre et appropriée, pour déterminer le
point réel de fonctionnement et pour évaluer la performance qualitative et quantitative des appareils, des
systèmes et des dispositifs de commande/régulation connexes et ce, à charge nominale, à charge
moyenne ou à faible charge, la charge étant réelle ou simulée.
B. Régler les appareils et les systèmes de manière à ce qu'ils répondent aux exigences de performance
prescrites et à ce qu'ils puissent interagir de la façon prescrite avec les autres systèmes connexes et ce,
dans des conditions de charge et de fonctionnement normal et de secours.
C. Équilibrer les appareils et les systèmes de manière à ce que le débit corresponde à la charge sur toute
la plage de fonctionnement.
1.06 EXCEPTIONS
A. L'essai, le réglage et l'équilibrage des appareils et des systèmes régis par des normes ou des codes
particuliers doivent être effectués à la satisfaction des autorités de juridiction.
A. Prévoir du temps, à l'intérieur du calendrier des travaux de construction, pour les opérations d'essai, de
réglage et d'équilibrage des systèmes (y compris les réparations et les reprises d'essai), lesquelles
devront être terminées avant la réception des travaux.
B. Mettre à l'essai, régler et équilibrer chaque système distinct, puis chaque système en relation avec les
systèmes connexes, dans le cas des systèmes asservis.
1.08 REVUE DES TERMES DES DOCUMENTS CONTRACTUELS RELATIFS AUX OPÉRATIONS D'ERE
A. Revoir les documents contractuels avant le début des travaux de construction et confirmer par écrit à
l'Ingénieur que le matériel fourni pour l'exécution des opérations d'ERE des appareils et des systèmes
est approprié, de même que tous les autres aspects de l'installation.
B. Revoir les normes et autres documents de référence prescrits et informer l'Ingénieur par écrit des
méthodes proposées dans les documents contractuels, qui diffèrent de celles décrites dans les normes
ou les documents de référence.
C. Pendant les travaux de construction, coordonner l'emplacement ainsi que l'installation des dispositifs,
des appareils, des accessoires, des ouvertures et des raccords de mesure nécessaires à l'exécution des
opérations d'ERE.
A. À moins d'indications contraires, suivre la procédure de mise en marche recommandée par le fabricant
des appareils et des systèmes.
B. Suivre toute procédure de mise en marche particulière prescrite ailleurs dans la Division 23.
1.10 FONCTIONNEMENT DES APPAREILS ET DES SYSTÈMES PENDANT LES OPÉRATIONS D'ERE
A. Faire fonctionner les appareils et les systèmes pendant le temps requis pour l'exécution des opérations
d'ERE et, selon les exigences de l'Ingénieur, pour la vérification des rapports d'ERE.
B. N'entreprendre les opérations d'ERE que lorsque le bâtiment est en grande partie utilisable, soit
lorsque :
1. L'installation des plafonds, des portes, des fenêtres et autres éléments de construction pouvant
influer sur le résultat des opérations est terminée.
2. La pose des produits de scellement et de calfeutrage ainsi que des coupe-bise est terminée.
3. Les essais de pression, d'étanchéité et autres essais prescrits dans d'autres Sections de la
Division 23 sont terminés.
4. Le matériel nécessaire à l'exécution des opérations d'ERE est installé et en bon état de
fonctionnement.
5. Les installations mécaniques et les systèmes électriques et de commande/régulation connexes
pouvant influer sur le résultat des opérations d'ERE ont été mis en marche et leur bon
fonctionnement a été vérifié, ce qui touche notamment la protection thermique du matériel
électrique contre les surcharges, en place.
A. Effectuer l'essai, le réglage et l'équilibrage des systèmes jusqu'à obtention de résultats ne présentant
pas plus que les écarts suivants, en plus ou en moins, par rapport aux valeurs théoriques.
1. Systèmes CVCA : plus ou moins 5 %.
A. Les valeurs mesurées doivent correspondre, à plus ou moins 2 % près, aux valeurs réelles.
A. Avant de commencer les opérations d'ERE, soumettre à l'Ingénieur une liste des instruments qui seront
utilisés, avec leur numéro de série.
C. Étalonner les instruments dans les trois (3) mois qui précèdent le début des opérations d'ERE. Fournir à
l'Ingénieur une attestation d'étalonnage.
A. La présentation du rapport doit être conforme aux exigences de la norme ou du document de référence
retenu, visant les opérations d'ERE.
B. Les résultats doivent être exprimés en unités SI dans le rapport, et ce dernier doit comprendre ce qui
suit :
1. Les dessins à verser au dossier du projet.
2. Les schémas de principe des systèmes visés.
C. Soumettre à l'Ingénieur, aux fins de vérification et d'approbation, trois exemplaires du rapport d'ERE, en
français, présentés dans des cahiers à anneaux « D » comportant des séparateurs à onglet.
A. Toutes les mesures enregistrées sont susceptibles d'être vérifiées par l'Ingénieur.
B. Prévoir la main-d’œuvre et les instruments nécessaires à la vérification d'au plus 30 % des mesures
enregistrées.
D. Reprendre les opérations d'essai, de réglage et d'équilibrage jusqu'à ce que les résultats satisfassent
l'Ingénieur, et assumer les frais de ces travaux.
1.18 RÉGLAGES
A. Une fois les opérations d'ERE terminées à la satisfaction de l'Ingénieur, replacer les carters
d'entraînement, fermer les portes et les trappes de visite, bloquer les dispositifs de réglage en position
de fonctionnement et vérifier si les sondes sont réglées aux points de consigne requis.
B. Marquer les positions de réglage de façon permanente ; ces dernières ne doivent pas être effacées ni
recouvertes d'aucune façon.
A. Les opérations d'ERE des systèmes ne seront considérées terminées que lorsque le rapport final aura
été approuvé par l'Ingénieur.
PARTIE 2 - PRODUITS
PARTIE 3 - EXÉCUTION
1.09 REVUE DES TERMES DES DOCUMENTS CONTRACTUELS RELATIFS AUX OPÉRATIONS D 'ERE ...............5
1.11 FONCTIONNEMENT DES APPAREILS ET DES SYSTÈMES PENDANT LES OPÉRATIONS D 'ERE .................5
1.14 ÉCARTS ENTRE LES VALEURS MESURÉES ET LES VALEURS RÉELLES .................................................6
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 8
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières, ainsi que les Sections de spécification de la Division 01.
1.02 SOMMAIRE
A. Les opérations d'ERE sont des opérations d'essai, de réglage et d'équilibrage destinées à assurer aux
différents systèmes un fonctionnement conforme aux exigences énoncées dans les documents
contractuels. Les opérations d'ERE comprennent également tous les autres travaux décrits dans cette
Section.
A. Faire l'essai des systèmes pour vérifier s'ils fonctionnent de façon sûre et appropriée, pour déterminer le
point réel de fonctionnement et pour évaluer la performance qualitative et quantitative des appareils, des
systèmes et des dispositifs de commande/régulation connexes et ce, à charge nominale, à charge
moyenne ou à faible charge, la charge étant réelle ou simulée.
B. Régler les appareils et les systèmes de manière à ce qu'ils répondent aux exigences de performance
prescrites et à ce qu'ils puissent interagir de la façon prescrite avec les autres systèmes connexes et ce,
dans des conditions de charge et de fonctionnement normal et de secours.
C. Équilibrer les appareils et les systèmes de manière à ce que le débit corresponde à la charge sur toute
la plage de fonctionnement.
D. L'essai, le réglage et l'équilibrage des appareils et des systèmes régis par des normes ou des codes
particuliers doivent être effectués à la satisfaction des autorités compétentes.
E. Procéder à l'essai, au réglage et à l'équilibrage des systèmes, des appareils, des éléments et des
dispositifs de commande/régulation prescrits dans la Division 23.
A. Rapport préliminaire
1. Avant de soumettre officiellement le rapport d’ERE à l’ingénieur, soumettre, aux fins de vérification
et d’approbation, un rapport préliminaire dans lequel doit être indiqué ce qui suit :
a. les détails concernant les instruments utilisés;
b. les détails concernant la méthode d’ERE employée;
c. les méthodes de calcul employées;
d. des récapitulations.
B. Rapport d'ERE
1. La présentation du rapport doit être conforme aux exigences de la norme ou du document de
référence retenu, visant les opérations d'ERE.
2. Les résultats doivent être exprimés en unités SI dans le rapport, et ce dernier doit comprendre ce
qui suit :
a. Les dessins à verser au dossier du projet.
b. Les schémas de principe des systèmes visés.
3. Soumettre à l'Ingénieur, aux fins de vérification et d'approbation, six (6) exemplaires du rapport
d'ERE, en français, présentés dans des cahiers à anneaux « D » comportant des séparateurs à
onglet.
B. Les opérations d'ERE doivent être exécutées conformément aux exigences les plus rigoureuses
énoncées dans la présente section ou dans les normes et les documents de référence pertinents de
l'AABC, du NEBB, de la SMACNA et de l'ASHRAE.
C. Les personnes chargées d'exécuter les opérations d'ERE doivent être des membres en règle de l'AABC
ou du NEBB et être habilitées à fournir les services prescrits, selon les normes de l'AABC ou du NEBB.
D. Les opérations d'ERE des systèmes doivent être effectuées sous la direction d'un surveillant reconnu
par l'AABC ou le NEBB et être habilité à fournir les services prescrits, selon les normes de l'AABC ou du
NEBB.
A. Les opérations d’ERE seront exécutées par l’un des entrepreneurs spécialisés suivants :
1. Caltech;
2. Hydraulique R & O;
3. S.M. Leblanc.
1.08 COORDINATION
A. Prévoir du temps, à l'intérieur du calendrier des travaux de construction, pour les opérations d'essai, de
réglage et d'équilibrage des systèmes (y compris les réparations et les reprises d'essai), lesquelles
devront être terminées avant la réception des travaux.
B. Mettre à l'essai, régler et équilibrer chaque système distinct, puis chaque système en relation avec les
systèmes connexes, dans le cas des systèmes asservis.
1.09 REVUE DES TERMES DES DOCUMENTS CONTRACTUELS RELATIFS AUX OPÉRATIONS D'ERE
A. Revoir les documents contractuels avant le début des travaux de construction et confirmer par écrit à
l'Ingénieur que les prescriptions visant l’essai, le réglage et l’équilibrage des appareils et des systèmes
ainsi que tous les autres aspects relatifs à la conception et à l’installation de ceux-ci, sont appropriées et
permettront d’assurer le succès de ces opérations.
B. Revoir les normes et autres documents de référence prescrits et informer l'Ingénieur par écrit des
méthodes proposées dans les documents contractuels, qui diffèrent de celles décrites dans les normes
ou les documents de référence.
C. Pendant les travaux de construction, coordonner l'emplacement ainsi que l'installation des dispositifs,
des appareils, des accessoires, des ouvertures et des raccords de mesure nécessaires à l'exécution des
opérations d'ERE.
A. À moins d'indications contraires, suivre la procédure de mise en service recommandée par le fabricant
des appareils et des systèmes.
B. Suivre toute procédure de mise en service particulière prescrite ailleurs dans la Division 23.
1.11 FONCTIONNEMENT DES APPAREILS ET DES SYSTÈMES PENDANT LES OPÉRATIONS D'ERE
A. Faire fonctionner les appareils et les systèmes pendant le temps requis pour l'exécution des opérations
d'ERE et, selon les exigences de l'Ingénieur, pour la vérification des rapports d'ERE.
A. Aviser l'Ingénieur sept jours avant d'entreprendre les opérations d'essai, de réglage et d'équilibrage.
B. N'entreprendre les opérations d'ERE que lorsque le bâtiment est en grande partie utilisable, soit
lorsque :
1. l'installation des plafonds, des portes, des fenêtres et autres éléments de construction pouvant
influer sur le résultat des opérations est terminée;
2. la pose des produits de scellement et de calfeutrage ainsi que des coupe-bise est terminée;
3. les essais de pression, d'étanchéité et autres essais prescrits dans d'autres Sections de la
Division 23 sont terminés;
4. le matériel nécessaire à l'exécution des opérations d'ERE est installé et en bon état de
fonctionnement;
5. les installations mécaniques et les systèmes électriques et de commande/régulation connexes
pouvant influer sur le résultat des opérations d'ERE ont été mis en marche et que leur bon
fonctionnement a été vérifié, ce qui touche notamment les éléments suivants :
a. Protection thermique du matériel électrique contre les surcharges, en place.
b. Réseaux aérauliques :
1) Filtres en place et propres;
2) Conduits d'air propres;
3) Conduits, gaines et plénums étanches à l'air dans les limites prescrites;
4) Ventilateurs tournant dans le bon sens;
5) Registres volumétriques et volets coupe-feu en place et ouverts;
6) Ailettes de serpentins, propres et redressées;
7) Portes et trappes de visite installées et fermées;
8) Bouches de sortie installées et registres volumétriques ouverts;
A. Effectuer l'essai, le réglage et l'équilibrage des systèmes jusqu'à obtention de résultats ne présentant
pas plus que les écarts suivants, en plus ou en moins, par rapport aux valeurs théoriques.
1. Systèmes de CVCA ordinaires : plus 10%, moins 5%.
2. Systèmes de CVCA de laboratoires : plus 5%, moins 5 %.
A. Les valeurs mesurées doivent correspondre, à plus ou moins 2 % près, aux valeurs réelles.
A. Avant de commencer les opérations d'ERE, soumettre à l'Ingénieur une liste des instruments qui seront
utilisés, avec leur numéro de série.
C. Étalonner les instruments dans les trois (3) mois qui précèdent le début des opérations d'ERE. Fournir à
l'Ingénieur une attestation d'étalonnage.
A. Toutes les mesures enregistrées sont susceptibles d'être vérifiées par l'Ingénieur.
B. Prévoir la main-d’œuvre et les instruments nécessaires à la vérification d'au plus 30 % des mesures
enregistrées.
D. Reprendre les opérations d'ERE jusqu'à ce que les résultats satisfassent l'Ingénieur.
1.17 RÉGLAGES
A. Une fois les opérations d'ERE terminées à la satisfaction de l'Ingénieur, remettre en place les gardes
des organes d’entraînement ou de transmission, fermer les portes et les trappes de visite, bloquer les
dispositifs de réglage en position de fonctionnement et vérifier si les sondes sont réglées aux points de
consigne requis.
B. Marquer les positions de réglage de façon permanente; ces dernières ne doivent pas être effacées ni
recouvertes d'aucune façon.
A. Les opérations d'ERE des systèmes ne seront considérées terminées que lorsque le rapport final aura
été approuvé par l'Ingénieur.
A. Les relevés à effectuer porteront notamment sur ce qui suit, selon les systèmes, les appareils, les
éléments ou les dispositifs de commande/régulation visés: la vitesse de l'air; la pression statique; le
débit; la perte de charge (ou chute de pression); la température (au bulbe sec, au bulbe humide, le point
de rosée); la section des conduits d'air; la vitesse de rotation; la puissance appelée; la tension; les
niveaux de bruit et de vibration.
B. Les points de mesure, dans le cas des appareils, seront notamment situés aux endroits suivants, selon
le cas :
1. à l'entrée et à la sortie des registres, des filtres, des batteries de chauffage et de refroidissement,
des humidificateurs, des ventilateurs et de tout autre appareil provoquant des changements de
conditions;
2. aux régulateurs et aux dispositifs de commande/régulation.
C. Les points de mesure, dans le cas des systèmes, seront notamment situés aux endroits suivants, selon
le cas : aux conduits d'air principaux; aux conduits de dérivation principaux et secondaires et aux
conduits d'alimentation des éléments terminaux (grilles, grilles à registre ou diffuseurs).
A. Hottes chimiques
1. Faire l’essai des hottes selon les procédures de la norme ANSI/ASHRAE 110-1995, Method of
Testing Performance of Laboratory Fume Hoods et soumettre un rapport spécifique à cette activité.
D. Poulies et courroies
1. Fournir et installer les poulies et courroies de dimensions requises afin d’obtenir les débits
spécifiés.
PARTIE 2 - PRODUITS
PARTIE 3 - EXÉCUTION
1.03 DÉFINITIONS.................................................................................................................................. 2
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 5
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières, ainsi que les Sections de spécification de la Division 01.
1.02 RÉFÉRENCES
B. ANSI/NFPA 90B : Installation of Warm Air Heating and Air Conditioning Systems.
C. ASHRAE/IESNA 90.1 : Energy Standard for Buildings Except Low-Rise Residential Buildings.
D. ASTM C553-02 : Standard Specification for Mineral Fiber Blanket Thermal Insulation for Commercial
and Industrial Applications.
E. ASTM C1290-04 : Standard Specification for Flexible Fibrous Glass Blanket Insulation Used to
Externally Insulate HVAC Ducts.
F. ASTM C449 : Standard Specification for Mineral Fiber Hydraulic-Setting Thermal Insulation and
Finishing Cement.
G. ASTM C534-03 : Standard Specification for Preformed Flexible Elastomeric Cellular Thermal Insulation
in Sheet and Tubular Form.
1.03 DÉFINITIONS
B. Données techniques sur les produits : pour chaque type de produit indiqué.
C. Échantillons
1. Soumettre un ensemble complet de chaque type de complexe calorifuge comprenant le matériau
calorifuge proprement dit, l'enduit de revêtement et la colle. Monter l'échantillon sur un panneau de
contreplaqué de 12 mm. Placer sous l'échantillon une étiquette dactylographiée indiquant le
réseau/fluide véhiculé.
A. Qualifications
1. Installateur spécialisé dans ce domaine, possédant un minimum de trois années d'expérience et
membre de l'ACIT.
A. Les matériaux doivent être livrés au chantier dans leur emballage d'origine et porter une étiquette
indiquant le nom et l'adresse du fabricant.
B. Les matériaux doivent être protégés contre les intempéries et les dommages susceptibles d'être causés
par la circulation des personnes, du matériel et des véhicules.
D. Les matériaux doivent être entreposés aux températures et dans les conditions exigées par le fabricant.
PARTIE 2 - PRODUITS
A. Les matériaux utilisés doivent avoir un indice de propagation de la flamme d’au plus 25 et un indice de
pouvoir fumigène d’au plus 50, conformément à la norme CAN/ULC-S102.
B. Les matériaux doivent avoir été éprouvés selon la norme ASTM C411-04, Standard Test Method for
Hot-Surface Perfomance of High-temperature Thermal Insulation.
A. Type D-1 :
1. Matériaux : panneau rigide de fibre de verre avec pare-vapeur intégré, installé en usine;
Manufacturier Produit
Johns Manville Spin-Glas Board FSK
Knauf Knauf Insulation Board FSK
Manson AK Board FSK
Owens Corning Isolant Fiberglas type 703
B. Type D-2 :
1. Matériaux : matelas flexible de fibre de verre avec pare-vapeur intégré, installé en usine;
2. Conductibilité thermique : 0.035 W/m-°C à 24°C
3. Épaisseur de l'isolant : Voir le bordereau;
4. Produit(s) acceptable(s) :
Manufacturier Produit
Johns Manville Microlite Standard Duct Wrap FSK
Knauf Duct Wrap FSK
Manson Alley Wrap FSK
Owens Corning SOFTR All-Service FiberGlas Duct Wrap FSK
B. Ciment isolant :
1. Matériaux : composé de fibres isolantes diverses et d'adhésif mélangé avec de l'eau et du ciment,
produisant une pâte plastique;
2. Produit(s) acceptable(s) : Childers.
B. Colle servant à sceller les joints et les coutures de l'isolant de fibre de verre : colle à prise rapide, sans
fibres d'amiante :
1. Produit(s) acceptable(s) : Foster, Childers.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
3.01 PRÉPARATION
A. Ne poser le calorifuge qu'une fois les essais obligatoires terminés et les résultats approuvés par
l'Ingénieur.
B. S'assurer que les surfaces des éléments à calorifuger sont propres et sèches au moment de la pose du
calorifuge et de l'application d'un enduit de finition.
3.02 POSE
A. Poser le calorifuge et les accessoires et appliquer les enduits de finition selon les recommandations du
fabricant et les prescriptions de la présente section.
B. Poser le calorifuge et le pare-vapeur en continu sur toute la longueur du conduit ou sur toute la surface à
calorifuger. Le calorifuge et le pare-vapeur ne doivent être percés en aucun point des conduits ni être
interrompus aux joints saillants, aux manchons ou aux supports.
C. Utiliser des espaceurs pour écarter les appareils de commande de la paroi des conduits d'air sur
lesquels ils sont montés.
D. Poser des renforts en tôle galvanisée de 1.0 mm d'épaisseur sur les coins calorifugés de tous les
conduits d'air situés dans les aires passantes des salles d'installations mécaniques.
E. Installer le calorifuge conformément aux normes ANSI/NFPA 90A et ANSI/NFPA 90B, en plus des
recommandations des manufacturiers d’isolation.
F. Dans le cas d'un calorifuge multi-épaisseurs, décaler les joints d'aboutement de chaque couche de
matériau.
G. Pour réaliser des joints de dilatation dans le calorifuge, couper bien droit les extrémités de chaque
épaisseur de calorifuge, selon les instructions du fabricant, laisser un vide de 25 mm entre les tronçons
successifs et remplir ce vide de calorifuge souple en fibres minérales, sans tasser celui-ci.
H. Sceller et finir les extrémités du calorifuge, apparentes ou non, avec du ciment isolant.
A. Assujettir avec du ruban le centre et les extrémités des tronçons de calorifuge, l'espacement entre ces
points de fixation ne dépassant toutefois pas 900 mm.
A. L’épaisseur et le type de revêtement calorifuge pour chaque conduite sont décrits dans le tableau ci-
dessous.
D1 D2 D2
Plénums d’air neuf. Toutes 50 50 1
Plénums d’évacuation. Toutes 50 50 1
Conduites et caissons de prise d’air frais, à partir de
l’extérieur du toit ou de tout autre endroit non chauffé Toutes 50 50 1
jusqu’aux caissons de mélange.
Conduites et caissons de prise d’air frais, à partir de
l’extérieur du toit ou de tout autre endroit non chauffé jusqu’à Toutes 50 50 1
l’équipement de chauffage.
Conduites d’évacuation entre le registre et la persienne
d’évacuation sur une distance minimale de 3 m (10 pi) dans Toutes 50 50 1
l’espace chauffé.
Conduites d’alimentation d’air froid.
- Éléments apparents Toutes 25 25 1
- Éléments dissimulés Toutes 25 -
Conduites d’alimentation d’air chaud.
- Éléments apparents Toutes 25 25 1
- Éléments dissimulés Toutes 25 -
B. Éléments non-calorifugés
1. Conduits métalliques avec revêtement intérieur insonorisant d’épaisseur suffisante pour conformité
à la règlementation sur l’économie d’énergie et à la norme ASHRAE/IESNA 90.1.
2. Conduits flexibles calorifugés en usine.
3. Plénums et caissons calorifugés en usines.
4. Raccords flexibles.
5. Dispositifs de contrôle des vibrations.
6. Panneaux et portes d’accès calorifugés en usine.
1.03 DÉFINITIONS..................................................................................................................................2
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 6
3.03 POSE SUR LES COLLIERS ET RACCORDS RAINURÉS DES TUYAUTERIES ..............................................6
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières, ainsi que les Sections de spécification de la Division 01.
1.02 RÉFÉRENCES
B. ASTM
1. ASTM C547-03 : Standard Specification for Mineral Fiber Pipe Insulation (pour type P1).
2. ASTM C1393-00a, Standard Specification for Perpendicularly Oriented Mineral Fiber Roll and
Sheet thermal Insulation for Pipes and Tanks (pour type P3).
3. ASTM C449 : Standard Specification for Mineral Fiber Hydraulic – Setting Thermal Insulating and
Finishing Cement (pour ciment isolant).
4. ASTM C533-04 : Standard Specification for Calcium Silicate Block and Pipe Thermal Insulation
(pour type P4).
5. ASTM C534-03 : Standard Specification for Preformed Flexible Elastomeric Cellular Thermal
Insulation Sheet and Tubular Form (pour type P2).
1.03 DÉFINITIONS
B. Données techniques sur les produits : pour chaque type de produit indiqué.
C. Échantillons :
1. Soumettre un ensemble complet de chaque type de complexe calorifuge proposé comprenant le
matériau calorifuge proprement dit, l'enduit de revêtement et la colle. Monter l'échantillon sur un
panneau de contreplaqué de 12 mm. Placer sous l'échantillon une étiquette dactylographiée
indiquant le réseau/fluide véhiculé.
B. Soumettre les instructions des fabricants visant la pose des matériaux calorifuges.
1. Les instructions doivent préciser les méthodes à utiliser de même que la qualité d'exécution exigée.
C. Soumettre les instructions des fabricants visant l'installation, le façonnage et le jointoiement des tuyaux,
des raccords et des appareils de robinetterie.
C. Les numéros de code spécifiés au devis doivent être pris comme référence à leur spécification
particulière dans ce Manuel de standards de qualité, à l'exception de ce qui est spécifié ci-après.
D. Lorsque des modifications au Manuel de standards de qualité de ACIT sont inclues dans le devis du
présent projet, ces modifications auront priorité en cas de conflit.
E. L'installateur doit, être un expert dans le domaine, posséder au moins 3 années d'expérience probante
dans la réalisation de travaux de type et d'envergure correspondant à ceux décrits aux présentes, et être
membre de l'ACIT.
A. Les matériaux doivent être livrés au chantier dans leur emballage d'origine et porter une étiquette
indiquant le nom et l'adresse du fabricant.
B. Les matériaux doivent être protégés contre les intempéries et les dommages susceptibles d'être causés
par la circulation des personnes, du matériel et des véhicules.
D. Les matériaux doivent être entreposées aux températures et dans les conditions exigées par le
fabricant.
PARTIE 2 - PRODUITS
A. Type P-1 :
1. Matériaux: fibre de verre prémoulé avec pare-vapeur intégré installé en usine et chemise tout
usage;
2. Conductibilité thermique : 0.033 W/m • °C à 24°C;
3. Épaisseur du revêtement : voir le bordereau dans la Partie 3.
4. Produits acceptables:
Manufacturier Produit
Johns Manville Micro-Lok
Knauf 1000° Pipe Insulation
Manson Alley-K
Owens Corning Fiberglas Pipe Insulation
B. Type E-1 :
1. Matériaux: fibre de verre flexible avec pare-vapeur en papier d’aluminium renforcé;
2. Conductibilité thermique : 0.043 W/m • °C à 24°C;
3. Épaisseur du revêtement : voir le bordereau dans la Partie 3.
4. Produits acceptables:
Manufacturier Produit
Johns Manville Micro-Flex
Knauf Kwikflex Pipe and tank
Manson AK Flex
Owens Corning Fiberglas Pipe and tank Insulation
A. Type E-2 :
1. Matériaux: éléments souples en élastomère unicellulaire;
2. Conductibilité thermique : 0.040 W/m • °C à 24°C;
3. Facteur maximum pour le dégagement de fumée : 50 et pour la propagation de feu : 25;
4. Épaisseur du revêtement : voir le bordereau dans la Partie 3.
5. Produits acceptables :
Manufacturier Produit
Armacell AP Armaflex FS
K-Flex Insul-Sheet
Manufacturier Produit
Johns Manville Zeston 300 Series PVC
Knauf Proto PVC Fitting Covers
A. Ciment isolant :
1. Matériaux : composé de fibres isolantes diverses et d'adhésif mélangé avec de l'eau et du ciment,
produisant une pâte plastique.
2. Emplacement prévu : toute la tuyauterie.
3. Produit acceptable : CHILDERS ou équivalent.
A. Colle servant à sceller les joints et les coutures de l'isolant de fibre de verre: colle à prise rapide.
1. Produit acceptable: FOSTER.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
3.01 PRÉPARATION
A. Ne poser le calorifuge qu'une fois l'essai hydrostatique du réseau (tuyauteries et appareils auxquelles
elles sont raccordées) terminé et les résultats certifiés par l'autorité compétente qui aura assisté à
l'essai.
B. S'assurer que les surfaces à recouvrir de calorifuge ou à revêtir d'un enduit sont propres, sèches et
exemptes de matières étrangères.
3.02 POSE
A. Réaliser les travaux selon les exigences des normes nationales pertinentes de l'ACIT.
B. Poser le calorifuge selon les instructions des fabricants et les prescriptions de cette Section.
C. Si l'épaisseur de calorifuge nominale requise est supérieure à 75 mm, réaliser l'ouvrage en deux
couches, en décalant les joints.
E. Supports et suspensions
1. Poser un calorifuge à haute résistance à la compression, approprié aux conditions de service,
lorsqu'aucune sellette ou aucun bouclier de protection du calorifuge n'est prévu.
rainuré. Lorsque, pour un type de raccord, un espace d’air serait créé, le combler avec du revêtement
calorifuge flexible. Sceller les joints autant pour les applications chaudes que sous-ambiantes.
A. Destination: à poser aux joints de dilatation, appareils de robinetterie, dispositifs primaires de mesure de
débit, brides et raccords-unions reliant les tuyauteries aux appareils desservis.
C. Description :
1. Calorifuge, produits ou dispositifs de fixation et enduits de finition correspondant au complexe
calorifuge adjacent.
A. Garder les éléments secs en tout temps. Réaliser des recouvrements selon les instructions du fabricant.
Faire des joints étanches.
A. L’épaisseur et le type de revêtement calorifuge pour chaque fluide sont décrits dans le tableau ci-
dessous.
Échangeur de chaleur :
- 40 - 3
Température inférieure à 5°C
- 25 - 3
5°C à 13°C
- 40 - 3
30°C à 95°C
- 50 - 3
96°C à 120°C
Pompes et accessoires hydroniques - 40 1
Refroidisseurs d’eau – surfaces froides de l’évaporateur incluant les brides
- - 40 -
et leurs boulons
B. Éléments non-calorifugés Items : À moins d’indication contraire, ne pas calorifuger les éléments
suivants :
1. Tuyaux calorifugés en usine.
2. Purgeurs à vapeur.
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 3
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières, ainsi que les Sections de spécification de la Division 01.
1.02 SOMMAIRE
1.03 RÉFÉRENCES
B. Données techniques sur les produits : pour chaque type de produit indiqué.
A. Rapport faisant état de la procédure détaillée de nettoyage tel que décrit à la Partie 3.
A. Rapport de fin des travaux et certificat de conformité tel que décrit à la Partie 3.
PARTIE 2 - PRODUITS
A. Phosphate trisodique : 0.40 kg par 100 litres d'eau contenus dans le réseau.
B. Carbonate de sodium : 0.40 kg par 100 litres d'eau contenus dans le réseau.
C. Détergent peu moussant : 0.01 kg par 100 litres d'eau contenus dans le réseau.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
A. Moment d'exécution du nettoyage : attendre, avant de procéder au nettoyage des réseaux, que ceux-ci
soient opérationnels, y compris leurs dispositifs de sécurité, et qu'ils aient subi tous les essais
hydrostatiques requis.
C. Attendre, avant d'installer les instruments de mesure comme les débitmètres, les plaques à orifices, les
tubes de Pitot et les robinets de mesure, d'avoir reçu du spécialiste en traitement de l'eau le certificat
attestant que le réseau a effectivement été nettoyé.
D. Procédure
1. Remettre un rapport détaillé faisant état de la procédure envisagée au moins quatre semaines
avant la date proposée pour la réalisation des travaux de nettoyage. Le rapport doit indiquer ce qui
suit :
a. la méthode, les débits, la durée des opérations ;
b. les produits chimiques qui seront utilisés et leur concentration ;
c. les inhibiteurs qui seront utilisés et leur concentration ;
d. les exigences particulières concernant la réalisation des travaux ;
e. les mesures particulières à prendre pour protéger la tuyauterie et les éléments du réseau ;
f. une analyse complète de l'eau utilisée pour le nettoyage, destinée à s'assurer que celle-ci
n'endommagera pas le réseau ni les appareils.
1. Les réseaux doivent être exempts de débris de construction, de saletés et d'autres matières
étrangères.
2. Les robinets et les vannes de commande/régulation doivent être opérationnels et placés en position
entièrement ouverte pour permettre le nettoyage des éléments terminaux.
3. Les filtres doivent être nettoyés avant le remplissage initial.
4. Des filtres temporaires doivent être installés sur les pompes qui ne sont pas munies de filtres
permanents.
5. Des manomètres doivent être montés sur les filtres afin de permettre la détection de tout
colmatage.
G. Installations
1. Remplir le réseau d'eau et purger l'air qu'il contient.
2. Remplir les vases d'expansion à moitié ou aux deux tiers, introduire de l'air comprimé jusqu'à
l'obtention d'une pression de 35 kPa (ceci ne s'applique pas dans le cas de vases d'expansion à
membrane).
3. Utiliser un compteur pour mesurer le volume d'eau dans le réseau, l'écart admissible étant de
+/- 0.5 %.
4. Ajouter les produits chimiques prescrits ; ceci doit être réalisé sous la surveillance directe du
fournisseur du produit de traitement utilisé.
5. Réseaux fermés : faire circuler la solution de nettoyage à une température de 60°C pendant au
moins 36 heures. Vidanger ensuite le réseau le plus rapidement possible. Le remplir d'eau de
nouveau en y ajoutant les produits inhibiteurs prescrits ; vérifier la concentration de la solution et
corriger le dosage pour obtenir la concentration recommandée.
6. La vitesse de rinçage dans les canalisations principales et de dérivation doit favoriser
l'entraînement des débris. Les pompes du réseau peuvent être utilisées pour assurer la circulation
de la solution de nettoyage, pourvu qu'elles puissent garantir la vitesse requise.
7. Introduire dans le réseau la solution de produit chimique.
8. Mettre le réseau sous pression et augmenter la température lentement jusqu'à l'obtention de la
température nominale maximale (mais pas moins de 82°C). Faire circuler l'eau, dans tous les
circuits, pendant 12 heures. Couper le chauffage et continuer de faire circuler l'eau jusqu'à ce que
la température redescende sous 38 degrés Celsius. Vidanger le réseau le plus rapidement
possible. Le remplir de nouveau d'eau propre et faire circuler cette dernière pendant six heures à la
température nominale. Vidanger et répéter les étapes précisées précédemment. Chasser l'eau par
les robinets d'évacuation situés aux points bas du réseau. Remplir le réseau d'eau propre
additionnée de sulfite de sodium (faire un essai pour déterminer le taux de sulfite résiduel).
2. Il importe de procéder à des essais visant à déterminer les propriétés chimiques et physiques de
l'eau glycolée afin de s'assurer que la solution ne gèlera pas avant d'avoir atteint -40 degrés
Celsius. Vérifier la concentration de l'inhibiteur et l'indiquer dans le rapport. Se reporter à la norme
ASTM E202.
18. Ouvrir entièrement les vannes d'équilibrage (sauf celles qui ont été réglées en usine).
19. Vérifier le fonctionnement des dispositifs de protection contre la surchauffe des pompes de
circulation.
20. Régler l'alignement de la tuyauterie d'aspiration et de refoulement des pompes de manière à lui
donner la flexibilité nécessaire, à favoriser le mouvement approprié et à prévenir la transmission
des bruits et des vibrations.
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 4
3.01 INSTALLATION................................................................................................................................4
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières, ainsi que les Sections de spécification de la Division 01.
1.02 SOMMAIRE
B. Les registres motorisés sont fournis et installés aux termes de cette Section. Les servomoteurs de ces
registres sont fournis et installés aux termes de la Division 25 – Automatisation intégrée.
1.03 RÉFÉRENCES
A. ASTM A653/A653M-04a, Standard Specification for Steel Sheet, Zinc Coated (Galvanized) or Zinc-Iron,
Alloy Coated (Galvannealed) by the Hot-Dip Process.
B. ASTM A924/A924M-04, Standard Specification for General Requirements for Steel-Sheet, Metallic
Coated by the Hot-Dip Process.
B. Données techniques sur les produits : pour chaque type de produit indiqué.
PARTIE 2 - PRODUITS
B. L'épaisseur du cadre et des lames du volet ne sera pas moins de 0.081 mm (calibre 12) d'aluminium
extrudé. Largeur du cadre : 101.6 mm.
C. Les lames aérodynamiques seront à double paroi d'aluminium extrudé. Les axes de rotation seront des
tiges d'aluminium extrudé de forme hexagonale 11 mm. La tige maîtresse sera en acier plaqué zinc.
G. Le volet devra être fonctionnel à partir de - 40 ºF (- 40 ºC) jusqu'à 212 ºF (100 ºC).
I. Produit(s) acceptable(s) : série 1000, de marque TAMCO, fabriqués par T.A. Morrison & Cie Inc.
B. L'épaisseur du cadre et des lames du volet ne sera pas moins de 0.081 mm (calibre 12) d'aluminium
extrudé. Largeur du cadre : 101.6 mm.
C. Les lames seront à double paroi d'aluminium extrudé, seront isolées à la mousse de polyuréthanne et
seront munies de barrières thermiques en UPCV. Les axes de rotations seront des tiges d'aluminium
extrudé de forme hexagonale 11 mm. La tige maîtresse sera en acier plaqué zinc.
E. Les cadres du volet seront isolés sur trois côtés à la mousse de polystyrène R5.
H. Le volet devra être fonctionnel à partir de - 40 ºF (- 40 ºC) jusqu'à 212 ºF (100 ºC).
J. Produits acceptables : série 9000, de marque TAMCO, fabriqués par T.A. Morrison & Cie Inc.
D. Les mécanismes seront en Delrin et seront reliés à deux (2) rails en UPCV extrudés.
G. Produit(s) acceptable(s) : série 7000, de marque TAMCO, fabriqués par T.A. Morrison & Cie Inc.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
3.01 INSTALLATION
C. Sceller les joints des modules à registres multiples à l’aide d’un produit d’étanchéité à base de silicone.
D. Installer un panneau de visite près de chaque registre. Se reporter à la sous-section - Accessoires pour
conduits d’air.
F. Lors de la mise en marche du système, s'assurer que les registres fonctionnent bien.
G. Les volets motorisés doivent être du type isolé (tel que décrit à 2.2) lorsqu'ils sont en contact avec les
conditions extérieures.
I. Installer un ruban d'étanchéité de marque « TREMCO » entre les cadres des volets et les gaines de
ventilation.
1.04 DÉFINITIONS..................................................................................................................................3
2.13 VANNES D’AIR POUR LES BUREAUX À L’INTÉRIEUR D’UN LABORATOIRE ............................................16
PARTIE 3 - EXÉCUTION.......................................................................................................... 17
3.01 INSTALLATION..............................................................................................................................17
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les dessins et les dispositions générales du contrat, incluant les
Conditions générales et les Conditions supplémentaires, ainsi que les Sections de la Division 01 du
Devis descriptif.
1.02 SOMMAIRE
B. Exigences connexes
1. Section 25 55 06 – Intégration du système spécialisé d’automatisation pour la ventilation de
laboratoires et d’environnements critiques, pour la partie des travaux exécutée aux termes de la
Division 25 ainsi que pour les exigences de coordination.
1.03 RÉFÉRENCES
C. Québec
1. CCQ : Code de construction du Québec – Chapitre I, Bâtiment, et Code national du bâtiment –
Canada 2005 (modifié).
2. CCQ : Code de construction du Québec – Chapitre V, Électricité.
D. UL
1. UL 94 : Standard for Safety of Flammability of Plastic Materials for Parts in Devices and
Appliances.
1.04 DÉFINITIONS
A. Le SAVL doit, en conjonction avec le SCCÉ, maintenir les débits d’air d’alimentation et d’évacuation
dans les laboratoires, les taux de ventilation des pièces, la pressurisation statique des pièces, les
températures et humidités ambiantes des pièces, et la fonctionnalité du système d’évacuation de
laboratoires tel que spécifiés dans cette Section.
1. Le SAVL assure le maintien de la vitesse frontale et le débit minimal d’évacuation de chacune des
hottes à débit d’air variable tel que requis et indiqué aux bordereaux sur les dessins.
2. Le SAVL assure le maintien du débit minimal d’évacuation de chacune des hottes à débit constant
tel que requis et indiqué aux bordereaux sur les dessins.
3. Le SAVL assure le maintien du débit minimal d’évacuation de chacune des enceintes de sécurité
biologique et d’autres débits d’évacuation tel que requis et indiqué aux bordereaux sur les dessins.
4. Le SAVL peut fonctionner suivant les modes d’opération d’urgence tel que détaillés dans cette
Section.
B. Le SAVL inclut toutes les vannes d’air, leurs servomoteurs, les sondes, l’instrumentation associée, les
contrôleurs, le câblage et tous autres composants associés requis pour fournir un système pleinement
opérationnel et intégré tel que spécifié dans cette Section.
1. Le câblage entre les composants est fourni aux termes de la Division 25.
2. L’alimentation électrique des composants à la tension finale requise, à partir des panneaux
d’alimentation électriques d’urgence du bâtiment, est fournie aux termes de la Division 25.
D. Toutes les données du SAVL doivent pouvoir être accessibles à des personnes autorisées par
l’intermédiaire du réseau du SCCÉ. Les données du SAVL doivent aussi être accessibles par
l’intermédiaire d’un intranet en utilisant un fureteur web standard, sous forme de graphiques et sous
forme de rapports d’état ou sommaires, définis et configurés par l’utilisateur.
E. Performances d’ordre sismique : les composants du système doivent résister aux effets des
déplacements sismiques calculés selon le Chapitre I du CCQ.
2. Un tableau des vannes d’air incluant les types, les grandeurs, les débits d’air et les niveaux
sonores.
3. Une liste détaillée de toutes les fonctions des points d’entrées et sorties incluant les points d’alarme
et de monitorage.
4. Des données certifiées portant sur le bruit au refoulement et radié des vannes d’air pour chaque
type et grandeur d’unité. Les données doivent être obtenues suivant les normes ARI 880-98
Standard for Air Terminals et ASHRAE 130-1995 Standard Methods of Testing for Rating Ducted
Air Terminal Units. Toutes les données doivent être obtenues d’un laboratoire d’essais qualifié,
accrédité et approuvé par l’ARI.
A. Certification de qualification du fabricant en matière sismique : soumettre un document certifiant que les
appareils, les accessoires et composants résisteront aux forces sismiques définies dans la Section
23 05 48 - Systèmes et dispositifs antivibratoires et parasismiques pour tuyauteries et équipements de
CVCA. Inclure les éléments suivants :
1. Base de certification : préciser si la certification de résistance est basée sur des essais en vraie
grandeur des composants assemblés ou sur des calculs.
a. Le terme « résister » signifie que « l’unité demeure en place sans qu’aucune de ses parties ne
s’en dissocie lorsqu’elle est soumise aux forces sismiques spécifiées et que l’unité doit être
entièrement opérationnelle après le tremblement de terre. »
2. Description détaillée des dispositifs d’ancrage des composants sur lesquels la certification est
basée et leurs exigences d’installation.
A. Fournir les fiches d'exploitation et d'entretien requises et les joindre au manuel mentionné à la
Section 01 78 00 – Éléments à soumettre à l’achèvement des travaux.
A. Livrer et stocker les composants bien protégés contre les chocs et la saleté dans des boîtes bien
fermées.
B. Protéger les vannes d’air contre la saleté jusqu’au moment de leur installation sur les conduits.
1.12 COORDINATION
A. De façon générale, fournir les composants du SAVL aux termes de cette Section et assurer la
coordination avec l’entité de la Division 25 responsable de leur installation.
1. La fourniture du câblage de commande et d’alimentation électrique s’effectue aux termes de la
Division 25.
2. L’installation des vannes d’air sur les conduits d’air s’effectue aux termes de cette Section.
3. L’installation des contrôleurs, des détecteurs, des sondes, des afficheurs et des autres composants
du SAVL s’effectue aux termes de la Division 25.
1.13 GARANTIE
A. Garantie spéciale : Formulaire standard du fabricant selon lequel il s’engage à réparer ou remplacer, en
fournissant pièces et main-d’œuvre, les composants éventuellement défectueux pendant la période de
garantie spécifiée.
1. Période de garantie pour les tous les composants : 3 ans.
PARTIE 2 - PRODUITS
2.01 SYSTÈME
A. Fabricants : sous réserve de leur conformité au devis, fournir les produits du fabricant suivant :
1. Phoenix Controls
B. Description
1. Fournir un SAVL en vue d’assurer la régulation du débit d’air entrant et sortant des pièces de
laboratoire. Le débit d’évacuation d’air d’une hotte de captation des fumées de laboratoire doit faire
l’objet d’une régulation précise afin de maintenir constante la vitesse frontale moyenne à l’entrée de
la hotte; cette régulation doit se faire dans les conditions standards d’utilisation, un opérateur étant
présent devant la hotte, ou lorsque la hotte est en attente. Le SAVL doit faire varier la quantité d’air
d’appoint/d’alimentation dans la pièce, en vue d’une utilisation du laboratoire aux débits d’air
minimaux nécessaires pour maintenir la température, assurer un taux de renouvellement d’air
minimal et maintenir la pressurisation du laboratoire constante par rapport aux locaux adjacents
(pression positive ou négative). Le SAVL doit pouvoir fonctionner de manière autonome ou comme
système intégré au SCCÉ.
2. Chaque laboratoire devra être autonome et doté des contrôleurs nécessaires à cette fin. Les
contrôleurs dédiés à un laboratoire doivent pouvoir gérer un minimum de 20 vannes d’air installées
en réseau.
3. Le SAVL doit être muni de dispositifs de régulation de la vitesse frontale moyenne, qui mesurent
directement l’aire de l’ouverture de la porte coulissante d’une hotte et règlent en proportion le débit
d’évacuation d’air de la hotte, afin de maintenir la vitesse frontale constante dans une plage
minimale de 20% à 100% d’ouverture de la porte coulissante. Le rapport correspondant entre le
débit d’évacuation de hotte maximal et le débit minimal doit être au minimum de 5 à 1.
4. La vanne d’air d’évacuation de la hotte doit réagir à l’ouverture de la porte de hotte en produisant
90% de la valeur de sa grandeur de réglage moins d’une seconde après que la porte ait atteint
90% de sa position finale (sans que le dépassement ni le sous-dépassement ne soient supérieurs à
5%) correspondant au débit d’air exigé. Cela doit être possible avec la vitesse de déplacement de
la porte étant entre 0.3 et 0.45 m/s.
5. La vanne d’air d’évacuation de la hotte doit passer automatiquement du mode de service au mode
d’attente selon que l’opérateur est présent ou non devant la hotte. Un détecteur de présence et de
mouvement doit assurer ce passage d’un mode à l’autre. La vanne d’air devra produire 90% de la
valeur de la grandeur de réglage en mode de service en moins d’une seconde après détection et
avec un dépassement ou un sous-dépassement ne dépassant pas 5%.
6. Le SAVL doit maintenir un débit spécifique (à +/-5% du signal en moins d’une seconde après un
changement de la pression statique dans le conduit d’air), indépendamment de la valeur du
changement de pression (entre 150 Pa et 745 Pa), de débit d’air ou de la quantité de vannes
raccordées au conduit d’air.
7. Le SAVL doit maintenir la pressurisation de la pièce par la méthode de l’écart volumétrique. Le
système doit maintenir le bon signe (négatif ou positif) de la pressurisation dans la pièce, quelles
que soient les conditions d’utilisation de la pièce/du système : ouverture ou fermeture d’une hotte
ou de toutes les hottes ou encore changement rapide de pression statique dans le conduit d’air.
8. Le SAVL doit maintenir un débit donné (à +/- 5% du signal) avec une marge de réglage effective
(rapport entre débit maximal et débit minimal réglable) de 16 à 1, afin d’obtenir une bonne précision
à faible débit et un rendement maximal du point de vue de la simultanéité (consommation d’air
total) et de la consommation d’énergie.
b. Toute quantité de dispositifs à débit constant telle que le total des dispositifs d’alimentation et
le total des dispositifs d’évacuation puissent être factorisés dans l’algorithme de régulation de
la pressurisation.
4. L’algorithme de régulation de la pressurisation doit permettre la répartition du débit total
d’alimentation dans plusieurs vannes d’air d’alimentation de façon à optimiser la distribution d’air
dans la pièce.
B. Régulation de la température
1. Le SAVL doit assurer la régulation de la température des pièces par combinaison d’une régulation
du débit et des serpentins de réchauffage ou des dispositifs auxiliaires de régulation de la
température. Le SAVL doit pouvoir desservir jusqu’à quatre zones de régulation de température
séparées pour chaque zone de pressurisation. Dans chaque zone, le système doit pouvoir
surveiller un maximum de cinq entrées de température et faire le calcul d’une moyenne servant à la
régulation. Des points de consigne séparés pour le refroidissement et le chauffage doivent pouvoir
être établis à partir du SCCÉ, avec la possibilité d’un réglage local prioritaire.
2. La régulation de la température doit s’effectuer grâce à des fonctions primaires de régulation du
refroidissement et du chauffage, ainsi qu’à une fonction secondaire de régulation de température
pour du refroidissement ou du chauffage d’appoint. Le refroidissement doit être assuré en fonction
de la régulation thermique prioritaire de l’air conditionné, les vannes d’alimentation et d’évacuation
agissant simultanément pour maintenir l’écart voulu. Le doit être assuré au moyen d’un serpentin
fonctionnant en modulation.
3. Le système de circulation d’air pour laboratoire doit être conçu pour une configuration possible en
vue d’une régulation de température par « gaine chaude/gaine froide ».
4. La fonction secondaire de régulation de température doit offrir la possibilité de chauffer ou de
refroidir, ainsi que d’assurer une régulation en boucle autonome ou encore en séquence avec la
boucle primaire de régulation correspondante.
C. Régulation de l’humidité
1. Le SAVL doit posséder une fonction intégrée de régulation de l’humidité permettant la surveillance
et la régulation de l’humidité relative dans la zone pressurisée. Les contrôleurs intégrés aux
vannes d’air doivent pouvoir surveiller le niveau d’humidité relative et, à partir d’un point de
consigne établi à partir du SCCÉ, émettre un signal de commande de l’un ou l’autre des circuits
d’humidification ou de déshumidification.
2. Les boucles de régulation de l’humidité doivent avoir un point de consigne commun, avec zone
d’insensibilité réglable, afin d’empêcher les commandes d’humidification et de déshumidification
d’agir en même temps.
pièce, le contacteur ou le bouton de contournement doit être prioritaire par rapport à une
commande à partir du SCCÉ.
F. Alarme locale
1. Le SAVL doit comporter un moyen d’effectuer la somme des activités qui pourraient correspondre à
des alarmes sélectionnées au niveau du réseau des pièces et de générer un signal d’alarme locale.
Le signal d’alarme locale peut être dirigé vers une sortie disponible, ainsi que vers le SSCÉ. Le
masque d’alarme peut être configuré différemment selon le système desservant une pièce.
4. Le SAVL doit pouvoir recevoir un minimum de 20 dispositifs installés en réseau dans chacune des
zones pressurisées.
5. Les valeurs des paramètres doivent être accessibles par le SCCÉ au moyen de l’interface en vue
de la production des rapports de tendance, d’archives, de notification d’alarmes et d’état des
systèmes. Les performances (vitesse, stabilité et précision) du SAVL doivent être indépendantes
de la quantité de paramètres surveillés, traités ou contrôlés.
6. Se reporter à la Division 25 pour la description des entrées/sorties exigées pour les paramètres à
surveiller ou devant faire l’objet d’une régulation.
A. Le réseau desservant le SAVL doit pouvoir être interfacé numériquement avec le SSCÉ. Les logiciels
de pilotage d’interface doivent être élaborés puis mis en mémoire dans une passerelle fournie par le
fabricant du SAVL.
B. Tous les paramètres relatifs aux pièces doivent être envoyés au SCCÉ pour surveillance ou
détermination de tendances. La passerelle doit stocker en mémoire cache les paramètres à surveiller
par le SCCÉ. Les contrôleurs au niveau des pièces doivent mettre constamment à jour les informations
dans cette mémoire cache.
D. Fournir une carte pour faire l’interface de la passerelle avec le réseau du SAVL à l’échelle de l’édifice et
une autre pour l’interface avec le réseau du SCCÉ.
A. Sonde murale de température de pièce de type résistive 10 000 Ohms munie d’un port de
communication, d’un affichage digital à cristaux liquides en degrés Celsius, d’un bouton de commande
prioritaire pour autoriser le réglage local de la consigne de température, et de boutons poussoirs pour
faire le réglage de cette consigne.
A. Interrupteur mural électrique pour le contrôle du fonctionnement des bras capteurs ou des hottes à
baldaquin, avec boîtier esthétique et pictogramme.
A. Sert mesurer et à afficher localement à l’entrée d’une pièce pressurisée, la pression statique maintenue
et donner des alarmes pour des conditions anormales.
B. Panneau mural avec écran d’affichage tactile capable d’afficher de multiples informations : pression,
température et humidité de la pièce. Peut également agir à titre d’interrupteur permettant aux occupants
de faire basculer la pièce entre les modes de régulation de « pièce occupée/pièce inoccupée ».
C. Des messages textes, des pictogrammes avec codage couleur et des signaux sonores alertent les
utilisateurs d’une condition anormale.
D. Précision de la lecture de pression : 0,5% (+/-0.25%) de la pleine échelle de lecture avec une résolution
de 0,025 Pa.
B. La vanne d’air doit fonctionner indépendamment de la pression sur toute sa plage de pression statique
différentielle spécifiée. Un élément intégré insensible aux variations de pression doit réagir et maintenir
un débit d’air spécifique en moins d’une seconde après un changement de la pression statique dans le
conduit d’air, indépendamment d’un changement de pression, de débit ou de la quantité de vannes
montées sur le conduit.
C. La vanne d’air doit maintenir un débit donné (à +/-5% du signal) avec une marge de réglage effective
(rapport entre débit maximal et débit minimal réglable) de 16 à 1 au minimum.
D. Il ne doit pas être nécessaire d’avoir une longueur de conduit rectiligne en amont ni en aval des vannes
pour assurer la précision ou le fonctionnement indépendant de la pression.
E. Les vannes d’air doivent être fabriquées dans l’une des trois versions suivantes :
1. Classe A :
a. Vanne utilisée en présence d’air non corrosif, comme sur les alimentations et les évacuations
générales.
b. Corps : aluminium de calibre 16.
c. Arbre de la vanne et ses supports de fixation : acier inoxydable de nuance 316.
d. Bras d’articulation et tringlerie interne : aluminium.
F. Pour un fonctionnement à deux positions ou à débit variable (VAV), monter en usine sur la vanne, un
actionneur électrique.
G. Dans les pièces qui comportent des hottes de captation des fumées, lors d’une perte de pression d’air
de commande ou d’électricité provoquant une défaillance des vannes, une vanne normalement ouverte
doit revenir à sa position maximale, tandis qu’une vanne normalement fermée doit revenir à sa position
minimale.
1. Les actionneurs électriques qui s’arrêtent à leur dernière position en cas de défaillance ne sont
acceptés ni sur les vannes des hottes, ni sur les vannes d’air d’appoint et ni sur les vannes
d’évacuation d’air générale de la pièce. Les actionneurs électriques qui s’arrêtent à leur dernière
position en cas de défaillance sont acceptés seulement pour les vannes dans les pièces sans
hotte, pour les vannes servant des bras capteur, pour des hottes à baldaquin ou pour des cas
spécifiquement indiqués.
2. Les vannes à débit constant n’ont pas besoin d’être équipées d’actionneurs.
H. Le contrôleur des vannes d’air doit comprendre des microprocesseurs et fonctionner selon une
architecture de type homologue. Les dispositifs de contrôles et les vannes installés dans une même
pièce doivent constituer ensemble un système autonome fonctionnant sur un réseau, lui aussi
autonome, à l’échelle de la pièce. Les pièces doivent ensuite être reliées entre elles sur un autre réseau
de niveau supérieur à l’échelle de l’édifice.
1. Le réseau de commande au niveau des pièces doit faire appel à un protocole de communications
« LonTalk ».
2. On ne doit faire appel à aucun dispositif externe ou utilisé au niveau de l’édifice pour assurer les
fonctions de régulation au niveau des pièces. Le système d’une pièce doit pouvoir assurer la
régulation des hottes de captation des fumées, de la pressurisation et de l’humidité; il doit
également permettre la mise en place de schémas de régulation dans les modes « Usage normal »
et « Urgence ».
1. Sauf indications contraires, le niveau de puissance acoustique d’une vanne d’air ne doit pas
dépasser les valeurs indiquées dans les tableaux 1, 2 et 3.
2. Si une vanne d’air ne satisfait pas aux exigences spécifiées, on doit prévoir un silencieux ou un
atténuateur acoustique dimensionné en conséquence. Les doivent être sans garniture (fabriqués
en acier inoxydable d’une épaisseur minimale de calibre 18, pour ceux utilisés sur l’évacuation des
hottes de captation des fumées), avec une chute de pression maximale de 50 Pa au débit maximal
de la vanne.
3. Pour les vannes proposées, les données relatives au niveau de puissance acoustique doivent être
fournies pour le refoulement des vannes d’alimentation, pour l’aspiration des vannes d’évacuation
ainsi que pour le bruit radié.
Tableau 1. Niveau de puissance acoustique permis pour une vanne d’air d’évacuation (bruit à l’adduction)
Niveau de puissance acoustique sur évacuation en dB (ré. : 10-12 watt)
Bande d’octave 2 3 4 5 6 7
Fréquence centrale en Hz 125 Hz 250 Hz 500 Hz 1000 Hz 2000 Hz 4000 Hz
Vanne 375 l/s à 150 Pa 63 55 52 54 50 49
470-25 l/s 95 l/s à 150 Pa 46 42 38 37 32 25
375 l/s à 745 Pa 73 70 64 66 65 60
95 l/s à 745 Pa 51 52 51 50 52 51
Vanne 565 l/s à 150 Pa 65 58 53 56 52 52
705-50 l/s 190 l/s à 150 Pa 50 45 38 39 37 31
565 l/s à 745 Pa 72 70 62 65 64 60
190 l/s à 745 Pa 55 57 55 53 56 55
Vanne 1130 l/s à 150 Pa 63 56 55 58 54 55
1415-95 l/s 375 l/s à 150 Pa 51 45 41 42 39 34
1130 l/s à 745 Pa 75 71 65 68 67 63
375 l/s à 745 Pa 58 58 56 56 59 58
Tableau 2. Niveau de puissance acoustique pour une vanne d’air d’alimentation (bruit au refoulement)
Niveau de puissance acoustique sur évacuation en dB (ré. : 10-12 watt)
Bande d’octave 2 3 4 5 6 7
Fréquence centrale en Hz 125 Hz 250 Hz 500 Hz 1000 Hz 2000 Hz 4000 Hz
Vanne 375 l/s à 150 Pa 62 57 54 58 54 51
470-25 l/s 95 l/s à 150 Pa 45 46 42 44 40 34
375 l/s à 745 Pa 72 71 67 75 72 68
95 l/s à 745 Pa 53 56 54 58 56 54
Vanne 565 l/s à 150 Pa 63 59 55 60 54 53
705-50 l/s 190 l/s à 150 Pa 53 49 44 49 45 39
565 l/s à 745 Pa 72 73 69 77 72 68
190 l/s à 745 Pa 58 63 61 63 60 57
Vanne 1130 l/s à 150 Pa 64 60 58 63 56 56
1415-95 l/s 375 l/s à 150 Pa 52 48 47 52 46 41
1130 l/s à 745 Pa 75 75 72 78 73 70
375 l/s à 745 Pa 59 62 62 66 62 60
Tableau 3. Niveau de puissance acoustique d’une vanne d’air d’alimentation (bruit radié)
Niveau de puissance acoustique sur évacuation en dB (ré. : 10-12 watt)
Bande d’octave 2 3 4 5 6 7
Fréquence centrale en Hz 125 Hz 250 Hz 500 Hz 1000 Hz 2000 Hz 4000 Hz
Vanne 375 l/s à 150 Pa 44 41 45 41 36 34
470-25 l/s 95 l/s à 150 Pa 33 28 31 29 26 20
375 l/s à 745 Pa 53 53 56 57 55 53
95 l/s à 745 Pa 41 38 41 39 39 37
Vanne 565 l/s à 150 Pa 47 53 40 42 38 36
705-50 l/s 190 l/s à 150 Pa 35 39 31 34 33 26
565 l/s à 745 Pa 52 60 54 60 59 53
190 l/s à 745 Pa 42 44 43 46 46 42
Vanne 1130 l/s à 150 Pa 58 56 45 47 43 42
1415-95 l/s 375 l/s à 150 Pa 45 45 36 39 37 29
1130 l/s à 745 Pa 69 68 60 65 63 57
375 l/s à 745 Pa 54 53 48 51 50 48
A. Les vannes d’air doivent comprendre des microprocesseurs et doivent être à commande en boucle
fermée, en vue d’assurer une variation linéaire du débit d’air à partir d’un signal de commande
numérique. Un dispositif doit générer un signal de rétroaction numérique correspondant au débit d’air
de la vanne.
B. Le contrôleur d’une vanne d’air doit stocker ses algorithmes de commande dans une mémoire non
volatile réinscriptible. Le contrôleur doit pouvoir fonctionner de façon autonome ou bien en réseau avec
d’autres vannes d’air dans la pièce, par le biais du protocole « Lon Talk ».
C. Les fonctions de régulation au niveau des pièces doivent être intégrées et assurées par la vanne d’air
par le biais d’une architecture à commande répartie. Les fonctions de régulation vitales doivent être
mises en place localement et aucun contrôleur ne doit être nécessaire pour gérer l’ensemble des
composants au niveau d’une pièce.
E. Les vannes d’air doivent être prévues pour raccordement à un ordinateur portable servant d’outil de
mise en service et tout nœud du réseau doit être accessible à partir de n’importe quel point du système.
F. Les vannes d’air doivent posséder des connexions d’entrée/sortie intégrées pour la régulation des hottes
de captation des fumées, de la température, de l’humidité, la régulation en usage normal et en urgence,
ainsi que pour raccordement à des sondes, des contacts et des dispositifs de régulation hors réseau.
Elles doivent comprendre au minimum :
1. Trois entrées universelles, conçues pour des signaux de 0 à 10 V cc, 4 à 20 mA, 0 à 65 kilo-ohms
ou des sondes de température à thermistances de type 2 ou de type 3 de 10 kilo-ohms à 25°C.
2. Une entrée numérique conçue pour recevoir un signal d’entrée provenant d’un contact sec ou un
signal logique.
3. Deux sorties analogiques conçues pour envoyer un signal de commande linéaire de 0 à 10 V cc ou
de 4 à 20 mA.
4. Une sortie de relais de type C (unipolaire à deux directions ou SPDT) conçue pour un courant de
1 A à 24 V ca/cc.
G. Agréments :
1. Conformes aux exigences FCC Section 15 Sous-section J Classe A.
2. Enregistrement UL 916.
A. Les vannes d’air doivent assurer le maintien de deux points de consigne établis en usine et
correspondant à un débit minimal et à un débit maximal, à partir d’un signal électrique commuté tout ou
rien. Un dispositif doit générer un signal de rétroaction de 0 à 10 volts, directement proportionnel au
débit d’air. Les vannes à deux positions doivent pouvoir être branchées sur le réseau de communication
au niveau des pièces afin que l’on puisse les considérer dans la régulation de la pressurisation.
B. Produit(s) acceptable(s) : Phoenix Controls modèles BSV/BEV (avec signal de rétroaction), PSV/PEV
(sans signal de rétroaction).
A. Les vannes d’air doivent assurer le maintien d’un point de consigne de température en agissant sur le
débit et le robinet (ou autre dispositif de régulation) d’un serpentin de réchauffage (le cas échéant), en
réponse à un signal de sonde de température. Lorsque les vannes d’alimentation en air des bureaux ne
sont pas indispensables à la régulation du débit d’air d’appoint aux hottes de captation des fumées, les
exigences concernant le temps de réponse de 1 seconde et la sécurité en cas de défaillance ne
s’appliquent pas à ces vannes.
B. Produit(s) acceptable(s) : Phoenix Controls modèles PSV, BSV ou MAV selon la séquence à accomplir.
A. Les vannes d’air doivent assurer le maintien d’un point de consigne de débit constant. Elles doivent
étalonnées en usine et réglées pour le débit désiré. Le débit doit aussi pouvoir être réglé sur le site pour
tenir compte des modifications futures de débit.
A. Les dispositifs de réduction du bruit prévus sur les vannes d’air utilisées sur les alimentations et les
évacuations générales doivent être fabriqués en acier galvanisé de calibre 24 ou du même métal que les
conduits d’air. Aucun matériau insonorisant mou tel que de la laine minérale ou de la mousse de
plastique ne doit être utilisé.
2.16 JOINTS
A. Collets de serrage en acier galvanisé avec joints d’étanchéité en néoprène conforme à UL94.
est au minimum de +/-1% du signal sur toute l’étendue de mesure. Les vannes d’air et leur
contrôleur doivent, en plus de l’étalonnage, être soumis à une vérification de précision à 5% du
signal pour au moins 48 débits d’air répartis sur toute l’étendue de mesure en service.
2. Les vannes d’air doivent avoir un marquage individuel indiquant les données d’étalonnage en usine
qui leur sont particulières. Ces données doivent comprendre au minimum : le numéro d’étiquette,
le numéro de série, le numéro de modèle, les valeurs des mesures effectuées aux huit débits (dans
le cas d’un dispositif électronique) et les numéros relatifs au contrôle de la qualité. Tous ces
renseignements devront être conservés par le fabricant dans la documentation de conformité à
l’exécution.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
3.01 INSTALLATION
A. Installer les vannes d’air sur les conduits et raccorder la tringlerie des vannes à leur actionneur.
B. Assurer la coordination et la supervision de la partie des travaux effectuée aux termes de la Division 25,
qui comprend :
1. L’installation des détecteurs de position de porte des hottes, des boîtes d’interface, des détecteurs
de présence et de mouvement et du contrôleur de hotte.
a. Les détecteurs de position de portes à bobine et leurs câbles en acier doivent être dissimulés.
Les détecteurs de position de portes à barre doivent être fixés sur chaque panneau de porte
individuel.
1) Voir à ce que les boîtes contenant les cartes d’interface soient installées à un endroit
facilement accessible.
2) Voir à ce que les contrôleurs de hotte encastrables fassent l’objet de la coordination
nécessaire avec le fabricant des hottes pour que ce dernier découpe le panneau en
façade de la hotte pour accueillir le contrôleur. Fournir le gabarit de découpage au
fabricant des hottes.
2. L’installation des routeurs et des répéteurs.
a. Voir à ce qu’ils soient installés à un endroit facilement accessible à l’intérieur ou près de la
pièce désignée.
3. L’installation de tout le câblage d’alimentation électrique, des transformateurs 24 V. CA et des blocs
d’alimentation électrique.
a. Les transformateurs doivent être protégés par fusibles convenant à un câblage de basse
tension conformément au Chapitre V du CCQ.
4. Chaque zone de pressurisation devra être équipée soit d’un sectionneur de circuit primaire
monophasé qui lui est propre ou d’un sectionneur de circuit secondaire. L’installer au mur, à
l’intérieur du plafond, juste au-dessus de la porte principale de la pièce à un endroit facilement
accessible.
5. L’installation de tout le câblage de commande.
a. Seuls des câbles du type et des marques recommandés spécifiquement par le fabricant du
SAVL doivent être utilisés. Lorsque des câbles multibrins sont indiqués, utiliser des câbles
avec suffisamment de brins de sorte qu’un seul câble soit nécessaire (il est interdit, par
exemple, d’utiliser deux câbles à quatre brins pour remplacer un câble à huit brins).
A. Pour les vannes sans brides, procéder à l’installation des vannes d’air en les emboîtant dans les
conduits d’air (emboîtement mâle-femelle). Recouvrir les joints à l’aide d’un ruban spécialement conçu
pour cette application approuvé par le fabricant des vannes. Installer ensuite les collets de serrage
provenant du fabricant des vannes.
1. Déterminer si les extrémités des vannes doivent constituer les bouts femelles ou les bouts mâles
en fonction des indications du fabricant. Il est possible que ces indications dépendent du diamètre
des vannes.
B. Il est interdit d’utiliser des vis à métal pour raccorder les vannes d’air au conduit d’air.
A. Effectuer la vérification finale et de la production des rapports sur les débits d’air conformément aux
prescriptions de la Section 23 05 93.06 – Essai, réglage et équilibrage (ERÉ) des systèmes aérauliques.
A. Engager un représentant de service autorisé par le fabricant et qui sera chargé d'effectuer la mise en
service du SAVL.
1. Effectuer les vérifications d'installation et de mise en marche selon les directives écrites du
fabricant.
2. Vérifier que l'installation des câbles électriques est conforme aux documents soumis par le
fabricant et aux exigences définies dans les Sections de la Division 26.
3. Mettre les circuits sous tension.
4. Démarrer le système et en vérifier le fonctionnement selon toutes les séquences complètes.
B. La mise en service inclut l’étalonnage du contrôleur de hotte de captation et des détecteurs de position
de portes des hottes (qui sont fournis par le fabricant des hottes), la vérification électronique du débit
d’air (évacuation de hotte de captation, alimentation, appoint, évacuation générale, retour), la
programmation des composants du SAVL et son intégration au SCCÉ (le cas échéant).
3.05 RÉGLAGES
A. Régler tous les points de consigne de tous les composants du SAVL aux valeurs indiquées.
A. Engager un représentant de service autorisé par le fabricant et qui sera chargé de former le personnel
d’entretien du Propriétaire en matière de réglage, de fonctionnement et d’entretien du SAVL. Fournir un
minimum de 16 heures de formation.
1. Huit heures pour la formation de base concernant l’équipement et le logiciel d’exploitation.
2. Huit heures pour une formation spéciale concernant le logiciel de mise en service « Workbench ».
3. Quatre heures pour des sujets au choix du Propriétaire.
B. La formation de base doit porter sur les sujets suivants : vue d’ensemble des types de vannes d’air et
contrôleurs particuliers au projet, vérification de l’étalonnage initial des contrôleurs de hottes, procédures
de vérification des débits d’air dans les vannes et procédures générales de dépannage.
C. Des manuels d’exploitation et d’entretien comprenant les schémas de câblage et les listes des
composants installés doivent être fournis à chaque personne recevant la formation.
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 4
3.02 ROBINETTERIE...............................................................................................................................4
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières, ainsi que les Sections de spécification de la Division 01.
1.02 RÉFÉRENCES
A. ANSI
1. ANSI/ASME B16.5 : Pipe Flanges and Flanged Fittings.
2. ANSI B16.18 : Cast Copper Alloy Solder Joint Pressure Fittings.
3. ANSI/ASME B16.22 : Wrought Copper and Copper Alloy Solder-Joint Pressure Fittings.
4. ANSI B18.2.1 : Square and Hex Bolts and Screws.
B. ASTM
1. ASTM A47M : Specification for Ferritic Malleable Iron Castings.
2. ASTM A53 : Specification for Pipe, Steel, Black and Hot-Dipped, Zinc Coated, Welded and
Seamless.
3. ASTM B32 : Specification for Solder Metal.
4. ASTM B75M : Specification for Seamless Copper Tube [Metric].
D. CSA
1. CSA B149.1, Code d'installation du gaz naturel.
2. W47.1, Certification des compagnies de soudage par fusion des structures en acier.
B. Identifier les éléments visés sur la documentation fournie par le fabricant, soit appareils de robinetterie.
A. Fournir les fiches d'exploitation et d'entretien requises et les joindre au manuel mentionné à la
Section 01 78 00 – Éléments à soumettre à l’achèvement des travaux.
PARTIE 2 - PRODUITS
2.01 TUYAUTERIE
A. Tuyaux en acier : conformes à la norme ASTM A53, série 40, sans joint longitudinal et ayant les
caractéristiques suivantes.
1. Tuyaux de diamètre DN ½ à DN 2 : extrémités à visser.
2. Tuyaux de diamètre DN 2½ et plus : extrémités lisses.
2.02 JOINTS
D. Métaux d’apport pour brasage: Alliage avec point de fusion supérieur à 540°C (1000°F) conforme à
AWS A5.8/A5.8M. Les alliages de brasage contenant plus de 0.05 pourcent de phosphore sont interdit.
2.03 RACCORDS
2.04 ROBINETS
A. Robinets du type à tournant sphérique, lubrifiés, conformes aux exigences du code provincial pertinent.
B. Produit(s) acceptable(s) :
1. 2 po et moins : Jenkins fig. 201J, Crane ou Kitz.
2. 2½ po et plus : Newman Milliken, Fig. 171 M.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
3.01 TUYAUTERIE
A. Installer la tuyauterie conformément aux exigences des codes provinciaux ou territoriaux pertinents.
C. Utiliser des raccords conformes aux normes de l'ANSI pour assembler la tuyauterie.
D. Sauf indication contraire, raccorder la tuyauterie au matériel conformément aux instructions du fabricant.
E. Installer la tuyauterie en l'inclinant vers les points bas, dans le sens de l'écoulement du fluide.
G. Utiliser des réducteurs excentriques pour raccorder des tuyaux de diamètres différents; les orienter de
façon à assurer un bon écoulement du fluide.
H. Prévoir un dégagement suffisant pour permettre l'accès aux éléments et l'entretien de ces derniers.
I. Ébarber les extrémités des tuyaux, détartrer ces derniers puis les nettoyer, tant à l'intérieur qu'à
l'extérieur.
3.02 ROBINETTERIE
A. Sauf indication contraire de la part de l'Ingénieur, installer les robinets, les vannes et clapets de manière
que leur tige soit à la verticale ou à l'horizontale.
B. Installer des robinets aux points de dérivation, afin de pouvoir isoler chaque appareil, et aux autres
endroits indiqués.
A. Faire l'essai du réseau conformément aux normes CAN/CGA B149.1 et CAN/CGA B149.2 et aux
exigences des autorités compétentes.
3.04 PURGE
A. Une fois les essais sous pression terminés, faire une purge conformément aux normes CAN/CGA
B149.1 et CAN/CGA B149.2.
1.04 DÉFINITIONS..................................................................................................................................5
PARTIE 3 - EXÉCUTION.......................................................................................................... 15
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières, ainsi que les Sections de spécification de la Division 01.
1.02 SOMMAIRE
A. Cette Section traite des matériaux des tuyaux et raccords, des méthodes d'assemblage, ainsi que des
robinets et composants à usage spécialisé se rapportant aux tuyauteries ci-après :
1. Tuyauteries d'eau chaude de chauffage.
2. Tuyauteries d'eau chaude de chauffage au glycol.
3. Tuyauteries d'eau refroidie.
4. Tuyauteries d'eau de condenseur au glycol.
5. Tuyauteries d’eau d’appoint.
6. Tuyauteries d’évacuation de condensat.
7. Tuyauteries de purge.
8. Tuyauteries des purgeurs d’air.
9. Tuyauteries d'entrée et de sortie de soupapes de sûreté.
1.03 RÉFÉRENCES
C. ASME International
1. ASME B1.20.1-83: Pipe Threads, General Purpose, Inch
2. ASME B16.1-98: Cast Iron Pipe Flanges and Flanged Fittings
3. ASME B16.3-98: Malleable Iron Threaded Fittings
4. ASME B16.4-98: Cast Iron Threaded Fittings
5. ASME B16.5-96: Pipe Flanges and Flanged Fittings, NPS1/2 to NPS24
D. ASTM International
1. ASTM A 47/A 47M-99: Specification for Ferritic Malleable Iron Castings
2. ASTM A 53/A 53M-02: Specification for Pipe, Steel, Black and Hot-Dipped, Zinc-Coated, Welded
and Seamless
3. ASTM A 106-02a: Specification for Seamless Carbon Steel Pipe for High-Temperature Service
4. ASTM A 126-95 (Reapproved 2001): Specification for Gray Iron Castings for Valves, Flanges, and
Pipe Fittings
5. ASTM A 234/A 234M-02: Specification for Piping Fittings of Wrought Carbon Steel and Alloy Steel
for Moderate and High Temperature Services
6. ASTM A 307-03: Specification for Carbon Steel Bolts and Studs, 60 000 PSI Tensile Strength
7. ASTM A 312/A 312M-07 : Specification for Seamless, Welded, and Heavily Cold Worked Austenitic
Stainless Steel Pipes
8. ASTM A 536-84 (Reapproved 1999): Specification for Ductile Iron Castings
9. ASTM A 733-03: Specification for Welded and Seamless Carbon Steel and Austenitic Stainless
Steel Pipe Nipples
10. ASTM A 815/A 815M-04: Specification for Wrought Ferritic, Ferritic/Austenitic, and Martensitic
Stainless Steel Piping Fittings.
11. ASTM B 32-00: Specification for Solder Metal
12. ASTM B 75-02: Specification for Seamless Copper Tube
13. ASTM B 75M-99: Specification for Seamless Copper Tube [Metric]
14. ASTM B 88-02: Specification for Seamless Copper Water Tube
15. ASTM B 88M-99: Specification for Seamless Copper Water Tube [Metric]
16. ASTM B 584-00: Specification for Copper Alloy Sand Castings for General Applications
17. ASTM B 813-00: Specification for Liquid and Paste Fluxes for Soldering Applications of Copper and
Copper Alloy Tube
18. ASTM B 828-02: Practice for Making Capillary Joints by Soldering of Copper and Copper AlloyTube
and Fittings
19. ASTM D 2809-09 : Standard Test Method for Cavitation Corrosion and Erosion-Corrosion
Characteristics of Aluminum Pumps With Engine Coolants.
20. ASTM D 4340-10 : Standard Test Method for Corrosion of Cast Aluminum Alloys in Engine
Coolants Under Heat-Rejecting Conditions
1.04 DÉFINITIONS
A. Brasage tendre : brasage mettant en œuvre des températures inférieures à 450°C (842°F) ; le terme
technique anglais correspondant est soldering.
B. Brasage dur : brasage mettant en œuvre des températures supérieures à 450°C (842°F) ; le terme
technique anglais correspondant est brazing :
C. PTFE : polytétrafluoroéthylène.
B. Dessins d’atelier : définir les détails, à l'échelle 1:50 (1/4), de la disposition des tuyauteries, de
fabrication des ancrages, pendards et supports de tuyauteries multiples, des guides d'alignement, des
joints et des lyres de dilatation, ainsi que des éléments de fixation à la structure du bâtiment. Définir en
détail l'emplacement des ancrages, guides d'alignement, joints et lyres de dilatation.
B. Certificats en soudage.
C. Dans le cas d'un système contenant un antigel ou une solution de glycol, rapport d’analyse par
chromatographie en phase gazeuse pour la concentration de propylène glycol de la solution diluée.
A. Données d’exploitation et d’entretien : celles relatives aux purgeurs d’air, aux accessoires spéciaux et
aux robinets à usage spécialisé qui doivent figurer dans les manuels d'intervention d'urgence,
d'exploitation et d'entretien.
A. Appareil de mesure de pression différentielle : pour chaque type de robinet d'équilibrage et de robinet de
régulation de débit, prévoir un débitmètre, des sondes, des boyaux, des courbes de débit et une mallette
de transport.
A. Qualifications de l'installateur :
1. Installateur de joints scellés par sertissage (cuivre) : le fabricant de joints scellés par sertissage doit
certifier que les installateurs ont été formés et sont qualifiés pour assembler des tuyauteries à l'aide
de collets et de raccords à joints scellés par sertissage.
B. Soudage des supports en acier : déterminer les procédés et habiliter les opérateurs selon
l’AWS D1.1/D1.1M, « Structural Welding Code - Steel. »
C. Soudage : qualifier les procédés et les opérateurs selon le code ASME Boiler and Pressure Vessel
Code : Section IX :
1. Se conformer aux exigences de la série de codes ASME B31, « Code for Pressure Piping ».
2. Certifier que chaque soudeur a réussi les examens de qualification AWS se rapportant aux
procédés de soudage concernés et que la certification correspondante est valide.
D. Conformité ASME : se conformer aux exigences ASME B31.9, « Building Services Piping » pour les
matériaux, les produits et l'installation. Les soupapes de sûreté et les vaisseaux sous pression doivent
porter le sceau ASME approprié. Fabriquer et étiqueter les séparateurs d'air et les réservoirs de
dilatation conformément aux exigences du code ASME Boiler and Pressure Vessel Code : Section VIII,
Division 01.
PARTIE 2 - PRODUITS
A. Se conformer aux exigences de la Partie 3 pour le choix des matériaux des tuyaux, tubes et raccords et
les méthodes d’assemblage pour les services spécifiques, la localisation des services et les dimensions
des tuyaux.
A. Tubes en cuivre à l'état étiré : ASTM B 88M, type B (ASTM B 88, type L).
D. Variante de té en cuivre obtenue par formage mécanique : pour réaliser une sortie d'embranchement sur
un tuyau en cuivre.
1. Fabricants : sous réserve de leur conformité au devis, les produits seront fournis par le fabricant
suivant :
a. T-DRILL Industries Inc.
A. Tuyaux en acier : acier noir ASTM A 53/A 53M, à extrémités unies; type, grade et épaisseur de paroi
selon les indications de la Partie 3.
B. Raccords à visser en fonte malléable : ASME B16.3; classes 150 et 300 selon les indications de la
Partie 3.
C. Raccords unions en fonte malléable : ASME B16.39; classes 150, 250 et 300 selon les indications de la
Partie 3.
D. Raccords en acier forgé : ASME A 234/A 234M, épaisseur de paroi correspondant à celle du tuyau
adjacent.
E. Brides en acier coulé et en acier forgé et raccord à brides : ASME B16.5, incluant les boulons, écrous et
joints d'étanchéité correspondant au groupe de matériaux, raccordements d'extrémité et faces de joints
suivants :
1. Groupe de matériaux : 1.1.
2. Raccordements d’extrémité : extrémités à souder en bout.
3. Faces de brides : face surélevée.
F. Mamelons en acier : ASTM A 733, fabriqués dans le même matériau et de la même épaisseur de paroi
que les tuyaux sur lesquels ils sont installés.
A. Tuyaux en acier inoxydable : acier inoxydable ASTM A 312/A 312M à extrémités unies; type, grade et
épaisseur de paroi selon les indications de la Partie 3.
A. Matériaux de joints d’étanchéité pour brides : conçus pour les produits chimiques contenus dans le
système de tuyauterie et la température prévue.
1. ASME B16.21, non métallique, plat, exempt d'amiante, épaisseur maximale de 3,2 mm (1/8 pouce),
sauf lorsqu'une épaisseur ou un matériau particuliers sont spécifiés.
a. De face pleine : pour brides à face plate en fonte et en bronze moulé, classe 125.
b. De face de faible largeur : pour brides à face surélevée en fonte et en acier, classe 250.
B. Boulons et écrous de brides : ASME B18.2.1, acier au carbone, sauf indications contraires.
C. Métaux d'apport pour brasage tendre : alliages sans plomb ASTM B 32. Comprennent les flux de
brasage lavables à l'eau selon la norme ASTM B 813.
D. Métaux d'apport pour brasage dur : alliages de cuivre-phosphore AWS A5.8, série BCuP, pour
assemblages cuivre sur cuivre, ou alliage d'argent BAg-1, pour assemblages cuivre sur bronze ou acier.
E. Métaux d'apport pour soudage : conformité à AWS D10.12/D10.12M en ce qui a trait aux matériaux
d'apport pour soudage convenant à l'épaisseur de paroi et à la composition chimique des tuyaux en
acier à souder.
F. Matériau de joints d’étanchéité : épaisseur, matériaux et types convenant au fluide à véhiculer, ainsi qu'à
la température et à la pression de service.
A. Exigences générales : pour l'assemblage d'un alliage de cuivre et de métaux ferreux avec matériau
isolant non conducteur. Prévoir des extrémités de raccordement compatibles avec les tuyaux à
assembler.
B. Unions diélectriques :
1. Fabricants : sous réserve de la conformité de leurs produits avec les spécifications, retenir les
services de l'un des fabricants suivants :
a. Capitol Manufacturing Company.
b. Central Plastics Company.
c. Hart Industries International, Inc.
d. Jomar International Ltd.
e. Matco-Norca, Inc.
f. McDonald, A. Y. Mfg. Co.
g. Watts Regulator Co., une division de Watts Water Technologies Inc.
h. Wilkins, une compagnie Zurn.
2. Description :
a. Norme : ASSE 1079.
b. Pression nominale : 1 035 kPa (150 psig).
c. Raccordements d’extrémité : alliage de cuivre pour brasure tendre et métal ferreux fileté.
C. Brides diélectriques :
1. Fabricants : sous réserve de la conformité de leurs produits avec les spécifications, retenir les
services de l'un des fabricants suivants :
a. Capitol Manufacturing Company.
b. Central Plastics Company.
c. Matco-Norca, Inc.
d. Watts Regulator Co., une division de Watts Water Technologies Inc.
e. Wilkins, une compagnie Zurn.
2. Description :
A. Raccordement
1. Appareils de robinetterie de diamètre égal ou inférieur à DN 2 : extrémités à visser.
2. Appareils de robinetterie de diamètre égal ou supérieur à DN 2-1/2 : extrémités à brides.
B. Vannes à papillon
1. Vannes de diamètre égal ou supérieur à DN 2-1/2 : à brides, à oreilles, selon les prescriptions de la
Section 23 05 23.09 - Robinetterie d’usage général pour tuyauterie de CVCA – Fonte.
C. Robinets d'évacuation : robinets-vannes, classe 125, tige fixe, opercule monobloc à coin, selon les
prescriptions de la Section 23 05 23.06 Robinetterie d’usage général pour tuyauterie de CVCA –
Bronze.
e. Preso.
f. Taco.
g. Tour & Andersson.
2. Corps : en fonte ou acier, à tournant sphérique, conique ou à soupape, à orifice ou venturi
étalonné.
3. Sphère : laiton ou acier inoxydable.
4. Joints de tige : joints toriques en EPDM.
5. Disque : PTFE armé de verre et de carbone.
6. Siège : PTFE.
7. Raccordements d’extrémité : à brides ou à rainures.
8. Raccords pour manomètre : joints incorporés pour appareil de mesure de pression différentielle
portable.
9. Poignée : à levier, avec butée à mémoire permettant de conserver la position de réglage.
10. Pression nominale CWP (eau froide) : minimum 860 kPa (125 psig).
11. Température maximale de service : 121ºC (250ºF).
A. Produit de référence : sous réserve de la conformité au devis, le produit Armstrong International; modèle
GD-24 ou un produit comparable sera fourni par l’un des fabricants suivants :
1. CLA-VAL.
2. Watts Regulator Co.; une division de Watts Water Technologies, Inc.
3. Zurn Industries, LLC; Plumbing Products Group; Wilkins Water Control Products.
E. Raccordements : filetés.
F. Diamètre, capacité et pression de service des robinets : choisis en fonction du système dans lequel ils
sont installés, avec pression de service et capacité réglées en usine et modifiables sur place.
A. Fabricants : sous réserve de leur conformité au devis, les produits seront fournis par l'un des fabricants
suivants :
1. Conbraco Industries, Inc.
2. Spence Engineering Company, Inc.
D. Siège : laiton.
F. Membrane : EPT.
J. Diamètre, capacité et pression de service des robinets : conformes aux exigences du code ASME Boiler
and Pressure Vessel Code : Section IV et choisis en fonction du système dans lequel ils sont installés,
avec pression de service et capacité réglées en usine et modifiables sur place.
A. Réservoir : en acier soudé, conçu pour une pression de service de 860 kPa (125 psig) et une
température maximale de service de 191ºC (375ºF). Le réservoir étant muni de ses bossages taraudés
et de ses supports, il doit être soumis à des essais en usine et étiqueté conformément aux exigences du
code ASME Boiler and Pressure Vessel Code : Section VIII, Division 1.
B. Vessie : solidement fixée dans le réservoir afin de séparer l'air sous pression de l'eau du système et
ainsi obtenir la capacité de dilatation nécessaire.
C. Dispositifs de charge d'air : soupape Schrader, en acier inoxydable, avec sièges en EPDM.
A. Propylène glycol
1. Produit : sous réserve de sa conformité au devis, fournir le produit Recofreeze AL 50/50 de
Recochem Inc.ou un produit comparable.
2. Propylène glycol :
a. De qualité industrielle, contenant des inhibiteurs de corrosion et agents stabilisateurs
environnementaux pour mélange avec de l'eau dans les systèmes conçus pour recevoir des
solutions d'antigel ou de glycol.
b. Entièrement compatible avec l’aluminium, la fonte d’aluminium et autres alliage d’aluminium et
certifié comme ayant subi les essais à cet effet selon ASTM D2809 et ASTM D4340.
B. Quantité : quantité suffisante de solution pour le démarrage initial du système et pour l'entretien préventif
durant une année à compter de la date d'Achèvement substantiel des travaux.
C. Le produit Recofreeze AL 50/50 est prémélangé. Pour les produits non mélangés :
1. Eau de dilution : la teneur en chlorures doit être inférieure à 25 ppm, celle en sulfates inférieure à
25 ppm et la dureté inférieure à 100 ppm.
2. Voir l’article Remplissage de solution antigel de la Partie 3 pour les pourcentages requis après
dilution avec l’eau, pour chaque système.
2.14 FILTRES
A. Filtres en Y :
1. Corps : fonte ASTM A 126, grade B, avec couvercle boulonné et raccord de vidange inférieur.
2. Raccordements d’extrémité : à visser pour un diamètre nominal inférieur ou égal à DN 50 (NPS 2);
raccordements à brides pour un diamètre supérieur ou égal à DN 65 (NPS 2-1/2).
3. Tamis de filtre : Filtre de mise en service de maille 40 et panier en acier inoxydable perforé dont la
section nette de passage est de 50 pour cent.
4. Pression nominale CWP (eau froide) : 860 kPa (125 psig).
A. Les raccords de dilatation sont spécifiées dans la Section 23 05 16 - Raccords et lyres de dilatation pour
tuyauteries de CVCA.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
A. Les spécifications des tuyauteries de chauffage à l'eau chaude, hors-sol, de diamètre nominal DN 50
(NPS 2) et moins doivent correspondre à l'une des suivantes :
1. Tuyaux en acier série 40; raccords, brides en fonte, raccords à brides et joints vissés classe 150,
fonte malléable.
2. Tuyaux en acier inoxydable, de nuance 304, série 10; raccords et joints soudés.
B. Les spécifications des tuyauteries de chauffage à l'eau chaude, hors-sol, de diamètre nominal DN 65
(NPS 2-1/2) et plus doivent correspondre à l'une des suivantes :
1. Tuyaux en acier série 40; raccords en acier forgé, brides et raccords à brides en acier coulé et en
acier forgé, ainsi que joints soudés et à brides.
2. Tuyaux en acier inoxydable, de nuance 304, série 10; raccords et joints soudés et à brides
classe 150.
A. Les spécifications des tuyauteries d'eau refroidie, hors-sol, de diamètre nominal DN 50 (NPS 2) et moins
doivent correspondre à l'une des suivantes :
1. Tuyaux en acier série 40; raccords, brides en fonte, raccords à brides et joints vissés classe 150,
fonte malléable.
2. Tuyaux en acier inoxydable, de nuance 304, série 10; raccords et joints soudés.
B. Les spécifications des tuyauteries d'eau refroidie, hors-sol, de diamètre nominal DN 65 (NPS 2-1/2) et
plus doivent correspondre à l'une des suivantes :
1. Tuyaux en acier série 40, raccords en acier forgé, brides et raccords à brides en acier coulé et en
acier forgé, ainsi que joints soudés et à brides.
2. Tuyaux en acier inoxydable, de nuance 304, série 10; raccords et joints soudés et à brides
classe 150.
A. Les spécifications des tuyauteries d'eau de condenseur, hors-sol, de diamètre nominal DN 50 (NPS 2) et
moins doivent correspondre à l'une des suivantes :
1. Tuyaux en acier série 80; raccords, brides en fonte, raccords à brides et joints vissés classe 150,
fonte malléable.
2. Tuyaux en acier inoxydable, de nuance 304, série 10; raccords et joints soudés.
B. Les spécifications des tuyauteries d'eau de condenseur, hors-sol, de diamètre nominal DN 65 (NPS 2-
1/2) et plus doivent correspondre à l'une des suivantes :
1. Tuyaux en acier série 80, raccords en acier forgé, brides et raccords à brides en acier coulé et en
acier forgé, ainsi que joints soudés et à brides.
2. Tuyaux en acier inoxydable, de nuance 304, série 10; raccords et joints soudés et à brides
classe 150.
A. Les tuyauteries d'eau d'appoint installées hors-sol doivent correspondre aux suivantes :
1. Tubes de type B (L), en cuivre à l'état étiré, raccords en cuivre battu et joints brasés (brasure forte).
A. Tuyauteries d’évacuation de condensat : tubes de type C (M), en cuivre à l'état étiré, raccords en cuivre
battu et joints brasés (brasure tendre).
A. Tuyauteries de purge : mêmes matériaux et méthodes d'assemblage que pour les tuyauteries spécifiées
pour le système dans lequel une purge est installée.
A. Entrée : identiques à celles du système dans lequel elles sont installées, selon les directives écrites du
fabricant des tuyaux.
B. Sortie : tuyaux de type A (K), en cuivre à l'état recuit, avec joints brasés (brasure tendre) ou à
évasement.
A. Mêmes matériaux et méthodes d'assemblage que pour les tuyauteries spécifiées pour le système dans
lequel les soupapes de sûreté sont installées, selon les directives écrites du fabricant des tuyaux.
A. Installer des robinets d'arrêt sur chacun des raccordements d'embranchements à une conduite
principale, ainsi que sur le raccordement d'alimentation d’une pièce d’équipement.
B. Installer des robinets d'équilibrage à orifice étalonné sur chacun des raccordements d'embranchements
à la conduite principale de retour.
C. Installer des robinets d'équilibrage à orifice étalonné dans la tuyauterie de retour de chaque appareil de
chauffage ou de refroidissement.
D. Installer un clapet de non-retour au refoulement de chaque pompe, ainsi qu'aux endroits nécessitant un
contrôle du sens d'écoulement.
E. Installer des soupapes de sûreté sur les appareils de production d'eau chaude, ainsi qu'aux endroits
exigés selon le code ASME Boiler and Pressure Vessel Code. Installer un coude avec bac
d'égouttement sur la tuyauterie de sortie des soupapes de sûreté et amener la tuyauterie, sans robinet
vers l'extérieur; amener la tuyauterie de drainage au drain de plancher le plus proche ou selon les
indications des dessins. Se conformer aux exigences du code ASME Boiler and Pressure Vessel Code :
Section VIII, Division 1, en ce qui a trait à l'installation.
F. Installer une soupape de réduction de pression sur le raccordement au système d'eau d'appoint, afin de
réguler la pression de remplissage.
A. Les plans, schémas et diagrammes indiquent de manière générale l'emplacement et la disposition des
systèmes de tuyauteries. Ils indiquent les emplacements et dispositions des tuyauteries, qui ont été pris
en compte pour dimensionner les tuyauteries et calculer les pertes de charge, la dilatation, les pompes
et réaliser les autres parties de la conception. Installer les tuyauteries selon les indications, à moins que
des écarts par rapport à l'implantation aient été approuvés sur les plans de coordination.
B. Installer les tuyauteries en les dissimulant, sauf indications contraires et à l'exception des salles
d'équipements et des secteurs de service.
C. Installer les tuyauteries qui doivent être apparentes et celles situées dans les salles d'équipements et les
secteurs de service perpendiculairement ou parallèlement aux murs de l'immeuble. Les tronçons en
diagonale sont interdits sauf indications contraires spécifiques.
D. Installer les tuyauteries au-dessus d'un plafond accessible en prévoyant suffisamment d'espace pour le
retrait des panneaux de plafond.
G. Lors de l'installation des tuyauteries, éviter les points de fléchissement et les cintres.
J. Sélectionner des composants dont la pression nominale est supérieure ou égale à la pression de service
du système.
K. Installer les groupes de tuyauteries en parallèle en prévoyant un espace suffisant pour la pose de
l'isolation et l'entretien des robinets.
L. Installer des tuyauteries de vidange, comprenant un raccord en té, un robinet à tournant sphérique de
DN 20 (NPS 3/4) et un mamelon court fileté avec bouchon, de DN 20 (NPS 3/4) aux points bas des
conduites principales d'un système de tuyauterie et autres endroits jugés utiles pour la vidange du
système.
M. Installer la tuyauterie en prévoyant une pente montante de 0,2 pour cent dans le sens de l'écoulement.
N. Réduire les diamètres de tuyauteries au moyen de réductions excentriques installées côté plat au-
dessus.
O. Raccorder les embranchements aux conduites principales à l'aide de raccords en té fabriqués par
formage mécanique, les embranchements étant raccordés sur le dessous des conduites principales.
Dans le cas d'une colonne montante d'alimentation, raccorder l'embranchement sur le dessus de la
conduite principale.
P. Installer les robinets selon les exigences spécifiées dans les Sections de la série 23 05 23 - Robinetterie
d’usage général pour tuyauteries de CVCA.
Q. Installer des raccords unions sur les tuyauteries de diamètre nominal inférieur ou égal à DN 50 (NPS 2),
adjacents aux robinets, au point de raccordement final à chaque équipement et autres endroits indiqués.
R. Installer des brides sur les tuyauteries de diamètre nominal supérieur ou égal à DN 65 (NPS 2-1/2) au
point de raccordement final à chaque équipement et autres endroits indiqués.
S. Installer un filtre à tamis du côté entrée de chaque vanne de régulation, réducteur de pression,
électrovanne, pompe en ligne et autres endroits indiqués. Installer un mamelon et un robinet à tournant
sphérique de diamètre nominal DN 20 (NPS 3/4) sur le raccord de purge des filtres à tamis de diamètre
nominal supérieur ou égal à DN 50 (NPS 2). Dans le cas des filtres à tamis de diamètre nominal
inférieur à DN 50 (NPS 2), installer des composants de même diamètre que le raccord de purge.
U. Installer des lyres de dilatation, joints de dilatation, ancrages et guides d'alignement de tuyauteries selon
les prescriptions de la Section 23 05 16 - Raccords et lyres de dilatation pour tuyauteries de CVCA.
V. Identifier les tuyauteries selon les prescriptions de la Section 23 05 53 - Identification pour la tuyauterie
et l’équipement de CVCA.
W. Installer des manchons aux endroits où les tuyauteries passent dans un mur, un plafond et un plancher.
Se conformer aux exigences sur les manchons de la Section 23 05 00 – Exigences communes
concernant les travaux de CVCA.
X. Installer des joints d’étanchéité de manchons aux endroits où les tuyauteries passent dans un mur
extérieur en béton ou une dalle de béton sur sol. Se conformer aux exigences sur les joints d'étanchéité
de manchons de la Section 23 05 00 – Exigences communes concernant les travaux de CVCA.
Y. Installer des écussons aux endroits où les tuyauteries passent dans un mur, un plafond ou un plancher.
Se conformer aux exigences sur les écussons de la Section 23 05 00 – Exigences communes
concernant les travaux de CVCA.
A. Installer des raccords diélectriques pour connecter des tuyaux et tubes faits de métaux différents.
C. Raccords diélectriques pour DN 65 à DN 100 (NPS 2-1/2 à NPS 4) : Utiliser des brides diélectriques.
D. Raccords diélectriques pour DN 125 (NPS 5) et plus : Utiliser des ensembles d’isolation à brides
diélectriques.
A. Les pendards, supports et ancrages sont spécifiés dans la Section 23 05 29 - Supports et suspension
pour tuyauterie et équipement de CVCA. Satisfaire aux exigences ci-après concernant l'espacement
maximal des supports.
B. Les dispositifs de retenue parasismique sont spécifiés dans la Section 23 05 48 - Systèmes et dispositifs
antivibratoires et parasismiques pour tuyauteries et appareils de CVCA.
5. Fournir des pendards et des supports revêtus de cuivre, lorsqu'ils sont en contact direct avec une
tuyauterie en cuivre.
D. Installer les pendards pour tuyauteries en acier en respectant les espacements maximaux et les
diamètres de tiges minimaux suivants :
E. Installer les pendards pour tuyauteries en cuivre à l'état étiré en respectant les espacements maximaux
et les diamètres de tiges minimaux suivants :
F. Supporter les tronçons verticaux au niveau du toit, de chaque plancher et à des intervalles de 3 m
(10 pieds) entre les étages.
A. Assembler les tuyaux et raccords conformément aux prescriptions ci-après et des Sections de la
Division 23 dans lesquelles sont spécifiés les systèmes de tuyauteries.
B. Aléser les extrémités des tuyaux et ôter les bavures. Chanfreiner les extrémités unies des tuyaux en
acier.
C. Avant assemblage, ôter les écailles, le laitier, la saleté et les débris de l'intérieur et de l'extérieur des
tuyaux et raccords.
D. Joints brasés (brasure tendre) : enduire l'extrémité des tuyaux de flux de brasage lavable à l'eau selon la
norme ASTM B 813, sauf indications contraires. Réaliser les joints selon la norme ASTM B 828 ou le
manuel de la CDA, intitulé « Copper Tube Handbook », en employant un alliage pour brasure tendre
sans plomb conforme à la norme ASTM B 32.
E. Joints brasés (brasure dure) : réaliser les joints selon les prescriptions du manuel de l'AWS, intitulé
« Brazing Handbook », chapitre « Pipe and Tube », en employant un alliage de cuivre-phosphore pour
brasure dure conforme à la norme AWS A5.8.
F. Joints vissés : prévoir des filetages coniques pour tuyaux conformes à ASME B1.20.1. Tailler des filets
complets et nets à l'aide de filières bien aiguisées. Aléser les extrémités filetées des tuyaux afin d'ôter
les bavures et de ramener le DI (diamètre intérieur) à sa valeur maximale. Assembler les raccords de
tuyauterie et les robinets de la manière suivante :
1. Mettre un ruban ou un produit d’étanchéité sur les filets extérieurs des tuyaux, sauf lorsqu'un
filetage étanche à sec est spécifié.
2. Filets endommagés : ne pas utiliser un tuyau ou un raccord dont les filets sont corrodés ou
endommagés. Ne pas utiliser de tronçons de tuyauteries fissurés ou dont les soudures sont
ouvertes.
G. Joint soudés : réaliser les joints selon la norme AWS D10.12/D10.12M, en utilisant des méthodes
qualifiées, mises en œuvre par des opérateurs qualifiés conformément à l'article « Assurance qualité »
de la Partie 1.
H. Joints à brides : sélectionner le matériau, les dimensions, le type et l'épaisseur des joints d'étanchéité en
fonction des conditions de service. Installer le joint d'étanchéité suivant une position concentrique.
Mettre un lubrifiant approprié sur les filets de boulons.
I. Joints sur sorties en cuivre obtenues par formage mécanique : utiliser les outils et la procédure
recommandés par le fabricant, ainsi que des joints brasés.
J. Joints scellés par sertissage (cuivre) : utiliser les outils et la procédure recommandés par le fabricant.
Laisser les repères d'insertion sur les tuyaux après assemblage.
A. Installer les réducteurs de pression avec robinets d’arrêt et manomètres en amont et en aval. Installer
une voie de dérivation avec robinet d’équilibrage à butée mémoire.
B. Dans les plafonds et les endroits apparents, installer des purgeurs d'air manuels aux points hauts de la
tuyauterie, sur les serpentins de transfert de chaleur et à tout endroit nécessaire pour évacuer l'air du
système.
C. Dans les salles d'équipements mécaniques, installer des purgeurs d'air automatiques aux points hauts
des systèmes de tuyauterie.
D. Installer la tuyauterie entre la sortie d'air d'une chaudière, un séparateur d'air ou un purgeur d'air et un
réservoir d'expansion en prévoyant une pente positive de 2 % vers le réservoir.
E. Installer les réservoirs de dilatation sur le plancher. Évacuer et purger l'air du système hydronique et
vérifier que le réservoir a bien été mis en charge selon les exigences définies dans le projet.
A. Les diamètres de raccordement des tuyauteries d'alimentation et de retour doivent être supérieurs ou
égaux à ceux des raccordements sur les équipements.
B. Installer les vannes de régulation dans des endroits accessibles, à proximité des équipements sur
lesquels elles se raccordent.
C. Prévoir un robinet à soupapes sur la tuyauterie de dérivation installée sur une vanne de régulation. Dans
le cas de vannes de régulation installées en parallèle, prévoir une seule dérivation.
D. Installer des puits manométriques et thermométriques sur les raccordements d'entrée et de sortie des
serpentins, selon la Section 23 05 19 – Thermomètres et manomètres pour tuyauterie de CVCA.
A. Se conformer aux indications de la Partie 2, article « Solution antigel », pour le produit à utiliser.
B. Dans le cas d'un système contenant un antigel ou une solution de glycol, respecter les concentrations
suivantes :
1. Tuyauteries d'eau de condenseur et d’eau chaude de chauffage au glycol : exactement 50 % de
propylène glycol, ni plus, ni moins.
C. Analyser la solution diluée par chromatographie en phase gazeuse, afin de vérifier la concentration de
propylène glycol, puis transmettre le rapport à l'Ingénieur.
A. Préparer la tuyauterie hydronique conformément à ASME B31.9 et selon les indications suivantes :
1. Laisser les joints, incluant les soudures, apparents et sans isolant, pour examen lors des essais.
2. Prévoir des dispositifs de retenue temporaires sur les joints de dilatation qui ne peuvent pas
résister aux réactions dues à la pression d'essai. S'il n'est pas possible d'installer de dispositifs de
retenue temporaires, isoler les joints de dilatation de la partie sous essai.
3. Rincer à l'eau claire les systèmes de tuyauteries hydroniques; ensuite, retirer et nettoyer ou
remplacer les tamis de filtres.
4. Isoler les équipements de la tuyauterie. Lorsqu'un robinet sert à isoler un équipement, il doit
demeurer étanche à la fermeture sous la pression d'essai, sans subir de dommages. Installer des
brides pleines dans les assemblages à brides pour isoler les équipements.
5. Installer une soupape de sûreté, réglée à une pression supérieure à la pression d'essai, d’au plus
1/3, pour une protection contre tout dommage dû à une dilatation du liquide ou à une autre cause
de surpression durant les essais.
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 5
3.01 INSTALLATION................................................................................................................................5
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les dessins et les dispositions générales du contrat, incluant les
Conditions générales et les Conditions supplémentaires, ainsi que les Sections de la Division 01.
1.02 RÉFÉRENCES
A. Québec
1. CCQ : Code de construction du Québec – Chapitre V, Électricité.
B. Données techniques sur les produits : pour chaque type de produit indiqué.
A. Certification de qualification sismique du fabricant : Fournir une certification à l’effet que les appareils,
leurs composants et leurs accessoires résisteront aux forces sismiques définies à la Section 23 05 48 -
Systèmes et dispositifs antivibratoires et parasismiques pour tuyauteries et équipements de CVCA.
Inclure ce qui suit :
1. Base de la certification de résistance aux séismes : Indiquer si la certification est basée sur des
essais ou des calculs.
a. Le terme « résistance » signifie que « l’appareil demeurera en place sans qu’aucune de ses
parties ne se dissocie de l’unité lorsque soumis aux forces sismiques spécifiées et que l’unité
sera pleinement fonctionnelle après l’événement sismique. »
2. Dessins d’encombrement dimensionnés de l’appareil : Identifier le centre de gravité, localiser et
décrire les dispositifs de montage et d’ancrage.
3. Description détaillée des dispositifs d’ancrage de l’appareil sur lesquels la certification est basée et
leurs exigences d’installation.
A. Fournir les fiches d'exploitation et d'entretien requises et les joindre au manuel mentionné à la
Section 01 78 00 – Éléments à soumettre à l’achèvement des travaux.
PARTIE 2 - PRODUITS
C. Arbre : en acier inoxydable, muni de paliers lisses en bronze et d'un anneau de butée incorporé.
D. Étanchéité : garniture mécanique pour une pression de 960 kPa convenant à une température de
service pouvant atteindre 135 °C et compatible avec le liquide recirculé. Joint d’étanchéité en
céramique.
E. Accouplement : à manchon ou rigide, à auto-alignement selon les modèles au bordereau des pompes
sur les dessins.
I. Produit(s) acceptable(s) : Armstrong série 4300, Bell & Gossett, Gould, Paco/Plad.
A. Fournir et installer les pompes centrifuges de type horizontal telles que montrées aux plans et devis.
B. Les pompes sont montées sur une base en acier avec garnitures standards.
C. Refoulement vertical avec une volute en fonte et fini en bronze, divisé radialement et permettant
l’entretien sans avoir à démonter la tuyauterie.
D. Impulseur en bronze pouvant résister à une pression maximale de 150 psig à 120 ºF.
E. Les pompes sont reliées à un moteur horizontal par un accouplement flexible silencieux avec pignon
d’entraînement en caoutchouc pour absorber les chocs ou les vibrations.
2.03 MOTEURS
A. Généralités : corps à angle, avec filtre à tamis incorporé, l'assemblage assurant un minimum de perte de
pression, conçu pour être installé à l'aspiration d'une pompe avec une longueur de tuyau minimale.
B. Corps : pour une pression d'opération maximale de 1 200 kPa (175 lb/po2); en fonte, raccords à bride ou
rainuré côté pompe et réseau.
C. Aube directrice et tamis en acier inoxydable avec perforation de 4.76 mm (0.1875 po) assurant un débit
sans turbulence à l'alimentation de la pompe.
D. Tamis temporaire de mise en service en bronze à mailles no 15, installé par-dessus le tamis permanent.
E. Produit(s) acceptable(s) : Suction Guides de Armstrong Darling, B&G Suction Diffuser de ITT Bell &
Gosset, Suction Diffuser RSP de Taco.
A. Généralités : robinet droit ou à angle servant de clapet de retenue, de robinet d’équilibrage et de robinet
d'arrêt, conçu pour être installé au refoulement d'une pompe avec une longueur de tuyau minimale.
B. Corps : pour pression d'opération maximale de 1 200 kPa (175 lb/po2); en fonte, raccord à bride ou
rainuré côté pompe et réseau.
C. Siège en bronze, disque remplaçable en bronze avec joint inséré en EPDM, tige et ressort en acier
inoxydable.
D. Prises pour manomètres, traits de graduation sur la soupape servant à déterminer le débit, ouverture à
la position d’équilibrage blocable.
E. Produit(s) acceptable(s) : Flo-Trex de Armstrong Darling, Triple Duty de ITT Bell & Gosset, Plus Two
Multi-Purpose Valve de Taco.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
3.01 INSTALLATION
A. Pompes centrifuges de type vertical : monter les pompes de façon que le fluide circule dans le sens
indiqué par la flèche gravée sur le corps, installer des éléments de support aux brides ou aux raccords-
unions des branchements d'aspiration et de refoulement et s'assurer que les points de lubrification sont
accessibles.
B. Pompes montées sur socle : fournir les gabarits servant à établir l'emplacement des boulons d'ancrage,
ainsi que les boulons d'ancrage et leurs manchons, monter les pompes de niveau et, à cette fin, poser
les cales nécessaires et sceller celles-ci au coulis de mortier, aligner les accouplements en respectant
les tolérances recommandées par le fabricant, puis vérifier le niveau d'huile et lubrifier les pompes avant
de les mettre en marche. Une fois le rodage terminé, serrer les presse-garnitures d'étanchéité.
C. Installer les éléments d'appui ou de suspension nécessaires pour que le corps des pompes n'ait pas à
supporter la tuyauterie ou les appareils. Se reporter aux détails et aux instructions de montage du
fabricant.
H. L’alignement et la mise en marche des pompes ainsi que les tests de vibration et d’équilibrage des
pompes seront effectués par le manufacturier des pompes.
I. Le manufacturier devra fournir à l’Ingénieur un certificat de mise en marche qui confirmera que
l’installation sera conforme à ses exigences et que la garantie des pompes demeurera pleine et entière.
A. Installer une crépine d'aspiration sur la canalisation d'aspiration de chacune des pompes.
2.04 ROBINETTERIE...............................................................................................................................3
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 3
3.04 ESSAIS..........................................................................................................................................4
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières, ainsi que les Sections de spécification de la Division 01.
B. Données techniques sur les produits : pour chaque type de produit indiqué.
A. Fournir les fiches d'exploitation et d'entretien requises et les joindre au manuel mentionné à la
Section 01 78 00 – Éléments à soumettre à l’achèvement des travaux.
PARTIE 2 - PRODUITS
A. Tuyaux en acier inoxydable : acier inoxydable ASTM A 312/A 312M à extrémités unies; type, grade et
épaisseur de paroi selon les indications de la Partie 3.
A. Tubes en cuivre à l'état étiré : ASTM B 88M, type B (ASTM B 88, type L).
B. Bande métallique préformée enroulée en spirale avec des couches d’un matériau d’étanchéité plus
souple et compressible qui, durant la compression, se densifie et coule pour remplir les imperfections
sur la face de la bride ; le tout monté entre deux anneaux-guides de métal solide. Bande métallique en
acier inoxydable 304, matériau d’étanchéité en graphite flexible, anneaux en acier au carbone.
2.04 ROBINETTERIE
A. Température d’opération jusqu’à 180 ºC (356 ºF) et pression maximale d’utilisation de 150 psi
1. Robinetterie de NPS 2 et moins, classe 150
a. Robinets vannes (bronze)
1) Bouts taraudés
A) Produit(s) acceptable(s) : Crane, fig. # 431, Jenkins, fig. # 2810J, Kitz, fig. # 42,
Velan S-2054B-02TY.
2) Bouts à souder
A) Produit(s) acceptable(s) : Crane, fig. # 1324, Jenkins, fig. # 313J, Kitz, fig. # 43,
Velan W-2054B-02TY.
b. Robinets à soupapes (bronze)
1) Bouts taraudés
A) Produit(s) acceptable(s) : Crane, fig. # 7, Jenkins, fig. # 106BJ, Kitz, fig. # 09, Velan
S-2074B-02TY
2) Bouts à souder
A) Produit(s) acceptable(s) : Crane, fig. # 1310, Jenkins, fig. # 106BPJ, Kitz, fig. # 10,
Velan W-2074B-02TY.
c. Clapets de retenue (bronze)
1) Type standard, bouts taraudés
A) Produit(s) acceptable(s) : Crane, fig. # 137, Jenkins, fig. # 4092J, Kitz, fig. # 29,
Velan S-2034B-02TY.
2) Type standard, bouts à souder
A) Produit(s) acceptable(s) : Crane, fig. # 1342, Jenkins, fig. # 4093J, Kitz, fig. # 30,
Velan W-2034B-02TY.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
B. À moins d’indication contraire, raccorder la tuyauterie au matériel et aux appareils conformément aux
instructions du fabricant.
C. Installer la tuyauterie dissimulée près des éléments de charpente du bâtiment, de manière à restreindre
le moins possible l’espace utile des pièces. Installer la tuyauterie apparente parallèlement aux murs.
Grouper la tuyauterie dans la mesure du possible.
D. Donner à la tuyauterie une pente de façon à pouvoir la drainer aux points bas où l’on aura installé des
robinets.
1. À moins d’indication contraire, donner à la tuyauterie une pente descendante de l’ordre de 1:240
pour la tuyauterie de vapeur et 1:70 pour la tuyauterie de condensat.
E. Prévoir, selon les indications, des moyens qui permettront la libre dilatation thermique de la tuyauterie.
F. Les collecteurs de purge doivent avoir le même diamètre que la canalisation sur laquelle ils sont montés.
G. Prévoir un dégagement suffisant pour permettre la pose d’un calorifuge ainsi que l’accès, aux fins
d’entretien, aux appareils, à la robinetterie et aux raccords.
H. Avant de procéder à l’installation, ébarber les extrémités des tuyaux, débarrasser ces derniers des
scories et de la poussière, à l’intérieur comme à l’extérieur. Les nettoyer également une fois les travaux
d’installation terminés.
I. Assembler les tuyaux au moyen de raccords fabriqués conformément aux normes pertinentes de l’ANSI.
J. Ne pas souder les soupapes, tamis ou autres appareils appelés à être enlevés de la tuyauterie.
K. Des prises (embouts), avec selle, à souder, peuvent être utilisées sur des canalisations principales si le
diamètre de la dérivation est égal ou inférieur à la moitié de celui de la canalisation principale. Avant de
souder la prise, percer le trou sur la canalisation principale à l’aide d’une scie ou d’une perceuse puis
l’aléser afin de conserver à la canalisation de dérivation son plein diamètre intérieur.
A. Tuyauterie de vapeur basse pression des humidificateurs : Cuivre brasé type L ou acier inoxydable de
série 10 soudé.
B. Tuyauterie de purge ou de vidange des humidificateurs ou de drainage des réseaux de vapeur des
humidificateurs : Cuivre brasé type L ou acier inoxydable de série 10 soudé.
A. À moins d’indication contraire de la part de l’Ingénieur, installer les appareils de robinetterie sur le
dessus des canalisations et de manière que leur tige soit placée à la verticale ou à un angle de 45 º par
rapport à l’horizontale.
3.04 ESSAIS
2.06 RÉACTIFS...................................................................................................................................... 5
PARTIE 3 - EXÉCUTION.......................................................................................................... 10
3.02 INSTALLATION.............................................................................................................................. 10
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières, ainsi que les Sections de spécification de la Division 01.
1.02 SOMMAIRE
1.03 RÉFÉRENCES
B. CCQ : Code de construction du Québec – Chapitre 1, Bâtiment, et Code national du bâtiment – Canada
2005 (modifié).
A. La qualité de l’eau des systèmes de CVCA doit minimiser la corrosion, l’accumulation de tartre et la
croissance biologique pour une efficacité optimale de l’équipement de CVCA sans créer de risque pour
le personnel d’opération et l’environnement.
B. Baser le traitement d’eau de CVCA sur la qualité de l’eau disponible au site du projet, les
caractéristiques des matériaux et les caractéristiques de performance fonctionnelle de l’équipement des
systèmes de CVCA, les habilités du personnel d’opération ainsi que sur les exigences et lignes
directrices des autorités de juridiction.
C. L’eau des systèmes hydroniques fermés, incluant l’eau de chauffage, l’eau refroidie et l’eau de
chauffage au glycol doit avoir les qualités suivantes :
1. pH : maintenir une valeur entre 9.0 et 10.5.
2. Alcalinité “P” : maintenir une valeur entre 100 et 500 ppm.
3. Bore : maintenir une valeur entre 100 et 200 ppm.
4. Demande chimique en oxygène : maintenir une valeur maximale de 100 ppm.
5. Cuivre soluble : maintenir une valeur maximale de 0.20 ppm.
6. Matières totales dissoutes : maintenir une valeur maximale de 10 ppm.
7. Ammoniac : maintenir une valeur maximale de 20 ppm.
B. Données techniques sur les produits : pour chaque type de produit indiqué.
B. Certificats : pour certification exigée selon les articles « Assurance qualité » et « Contrôle de la qualité
sur place »
A. Soumettre les fiches d'exploitation et d'entretien requises et les joindre au manuel mentionné à la
Section 01 78 00 - Éléments à soumettre à l'achèvement des travaux.
A. Le fabricant doit certifier que les produits, matériaux et matériels satisfont aux prescriptions quant aux
caractéristiques physiques et aux exigences de performance.
PARTIE 2 - PRODUITS
2.01 FABRICANTS
A. Fournir le matériel de traitement de l’eau et les réactifs provenant d’un seul et même fabricant.
B. Sous réserve de leur conformité au devis, fournir les produits et retenir les services de l’un des
fabricants suivants :
B. Fabrication en acier soudé ; pression de service de 860 kPa (125 psig) ; 19 L (5 gal.) de capacité ; muni
d'un entonnoir de remplissage, ainsi que de robinets à l'entrée, à la sortie et de vidange.
A. Pompes à membrane à dosage électronique montées sur le dessus des réservoirs : plage de réglage
du débit de 0 à 100 %; précision de +/-1.0 % (fidélité); fonctionnement tout-ou-rien; soupape de sûreté,
clapet de retenue, soupape d'admission et dispositif d'injection.
2.06 RÉACTIFS
A. Le stock de réactifs fourni aux termes de la présente Section doit être suffisant pour un an.
A. Produit de référence : sous réserve de la conformité au devis, fournir le produit Magnor; modèle SCC ou
un produit comparable de l’un des fabricants suivants :
1. Klenzoïd Company Limited
2. Nalco Compagnie
3. Québec-O-Chimie, inc.
B. Composants :
1. Contrôleur de débit : corps en fonte ductile, ressort et cartouche en acier inoxydable;
caractéristiques nominales de pression et température 120°C (250°F) et 3100 kPa (450 psig).
2. Trois coupons en acier avec supports en nylon.
3. Un coupon en cuivre avec supports en nylon.
4. Tuyauterie de support en acier incluant : unions, tés, coudes et deux robinets d'isolement.
C. Matériel supplémentaire : un coupon en acier et un coupon en cuivre pour chacune des stations.
A. Produit de référence : sous réserve de la conformité au devis, fournir le produit Magnor; modèle FCFH
avec filtre ST-1 ou un produit comparable de l’un des fabricants suivants :
1. Klenzoïd Company Limited
2. Nalco Compagnie
3. Québec-O-Chimie, inc.
A. Fournir le matériel d’analyse requis pour vérifier la performance de chaque système prescrit dans cette
Section. Il doit comprendre les indicateurs appropriés aux réactifs employés, ainsi que tout le matériel
spécialisé nécessaire.
2.10 ADOUCISSEURS
A. Produit de référence : sous réserve de la conformité au devis, fournir le produit Magnor ou un produit
comparable de l’un des fabricants suivants :
1. Aireau.
2. Klenzoïd Company Limited
3. Nalco Compagnie
4. Québec-O-Chimie, inc.
B. Généralités : adoucisseurs comportant deux échangeurs au sodium et un bac à saumure commun muni
d'un collecteur, d'une voie d'évitement, de trois robinets d'arrêt, de manomètres et d'un éjecteur.
D. Pression et température nominales de service : 138 kPa à 690 kPa (20 à 120 psig) de 4°C à 40°C (40°F
à 100°F).
E. Composants
1. Réservoirs des échangeurs en résine et fibre de verre.
2. Bac à saumure en polypropylène haute densité.
3. Média filtrant : résine d'une haute capacité d'échange de polystyrène ionique.
F. Commande
1. Un dispositif automatique doit empêcher le déclenchement simultané de la régénération dans les
deux échangeurs.
2. Compteurs individuels commandant des électrovannes à membrane, assurant la régénération
chaque fois qu’une quantité déterminée de litres d'eau sont passés dans l'adoucisseur.
G. Compteur d'eau
1. Caractéristiques de débit et de perte de charge appropriées à l’installation.
H. Alimentation électrique : fiche pour branchement à une prise murale standard à 120 V.
D. Filtres microniques
1. Débit correspondant à 2 % du débit de recirculation de la pompe, à la pression de service.
2. Six jeux de cartouches filtrantes pour chaque type et chaque diamètre de filtre micronique.
E. Tout autre matériel requis pour obtenir les performances exigées à l’article « Exigences de
performance » de la Partie 1.
g. Les robinets d’isolement de pompe et le clapet de retenue doivent être installés en usine et en
même temps, la pompe pourra servir de pompe de transfert du baril au réservoir.
h. Un interrupteur de niveau doit empêcher la(les) pompe(s) d'opérer en position automatique.
i. En position manuelle, la pompe pourra servir pour le remplissage du système.
3. Nombre de pompes requises : deux pompes permettant de maintenir en pression deux réseaux
distinct.
C. Filtres microniques
1. Débit correspondant à 2 % du débit de recirculation de la pompe, à la pression de service.
2. Six jeux de cartouches filtrantes pour chaque type et chaque diamètre de filtre micronique.
D. Tout autre matériel requis pour obtenir les performances exigées à l’article « Exigences de
performance » de la Partie 1.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
3.02 INSTALLATION
A. Sauf indication contraire, installer les systèmes de traitement de l'eau des installations de CVCA
conformément à la section VII du ASME Boiler Code ainsi qu'aux normes et exigences des autorités
compétentes.
B. Réaliser l'installation de manière qu'il y ait un dégagement suffisant pour permettre l'entretien et la
réparation du matériel.
A. Poser des croix aux changements de direction. Obturer les raccords non utilisés au moyen de bouchons
mâles.
3.04 ADOUCISSEURS
A. Mise en marche
1. Mettre en marche le système de traitement de l'eau conformément aux instructions du fabricant.
B. Mise en service
1. Responsable de la mise en service : fournisseur du système de traitement.
2. Moment de la mise en service
a. Après rectification des lacunes constatées lors de la mise en marche.
b. Après la mise en marche et avant l'essai, le réglage et l'équilibrage des installations
raccordées au système de traitement de l'eau.
3. Inspections préalables à la mise en service : les inspections doivent permettre de vérifier ce qui
suit :
a. La présence du matériel d'analyse, des réactifs, des produits chimiques, des fiches de
procédures relatives aux analyses à effectuer, des manuels d'exploitation.
b. La pertinence du journal d'exploitation.
c. La date (laquelle doit être suffisamment récente) et la justesse de l'analyse initiale de l'eau
brute.
d. La conformité de la qualité de l'eau traitée avec les exigences.
4. Procédure de mise en service - Ensemble du système de traitement
a. Établir, régler, au besoin, et consigner les paramètres des commandes automatiques et les
débits de dosage des réactifs.
b. Surveiller en continu la performance des installations raccordées au système de traitement,
pendant la période de mise en service jusqu'à la réception des ouvrages.
c. Déterminer les intervalles entre les analyses et entre les régénérations.
d. Consigner, sur des formulaires approuvés, les procédures de mise en service et d'essai, la
date et l'heure des opérations, les quantités de réactifs ajoutés, les détails relatifs aux
analyses d'eau brute et aux analyses d'eau traitée, les résultats des analyses, les lectures des
instruments, les réglages effectués, les résultats obtenus.
e. Établir, surveiller et régler les commandes automatiques et les débits de dosage des réactifs
aussi souvent que nécessaire.
f. Au terme de la période de mise en service, effectuer des visites aux intervalles prescrits, afin
de vérifier que le système fonctionne toujours selon les performances établies pendant la mise
en service (intensifier, au besoin, les visites jusqu'à ce que le système fonctionne au niveau
de performance exigé).
g. Informer le représentant du Propriétaire et l'Ingénieur par écrit des problèmes ou particularités
touchant le système de traitement de l'eau nouvellement installé.
5. Procédure de mise en service - Adoucisseurs
a. Établir la conformité du système avec les prescriptions par des analyses chimiques de l'eau
brute et de l'eau traitée.
b. Déterminer et démontrer la capacité réelle d'adoucissement du système entre les
régénérations.
A. Mettre en service le système et effectuer les analyses en présence et avec l'aide du personnel d'E&E.
A. Fournir un service de contrôle et de consultation techniques, pour une durée d'un an après la mise en
marche du système de traitement. Ce service doit comprendre ce qui suit :
1. Analyse initiale de l'eau à traiter et recommandations sur le traitement à effectuer.
2. Aide à la mise en service du système.
3. Formation du personnel d'exploitation.
4. Effectuer des visites tous les sept jours, durant les heures d'exploitation et, au besoin, jusqu'à ce
que le système fonctionne normalement. Prodiguer des conseils concernant la performance de
celui-ci.
5. Fournir du papier graphique pour les enregistreurs et des feuilles de journal d'exploitation, en
quantité suffisante pour une période d'un an.
6. Fournir l'aide nécessaire en matière d'analyses en laboratoire et d'autres services techniques.
7. Fournir des instructions écrites, claires et précises, à l'intention du personnel d'exploitation.
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................7
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les dessins et les dispositions générales du contrat, incluant les
Conditions générales et les Conditions supplémentaires, ainsi que les Sections de la Division 01.
1.02 RÉFÉRENCES
A. ASHRAE
1. ASHRAE 62.1-2013 : Ventilation for Acceptable Indoor Air Quality.
B. ASTM
1. ASTM A480/A480M-14a : Standard Specification for General Requirements for Flat-Rolled
Stainless and Heat-Resisting Steel Plate, Sheet and Strip.
2. ASTM A653/A653M-13 : Standard Specification for Steel Sheet, Zinc-Coated (Galvanized) or Zinc
Iron Alloy Coated (Galvannealed) by the Hot-Dip Process.
3. ASTM A1011/A1011M-14 : Standard Specification for Steel, Sheet and Strip, Hot-Rolled, Carbon,
Structural, High Strength Low-Alloy and High-Strength Low-Alloy with Improved Formability, and
Ultra-High Strength.
C. NFPA
1. NFPA 96-2014 : Standard for Ventilation Control and Fire Protection of Commercial Cooking
Operations.
D. SMACNA
1. HVAC Duct Construction Standards, Metal and Flexible, Third Edition – 2005.
2. HVAC Duct Leakage Test Manual, Second Edition – 2012.
1.03 DÉFINITIONS
PARTIE 2 - PRODUITS
A. La classe d'étanchéité à l'air des conduits doit être déterminée selon les données du tableau suivant.
B. Classes d'étanchéité
1. Classe A : étanchéité des joints longitudinaux, des joints transversaux, des traversées murales et
des raccordements assurée au moyen d'un produit et d'un ruban de scellement.
2. Classe B : étanchéité des joints longitudinaux, des joints transversaux et des raccordements
assurée au moyen d'un produit de scellement, d'un ruban de scellement ou d'une combinaison de
ces matériaux.
3. Classe C : étanchéité des joints transversaux et des raccordements assurée au moyen de
garnitures, d'un produit de scellement, d'un ruban de scellement ou d'une combinaison de ces
matériaux. Joints longitudinaux non scellés.
A. Produit de scellement: pour conduits d'air à haute pression, résistant à l'huile, à base de polymères, de
type ignifuge.
1. Produits acceptables : Duro Dyne S-2, Foster 30-02.
2. Couleur : gris.
2.04 RACCORDS
B. Coudes ronds
1. Conduits rectangulaires : à grand rayon, sans déflecteurs, rayon de courbure: 1.5 x la largeur du
conduit.
2. Conduits circulaires : coudes du type cinq pièces - 90° ; du type trois pièces – 45° ; rayon de
courbure : 1.5 x le diamètre du conduit.
D. Raccords de dérivation
1. Conduits principal et de dérivation rectangulaires : embranchement cintré sur dérivation, à rayon de
courbure correspondant à 1.5 x la largeur du conduit ou embranchement réduit à 45º sur dérivation
selon les indications aux dessins.
2. Conduits principaux et de dérivation circulaires et oblongs :
a. Basse pression : entrée sur conduit principal à 45º ou avec raccord de transition selon les
indications aux dessins.
b. Haute pression : transitions concentriques avec embranchement réduit à 45° et
embranchement cintré à 45°.
3. Registres volumétriques placés dans les conduits de dérivation, près des raccordements au conduit
principal.
4. Dérivations principales : munies d'un aubage directeur.
E. Éléments de transition
1. Éléments divergents : angle de transition d'au plus 20º.
2. Éléments convergents : angle de transition d'au plus 30º.
G. Déflecteurs pour obstacles : permettant de conserver la même section utile. Les angles de transition
maximaux doivent être les mêmes que dans le cas des éléments de transition.
A. Matériau
1. Acier galvanisé, avec zingage Z90, propre au façonnage de joints par agrafage, selon la norme
ASTM A653/A653-M.
2. Épaisseur : Selon la SMACNA et les indications des planches DV-1, DV-5 et DV-8 de la Partie 3.
A. Matériau
1. Acier inoxydable : de nuance 316 L, selon la norme ASTM A 480/A480M.
2. Fini
a. Endroits exposés : No 4.
b. Endroits dissimulés : No 2B.
3. Épaisseur : Selon la SMACNA et les indications des planches DV-5 et DV-8 de la Partie 3.
B. Fabrication : Selon la SMACNA et les indications des planches DV-1 à DV-7 de la Partie 3.
A. Sangles de suspension : à utiliser dans le cas de conduits d'air circulaires ou oblongs ayant jusqu'à
500 mm (20 po) de diamètre, en même matériau que celui utilisé pour le conduit mais de l'épaisseur
immédiatement supérieure à celle de ce dernier.
B. Suspensions à barre (type trapèze) : à utiliser dans le cas des conduits dont le diamètre ou la plus
grande dimensions est supérieur à 500 mm (20 po), selon la SMACNA.
C. Cornières et tiges de suspension : cornières en acier galvanisé retenues par des tiges en acier
galvanisé selon la SMACNA et les indications des planches DV-1, DV-5 et DV-8 de la Partie 3.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
3.01 GÉNÉRALITÉS
A. Exécuter les travaux conformément aux exigences de la SMACNA et selon les indications.
B. Éviter d'interrompre la membrane pare-vapeur du calorifuge en posant les sangles ou les tiges de
suspension.
C. Assujettir les conduits verticaux conformément aux exigences de la SMACNA et selon les indications.
F. Poser les joints à brides préfabriqués, de marque déposée, selon les instructions du fabricant.
G. Fabriquer les conduits en tronçons afin de faciliter l'installation du revêtement intérieur insonorisant.
3.02 SUSPENSIONS
C. Espacement des suspensions : selon les exigences de la SMACNA et les indications des planches
DV-1, DV-3, DV-5 et DV-8.
B. Noyer le ruban dans le produit de scellement, puis recouvrir le tout d'au moins une couche du même
produit, selon les recommandations du fabricant.
B. Façonner le fond des conduits horizontaux sans y faire de joints longitudinaux. Souder les joints
transversaux des tôles de fond et latérales. Étanchéifier tous les autres joints au moyen d'un produit de
scellement pour conduits d'air.
C. Donner aux dérivations horizontales une pente descendante vers les hottes d'extraction des fumées et
des gaz auxquelles elles sont reliées. Donner aux conduits collecteurs une pente descendante vers les
conduits verticaux principaux auxquels ils sont reliés.
D. Poser, au bas des conduits verticaux principaux, une cuvette d'égouttement de 150 mm (6 po) de
profondeur, avec tuyau d'évacuation de DN 32 (NPS 1-1/4 po) raccordé à un siphon à garde d'eau
profonde muni d'un robinet et relié à un avaloir en entonnoir.
B. Les conduits ne doivent pas être déformés par le matériau coupe-feu ou par la mise en place de ce
dernier.
A. Installer les systèmes conformément aux exigences de la norme NFPA 96 et selon les indications.
3.07 PEINTURAGE
A. Peindre l’intérieur des conduits métalliques qui sont visibles à travers les grilles et registres et qui n’ont
pas de revêtement intérieur insonorisant. Appliquer une couche de latex noir mat par-dessus une
couche d’apprêt compatible.
A. Exécuter les essais d'étanchéité conformément aux exigences formulées dans le HVAC Duct Leakage
Test Manual de la SMACNA.
C. Faire les essais préliminaires d'étanchéité (visant à déceler les fuites d'air) selon les instructions, pour
vérifier la qualité d'exécution des travaux.
D. Ne pas poser d'autres conduits tant que les résultats de ces essais préliminaires ne sont pas
satisfaisants.
E. Les tronçons mis à l'essai doivent mesurer au moins 30 m (100 pi) de longueur et comporter au moins
trois dérivations et deux coudes à 90º.
F. Ne pas calorifuger ni dissimuler les conduits avant d'avoir terminé les essais exigés.
A. Équilibrage des débits d’air : Se conformer aux exigences de la Section 23 05 93.06 – Essai, réglage et
équilibrage (ERÉ) des systèmes aérauliques.
A. À moins d’indication plus spécifiques sur les dessins, fabriquer les conduits en utilisant les matériaux et
méthodes indiquées dans le bordereau ci-dessous :
Réseaux de conduits raccordés à des équipements non- Acier galvanisé Positive ou négative
listés ci-dessus. 1000 Pa (4 po eau)
Conduits d’évacuation
Réseaux de conduits raccordés à des ventilateurs évacuant Acier galvanisé Positive ou négative
de l’air de Classe 1 et 2 (ASHRAE 62.1). 750 Pa (3 po eau)
Réseaux de conduits raccordés à des unités de traitement Acier galvanisé Positive ou négative
d’air. 750 Pa (3 po eau)
Réseaux de conduits raccordés à des équipements non- Acier galvanisé Positive ou négative
listés ci-dessus. 1000 Pa (4 po eau)
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 8
3.01 INSTALLATION DES BOSSAGES ET RACCORDS SERVANT À RECEVOIR DES INSTRUMENTS D'ESSAI ........8
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les dessins et les dispositions générales du contrat, incluant les
Conditions générales et les Conditions supplémentaires, ainsi que les Sections de la Division 01.
1.02 RÉFÉRENCE
D. SMACNA, HVAC Duct Construction Standards, Metal and Flexible, Third Edition – 2005.
b. Clapets.
4. Silencieux : Fournir les données techniques requises, lesquelles doivent être certifiées par un
ingénieur ou par un laboratoire d’essai reconnu et être fondées sur des essais ayant été effectués
conformément aux normes de référence relativement à ce qui suit :
a. Pouvoir d’atténuation en décibels (perte d’insertion), perte de charge dans des conditions
nominales;
b. La performance acoustique des matériaux destinés à l’insonorisation des installations doit être
mesurée conformément aux normes E 477, E90 et C423 de l’ASTM, à moins d’indications
contraires.
5. Aubes directrices.
6. Portes de visites.
7. Raccords souples pour ventilateurs.
A. Fournir les fiches d'exploitation et d'entretien requises et les joindre au manuel mentionné à la
Section 01 78 00 – Éléments à soumettre à l’achèvement des travaux.
PARTIE 2 - PRODUITS
A. Produit de référence : sous réserve de la conformité au devis, fournir le produit Duro Dyne; modèle 1P1
ou 1P2 ou un produit comparable.
C. Éléments constitués d'une manette à came avec chaînette et d'un tampon de dilatation en néoprène.
A. Généralités
1. Les registres doivent être fabriqués conformément aux normes pertinentes de la SMACNA.
1. Registres à lames faites du même matériau que le conduit d'air mais de l'épaisseur normalisée
immédiatement supérieure à celle de ce dernier, avec dispositif de renfort approprié.
2. Lames faites de deux épaisseurs de tôle.
3. Tige de commande avec dispositif de verrouillage et indicateur de position.
4. Tige de forme destinée à empêcher cette dernière d’entrer complètement dans le conduit d’air.
5. Mécanisme de pivotement constitué d’une charnière à piano.
6. Lames à bord d'attaque replié.
A. Produit de référence : sous réserve de la conformité au devis, fournir le produit Ruskin, modèles à lames
pliantes IBD2, type B ou type C pour conduits basse vitesse ou un produit comparable de l’un des
fabricants suivants :
1. Controlled Air Manufacturing.
C. Registres en acier doux, fabriqués en usine, conçus pour ne pas diminuer la résistance au feu des murs
ou des cloisons coupe-feu dans les quels ils sont montés.
D. Registres coupe-feu montés sur charnière; à leur partie supérieure, excentriques, ronds ou carrées; du
type à plusieurs volets sur charnière de dimensions calculées pour que ne soit pas restreinte la sous-
section des conduits dans lesquels ils sont montés.
E. Registres actionnés par lien fusible, avec contrepoids permettant leur fermeture et leur verrouillage en
position fermée lorsque le mécanisme est déclenché, ou avec commande de fermeture totale à ressort
antagoniste lorsqu’il s’agit du type à plusieurs volets ou à enroulement, monté en position horizontale
dans un conduit d’air vertical.
F. Bâtis en cornières de 40 mm x 40 mm x 3 mm sur tout le pourtour des registres, de part et d’autre des
cloisons ou des murs coupe-feu traversés.
2.05 SILENCIEUX
A. Fabricants : sous réserve de leur conformité au devis, fournir les produits de l’un des fabricants
suivants :
1. Industrial Noise Control, Inc.
2. Ingénia Technologies.
3. Kinetics Noise.
4. Price.
5. Ruskin Company.
6. Vibro-Acoustics.
B. Silencieux fabriqués en usine, en acier galvanisé ou enduit de peinture primaire, convenant aux conduits
d’air prescrits dans d’autres sections et conformes aux exigences de l’ASHRAE et de la SMACNA.
C. Silencieux constitués d’une enveloppe à double paroi, la paroi intérieure étant en acier galvanisé, à
perforations rondes et franches, l’espace entre les deux parois servant à contenir le matériau
insonorisant. Dans le cas des silencieux dont la section transversale est supérieure à 450 mm,
l’intérieur doit être muni, sur toute la longueur du silencieux, de chicanes. Un tissu de fibres de verre ou
une pellicule de mylar placé entre la paroi perforée et le matériau insonorisant doit protéger ce dernier
contre l’érosion (désagrégation ou usure par frottement).
D. Matériaux insonorisant en fibres de verre, lisses et uniformes, inodores, résistant aux bactéries et à la
moisissure; exempts d’agents corrosifs ou favorisant la corrosion; comprimés à la masse volumique
correspondant aux exigences de performance; conformes aux exigences du CNB régissant la protection
contre l’incendie ou à celles des autorités compétentes régissant les revêtements intérieurs pour
conduits d’air.
A. Déflecteurs double épaisseur de forme aérodynamique, fabriqués en usine ou en atelier, conformes aux
recommandations de la SMACNA et aux indications.
A. Fabricants : sous réserve de leur conformité au devis, fournir les produits de l’un des fabricants
suivants :
1. Ductmate.
2. Duro Dyne.
3. Ruskin.
A. Produit de référence : sous réserve de la conformité au devis, fournir le produit Duro dyne; modèle
Super Metal-Fab ou un produit comparable.
B. Éléments métalliques : éléments en tôle galvanisée de 0,66 mm d’épaisseur, auxquels la manette est
liée au moyen de joints à agrafure double.
1. Tissu de verre enduit de néoprène, ignifuge, auto-extinguible, pouvant supporter des températures
se situant entre - 40 ºC et 90 ºC, d'une masse de 1 017g/m2.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
3.01 INSTALLATION DES BOSSAGES ET RACCORDS SERVANT À RECEVOIR DES INSTRUMENTS D'ESSAI
A. Généralités
1. Installer les raccords conformément aux recommandations de la SMACNA et aux instructions du
fabricant.
2. Les disposer de manière qu’on puisse les manipuler facilement.
3. Poser des traversées de calorifuge au besoin.
B. Emplacement
1. Mesure du débit d'air
a. À l'admission des ventilateurs d'extraction muraux ou montés en toiture.
b. À l'admission et au refoulement des autres ventilateurs.
c. Sur les conduits principaux et les dérivations principales.
d. Aux endroits indiqués.
2. Mesure de la température
a. Sur les prises d'air extérieur.
b. Sur les boîtes de mélange d'air aux endroits approuvés par l’Ingénieur.
c. À l'entrée et à la sortie des batteries de serpentins.
d. En aval de tout point de rencontre entre deux veines d'air convergentes de températures
différentes.
e. Aux endroits indiqués.
C. Dans les systèmes de soufflage, de reprise et d'extraction d'air, monter un registre d'équilibrage dans
chaque conduit de dérivation.
D. Monter un registre d’équilibrage à un volet dans chacune des dérivations reliées à une grille à registre
ou à un diffuseur, et le placer le plus près possible du conduit principal.
F. Installer les dispositifs de commande à des endroits où ils sont bien visibles et accessibles.
G. Les registres répartiteurs d’air ne sont pas permis, à moins d’indications spéciales aux dessins.
A. Installer les appareils conformément aux exigences de la Norme ANSI/NFPA 90A et selon les conditions
d’homologation des ULC.
B. Réaliser les travaux sans diminuer le degré de résistance au feu des cloisons coupe-feu dans lesquels
sont montés les appareils.
C. Une fois les travaux terminés, faire approuver toute l’installation par l’autorité compétente avant de
dissimuler les éléments qui ne restent pas apparents.
E. Coordonner les travaux avec ceux qui sont effectués par l’installateur de matériaux coupe-feu et pare-
fumée.
F. Monter les appareils là où les portes/panneaux de visite, les liens fusibles ou les servomoteurs seront
visibles et facilement accessibles.
G. Installer des joints de rupture de conception approuvée de part et d’autre des séparations coupe-feu.
B. Bruit transmis indirectement par les parois latérales : à tous les endroits, installer dans les parois
murales des manchons de traversées pour silencieux. L’espace annulaire entre le manchon et le
silencieux doit être uniforme et suffisant pour empêcher tout contact entre ces éléments; il doit être
fermé aux deux extrémités du manchon, au moyen d’un matériau de calfeutrage souple et non
durcissant.
C. Aux fins de mesure de la perte d’insertion et de la perte de charge, prévoir, aux points d’entrée et de
sortie d’un silencieux, des raccords servant à recevoir les instruments d’essai.
A. Installer les déflecteurs conformément aux recommandations de la SMACNA et selon les indications.
A. Dimensions
1. 600 x 600 mm dans le cas d'une porte de visite.
2. 300 x 300 mm dans le cas d'un trou de main.
3. Selon les indications.
B. Emplacement
1. Aux endroits requis pour permettre l'accès aux registres d'évacuation de la fumée et aux volets
coupe-feu.
2. Aux endroits requis pour permettre l'accès aux registres de régulation du débit d'air.
3. Aux endroits requis pour permettre l'accès aux dispositifs nécessitant un entretien périodique, tel
que serpentins de chauffage, éléments terminaux, humidificateurs, en amont de tous les coudes à
gorge carré munis d’aubes, aux prises d’air frais et aux plénums d’évacuation.
4. Aux endroits requis, selon les exigences du code.
5. Aux endroits requis pour permettre l’accès aux batteries de réchauffage.
6. À tous les 8 mètres, et à chaque changement de direction des conduits d’alimentation et de retour
pour permettre leur nettoyage.
7. Aux autres endroits indiqués.
C. Distance minimale entre les éléments métalliques lorsque le système est en opération : 75 mm.
F. Assurer la continuité de la mise à terre des conduits d’air et des équipements des réseaux aérauliques
par un fil métallique reliant électriquement les composants de chaque côté des raccords souples.
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 4
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières, ainsi que les Sections de spécification de la Division 01.
1.02 RÉFÉRENCES
B. ANSI/AMCA 210-99, Laboratory Methods of Testing Fans for Aerodynamic Performance Rating.
D. AMCA 301-90, Methods for Calculating Fan Sound Ratings from Laboratory Test Data.
A. Certification de qualification sismique du fabricant : Fournir une certification à l’effet que les appareils,
leurs composants et leurs accessoires résisteront aux forces sismiques définies à la Section 23 05 48 -
Systèmes et dispositifs antivibratoires et parasismiques pour tuyauteries et équipements de CVCA.
Inclure ce qui suit :
1. Base de la certification de résistance aux séismes : Indiquer si la certification est basée sur des
essais ou des calculs.
a. Le terme « résistance » signifie que « l’appareil demeurera en place sans qu’aucune de ses
parties ne se dissocie de l’unité lorsque soumis aux forces sismiques spécifiées et que l’unité
sera pleinement fonctionnelle après l’événement sismique. »
2. Dessins d’encombrement dimensionnés de l’appareil : Identifier le centre de gravité, localiser et
décrire les dispositifs de montage et d’ancrage.
3. Description détaillée des dispositifs d’ancrage de l’appareil sur lesquels la certification est basée et
leurs exigences d’installation.
A. Fournir les fiches d'exploitation et d'entretien requises et les joindre au manuel mentionné à la
Section 01 78 00 – Éléments à soumettre à l’achèvement des travaux.
PARTIE 2 - PRODUITS
A. Caractéristiques des appareils : débit, pression statique, puissance mécanique (BHP) puissance utile
(W), rendement, vitesse de rotation en tours par minute, puissance absorbée, dimensions, modèle,
niveau d'intensité sonore et autres, selon les indications sur les dessins.
C. Intensité sonore : conforme à la norme AMCA 301; essais : selon la norme AMCA 300. Les ventilateurs
doivent porter l'étiquette de l'AMCA confirmant le niveau d'intensité sonore.
D. Performance : établie en fonction des essais effectués selon les normes ANSI/AMCA 210.
E. Moteurs :
1. Selon les prescriptions de la Section 23 05 13 – Exigences générales concernant les moteurs
d’appareils de CVCA. et à celles de la présente Section.
2. Puissance selon les indications.
3. Accessoires et autres éléments : selon les indications et les prescriptions de la Section 23 05 13 –
Exigences générales concernant les moteurs d’appareils de CVCA.
F. Application en usine, avant assemblage des pièces, de peinture primaire de couleur choisie parmi la
gamme standard offerte par le fabricant.
A. Roues
1. Construction en acier ou en aluminium, soudée, selon les indications.
B. Paliers : à billes ou à rouleaux, à rotule, lubrifiés à la graisse pour service intense, à joints étanches à la
poussière et à rétention d'huile, ayant une durée de vie utile certifiée minimale de 200 000 heures
conformément à la norme de durée utile AFBMA L-10 (Anti-Friction Bearing Manufacturers Association).
Les caractéristiques nominales des paliers doivent être choisies conformément aux Normes AFBMA 9 et
AFBMA 11.
C. Carters
1. Carters en acier façonnés en volute, avec cônes d'admission, pour roues de 300 mm de diamètre
et plus, et en acier pour roues plus petites, avec contreventements et supports soudés.
2. Carters à joint longitudinal ou transversal, avec brides posées sur chaque partie pour permettre le
boulonnage, et garnitures d'étanchéité en matériau inoxydable et ininflammable.
3. Portes de visite boulonnées ou à loquet étanche à l'air selon les indications, avec poignées.
D. Produit(s) acceptable(s) : Barry Blower, Chicago Blower, Cook, New York Blower, Twin City Fan,
Woods.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
A. Installer les ventilateurs selon les indications, y compris les accessoires nécessaires, à savoir des plots
de montage souples conformes aux prescriptions de la Section 23 05 48 - Systèmes et dispositifs
antivibratoires et parasismiques pour tuyauteries et appareils de CVCA des conducteurs électriques
souples et des raccords souples conformes aux prescriptions de la Section 23 33 00 – Accessoires pour
conduits d’air.
B. Fournir et installer les poulies et les courroies d’entraînement nécessaires pour permettre l’équilibrage
définitif du débit d’air.
C. Les paliers et les tubes de rallonge du circuit de lubrification doivent être facilement accessibles.
A. Utiliser des boulons d’ancrage de grosseur appropriée afin qu’ils puissent résister aux sollicitations
sismiques (vitesse et accélération) précisées à la sous-section pertinente.
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 4
3.01 INSTALLATION................................................................................................................................4
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières, ainsi que les Sections de spécification de la Division 01.
1.02 RÉFÉRENCES
B. ANSI/AMCA 210-99, Laboratory Methods of Testing Fans for Aerodynamic Performance Rating.
D. AMCA 301-90, Methods for Calculating Fan Sound Ratings from Laboratory Test Data.
A. Certification de qualification sismique du fabricant : Fournir une certification à l’effet que les appareils,
leurs composants et leurs accessoires résisteront aux forces sismiques définies à la Section 23 05 48 -
Systèmes et dispositifs antivibratoires et parasismiques pour tuyauteries et équipements de CVCA.
Inclure ce qui suit :
1. Base de la certification de résistance aux séismes : Indiquer si la certification est basée sur des
essais ou des calculs.
a. Le terme « résistance » signifie que « l’appareil demeurera en place sans qu’aucune de ses
parties ne se dissocie de l’unité lorsque soumis aux forces sismiques spécifiées et que l’unité
sera pleinement fonctionnelle après l’événement sismique. »
2. Dessins d’encombrement dimensionnés de l’appareil : Identifier le centre de gravité, localiser et
décrire les dispositifs de montage et d’ancrage.
3. Description détaillée des dispositifs d’ancrage de l’appareil sur lesquels la certification est basée et
leurs exigences d’installation.
A. Fournir les fiches d'exploitation et d'entretien requises et les joindre au manuel mentionné à la
Section 01 78 00 – Éléments à soumettre à l’achèvement des travaux.
PARTIE 2 - PRODUITS
A. Caractéristiques des appareils : débit, pression statique en Pa, vitesse en tr/min, puissance en bhp,
dimensions et modèle, et niveau d’intensité sonore selon les indications.
C. Intensité sonore : conforme à la Norme AMCA 301; essais : selon la Norme AMCA 300.
D. Caractéristiques de performance des appareils : établies en fonction des essais effectués selon les
normes ANSI/AMCA 210; les appareils doivent porter l'étiquette d'homologation de l'AMCA.
E. Roulements : roulements à billes scellés à vie, ayant une durée de vie utile certifiée d'au moins 200 000
heures, conformément à la Norme AFBMA L10. Les caractéristiques nominales des roulements doivent
être choisies conformément aux normes AFBMA 9 et AFBMA 11.
A. Ventilateurs centrifuges ou axiaux, selon les indications, à entraînement par courroie trapézoïdale ou
direct selon les indications.
1. Enveloppe en aluminium repoussé ou en acier galvanisé, selon les indications; abritant un moteur
et un ventilateur montés sur support souple.
2. Roue en aluminium, à aubes inclinées vers l'arrière.
3. Poulie d'entraînement réglable.
4. Grillage aviaire en fil d'aluminium de 2.0 mm de diamètre, à mailles de 12 mm.
5. Registre antirefoulement en aluminium, automatique ou à servomoteur selon les indications, muni
d’une garniture d’étanchéité.
6. Interrupteur de sûreté et boîte de jonction montés à l'intérieur de l'enveloppe.
7. Garnitures d'étanchéité à poser en continu sur le bâti de montage; boulons et vis de fixation en
acier inoxydable.
8. Margelle de toiture de 450 mm de hauteur, en acier galvanisé de calibre 14, assortie et insonorisée.
B. Orifice de refoulement vers le haut pour les ventilateurs d'extraction pour hottes de cuisine, avec moteur
placé à l'extérieur de la veine d'air.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
3.01 INSTALLATION
A. Utiliser des boulons d‘ancrage de grosseur appropriée afin qu’ils puissent résister aux sollicitations
sismiques.
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 5
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières, ainsi que les Sections de spécification de la Division 01.
1.02 RÉFÉRENCES
A. Ventilateurs testés selon AMCA 210-85, « Laboratory Methods of Testing Fans for Rating », ou selon la
British Standard 848, Part I, « Methods of Testing Performance », 1980.
B. Soumettre les dessins d’ateliers et les fiches techniques des produits incluant les données de
performance, les courbes de ventilateurs et les niveaux sonores
C. Le manufacturier des ventilateurs doit fournir un certificat de garantie attestant que le ventilateur, le
plénum de mélange, la tuyère de refoulement, l’extension de la tuyère le cas échéant, et tous les
accessoires spécifiés ici ont été testés à l’usine et que les courbes reflètent l’effet de toutes les
composantes et les effets de systèmes causés par celles-ci.
A. Certification de qualification sismique du fabricant : Fournir une certification à l’effet que les appareils,
leurs composants et leurs accessoires résisteront aux forces sismiques définies à la Section 23 05 48 -
Systèmes et dispositifs antivibratoires et parasismiques pour tuyauteries et équipements de CVCA.
Inclure ce qui suit :
1. Base de la certification de résistance aux séismes : Indiquer si la certification est basée sur des
essais ou des calculs.
a. Le terme « résistance » signifie que « l’appareil demeurera en place sans qu’aucune de ses
parties ne se dissocie de l’unité lorsque soumis aux forces sismiques spécifiées et que l’unité
sera pleinement fonctionnelle après l’événement sismique. »
2. Dessins d’encombrement dimensionnés de l’appareil : Identifier le centre de gravité, localiser et
décrire les dispositifs de montage et d’ancrage.
3. Description détaillée des dispositifs d’ancrage de l’appareil sur lesquels la certification est basée et
leurs exigences d’installation.
A. Fournir les fiches d'exploitation et d'entretien requises et les joindre au manuel mentionné à la
Section 01 78 00 – Éléments à soumettre à l’achèvement des travaux.
PARTIE 2 - PRODUITS
2.01 VENTILATEUR
A. Arrangement
1. Entraînement direct avec roue fixée directement à l’arbre du moteur sans accouplement. Moteur
isolé du courant d’air primaire, visible et accessible de l’extérieur du bâti pour entretien et service.
2. Ventilateur conçu pour montage au toit sans recourt à des haubans.
B. Roue
1. Du type à écoulement mixte munie d’aubes induisant un écoulement à la fois axial et radial.
2. Caractéristiques de performances sans surcharge et sans point mort avec opération stable sur tous
les points de sa courbe.
3. De construction entièrement soudée.
C. Cloche en métal non ferreux à l’adduction pour prévenir les étincelles dans l’éventualité du bris d’un
roulement du moteur.
F. Balancement dynamique limitant les vibrations à 0,5 mil, crête à crête, à la fréquence de passage des
aubes en opération à la fréquence du ventilateur. Les isolateurs de vibration requis se limiteront à des
patins gaufrées en néoprène.
G. Assemblage
1. Le ventilateur est modulaire et peut être assemblé au chantier.
2. Joints d’étanchéité en PTFE fournis pour toutes les brides.
H. Moteur
1. Du type à haute efficacité « Inverter Duty » avec facteur de service de 1.15
2. Bâti du type « TEFC Mill & Chemical »
3. Roulements
a. L-50 de 200 000 heures.
b. Scellés pour les bâtis allant jusqu’à NEMA 256T.
I. Accessoires
1. Porte d’accès boulonnée pour inspection de la roue.
2. Drains pour prévenir l’infiltration d’eau dans le bâtiment.
3. Sectionneur sans fusibles NEMA 3R monté sur le ventilateur et raccordé au moteur.
J. Fini
1. Revêtement contre la corrosion : Époxy (8-10 mils) pour une protection contre les intempéries, les
vapeurs chimiques et les éclaboussures de produits chimiques. Toutes les pièces d’acier et
d’aluminium auront préalablement été préparées pour recevoir le revêtement anticorrosion, soit par
sablage, soit par traitement à l’acide.
2. Couleur : Au choix de l’Architecte.
A. Fourni par le fabricant du ventilateur pour installation à l’aspiration, il doit être conçu pour supporter le
poids du ventilateur et assurer les performances spécifiés.
1. Le plénum doit supporter les ventilateurs de façon à ce qu’aucun hauban ni aucune structure
additionnelle ne soient nécessaires.
2. Prévoir les bouches d’adduction d’air primaire localisées sur le dessous ou les côtés du plénum,
selon les indications aux dessins.
B. Parois
1. Parois simples de plaques épaisses d’acier soudé en continu avec des renforts structuraux pour les
agencement à multiples ventilateurs.
2. Parois simples de plaques épaisses d’acier soudé en continu lorsqu’il y a seul ventilateur.
D. Accessoires
1. Portes d’accès sur charnières.
2. Grillages protecteurs sur les bouches d’adduction d’air primaire.
3. Persiennes acoustiques contre la pluie sur les bouches d’adduction d’air extérieur.
E. Montage
1. À moins d’indication contraire les plénums sont conçus pour montage sur une structure d’acier.
F. Fini
1. Même que celui des ventilateurs.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
A. Installer les ventilateurs selon les indications, y compris les accessoires nécessaires, à savoir des patins
conformes à la Section 23 05 48 - Systèmes et dispositifs antivibratoires et parasismiques pour
tuyauteries et appareils de CVCA, des conducteurs électriques souples et des raccords souples
conformes à la Section 23 33 00 – Accessoires pour conduits d’air.
A. Utiliser des boulons d'ancrage de grosseur appropriée afin qu'ils puissent résister aux sollicitations
sismiques (vitesse et accélération) et du vent précisées à la Section 23 05 48 - Systèmes et dispositifs
antivibratoires et parasismiques pour tuyauteries et appareils de CVCA.
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 4
3.01 INSTALLATION................................................................................................................................4
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières, ainsi que les Sections de spécification de la Division 01.
1.02 RÉFÉRENCES
D. ISO 3741, Acoustique - Détermination des niveaux de puissance acoustique émis par les sources de
bruit - Méthodes de laboratoire en salles réverbérantes pour les sources à large bande.
C. Échantillons : des échantillons sont requis dans le cas des éléments suivants :
1. Boîte de mélange VAV à commande électronique.
A. Fournir les fiches d'exploitation et d'entretien requises et les joindre au manuel mentionné à la
Section 01 78 00 – Éléments à soumettre à l’achèvement des travaux.
A. Les éléments terminaux d’un même type doivent être fournis par un seul fabricant.
PARTIE 2 - PRODUITS
A. Appareils à fonctionnement non assujetti à la pression, pouvant assurer un débit d’air variant entre la
valeur zéro et la valeur maximale déterminée.
B. À une vitesse de l’air à l’entrée de 10 m/s, la pression statique différentielle ne doit pas dépasser 25 Pa.
D. La sonde de vitesse doit être du type à série de tubes de Pitot, selon les spécifications du fabricant.
F. La sonde de température doit être fournie par la Division 25 avec le contrôleur d’application afin d’avoir
une pleine compatibilité avec le système de commande et de contrôle de l’énergie (SCCÉ) et doit
comporter les moyens nécessaires de réglage du point de consigne et de la vitesse de l’air. La plage de
réglage de la température - chauffage et refroidissement - doit s’étendre de 13 ºC à 30 ºC. Les points de
consigne ne doivent pas se chevaucher. La bande proportionnelle doit être de 0.5 ºC, quel que soit le
réglage de la vitesse de l’air.
G. Le bloc de commande/régulation électronique doit être fourni et installé par la Division 25, doit être
étalonné, installé et réglé en usine. Les caractéristiques permettant de réaliser, sur place, l’étalonnage
du bloc et le réglage du débit d’air sont les suivantes :
1. Prises pour équilibrage avec un voltmètre à commande numérique.
2. Moyens de réglage du débit incorporés au contrôleur d’application.
3. Compatible à 100 % avec le SCCÉ (Division 25).
H. Le transformateur de courant 115 V/24 V, de 20 VA, doit être fourni et installé en usine par la Division
25. L’énergie consommée par l’élément terminal ne doit pas dépasser 15 VA.
K. Registre : en acier de 1.3 mm d’épaisseur, avec garniture périphérique et paliers autolubrifiants. Les
fuites d’air par le registre, lorsque celui-ci est fermé, ne doivent pas dépasser 2 % du débit nominal à
une pression statique à l’entrée de 750 Pa, selon les méthodes d’essai du Air Diffusion Council.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
3.01 INSTALLATION
C. Installer les éléments terminaux de manière à faciliter l’accès aux dispositifs de commande/ régulation,
aux registres et aux panneaux de visite.
2.01 GÉNÉRALITÉS................................................................................................................................2
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 3
3.02 JOINTS ENTRE LES CONDUITS SOUPLES ET LES CONDUITS RIGIDES ...................................................3
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières, ainsi que les Sections de spécification de la Division 01.
1.02 RÉFÉRENCES
A. CAN/ULC-S110 - M86 (R2001) Modification 1, Méthodes normalisées d’essai des conduits d’air.
D. NFPA 90B - 2002, Installation of Warm Air Heating and Air Conditioning Systems.
E. SMACNA, HVAC Duct Construction Standards, Metal and Flexible, Third Edition – 2005.
B. Fiches techniques : les fiches techniques doivent porter sur ce qui suit :
1. Les propriétés thermiques.
2. Les pertes par frottement
3. La transmission acoustique.
4. L’étanchéité.
5. Les caractéristiques de résistance au feu.
C. Échantillons
1. Soumettre des échantillons pour chacun des types de conduits souples retenus pour les travaux.
PARTIE 2 - PRODUITS
2.01 GÉNÉRALITÉS
A. Les conduits d’air doivent être fabriqués en usine, selon la Norme CAN/ULC S110.
B. Les coefficients de perte de charge mentionnés ci-après sont basés sur un coefficient de référence de
1.00 établi pour les conduits métalliques.
C. L’indice de propagation de la flamme ne doit pas dépasser 25 et l’indice de pouvoir fumigène ne doit pas
dépasser 50.
A. Conduits indéformables, en tissu à base de fibres minérales, enduits et armés, à l’extérieur, de fil d’acier
enroulé en spirale et retenu en place par un moyen mécanique, revêtus en usine d’un calorifuge souple,
de 37 mm d’épaisseur, en fibres de verre, avec pare-vapeur.
B. Performance
1. Étanchéité éprouvée en usine sous une pression de 2.5 kPa.
2. Coefficient relatif maximal de perte de charge : 3.
3. Déperditions/Apports thermiques : moyenne de 0.04 W/m-°C à 24°C.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
A. Installer les conduits d’air souples conformément aux Normes CAN/ULC-S110, UL-181, ANSI/NFPA
90A, ANSI/NFPA 90B et aux normes pertinentes de la SMACNA.
C. Les conduits d’air souples sont autorisés seulement aux endroits montrés aux plans.
A. Les exigences pour le scellement des conduits rigides s’appliquent. Les adhésifs seront chimiquement
compatibles aux matériaux avec lesquels ils seront en contact.
C. Les collets auxquels les conduits souples s’attacheront seront d’un minimum de 50 mm de long.
D. Les collets seront insérés dans les conduits souples d’au moins 25 mm avant d’attacher.
E. Les conduits d’air souples non-métalliques seront fixés au collet rigide à l’aide d’une bande de serrage.
Dans le cas où les collets des conduits excèdent 300 mm en diamètre, la bande de serrage doit être
positionnée derrière une nervure sur le collet métallique.
F. Les bandes de serrage seront réglables, en acier inoxydable et munies d’une vis de serrage.
G. Le calorifuge et les pare-vapeur des conduits fabriqués en usine recouvriront les collets métalliques et
seront solidement fixés par les bandes de serrage.
A. Les conduits d’air souples seront supportés conformément aux recommandations du manufacturier mais
au moins à tous les 1,5 m. La flèche maximale permissible est de 40 mm par mètre d’espace entre les
supports. Une connexion à un autre conduit ou à une pièce d’équipement est considérée comme un
point de support.
B. Le matériau du support ou de la sellette sera suffisamment large pour ne pas réduire le diamètre interne
du conduit lorsque la section supportée repose sur le matériau du support ou de la sellette. Le matériau
en contact avec le conduit souple ne sera jamais plus étroit que 25 mm. Des supports plus étroits
peuvent être utilisés avec une sellette complémentaire qui rencontre les exigences. La sellette doit
couvrir la moitié de la circonférence du diamètre extérieur du conduit flexible et doit bien s’assujettir
autour de la moitié inférieure de la circonférence externe du conduit.
C. Les systèmes de suspension installés en usine intégrés aux conduits sont acceptables pour la
suspension lorsque les recommandations du manufacturier sont suivies.
E. Pour éviter de déchirer le pare-vapeur, ne pas supporter le poids total du conduit flexible sur un seul des
supports durant l’installation. Éviter que le conduit souple entre en contact avec les arêtes des supports.
Les réparations au pare-vapeur sont interdites. Remplacer tout pare-vapeur endommagé.
F. Les éléments terminaux raccordés par des conduits souples seront supportés indépendamment des
conduits souples.
2.01 GÉNÉRALITÉS................................................................................................................................2
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 3
3.01 INSTALLATION................................................................................................................................3
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières, ainsi que les Sections de spécification de la Division 01.
A. Les grilles, les grilles à registre et les diffuseurs d'un même type générique doivent provenir du même
fabricant.
PARTIE 2 - PRODUITS
2.01 GÉNÉRALITÉS
A. Produits dont les caractéristiques répondent aux exigences indiquées en ce qui concerne le débit, la
perte de charge, la vitesse terminale, la portée du jet, le niveau de bruit et la vitesse au point de
rétrécissement maximal (collet).
B. Bâtis
1. Garniture d'étanchéité sur tout le pourtour.
2. Dispositifs de fixation dissimulés.
3. Dispositifs de manœuvre manuels et dissimulés pour registres volumétriques.
4. Couleur selon les directives de l’Ingénieur ou de l’Architecte.
B. Avec fixation appropriée selon les éléments architecturaux dans lesquels elles seront installées.
B. Avec fixation appropriée selon les éléments architecturaux dans lesquels elles seront installées.
2.04 DIFFUSEURS
B. Recouvert d’un fini émaillé cuit appliqué en usine de couleur (code et manufacturier de peinture) au
choix de l’architecte.
C. Avec fixation appropriée selon les éléments architecturaux dans lesquels ils seront installés.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
3.01 INSTALLATION
A. Installer les grilles, les grilles à registre et les diffuseurs conformément aux instructions du fabricant.
B. Là où les éléments de fixation sont apparents, utiliser des vis en acier inoxydable et les noyer dans des
trous fraisés.
C. Dans les gymnases et autres locaux similaires, utiliser des boulons pour fixer les appareils en place.
D. Dans les gymnases et autres locaux similaires, munir les grilles, les grilles à registre et les diffuseurs
d'une chaîne de sécurité dissimulée.
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 6
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières, ainsi que les Sections de spécification de la Division 01.
1.02 SOMMAIRE
1.03 RÉFÉRENCES
B. ASME International
1. ASME B16.5-03: Pipe Flanges and Flanged Fittings, NPS 1/2 to NPS 24
2. ASME B16.9-01: Factory Made Wrought Steel Buttwelding Fittings
3. ASME STS-1-00: Steel Stacks
C. ASTM International
1. ASTM A 53/A 53M-02: Specification for Pipe, Steel, Black and Hot-Dipped, Zinc-Coated, Welded
and Seamless
2. ASTM A 106-02a: Specification for Seamless Carbon Steel Pipe for High-Temperature Service
3. ASTM A 240/A 240M-04: Specification for Chromium and Chromium-Nickel Stainless Steel Plate,
Sheet, and Strip for Pressure Vessels and for General Applications
4. ASTM A 666-03: Specification for Annealed or Cold-Worked Austenitic Stainless Steel Sheet, Strip,
Plate, and Flat Bar
5. ASTM A 959-03: Guide for Specifying Harmonized Standard Grade Compositions for Wrought
Stainless Steels
6. ASTM A 1011/A 1011M-03a: Specification for Steel, Sheet and Strip, Hot-Rolled, Carbon,
Structural, High-Strength Low-Alloy and High-Strength Low-Alloy with Improved Formability
7. ASTM B 209-02a: Specification for Aluminum and Aluminum-Alloy Sheet and Plate
8. ASTM B 209M-03: Specification for Aluminum and Aluminum-Alloy Sheet and Plate [Metric]
D. CSA International
1. CSA B139-F09 : Code d'installation des appareils de combustion au mazout.
2. CSA B149.1-F10 : Code d'installation du gaz naturel et du propane.
C. Dessins d’atelier : pour les conduits d’évacuation, les conduits de raccordement et les cheminées.
Comprennent les vues en plan, en élévation, en coupe, ainsi que les détails et les interfaces avec les
autres installations.
1. Montrer les détails des équipements, les dimensions, les poids, la répartition de charge, les
dégagements nécessaires, la méthode d'assemblage au chantier, les composants, les pendards et
les dispositifs de retenue parasismique, ainsi que l'emplacement et le diamètre de chaque
raccordement au chantier.
2. Pour les produits installés et qui doivent résister aux charges de conception, fournir les calculs des
dispositifs de retenue parasismique et les données d’analyse structurale signés et scellés par
l’ingénieur qualifié responsable de leur préparation.
B. Certificats en soudage.
C. Certification de qualification du fabricant en matière sismique : soumettre un document certifiant que les
conduits de raccordement et les cheminées fabriquées en usine, ainsi que les accessoires et
composants résisteront aux forces sismiques définies dans la Section 23 05 48 - Systèmes et dispositifs
antivibratoires et parasismiques pour tuyauteries et appareils de CVCA. Inclure les éléments suivants :
1. Base de certification : préciser si la certification de résistance est basée sur des essais en vraie
grandeur des composants assemblés ou sur des calculs.
a. Le terme « résister » signifie que « l’unité demeure en place sans qu’aucune de ses parties ne
s’en dissocie lorsqu’elle est soumise aux forces sismiques spécifiées et que l’unité doit être
entièrement opérationnelle après le tremblement de terre. »
2. Plans d’ensemble des conduits de raccordement et des cheminées avec dimensions : indiquer le
centre de gravité, ainsi que l'emplacement et la description des éléments de fixation et d'ancrage.
3. Description détaillée et exigences d'installation des ancrages sur lesquels se base la certification.
A. Limitations relatives à l'approvisionnement : se procurer les composants des systèmes indiqués chez un
même fournisseur.
B. Soudage : qualifier les procédures et le personnel en conformité avec le code AWS D1.1/D1.1M, intitulé
« Structural Welding Code--Steel », en ce qui a trait aux pendards et supports, et avec le code
AWS D9.1/D9.1M, intitulé « Sheet Metal Welding Code », en ce qui a trait au soudage en atelier et au
chantier des joints des conduits d’évacuation, des conduits de raccordement et des cheminées.
1.07 COORDINATION
A. Coordonner l'installation des souches de toit, supports d'équipements et passages de toit. Ces articles
sont définis dans la Division 07.
PARTIE 2 - PRODUITS
A. Fabricants : sous réserve de leur conformité au Devis, fournir les produits de l’un des fabricants
suivants :
1. Cheminée Sécurité International.
2. Selkirk Inc.; Selkirk Metalbestos and Air Mate.
B. Description : conduits d’évacuation métalliques à double paroi, soumis à des essais selon UL 441 et
CAN/ULC S-605 et conçus pour 248°C (480°F) en service continu, pour le type B, ou 288°C (550°F) en
service continu pour le type BW; avec pression neutre ou négative des gaz de combustion
conformément à NFPA 211, CSA B139 et CSA B149.1.
C. Construction : enveloppe intérieure et gaine extérieure séparées par un espace d'air d'au moins 6 mm
(1/4 pouce).
D. Enveloppe intérieure :
1. ASTM B 209M (ASTM B 209), aluminium type 1100 ou
2. ASTM B 209M (ASTM B 209), aluminium type 3003 ou
3. ASTM B 209M (ASTM B 209), aluminium type 3105 ou
4. ASTM A 666, acier inoxydable type 430.
A. Fabricants : sous réserve de leur conformité au Devis, fournir les produits de l’un des fabricants
suivants :
1. Cheminée Lining.E. Inc.
2. Cheminée Sécurité International.
3. Selkirk Inc.; Selkirk Metalbestos and Air Mate.
B. Description : conduits d'évacuation métalliques à double paroi, soumis à des essais selon UL 1738 et
ULC-S636 et conçus pour 248°C (480°F) en service continu; avec pression positive ou négative des gaz
de combustion conformément à NFPA 211 et CSA B149.1.
C. Construction : enveloppe intérieure et gaine extérieure séparées par un espace d'air d'au moins 13 mm
(1/2 pouce).
PARTIE 3 - EXÉCUTION
3.01 EXAMEN
A. Examiner les lieux et les conditions rencontrées sur place pour voir si les exigences relatives aux
tolérances d'installation et autres paramètres ayant une incidence sur les performances de l'installation
sont respectées.
1. Procéder à l’installation que lorsque les conditions non satisfaisantes ont été corrigées.
3.02 APPLICATIONS
A. Conduits d'évacuation de types B et BW certifiés : conduits d'évacuation pour appareils au gaz certifiés.
A. Choisir un emplacement permettant de respecter les dégagements minimaux par rapport aux matériaux
combustibles, ainsi que les hauteurs minimales de sortie selon les plus rigoureuses des exigences
suivantes : conditions de certification du produit, NFPA 211, CSA B139 ou CSA 149.1.
B. Réaliser l'étanchéité entre les sections de conduits d'évacuation à pression positive selon les directives
d'installation écrites du fabricant, en utilisant les produits recommandés par celui-ci.
C. Supporter le poids des conduits d'évacuation et de leurs accessoires, en respectant les espacements
recommandés par le fabricant et de manière à ne pas dépasser la charge admissible sur l'appareil.
D. Installer les culottes de cheminée en pente négative vers les appareils; prévoir un raccordement de
vidange de condensat au point le plus bas et une tuyauterie d'amenée du condensat au drain le plus
proche, ou vers un dispositifs de neutralisation selon les indications aux dessins.
3.04 NETTOYAGE
A. Une fois l'installation du système terminée, y compris les raccords et dispositifs de sortie, inspecter la
finition des parties exposées. Ôter les bavures, la saleté et les débris de construction, puis réparer les
finis endommagés.
B. Nettoyer l'intérieur des culottes de cheminée, pendant et après l'installation, afin d'en retirer la poussière
et les débris. Nettoyer les surfaces extérieures afin d'en ôter le laitier de soudure et d'en supprimer
l'aspect mat. Meuler les cordons de soudure à ras de la surface et retoucher la finition en tenant compte
de celle appliquée en usine ou à l'atelier.
C. Prévoir des dispositifs d'obturation temporaire aux extrémités des culottes de cheminée et des
cheminées non terminées ou non raccordées aux équipements.
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 8
3.05 DÉMONSTRATION.........................................................................................................................10
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières, ainsi que les Sections de spécification de la Division 01.
1.02 SOMMAIRE
A. Cette Section concerne les chaudières à condensation préfabriquées et assemblées en usine, à gaz, à
tirage forcé à tubes de fumée, ainsi que leurs instruments et accessoires pour la production d'eau
chaude.
1.03 RÉFÉRENCES
D. ASME International
1. ASME B1.20.1-83 (Reaffirmed 2001): Pipe Threads, General Purpose, Inch
2. 2001 ASME Boiler and Pressure Vessel Code: Section I, "Power Boilers"; Section IV, "Heating
Boilers"; Section VIII, "Pressure Vessels," Division 1
E. ASTM International
1. ASTM A 959-03: Guide for Specifying Harmonized Standard Grade Compositions for Wrought
Stainless Steels
F. CSA
1. B149.1-F10 : Code d'installation du gaz naturel et du propane
A. Données techniques sur les produits : inclure les données de performance, les caractéristiques de
fonctionnement, les composants à usage spécialisé fournis et les accessoires.
B. Dessins d’atelier : pour les chaudières, les instruments et accessoires de chaudière : comprennent les
vues en plan, en élévation, en coupe, ainsi que les détails et les interfaces avec les autres installations.
1. Fournir les schémas d'alimentation électrique, de transmission de signaux et de câblage de
commande.
A. Fournir les fiches d'exploitation et d'entretien requises et les joindre au manuel mentionné à la
Section 01 78 00 – Éléments à soumettre à l’achèvement des travaux.
B. Données d’exploitation et d’entretien : celles relatives aux chaudières doivent figurer dans les manuels
d'intervention d'urgence, d’exploitation et d’entretien.
B. Conformité ASME : fabriquer et étiqueter les chaudières conformément aux exigences du code ASME
Boiler and Pressure Vessel Code :
C. Conformité à ASHRAE/IESNA 90.1 : les chaudières doivent avoir un rendement minimal selon la
rubrique « Gas and Oil Fired Boilers - Minimum Efficiency Requirements ».
D. Conformité à DOE : le rendement minimal doit être conforme à 10 CFR 430, Subpart B, Appendix N,
"Uniform Test Method for Measuring the Energy Consumption of Furnaces and Boilers.".
E. Conformité aux normes UL : soumettre les chaudières à des essais en conformité à la norme UL 795,
« Commercial-Industrial Gas Heating Equipment ». Les chaudières doivent être enregistrées et
marquées par un organisme d’essais agréé par les autorités de juridiction.
1.09 COORDINATION
A. Coordonner les dimensions et l'emplacement des bases de béton. Encastrer les chemises pour boulons
d'ancrage dans les bases. Les exigences relatives au béton, à l'armature et aux coffrages sont
spécifiées dans la Division 03.
1.10 GARANTIE
A. Garantie spéciale : formulaire standard selon lequel le fabricant s'engage à réparer ou remplacer les
composants des chaudières présentant des défauts de matériaux ou de fabrication au cours de la
période de garantie spécifiée.
1. Période de garantie pour les chaudières à condensation à tubes de fumée :
a. Fuites et matériaux : 10 années à compter de la date d'achèvement substantiel.
b. Endommagement de l'échangeur de chaleur par stress thermique et corrosion :
proportionnelle durant cinq années à compter de la date d'achèvement substantiel.
PARTIE 2 - PRODUITS
A. Produit de référence : sous réserve de la conformité au devis, le produit figurant sur les dessins de
De Dietrich (ECO C-310-9) ou un produit comparable de l’un des fabricants suivants sera fourni :
1. Buderus.
2. Cleaver-Brooks.
3. Patterson-Kelley.
D. Réservoir sous pression : acier au carbone avec têtes et raccordements de tubes soudés.
F. Ventilateur : le ventilateur centrifuge doit être en service durant chaque séquence de fonctionnement du
brûleur et assurer un prébalayage et une post-purge de la chambre de combustion.
1. Moteurs : conformité aux exigences spécifiées dans la Section 23 05 13 - Exigences générales
concernant les moteurs d’appareils de CVCA.
a. Tailles des moteurs : taille minimale tel qu'indiqué. En l'absence d'indication, la taille doit être
suffisante pour que la charge entraînée ne nécessite pas un fonctionnement du moteur à un
facteur de service supérieur à 1.0.
G. Robinetterie et accessoires de gaz : robinet de gaz combiné avec robinet d'arrêt manuel et régulateur de
pression.
H. Allumage : allumage par étincelle avec fermeture à 100 % du robinet d'arrêt principal (en cas de
défaillance) et surveillance électronique de la flamme.
I. Enveloppe :
1. Chemise : Tôle métallique, avec joints à montage par pression ou à verrouillage.
2. Enveloppes de compartiment de commande : NEMA 250, type 1A.
3. Finition : fini protecteur en émail cuit au four ou par revêtement en poudre.
4. Isolation : épaisseur minimale de 50 mm (2 pouces), fibre minérale autour de l'échangeur de
chaleur.
5. Raccordements d'air de combustion : Collets de gaine d'entrée et d'évacuation.
6. Base de montage pour fixation de la chaudière.
a. Exigences de fabrication ayant trait aux forces sismiques : fabriquer la base de montage et la
fixation au réservoir sous pression, aux accessoires et composants de la chaudière en les
dotant de renforcements suffisants pour résister aux forces sismiques définies dans la
Section 23 05 48 - Systèmes et dispositifs antivibratoires et parasismiques pour tuyauteries et
appareils de CVCA, lorsque la base est ancrée à la structure du bâtiment.
J. Fluides caloporteurs spécifiques : les caractéristiques de fonctionnement et les rendements doivent être
obtenus avec les fluides caloporteurs indiqués.
K. Caractéristiques et capacités :
1. Fluide caloporteur : Eau chaude glycolée à 50% de concentration en volume (propylène glycol).
2. Pression nominale d'eau : 690 kPa (100 psig).
3. Tarage de la soupape de sûreté : 690 kPa (100 psig).
4. Température d'eau glycolée à l'entrée : 43°C (110°F).
5. Température d'eau glycolée à la sortie : 49°C (120.5°F).
6. Débit d'eau de conception : 24 L/s (380.5 gpm).
7. Débit d'eau minimal : 0 L/s (0 gpm)
8. Chute de pression de conception maximale : 37 kPa (5.4 psig).
9. Rendement thermique minimal : 98,5 % basé sur une température de 27°C (80°F) à l’entrée.
10. Puissance à l’entrée : 697 kW (2041 MBTU/h).
11. Puissance de sortie : 667 kW (1955 MBTU/h).
12. Caractéristiques électriques :
a. Volts : 115 V.
b. Phases : une.
c. Hertz : 60.
d. Intensité (ampères) à pleine charge : 4,5.
e. Protection de surintensité - Valeur maximale : 15 A.
A. Prévoir des dispositifs dimensionnés en conformité avec ANSI B31.9, Building Services Piping.
2.03 COMMANDES
B. Commandes de brûleur : Afin d'assurer des conditions de service sécuritaires, les commandes de
sécurité limitent le fonctionnement du brûleur.
1. Coupure sur limite haute (température) : un dispositif de coupure à réarmement automatique arrête
le fonctionnement du brûleur lorsque la température de la chaudière dépasse la valeur maximale
de conception.
2. Coupure en cas de bas niveau d’eau : une sonde électronique doit empêcher le brûleur de
fonctionner en cas de bas niveau d'eau. La coupure doit être - à réarmement automatique.
3. Manostat de sécurité en cas de blocage d'admission d'air : manostat à réarmement manuel monté
sur place sur l'entrée d'air de combustion.
4. Alarme sonore : montée en usine sur le panneau de commande, avec interrupteur d’arrêt d’alarme ;
doit déclencher une alarme dans les conditions ci-dessus.
C. Interface avec le système d’automatisation du bâtiment : installer le matériel et le logiciel en usine pour
permettre au système d’automatisation du bâtiment de surveiller, commander et afficher l'état de
fonctionnement de la chaudière et les alarmes en utilisant le protocole de communication BACNET.
1. L’interface de communication avec le système d’automatisation du bâtiment doit permettre à
l'opérateur du système de commander et surveiller la chaudière à distance à partir d'un poste de
travail. Les caractéristiques de commande et les points de surveillance affichés localement sur le
coffret de commande de la chaudière doivent être accessibles par le système d’automatisation.
2. En plus de l’interface BACNET fournir les points de connexions suivant pour des liaisons câblés :
a. Surveillance : état de marche/arrêt, alarme de défaut commune.
b. Commandes : fonctionnement en tout ou rien, réglage de point de consigne de température
d'alimentation en eau chaude.
A. Raccordement d'alimentation électrique en un seul point sur place : les contacteurs, modules de
commande de moteur, transformateurs et autres appareils électriques installés et câblés en usine
doivent faire l'objet d'un raccordement d'alimentation électrique à la chaudière en un seul point sur
place.
A. Brûleur et épreuve hydraulique : régler le brûleur en usine afin d'éliminer l'excès d'oxygène, le gaz
carbonique, les émissions d'oxydes d'azote et le monoxyde de carbone dans les gaz de combustion et
aussi d'obtenir le rendement de combustion voulu ; réaliser une épreuve hydraulique.
B. Soumettre à des essais et inspecter les chaudières assemblées en usine, avant expédition,
conformément aux exigences du code ASME Boiler and Pressure Vessel Code.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
3.01 EXAMEN
A. Avant installation de la chaudière, examiner la position des bases prévues pour l'équipement, les
dimensions et emplacements des boulons d'ancrage, les raccordements de tuyauteries et électriques,
afin de vérifier les positions, dimensions et autres conditions réelles ayant une influence sur la
performance, l'entretien et le fonctionnement de la chaudière.
1. L'emplacement final d'une chaudière indiqué sur les dessins est approximatif. Déterminer
l'emplacement exact avant l'étape de la tuyauterie brute et des raccordements électriques bruts.
B. Examiner les locaux mécaniques devant recevoir les chaudières pour vérifier s'ils sont adéquats.
C. Ne procéder à l’installation que lorsque les conditions non satisfaisantes ont été corrigées.
D. Installer les appareils électriques fournis avec la chaudière mais non spécifiés comme devant être
installés en usine.
3.03 RACCORDEMENTS
A. Les exigences d'installation de la tuyauterie sont définies dans d'autres Sections. Les dessins
définissent l'implantation générale des tuyauteries, raccords et composants à usage spécialisé.
B. Installer la tuyauterie adjacente à la chaudière avec des dégagements suffisants pour les réparations et
l'entretien.
D. Raccorder les tuyauteries aux chaudières, à l'exception des tuyauteries de raccordement des soupapes
de sûreté, au moyen de raccords flexibles fabriqués en matériaux convenant aux conditions de service.
Les raccords flexibles et leur installation sont spécifiés dans la Section 23 21 13 - Tuyauterie
hydronique.
E. Raccorder la tuyauterie de gaz à la robinetterie et aux accessoires de gaz au moyen d'un raccord union.
Le diamètre de la tuyauterie doit être au moins égal à celui de la robinetterie et des accessoires de gaz.
Fournir une réduction au besoin.
F. Raccorder la tuyauterie d'eau chaude aux tubulures d'alimentation et de retour sur la chaudière, en
installant un robinet d'arrêt et un raccord union ou une bride sur chaque tubulure.
G. Installer la tuyauterie entre les soupapes de sûreté et le drain de plancher le plus proche.
A. Organisme d'essais : Engager un organisme d’essais habilité qui procédera aux essais et inspections.
B. Services du fabricant au chantier : engager un représentant de service autorisé par le fabricant pour les
essais et l'inspection des composants, assemblages et équipements, incluant les raccordements.
C. Réaliser les essais et inspections ci-après avec l'aide d'un représentant de service autorisé par le
fabricant :
1. Effectuer les vérifications d'installation et de mise en marche selon les directives écrites du
fabricant.
2. Essai de détection de fuites : épreuve hydraulique : réparer les fuites éventuelles et procéder à de
nouveaux essais jusqu’à ce que toute fuite ait disparu.
3. Essais de fonctionnement : faire démarrer les unités afin d'en confirmer le bon fonctionnement,
ainsi que le sens de rotation des moteurs. Régler le rapport air-combustible et la combustion.
4. Essayer et régler les dispositifs de commande et de sécurité. Remplacer les commandes et
équipements endommagés ou défectueux.
a. Vérifier et régler les points de consigne initiaux, ainsi que les points de sécurité de haute et
basse limites ayant trait à l'alimentation en combustible, le niveau d'eau et la température
d'eau.
b. Régler les interrupteurs et contacteurs réglables au chantier, ainsi que les plages de
déclenchement des disjoncteurs selon les indications.
D. Démonter et remplacer les éléments défectueux et procéder à de nouveaux essais comme il est indiqué
ci-dessus.
F. Réglage des paramètres dans les locaux occupés : sur demande dans les 12 mois de l'achèvement
substantiel, fournir une assistance sur le site pour régler les paramètres du système en fonction des
conditions réelles d'occupation des locaux. À cet effet, effectuer jusqu'à deux visites sur le site du projet
en dehors des heures normales d'occupation.
3.05 DÉMONSTRATION
A. Engager un représentant de service autorisé par le fabricant et qui sera chargé de former le personnel
d’entretien du Propriétaire en matière de réglage, de fonctionnement et d’entretien des chaudières.
Enregistrer en vidéo les sessions de formation. Se reporter à la Section 01 79 00 - Démonstrations et
formations.
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 3
3.01 INSTALLATION................................................................................................................................3
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières, ainsi que les Sections de spécification de la Division 01.
1.02 RÉFÉRENCES
A. ANSI/ASME, Boiler and Pressure Vessel Code, Section VIII, Unfired Pressure Vessels.
B. CSA B51, Code des chaudières et des appareils et tuyauteries sous pression.
B. Données techniques sur les produits : pour chaque type de produit indiqué.
A. Certification de qualification sismique du fabricant : Fournir une certification à l’effet que les appareils,
leurs composants et leurs accessoires résisteront aux forces sismiques définies à la Section 23 05 48 -
Systèmes et dispositifs antivibratoires et parasismiques pour tuyauteries et équipements de CVCA.
Inclure ce qui suit :
1. Base de la certification de résistance aux séismes : Indiquer si la certification est basée sur des
essais ou des calculs.
a. Le terme « résistance » signifie que « l’appareil demeurera en place sans qu’aucune de ses
parties ne se dissocie de l’unité lorsque soumis aux forces sismiques spécifiées et que l’unité
sera pleinement fonctionnelle après l’événement sismique. »
2. Dessins d’encombrement dimensionnés de l’appareil : Identifier le centre de gravité, localiser et
décrire les dispositifs de montage et d’ancrage.
3. Description détaillée des dispositifs d’ancrage de l’appareil sur lesquels la certification est basée et
leurs exigences d’installation.
A. Fournir les fiches d'exploitation et d'entretien requises et les joindre au manuel mentionné à la
Section 01 78 00 – Éléments à soumettre à l’achèvement des travaux.
PARTIE 2 - PRODUITS
A. Fabricants : sous réserve de leur conformité au devis, fournir les produits de l’un des fabricants
suivants :
1. Alfa Laval Inc.
2. Armstrong Pumps, Inc.
3. ITT Corporation; Bell & Gossett.
4. Polaris Plate Heat Exchangers.
5. TACO Incorporated.
6. Tranter, Inc.
B. Généralités
1. Appareils conçus, construits et éprouvés conformément aux exigences de la section VIII, du Code
ANSI/ASME, Boiler and Pressure Vessel, de la Norme CSA B51 et des règlements provinciaux sur
les récipients sous pression.
C. Cadres : en acier au carbone recouverts d'une peinture-émail aux résines époxydiques, séchée au four,
avec enveloppe en aluminium et boulons latéraux en acier galvanisé.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
3.01 INSTALLATION
A. Généralités : installer les appareils de niveau et les fixer solidement aux supports selon les
recommandations du fabricant.
B. Échangeurs à tubes et calandre : disposer la tuyauterie de façon qu'on puisse retirer le faisceau
tubulaire en ne démontant que les brides ou les deux raccords-unions adjacents à la tête de l'échangeur
et ne dérangeant pas les autres appareils et systèmes.
3.02 ACCESSOIRES
A. Installer une soupape de sûreté raccordée par tuyauterie à une évacuation, un brise-vide, un purgeur
d'eau condensée, une évacuation avec robinet à bec fileté.
B. A l'entrée et à la sortie, du côté primaire et du côté secondaire, installer des thermomètres logés dans
des puits thermométriques.
1.04 DÉFINITIONS.................................................................................................................................. 4
PARTIE 3 - EXÉCUTION.......................................................................................................... 12
3.05 DÉMONSTRATION......................................................................................................................... 14
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières, ainsi que les Sections de spécification de la Division 01.
1.02 SOMMAIRE
1.03 RÉFÉRENCES
D. ASME International
1. ASME B16.5-2003: Pipe Flanges and Flanged Fittings, NPS 1/2 to NPS 24
2. 2004 ASME Boiler and Pressure Vessel Code : Section VIII, "Pressure Vessels," Division 1
E. ASTM International
1. ASTM C 534-03: Specification for Preformed Flexible Elastomeric Cellular Thermal Insulation in
Sheet and Tubular Form.
F. BNQ
1. NQ 3650-900-1989 : Code d’installation des appareils sous pression.
G. CAN/CSA
1. CAN/CSA B52-92 : Code de réfrigération mécanique.
H. CSA
1. CSA B51-M1991 : Code des chaudières, appareils et tuyauteries sous pression.
I. Electrotechnical Commission
1. IEC 60947-4-1-2000: Part 4: "Contactors and Motor Starters"; Section 1, "Electromechanical
Contactors and Motor Starters" (with Amendment 1, dated 2002)
K. Québec
1. Règlement sur les halocarbures.
1.04 DÉFINITIONS
A. Performances d’ordre sismique : les refroidisseurs d’eau doivent résister aux effets des déplacements
sismiques calculés selon le Code de construction du Québec.
B. Altitude du site : le refroidisseur doit pouvoir fonctionner à l'altitude d'installation sans influence négative
sur la performance indiquée. Modifier les composants du refroidisseur concernés pour tenir compte de
l'altitude du site.
B. Données techniques sur les produits : pour chaque type de produit indiqué. Inclure le réfrigérant, les
capacités nominales, les caractéristiques de fonctionnement, les composants à usage spécialisé fournis
et les accessoires.
1. Performance dans les conditions ARI standards et dans les conditions indiquées.
2. Performance dans les conditions ARI standards de marche à vide.
3. Débit minimal de l'évaporateur.
4. Capacité du refroidisseur en réfrigérant.
5. Contenance en fluide de l'évaporateur, du condenseur.
6. Caractéristiques des soupapes de sûreté.
7. Température minimale du fluide à l'entrée du condenseur.
C. Dessins d’atelier : comprennent les vues en plan, en élévation, en coupe, ainsi que les détails et les
interfaces avec les autres installations.
1. Montrer les détails des équipements, les dimensions, les poids, la répartition de charge, les
dégagements nécessaires, la méthode d'assemblage au chantier, les composants, ainsi que
l'emplacement et le diamètre de chaque raccordement au chantier.
2. Schémas électriques : alimentation électrique, transmission de signaux et câblage de commande.
B. Dessins de coordination : vues en plan, dessinées à l'échelle, montrant les éléments suivants,
coordonnés entre eux, à partir des données provenant des installateurs des éléments concernés :
1. Supports structuraux.
2. Exigences relatives à la tuyauterie brute.
3. Exigences relatives au câblage brut, incluant notamment les espaces réservés aux équipements
électriques.
4. Exigences d'accès, incluant notamment les dégagements s'appliquant aux commandes
mécaniques et aux équipements électriques, ainsi que les dégagements pour tirage de tuyauterie
et pour entretien.
A. Données d’exploitation et d’entretien : celles relatives à chaque refroidisseur doivent figurer dans les
manuels d'intervention d'urgence, d’exploitation et d’entretien.
A. Certification de qualification du fabricant en matière sismique : Soumettre un document certifiant que les
appareils, les accessoires et composants résisteront aux forces sismiques définies dans la Section
23 05 48 - Systèmes et dispositifs antivibratoires et parasismiques pour tuyauteries et équipements de
CVCA. Inclure les éléments suivants :
1. Base de certification : Préciser si la certification de résistance est basée sur des essais en vraie
grandeur des composants assemblés ou sur des calculs.
a. Le terme « résistance » signifie que « l’appareil demeurera en place sans qu’aucune de ses
parties ne se dissocie de l’unité lorsque soumis aux forces sismiques spécifiées et que l’unité
sera pleinement fonctionnelle après l’événement sismique. »
2. Dessins d’encombrement dimensionnés de l’appareil : identifier le centre de gravité, localiser et
décrire les dispositifs de montage et d’ancrage.
3. Description détaillée des dispositifs d’ancrage de l’appareil sur lesquels la certification est basée et
leurs exigences d’installation.
C. Conformité :
1. CAN/CSA B52 s'appliquant au code de sécurité relatif à la réfrigération mécanique.
2. « Règlement sur les halocarbures » portant sur les exigences relatives aux fuites, à la récupération,
à la manipulation et au stockage de réfrigérant.
E. Conformité ASME et CSA B51 : fabriquer et étiqueter les refroidisseurs conformément aux exigences du
code ASME Boiler and Pressure Vessel Code : Section VIII, Division 1 et de CSA B51. Les
refroidisseurs chargés en réfrigérant R-410A doivent être accompagnés d'un sceau de certification
ASME U, d’un numéro CRN (vaisseau sous pression) et d'une plaque signalétique confirmant la
conformité.
G. Satisfaire aux exigences UL et UL Canada et fournir une étiquette de conformité provenant d'un
organisme d’essais habilité.
B. Livrer les modules des refroidisseurs séparément. Retenir les services du fabricant pour l’assemblage
au chantier.
1.12 COORDINATION
A. Coordonner les dimensions et l'emplacement des bases de béton en fonction des équipements
effectivement fournis. Encastrer les chemises pour boulons d'ancrage dans les bases.
B. Coordonner, avec l’entité responsable des travaux de la Division 25, le branchement des contacteurs
débitmétriques, des sondes de température externes et de l’alimentation électrique du contrôleur maître.
1.13 GARANTIE
A. Garantie spéciale : formulaire standard selon lequel le fabricant s'engage à réparer ou remplacer les
composants des refroidisseurs présentant des défauts de matériaux ou de fabrication au cours de la
période de garantie spécifiée.
1. Les garanties prolongées comprennent notamment, sans que la liste soit exhaustive :
a. Pièces et main-d’œuvre.
b. Perte de la charge de réfrigérant pour quelque raison que ce soit.
2. Période de garantie : cinq années à compter de la date d'achèvement substantiel.
PARTIE 2 - PRODUITS
2.01 FABRICANTS
A. Fabricants : sous réserve de la conformité de leurs produits avec les spécifications, retenir les services
de l'un des fabricants suivants :
1. Climacool Corporation ; une filiale de LSB Industries, inc.
2. Multistack, LLC.
2.03 RÉFRIGÉRATION
A. Réfrigérant :
1. Type : R-410A ; ASHRAE 34, classe A1.
2. Compatibilité : les parties du refroidisseur en contact avec le réfrigérant doivent être entièrement
compatible avec ce dernier et les composants sous pression doivent être conçus pour supporter la
pression du réfrigérant.
D. Transfert de réfrigérant : fournir les robinets et autres accessoires installés en usine pour faciliter le
transfert de réfrigérant du refroidisseur dans une installation de stockage et de recyclage de réfrigérant
située à distance. Satisfaire aux exigences CSA B52 et du « Règlement sur les halocarbures ».
2.04 DESCRIPTION
A. Refroidisseur constitué de deux modules comprenant chacun au minimum deux compresseurs de type
spiro-orbital de 151 kW (43 tonnes), nominal, avec les caractéristiques suivantes :
1. Chaque circuit de réfrigérant composé d'un compresseur, d'un condenseur, d'un évaporateur, d'une
valve d'expansion, d’une valve de dérivation des gaz chauds et d'un système de commande.
2. Chaque circuit constitué de manière indépendante de façon à assurer la production d'eau refroidie
advenant le mauvais fonctionnement d'un circuit.
3. Chacun des circuits ne contient pas plus de 12,7 kg (28 lb) de réfrigérant.
4. Chaque module inclut des collecteurs d'alimentation et de retour pour l'eau refroidie et l'eau de
condenseur.
B. Chaque évaporateur et condenseur est constitué d'un échangeur à plaques construit en acier
inoxydable de nuance 316.
1. Évaporateur :
a. Échangeur conçu pour une pression de fonctionnement de 2068 kPa 300 psig.
b. Raccordements de tuyauterie : extrémité rainurée pour raccord mécanique.
2. Condenseur :
a. Échangeur conçu pour une pression de fonctionnement de 2482 kPa (360 psig) et monté sous
le compresseur afin d'éviter la migration du réfrigérant vers l'évaporateur.
b. Raccordements de tuyauterie : extrémité rainurée pour raccord mécanique.
C. Chaque compresseur est raccordé à un circuit de réfrigération indépendant et est monté sur des
isolateurs de vibrations.
D. Les compresseurs, les échangeurs de chaleur, les tuyauteries et les dispositifs de commande sont
assemblés sur une structure d’acier de fort calibre.
2.05 ISOLANT
A. Isolant thermique en élastomère flexible, à alvéoles fermés, conforme à la norme ASTM C 534, Type I
pour les matériaux tubulaires et Type II pour les matériaux en feuilles.
1. Épaisseur : 19 mm (3/4 pouce).
C. Isolant posé en usine sur les surfaces froides du refroidisseur susceptibles de former de la
condensation. Les composants concernés doivent inclure, sans que la liste soit exhaustive : l’échangeur
à plaques de l'évaporateur, incluant les raccordements de tuyauterie, la tuyauterie d'aspiration de
réfrigérant entre l'évaporateur et le compresseur, les surfaces froides du compresseur, le moteur refroidi
par le réfrigérant et la tuyauterie auxiliaire.
1. Appliquer l'adhésif sur 100 pour cent de la surface de contact de l'isolant.
2. Avant d'isoler une surface d'acier, la préparer en vue de la peinture, appliquer l'apprêt et peindre
selon les indications valables pour les autres composants peints. Ne pas isoler une surface d'acier
non peinte.
3. Rendre étanches les joints afin de former un pare-vapeur.
4. Une fois que l'adhésif a durci, peindre les surfaces apparentes de l'isolant pour les harmoniser avec
les autres pièces peintes.
A. Installés et câblés, puis soumis à des essais de bon fonctionnement en usine avant expédition.
B. Alimenter les sous-circuits électriques de chaque moteur, élément chauffant, charge électrique
particulière et commande en interposant un sectionneur.
1. Sectionneur à fusible NEMA KS 1, pour service intensif, avec porte-fusibles à dispositif de
rejet. Sélectionner et dimensionner les fusibles pour une protection de Type 2 selon
IEC 60947-4-1.
2.07 COMMANDES
A. Chacun des modules des refroidisseurs doit incorporer ses propres dispositifs de commande, ses
contacteurs, ses relais et ses accessoires.
B. Les arrêts et départs des compresseurs d’un module sont commandés par un contrôleur maître
commun. En cas de perte de communication avec le contrôleur maître, les modules ont des contrôleurs
secondaires indépendants permettant le fonctionnement en continu du refroidisseur.
C. Le système de commande supervise les points suivants pour chacun des circuits de réfrigération :
1. Faute de pression à la décharge.
2. Faute de pression à la succion.
3. Température du compresseur.
4. Température à la succion.
5. Température de sortie de l'évaporateur.
E. Si une faute survenait sur un des circuits de réfrigération, ce dernier serait arrêté et sa charge transmise
au prochain circuit. Si une faute survenait sur un paramètre du système, le système arrête. Lorsqu'une
faute se produit, le système de commande enregistre les conditions au moment de la faute afin qu'elles
puissent être consultées ultérieurement.
F. Programmer chaque circuit de réfrigération afin d'éviter le gel du réseau d'eau refroidie.
G. Doter l’unité des accessoires nécessaires au contrôle des températures au condenseur afin d’assurer
son bon fonctionnement en mode de récupération de chaleur.
H. Le système de commande supervise les températures d'entrée/sortie de l'eau glacée afin de moduler le
nombre d’étapes de réfrigération requises (4 étapes requises).
I. Interface avec le SCCÉ : matériel et logiciel installés en usine pour permettre au SCCÉ de surveiller,
commander et afficher l'état de fonctionnement du refroidisseur et les alarmes.
1. L'interface de communication avec le SCCÉ ASHRAE 135 (BACnet) doit permettre à l'opérateur du
SCCÉ de commander et surveiller à distance le refroidisseur à partir d'un poste de travail. Les
caractéristiques de commande et les points de surveillance affichés localement sur le coffret de
commande du refroidisseur doivent être accessibles par le SCCÉ.
a. Au minimum, rendre les alarmes suivantes disponibles :
1) Basse pression du réfrigérant, côté évaporateur.
2) Perte de débit dans l'évaporateur.
3) Perte de débit dans le condenseur.
4) Haute pression du réfrigérant, côté condenseur.
5) Haute température du moteur du compresseur.
6) Basse température à la succion des gaz.
7) Basse température de sortie d'eau, côté évaporateur.
A. Doter l’unité des dispositifs de commande nécessaires pour l’opération à sec, haute température au
condenseur (maximum 60°C (140°F) de sortie de liquide).
C. Inclure, pour chaque module des refroidisseurs, des contacteurs débitmétriques du type électronique à
dispersion thermique - un à l’évaporateur et un au condenseur.
A. Identification : REF-1
1. Nombre de modules : Deux
2. Nombre de compresseurs : Quatre, à raison de deux par module.
3. Capacité : 510.1 kW (145.1 tonnes).
4. Évaporateur :
a. Type de fluide : eau.
b. Débit de fluide de conception : 14,6 L/s (232 gpm).
c. Température de fluide à l'entrée : 14,4 C (58°F).
d. Température de fluide à la sortie : 6,1 C (43°F).
e. Chute de pression dans le fluide : 21,8 kPa (7.31 pi d’eau).
5. Condenseur :
a. Type de fluide : eau glycolée (50% de propylène glycol).
b. Débit de fluide de conception : 32,1 L/s (507.6 gpm).
c. Température de fluide à l'entrée : 43,3 C (110°F).
d. Température de fluide à la sortie : 48,9 C (120°F).
e. Chute de pression dans le fluide : 51,4 kPa (17.22 pi d’eau).
6. Exigences électriques relatives à la commande du refroidisseur :
a. Connexions de l’alimentation : au chantier.
b. Volts : 24 V CA.
c. Phases : une.
d. Hertz : 60.
7. Exigences électriques relatives au refroidisseur :
a. Puissance d'entrée : 150,8 kW.
b. Intensité minimale de circuit : 261 A (total pour deux modules).
c. Dispositif de protection de surintensité - Valeur maximale : 350 A (total pour deux modules).
d. Protection coupe-circuit : 5000 A
A. Effectuer des essais de fonctionnement des refroidisseurs avant expédition et en soumettre les rapports.
B. Pour les refroidisseurs contenant du R-410A, soumettre à des essais en usine et inspecter l'évaporateur
et le condenseur selon les exigences du code ASME Boiler and Pressure Vessel Code : Section VIII,
Division 1 et CSA B51.
C. Pour les refroidisseurs situés à l'intérieur, établir le niveau de bruit selon les exigences de la norme
ARI 575.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
3.01 EXAMEN
B. Examiner la position des supports prévus pour l'équipement, les dimensions et emplacements des
boulons d'ancrage, la tuyauterie déjà installée et les raccordements électriques, afin de vérifier les
positions, dimensions et autres conditions réelles ayant une influence sur la performance, l'entretien et le
fonctionnement d'un refroidisseur, avant installation.
1. L'emplacement final d'un refroidisseur indiqué sur les dessins est approximatif. Déterminer
l'emplacement exact avant l'étape de la tuyauterie brute et des raccordements électriques bruts.
C. Ne procéder à l’installation que lorsque les conditions non satisfaisantes ont été corrigées.
A. Montage des équipements : installer le refroidisseur sur des bases de béton en posant des isolateurs à
ressort parasismiques. Se conformer aux exigences sur les bases de béton de la Section 03 30 00 –
Béton coulé en place. Satisfaire aux exigences prescrites dans la Section 23 05 48 – Systèmes et
B. Prévoir les dégagements recommandés par le fabricant en vue des réparations et de l'entretien.
C. Installer les dispositifs séparés fournis par le fabricant et non installés en usine.
3.03 RACCORDEMENTS
A. Se conformer aux exigences sur les tuyauteries de la Section 23 21 13 – Tuyauterie hydronique. Les
dessins définissent l'implantation générale des tuyauteries, raccords et composants à usage spécialisé.
B. Installer la tuyauterie adjacente au refroidisseur avec des dégagements suffisants pour les réparations
et l'entretien.
F. Installer un raccord union et une tuyauterie de vidange au point de vidange de chaque refroidisseur et
amener la tuyauterie, du même diamètre que le raccord, à un drain de plancher. Prévoir un robinet
d'arrêt sur chaque raccord.
B. Inspecter les composants assemblés au chantier, l'installation des équipements, ainsi que des
raccordements de la tuyauterie et électriques.
3.05 DÉMONSTRATION
A. Engager un représentant de service autorisé par le fabricant et qui sera chargé de former le personnel
d’entretien du Propriétaire en matière de réglage, de fonctionnement, et d’entretien des refroidisseurs.
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 6
3.05 DÉMONSTRATION........................................................................................................................... 8
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les dessins et les dispositions générales du contrat, incluant les
Conditions générales et les Conditions supplémentaires, ainsi que les Sections de la Division 01.
1.02 SOMMAIRE
1.03 RÉFÉRENCES
A. ASME
1. ASME B16.5-2003 : Pipe Flanges and Flanged Fittings : NPS 1/2 through NPS 24 Metric/Inch
Standard.
B. ASTM International
1. ASTM A153 / A153M-09 : Standard Specification for Zinc Coating (Hot-Dip) on Iron and Steel
Hardware.
C. ISO
1. ISO 1940-1:2003 : Vibrations mécaniques – Exigences en matière de qualité dans l’équilibrage pour
les rotors en état (rigide) constant – Partie 1 : Spécification et vérification des tolérances
d’équilibrage.
D. Québec
1. CCQ : Code de construction du Québec – Chapitre I, Bâtiment, et Code national du bâtiment –
Canada 2005 (modifié).
A. Performances d’ordre sismique : les aérorefroidisseurs doivent résister aux effets des déplacements
sismiques calculés selon le Chapitre I du CCQ.
1. Les joints, la tuyauterie et les raccords, la robinetterie, les filtres, les appareils de
commande/régulation et les accessoires, avec indication des assemblages à réaliser en usine et sur
place.
2. Le câblage (schéma de principe et schéma de montage).
3. Les dimensions, les détails de construction, le mode d’installation et le type de supports
recommandés, la grosseur et l’emplacement des trous de boulons d’assemblage ainsi que les
charges ponctuelles.
4. Les dispositifs antivibratoires et parasismiques.
5. Les dégagements recommandés par le fabricant.
A. Certification de qualification du fabricant en matière sismique : soumettre un document certifiant que les
appareils, les accessoires et composants résisteront aux forces sismiques définies dans la Section
23 05 48 - Systèmes et dispositifs antivibratoires et parasismiques pour tuyauteries et équipements de
CVCA. Inclure les éléments suivants :
1. Base de certification : préciser si la certification de résistance est basée sur des essais en vraie
grandeur des composants assemblés ou sur des calculs.
a. Le terme « résister » signifie que « l’unité demeure en place sans qu’aucune de ses parties ne
s’en dissocie lorsqu’elle est soumise aux forces sismiques spécifiées et que l’unité doit être
entièrement opérationnelle après le tremblement de terre. »
2. Dessins d’encombrement dimensionnés de l’appareil : Identifier le centre de gravité, localiser et
décrire les dispositifs de montage et d’ancrage.
3. Description détaillée des dispositifs d’ancrage de l’appareil sur lesquels la certification est basée et
leurs exigences d’installation.
A. Fournir les fiches d'exploitation et d'entretien requises et les joindre au manuel mentionné à la
Section 01 78 00 – Éléments à soumettre à l’achèvement des travaux.
A. Composants, dispositifs et accessoires électriques : enregistrés et marqués selon les définitions dans le
Chapitre V du CCQ, par un organisme d'essais agréé et marqués selon l'application et l'emplacement
prévus.
PARTIE 2 - PRODUITS
2.01 AÉROREFROIDISSEURS
A. Fabricants
1. Fabricants : sous réserve de leur conformité au devis, fournir les produits de l’un des fabricants
suivants :
a. KeepRite.
b. Kool-Air inc.
c. RefPlus inc.
B. Enveloppe
1. Fabriqué d’acier galvanisé de fort calibre ; cabinet sectionné avec chambres individuelles pour les
ventilateurs ; panneaux d’accès latéraux pour accès facile aux serpentins et nettoyage.
a. Membrures structurales principales en acier galvanisé de 3.5 mm (calibre 10).
2. Fini : acier galvanisé.
D. Ventilateurs
1. Fabricants : sous réserve de leur conformité au devis, fournir les produits de l’un des fabricants
suivants :
a. Rosenberg.
b. Zhiell-Abegg.
2. Équipés de moteurs à rotor externe à entraînement direct ; à deux vitesses ; roue équilibrée
statiquement et dynamiquement selon DIN/ISO 1940, qualité G2,5.
3. Grille de protection : en fils d’acier entièrement soudés ; revêtement en poudre époxydique cuite.
E. Serpentins
1. Tubes en cuivre de 16 mm (5/8 po) à paroi épaisse, expansés mécaniquement à l’intérieur des
ailettes ; ailettes auto-espacées fabriquées de feuilles d’aluminium ondulées.
a. Espacement minimal des ailettes : 8 dans 2,54 cm (8 au po.)
2. Soumis à l’essai sous l’eau à une pression de 2760 kPa (400 psig) et asséchés à l’azote.
3. Collecteurs :
a. Matériau : cuivre.
b. Munies de brides à face plane.
c. Inclure un raccord DN 15 (NPS ½) pour la purge de l’air et un raccord DN 15 (NPS ½) pour le
drainage.
F. Moteurs
1. À deux vitesses : 540 tpm et 770 tpm.
2. Montés à l’intérieur des roues : stator au centre, rotor à l’extérieur.
3. Protection thermique dans l’enroulement.
4. Avec roulements à billes scellés, lubrifiés en permanence.
G. Panneau de commande
1. Boîtier électrique résistant aux intempéries avec porte d’accès sur charnières, monté sur l’unité à la
même extrémité que les collecteurs de fluide.
2. Monter tous les composants électriques tels que contacteurs, fusibles, commandes d’arrêt/départ
des ventilateurs, borniers, transformateurs de commande à l’intérieur du boîtier à l’aide d’attaches
résistant aux intempéries.
3. Contact d’arrêt/départ 24 V ca.
4. Régulation de la température du fluide : Aquastat et contrôleur électronique autonome permettant
cinq étapes de refroidissement.
H. Électricité
1. Fusibles, contacteurs, relais inclus pour chaque paire de ventilateurs.
2. Câbler en usine tous les composants électriques de l’aérorefroidisseur de façon à permettre un
raccordement électrique unique au chantier. Installer dans un chemin de câble métallique, le câblage
réalisé en usine qui est à l’extérieur de l’enveloppe.
3. L’interface unique avec l’alimentation électrique sur place doit être réalisée par un sectionneur sans
fusible câblé et monté sur l’unité.
C. Conditions d’opération
1. Température de l’air extérieur au bulbe sec : 35°C (95°F).
2. Température de fluide à l’entrée : 48.9°C (120°F).
3. Température de fluide à sortie : 43.0°C (109.4°F).
4. Débit du fluide : 16 l/s (254 gpm).
5. Altitude : 30 m (100 pi).
D. Performance :
1. Puissance de rejet de chaleur : 351 kW (1 200 000 BTU/h).
2. Chute de pression dans le fluide : 35,8 kPa (12 pi).
H. Caractéristiques électriques :
1. Volts : 600 V.
2. Phases : trois.
3. Hertz : 60.
4. Intensité minimale de circuit : 16,5 A.
5. Dispositif de protection de surintensité - Valeur maximale : 20 A.
I. Niveau de bruit : Pression sonore de 73,5 dBA à 3 m (10 pi) avec tous les ventilateurs en fonction à plein
vitesse.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
3.01 EXAMEN
B. Examiner la position des supports prévus pour l'équipement, les dimensions et emplacements des boulons
d'ancrage, la tuyauterie déjà installée et les raccordements électriques, afin de vérifier les positions,
dimensions et autres conditions réelles ayant une influence sur la performance, l'entretien et le
fonctionnement d'un aérorefroidisseur, avant installation.
1. L'emplacement final d'un aérorefroidisseur indiqué sur les dessins est approximatif. Déterminer
l'emplacement exact avant l'étape de la tuyauterie brute et des raccordements électriques bruts.
C. Ne procéder à l’installation que lorsque les conditions non satisfaisantes ont été corrigées.
B. Montage des équipements : installer l’aérorefroidisseur en posant des isolateurs à ressort parasismiques.
Satisfaire aux exigences prescrites dans la Section 23 05 48 – Systèmes et dispositifs antivibratoires et
parasismiques pour tuyauteries et équipements de CVCA et concernant les dispositifs antivibratoires.
1. Déflexion minimale : indiquée dans le bordereau de la Section 23 05 48 – Systèmes et dispositifs
antivibratoires et parasismiques pour tuyauteries et équipements de CVCA.
C. Prévoir les dégagements recommandés par le fabricant en vue des réparations et de l'entretien.
D. Installer les dispositifs séparés fournis par le fabricant et non installés en usine.
3.03 RACCORDEMENTS
A. Se conformer aux exigences sur les tuyauteries de la Section 23 21 13 – Tuyauterie hydronique. Les
dessins définissent l'implantation générale des tuyauteries, raccords et composants à usage spécialisé.
B. Installer la tuyauterie adjacente à l’aérorefroidisseur avec des dégagements suffisants pour les réparations
et l'entretien.
C. Raccordements de fluide : raccorder à l'entrée avec robinet d'isolement, filtre à tamis, connecteur flexible,
thermomètre et té muni d'un bouchon avec manomètre. Raccorder à la sortie avec robinet d'isolement,
robinet d'équilibrage, connecteur flexible, thermomètre, té muni d'un bouchon avec robinet d'isolement et
manomètre, et raccord de vidange avec robinet. Réaliser les raccordements à aérorefroidisseur à l'aide
d'une bride.
B. Inspecter les composants assemblés au chantier, l'installation des équipements, ainsi que des
raccordements de la tuyauterie et électriques.
3.05 DÉMONSTRATION
A. Engager un représentant de service autorisé par le fabricant et qui sera chargé de former le personnel
d’entretien du Propriétaire en matière de réglage, de fonctionnement, et d’entretien des aérorefroidisseurs.
PARTIE 3 - EXÉCUTION.......................................................................................................... 17
3.02 INSTALLATION..............................................................................................................................17
3.08 DÉMONSTRATION.........................................................................................................................20
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les dessins et les dispositions générales du contrat, incluant les
Conditions générales et les Conditions supplémentaires, ainsi que les Sections de la Division 01.
1.02 SOMMAIRE
1.03 RÉFÉRENCES
F. ASME International
1. ASME N510-1989 (Reaffirmed 1995): Testing of Nuclear Air Treatment Systems
G. ASTM International
1. ASTM A 666-03: Specification for Annealed or Cold-Worked Austenitic Stainless Steel Sheet, Strip,
Plate, and Flat Bar
2. ASTM B 88-03: Specification for Seamless Copper Water Tube
3. ASTM B 88M-03: Specification for Seamless Copper Water Tube [Metric]
4. ASTM B 117-11: Standard Practice for Operating Salt Spray (Fog) Apparatus.
5. ASTM C 916-85 (Reapproved 2001): Specification for Adhesives for Duct Thermal Insulation
6. ASTM C 1071-05: Specification for Fibrous Glass Duct Lining Insulation (Thermal and Sound
Absorbing Material)
H. CSA
1. CSA C22.2 no 5-13 : Molded-case circuit breakers, molded-case switches and circuit-breaker
enclosures (Tri-national standard, with UL 489 and NMX-J-266-ANCE-2013).
2. CSA C22.2 no 236-11 : Heating and Cooling Equipment.
J. NFPA
1. NFPA 90A-2002: Installation of Air Conditioning and Ventilating Systems
K. Québec
1. CCQ : Code de construction du Québec – Chapitre I, Bâtiment, et Code national du bâtiment –
Canada 2005 (modifié).
2. CCQ : Code de construction du Québec – Chapitre V, Électricité.
B. Performance structurale : les panneaux du caisson doivent être autoportants et résister à 133 pour cent
de la pression statique interne indiquée, sans que la déflexion aux joints des panneaux ne dépasse
L/200 où « L » est la longueur de portée non supportée dans les caissons terminés.
C. Performances d’ordre sismique : les unités de traitement d'air doivent résister aux effets des
déplacements sismiques calculés selon le Chapitre I du CCQ.
1. Le terme « résister » signifie que « l’unité demeure en place sans qu’aucune de ses parties ne s’en
dissocie lorsqu’elle est soumise aux forces sismiques spécifiées et que l’unité doit être entièrement
opérationnelle après le séisme. »
B. Données techniques sur les produits : pour chacune des unités de traitement d'air mentionnées.
1. Dimensions et poids.
2. Matériau des caissons, épaisseur du métal, finis, isolation et accessoires.
3. Ventilateurs :
a. Courbes de performances certifiées dans les conditions de service du système indiquées.
b. Puissances acoustiques certifiées.
c. Construction et accessoires de ventilateur.
d. Caractéristiques nominales des moteurs, caractéristiques électriques et accessoires des
moteurs.
4. Courbes de performances certifiées des serpentins dans les conditions de service du système
indiquées.
5. Registres, incluant les boîtiers et la tringlerie.
6. Filtres et leurs caractéristiques de performance.
A. Dessins de coordination : vues en plan et autres détails, dessinés à l'échelle, montrant les éléments
suivants, coordonnés entre eux, à partir des données provenant des installateurs des éléments
concernés :
1. Disposition de la salle de mécanique et relations entre les composants et les éléments adjacents
de structure et de mécanique.
2. Emplacement des supports, type et poids.
3. Dimensions mesurées sur place.
A. Fournir les fiches d'exploitation et d'entretien requises et les joindre au manuel mentionné à la
Section 01 78 00 – Éléments à soumettre à l’achèvement des travaux.
A. Fournir des matériaux supplémentaires compatibles avec les produits installés, placés dans un
emballage de protection en vue du stockage et identifiés par des étiquettes décrivant le contenu.
1. Filtres : Un ensemble pour chaque unité de traitement d'air.
2. Joints d’étanchéité : Un ensemble pour chaque porte d'accès.
A. Composants, dispositifs et accessoires électriques : enregistrés et marqués selon les définitions dans le
Chapitre V du CCQ, par un organisme d'essais agréé et marqués selon l'application et l'emplacement
prévus.
C. Conformité à NFPA : la conception, la fabrication et l'installation des unités de traitement d'air et des
composants doivent être conformes à la norme NFPA 90A.
D. Agrément de la Régie du bâtiment du Québec : les panneaux à parois doubles, avec mousse isolante de
polyuréthane giclé, utilisés pour la fabrication des caissons, doivent avoir reçu, préalablement au projet,
l’agrément de la Régie du bâtiment du Québec pour utilisation dans un réseau de conduits de
ventilation.
1.11 COORDINATION
A. Coordonner les dimensions et l'emplacement des bases de béton en fonction des équipements
effectivement fournis.
B. Coordonner les dimensions et l'emplacement des éléments de supportage de structure d’acier, le cas
échéant, avec les équipements effectivement fournis.
PARTIE 2 - PRODUITS
2.01 FABRICANTS
A. Produits de référence : sous réserve de leur conformité au devis, fournir les produits de Ingénia
Technologies ou des produits comparables de l’un des fabricants suivants :
1. Engineered Air.
2. Ventrol.
une couche de finition texturée ; couleur : blanc neige. Ce revêtement doit avoir une
résistance de 1000 heures lorsqu’éprouvé selon ASTM B 117.
c. Fini intérieur : le fini intérieur doit être conforme aux descriptions suivantes :
1) De façon générale :
A) Juste après le nettoyage et le prétraitement, appliquer le fini par pulvérisation
électrostatique en deux couches, avec cuisson au four, comprenant une couche
d'apprêt et une couche de finition lisse incorporant un agent antimicrobien ; de
couleur blanc neige. Ce revêtement doit avoir une résistance de 1000 heures
lorsqu’éprouvé selon ASTM B 117.
.1 En alternative, le fabricant peut opter de fournir de la tôle d’acier inoxydable de
nuance 304, fini no 2b, de l’épaisseur indiquée.
2) Lorsque spécifiquement indiqué pour certaines sections de l’unité :
A) tôle d’acier inoxydable de nuance, de fini et d’épaisseurs indiqués.
d. Nettoyer les surfaces intérieures à l’alcool isopropylique avant d’emballer les caissons pour la
livraison.
6. Surfaces sur lesquelles l'air s'écoule : les surfaces en contact avec l'air en écoulement doivent
satisfaire aux exigences ASHRAE 62.1.
C. Classes de pression :
1. Classes de pression des sections d'unités avant les ventilateurs : 2 500 Pa (10 po c.e.).
2. Classes de pression des sections d'unités après les ventilateurs : 2 500 Pa (10 po c.e.).
D. Matériaux :
1. Caisson extérieur : acier galvanisé G-90, épaisseur minimale 1,6 mm (0,064 po).
2. Caisson intérieur, de façon générale :
a. Murs et plafond : acier galvanisé G-90, plein, épaisseur minimale 0,034 po (0,86 mm).
b. Plancher : aluminium strié (checker plate), épaisseur minimale 2,3 mm (0,0907 po).
3. Caisson intérieur, sections des serpentins de refroidissement, de récupération d’énergie,
d’humidificateurs et d’entrée d’air extérieur :
a. Murs et plafond, acier inoxydable de nuance 304, fini no 2b, plein, épaisseur minimale
0,034 po (0,86 mm).
E. Panneaux acoustiques :
1. Panneaux absorbant constitués de laine de verre protégée par une tôle perforée et fixés par-
dessus le caisson intérieur dans les sections indiquées.
a. Tôle perforée de 0,86 mm (0,034 po) d'épaisseur, même matériau et même fini que le caisson
intérieur, comportant des perforations franches de 2 mm (0,079 po) de diamètre ménagées à
5 mm (0,197 po) d'entraxe et disposées en quinconce.
b. Laine de verre : ASTM C 1071, Type II ; 50 mm (2 po) d’épaisseur protégée par un film de
Tedlar.
c. Emplacements et applications :
1) Section ventilateur d’alimentation : murs et plafonds.
2) Section ventilateur de retour : murs et plafonds.
G. Appareils d’éclairage
1. Appareils d'éclairage : appareils étanches à la vapeur d'eau, avec boîte de jonction munie d'un
interrupteur et située à l'extérieur adjacente à la porte.
a. Types d’appareils :
1) Unités de largeur inférieure à 1800 mm (72 po) : lampes marines avec ampoule
incandescente de 100 W ou ampoule à DEL ou fluorescente équivalente.
2) Unités de largeur supérieure ou égale à 1800 mm (72 po) : appareils avec deux tubes
fluorescents T8 de 1200 mm (48 po).
b. Emplacements des appareils d’éclairage : dans chaque section ayant une porte d’accès.
c. Emplacement des interrupteurs : un par unité de traitement d’air.
5. Les unités comprenant des serpentins superposés doivent être munies d'un bac d'égouttement
intermédiaire pour recueillir le condensat provenant du serpentin supérieur.
J. Cadre de fixation de l'unité de traitement d'air : profilé en U formé en acier galvanisé ou supports en
profilé structural, conçus pour une faible déflexion, soudés avec oreilles de levage incorporées.
1. Exigences de fabrication ayant trait aux forces sismiques : fabriquer la base de montage et la
fixation aux sections d'unité de traitement d'air, aux accessoires et composants en les dotant de
renforcements suffisants pour résister aux forces sismiques définies dans la Section 23 05 48 –
Systèmes et dispositifs antivibratoires et parasismiques pour tuyauteries et appareils de CVCA,
lorsque le cadre de l'unité de traitement d'air est ancré à la structure du bâtiment.
B. Enveloppe de ventilateur de plénum : panneau et cadre en acier; fabriqué sans volute de ventilateur ni
corps de volute ; avec grillage de sécurité enveloppant la roue ainsi que dans l’entrée d’air.
1. Registres d’isolement : à l’aspiration de chaque ventilateur d’alimentation dans les configurations à
multiples ventilateurs.
C. Roues de ventilateur centrifuge à profil aérodynamique : entièrement en aluminium, avec bride d'entrée
incurvée lisse, plaque arrière et aubes à profil aérodynamique creuses formées par matriçage, soudées
en continu à la pointe de la bride et à la plaque arrière; moyeu en aluminium coulé soudé à la plaque
arrière et fixé à l'arbre par des vis de pression.
E. Dispositifs antivibratoires et parasismiques internes : les ventilateurs doivent être montés en usine,
équipés des dispositifs antivibratoires parasismiques standards du fabricant et ayant une déflexion
statique minimale de 50 mm (2 po).
1. Exigences de fabrication ayant trait aux forces sismiques : fabriquer la section ventilateur, le cadre
de montage intérieur et la fixation aux ventilateurs, corps de ventilateur, moteurs, caissons,
accessoires et autres composants de la section ventilateur en les dotant de renforcements
suffisants pour résister aux forces sismiques définies dans la Section 23 05 48 - Systèmes et
dispositifs antivibratoires et parasismiques pour tuyauteries et appareils de CVCA, lorsque le cadre
de fixation des ventilateurs et le cadre de fixation de l'unité de traitement d'air sont ancrés à la
structure du bâtiment.
F. Moteur : satisfaire aux exigences concernant la désignation NEMA, la température nominale, le facteur
de service, le type d'enveloppe et le rendement pour les moteurs spécifiés dans la Section 23 05 13 -
Exigences générales concernant les moteurs d’appareils de CVCA.
B. Éliminateurs de gouttelettes
1. Produit de référence : sous réserve de la conformité au devis, fournir le produit Aerofin ; modèle
Sprayguard.
2. Éliminateur de gouttelettes installé en aval des serpentins de refroidissement. Le montage et
l’installation de l’éliminateur s’effectuent avec le minimum d’outils. La vitesse de passage s’étend
de 2 à 6 m/s (385 à 1180 pi/min).
3. Fabriqué entièrement en acier inoxydable de nuance 304, avec cadre en « U » soudé et perforé
pour permettre l’évacuation de l’eau. Maillage tissé de 25 mm (1 po) d’épaisseur retenu par un
grillage constitué de tiges de 3,2 mm (1/8 po) de diamètre.
4. Vitesse frontale de l’air et dimensions : identiques à celle des serpentins de refroidissement.
5. Performance :
a. Perte de charge à 2,5 m/s (500 pi/min) : 25 Pa (0,10 po c.e.)
D. Manomètre de filtre :
2.06 REGISTRES
A. Exigences générales relatives aux registres : le débit de fuite, selon AMCA 500, « Laboratory Methods
for Testing Dampers for Rating », ne doit pas dépasser 2 % de la quantité d'air à 10 m/s (2 000 ppm) de
vitesse frontale dans le registre et 1 000 Pa (4 po c.e.) de pression différentielle.
1. Produit de référence : sous réserve de la conformité au devis, fournir le produit T.A. Morrison & Cie
Inc ; modèle Tamco série 1000.
2. Registres à faible taux de fuite, à lames aérodynamiques, à double paroi, aluminium extrudé avec
joints de montants compressibles et joints de bordure de lame en vinyle extrudé, les lames étant
opposées; tiges de commande en acier cadmié tournant dans des paliers en acier inoxydable ou
bronze fritté montés dans un seul châssis en aluminium extrudé, les tiges de commande étant
raccordées à une tringlerie commune. Le débit de fuite ne doit pas dépasser 15.2 L/s par m2
(3 pcm/pi2) à 250 Pa (1 po c.e.)
2.07 HUMIDIFICATEURS
A. Humidificateur à vapeur :
1. Les humidificateurs sont spécifiés dans la Section 23 84 13 – Humidificateurs. Installer le
distributeur de vapeur en usine.
2.08 SILENCIEUX
A. Silencieux constitués d’une enveloppe à double paroi, la paroi intérieure étant en acier galvanisé, à
perforations rondes et franches, l’espace entre les deux parois servant à contenir le matériau
insonorisant. Dans le cas des silencieux dont la section transversale est supérieure à 450 mm (18 po),
l’intérieur doit être muni, sur toute la longueur du silencieux, de chicanes. Un tissu de fibres de verre ou
une pellicule de Tedlar placé entre la paroi perforée et le matériau insonorisant doit protéger ce dernier
contre l’érosion (désagrégation ou usure par frottement).
B. Matériaux insonorisant en laine de verre, lisses et uniformes, inodores, résistant aux bactéries et à la
moisissure ; exempts d’agents corrosifs ou favorisant la corrosion ; comprimés à la masse volumique
correspondant aux exigences de performance ; conformes aux exigences du CCQ régissant la
protection contre l’incendie ou à celles des autorités compétentes régissant les revêtements intérieurs
pour conduits d’air.
2.09 ÉLECTRICITÉ
A. Raccorder les appareils d’éclairage entre eux en utilisant des conduits électriques en en acier galvanisé
avec des embouts de type EMT. Tous les appareils doivent être commandés par un interrupteur
commun localisé sur la paroi extérieure de la section du ventilateur d’alimentation.
B. Pour faciliter le branchement d’outils ou d’accessoires d’entretien, installer une prise de courant duplex à
proximité de chaque interrupteur.
C. Lorsque les unités sont livrées en modules, elles doivent être munies de jonctions qui facilitent le
raccordement exécutés au chantier. Le câblage, prévu en quantité suffisante, doit être disponible à
proximité des boîtes de jonction.
D. Afin d’éviter tout percement des parois au chantier, procéder en usine au raccordement électrique des
moteurs en acheminant les câbles jusqu’à une boite de jonction. Amener les câbles jusqu’aux moteurs
avec des conduits électriques en acier galvanisé avec des embouts de type EMT. Utiliser du câble VFD
pour les moteurs à vitesse variable.
1. Câbles VFD (pour entraînement à fréquence variable)
a. Câbles : de marque « DriveRx » conformes à la norme CSA C22.2 no 123.
b. Conducteurs
1) Trois conducteurs de mise à la terre en cuivre.
2) Trois conducteurs d’alimentation en cuivre.
c. Isolant : polyéthylène réticulé thermodurcissable, type RW90, conçu pour une tension de
1000 V.
d. Ruban d’attache en polyester ondulé.
e. Armure métallique : Feuillard d’aluminium continu et ondulé.
f. Gaine extérieure : En polychlorure de vinyle, classe FT-4.
g. Connecteurs : Modèles étanches approuvés et convenant aux câbles VFD.
A. Ventilateurs :
1. Capacité et caractéristiques indiquées aux dessins.
B. Serpentins de préchauffage/chauffage/réchauffage/refroidissement :
1. Tubes de cuivre de 16 mm (5/8 po) de diamètre avec paroi de 0,89 mm (0.035 po) d’épaisseur.
2. Ailettes d’aluminium strié de 0,2413 mm (0.0095 po) d’épaisseur.
3. Collecteurs :
a. Tubes en cuivre sans couture assemblés par brasage fort, avec orifices taraudés pour
drainage et purge d'air prolongées jusqu’à l'extérieur de l'unité.
b. Raccords : en laiton, à brides, même extrémité du serpentin.
4. Châssis : châssis en profilés en U, de 1,60 mm (0,063 po) d'épaisseur, en acier inoxydable.
5. Capacité et caractéristiques indiquées aux dessins.
D. Préfiltres/filtres :
1. Capacité et caractéristiques indiquées aux dessins.
E. Registres :
F. Humidificateur à vapeur :
1. Capacité et caractéristiques indiquées aux dessins.
B. Valeurs nominales de performance d'un ventilateur : effectuer en usine des essais de performance des
ventilateurs portant sur le débit d'air, la pression, la puissance, la masse volumique de l'air, la vitesse de
rotation et le rendement. Établir la performance selon la norme AMCA 210, « Laboratory Methods of
Testing Fans for Aerodynamic Performance Rating ».
C. Serpentins à eau : soumis à des essais en usine à 2 070 kPa (300 psig) selon les normes ARI 410 et
ASHRAE 33.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
3.01 EXAMEN
A. Examiner les lieux et les conditions rencontrées sur place, en présence de l'installateur, pour voir si les
exigences relatives aux tolérances d'installation et autres paramètres ayant une incidence sur les
performances de l'installation sont respectées.
B. Avant installation de l'unité de traitement d'air, examiner les matériaux d'isolation du caisson et l'élément
filtrant. Rejeter les matériaux d'isolation et tout élément filtrant mouillés, endommagés par l'humidité ou
la moisissure.
C. Examiner les tuyauteries brutes de vapeur, hydroniques et de drainage de condensat, ainsi que les
services électriques afin de vérifier les emplacements réels des raccordements avant installation.
D. Ne procéder à l’installation que lorsque les conditions non satisfaisantes ont été corrigées.
3.02 INSTALLATION
B. Installer les unités de traitement d'air en les rendant accessibles tout autour pour réparation et entretien.
C. Ne pas utiliser un système de ventilateur tant que les filtres (temporaires ou permanents) ne sont pas en
place. Remplacer les filtres temporaires utilisés durant la construction et les essais par des filtres neufs
et propres.
D. Installer un manomètre, ainsi que des prises de pression statique en amont et en aval des filtres.
Monter les manomètres sur l'extérieur du corps de filtre ou sur le plénum de filtre à un endroit
accessible. Prévoir des manomètres de filtre sur les batteries de filtres, installés avec prises de pression
statique séparées en amont et en aval des filtres.
3.03 RACCORDEMENTS
A. Satisfaire aux exigences concernant les tuyauteries, prescrites dans d'autres Sections. Les dessins
définissent l'implantation générale des tuyauteries, raccords et accessoires.
B. Installer les tuyauteries adjacentes à une unité de traitement d'air avec des dégagements suffisants pour
les réparations et l'entretien.
C. Relier la tuyauterie aux unités de traitement d'air montées sur des isolateurs de vibrations au moyen de
raccords flexibles.
D. Raccorder les bacs d’évacuation de condensat à l'aide de tuyauteries en cuivre DN 40 (NPS 1-1/2),
ASTM B 88, type M (ASTM B 88M, type C). Prolonger cette tuyauterie jusqu'à l’avaloir de sol le plus
proche. Former un siphon profond au niveau du raccordement avec le bac d'égouttement et installer un
regard de nettoyage aux changements de direction.
E. Tuyauteries d'eau chaude et d'eau refroidie : satisfaire aux exigences pertinentes de la Section 23 21 13
- Tuyauterie hydronique. Installer un robinet d'arrêt et un raccord union ou une bride à chaque
raccordement d'alimentation d'un serpentin. Installer un robinet d'équilibrage et un raccord union ou une
bride à chaque raccordement de retour d'un serpentin.
G. Raccorder un conduit à une unité de traitement d'air au moyen de raccords flexibles. Se conformer aux
exigences de la Section 23 33 00 - Accessoires pour conduits d'air.
B. Essais et inspections :
1. Essai de détection de fuites : après installation, remplir d'eau les serpentins à eau, puis soumettre
les serpentins et les raccordements à un essai d'étanchéité.
2. Essai de fonctionnement de ventilateur : après mise sous tension des circuits électriques, faire
démarrer les unités pour s'assurer du bon sens de rotation des moteurs et de leur bon
fonctionnement.
C. Une unité de traitement d'air ou ses composants sont considérés comme défectueux lorsqu'ils n'ont pas
subi avec succès les essais et inspections.
B. Les procédures de démarrage des unités de traitement d'air comprennent les éléments suivants :
1. Mettre le moteur sous tension; vérifier le bon fonctionnement de ce dernier, ainsi que de
l'entraînement et de la roue de ventilateur. Régler le ventilateur à la vitesse en r/min indiquée.
Remplacer les poulies de ventilateur et de moteur pour obtenir les conditions de conception.
2. Mesurer et enregistrer les caractéristiques du moteur : tension et intensité de courant.
3. Faire passer manuellement les registres de la position de fermeture complète à la position
d'ouverture complète et enregistrer les performances du ventilateur.
3.06 RÉGLAGES
A. Régler les tringleries des registres pour un bon fonctionnement de ces derniers.
B. Satisfaire aux exigences prescrites dans la Section 23 05 93.06 - Essai, réglage et équilibrage (ERÉ)
des systèmes aérauliques et concernant les essais, réglages et équilibrage du système de traitement
d'air.
3.07 NETTOYAGE
A. Après avoir terminé l'installation et les essais du système, le réglage et l'équilibrage de l'unité de
traitement d'air et des systèmes de distribution d'air et après la mise en service, nettoyer l'intérieur des
unités de traitement d'air pour en ôter les corps étrangers, ainsi que la saleté et la poussière provenant
des activités de construction. Nettoyer les roues de ventilateur, armoires, registres, serpentins et corps
de filtre et installer des filtres neufs et propres.
3.08 DÉMONSTRATION
A. Engager un représentant de service autorisé par le fabricant et qui sera chargé de former le personnel
d’entretien du propriétaire en matière de réglage, de fonctionnement et d’entretien des unités de
traitement d'air.
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 3
3.01 INSTALLATION................................................................................................................................3
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières, ainsi que les Sections de spécification de la Division 01.
PARTIE 2 - PRODUITS
A. Généralités
1. Batteries à tubes à ailettes planes : tubes fixés mécaniquement aux ailettes.
2. Tubes et collecteurs en métal non ferreux : assemblés par brasage.
3. Faisceaux tubulaires éprouvés en usine, sous pression d'air, immergés.
C. Enveloppe
1. Montage : enveloppe conçue pour être boulonnée à une bride.
2. Matériau : tôle d'acier matricée de 1.6 mm d'épaisseur, galvanisée.
3. Supports (tubes) : permettant le libre mouvement des éléments.
4. Supports (batterie) : bâtis constitués de profilés en « U » ou de cornières doubles en acier
galvanisé.
D. Tubes : en cuivre, 16 mm (5/8 po) de diamètre, paroi de 0,89 mm (0.035 po) d’épaisseur.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
3.01 INSTALLATION
A. Faire l’installation selon les recommandations du fabricant et conformément aux indications sur les
dessins.
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 4
3.01 GÉNÉRALITÉS................................................................................................................................4
3.02 INSTALLATION................................................................................................................................4
3.03 ESSAIS..........................................................................................................................................5
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les dessins et les dispositions générales du contrat, incluant les
Conditions générales et les Conditions supplémentaires, ainsi que les Sections de la Division 01.
1.02 SOMMAIRE
1.03 RÉFÉRENCES
B. CSA
1. CAN/CSA B137.5-02 : Crosslinked Polyethylene (PEX) Tubing Systems for Pressure
Applications.
C. DIN
1. DIN 4726 : Système de chauffage à eau chaude par le sol et systèmes de raccordement
des radiateurs - Systèmes de canalisation plastiques et systèmes de canalisation
multicouches.
C. Dessins d’atelier : schéma complet de l’installation montrant la disposition de la tuyauterie et tous les
composants.
A. Fournir les fiches d'exploitation et d'entretien requises et les joindre au manuel mentionné à la
Section 01 78 00 – Éléments à soumettre à l’achèvement des travaux.
1.07 GARANTIE
A. Garantie spéciale : Formulaire standard du fabricant selon lequel il s’engage à réparer ou remplacer, en
fournissant pièces et main d’œuvre, les tubulures enfouies, les collecteurs et les autres composants
éventuellement défectueux pendant la période de garantie spécifiée.
1. Période de garantie pour les tubulures enfouies : 25 ans, pièces seulement.
2. Période de garantie pour les collecteurs et autres composants : 2 ans, pièces et main d’œuvre.
PARTIE 2 - PRODUITS
2.01 ÉQUIPEMENT
A. Produit de référence : sous réserve de la conformité au devis, fournir le produit figurant sur les dessins
de Roth; modèle Duopex-c S5, ou un produit comparable de l’un des fabricants suivants :
1. Ipex.
2. Uponor.
3. Viega.
4. Zurn.
B. Description
1. Système complet de plancher chauffant, incluant tuyauterie, collecteurs, robinets, actionneurs,
panneaux pré-isolés, cabinets et tout autres éléments requis.
2. Pour tout le système, fournir des composants provenant d’un seul et même fabricant.
C. Tuyauterie
1. Tubulure de polyéthylène réticulé de type C (PEX-C), conforme à ASTM F 876/877 et CAN/CSA B
137.5 ; portant le sceau NDF-rfh.
2. Dimensions conformes à la norme SDR 9.
3. Pression de service : 1100 kPa à 23 °C, 689 kPa à 82 °C et 550 kPa à 93 °C (160 psi à 73.4 °F,
100 psi à 180 °F et 80 psi à 200 °F).
4. Inclure une barrière à oxygène conforme à la norme DIN 4726 ; l’intégrer à l'intérieur de la paroi.
D. Collecteurs
1. Fournis par le fabricant de la tubulure.
2. En laiton, extrudés ;
3. Collecteurs d'alimentation fournis avec robinet d'isolement principal, thermomètre et purgeur d’air ;
inclure un robinet d'équilibrage intégré et un débitmètre visuel sur chacune des boucles.
4. Collecteurs de retour fournis avec un robinet d'isolement principal, thermomètre, purgeur d’air et
dispositifs de commande individuels de boucle. Chacune des boucles pourra être isolée les unes
des autres à l'aide d'une valve intégrée.
5. Munir les collecteurs de robinets de vidange/remplissage manuels.
6. Fixer les collecteurs sur des supports de montage muraux et les isoler contre la vibration au moyen
d'une bande de néoprène.
7. Fini : plaqué au nickel.
E. Raccords
1. Fournis par le fabricant de la tubulure.
2. Du type compression en laiton.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
3.01 GÉNÉRALITÉS
B. Raccorder la tuyauterie au moyen de raccords approuvés par le fabricant et prévoir les robinets
d'isolement.
D. Obturer les extrémités non-raccordés de la tuyauterie et toute autre ouverture pratiquée dans celle-ci
afin d'empêcher l'introduction de matière étrangères.
E. Retenir les services du fabricant qui doit fournir l'assistance technique complète afin d'assurer le bon
fonctionnement de l’équipement.
3.02 INSTALLATION
A. Respecter les dessins d’atelier en ce qui concerne l’agencement des tubes, l’espacement des tubes, la
configuration des collecteurs et leur emplacement.
B. Le rayon de courbure minimal pour cintrage à froid du tube PEX ne doit pas être inférieur à six fois le
diamètre extérieur du tube. Les courbures d’un rayon inférieur à celui stipulé doivent être obtenues au
moyen d’un support de courbe fourni par le fabricant de la tubulure.
C. Les tuyauteries d’alimentation et de retour des collecteurs doivent être isolées par des robinets à
tournant sphérique fournis par le fabricant.
E. Installer les boucles de tubulure sans joint entre leur point d'entrée dans le plancher et leur point de
sortie. Réparer par un joint une boucle qui sera dissimulée, si elle est endommagée sur place et qu’une
réparation d’urgence soit autorisée. Protéger la réparation avec un manchon thermorétractable. Se
référer au guide d’installation du fabricant de la tubulure pour connaître les directives d’installation
adéquate du joint.
F. S’assurer qu’aucune colle, ni solvant, ni agent d’étanchéité, ni produit chimique ne vient en contact avec
le tube sans l’accord préalable du fabricant de la tubulure.
G. Utiliser des supports de courbe en PVC provenant du fabricant aux endroits où le tube entre dans la
dalle ou en sort.
H. Respecter le guide d’installation du fabricant en ce qui concerne les méthodes de fixation de la tubulure.
I. Identifier les circuits comme circuit d'alimentation ou de retour, de même que la pièce qu'ils desservent.
J. Soumettre un rapport indiquant les longueurs réelles de tuyauterie des circuits en vue de l'équilibrage
final.
3.03 ESSAIS
A. Retenir les services d’un représentant du fabricant pour assister aux essais.
C. Mettre la tubulure sous pression avec de l’eau, ou de l'air s'il y a danger de gel, et maintenir une
pression de 413 kPa (60 psi) pendant 24 heures avant de la recouvrir. Soumettre les tubes à cette
pression pendant le recouvrement et pendant une période supplémentaire de 24 heures après le
recouvrement afin de vérifier l’intégrité du système.
A. La masse thermique dans laquelle est enfouie la tuyauterie doit être soumise à un temps de séchage ou
de mûrissement avant la mise en marche. Dans le cas du béton, attendre un minimum de 30 jours.
B. Lors de la mise en marche, réchauffer la masse thermique graduellement sur une période de 5 à 10
jours selon l'application.
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 4
3.01 INSTALLATION................................................................................................................................4
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières, ainsi que les Sections de spécification de la Division 01.
B. Données techniques sur les produits : pour chaque type de produit indiqué.
A. Certification de qualification sismique du fabricant : Fournir une certification à l’effet que les appareils,
leurs composants et leurs accessoires résisteront aux forces sismiques définies à la Section 23 05 48 -
Systèmes et dispositifs antivibratoires et parasismiques pour tuyauteries et équipements de CVCA.
Inclure ce qui suit :
1. Base de la certification de résistance aux séismes : Indiquer si la certification est basée sur des
essais ou des calculs.
a. Le terme « résistance » signifie que « l’appareil demeurera en place sans qu’aucune de ses
parties ne se dissocie de l’unité lorsque soumis aux forces sismiques spécifiées et que l’unité
sera pleinement fonctionnelle après l’événement sismique. »
2. Dessins d’encombrement dimensionnés de l’appareil : Identifier le centre de gravité, localiser et
décrire les dispositifs de montage et d’ancrage.
3. Description détaillée des dispositifs d’ancrage de l’appareil sur lesquels la certification est basée et
leurs exigences d’installation.
A. Fournir les fiches d'exploitation et d'entretien requises et les joindre au manuel mentionné à la
Section 01 78 00 – Éléments à soumettre à l’achèvement des travaux.
PARTIE 2 - PRODUITS
B. Équipement monobloc, installé au mur ou au plancher, utilisant des distributeurs de vapeur fixés dans
l’appareil de traitement d’air/les gaines.
D. Distributeurs pour conduits d’air à absorption rapide, avec moyens d’évacuation des condensats et
canalisation d’alimentation.
F. Produit(s) acceptable(s) : Armstrong, série GFH ; Carel, série gaSteam ; Dri-Steem, série GTS; Nortec,
série GS.
A. Pour traiter l’apport d’eau des humidificateurs, fournir des adoucisseurs duplex de capacités assorties à
celles des humidificateurs.
1. Les humidificateurs équipés de lits ioniques pour l’élimination du calcaire sont soustraits de cette
exigence.
B. Les caractéristiques des adoucisseurs sont définies à la Section 23 25 00 – Traitement de l’eau des
installations de CVCA.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
3.01 INSTALLATION
B. Au moment de la réception des travaux, les humidificateurs installés et les éléments d’évaporation
devront être neufs et propres.
D. Prévoir, pour les appareils visés, un dispositif d’évacuation de surplus d’eau conforme aux
recommandations du fabricant.
F. Monter des portes ou des panneaux de visite dans les conduits d’air, au droit des appareils.
G. Prévoir des tronçons de conduit étanches selon les prescriptions de la Section 23 31 13 - Conduits d’air
métalliques, en amont et en aval des humidificateurs montés en conduit.
H. Aux points bas des conduits d’air, poser des raccords d’évacuation munis d’un bouchon femelle.
I. Le fabricant ou son représentant autorisé devra approuver l’installation, superviser la mise en marche
complète des humidificateurs et donner la formation nécessaire au personnel d’exploitation.
1.03 DÉFINITIONS..................................................................................................................................3
1.12 ÉQUIPEMENT FOURNI AUX TERMES DE CETTE DIVISION MAIS INSTALLÉ AUX TERMES D’UNE
AUTRE DIVISION.............................................................................................................................7
PARTIE 3 - EXÉCUTION.......................................................................................................... 10
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les dessins et les dispositions générales du contrat, incluant les
Conditions générales et les Conditions supplémentaires, ainsi que les Sections de la Division 01.
1.02 RÉFÉRENCES
A. Québec
1. CCQ : Code de construction du Québec – Chapitre I, Bâtiment, et Code national du bâtiment –
Canada 2005 (modifié).
1.03 DÉFINITIONS
B. Fournir et installer tous les équipements et accessoires prescrits et requis pour faire un système
d’automatisation intégrée complet et opérationnel.
1. La description des systèmes d’automatisation intégrée dans le devis et sur les diagrammes aux
plans définit les résultats à obtenir. Tout l’équipement et les accessoires nécessaires pour faire un
travail complet ne sont pas nécessairement indiqués ou montrés. Fournir et installer tout
l’équipement et les accessoires requis de façon à ce que l’opération des systèmes soit conforme
aux séquences de fonctionnement décrites aux plans et devis.
2. La localisation de l'équipement montrée aux plans est approximative et doit être vérifiée sur les
lieux avant de commencer les travaux.
C. Langue d’interface
1. Concevoir le système de façon à permettre à l’opérateur de l’utiliser en français.
2. Utiliser des pictogrammes pour les graphiques.
B. Données techniques sur les produits : pour chaque type de produit indiqué.
1. Les fiches techniques doivent être en français.
C. Dessins d’atelier et documents concernant la conception : Soumettre, tous les dessins et diagrammes
d'atelier, de montage et d'assemblage pour tous les appareils et les systèmes décrits aux plans et devis.
Les dessins doivent indiquer clairement le matériel et les matériaux proposés.
1. Montrer l'architecture du système d’automatisation intégrée.
2. Produire, pour tous les systèmes automatisés, des schémas de principe sur lesquels sont
rapportés les éléments essentiels du système d’automatisation tel que les sondes, les robinets de
contrôles, les registres motorisés, etc.
3. Montrer tous les raccordements électriques, électroniques et pneumatiques entre les différents
éléments ainsi que les interconnexions avec les diverses pièces d'équipement fournies selon les
termes des autres Divisions, telles que les ventilateurs, les pompes, les chaudières de chauffage,
les refroidisseurs d’eau.
4. Indiquer les points de consigne, les gammes de température, les bandes de modulation, etc.
5. Écrire, sous forme narrative, les séquences de contrôle des systèmes.
D. Montrer les coffrets pour contrôleur, en détaillant les points d'entrée et de sortie, les éléments
d'interface, les blocs d'alimentation, les espaces libres et tout autre élément composant installé dans les
coffrets.
A. Fournir les fiches d'exploitation et d'entretien requises et les joindre au manuel mentionné à la
Section 01 78 00 – Éléments à soumettre à l’achèvement des travaux.
A. Tous les travaux de la Division 25 doivent être exécutés par une, et une seule, firme spécialisée en
automatisation intégrée employant du personnel qualifié et détenteur de cartes de compétence. La
firme doit être un fabricant, ou un revendeur autorisé d’un fabricant offrant la gamme complète des
équipements requis pour l’ouvrage.
B. La firme doit :
1. Avoir une expérience d’au moins dix ans dans l’installation de systèmes du type requis pour
l’ouvrage ;
2. Avoir du personnel d’entretien qualifié en mesure de répondre à un appel 24 heures sur 24, 365
jours par année;
3. Pouvoir concevoir, installer et programmer les systèmes;
4. Avoir à son emploi des personnes ressources pouvant s’exprimer de façon courante en français
pour accomplir les tâches suivantes :
a. Conception;
b. Gérance de projet;
c. Supervision;
d. Programmation;
e. Mise en service.
C. Firme acceptable : Régulvar seulement, afin d’assurer la continuité avec les installations existantes.
1.08 COORDINATION
A. Coordonner les travaux d’automatisation intégrée avec ceux des autres Divisions. Annoter et signer les
plans de fabrication des conduits d’air de la Division 23 qui auront été annotés et signés par les autres
corps de métier, afin de confirmer, à l'ensemble des intervenants, que la coordination au chantier a été
effectuée.
B. Aucun supplément ne sera payé à l’Entrepreneur pour modifier les installations et la position des
équipements, si des équipements interfèrent avec d’autres, suite à un manque de coordination au
chantier.
A. Vérifier sur les plans de mécanique et d’architecture, la position des thermostats, des sondes de
température et des sondes d’humidité, avant le début des travaux.
B. Obtenir l’approbation écrite du Propriétaire pour la position exacte et finale des équipements et
accessoires (thermostats, humidistats, panneaux d’automatisation, etc.) dans les différentes pièces du
bâtiment.
C. La position finale de l’équipement pourrait être légèrement modifiée en fonction des commentaires du
Propriétaire sur le chantier. Par contre, elle sera indiquée avant l’installation et aucuns frais associés à
de tels changements de position ne pourront être facturés.
A. Sauf indication ou prescription contraire, la hauteur de montage du matériel est donnée à compter de la
surface du plancher fini jusqu'à l'axe de l’appareil ;
B. Dans les cas où la hauteur de montage de l'appareil n'est pas indiquée, vérifier auprès de l’Ingénieur
avant de commencer l’installation ;
C. Sauf indication contraire, installer les dispositifs de commande accessibles aux occupants à la hauteur
indiquée ci-après :
1. Thermostats, humidistats et sondes : 1200 mm (48″)
A. Installer tout l’équipement fourni aux termes d’une autre Division qui demande à être raccordés aux
systèmes fournis et installés aux termes de la présente Division, et faire tous les raccordements
nécessaires montrés aux plans ou décrits au devis.
B. Matériel fourni aux termes de la Division 23 – Chauffage, ventilation et conditionnement de l’air (CVCA),
sans être limitative, la liste inclut :
1. Registres motorisés des unités de traitement d’air.
2. Contacteurs débitmétriques pour les refroidisseurs d’eau.
3. Refroidisseurs d’eau :
a. Alimentation à 24 V. CA des contrôleurs.
b. Sondes de températures externes.
1.12 ÉQUIPEMENT FOURNI AUX TERMES DE CETTE DIVISION MAIS INSTALLÉ AUX TERMES D’UNE AUTRE
DIVISION
A. Assurer la coordination pour les équipements d’automatisation intégrée fournis aux termes de cette
Division, mais dont l’installation se fait aux termes d’une autre Division sur la tuyauterie et les réseaux
aérauliques (robinets, puits d’instrumentation, interrupteurs à débit, etc.)
B. Fournir les puits d'immersion pour la mise en place des sondes de température et coordonner leur
installation sur les canalisations installées aux termes des Divisions 22 et 23.
C. Les registres motorisés des unités de traitement d’air sont fournis aux termes de la Division 23, sans
actionneur. Fournir, installer, raccorder et mettre en opération les actionneurs pour ces registres.
D. Fournir les robinets motorisés et les registres motorisés des réseaux aérauliques (autres que ceux des
unités de traitement d’air) et coordonner leur installation sur les canalisations installées aux termes des
Divisions 22 et 23.
A. Percements
1. Effectuer les percements requis par les travaux de cette Division et les coordonner conformément
aux prescriptions de la Section 01 31 00 - Gestion de projet et coordination. Indiquer la position
des ouvertures à percer sur le plan de découpage et réparation exigé à la Section 01 73 00 -
Exécution des travaux.
2. Pour tous les travaux susceptibles d'altérer la structure, obtenir l'approbation écrite de l'Ingénieur
en structure.
3. Le percement des trous par marteau pneumatique ou électrique à action vibratoire ainsi que le
percement à la main et tout autre procédé par chocs mécaniques sont prohibés. Effectuer les
percements au moyen d’une foreuse rotative à eau ou tout autre appareil accepté par l’Ingénieur en
structure.
B. Manchons
1. Les manchons doivent avoir un minimum de 25 mm (1 po) de plus que les éléments passant au
travers, isolation incluse s'il y a lieu. Calfeutrer l'espace libre entre ces éléments et le contour du
manchon. Pour les manchons traversant le béton, utiliser du tuyau en acier de série 40, de
diamètre permettant le passage du conduit et dépassant de chaque côté le béton de 50 mm (2 po)
lorsque le manchon traverse un plancher; 25 mm (1 po) au travers un mur.
2. Les manchons sont requis dans les cas suivants :
a. Lors de la mise en place d’un nouveau plancher de béton au travers duquel passera des
conduits.
b. Dans le percement d’un mur de maçonnerie, d’une cloison sèche coupe-feu ou d’un plancher.
3. Les manchons ne sont pas requis dans les cas suivants :
a. Percement d’un mur de béton pour le passage de nouveaux conduits.
b. Dans une cloison sèche non coupe-feu.
A. En conformité avec le Chapitre I du CCQ, à tous les endroits où des tuyaux ou des conduits traversent
un mur coupe-feu, un plancher ou toute autre barrière coupe-feu, fournir et installer un système de
scellement pare-feu et fumée. Calfeutrer l'espace libre entre les canalisations et les ouvertures selon les
méthodes approuvées par les ULC ou Warnoc Hersey.
B. Utiliser des produits pour assemblage à base de latex qui ne contiennent aucune silicone, ni solvant, ni
agent halogène.
E. Lorsque des manchons sont prévus pour le passage de câbles ou canalisations futures, ceux-ci doivent
avoir un diamètre minimal de 25 mm de plus que le diamètre du câble ou de la canalisation future.
Bourrer les manchons inutilisés de laine minérale et les calfeutrer pour les rendre étanches à l'air avec
un scellant ignifuge.
B. Réaliser des joints hermétiques entre les ouvrages et les tuyaux, manchons, canalisations et conduits.
C. Exécuter les travaux d'ajustement et de scellement nécessaires pour que les ouvrages raccordés ou liés
entre eux soient parfaitement assujettis.
D. Lors du raccordement d’un nouvel ouvrage à un autre déjà en place, et que ce dernier est modifié,
exécuter les travaux de scellement et de remise en état nécessaires pour l'adapter à l'ouvrage déjà en
place.
E. Exécuter les percements de manière que les rives soient propres et lisses, et faire en sorte que les joints
de scellement soient le moins apparents possible.
A. Sauf indication contraire, dissimuler les tuyaux, conduits et câblage dans les murs et les plafonds des
aires finies.
B. Aviser l’ingénieur avant de fermer les murs, planchers et plafonds dissimulant des tuyaux, conduits et
câblages afin qu’il effectue les inspections requises.
1. À défaut de se conformer à cette exigence, et à la demande de l’Ingénieur, découvrir les ouvrages
aux fins d’examen et les ragréer sans compensation.
A. Fournir les portes d'accès requises afin de rendre accessibles tous les équipements et accessoires
dissimulés nécessitant de l'entretien, des réparations ou un ajustement.
B. Choisir le modèle selon son attribution et le type de matériau dans lequel elles sont installées (voir la
Section 09 11 16).
1.18 GARANTIE
A. Prévoir des visites à être effectuées pour corriger des lacunes qui pourraient être découvertes durant
l’opération normale du système après l’acceptation définitive des travaux :
1. Effectuer les visites de façon à valider le bon fonctionnement des systèmes sous toutes les
conditions climatiques :
a. Lorsque la mise en service est effectuée au printemps ou à l’automne, prévoir des visites
durant des périodes de conditions climatiques représentatives des extrêmes de l’hiver et de
l’été.
b. Lorsque la mise en service est effectuée à l’hiver, prévoir des visites durant des périodes de
conditions climatiques représentatives des extrêmes de l’été.
c. Lorsque la mise en service est effectuée à l’été, prévoir des visites durant des périodes de
conditions climatiques représentatives des extrêmes de l’hiver.
2. Les visites comprennent le déplacement d'un technicien dans les modalités suivantes :
a. Compter un minimum de 4 heures par visite.
b. Prévoir un total de 20 heures.
PARTIE 2 - PRODUITS
PARTIE 3 - EXÉCUTION
A. Installer tous les appareils faisant partie des réseaux décrits dans la présente Division selon les
recommandations écrites du fabricant et selon les exigences des plans et devis, tout en respectant les
dégagements requis pour l'entretien, l'accessibilité pour les réparations et le remplacement éventuel.
B. Nonobstant la progression de la construction des murs, planchers, et plafonds ou autres cloisons, fournir
et installer les manchons nécessaires pour l'installation des conduits, des câbles et des accessoires.
A. Faire l'ajustement et la vérification du bon fonctionnement de tous les appareils lorsque les travaux sont
suffisamment avancés. Lorsque les travaux sont terminés, faire la mise en service des systèmes,
conjointement avec les autres métiers impliqués.
1. Calibrer tous les éléments du système d’automatisation intégrée tel que les thermostats, les
sondes, les servomoteurs et les paramètres des boucles PID afin de placer le système dans ses
conditions optimales de fonctionnement, le tout à la satisfaction de l’Ingénieur.
B. Lorsque tous les ajustements et tous les essais auront été faits, faire la démonstration du bon
fonctionnement des séquences de contrôle à l’Ingénieur.
A. Donner une formation magistrale et pratique au Propriétaire en utilisant les manuels d’exploitation et
d’entretien fournis conformément aux prescriptions de cette Section.
B. Prévoir deux types de formation, dont l’une pour les opérateurs de base et l’autre pour les opérateurs-
superviseurs.
C. La formation des opérateurs de base doit se faire en un minimum de six séances de quatre heures
chacune et elle doit couvrir, entre autres, les sujets suivants :
1. aperçu des séquences de fonctionnement;
2. début/fin de la séquence de fonctionnement;
3. sélection de tous les affichages et rapports;
4. commande de points, en français et en mode graphique;
5. modification du texte en français;
6. modification des seuils d'alarme et des heures de démarrage/arrêt;
7. initialisation du système;
8. épuration et vidange des fichiers historiques;
9. vérification des capteurs (pour détecter les capteurs défectueux).
D. La formation du superviseur comprend, au minimum, une séance additionnelle d'une durée de deux
heures pendant laquelle les sujets suivants sont abordés :
1. Attribution et modification des mots de passe.
2. Attribution et modification des opérateurs.
3. Attribution et modification des codes d'accès.
4. Ségrégation et modification des terminaux et des données.
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 3
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières, ainsi que les Sections de spécification de la Division 01.
A. Fournir un système de contrôle numérique autonome complet. Les contrôleurs d’application générale
(CAG), spécifique (CAS) et terminale (CAT) doivent être choisis de façon que chaque application soit
contrôlée par un seul contrôleur. Le système devra accomplir les séquences d’opération. Les boucles
de régulation devront être contrôlées à l’aide de contrôleurs numériques qui sont en mesure de fournir
des algorithmes proportionnels, et de gains intégraux et dérivés, communément appelés boucles PID.
Tous les conduits électriques ainsi que le câblage requis pour l’exécution des séquences d’opération
doit être inclus.
B. Toutes les bases de données requises pour la programmation des séquences d’opération initiales ne
doivent pas utiliser plus de 50 % de la mémoire des contrôleurs d’application.
C. Les contrôleurs doivent être obligatoirement natifs BACNET, sans autre interface qu’une carte RS232 ou
485 afin de communiquer aux panneaux de contrôle des autres manufacturiers.
A. Delta : Orca.
A. Les travaux comprennent d’une façon générale et sans s’y limiter, la main-d’oeuvre, la fourniture,
l’installation, les ajustements, le calibrage et tous les raccordements électriques et électroniques de tous
les systèmes de commandes indiqués sur les plans et/ou devis, le tout devant être opérationnel.
B. La présente Division doit inclure tous les appareils, accessoires, conduits EMT, boîtes de tirage et filage
pour les commandes de type électrique ou électronique, et aux différents éléments de contrôle des
systèmes, interconnexions entre les deux (2) types de contrôle, raccordements électriques aux
panneaux ou démarreurs pour le fonctionnement normal des ces contrôles, la fourniture et l’installation
des transformateurs de contrôle 24 V et 120 V, relais, contacts auxiliaires, requis pour les commandes,
les appareils, les moteurs et accessoires pour les volets motorisés, etc.
5. Robinets de contrôle.
6. Registres motorisés.
7. Actionneurs de volets.
8. Programmation des séquences d’opération.
PARTIE 2 - PRODUITS
PARTIE 3 - EXÉCUTION
3.01 GÉNÉRALITÉS................................................................................................................................3
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières, ainsi que les Sections de spécification de la Division 01.
B. Données techniques sur les produits : pour chaque type de produit indiqué.
PARTIE 2 - PRODUITS
2.01 CONDUITS
A. Normes :
1. Conduit en aluminium rigide : Acnor C22.2, no 45-1955.
2. Conduit électrique avec raccord : Acnor C22.2, no 83-1948.
2.02 CÂBLAGE
A. Normes :
1. Polyéthylène câble et filage; CSA C22.2, no 38-1977.
2. Raccords : CSA C22.2, no 51-1956.
3. Câbles armés : CSA C22.2, no 51-1966.
4. Équipement de mise à la terre : CSA C22.2, no 41-1950 et C22.1-1975 section 10.
5. Tous les câbles doivent se terminer avec un rapport de type à pression.
A. Normes :
1. Boîtes de jonction, de tirage et cabinets : CSA C22.2, no 40-1973.
PARTIE 3 - INSTALLATION
3.01 GÉNÉRALITÉS
A. Fournir et installer tout le câblage, tous les conduits et boîtes requis entre les différents composants des
systèmes de contrôle (équipements électriques, sondes, actuateurs, panneaux de contrôle, etc.)
B. Fournir et installer tout le câblage et tous les conduits entre les panneaux de contrôle sectoriel et le
contrôle central.
C. Modifier les démarreurs existants afin de fournir les contrôles requis sur les dessins ou la liste des points
entrées/sorties ou les deux.
D. Identifier tout l’équipement, tel que décrit à la Section 25 05 53 - Identification des appareils et des
réseaux.
E. Identifier tous les conduits en utilisant du ruban adhésif à tous les endroits où ceux-ci pénètrent dans un
mur, un plancher, un plafond et à 1 500 mm d’intervalle.
A. Lois et règlements
1. Toutes les installations décrites soit temporaires ou permanentes, doivent être conformes aux
exigences du Code canadien d’électricité du Québec et du Bureau des examinateurs électriciens.
Sur le chantier, les normes de l’O.C.Q. doivent être respectées.
B. Toute l’installation électrique incluant câblages, conduits, raccords et boîtes doivent être conformes aux
exigences de la Division 26 - Électricité.
C. À partir des panneaux électriques existants ou nouveaux fournis aux termes de la Division 26 -
Électricité, faire tout le câblage de l’alimentation électrique des contrôleurs, automates, sondes,
actuateurs et autres accessoires de contrôle.
1. Utiliser une source 120 V CA d’urgence du bâtiment.
2. Fournir et câbler les transformateurs et blocs d’alimentation requis pour alimenter l’équipement en
fonction du type de courant requis, CA ou CC, aux bonnes tensions, nombre de phases et Hz.
3. Fournir et câbler les disjoncteurs requis dans les panneaux électriques.
D. Boîtiers et relais
1. Ils doivent être facilement accessibles et solidement fixés à des endroits mécaniquement stables.
Lorsque fixés à un mur extérieur de béton, ils doivent en être isolés par un panneau contre-plaqué.
2. Ils doivent être localisés à distance convenable des sources de chaleur, de froid, de bruits
électriques ou champs magnétiques importants.
3. Les boîtiers de raccordements et boîtes de jonction de contrôle seront orange (peinture) afin de
bien les identifier.
3.03 CONDUITS
A. Dans les endroits apparents, faire l’installation des conduits de manière à toujours avoir un dégagement
minimal de 2,1 m sous le dernier.
B. Les conduits seront apparents dans les salles électriques, les salles mécaniques et dans les pièces où il
n’y a pas de plafond ou dans les pièces ou les murs sont en maçonnerie brute. Dans les autres endroits
les conduits seront dissimulés.
E. Tous les conducteurs seront installés dans des conduits métalliques dans les salles de mécanique ou
tout autre endroit apparent.
F. Lorsque nécessaire pour compenser des vibrations ou de l’expansion, un conduit flexible n’excédant pas
2 m terminera la course.
G. Les conduits seront supportés aux 2 m avec supports près des joints. On se référera à la section du
Code canadien de l’électricité du Québec pour plus de détails.
H. Dans les endroits humides, les conduits et la quincaillerie qui s’y rattachent seront prévus pour
l’application concernée.
A. Elles doivent être montées en retrait lorsque possible. Il y aura un minimum d’une boîte de tirage à tous
les 30 m, mais la présente Section est responsable de les localiser lors de l’installation.
A. Tous les conducteurs doivent être continus de leur source jusqu’au point raccordé et seront clairement
identifiés par un même nombre de deux bouts. Une lettre peut être acceptée en préfixe à des fins de
discrimination du filage existant. Les bornes des borniers porteront aussi la même identification.
3.06 CONDUCTEURS
A. Les enveloppes de blindage seront solidement raccordées et mises à la terre au point situé le plus près
de la source. L’autre bout sera collé à l’enveloppe des fils près du point de raccordement.
C. Les fils blindés seront regroupés dans des conduits séparés des fils de contrôle 120 V ou plus. Ils
seront aussi regroupés sur des borniers de raccordement distincts.
D. Aucun fil rigide (monoconducteur) ne sera installé dans les panneaux de contrôle; n’installer que de la
filerie souple.
A. Mesurer la valeur diélectrique de tous les tronçons du réseau de transmission de signaux à l’aide d’un
mégohmmètre de 500 V.
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 3
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières, ainsi que les Sections de spécification de la Division 01.
1.02 RÉFÉRENCES
A. Exécution des travaux : selon la norme CAN/CGSB 24.3-92, à moins d’indication contraire.
B. Soumettre les échantillons et la légende des désignations avant de faire graver les inscriptions.
PARTIE 2 - PRODUITS
A. Les inscriptions servant à l’identification des systèmes et des éléments doivent être rédigées en
français.
B. Les inscriptions en français doivent être marquées sur une seule et même plaque d’identification.
A. Chaque pièce d'équipement doit être munie d'une plaque signalétique en métal, fixée mécaniquement et
comportant un lettrage en saillie ou en retrait.
B. Les plaques doivent indiquer ce qui suit : modèle, nom du fabricant, numéro de série, tension, fréquence
du courant d'alimentation, nombre de phases et puissance du moteur.
A. Couleurs
1. Matières dangereuses : lettrage rouge sur fond blanc.
2. Autres matières : lettrage noir sur fond blanc (sauf indication contraire dans le code pertinent).
B. Construction
Caractéristiques générales : 3 mm d'épaisseur, en plastique laminé ou en aluminium anodisé blanc, fini
mat, coins équarris, lettres alignées avec précision et gravées à la machine jusque dans l'âme.
C. Dimensions
1. Conformes au tableau ci-dessous.
E. Utiliser des plaques de grosseur nº 6 pour les unités terminales et les tableaux de commande.
F. Utiliser des plaques de grosseur nº 9 pour l'équipement situé dans les salles d'installations mécaniques.
A. Les inscriptions servant à l'identification des systèmes et des éléments doivent être rédigées en français.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
A. Les plaques doivent identifier clairement les appareils et les réseaux et elles doivent être posées à des
endroits où elles seront bien en vue et facilement lisibles à partir du plancher de travail.
B. Sur les surfaces chaudes ou calorifugées, prévoir des cales d’espacement sous les plaques
d’identification.
2.01 GÉNÉRALITÉS................................................................................................................................2
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 7
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières, ainsi que les Sections de spécification de la Division 01.
1.02 SOMMAIRE
A. Cette Section concerne les contrôleurs d’application générale (CAG), leur quincaillerie et leur logiciel.
B. Données techniques sur les produits : pour chaque type de produit indiqué.
A. Fournir les fiches d'exploitation et d'entretien requises et les joindre au manuel mentionné à la
Section 01 78 00 – Éléments à soumettre à l’achèvement des travaux.
PARTIE 2 - PRODUITS
2.01 GÉNÉRALITÉS
10. Tendances.
11. Diagnostics.
12. Récupération en cas de coupure d'alimentation.
13. Rapports et registres.
A. Chaque CAG doit être muni d'une pile intégrée d'une capacité minimale de 72 heures, afin de maintenir
l'horloge en temps réel en fonction. La durée de vie de la pile sera 10 heures au minimum. Cette
dernière devra pouvoir générer des signaux de temps écoulés et heure actuelle en années, mois, jour
de la semaine, de l'année, minutes et secondes. Chaque CAG doit être muni d'une mémoire vive RAM
afin de sauvegarder les données de programmation. Les systèmes utilisant de la mémoire morte ROM
pour la sauvegarde des programmes spécifiques du projet ne seront pas acceptés.
A. Les ports de communication consistent en un minimum de deux ports séquentiels RS-232 pouvant
opérer simultanément et étant capables de supporter la composition et la réponse automatique. Chaque
port doit supporter une des fonctions suivantes :
1. Terminal opérateur.
2. Imprimante.
3. Modem.
B. Le contrôleur d’application générale (CAG) devra soutenir un port RS-485 Bacnet MSTP permettant de
communiquer avec des contrôleurs d’application spécifique de sous-réseau à la vitesse de 76 800
bauds.
C. Le CAG devra soutenir un port Échelon FTT normalisé permettant de communiquer avec des
contrôleurs Échelon de différents manufacturiers.
D. Le CAG devra soutenir un port de communication permettant de communiquer avec d’autres CAG de
n’importe qu’elle génération antérieure.
E. Le CAG devra soutenir un port de communication de type Ethernet standard. Les raccords pouvant être
du type COAX, « ThinNet » ou « ThickNet ». Le réseau permettra de communiquer avec d’autres CAG
ou avec des ordinateurs.
A. Chaque contrôleur de réseau et chaque poste de travail devront résider sur le réseau local « Peer to
Peer ». Ce réseau local devra être en mesure d’effectuer sa propre configuration, à mesure que les
noeuds s’ajoutent ou s’éliminent. Les communications du réseau local devront respecter les Normes
IEEE 802.3, 802.4, 802.5 ou ANSI 878.1 et se conformer au modèle de référence OSI. La vitesse de
communication du réseau local sera de 2,5 MBPS au minimum.
1. Raccordement fixe. Fournir un câble coaxial entre chacun des nœuds sur le réseau local.
2. Fibre optique : fournir des connexions de fibre optique (transmission et réception) à chacun des
nœuds sur le réseau local.
A. Les CAG devront utiliser les équipements standards du manufacturier tels que sondes, transmetteurs,
servomoteurs et autres.
B. Toutes les connexions d’entrée et de sortie du contrôleur d’application générale devront être effectuées
à l’aide de borniers vissés, enfichables qui pourront être défichés afin de permettre un entretien facile et
rapide.
A. Le CAG doit pouvoir fonctionner de façon normale dans des conditions allant de 0 à 50 °C, et dont
l'humidité relative n'excède pas 90 %.
B. Chaque CAG est fixé à l'intérieur d'un boîtier métallique spécialement conçu, à l'intérieur duquel toute la
filerie sera dissimulée sous un caniveau métallique. La section haut voltage (120 V a.c. et +) sera
séparée physiquement de la section bas voltage par une cloison métallique.
1. Le boîtier sera de type NEMA 1 avec porte montée sur charnière et serrure à clef.
A. Chaque CAG devra être conçu afin d'accepter une tension de 24 V.c.a. à une fréquence de 60 Hertz.
B. Chaque CAG devra être protégé par un fusible sur l'alimentation électrique.
A. Un SEO est fourni avec chaque CAG et comprend les fonctions suivantes : message d'erreur à
l'opérateur lorsqu'une commande invalide est entrée, données hors de plage, erreur de communication,
intégrité de la base de données, perte de l'heure.
B. Le système d'exploitation devra être bilingue, menu, aide et commande. Il doit contenir au minimum les
commandes suivantes :
1. Afficher.
2. Réviser.
3. Créer.
4. Effacer.
5. Commander.
6. Dessiner.
7. Imprimer.
8. Sauver.
9. Aide.
10. Heure.
11. Menu.
12. Fin.
D. Capacité de points
1. Chaque CAG devra supporter un minimum de 150 CAS.
E. Programmation
1. Le CAG inclut des programmes de gestions et de régulations standards fournis par le
manufacturier ainsi qu'un langage de programmation similaire au BASIC permettant de faire des
boucles de régulation adaptées pour le projet. Tous les programmes doivent être modifiables par
l'opérateur soit à la ligne ou à la pièce. Les changements additions ou soustractions aux
programmes doivent se produire de façon dynamique lorsque ce dernier est en fonction. La
présente Division doit laisser deux copies sur CD de toute la base de données. Les programmes
de gestion et de régulation standards fournis par le manufacturier doivent être en mesure de faire
les fonctions suivantes :
a. Contrôle numérique
1) Les algorithmes de contrôle doivent être disponibles et résidents à l'intérieur du CAG afin
de permettre des boucles en mode proportionnel, intégral ou gain dérivé, ou les trois.
D'autres modes, tels qu’à incrémentation, flottant et binaire doivent être aussi disponibles
afin de s'adapter aux besoins du projet. Les points d'entrée et de sortie ne doivent pas
limiter à leur usage de gestion ou de contrôle. Chaque CAG devra soutenir un minimum
de 120 boucles de régulation. Si un contrôleur ne peut maintenir un point de consigne,
alors une alarme doit être générée.
b. Routines mathématiques
1) Ces routines doivent inclure au minimum les arithmétiques de base, logiques binaires,
logiques relationnelles et formules fixes telles que calculs psychrométriques.
c. Délestage de charge
1) Chaque CAG devra inclure la capacité de calculer la demande énergétique pour un point
pulse afin de comparer avec les calculs des limites définies par l'opérateur et de faire le
délestage de charge pour éviter de dépasser ces limites. Chaque item délesté doit avoir
un niveau de priorité d'assigné, un temps minimum en fonction et un temps maximum
hors fonction. Un minimum de 64 éléments pourra être ajouté à la cédule de délestage.
d. Fonctions cycliques
1) Un minimum de 64 appareils pourra être mis en fonction cyclique. Le programme devra
être capable de suspendre temporairement une fonction cyclique lors de certaines
conditions comme des dépassements de température. Le système devra prévoir des
temps de marche et d'arrêt individuels pour chaque équipement assigné à une fonction
cyclique.
e. Horaire
1) Un minimum de 99 horaires définissables devra être fourni. Chaque horaire sera
considéré comme un point et pourra être associé à plusieurs points. Il sera possible de
définir pour chaque horaire un nom de seize (16) caractères, six (6) modes (manuel ou
automatique), huit (8) arrêts/départs par jour, neuf (9) jours types (deux (2) types de
congés).
f. Horaire annuel
1) L'horaire annuel sera constitué d'une grille de 365 jours. Chaque jour pourra être défini
individuellement comme jour férié type 1 ou type 2.
g. Optimisation
1) L'optimisation devra inclure le départ et l’arrêt optimal d'éléments basés sur les
températures intérieures et extérieures ainsi que les températures d'inoccupations et de
remise à jour. L'optimisation des chaudières et des refroidisseurs devra inclure le
réajustement de la température d'alimentation, la limitation de la demande, la
modification des points de consigne, le contrôle alternatif et la mise en place d'horaires.
h. Réajustement de température
1) Le CAG devra fournir la capacité de réajuster la température d'alimentation d'air ou
d'eau, basé sur les conditions données telles que : température de pièce, température
extérieure ou charge, ou les trois. Chaque CAG devra avoir la possibilité de réajuster un
minimum de 120 boucles de régulation basées sur n'importe quel de ces paramètres.
A. Le système de gestion aura la capacité de créer, d'emmagasiner et d'accéder autant de graphiques que
le projet nécessite.
B. Les graphiques sont en temps réel et le mouvement des volets, les opérateurs de valve ainsi que le
changement de température dans les serpentins seront visibles en temps réel.
D. Le logiciel sera fourni avec un logiciel de conception de graphiques. Celui-ci devra être aussi facile à
opérer que les logiciels commerciaux de conception de dessin (Autocad). Toutes les couleurs, formes et
symboles seront disponibles. Le logiciel ne devra pas être limité à une librairie préconçue.
A. Le système de gestion doit envoyer toutes les alarmes et points de lecture à distance à un poste
opérateur extérieur.
B. Le système de gestion doit pouvoir communiquer les alarmes à distance via un système de pagette.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
A. Faire le câblage de l’alimentation électrique des transmetteurs et des ordinateurs aux tensions requises
à partir d’une source 120 V CA d’urgence du bâtiment. Fournir et câbler les transformateurs requis.
2.01 GÉNÉRALITÉS................................................................................................................................2
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 5
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières, ainsi que les Sections de spécification de la Division 01.
1.02 SOMMAIRE
A. Cette Section concerne les contrôleurs d’application spécifique (CAS), leur quincaillerie et leur logiciel.
B. Données techniques sur les produits : pour chaque type de produit indiqué.
A. Fournir les fiches d'exploitation et d'entretien requises et les joindre au manuel mentionné à la
Section 01 78 00 – Éléments à soumettre à l’achèvement des travaux.
PARTIE 2 - PRODUITS
2.01 GÉNÉRALITÉS
B. Les CAS sont des contrôleurs numériques munis d’un micro-processeur programmable au chantier,
c’est-à-dire que les séquences de contrôles seront entièrement programmables de la même façon que
dans les CAG. Aucun CAS ne devra avoir de séquence programmée. Les contrôleurs numériques, dont
la programmation est faite chez le manufacturier et qui ne peuvent être modifiés, ne seront pas
acceptés.
C. Les CAS doivent exécuter leurs fonctions de contrôle et de gestion de l’énergie de façon autonome.
Chaque CAS exécute des fonctions de gestion de l’énergie telles que réajustement de température
d’alimentation d’air et d’eau, enthalpie, optimisation de refroidisseur, réchauffement ou refroidissement
matinal, compensation solaire, écart d’inoccupation, horaire.
A. Chaque CAS doit être muni d’une pile intégrée d’une capacité minimale de 72 heures afin de maintenir
l’horloge en temps réel en fonction. Cette dernière devra pouvoir générer des signaux de temps écoulés
et heure actuelle en années, mois, jour de la semaine, de l’année, minutes et secondes. Chaque CAS
doit être muni d’une mémoire non volatile EPROM ou FLASH afin de sauvegarder les données de
programmation.
B. Chaque CAS doit être capable de faire une tendance de tous les points programmés dans le CAS à un
intervalle variant de une (1) seconde à 100 heures.
A. Chaque CAS doit avoir quatre (4) niveaux d’accès disponibles à partir d’un poste opérateur portatif
(POP). Le nombre de fonctions disponibles sera en fonction du niveau d’accès du mot de passe utilisé.
B. Chaque CAS est muni d’une prise afin de permettre le raccordement du POP. Le CAS doit fonctionner
de façon autonome et permettre l’accès au système sans dépendre de du CAG.
A. Les CAS doivent être reliés entre eux et au CAG par un réseau local dédié.
A. Les CAS devront utiliser les équipements standards du manufacturier tels que sondes, transmetteurs,
servomoteurs et autres. La quantité d’entrées et de sorties dépend du modèle de CAS. Les CAS doivent
accepter des entrées et sorties de type électrique selon les standards identifiés.
3. Entrée adressable
a. Le réseau de communication d’entrées adressables devra accepter des sondes de
température ou d’humidité adressables. Une quantité de huit (8) sondes pourront se
raccorder à ce réseau.
A. Le CAS devra pouvoir fonctionner de façon normale dans des conditions allant de 0 à 50 ºC, et dont
l’humidité relative n’excède pas 90 % H.R.
B. Chaque CAS est fixé à l’intérieur d’un boîtier métallique spécialement conçu, à l’intérieur duquel toute la
filerie sera dissimulée sous un caniveau métallique. La section haut voltage (120 V a.c. et +) sera
séparée physiquement de la section bas voltage par une cloison métallique.
A. Chaque CAS devra être conçu afin d’accepter une tension de 24 V c.a. à une fréquence de 60 Hertz.
B. Chaque CAS devra être protégé par un fusible sur l’alimentation électrique.
2.09 PROGRAMMATION
A. Chaque CAS doit être programmé pour les séquences d’opérations décrites. L’exécution de ces
séquences devra se faire de façon automatique sans l’intervention de l’opérateur. Le CAS fait la lecture
de ces entrées, vérifie les conditions d’entrées multiples et exécute les actions appropriées sur les
valves, registres, pompes, ventilateurs ou autres équipements. Les conditions programmées pourront
inclure des conditions d’entrées, de sorties, de temps et d’opérations mathématiques (additions,
soustractions, multiplications, divisions, racines, réciprocités, négatifs, plus grand que, plus petit que,
valeurs absolues). Les changements, additions ou soustractions au programme doivent se produire de
façon dynamique lorsque ce dernier est en fonction. Les entrées des boucles de régulation et leurs
sorties respectives doivent être exécutées au moins trois (3) fois par seconde, peu importe la quantité
de points raccordés au CAS et la complexité des programmes.
B. Chaque CAS est programmable sur le chantier à partir d’un POP standard ou à partir d’un poste
externe, à l’aide d’une ligne téléphonique et d’un modem. La logique de programmation doit permettre
une modification sans interruption de la séquence d’opération.
C. Le CAS inclut des programmes de gestion et de régulation standards fournis par le manufacturier ainsi
qu’un langage de programmation similaire au BASIC permettant de faire des boucles de régulation
adaptées pour le projet. Tous les programmes doivent être modifiables par l’opérateur, soit à la ligne,
soit à la pièce. Les changements, additions ou soustractions au programme, doivent se produire de
façon dynamique lorsque ce dernier est en fonction.
D. Les programmes de gestion et de régulation standards fournis par le manufacturier doivent être en
mesure de faire les fonctions minimales suivantes :
1. Contrôle numérique
a. Les algorithmes de contrôle doivent être disponibles et résidents à l’intérieur du CAS afin de
permettre des boucles en mode proportionnel, intégral ou gain dérivé, ou les trois (3). D’autres
modes, tels que à incrémentation, flottant et binaire doivent être aussi disponibles afin de
s’adapter aux besoins du projet. Les points d’entrées et de sorties ne doivent pas être limités
à leur usage de gestion ou de contrôle. Chaque CAS devra soutenir un minimum de 100
boucles de régulation. Si un contrôleur ne peut maintenir un point de consigne, alors une
alarme doit être générée.
2. Routines mathématiques
a. Ces routines devront inclure au minimum les arithmétiques de base, logiques binaires,
logiques relationnelles et formules fixes tels que calculs phychrométriques.
3. Horaire
a. Un minimum de 99 horaires définissables devra être fourni. Chaque horaire sera considéré
comme un point et pourra être associé à plusieurs points. Il sera possible de définir pour
chaque horaire un nom de seize (16) caractères, six (6) modes (manuel ou automatique), huit
(8) arrêts/départs par jour et neuf (9) jours types (deux (2) types de congés).
4. Alarmes
a. Le CAS doit automatiquement superviser les entrées analogiques et binaires, comparer la
valeur actuelle aux valeurs limitées établies par l’opérateur et envoyer un message approprié
ainsi que la date et l’heure de l’alarme. Le message d’alarme devra être envoyé à l’UPS pour
fin de gestion.
5. Tables des tendances
a. Les CAS doivent avoir la capacité de superviser et d’emmagasiner des données pour un
minimum de 99 points. Chaque programme de tendance a les caractéristiques suivantes :
1) Un minimum de quatre (4) points par tendance.
2) Un minimum de 200 échantillons par point.
3) La possibilité de sauver les 200 échantillons sur disque et de répéter l’opération.
4) La possibilité d’échantillonner de une (1) seconde à 100 heures.
5) La possibilité de transposer un graphique instantanément.
6. Réajustement de température
a. Le CAS doit fournir la capacité de réajuster la température d’alimentation d’air ou d’eau, basé
sur les conditions données, telles que température de pièces, température extérieure ou
charge, ou les trois (3). Chaque CAS doit avoir la possibilité de réajuster un maximum de 32
boucles de régulation basé sur n’importe quel de ces paramètres.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
A. Faire le câblage de l’alimentation électrique des transmetteurs et des ordinateurs aux tensions requises
à partir d’une source 120 V CA d’urgence du bâtiment. Fournir et câbler les transformateurs requis.
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 2
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières, ainsi que les Sections de spécification de la Division 01.
1.02 SOMMAIRE
A. Cette Section concerne les contrôleurs d’unités terminales (CUT), leur quincaillerie et leur logiciel.
B. Données techniques sur les produits : pour chaque type de produit indiqué.
A. Fournir les fiches d'exploitation et d'entretien requises et les joindre au manuel mentionné à la
Section 01 78 00 – Éléments à soumettre à l’achèvement des travaux.
PARTIE 2 - PRODUITS
A. Contrôleur électronique sur chaque unité, du type indépendant de la pression, incluant un actuateur
électronique.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
A. Faire le câblage de l’alimentation électrique des transmetteurs et des ordinateurs aux tensions requises
à partir d’une source 120 V CA d’urgence du bâtiment. Fournir et câbler les transformateurs requis.
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 2
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières, ainsi que les Sections de spécification de la Division 01.
1.02 SOMMAIRE
A. Cette Section concerne les coffrets pour contrôleurs et les équipements connexes.
B. Données techniques sur les produits : pour chaque type de produit indiqué.
A. Fournir les fiches d'exploitation et d'entretien requises et les joindre au manuel mentionné à la
Section 01 78 00 – Éléments à soumettre à l’achèvement des travaux.
PARTIE 2 - PRODUITS
2.01 COFFRETS
A. Les boîtiers d'interface et d'automate seront en acier, d'une épaisseur de 1.8 mm, de couleur blanche,
peinture cuite. Le filage sera entièrement installé dans des canalisations. Tout le filage qui doit sortir
des boîtiers sera rapporté à des bornes de raccord montées sur rail.
B. Les indicateurs de pression de filtres seront montés en façade, des plaques lamicoïdes blanches
(écriture noire gravée) accompagneront chaque indicateur.
C. Chaque coffret de contrôle sera muni d’une prise 120 Vca duplex.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 3
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières, ainsi que les Sections de spécification de la Division 01.
1.02 SOMMAIRE
B. Données techniques sur les produits : pour chaque type de produit indiqué.
A. Fournir les fiches d'exploitation et d'entretien requises et les joindre au manuel mentionné à la
Section 01 78 00 – Éléments à soumettre à l’achèvement des travaux.
PARTIE 2 - PRODUITS
A. Les éléments terminaux de réseaux aérauliques sont fournis et installés aux termes de la Section
23 36 00 - Unités terminales de contrôle de débit d’air. Fournir et installer le bloc de
commande/régulation électronique, le régulateur de vitesse, le servomoteur de registre et la sonde de
température de pièce pour chaque élément terminal.
B. Transformateurs de courant à installer sur toutes les phases et transformateurs de potentiel intégrés à
raccorder à l’entrée électrique du bâtiment.
E. Tensions disponibles et ajustables à même le convertisseur : 120, 208, 240, 277, 480 ou 600 Vca.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 3
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières, ainsi que les Sections de spécification de la Division 01.
B. Données techniques sur les produits : pour chaque type de produit indiqué.
A. Fournir les fiches d'exploitation et d'entretien requises et les joindre au manuel mentionné à la
Section 01 78 00 – Éléments à soumettre à l’achèvement des travaux.
PARTIE 2 - PRODUITS
A. Les servomoteurs doivent être munis de ressorts de rappel qui, en cas de coupure de courant,
ramèneront les registres et soupapes dans la position normalement ouverte ou normalement fermée.
B. Le couple des servomoteurs doit être calculé en fonction de la plus élevée des deux (2) valeurs
suivantes, soit la pression maximale, soit la pression dynamique de fermeture.
C. Les servomoteurs doivent être du type rotatif avec ressorts et courses réglables. L'installation se fera à
couplage direct sur l'axe du registre ou la tige de la soupape, sans bras de levier ou joint à rotule.
D. Servomoteur muni d'une protection électronique contre les surcharges ou d'une série de capteurs de
rotation numériques pour éviter les dommages pendant la rotation. Les interrupteurs de fin de course
pour désactiver le servomoteur à la fin de la rotation et les embrayages magnétiques ne sont pas
acceptables.
E. Conversion du sens de rotation de tous les servomoteurs à ressort de rappel en modifiant l'orientation.
Les servomoteurs à ressort peuvent être fixés directement sur une tige maîtresse d'un diamètre pouvant
aller jusqu'à 25 mm.
F. Bouton de surpassement manuel externe ou une manivelle sur tous les servomoteurs facilitant
l'installation et permettant le positionnement manuel lorsque le servomoteur n'est pas activé.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 5
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières, ainsi que les Sections de spécification de la Division 01.
1.02 SOMMAIRE
B. Données techniques sur les produits : pour chaque type de produit indiqué.
A. Fournir les fiches d'exploitation et d'entretien requises et les joindre au manuel mentionné à la
Section 01 78 00 – Éléments à soumettre à l’achèvement des travaux.
PARTIE 2 - PRODUITS
A. Les transmetteurs électroniques localisés dans les caissons de mélange devront être à sortie linéaire,
de longueur suffisante pour permettre un bon échantillonnage, mais pas moins de 3 mètres de long.
B. Fournir un puits thermométrique pour chaque sonde de température pour eau chaude.
A. Muni d'un élément de mesure synthétique résistant aux basses et hautes températures (- 30 à 70 ºC).
F. Auto-consommation de 25 mA maximum.
G. Sortie de 4 à 20 mA.
A. Produit de référence : sous réserve de la conformité au devis, fournir le produit Ashcroft; modèle CXLdp
ou un produit comparable de l’un des fabricants suivants :
1. KMC Controls (série TPE-1476)
B. Capteur omnidirectionnel avec plage appropriée à la lecture prévue, et compensé pour la température.
1. Précision : 2 pourcent de la pleine échelle avec répétabilité de 0.5 pourcent.
2. Sortie : 4 à 20 mA ou 0-10 VDC.
3. Plage pour pression de pièce : 0 à 62 Pa (0- à 0.25-pouce CE)
4. Plage pour pression statique dans les conduits : 0 à 1240 Pa (0- à 5-pouces CE).
A. Produit de référence : sous réserve de la conformité au devis, fournir le produit Ashcroft; modèle GC55
ou un produit comparable de l’un des fabricants suivants :
1. MAMAC Systems, Inc.
2. Setra
3. Vaisala
A. À action brusque, caractérisé pour commande par pilote et avec plage et différentiel appropriés.
B. Auto-alimenté.
D. Sortie de 0 à 5 Vcc.
A. Fabricant : sous réserve de la conformité au devis et des indications aux dessins, fournir le produit du
fabricant suivant :
1. Ebtron inc.
C. Déterminer le nombre de tubes à installer en fonction de la dimension des consuits pour permettre
d’obtenir une lecture précise dans toutes les conditions d’opération.
D. Pour les installation à l’entrée d’un ventilateur, utiliser le modèle du fabricant spécialement conçus.
E. Enveloppe :
1. Air propre : acier galvanisé.
2. Air contaminé : acier inoxydable.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 3
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières, ainsi que les Sections de spécification de la Division 01.
1.02 SOMMAIRE
B. Données techniques sur les produits : pour chaque type de produit indiqué.
A. Fournir les fiches d'exploitation et d'entretien requises et les joindre au manuel mentionné à la
Section 01 78 00 – Éléments à soumettre à l’achèvement des travaux.
PARTIE 2 - PRODUITS
A. Les robinets doivent être choisis pour rencontrer les pressions d'opération du réseau (pression statique,
pression de fermeture, pression dynamique, etc.) et les températures des fluides.
B. Toutes les caractéristiques des robinets de régulation doivent satisfaire aux exigences suivantes:
1. Les robinets de mélange trois voies doivent avoir des caractéristiques de débit linéaire pour chaque
orifice, assurant un débit total constant.
2. Les robinets à deux voies pour l'eau chaude doivent avoir les caractéristiques de débit à
pourcentage égal.
3. Les robinets à deux voies seront de construction industrielle à haute étanchéité et devront avoir
une capacité de fermeture (close-off) de 345 kPa (50 lb/po2) minimum.
1. Les actuateurs auront des diaphragmes en silicone et seront munis de relais positionneurs lorsque
les vannes doivent opérer en séquence avec d'autres appareils. Les séquences à l'aide de
ressorts à tension différente ne seront pas acceptées.
2. Les robinets motorisés devront pouvoir résister à une pression d'opération de 860 kPa (125 lb/po2).
3. Calculer la dimension des robinets de façon que l'entité contrôleur-robinet ait un fonctionnement
stable et exempt de pompage.
4. Perte de pression pour calcul du CV à plein débit
a. Aux serpentins : entre 30 et 45 kPa (10 à 15 pi d’eau).
b. Aux convecteurs : ± 15 kPa (± 5 pi d’eau).
PARTIE 3 - EXÉCUTION
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 2
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières, ainsi que les Sections de spécification de la Division 01.
1.02 SOMMAIRE
B. Données techniques sur les produits : pour chaque type de produit indiqué.
A. Fournir les fiches d'exploitation et d'entretien requises et les joindre au manuel mentionné à la
Section 01 78 00 – Éléments à soumettre à l’achèvement des travaux.
PARTIE 2 - PRODUITS
A. Les registres motorisés seront fournis et installés dans les unités de traitement d’air aux termes de la
Division 23. Ces registres ne seront pas munis des moteurs, actuateurs et positionneurs requis pour la
régulation automatique des systèmes, c’est éléments doivent donc être fournis aux termes de la
Division 25.
B. Fournir les registres qui ne sont pas intégrés aux unités de traitement d’air.
C. Déterminer la quantité de moteurs à installer sur chaque registre afin d’être capable d’opérer facilement
et d’une façon optimale les mouvements de chacun des registres.
D. Les registres seront de dimensions indiquées sur les plans. Ils seront fabriqués en une seule section.
Lorsque la dimension du registre est plus grande que les formats standards du manufacturier, le registre
sera composé de deux modules ou plus si nécessaire.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
1.04 DÉFINITIONS..................................................................................................................................2
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 4
3.01 INSTALLATION................................................................................................................................4
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les dessins et les dispositions générales du contrat, incluant les
Conditions générales et les Conditions supplémentaires, ainsi que les Section de la Division 01 du Devis
descriptif.
1.02 SOMMAIRE
B. Exigences connexes
1. Section 23 09 63 – Système spécialisé d’automatisation pour la ventilation de laboratoires et
d’environnements critiques, pour la description du matériel spécialisé incluant les vannes d’air, les
contrôleurs et les afficheurs spéciaux, pour la partie des travaux exécutée aux termes de la
Division 23 ainsi que pour les exigences de coordination.
2. Toutes les Sections de la Division 25, pour le matériel requis afin de rendre l’installation complète
mais non décrit à la Section 23 09 63 – Système spécialisé d’automatisation pour la ventilation de
laboratoires et d’environnements critiques ainsi que pour les méthodes d’exécution.
1.03 RÉFÉRENCES
A. Québec
1. CCQ : Code de construction du Québec – Chapitre I, Bâtiment, et Code national du bâtiment –
Canada 2005 (modifié).
1.04 DÉFINITIONS
B. Performances d’ordre sismique : les composants du système doivent résister aux effets des
déplacements sismiques calculés selon le Chapitre I du CCQ.
A. Fournir les fiches d'exploitation et d'entretien requises et les joindre au manuel mentionné à la
Section 01 78 00 – Éléments à soumettre à l’achèvement des travaux.
A. Livrer et stocker les composants bien protégés contre les chocs et la saleté dans des boîtes bien
fermées.
1.11 COORDINATION
A. De façon générale, les composants du SAVL sont fournis aux termes de la Section 23 09 63 – Système
spécialisé d’automatisation pour la ventilation de laboratoires et d’environnements critiques. Assurer la
coordination pour leur installation aux termes de la Division 25.
1. La fourniture du câblage de commande et d’alimentation électrique s’effectue aux termes de la
Division 25.
2. L’installation des vannes d’air sur les conduits d’air s’effectue aux termes de la Division 23.
3. L’installation des contrôleurs, des détecteurs, des sondes, des afficheurs et des autres composants
du SAVL s’effectue aux termes de la Division 25.
PARTIE 2 - PRODUITS
2.01 SYSTÈME
A. Seuls des câbles du type et des marques recommandés spécifiquement par le fabricant du SAVL
doivent être utilisés. Lorsque des câbles multibrins sont indiqués, utiliser des câbles avec suffisamment
de brins de sorte qu’un seul câble soit nécessaire (il est interdit, par exemple, d’utiliser deux câbles à
quatre brins pour remplacer un câble à huit brins).
PARTIE 3 - EXÉCUTION
3.01 INSTALLATION
B. Pour les méthodes d’installation du câblage, se conformer aux prescriptions de la Division 26.
A. Collaborer avec l’entité responsable d’effectuer la vérification finale et de la production des rapports sur
les débits d’air conformément aux prescriptions de la Section 23 05 93.06 – Essai, réglage et équilibrage
(ERÉ) des systèmes aérauliques.
3.04 RÉGLAGES
1.17 FINITION........................................................................................................................................8
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 8
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières, ainsi que les Sections de spécification de la Division 01.
B. Informer l’Ingénieur des modifications exigées par le service d’inspection des installations électriques,
avant d’apporter un changement quelconque aux plans et devis.
C. À l’achèvement des travaux, obtenir du service d’inspection des installations électriques un certificat
d’acceptation et le transmettre à l’Ingénieur.
A. Coordonner les travaux d’électricité avec ceux des autres Divisions. Annoter et signer les plans de
fabrication des conduits d’air de la Division 23 qui auront été annotés et signés par les autres corps de
métier, afin de confirmer, à l'ensemble des intervenants, que la coordination au chantier a été effectuée.
B. Aucun supplément ne sera payé à l’Entrepreneur pour modifier les installations, et la position des
équipements, si des équipements entrent en conflit avec d’autres, suite à un manque de coordination au
chantier.
C. Obtenir l’approbation écrite du Propriétaire pour la position exacte et finale des équipements et
accessoires dans les différentes pièces du bâtiment.
A. Les bornes, cosses et vis servant à la connexion des fils doivent convenir à des conducteurs en cuivre
ou en aluminium, selon le cas.
A. Une fois le matériel installé, les étiquettes des fabricants et de l’ACNOR doivent être bien visibles et
lisibles.
A. Au cours des travaux de construction, protéger le matériel exposé et sous tension, pour assurer la
sécurité du personnel, des biens et des lieux;
B. Enfermer et marquer les pièces sous tension par l'inscription « circuit sous tension 120 Volts » (ou la
tension appropriée), en français;
C. Les salles contenant du matériel de distribution d'électricité doivent être convenablement fermées et
munies de portes provisoires adéquates. Garder ces portes verrouillées, sauf lorsqu'un électricien en
assure la surveillance directe.
A. Emplacement
1. L'emplacement des équipements, conduits et appareils divers indiqués ou décrits sur les dessins,
doit être considéré comme approximatif.
2. Avant d'installer tout appareil, équipement, conduits et accessoires, vérifier l’emplacement exact
des équipements et s'assurer également que les installations existantes ne nuisent d'aucune façon.
3. Advenant qu’il y ait divergence entre les plans de différent professionnels (Architecte, Ingénieur)
concernant l’emplacement des équipements, demander par écrit aux professionnels concernés,
une confirmation quant la position définitive des équipements. Si l’Entrepreneur installe des
équipements avant d’obtenir l’interprétation des plans et devis par les professionnels, il devra, si
requis, relocaliser les équipements en fonction des directives des professionnels et en assumer les
frais.
4. Installer les appareils et les conduits de manière à limiter les encombrements et à conserver le plus
de surface utile possible, et ce, conformément aux recommandations du fabricant quant à la
sécurité, à l'accès et à l'entretien.
5. Assumer les coûts reliés aux déviations requises dans les conduits et accessoires, pour éviter toute
interférence entre les ouvrages des différents corps de métier.
6. À la demande de l'Ingénieur, soumettre les plans de masse indiquant la position proposée pour les
divers services et pièces d'équipement.
7. Informer l'Ingénieur de la proximité de la date d'installation et demander son approbation quant à
l'emplacement exact assigné.
a. En fonction des commentaires du Propriétaire sur le chantier, la position finale de
l’équipement pourrait être légèrement modifiée par rapport à celle indiquée sur les dessins.
Par contre, elle sera indiquée avant l’installation et aucun frais associé à de tels changements
de position ne pourra être facturé.
B. Installation
1. Sauf indications contraires, se conformer aux plus récentes instructions écrites du fabricant
concernant les matériaux et l’équipement à utiliser, et les méthodes d’installation.
a. Aviser l’Ingénieur, par écrit, de toutes divergences entre les plans et devis et les instructions
du fabricant. L’ingénieur déterminera alors quel document utiliser.
2. S’assurer que les planchers et les dalles recevant les équipements au sol sont de niveau.
3. Fournir les pièces de fixation et les accessoires en métal de même texture, couleur et fini que le
support auquel ils sont fixés. Utiliser des attaches, des ancrages et des cales à l’épreuve de la
corrosion pour assujettir les ouvrages extérieurs et intérieurs.
4. Tous les équipements montés sur une structure d’acier ou de béton par l’intermédiaire de ressort
antivibration, ou de poutre doivent être assujettis solidement aux éléments constitutifs du bâtiment
à l’aide de boulons d’ancrage ou de cordons de soudure afin de s’assurer que l’ensemble des
équipements ne peut glisser de ses points d’attache par vibration ou secousse du bâtiment ou à
proximité du bâtiment.
5. Aligner les rives des pièces d’équipement avec les murs du bâtiment, lorsque la chose est possible.
B. Il est interdit d'installer les sorties et les prises de courant dos à dos dans un mur: laisser un
dégagement horizontal minimal de 150 mm entre les boîtes;
C. L'emplacement des sorties et des prises de courant peut être modifié sans frais additionnel ni crédit à
condition que les déplacements n'excèdent pas 3000 mm et que l'avis en ait été donné avant
l'installation;
D. Placer les interrupteurs d'éclairage près des portes du côté de la poignée. Dans les salles des
installations mécaniques et de la machinerie d'ascenseurs, placer les sectionneurs près des portes du
côté de la poignée.
A. Sauf indication ou prescription contraire, la hauteur de montage du matériel est donnée à compter de la
surface du plancher fini jusqu'à l'axe de l'appareil;
B. Dans les cas où la hauteur de montage de l'appareil n'est pas indiquée, vérifier auprès de l’Ingénieur
avant de commencer l'installation;
C. Sauf indication contraire, installer les pièces d'équipement électrique à la hauteur indiquée ci-après :
1. Commutateurs d'éclairage : 1200 mm (47-¼″)
2. Prises murales :
a. En général : 375 mm (15″)
b. Au-dessus de plinthes chauffantes continues : 200 mm (8″)
A. Faire le raccordement de tous les moteurs et en faire la mise en marche en collaboration avec
l’installateur de l’équipement entraîné.
C. Fournir à l’Ingénieur un tableau d’ « essais des moteurs » et démontrer les différentes lectures prises en
rapport avec les paragraphes mentionnés ci-dessus.
B. Fournir un certificat ou une lettre du fabricant attestant que toute l'installation de chaque réseau a été
faite à son entière satisfaction, selon ses prescriptions et en accord aux plans et devis.
E. Fournir les appareils, de mesure, les compteurs l'équipement et le personnel requis pour l'exécution des
essais durant l'installation et à son achèvement;
A. Percements
1. Effectuer les percements requis par les travaux de cette Division et les coordonner conformément
aux prescriptions de la Section 01 31 00 - Gestion de projet et coordination. Indiquer la position
des ouvertures à percer sur le plan de découpage et réparation exigé à la Section 01 73 00 -
Exécution des travaux.
2. Pour tous les travaux susceptibles d'altérer la structure, obtenir l'approbation écrite de l'Ingénieur
en structure.
3. Le percement des trous par marteau pneumatique ou électrique à action vibratoire ainsi que le
percement à la main et tout autre procédé par chocs mécaniques sont prohibés. Les trous doivent
être percés au moyen d’une foreuse rotative à eau ou tout autre appareil accepté par l’Ingénieur en
structure.
4. Repérer la position de l’acier d’armature ou de tout élément encastré avant de procéder au
perçage. Ne pas endommager l’acier d’armature ou les éléments encastrés lors du carottage ou
du perçage. Avertir l’Ingénieur en structure si l’on rencontre de l’acier d’armature ou autres
éléments encastrés lors du perçage. Localiser et éviter les armatures de précontrainte, les
conduits électriques et de télécommunications, ainsi que les conduites de gaz.
5. Ne pas percer de trous dans le béton ou la maçonnerie avant que le béton, le mortier ou le coulis
n’ait atteint sa pleine résistance de conception.
B. Manchons
1. Les manchons doivent avoir un minimum de 25 mm (1 po) de plus que les éléments passant au
travers, isolation incluse s'il y a lieu. En conséquence, l'espace libre entre ces éléments et le
contour du manchon devra être calfeutré. Pour les manchons traversant le béton, utiliser du tuyau
en acier de série 40, de diamètre permettant le passage du conduit et dépassant de chaque côté le
béton de 50 mm (2 po) lorsque le manchon traverse un plancher; 25 mm (1 po) au travers un mur.
2. Les manchons sont requis dans les cas suivants :
a. Lors de la mise en place d’un nouveau plancher de béton dans lequel passera de la
tuyauterie.
b. Dans le percement d’un mur de maçonnerie, d’une cloison sèche coupe-feu ou d’un plancher.
3. Les manchons ne sont pas requis dans les cas suivants :
C. Ouvertures préfabriquées
1. Les ouvertures à effectuer dans les éléments structuraux et architecturaux préfabriqués seront
faites à l'usine.
A. En conformité avec le Code national du bâtiment du Canada, à tous les endroits où des tuyaux ou des
conduits traversent un mur coupe-feu, un plancher ou toute autre barrière coupe-feu, fournir et installer
un système de scellement pare-feu et fumée. L'espace libre entre les canalisations et les ouvertures
sera calfeutré selon les méthodes approuvées par les ULC ou Warnoc Hersey.
B. Les produits utilisés pour assemblage seront à base de latex et ne devront contenir aucune silicone, ni
solvant, ni agent halogène.
E. Lorsque des manchons sont prévus pour le passage de câbles ou canalisations futures, ceux-ci doivent
avoir un diamètre minimal de 25 mm de plus que le diamètre du câble ou de la canalisation future.
Bourrer les manchons inutilisés de laine minérale et les calfeutrer pour les rendre étanches à l'air avec
un scellant ignifuge.
a. L'espace libre doit être scellé de fibre de verre bien tassée, suivi d'une application de Tough-
Bond de Atlas de 25 mm (1 po) de profondeur de chaque côté de la paroi.
B. Réaliser des joints hermétiques entre les ouvrages et les tuyaux, manchons, canalisations et conduits.
C. Exécuter les travaux d'ajustement et de scellement nécessaires pour que les ouvrages qui doivent être
raccordés ou liés à d'autres, le soient avec précision et sans jeu.
D. Lorsqu'un nouvel ouvrage doit être raccordé à un autre déjà en place, et que ce dernier est modifié,
exécuter les travaux de scellement et de remise en état nécessaires pour l'adapter à l'ouvrage déjà en
place.
E. Exécuter les percements de manière que les rives soient propres et lisses, et faire en sorte que les joints
de scellement soient le moins apparents possible.
A. Sauf indication contraire, dissimuler les tuyaux, conduits et câblage dans les murs et les plafonds des
aires finies.
B. Avant de fermer les murs, planchers et plafonds qui dissimuleraient des tuyaux, conduits et câblages,
obtenir l'approbation de l'Ingénieur afin de lui permettre d'effectuer ses inspections.
C. Advenant le cas où une partie de ces travaux est recouverte sans l'approbation ou le consentement de
l'Ingénieur, elle devra, si l'Ingénieur l'exige, être découverte aux fins d'examen et refaite aux frais de
l'Entrepreneur.
1.17 FINITION
A. Les surfaces des enveloppes métalliques doivent être finies en atelier et être revêtues d'un apprêt
antirouille, à l'intérieur et à l'extérieur, et d'au moins deux couches de peinture-émail de finition.
B. Les armoires des appareils de commutation et de distribution installées à l'intérieur doivent être peintes en
gris pâle selon la norme EEMAC 2Y-1.
PARTIE 2 - PRODUITS
PARTIE 3 - EXÉCUTION
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 4
3.01 INSTALLATION................................................................................................................................4
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières, ainsi que les Sections de spécification de la Division 01.
1.02 RÉFÉRENCES
B. Données techniques sur les produits : pour chaque type de produit indiqué.
PARTIE 2 - PRODUITS
A. Conducteurs torsadés s'ils sont de grosseur # 10 AWG et plus; grosseur minimale # 12 AWG;
E. Câbles munis d’une gaine extérieure anti corrosion en PVC recouvrant l’enveloppe métallique, du type «
FIRE RETARDENT » (FT-4) et approuvés pour local dangereux (hazardous location);
F. Respecter la classe d’isolation (600 V, 1 000 V, etc.) selon la puissance à délivrer. Pour la distribution et
les moteurs, l'isolation sera à 1 000 Volts minimum;
G. Les raccords pour câbles seront du type « Star Teck » de Thomas & Betts, avec presse-étoupe étanche,
manchon de mise à la terre, écrous, contre-écrou et bague d’étanchéité;
I. Attaches
1. Brides de fixation à un trou, en aluminium, pour câbles apparents de 50 mm (2") ou moins. Brides
de fixation à deux trous, en acier, pour câbles de plus de 50 mm (2");
2. Profilés en « U » pour groupes de deux ou de plusieurs câbles, placés à 915 mm (36") d’entraxe;
3. Tiges de suspension filetées de 5 mm (1/4") de diamètre pour profilés en « U ».
J. Connecteurs
1. Modèles étanches approuvés et convenant aux câbles TECK.
B. Isolant: oxyde de magnésium, formant une masse homogène compacte sur toute la longueur du câble;
C. Gaine de protection métallique : sans joint longitudinal, tube de cuivre étiré recuit, sans soudure, du type
MI, conçue pour une tension nominale de 600 V et une température de 250 °C;
D. Cote de résistance au feu : Le système de câblage entier doit avoir un degré de résistant au feu pendant
2 heures, homologué et listé par « Underwriters' Laboratories of Canada »
F. L’installateur doit avoir suivi une formation fait par le fabricant. Fournir les instructions d’installation du
fabricant : Indiquer les conditions d’application et les limites d’utilisation stipulées par l'organisme
d’évaluation du produit, spécifié en vertu des exigences réglementaires.
D. Gaine extérieure : en PVC, recouvrant la gaine métallique, pour câbles enfouis directement ou posés
dans des endroits humides;
PARTIE 3 - EXÉCUTION
3.01 INSTALLATION
A. Fils de bâtiment
1. Dans des conduits, conformément aux prescriptions de la Section 26 05 33.06 – Conduits, attaches
et raccords de conduits;
2. Dans des canalisations en saillie et des chemins de câbles d'appareils d'éclairage, conformément
aux prescriptions de la Section 26 05 33.16 - Canalisation en saillie (moulure passe-fils);
3. Dans des tranchées;
4. Dans des canalisations enfouies;
5. Dans du conduit pour tout le réseau électrique, endroits apparents.
D. Câbles armés
1. Les câbles armés sont permis uniquement pour les applications et dans les conditions suivantes :
a. Pour le raccordement final des appareils d’éclairage si la longueur de câble n’excède pas
1500 mm (5 pi.). Les raccordements d’un luminaire à un autre sont interdit.
b. Dans les entreplafonds et les cloisons sèches, entre les luminaires si la longueur de câble
entre deux luminaires ou entre la boîte de jonction et un luminaire n'excède pas 3 000 mm
(10 pi).
2. L’installation de câbles à l’horizontal dans les murs n’est pas acceptée;
3. Grouper les câbles partout où la chose est possible;
4. Poser les câbles selon les indications;
5. L'utilisation de câble armé AC-90 de manière apparente en surface est interdite;
6. Terminer l'extrémité des câbles conformément à la Section 26 05 33.03 - Connecteurs pour câbles
et boîtes ( 0 - 1 000 V).
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 2
3.01 INSTALLATION................................................................................................................................2
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières, ainsi que les Sections de spécification de la Division 01.
1.02 RÉFÉRENCES
B. Données techniques sur les produits : pour chaque type de produit indiqué.
PARTIE 2 - PRODUITS
B. Isolant : poudre de magnésie comprimée, formant une masse homogène compacte sur toute la longueur
du câble;
A. Câble du type LVT : constitué de conducteurs en cuivre recuit conçu pour 50 V et moins, de calibre
selon les indications, sous isolant thermoplastique, avec gaine extérieure en thermoplastique, conforme
à la norme ACNOR C22.2 # 35;
B. Câble de commande à faible demande, conçu pour 600 V et moins, constitué de conducteurs en cuivre
recuit toronné, de calibre selon les indications, sous isolant en PVC du type TW ou TW75.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
3.01 INSTALLATION
2. Poser les câbles dans des chemins de câbles conformément aux prescriptions de la
Section 26 05 36 - Chemin de câbles;
3. Terminer l’extrémité des câbles conformément aux prescriptions des connecteurs pour câbles et
boîtes 0-1 000 V.
B. Câbles de commande
1. Poser les câbles de commande dans des conduits;
2. Mettre à la terre à une extrémité seulement l'armure métallique des câbles de commande.
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 3
3.01 INSTALLATION................................................................................................................................3
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières, ainsi que les Sections de spécification de la Division 01.
1.02 RÉFÉRENCES
B. CSA Z32.1, Code for Prevention of Explosions or Electric Shock in Hospital Operating Rooms.
PARTIE 2 - PRODUITS
2.01 MATÉRIEL
A. Colliers de mise à la terre : grandeur appropriée, pour raccorder les conducteurs à une conduite d'eau
souterraine de bonne conductivité électrique.
B. Électrodes noyées dans le béton : conducteur de cuivre nu, toronné, étamé, recuit, de calibre selon les
indications et d'au moins 5 m (1/4") de longueur.
D. Plaques-électrodes : cuivre, d'une superficie de 0.2 m² (2 pi²) et d'au moins 1.6 mm (1/16") d'épaisseur.
G. Barres omnibus de mise à la terre : cuivre, dimensions selon les indications, avec supports isolants,
fixations et connecteurs.
6. Connecteurs serre-fils.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
3.01 INSTALLATION
A. Installer des systèmes complets, permanents et continus de mise à la terre, comprenant les électrodes,
conducteurs, connecteurs et accessoires nécessaires.
C. Protéger contre les dommages les conducteurs de mise à la terre posés à découvert.
E. Utiliser des connecteurs mécaniques pour faire les raccordements des appareils munis de bornes de
mise à la terre.
G. Poser un fil de liaison sur les conduits flexibles, fixé avec soin sur l'extérieur du conduit et connecté à
chaque bout à un embout de mise à la terre, une borne sans soudure, un serre-fil ou une vis avec
rondelle Belleville.
H. Poser des tresses de liaison flexibles aux joints des barres blindées, lorsque le liaisonnement n'est pas
assuré par le matériel lui-même.
I. Poser un conducteur de mise à la terre distinct pour chaque lampadaire d'éclairage extérieur.
J. Relier un bout de l'armure métallique des câbles monoconducteurs au coffret de la source d'alimentation
et poser une plaque d'entrée non-métallique à l'autre bout.
L. Électrodes
1. Faire les connexions de mise à la terre sur la conduite d'eau (enfouie et électriquement conductrice
sur toute sa longueur) du côté rue du compteur d'eau.
2. Poser un cavalier de déviation au compteur d'eau.
3. Poser des électrodes encastrées dans le béton des empattements de la fondation du bâtiment, et
raccorder les bornes au réseau de mise à la terre.
O. Systèmes de communication
1. Effectuer les connexions de mise à la terre des systèmes de téléphone, de sonorisation, d'alarme
incendie et d'intercommunication, comme suit :
a. Téléphone : réaliser la mise à la terre conformément aux exigences de la compagnie de
téléphone.
A. Remettre à l’Ingénieur une feuille des essais proposés pour valider le fonctionnement des systèmes.
B. Soumettre des éléments du système aux essais en présence de l’Ingénieur, afin d’assurer le bon
fonctionnement du système.
D. Vérifier la continuité et la résistance du réseau de mise à la terre selon des méthodes appropriées aux
conditions locales et approuvées par l'Ingénieur et les autorités locales compétentes.
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 2
3.01 INSTALLATION................................................................................................................................2
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières, ainsi que les Sections de spécification de la Division 01.
B. Données techniques sur les produits : pour chaque type de produit indiqué.
PARTIE 2 - PRODUITS
B. Produit(s) acceptable
1. SUPERSTRUT de Thomas & Betts, ou équivalent approuvé.
A. Sauf indication contraire aux plans, asseoir toute pièce d'équipement sur une dalle de propreté de 150
mm (6 po) de hauteur, à bouts biseautés et débordant d'au moins 150 mm (6 po) tout autour des
appareils pour faciliter leur nettoyage.
B. Les dalles de propreté doivent être conçues par l’Ingénieur en structure et coulées sous sa supervision.
Elles doivent être armées, ancrées solidement à la structure du bâtiment et conçues pour permettre
l’ancrage de l’équipement qu’elles supportent en tenant compte des charges dues aux séismes et au
vent.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
3.01 INSTALLATION
A. Assujettir l’équipement aux surfaces creuses ou pleines en maçonnerie, tuile ou plâtre, à l’aide
d’ancrages de plomb ou de douilles de nylon;
B. Assujettir l’équipement aux surfaces de béton coulé, à l’aide d'ancrages expansibles à encastrer;
C. Assujettir l’équipement aux murs creux de maçonnerie ou aux plafonds suspendus, à l’aide de boulons à
bascule;
D. Attacher l’équipement monté en surface, aux traverses en « T » inversé des plafonds suspendus à l’aide
d’agrafes à torsion. Avant d’installer l’équipement prescrit, s’assurer que les traverses en « T » sont
suffisamment soutenues pour en supporter le poids;
E. Équipement de support pour conduits ou câbles constitué d’agrafes, de boulons à ressort et de serre
câbles conçus comme accessoires aux supports fondamentaux profilés en « U »;
F. Fixation pour assujettir les câbles ou conduits apparents à la charpente ou aux éléments de construction
du bâtiment
1. Brides à un (1) trou en acier pour fixer en surface les conduits et câbles de 53 mm (2") de diamètre
ou moins;
2. Brides à deux (2) trous en acier pour fixer les conduits et câbles de plus de 53 mm (2") de
diamètre;
3. Brides de serrage pour fixer les conduits aux éléments apparents de charpente en acier.
H. Supports de montage en surface pour soutenir deux conduits ou plus sur les barres de profilés en « U »,
posés à 1 500 mm (60") d'entraxe;
I. Assurer un support convenable pour les canalisations et câbles posés verticalement jusqu'à
l’équipement lorsqu'il n'y a aucun soutien mural;
J. L’utilisation de fil de ligature ou de feuillard perforé pour supporter ou fixer les canalisations ou les
câbles est proscrite;
K. Ne pas utiliser les supports ni l’équipement installé pour d'autres corps de métier, comme support de
conduits ou de câbles, sauf sur permission de l’Ingénieur;
L. Installer les attaches et supports selon les besoins de chaque type d'équipement, de conduit et de câble
en suivant les recommandations du fabricant pour l’installation;
M. Aucun percement dans la structure ou soudure ne sera toléré pour fixer les supports des conduits,
coffrets et équipements. Utiliser seulement la quincaillerie et les accessoires pour profilés en « U »;
N. Recouvrir d'un produit de galvanisation toutes les surfaces égratignées, altérées ou coupées, des pièces
galvanisées.
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 3
3.01 INSTALLATION................................................................................................................................3
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières, ainsi que les Sections de spécification de la Division 01.
1.02 RÉFÉRENCES
B. Norme EEMAC 1Y-2, 1961, Connecteurs pour bornes de traversée et adaptateurs en aluminium
(intensité nominale 1 200 A).
B. Données techniques sur les produits : pour chaque type de produit indiqué.
PARTIE 2 - PRODUITS
2.01 MATÉRIAUX
A. Connecteurs à pression pour câbles, à éléments porteurs de courant en cuivre et de calibre approprié
aux conducteurs de cuivre;
B. Connecteurs d'épissage pour appareils d'éclairage, à éléments porteurs de courant, en cuivre, de calibre
approprié aux conducteurs de cuivre calibre # 10 AWG ou moins;
C. Connecteurs pour bornes de traversée, conformes à la norme EEMAC 1Y-2 et constitués des éléments
suivants :
1. Corps de connecteur et bride de serrage pour conducteur toronné de cuivre;
2. Bride de serrage pour conducteur toronné de cuivre;
3. Bride de serrage pour conducteur d’aluminium à âme d'acier (ACSR);
4. Boulons de brides de serrage;
5. Boulons pour conducteur de cuivre;
6. Calibre approprié aux conducteurs selon les indications.
D. Brides de serrage ou connecteurs pour câbles armés, câbles à isolant minéral, conduits flexibles, câbles
sous gaine non métallique, selon les applications.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
3.01 INSTALLATION
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 3
3.01 INSTALLATION................................................................................................................................3
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières, ainsi que les Sections de spécification de la Division 01.
B. Données techniques sur les produits : pour chaque type de produit indiqué.
PARTIE 2 - PRODUITS
2.01 CONDUITS
A. Conduits rigides en acier galvanisé, filetés selon la norme CSA C22.2 Nº 45;
B. Conduits recouverts d'un enduit époxydique: un enduit de zinc et un revêtement de finition à base de
résine époxydique, anticorrosif, à l'intérieur et à l'extérieur selon la norme CSA C22.2 Nº 45;
C. Tubes électriques métalliques EMT : munis de raccords selon la norme CSA C22.2 Nº 83;
D. Conduits souples en aluminium et conduits métalliques souples et étanches selon la norme CSA C22.2
Nº 56.
A. Brides de fixation à 1 trou, en acier, pour assujettir les conduits apparents dont le diamètre est égal ou
inférieur à 50 mm (2"). Brides à deux (2) trous, en acier, pour fixer les conduits dont le diamètre est
supérieur à 50 mm (2");
B. Étriers de poutres pour assujettir les conduits à des ouvrages en acier apparents;
A. Raccords: spécialement fabriqués pour les conduits prescrits. Enduit: le même que celui utilisé pour les
conduits;
B. Raccords en "L" préfabriqués à poser aux endroits où des coudes de 90° sont requis sur des conduits
de 25 mm (1") de diamètre et plus;
C. Raccords et accouplements étanches pour tubes électriques métalliques. Les joints à vis de blocage
sont interdits.
A. Raccords de dilatation résistant aux intempéries, pouvant supporter une dilatation linéaire de 100 mm
(4"), et assurant la continuité du réseau de mise à la terre;
B. Raccords de dilatation résistant aux intempéries et permettant la dilatation linéaire des conduits à
l'entrée des coffrets.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
3.01 INSTALLATION
A. Poser les conduits apparents de façon à ne pas diminuer la hauteur libre de la pièce, et en utilisant le
moins d'espace possible;
B. Dissimuler les conduits, sauf ceux qui sont posés dans des salles d'installations mécaniques et
électriques et dans les locaux non finis;
D. Utiliser des conduits à revêtement époxydique dans le cas d'installations situées en milieu corrosif;
F. Utiliser des conduits métalliques souples dans le cas de connexions d'appareils à incandescence,
encastrés et dépourvus d'une boîte de sortie préfilée, de connexions d'appareils à fluorescence, montés
en saillie ou encastrés, d'ouvrages ou d'éléments montés dans des cloisons métalliques amovibles;
G. Utiliser des conduits métalliques souples et étanches aux liquides dans le cas de connexions de
moteurs ou de matériel vibrant;
H. Utiliser des raccords souples antidéflagrants pour les connexions de moteurs antidéflagrants;
I. Poser des raccords de scellement sur les conduits installés dans des endroits dangereux. Les remplir de
mastic d'étanchéité;
J. Utiliser des conduits d'au moins 20 mm (3/4") de diamètre pour les circuits d'éclairage et d'alimentation;
K. Relier par des tubes électriques métalliques (EMT) le panneau de dérivation d'une salle d'ordinateurs
aux boîtes de sortie placées dans le vide de plancher;
L. Cintrer les conduits à froid. Remplacer les conduits qui ont subi une diminution de plus de 1/10 du
diamètre original suite à un écrasement ou à une déformation;
N. Le filetage des conduits rigides, exécuté sur le chantier, doit être d'une longueur suffisante pour
permettre de faire des joints serrés;
P. De chaque panneau installé d'affleurement, faire monter jusqu'au vide de plafond et descendre jusqu'au
vide de plancher, deux conduits de réserve de 25 mm (1") de diamètre. Les conduits doivent aboutir
dans des boîtes de jonction de 150 mm x 150 mm x 100 mm (6" x 6" x 4") logées dans le plafond; dans
le cas d'une dalle de béton apparente, ils doivent aboutir dans des boîtes montées en saillie sur la dalle;
Q. Enlever et remplacer la partie obstruée de tout conduit bouché. Il est interdit d'utiliser des liquides pour
déboucher les conduits;
S. Les conduits et câbles de puissance doivent être éloignés à 1 m (40") minimum des conduits et câbles
d'automatisation;
T. À moins d'indication contraire, aucun conduit ne doit être enfoui dans le béton.
B. Installer les conduits électriques en laissant un dégagement de 1.5 m (5') entre eux et les appareils de
chauffage;
C. Faire passer les conduits dans l'aile des éléments de charpente en acier, s'il y a lieu;
D. Aux endroits où c'est possible, grouper les conduits sur des profilés en « U » montés en surface;
E. À moins d'indications contraires, les conduits ne doivent pas traverser les éléments de charpente et
aucun support de conduits ne doit être soudé à la structure;
F. Placer les conduits parallèlement aux canalisations de vapeur ou d'eau chaude, en laissant un
dégagement latéral de 75 mm (3") au moins et un dégagement vertical de 25 mm (1") au moins, entre
les conduits et les conduites qui se croisent.
B. Il est interdit d'installer horizontalement des conduits dans des murs de maçonnerie;
C. Il est interdit de noyer des conduits dans des ouvrages en terrazzo et dans des chapes de béton.
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 4
3.01 INSTALLATION................................................................................................................................4
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières, ainsi que les Sections de spécification de la Division 01.
1.02 RÉFÉRENCES
B. Données techniques sur les produits : pour chaque type de produit indiqué.
PARTIE 2 - PRODUITS
B. Boîtes de sortie de 100 mm (4") ou plus de côté, selon les besoins, pour dispositifs particuliers;
C. Boîtes groupées lorsque plusieurs dispositifs de filerie sont installés au même endroit;
E. Boîtes combinées avec cloisons lorsque les circuits de plus d'un réseau y sont groupés;
A. Boîtes en acier galvanisé par électrolyse, pour montage de dispositifs simple ou multiple, en
affleurement, de dimensions minimales de 75 x 50 x 63 mm (3" x 2" x 2-1/2") ou selon les indications.
Boîtes de sortie de 100 mm (4") de côté lorsque plus d'un conduit entrent du même côté, avec cadres de
rallonge et cadres de plâtrage, selon les besoins;
B. Boîtes de dérivation en acier galvanisé par électrolyse pour raccordements à des tubes EMT montés en
saillie, dimension minimales 100 x 50 x 63 mm (4" x 2-1/8’’ x 21/2’’);
C. Boîtes de sortie carrées de 100 mm (4") de côté ou octogonales pour raccord d'appareils d'éclairage;
D. Boîtes de sortie carrées de 100 mm (4") de côté avec cadres de rallonge et cadres de plâtrage pour
dispositifs de filerie montés d'affleurement dans les murs à fini en plâtre ou carreaux de céramique;
A. Boîtes de sortie en acier galvanisé par électrolyse pour montage simple ou multiple en affleurement de
dispositifs de filerie encastrés dans les murs en maçonnerie de blocs apparents.
A. Boîtes de sortie, en acier galvanisé par électrolyse, pour montage en affleurement de dispositifs de
filerie encastrés dans le béton, avec cadres de rallonge et cadres de plâtrage assortis, selon les
besoins.
A. Boîtes de plancher en acier galvanisé par électrolyse, étanches au coulis de béton, avec collets de
finition réglables dotés d’une plaque de surface en aluminium brossé. Plaque de montage à barre de
fixation longue ou courte, apte à recevoir des prises de courant doubles. Boîtes d’une profondeur
minimale de 28 mm (1-1/8") pour les prises de courant et de 75 mm (3") pour les dispositifs de
communication.
B. Boîtes de plancher moulées, réglables, étanches à l’eau et au coulis de béton, avec ouvertures
taraudées pour conduits de 15 mm (1/2") et de 20 mm (3/4"). Profondeur minimale : 75 mm (3").
B. Pastilles à pression pour empêcher les débris de pénétrer dans les débouchures;
C. Raccords d'accès pour conduits jusqu'à 30 mm (1-1/4") de diamètre et boîtes de tirage pour conduits de
plus grandes dimensions;
PARTIE 3 - EXÉCUTION
3.01 INSTALLATION
A. Assujettir les boîtes de façon qu'elles soient supportées indépendamment des conduits qui y sont
raccordés;
B. Remplir les boîtes avec du papier, des éponges, de la mousse ou un autre matériau semblable afin
d'empêcher les débris d'y pénétrer au cours des travaux de construction. N’enlever ces obturations
qu’une fois les travaux terminés;
C. Dans le cas de boîtes de sortie posées d'affleurement avec le mur fini, utiliser des cadres de plâtrage
pour permettre de réaliser les bords du revêtement mural à 5 mm (1/4") ou moins de l'ouverture;
D. Les débouchures dans les boîtes doivent être de dimensions correspondantes à celles des raccords des
conduits, des câbles à isolant minéral et des câbles armés. Il est interdit d'utiliser des rondelles de
réduction.
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 3
3.01 INSTALLATION................................................................................................................................3
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières, ainsi que les Sections de spécification de la Division 01.
1.02 RÉFÉRENCES
B. Données techniques sur les produits : pour chaque type de produit indiqué.
PARTIE 2 - PRODUITS
A. Coffrets en feuille métallique, angles soudés, munis d'un couvercle à charnières, exemptes d’arêtes
vives, façonné et verrouillable en position fermée.
B. Les cosses du secteur et des dérivations doivent correspondre au calibre et au nombre de conducteurs
d'entrée et de sortie qui y sont raccordés, selon les indications.
C. Fournir au moins trois (3) bornes de réserve pour chaque série de cosses des boîtes de répartition ayant
une intensité nominale inférieure à 400 A.
A. Boîtes en acier, soudées, munies de couvercles plats vissés, exemptes d’arrêtes vives, pour montage
en saillie.
B. Couvercles ayant un rebord de 25 mm (1") au moins, adaptables aux boîtes de tirage et de jonction
montées d'affleurement.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
3.01 INSTALLATION
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 3
3.01 INSTALLATION................................................................................................................................3
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières, ainsi que les Sections de spécification de la Division 01.
1.02 RÉFÉRENCES
PARTIE 2 - PRODUITS
C. Chemins: en acier galvanisé, mesurant 450 mm de largeur ou selon les indications aux dessins sur 100
mm de profondeur.
E. Poser des séparateurs entre les circuits de tensions différentes placés dans un même chemin de câbles.
F. Chaque section de chemin de câble doit être reliée à la terre au moyen d'un conducteur en cuivre nu de
grosseur 2/0 AWG, connecté selon les exigences du Code de construction du Québec – Chapitre V,
Électricité.
G. Un matériau coupe-feu doit être posé aux traversées des murs coupe-feu.
2.02 SUPPORTS
PARTIE 3 - EXÉCUTION
3.01 INSTALLATION
C. Enlever les arêtes vives et les saillies afin d'éviter tout dommage aux câbles ou toute blessure aux
personnes.
B. Déposer les câbles dans les chemins de câbles; s'il faut tirer les câbles, utiliser des rouleaux.
C. Assujettir les câbles à l'aide d'attaches en nylon, à tous les 6 m dans les chemins de câbles.
PARTIE 3 - EXÉCUTION.......................................................................................................... 11
3.01 INSPECTION.................................................................................................................................11
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières, ainsi que les Sections de spécification de la Division 01.
1.02 SOMMAIRE
A. Cette Section est un devis de performance en ce qui concerne les éléments suivants :
1. Calculs, conception et vérification des dispositifs de retenue parasismiques pour l’ensemble des
travaux de la Division 26. Il est obligatoire de mandater un ingénieur à ces fins. Se référer à
l’article « Services d’un ingénieur ».
4. Effectuer des visites périodiques pour vérifier la qualité de la mise en œuvre. Se référer à l’article
« Contrôle de la qualité sur place » de la Partie 3.
5. Superviser les activités d’essais et inspections mentionnées à l’article « Contrôle de la qualité sur
place » de la Partie 3.
6. Produire et signer des attestations de conformité.
a. Se référer à l’article « Éléments à soumettre à l’achèvement des travaux ».
B. Qualifications
1. L’ingénieur, ci-après nommé « l’ingénieur qualifié », doit être un membre en règle de l’OIQ,
spécialisé et reconnu dans le domaine de la protection sismique des composants fonctionnels et
opérationnels des bâtiments. Il doit bien connaître les normes référencées dans cette Section et
les prescriptions de la Partie 4 du CCQ relatives au calcul des dispositifs de retenue
parasismiques.
2. Fournir, sur demande, le curriculum vitae de l’ingénieur qualifié.
1.05 RÉFÉRENCES
D. CCQ : Code de construction du Québec – Chapitre 1, Bâtiment, et Code national du bâtiment – Canada
2005 (modifié).
J. OSHPD: Office of Statewide Health Planning and Development for the State of California.
B. Bâtiments existants : installer des dispositifs parasismiques sur les nouveaux équipements comme s’il
s’agissait de bâtiments neufs.
b. Faire des annotations pour indiquer la fonction de chaque produit proposé et sa conformité au
devis.
3. Limiteurs de débattement toutes directions : indiquer les caractéristiques nominales pour les
charges horizontales, verticales et combinées.
C. Documents concernant la conception comme suit : pour les détails des dispositifs antivibratoires et de
retenue parasismique devant être conformes aux exigences de performance et critères de conception, y
compris les données d’analyse signées par l’ingénieur qualifié responsable de leur préparation.
1. Calculs de conception : calculer les charges statiques et dynamiques dues au poids et au
fonctionnement de l’équipement, les forces sismiques permettant le choix des isolateurs de
vibration, des dispositifs de retenue parasismiques.
2. Détails des dispositifs de retenue parasismiques :
a. Analyse de la conception : a pour but de corroborer le choix et l’agencement des dispositifs de
retenue parasismiques. Inclure les calculs des charges de traction et de cisaillement
combinées.
b. Détails : détails de fabrication et d’agencement. Donner les détails des fixations des
dispositifs de retenue aux composants retenus et à la structure. Montrer les emplacements
des points de fixation, leur espacement et les méthodes employées. Identifier les
composants, énumérer leur résistance et indiquer le sens et les valeurs des forces transmises
à la structure lors d’un tremblement de terre. Montrer l’association avec les dispositifs
antivibratoires.
c. Documentation d’évaluation et d’approbation préalable : par un membre d’un service
d’évaluation de l’ICC-ES, de l’OSHPD ou d’une agence agréée par les autorités de juridiction,
faisant apparaître les caractéristiques maximales de chaque dispositif de retenue et les
éléments sur lesquels repose l’approbation (essais ou calculs).
A. Certificats en soudage.
B. Données de qualification : pour l’ingénieur qualifié; se référer à l’article « Services d’un ingénieur ».
A. Soumettre tous les éléments exigés ci-dessous avant l’acceptation provisoire des travaux.
B. Fournir les fiches d'exploitation et d'entretien requises et les joindre au manuel mentionné à la
Section 01 78 00 – Éléments à soumettre à l’achèvement des travaux.
C. Rapports de vérification et d’essais de contrôle de la qualité sur place. Se référer à l’article « Contrôle
de la qualité sur place » de la Partie 3.
D. Certificats de conformité.
1. L’ingénieur qualifié doit produire et signer des certificats de conformité aux étapes suivantes :
a. À l’achèvement des travaux dissimulés ;
b. À l’achèvement de l’ensemble des travaux.
1) Le certificat doit attester :
A) Que la totalité des travaux de la Division 26 est conforme aux exigences du CCQ en
matière de protection contre les charges dues aux séismes.
B) Que tous les dispositifs de retenues parasismiques sont conformes aux exigences
de cette Section ainsi qu’aux dessins d’ateliers soumis et revues.
A. Se conformer aux exigences du CCQ et de FEMA-413 en matière de protection sismique, sauf dans le
cas où les exigences de la présente Section sont plus rigoureuses.
B. Soudage : déterminer les procédures et habiliter le personnel selon l’AWS D1.1/D1.1M, « Structural
Welding Code - Steel. »
C. Les dispositifs de retenue parasismiques doivent être soumis à des essais et analyses de charges
horizontales et verticales et doivent porter un numéro OPA d’approbation préalable de l’ancrage de
l’OSHPD, avoir l’approbation préalable de l’ICC-ES, ou une approbation préalable d’un autre organisme
agréé par les autorités de juridiction, faisant apparaître les caractéristiques maximales des dispositifs de
retenue parasismiques. Les caractéristiques reposant sur des essais indépendants sont préférables à
celles provenant de calculs. Dans le cas où l’on ne dispose pas de caractéristiques pré-approuvées, les
données basées sur des essais indépendants sont préférables. Les calculs (comprenant les calculs des
charges de traction et de cisaillement combinées) venant à l’appui des conceptions des dispositifs de
retenue parasismiques doivent être signés par l’ingénieur qualifié.
PARTIE 2 - PRODUITS
A. Fabricants : sous réserve de leur conformité au devis, les produits seront fournis par l’un des fabricants
suivants :
1. Ace Mountings Co., Inc.
2. Amber/Booth Company, Inc.
3. California Dynamics Corporation.
4. Isolation Technology, Inc.
5. Kinetics Noise Control.
6. Mason Industries.
B. Type CE-1 : Patins amortisseurs : disposés en couches simples ou multiples de rigidité suffisante pour
que la charge se répartisse uniformément sur la surface des patins, moulés avec une texture
antidérapante et munis de plaques d’assise en acier galvanisé, et découpés en usine afin de s’adapter
aux caractéristiques de l’équipement à supporter.
1. Matériaux résilients : Néoprène, caoutchouc ou fibre de verre comprimée étanche résistant à l’huile
et à l’eau.
C. Type IR-1 : Isolateurs à ressorts : isolateurs à ressorts ouverts autoporteurs, stables latéralement.
1. Diamètre extérieur des ressorts : ne doit pas être inférieur à 80 % de la hauteur du ressort
comprimé sous la charge nominale.
2. Course supplémentaire minimale : 50 % de la déflexion spécifiée sous la charge nominale.
3. Rigidité latérale : supérieure à 80 % de la rigidité verticale nominale.
4. Capacité de surcharge : doit pouvoir supporter 200 % de la charge nominale, complètement
comprimé, sans déformation ou défaillance.
5. Plaques d’assise : percées en usine pour boulonnage à la structure et collées à un patin
amortisseur en caoutchouc d’une épaisseur de (6 mm) (1/4po), fixé à la face inférieure de la plaque
d’assise. Les plaques d’assise devront limiter la charge sur le plancher à 3 447 kPa (500 psig).
6. Plaque supérieure et boulon de réglage : plaque supérieure filetée et munie d’un boulon de réglage
avec vis de blocage pour fixer l’équipement et le mettre à niveau.
D. Type IR-2 : Isolateurs à ressort parasismiques : isolateurs à ressort ouverts en acier, autoporteurs, avec
dispositifs de retenue parasismique ou butées de fin de course.
1. Boîtier : en acier avec butées de fin de course verticale élastiques destinées à empêcher
l’allongement du ressort en cas de retrait de la charge, plaque d’assise percée en usine collée à un
patin amortisseur en néoprène ou en caoutchouc d’une épaisseur de 6 mm (1/4 po), fixé à la face
A. Fabricants : sous réserve de leur conformité aux spécifications, les produits seront fournis par l’un des
fabricants suivants :
1. Amber/Booth Company, Inc.
2. California Dynamics Corporation.
3. Cooper B-Line, Inc.; a division of Cooper Industries.
4. Hilti, Inc.
5. Kinetics Noise Control.
6. Loos & Co.; Cableware Division.
7. Mason Industries.
8. TOLCO Incorporated; a brand of NIBCO INC.
9. Unistrut; Tyco International, Ltd.
B. Exigences générales pour les dispositifs de retenue : les résistances nominales, caractéristiques et
applications devront être telles que définies dans les rapports d’un membre d’un service d’évaluation de
l’ICC-ES, de l’OSHPD ou d’une agence agréée par les autorités de juridiction.
C. Types LD-1 et LD-2 : Limiteurs de débattement : fabriqués en usine à partir de profilés et tôles en acier
de construction soudé, boulons d’ancrage, et rondelles et douilles d’isolation résilientes remplaçables.
1. Les boulons d’ancrage pour fixation au béton seront qualifiés parasismiques, à pré-perçage, à
goujon en biseau ou à cône femelle.
2. Rondelles et douilles d’isolation résilientes : en néoprène résistant à l’huile et à l’eau.
3. Lame d’air maximale de 6 mm (1/4 po), et coussin élastique d’une épaisseur minimale de 6 mm
(1/4 po).
D. Type CV-1 : Contrevents à profilés en U : contrevents fabriqués en usine ou sur place, conformes à la
norme MFMA-4, composés de profilés en U à fentes en acier; les supports sont munis à une extrémité
d’accessoires de fixation à un composant de contreventement et, à l’autre extrémité, d’accessoires de
fixation à la structure du bâtiment ainsi que d’autres composants assortis; les supports sont protégés par
un revêtement résistant à la corrosion et ils doivent avoir la résistance à la tension, à la compression et
à la torsion spécifiées.
E. Type CR-1 : Câbles de retenue ASTM A 603 galvanisé à l’intérieur et ASTM A 492 acier inoxydable à
l’extérieur ou dans les environnements corrosifs - câbles d’acier avec raccords d’extrémité fait
d’ensembles en acier comprenant cosses, fixations, tourillon et boulons conçus pour service avec câbles
de retenue, et comportant au moins deux boulons de serrage pour l’accrochage du câble.
F. Type RT-1 : Raidisseur de tige de suspension : tuyau d’acier ou manchon de supportage en acier à
fentes avec fixations intérieures boulonnées à la tige de suspension; ou cornière de renforcement en
acier fixée à la tige de suspension.
G. Type DR-1 : Douilles pour boulons d’ancrage des équipements montés au sol : douilles en néoprène
pour supports rigides des équipements et assorties aux types et dimensions des boulons et goujons
d’ancrage.
H. Type DR-2 : Douilles pour ancrage des équipements montés au mur : éléments en néoprène et
manchons en acier prévus pour les supports rigides des équipements et assortis aux types et
dimensions des dispositifs de fixation utilisés.
J. Boulons d’ancrage mécaniques : du type à pré-perçage, à goujon en biseau ou à cône femelle, en acier
galvanisé pour utilisation à l’intérieur, et en acier inoxydable pour utilisation à l’extérieur. Choisir les
boulons d’ancrage ayant la résistance prescrite pour l’ancrage selon essais suivant la norme
ASTM E 488. Longueur minimale égale à huit fois le diamètre.
K. Boulons d’ancrage adhésifs : système d’ancrage à pré-perçage et à capsule contenant une résine
polyvinylique ou à base d’uréthane méthacrylate et un accélérateur, ou à adhésif polymérique ou en
mortier hybride injecté. Fournir les boulons d’ancrage et accessoires en acier galvanisé pour utilisation
à l’intérieur et en acier inoxydable pour utilisation à l’extérieur. Choisir les boulons d’ancrage ayant la
résistance prescrite pour l’ancrage selon essais suivant la norme ASTM E 488.
A. Finition : peinture standard du fabricant appliquée avant expédition aux équipements assemblés et
essayés en usine.
1. Revêtement en poudre sur les ressorts et les boîtiers.
2. Les accessoires devront être galvanisés. Les composants pour emploi à l’extérieur devront être
galvanisés à chaud.
3. Émail cuit ou revêtement en poudre pour les composants métalliques des isolateurs employés à
l’intérieur.
4. Code couleur ou autre repérage des isolateurs de vibrations et dispositifs parasismiques indiquant
la gamme de capacités.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
3.01 INSPECTION
A. Inspecter les zones et les équipements devant recevoir les isolateurs de vibration et dispositifs
parasismiques pour en vérifier la conformité aux exigences de tolérances d’installation et autres
conditions pouvant affecter le comportement des isolateurs et dispositifs.
B. Inspecter l’installation primaire des renforcements et des ancrages coulés sur place afin de vérifier les
emplacements réels avant installation.
C. Ne procéder à l’installation que lorsque les conditions non satisfaisantes ont été corrigées.
3.02 APPLICATIONS
A. Chemins de câbles ou câbles multiples : fixer les chemins de câbles et les câbles aux membrures
trapézoïdales à l’aide de colliers de serrage approuvés pour l’application par un membre d’un service
d’évaluation de l’ICC-ES, l’OSHPD ou une agence agréée par les autorités de juridiction.
B. Raidisseurs de tiges de suspension : installer des raidisseurs de tiges de suspension lorsqu’ils sont
nécessaires pour empêcher le flambage des tiges de suspension sous l’action des forces sismiques.
C. Résistance des supports et dispositifs de retenue parasismiques : lorsqu’il n’existe aucune indication,
choisir les tailles des composants de façon à ce que leur résistance soit suffisante pour supporter les
charges statiques et sismiques actuelles et futures dans les limites de charges spécifiées.
A. Se conformer aux exigences de la Division 07 pour l’installation des rails pour montage sur toiture, des
supports d’équipements et des éléments traversant le toit.
1. Se conformer aux exigences de FEMA-413; notamment pour les appareils installés dans les
plafonds suspendus : suivre les étapes 1 à 4 énoncées aux pages 149 et 150 dudit document.
D. Installer les câbles de façon à ce qu’ils ne fléchissent pas sur les angles de l’équipement voisin ou de la
structure du bâtiment.
E. Installer des dispositifs de retenue parasismiques en employant les méthodes approuvées par un
membre d’un service d’évaluation de l’ICC-ES, l’OSHPD ou une agence agréée par les autorités de
juridiction et en soumettant pour vérification les documents requis pour le composant. Se référer à
l’article « Éléments à soumettre pour action ».
F. Installer les douilles pour boulons d’ancrage des équipements montés au sol de façon à pouvoir installer
un matériau résilient entre le boulon d’ancrage et le trou de fixation dans la base en béton.
G. Installer les douilles pour boulons de fixation des équipements montés au mur de façon à pouvoir
installer un matériau résilient à l’endroit où l’équipement ou les profilés de montage de l’équipement sont
fixés au mur.
H. Fixation à la structure : si un type spécifique de fixation n’est pas indiqué, fixer le contreventement à la
structure aux ailes de poutres, aux membrures supérieures des fermes de poutres en treillis, ou aux
éléments de béton.
I. Ancrages à pré-perçage :
1. Les boulons d’ancrage du type à expansion ne sont pas autorisés pour les équipements non isolés
d’une puissance supérieure à 10 hp (7,46 kW).
2. Repérer la position de l’acier d’armature ou de tout élément encastré avant de procéder au perçage
des trous pour ancrages. Ne pas endommager l’acier d’armature ou les éléments encastrés lors du
carottage ou du perçage. Avertir l’Ingénieur en structure si l’on rencontre de l’acier d’armature ou
autres éléments encastrés lors du perçage. Localiser et éviter les armatures de précontrainte, les
conduits électriques et de télécommunications, ainsi que les conduites de gaz.
3. Ne pas percer de trous dans le béton ou la maçonnerie avant que le béton, le mortier ou le coulis
n’ait atteint sa pleine résistance de conception.
4. Ancrages à expansion : protéger le filetage contre l’endommagement lors de l’installation de
l’ancrage. Installer les ancrages à coquille renforcée en engageant complètement la coquille dans
l’élément de structure auquel l’ancrage doit être fixé.
5. Ancrages adhésifs : nettoyer les trous pour faire disparaître les matériaux inconsistants et la
poussière de perçage avant de mettre en place l’adhésif. Mettre l’adhésif dans les trous en
commençant par le fond et en remontant progressivement vers la surface de façon à empêcher la
formation de poches d’air dans l’adhésif.
6. Serrer les ancrages au couple recommandé par le fabricant, en se servant d’une clé
dynamométrique.
7. Installer les ancrages galvanisés à l’intérieur et ceux en acier inoxydable pour les applications
extérieures.
A. Installer des raccordements flexibles dans les tronçons de chemins de câbles, de câbles, de goulottes
guide-fils et de barres blindées aux endroits où elles traversent des joints sismiques, aux endroits où des
sections ou embranchements adjacents sont supportés par des éléments de structure différents, et
lorsque le dernier raccordement se trouve sur un équipement ancré à un élément de structure différent
de celui supportant les raccordements en amont de cet équipement.
B. Essais et inspections :
1. Effectuer les essais et inspections sous la supervision et en présence de l’ingénieur qualifié.
2. Fournir les preuves qu’un étalonnage de l’appareillage d’essai a été récemment effectué par un
organisme d’essais agréé par les autorités de juridiction.
3. Programmer les essais avec le Propriétaire, par l’intermédiaire de l’Ingénieur, avant de raccorder
un dispositif d’ancrage au composant qu’il retient (à moins que les essais après raccordement
n’aient été approuvés) et ce, après notification donnée au moins sept jours à l’avance.
4. Obtenir l’approbation de l’Ingénieur avant d’appliquer les charges d’essais à la structure. Prévoir
des membrures temporaires de répartition des charges.
5. Procéder aux essais sur au moins quatre ancrages et attaches de chaque type et taille installés et
ce, au choix de l’Ingénieur.
3.06 RÉGLAGES
A. Régler les isolateurs après que l’équipement isolé ait atteint son poids en ordre de marche.
B. Régler les butées de fin de course sur les isolateurs à ressort à retenue de façon à installer l’équipement
à sa hauteur normale d’exploitation. Après installation complète des matériels, régler les butées de fin
de course de façon à ce qu’elles ne viennent pas au contact en service normal.
D. Ajuster les dispositifs de retenue de façon à ce que les équipements puissent se déplacer librement en
mode de fonctionnement normal.
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 3
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les dessins et conditions générales du contrat, incluant les clauses
générales et les clauses particulières, ainsi que les Sections de spécification de la Division 01.
1.02 SOMMAIRE
1.03 RÉFÉRENCES
A. Exécution des travaux : selon la norme CAN/CGSB 24.3-92, à moins d’indication contraire.
B. Soumettre, pour revue, les échantillons et la liste des légendes avant de faire graver les inscriptions.
PARTIE 2 - PRODUITS
A. Plaques signalétiques en métal ou en stratifié, fixées mécaniquement aux pièces de matériel par le
fabricant.
C. Les renseignements ci-après, selon le cas, doivent être indiqués sur les plaques signalétiques.
1. Appareil : nom du fabricant, modèle, dimensions, numéro de série, puissance.
2. Moteur : tension, fréquence du courant d'alimentation, nombre de phases, puissance, type de
service, dimensions du bâti.
A. Couleurs :
1. Réseau « urgence » : lettrage blanc sur fond rouge.
2. Autres réseaux : lettrage blanc sur fond noir (sauf indication contraire dans le code pertinent).
C. Formats :
1. Selon les indications sur les figures 3 et 4 en annexe.
2. Maximum de 25 lettres ou chiffres par ligne.
D. Faire les inscriptions en français, en anglais ou dans les deux langues, selon les exigences du
Propriétaire.
E. Les plaques d’identification apposées sur les transformateurs doivent indiquer la puissance et les
tensions primaire et secondaire.
A. Les inscriptions servant à l'identification des systèmes et des éléments doivent être rédigées en français.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
A. Fournir les plaques d'homologation ULC et CSA requises par chacun des organismes respectifs.
A. N'entreprendre l'identification des réseaux et des appareils que lorsque les travaux prescrits de peinture
sont terminés.
A. Emplacement
1. Les plaques doivent identifier clairement les appareils et/ou les réseaux et elles doivent être posées
à des endroits où elles seront bien en vue et facilement lisibles à partir du plancher de travail.
B. Cales d'espacement
1. Sur les surfaces chaudes et/ou calorifugées, prévoir des cales d'espacement sous les plaques
d'identification.
C. Protection
1. Ne pas appliquer de peinture, de calorifuge ni aucun revêtement sur les plaques d'identification.
B. Lorsque le système d'identification existant ne prévoit pas l'identification des nouveaux ouvrages
installés, ceux-ci doivent être identifiés selon les prescriptions de cette Section.
A. Prévoir trois (3) types d'identification pour tous les panneaux. Dans tous les cas, identifier l'équipement
et sa localisation.
alimenté de
PD-S-C Troisième ligne : la provenance (source)
local xxx Quatrième ligne : le numéro de local
D. Troisième identification :
1. Panneau de distribution 600 V ou 120/208 Volts (PPD et PD)
a. Cette identification désigne l'appareil ou l'équipement contrôlé ainsi que sa localisation. En
général, cette identification est placée sur la face visible des appareils de protection.
b. Trois cas sont possibles dépendant du type de panneaux et des appareils.
1) Panneau de distribution (120/208V)
A) Cette identification est une plaque collée sur la surface libre du disjoncteur ou sur la
surface adjacente au disjoncteur dépendant de l'espace disponible. Cette
identification est constituée d'une simple lettre identifiant le nom du panneau
d’utilisation à 120/ 208 V.
B) Voir figure 1 et 2.
2) Panneau d'utilisation (120/208 volts)
A) Cette information ou identification est dactylographiée et la page est plastifiée puis
placée dans la pochette prévue à cet effet. Dans ce dernier cas, fournir une copie
additionnelle de cette liste au Propriétaire. Cette identification indique l'appareil et le
numéro de circuit ainsi que sa localisation.
B) Voir figure 1 et 2.
3) Panneaux d'urgence
A) Pour les panneaux d'alimentation, de distribution et d'utilisation de l'urgence,
exactement le même procédé d'identification est utilisé avec la différence suivante :
la lettre U précède l'identification externe des panneaux.
B) Exemples :
.1 PU-3-A, PPU-3-A
A. Tous les autres équipements électriques (interrupteurs, sectionneurs, démarreurs, etc.) doivent toujours
porter une identification avec deux éléments, soit le nom abrégé de l'équipement et la localisation de sa
source d'alimentation ou dans certains cas, l'équipement contrôlé et sa localisation.
B. Interrupteurs de sûreté :
1. Tous les interrupteurs de sureté et coupe-circuits sont identifiés par deux plaques lorsque ces
interrupteur et coupe-circuits ne sont pas dans la même pièce que l'équipement contrôlé ainsi que
sa source. Une première plaque porte le nom de l'équipement contrôlé ainsi que sa localisation.
Une deuxième plaque identifie sa source et le lieu de cette source.
2. Exemple : Un interrupteur « A » identifié INT-3-A porte deux plaques :
E. Conduits et boîtes
1. Tous les conduits et les boîtes des réseaux de distribution électrique et des services auxiliaires
doivent être identifiés par un code de couleurs consistant en une bande de peinture de 25,4 mm
(1") de largeur minimal autour des conduits et peint sur les boîtes de raccordement.
2. Cette bande de couleur doit apparaître sur tous les conduits installés dans les plafonds suspendus
et en surface ainsi qu'aux endroits où un conduit entre ou sort d'une dalle de béton, et à tous les
6 mètres (20') lorsqu'un conduit change de direction ou contourne ou traverse un obstacle, et doit
aussi apparaître à une distance inférieure à 305 mm (12") de toute boîte de tirage ou de boîte de
raccordement, même si celle-ci est à une distance inférieure à 6 mètres (20').
3. Pour les systèmes de contrôle (moteurs et systèmes mécaniques), identifier ceux-ci par une bande
de couleur blanche et d’une deuxième bande de couleur indiquant le type de contrôle par une des
couleurs déjà désignées.
4. Le code de couleur doit être le suivant :
Équipement Couleur
Système de distribution 120/208 volts AUCUNE
Alimentation à 600 volts MAUVE (RAL 4008)
Système audiovisuel BRUN (RAL 8004)
Système alarme-incendie ROUGE (RAL 3001)
Système d'alarmes diverses ORANGE (RAL 2003)
Système de communication JAUNE (RAL 1006)
Système de téléphone VERT (RAL 6029)
Équipement Couleur
Système contrôle à bas voltage (éclairage) ROSE (RAL 4003)
Système de contrôle (moteurs et systèmes mécaniques) BLANC
347 volts NOIR
F. Prises de courant
1. Chacune des prises de courant est identifiée à l'aide d'un ruban gommé noir de type "Dymo"
produisant des lettres blanches visibles sur lequel est inscrit une lettre et un chiffre sans trait
d'union. La lettre désigne le panneau d'utilisation qui alimente ce circuit et le chiffre désigne le
numéro du disjoncteur protégeant le circuit.
2. Trois possibilités
a. Circuit monophasé (120 volts)
b. Exemples :
1) A2 : signifie : circuit ou disjoncteur n° 2 alimenté du panneau A
2) G27 : signifie : circuit ou disjoncteur n° 27 alimenté du panneau G
3. Circuit biphasé (120/208 volts)
a. Exemples :
1) B12/14 : signifie : circuit ou disjoncteur 12/14 alimenté du panneau B
2) D19/21 : signifie : circuit ou disjoncteur 29/21 alimenté du panneau D
4. Circuit triphasé (120/208 ou 347/600 volts)
a. Exemples :
1) C8/10/12 signifie : le n° circuit 8/10/12 alimenté du panneau C
I. Luminaires d'urgence
1. Tous les luminaires fluorescents, incandescents et autres raccordés aux panneaux d'urgence
doivent être identifiés par un ruban adhésif de couleur rouge de 12,7 mm (1/2") par 12,7 mm (1/2")
placé sur le boîtier extérieur et facilement visible.
ces locaux avec l’identification générale de l’établissement selon les indications de l’Architecte ou
du Propriétaire.
3.08 ANNEXES
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 3
3.01 INSTALLATION................................................................................................................................3
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières, ainsi que les Sections de spécification de la Division 01.
B. Données techniques sur les produits : pour chaque type de produit indiqué.
A. Certification de qualification sismique du fabricant : Fournir une certification à l’effet que les appareils,
leurs composants et leurs accessoires résisteront aux forces sismiques définies à la Section 26 05 48 -
Systèmes et dispositifs antivibratoires et parasismiques pour systèmes électriques. Inclure ce qui suit :
1. Base de la certification de résistance aux séismes : Indiquer si la certification est basée sur des
essais ou des calculs.
a. Le terme « résistance » signifie que « l’appareil demeurera en place sans qu’aucune de ses
parties ne se dissocie de l’unité lorsque soumis aux forces sismiques spécifiées. »
b. Le terme « résistance » signifie que « l’appareil demeurera en place sans qu’aucune de ses
parties ne se dissocie de l’unité lorsque soumis aux forces sismiques spécifiées et que l’unité
sera pleinement fonctionnelle après l’événement sismique. »
2. Dessins d’encombrement dimensionnés de l’appareil : Identifier le centre de gravité, localiser et
décrire les dispositifs de montage et d’ancrage.
3. Description détaillée des dispositifs d’ancrage de l’appareil sur lesquels la certification est basée et
leurs exigences d’installation.
PARTIE 2 - PRODUITS
2.01 TRANSFORMATEURS
A. Tous les transformateurs prescrits doivent provenir d'un seul et même fabricant.
B. Du type ANN triphasé, d'une puissance en kVA indiquée aux plans avec une tension à l'entrée de 600 V
et à la sortie de 120/208 V, fréquence de 60 Hz. Bobinage primaire en triangle et bobinage secondaire
en Y.
H. Type K13.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
3.01 INSTALLATION
A. Installer les transformateurs à sec, de puissance jusqu’à 75kVA selon les indications.
B. Laisser, autour des transformateurs, un espace libre suffisant pour permettre la circulation d'air.
C. N'enlever les supports de protection utilisés pour l'expédition, qu'après l'installation du transformateur et
tout juste avant sa mise en service.
D. Desserrer les boulons des tampons isolants jusqu'à ce qu'il n'y ait plus aucun signe de compression.
E. Les transformateurs suspendus ou montés sur le plancher seront pourvus d’isolateurs de vibration pour
obtenir une déflexion minimale de 15 mm (½″). Les supports de type Spiro Vitro, modèle RDM (au
plancher) et HD (suspendu) sont des produits acceptés.
F. Installer en plancher sur une base de propreté de béton les transformateurs à sec de capacité
supérieure à 75 kVA au sol.
H. Effectuer les connexions au primaire et au secondaire selon les indications du schéma de filerie.
I. Si possible, mettre les transformateurs sous tension, immédiatement après l'achèvement des travaux
d'installation.
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 4
3.01 INSTALLATION................................................................................................................................4
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières, ainsi que les Sections de spécification de la Division 01.
1.02 RÉFÉRENCES
B. Données techniques sur les produits : pour chaque type de produit indiqué.
C. Dessins d’atelier : indiquer les caractéristiques électriques des panneaux, le type des disjoncteurs de
dérivation et leur nombre, le courant admissible et les dimensions du coffret.
A. Tous les disjoncteurs doivent être posés dans les panneaux avant l'expédition
B. Outre les exigences de l'ACNOR, la plaque signalétique du fabricant doit faire état de la cote de
résistance au courant de défaut du panneau et des disjoncteurs.
PARTIE 2 - PRODUITS
2.01 MATÉRIAUX
A. Tous les panneaux de distribution doivent provenir d’un seul et même fabricant.
A. Doter les panneaux de distribution et circuits de dérivation d'un dispositif séquentiel de phase des
barres, comportant les disjoncteurs à numéro impair à gauche et ceux à numéro pair à droite. Chaque
disjoncteur doit porter l'indication indélébile quant au numéro de circuits et du nombre de phase;
B. Tous les panneaux de distribution et de circuits de dérivation doivent être constitués de barres omnibus
et d'un nombre de circuits et de disjoncteurs de dérivation de calibres, selon les indications;
C. Tous les panneaux de distribution doivent être munis d'un système de verrouillage du même type;
fournir deux clés pour chaque panneau de distribution;
D. Sauf indication contraire, utiliser des barres omnibus en aluminium avec un neutre de même capacité;
E. Les barres omnibus des panneaux de distribution doivent convenir aux disjoncteurs boulonnés;
F. Lorsque indiqué, les panneaux à 250V max. seront pourvus d’un bornier distinct pour mise à la terre
isolée;
G. Lorsque indiqué, les panneaux à 250V max. seront pourvus d’une barre de neutre de double capacité;
H. Les garnitures et la porte, doivent être finies à l'émail gris cuit au four et les portes seront du modèle
« Door-in-door ».
2.03 PANNEAUX
A. Panneaux de circuits de dérivation avec barres omnibus d'une capacité requise, sous 120/208 V, 3
phases, à 4 fils pouvant résister aux courants de court-circuit de 10 kA symétriques nominal ou selon les
indications;
B. Panneaux de circuits de dérivation avec barres omnibus d'une capacité requise, sous 347/600 V, 3
phases, à 4 fils pouvant résister aux courants de court-circuit de 35 kA symétriques nominal ou selon les
indications.
D. Une nomenclature des circuits avec légende dactylographiée indiquant l’emplacement et la charge de
chacun doit être préparée.
B. Tous les disjoncteurs doivent supporter les courants de court-circuit indiqués sur les dessins ou 10 kA
symétriques (le plus élevé des deux).
A. Panneaux de circuits d'artères à 600 V, les disjoncteurs et les panneaux doivent supporter un courant
de court-circuit de 35 kA symétrique;
B. Les panneaux en aval doivent être : soit à pleine valeur nominale ou soit à valeur nominale de protection
intégrée de l'équipement avec dispositifs de protection en amont. Si le manufacturier utilise le deuxième
choix, il devra fournir une preuve des essais réalisés en laboratoire certifiant le bon fonctionnement du
système et indiquer sur l'équipement par une plaque signalétique le courant d'épreuve (kA eff. sym.) de
l'équipement, le dispositif de protection spécifique en amont, les dispositifs de dérivation admissibles, la
désignation du panneau et la tension.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
3.01 INSTALLATION
A. Installer les panneaux selon les indications et les monter solidement, d'aplomb, d'équerre et
d'alignement avec les surfaces contiguës
B. Monter les panneaux en saillie sur un contreplaqué de fixation. Dans la mesure du possible, grouper les
panneaux sur un contreplaqué de fixation commun
F. Lorsque des panneaux de distribution sont jumelés côte à côte, les coffrets doivent être soudés
ensembles et être de même dimension; les couvercles doivent être séparés; les portes de la même
grandeur et parfaitement alignées.
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 5
3.01 INSTALLATION................................................................................................................................5
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières, ainsi que les Sections de spécification de la Division 01.
1.02 RÉFÉRENCES
C. Prises de courant, fiches et autres dispositifs semblables conformes à la norme ACNOR C22.2 Nº 42.
B. Données techniques sur les produits : pour chaque type de produit indiqué.
PARTIE 2 - PRODUITS
A. Les prises de courant de grade l’hôpital doivent rencontrer l’ensemble des performances suivantes :
1. Face avant et corps arrière en nylon;
2. Contacts du vivant et du neutre à triple frottement;
3. Contacts en alliage;
4. Support arrière conçu de façon à offrir un renforcement de la face avant en quatre (4) points;
5. Vis de mise à la terre de couleur verte;
6. Possibilité de raccord pour fils de calibre # 14 à # 10 solides ou toronnés en cuivre;
7. Conçues pour branchement latéral et arrière.
8. Sections du haut et du bas sectionnables.
B. Prises de courant LEVITON 15A-125V selon la configuration ACNOR 5-15R, de couleur BLANC;
1. Dispositifs raccordés sur pouvoir d’urgence couleur ROUGE
a. Pour utilisation standard : série 8200 / grade hôpital
b. Style décorateur : série 16262-HG / grade hôpital
C. Dans une même installation, n’utiliser que des dispositifs d’un seul et même fabricant;
D. Produits acceptés :
1. Arrow Hart, Bryant, Leviton, Hubbell, Pass & Seymour, et Smith & Stone et Cooper.
2.02 INTERRUPTEURS
A. Les interrupteurs de grade industriel doivent rencontrer l’ensemble des performances suivantes :
1. Corps de l’interrupteur fait de thermoplastique résistant aux arcs électriques;
2. Bascule en thermoplastique incassable;
3. Contacts faits d’un alliage d’argent afin d’assurer une excellente continuité électrique.
B. Interrupteurs de 20A à 120 ou 347 V - Raccord à branchement latéral et arrière avec fils de calibre #14 à
#10. Les interrupteurs seront de couleur blanc.
D. Dans une même installation, n’utiliser que des interrupteurs fabriqués par un seul et même fabricant;
E. Produits acceptés :
1. Arrow Hart, Bryant, Leviton, Hubbell, Pass & Seymour et Smith & Stone et Cooper.
2.03 GRADATEURS
A. Les gradateurs 120V ou basse tension de grade spécification commerciale doivent rencontrer
l’ensemble des performances suivantes :
1. Curseur de réglage de l’intensité
B. Gradateurs incandescents :
1. Unidirectionnel 800 W, modèle 80800
2. À trois voies 800 W, modèle 80800-3
3. Unidirectionnel 1 000 W, modèle 81000
4. À trois voies 1 000 W, modèle 81000-3
5. Unidirectionnel 1 500 W, modèle 81500
6. À trois voies 1 500 W, modèle 81500-3
E. Produits acceptés :
1. Lutron, Hubbell, Pass & Seymour, Leviton
2) Plaque avec rebord excédant la face des dispositifs, et couvercle muni de garnitures pour
l’étanchéité. Couvercle à deux battants à ressorts pour prise de courant double autre que
style décorateur.
3. Plaques en tôle pour dispositifs montés dans des boîtes pour conduits du type FS ou FD, installées
en saillie;
4. Plaques pour interrupteurs 347V : matricées avec l’inscription « 347V »
5. Plaques pour prises avec mise à la terre isolée : identifiées avec la mention « ordinateur »,
« photocopieur », « imprimante » ou « télécopieur » selon le cas.
A. Prise de courant avec disjoncteur détecteur de fuite à la terre classe « A » (DDFT), 15A-125V, style
décorateur, avec boutons d’essai et de réarmement :
1. Grade hôpital, LEVITON SÉRIE 6598-HG
C. Prise de courant avec borne de mise à la terre isolée et surpresseur de courant transitoire (couleur
bleue) :
1. Style décorateur, LEVITON #5280-IGB
PARTIE 3 - EXÉCUTION
3.01 INSTALLATION
A. Utiliser les produits tels que spécifiés à la partie 2 de la présente section sauf, indications contraires aux
plans;
C. Installer les interrupteurs et prises de courant dans des boîtes jumelées lorsqu’il y a plus d’un dispositif
au même endroit;
D. Poser les dispositifs à la hauteur prescrite à la Section 26 05 00 – Exigences communes concernant les
travaux d’électricité ou selon les indications
1. Interrupteurs
a. Installer les interrupteurs unidirectionnels de sorte que la manette soit en position remontée
lorsque les contacts sont fermés (pos. « on »).
2. Prises de courant
a. Installer les prises de courant avec la prise de terre vers le haut.
b. Les prises de courant dotées d’un interrupteur seront installées verticalement avec ce dernier
vers le haut.
3. Plaques de recouvrement et couvercles étanches
a. Retirer la protection plastique recouvrant les plaques seulement une fois les travaux de
peinture et finition complétés.
b. N’utiliser en aucun cas des plaques de recouvrement pour boîtes encastrées sur les
dispositifs montés en saillie;
4. Désignation du matériel
a. Identifier chacune des plaques de prises de courant à l'aide d'un ruban thermographique de
type « P-Touch » d'une plaque signalétique de format 2, produisant des lettres blanches
visibles sur fond noire, sur lequel sont inscrits une lettre et un chiffre sans trait d'union. La
lettre désignera le panneau qui alimente ce circuit et le chiffre désignera le numéro du
disjoncteur correspondant.
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 3
3.01 INSTALLATION................................................................................................................................3
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières, ainsi que les Sections de spécification de la Division 01.
1.02 RÉFÉRENCES
PARTIE 2 - PRODUITS
A. Disjoncteurs sous boîtier moulé, boulonnés aux barres omnibus, du type à fermeture rapide et à rupture
brusque, à manoeuvre manuelle et automatique, avec compensation pour une température ambiante de
40 ºC
B. Disjoncteurs à déclencheur commun munis d'une seule manette à action monolithique sur les circuits
multipolaires
C. Disjoncteurs pourvus d'éléments magnétiques à déclenchement instantané, conçus pour agir seulement
lorsque la valeur du courant atteint la valeur du réglage. La valeur du réglage des disjoncteurs munis de
déclencheurs réglables peut varier entre 3 et 8 fois la valeur du courant nominal
A. Disjoncteurs automatiques, sous boîtier moulé, actionnés par des déclencheurs thermiques et
magnétiques produisant un déclenchement temps/intensité inversé et un déclenchement instantané
comme protection contre les courts-circuits.
des disjoncteurs. La coordination doit être établie de sorte que le disjoncteur coupe les courants de
défaut jusqu’à la valeur maximale de son pouvoir de coupure. Les fusibles peuvent être retirés
séparément et sont asservis au disjoncteur. Le déclenchement du disjoncteur intervient lorsqu’on retire
un fusible ou son couvercle, ou lorsqu’un fusible saute.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
3.01 INSTALLATION
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 3
3.01 INSTALLATION................................................................................................................................3
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières, ainsi que les Sections de spécification de la Division 01.
1.02 RÉFÉRENCES
A. Interrupteurs dans l’air, à commande manuelle, renfermés, pour emplacements sûrs et rupture brusque
à usage intensif conformes aux prescriptions de la norme ACNOR C22.2 Nº 4-M89.
B. Portes fusibles conformes aux prescriptions de la norme ACNOR C22.2 Nº. 39 M1987 (C1992).
B. Données techniques sur les produits : pour chaque type de produit indiqué.
A. Fournir trois (3) fusibles de rechange pour chaque type de fusibles utilisés.
PARTIE 2 - PRODUITS
2.01 INTERRUPTEURS
B. Fournir les interrupteurs à fusibles ou sans fusible du type industriel, sous coffret certifié ACNOR type 1
pour les endroits secs, type 3 pour usage extérieur, et type 4 pour endroits humides avec boîtier en acier
inoxydable.
D. Porte à enclenchement mécanique inviolable interdisant l’ouverture lorsque le levier est en position
« fermé ».
F. Les portes fusibles de chaque sectionneur doivent être appropriés, sans adaptateur, à la catégorie de
fusibles déterminés, selon les indications fournies.
H. À 120/240 V, simple phase, 3 fils, à 120/208 V; 3 phases, 4 fils et à 347/600 V; 3 phases, 4 fils; les
fusibles seront munis d’un neutre solide.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
3.01 INSTALLATION
A. Remettre à l’Ingénieur une feuille des essais proposés pour valider le fonctionnement des systèmes.
B. Soumettre des éléments du système aux essais en présence de l’Ingénieur, afin d’assurer le bon
fonctionnement du système.
3.03 VÉRIFICATION
C. Une fois la vérification terminée, faire parvenir à l’Ingénieur un certificat attestant que ce travail a été
effectué.
2.06 FINITION........................................................................................................................................4
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 4
3.01 INSTALLATION................................................................................................................................4
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières, ainsi que les Sections de spécification de la Division 01.
1.02 RÉFÉRENCES
B. EEMAC E14-1.
B. Données techniques sur les produits : pour chaque type de produit indiqué.
A. Fournir les fiches d'exploitation et d'entretien requises et les joindre au manuel mentionné à la
Section 01 78 00 – Éléments à soumettre à l’achèvement des travaux.
B. Joindre les fiches relatives à l’exploitation et à l’entretien de chaque type et modèle de démarreur.
PARTIE 2 - PRODUITS
2.01 MATÉRIAUX
A. Démarreurs manuels, monophasés ou triphasés de calibre, type, puissance nominale et type de boîtier
selon les indications, munis des éléments suivants :
1. Mécanisme de rupture brusque et de fermeture rapide
2. Un (1) ou trois (3) éléments chauffants de surcharge, à réarmement manuel, avec manette
indicatrice de déclenchement
3. Interrupteur à bascule avec lampe-témoin rouge
4. Dispositif de cadenassage en position hors service
A. Démarreurs magnétiques et combinés de calibre, type puissance nominale, sous coffret de type indiqué,
munis des éléments suivants :
1. Lampes-témoins VERTE de marche, ROUGE pour système à l'arrêt;
2. Contacteur tripolaire à action rapide par solénoïde;
3. Dispositif de protection contre les surcharges à réarmement manuel (effectué de l'extérieur du
boîtier) pour chaque phase du moteur;
4. Sélecteur trois (3) positions « MAN. / ARRÊT / AUTO » (contact momentané en position « MAN. »)
ou selon les indications aux plans, étanche à l’huile;
5. Bornes pour circuits d'alimentation et de commande;
6. Schéma de câblage et de connexion placé à un endroit bien visible à l'intérieur du boîtier;
7. Chaque fil et chaque borne marquée au moyen d'une désignation numérique permanente,
identique à celle indiquée sur le schéma de câblage, de manière à faciliter le raccordement des fils
d'arrivée à l'intérieur du démarreur;
8. Deux (2) contacts auxiliaires « NO » et deux (2) contacts « NF » en plus des contacts nécessaires
au fonctionnement;
9. relais thermistor compatible avec les sondes de températures spécifiées (pour moteur 10 HP et
plus).
B. Démarreurs combinés avec ou sans fusibles, actionnés par un levier placé à l'extérieur du boîtier et d'un
dispositif permettant :
1. D'installer trois (3) cadenas en position « Arrêt »;
2. De verrouiller indépendamment la porte du boîtier;
3. D'empêcher de mettre le démarreur en marche lorsque la porte du boîtier est ouverte.
A. Transformateur de commande, sec, monophasé avec tension primaire selon les indications et tension
secondaire de 120 V; muni d'un fusible au secondaire, monté en circuit avec le démarreur;
C. Sec, monophasé, avec tension primaire 600 V et tension secondaire de 120 V, muni d'un fusible
secondaire; monté en circuit avec le démarreur;
A. Tout moteur de puissance égale ou supérieure à 10 HP doit être muni d'un détecteur de phase et de
baisse de tension du type électronique;
B. Détecteur de simple phase pour systèmes triphasés, entièrement électronique, fonctionnant sur le
voltage et non sur le courant;
C. Produits acceptés :
1. Controlab Inc ou équivalent approuvé.
2.06 FINITION
PARTIE 3 - EXÉCUTION
3.01 INSTALLATION
A. Installer les démarreurs et faire les raccordements aux circuits d'alimentation et de commande selon les
indications;
B. S'assurer que les fusibles ou autres dispositifs de protection contre les surintensités sont de calibre
approprié.
A. Remettre à l’Ingénieur une feuille des essais proposés pour valider le fonctionnement des systèmes;
B. Soumettre des éléments du système aux essais en présence de l’Ingénieur, afin d’assurer le bon
fonctionnement du système;
3.03 VÉRIFICATION
A. L’Entrepreneur, doit faire une vérification complète de l’opération des nouveaux équipements tel que :
1. Actionner les interrupteurs et contacteurs pour s'assurer de leur bon fonctionnement;
2. Effectuer les séquences de démarrage et d'arrêt pour chaque contacteur et relais;
3. S'assurer que les commandes séquentielles, les inter-verrouillages de sécurité entre les
démarreurs connexes, le matériel et les dispositifs de commande fonctionnent selon les indications.
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 3
3.01 INSTALLATION................................................................................................................................3
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières, ainsi que les Sections de spécification de la Division 01.
1.02 RÉFÉRENCES
B. Données techniques sur les produits : pour chaque type de produit indiqué.
PARTIE 2 - PRODUITS
2.01 CONTACTEURS
B. Contacteurs maintenus électriquement commandés par des dispositifs pilotes selon les indications et
d'une puissance nominale correspondant au genre de charge commandée.
C. Contacteurs munis de deux (2) contacts auxiliaires normalement « ouverts » et de deux (2) contacts
auxiliaires normalement « fermés », sauf indications contraires.
D. Sauf indications contraires, monter les contacteurs dans des coffrets ACNOR du type 1.
E. Le couvercle des contacteurs doit être muni de l'accessoire suivant et des options montrées aux plans :
1. Sélecteur « manuel / arrêt / automatique ».
2. Lampe-témoin-rouge.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
3.01 INSTALLATION
A. Installer les contacteurs et les raccorder en ce qui concerne l’alimentation électrique. Sauf indication
contraire, les dispositifs de commande seront raccordés et câblés selon les termes de la Division 25.
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 8
3.01 INSTALLATION................................................................................................................................8
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les dessins et les dispositions générales du contrat, incluant les
Conditions générales et les Conditions supplémentaires, ainsi que les Sections de la Division 01.
1.02 SOMMAIRE
1.03 RÉFÉRENCE
A. Québec
1. CCQ5 : Code de construction du Québec, Chapitre V – Électricité ; Code canadien de l’électricité,
Première partie et modification du Québec ; 2010.
1.04 DÉFINITIONS
B. Données techniques sur les produits : pour chaque type de produit indiqué.
A. Certification de qualification du fabricant en matière sismique : soumettre un document certifiant que les
appareils, les accessoires et composants résisteront aux forces sismiques définies dans la Section
26 05 48 - Systèmes et dispositifs antivibratoires et parasismiques pour systèmes électriques. Inclure
les éléments suivants :
1. Base de certification : préciser si la certification de résistance est basée sur des essais en vraie
grandeur des composants assemblés ou sur des calculs.
a. Le terme « résister » signifie que « l’unité demeure en place sans qu’aucune de ses parties ne
s’en dissocie lorsqu’elle est soumise aux forces sismiques spécifiées et que l’unité doit être
entièrement opérationnelle après le tremblement de terre. »
2. Dessins d’encombrement dimensionnés de l’appareil : Identifier le centre de gravité, localiser et
décrire les dispositifs de montage et d’ancrage.
3. Description détaillée des dispositifs d’ancrage de l’appareil sur lesquels la certification est basée et
leurs exigences d’installation.
A. Fournir les fiches d'exploitation et d'entretien requises et les joindre au manuel mentionné à la
Section 01 78 00 – Éléments à soumettre à l’achèvement des travaux.
B. Matériel supplémentaire :
1. Fournir un jeu de fusibles complet.
1.08 GARANTIE
A. Une garantie de 24 mois à compter de la date de démarrage certifiée ; cette garantie assure le
remboursement des frais de pièces et de main-d’œuvre sur place.
PARTIE 2 - PRODUITS
A. Fabricants : sous réserve de leur conformité au devis, fournir les produits du fabricant suivant :
1. ABB.
4. Alimentation de 600 Volts ± 15%, 3 Phases, 60 Hertz et de 0 à 600 Volts, 3 Phases, 0.5 à 60 Hertz
à la sortie. Il est interdit d'utiliser un transformateur à l'entrée ou à la sortie du démarreur afin
d'adapter les voltages.
5. Fournir une protection contre les tensions transitoires à l'alimentation avec filtres R-L-C et circuits
de perturbation de lignes (Ride-Through de 0.5 seconde).
6. Fournir des fusibles d'entrée dont les caractéristiques sont proprement coordonnées avec les
circuits de protection électronique de l'EFV de façon à ce qu'ils ne brûlent pas lors de fautes
normales à la sortie de l'onduleur telles : surcharges, courts-circuits et fautes à la terre.
7. Fournir une protection contre une alimentation trop haute ou trop basse, une perte de phase ou des
phases débalancées.
8. Fournir une protection sans fusible contre les courts-circuits phase-phase et phase-terre à la sortie
de l'onduleur. Si une de ces fautes survient à la sortie de l'onduleur, le dispositif de protection se
déclenche automatiquement sans endommager aucune pièce électronique ni fusible.
a. Les contrôleurs utilisant des fusibles ou des transformateurs d'isolation pour réaliser cette
protection ne sont pas acceptables.
9. Fournir une protection électronique contre les surcharges instantanées.
10. Fournir une limite de courant ajustable entre 0 et 100% du courant nominal. Un système de
déclenchement sur courant élevé n'est pas acceptable. L'onduleur sera capable de fournir 100%
de son courant nominal pendant trente minutes.
11. Circuit anti-régénération protège l'onduleur des énergies excessives régénérées par des charges
motrices ou pendant la décélération de grandes inerties. Le couple de freinage est
automatiquement limité à une valeur sécuritaire inférieure à 10% du couple nominal.
12. L'onduleur doit avoir un facteur de service de 1.0 pour le courant de sortie et une capacité de
dissipation thermique de 110% du courant nominal à la sortie. Fournir une protection électronique
de surcharge à la sortie avec ajustements.
13. Une efficacité minimum de 95% à charge et vitesse maximale.
14. Un facteur de puissance minimum de 0,98 (déplacement) vu de la ligne à n'importe quelle vitesse.
15. Température ambiante maximum de 40° C.
16. Un maximum de 95% d'humidité non condensable.
17. Une altitude maximale de 1 000 m pour la puissance nominale.
18. Une vitesse minimale ajustable entre 0 et 70%.
19. Une vitesse maximale ajustable de 50 à 100%.
20. Vitesse à coup ajustable de 0 à 20%.
21. Vitesse préréglée ajustable de 0 à 100%.
22. Jusqu'à 15 vitesses préréglées avec accélération et décélération programmable, vitesse, temps,
direction et autres fonctions.
23. Une rampe d'accélération/décélération ajustable de 0,2 à 999 secondes (0 à 100% de la vitesse).
24. Fournir une protection contre une élévation de température excessive à l'intérieur du contrôleur.
En usine, mettre l'onduleur à l’essai dans une chambre à 40 °C pendant une période minimale de
quatre heures, et ce à pleine charge.
25. Fournir une protection I²t pour le moteur ainsi qu'une protection électronique qui déclenchera
l'onduleur lorsque le rotor du moteur bloque.
26. Fournir un circuit de redémarrage automatique après un déclenchement sur une faute de
l'onduleur. L'onduleur doit tenter de redémarrer un maximum de quatre fois avec 10 à 180
secondes d'intervalle entre chaque tentative.
27. Fournir l'option de redémarrage avec moteur en rotation avant ou arrière. Cette option permettra à
l'unité moteur/pompe qui a été arrêtée ou a déclenché sur un défaut mais qui est encore en
rotation, d'être redémarrée sans attendre l'arrêt de l'unité moteur/pompe. L'EFV devra redémarrer
le moteur à la vitesse à laquelle il tourne et l'accélérer à nouveau afin d'atteindre la vitesse de
consigne (non actif).
28. L'onduleur doit pouvoir opérer sans moteur raccordé à sa sortie afin de faire des essais et de
réaliser les ajustements de mise en marche.
29. L'onduleur doit pouvoir supporter l'ouverture en marche d'un interrupteur de moteur situé entre
l'onduleur et le moteur sans que ceci cause des dommages à l'onduleur.
30. Fournir un circuit de redémarrage après une perte d'alimentation (non actif).
31. Fournir trois points de rejet de fréquence afin d'empêcher la pompe d'opérer à une vitesse de
résonance. Pour chaque point, la fréquence centre et largeur de la bande seront ajustables.
C. Circuit automatique/manuel
1. Fournir un circuit automatique/manuel permettant d'accepter, comme référence de vitesse, un
signal isolé de 4-20 mA.
A. Fournir une station d'opérateur numérique française basée sur un microprocesseur et prémontée sur la
porte du contrôleur. Cette station permettra au personnel d'opération de régler et d'observer les
paramètres du contrôleur, d'observer la vitesse et la charge de sortie, ainsi que les états d'opération et
les conditions de défaut. Le tout, tel que la description suivante :
1. Toutes les informations seront affichées sur un panneau ACL alphanumérique de haute résolution.
les informations affichées doivent être présentées clairement en utilisant un format de mot complet.
L'utilisation de code n’est pas acceptable.
2. Pendant que l'onduleur est en opération, l'indicateur doit fournir les messages suivants au choix
(deux messages affichables en même temps) :
a. pourcentage (%) de vitesse ;
b. pourcentage (%) de charge (couple) ;
c. pourcentage de puissance (%) ;
d. tension de sortie.
3. Les messages additionnels doivent être disponibles :
5. Fournir une information pertinente sur les causes des pannes ou d'arrêt de l'onduleur afin d'aider
au dépannage. Chacun des défauts suivants devra être indiqué par une diode électroluminescente
visible sur la station d'opérateur monté sur la porte. Les messages suivants seront indiqués sur le
panneau LCD :
a. défaut de redémarrage (arrêt sur défaut après trois essais de redémarrage) ;
b. défaut d'alimentation (sur/sous voltage, perte et débalancement de phase) ;
c. verrouillage ;
d. surchauffe de l’onduleur ;
e. surcharge I²T ;
f. défaut lien CC ;
g. défaut du bloc d'alimentation pour la logique ;
h. surintensité à la sortie de l'onduleur avec indication de la Phase A, B ou C ;
i. défaut du circuit de commande pour les éléments de sortie avec indication de la Phase A, B,
ou C ;
j. moteur Bloqué ;
k. défaut de S/W (logiciel), communication clavier.
6. Permettre l'accès à partir du clavier à l'historique de défaut conservé en mémoire non volatile.
Cette mémoire doit être protégée de sorte que l’opérateur ne puisse pas l’effacer et elle conservera
les informations pertinentes sur les 30 derniers arrêts sur défaut. Pour chaque défaut, les
informations suivantes seront disponibles :
a. défaut qui a causé l'arrêt avec l'heure et la date ;
b. fréquence de sortie au point de déclenchement ;
c. tension de sortie au point de déclenchement ;
d. courant de sortie au point de déclenchement ;
e. indiquer si la commande était en accélération ou décélération ;
f. le sens de rotation.
7. Fournir sur le clavier de l’opérateur des touches individuelles pour les fonctions suivantes :
a. marche ;
b. arrêt ;
c. à coups (seulement disponible en mode arrêt) ;
d. mode manuel/auto (si la fonction est autorisée) ;
e. marche avant/arrière (si la fonction est autorisée) ;
f. accélération du moteur (mode manuel) ;
g. décélération du moteur (mode manuel) ;
h. entrée directe pour la consigne de vitesse désirée (mode manuel).
A. Si les sélections sur le panneau de l'opérateur sont en mode automatique, l'onduleur partira lorsque le
contact sec en provenance du SAIB sera fermé. La référence de vitesse sera alors le signal de 4-20 mA
(0-5 VCC ou 0-10 VCC) en provenance du SAIB.
B. Si la sélection sur le panneau de l'opérateur est en mode manuel, l'arrêt/départ ainsi que la consigne de
vitesse se fera par des touches directement sur le clavier.
C. Dans le cas d'une perte momentanée de l'alimentation, l'onduleur devra automatiquement redémarrer en
autant que la commande de marche en provenance du SAIB est maintenue (non actif).
D. Advenant le cas d'un déclenchement sur une faute de l'onduleur, ce dernier fera automatiquement
jusqu'à quatre tentatives de redémarrage. Si après ces tentatives, l'onduleur est toujours déclenché, le
circuit de redémarrage sera verrouillé en position déclenché (non actif).
A. Fournir un relais de type Siemens 3UN afin de brancher les thermistors du moteur avec préalarme et
déclenchement.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
3.01 INSTALLATION
A. Installer les démarreurs et faire les raccordements aux circuits d'alimentation selon les indications.
B. S'assurer que les fusibles et les dispositifs de protection à surintensité sont de calibre approprié.
C. Installer les armoires des EFV sur des supports faits de profilé d’acier.
A. Identifier les EFV selon les prescriptions de la Section 26 05 53 – Identification des systèmes
électriques.
3.03 ESSAIS
B. S'assurer que les commandes séquentielles, les verrouillages de sécurité entre les démarreurs
connexes, le matériel et les dispositifs de commande fonctionnent selon les indications.
A. Les HP dans ce bordereau sont donnés à titre indicatif, vérifier la fiche technique de l’équipement fourni
pour déterminer les HP définitifs.
B. Systèmes aérauliques
1. Unité de traitement d’air UTA-3.1
a. Ventilateur VA-1 : (30 HP)
b. Ventilateur VA-2 : (30 HP)
2. Ventilateurs d’évacuation
a. Ventilateur VE-3.1 : (15 HP)
b. Ventilateur VE-3.2 : (15 HP)
c. Ventilateur VE-3.3 : (15 HP)
C. Pompes
1. Réseau d’eau chaude de chauffage glycolée
a. P-01 : (30 HP)
b. P-02 : (30 HP)
2. Réseau de récupération d’énergie
a. P-03 : (7-1/2 HP)
3. Réseau d’eau refroidie
a. P-04 : (10 HP)
b. P-05 : (10 HP)
4. Réseau d’eau de chauffage
a. P-06 : (3 HP)
b. P-07 : (3 HP)
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 4
3.01 INSTALLATION................................................................................................................................4
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières, ainsi que les Sections de spécification de la Division 01.
1.02 RÉFÉRENCES
A. Fournir au Propriétaire, comme pièces de rechange, 5 % du nombre total de chaque type de lampes
installées (minimum : une lampe).
1.06 GARANTIE
A. Remplacer toutes les lampes à incandescence et aux halogénures de tungstène, qui auront grillé dans
les trois mois qui suivent la date d'acceptation provisoire.
B. Remplacer toutes les lampes fluorescentes et à décharge à haute intensité, grillées dans les douze mois
qui suivent la date d'acceptation provisoire.
C. Remplacer tous les appareils à DEL qui seront défectueux dans les trois mois qui suivent la date
d’acceptation provisoire.
PARTIE 2 - PRODUITS
A. Sauf indication contraire, boîtier et réflecteurs fabriqués d’acier laminé à froid de calibre 20, surfaces
métalliques du boîtier et du réflecteur recouvertes d'une couche d'émail cuit au four, à fini très uniforme,
exempte de piqûres de corrosion ou de défauts;
2.03 ACCESSOIRES
A. Appareils fournis complets avec tous les accessoires requis pour leur installation et leur bon
fonctionnement, tel que ballasts, cadres de plâtre, suspensions, garnitures d'étanchéité, lampes, etc.
Les douilles des lampes fluorescentes seront revêtues d'un placage à l'argent, afin d'assurer un contact
positif des lampes.
2.04 BALLASTS
B. Sauf indication contraire, ballasts du type électronique, ayant les caractéristiques suivantes :
1. Démarrage rapide ou instantané, selon indications;
2. Protection thermique contre les surcharges;
3. Distorsion harmonique de moins de 10 %;
4. Niveau sonore « A »;
5. Démarrage à partir de 10 °C lorsqu'ils sont installés dans une pièce chauffée.
D. Le niveau sonore des ballasts pour lampes fluorescentes doit être comme suit :
1. Niveau "A" pour lampe à allumage rapide;
2. Niveau "B" pour lampe à allumage rapide à basse température.
F. Les ballasts des lampes à haute pression doivent avoir un facteur de puissance minimum de 95 %, une
gamme de tension d'entrée de + 5 % de la tension nominale, une température minimale d'amorçage de
– 34 °C à 90 % de la tension nominale du secteur, 60 Hz, puissance constante en watts à enroulement
d'autotransformateur.
2.05 LAMPES
A. Le type de lampe est tel que décrit à la liste des appareils d'éclairage. Leur capacité ne doit pas
excéder les recommandations du fabricant de l'appareil;
B. Le tube fluorescent sera du type T8, 25 W, 2500 lumens 4 100°K, 38 000 heures (/12hr) avec un rendu
de couleur (CRI) de 85;
PARTIE 3 - EXÉCUTION
3.01 INSTALLATION
A. Installer toutes les lampes requises pour chaque appareil d'éclairage. Elles doivent toutes être en place
et en bon état à la date d'acceptation provisoire.
B. Hauteur de montage telle qu'indiquée aux dessins ou déterminée par l’Ingénieur sur le chantier.
C. Installer les luminaires seulement lorsque tous les travaux susceptibles de les endommager ou de les
salir seront terminés. L'Entrepreneur doit obtenir l'approbation de l’Ingénieur avant de procéder à
l'installation.
D. L'emplacement des luminaires est déterminé suivant les plans réfléchis des plafonds. Ne pas interpréter
les plans à l'échelle.
E. Dans les pièces de mécanique, réfrigération, ventilation, climatisation, sous-stations et autres endroits
où il y a de la tuyauterie au plafond ou des gaines de ventilation, installer les luminaires sur tiges de
longueur appropriée, de façon à ce que le faisceau lumineux ne soit pas obstrué. Aucun luminaire ne
doit être installé avant la mise en place de tous les appareils et de leur tuyauterie.
F. Les luminaires d'aluminium, en contact direct avec le béton, doivent être enduits de goudron aux points
de contacts. Ceux qui sont installés à l'extérieur doivent être en « aluminium anodisé » ou en « acier
inoxydable ».
G. Sur demande de l’Ingénieur, avant de commander les appareils d'éclairage, l'Entrepreneur doit fournir et
installer sur le chantier un échantillon de chaque appareil et obtenir l'approbation de l’Ingénieur.
H. Dans une rangée continue d'appareils fluorescents, tous les luminaires de la même rangée doivent être
du même type. Les boîtiers des luminaires fluorescents installés en rangés continues sont retenus les
uns aux autres par deux boulons 8-32 et des écrous.
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 3
3.01 INSTALLATION................................................................................................................................3
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières, ainsi que les Sections de spécification de la Division 01.
1.02 RÉFÉRENCES
B. Données techniques sur les produits : pour chaque type de produit indiqué.
1.04 GARANTIE
A. Garantie spéciale : Formule standard du fabricant dans laquelle il s’engage à réparer ou à remplacer, en
fournissant les pièces requises, les indicateurs de sortie éventuellement défectueux pendant la période
de garantie spécifiée.
1. Période de garantie pour les indicateurs de sortie : 10 ans.
PARTIE 2 - PRODUITS
A. Indicateurs de sortie électrifiés : conformes à la norme CSA C22.2 no 141 et à la norme CSA C860,
emballés conformément aux lignes directrices du Code canadien de bonnes pratiques d’emballage.
C. Lampes : Lampes multiples de modèle à diode électroluminescente, fonctionnant sous une tension de
347 V, d’une durée de vie utile de 75 000 heures.
D. Affichage : inscriptions sortie en lettres de 150 mm de hauteur x 19 mm de largeur, avec trait de ligne de
13 mm d’épaisseur, de couleur rouge sur le fond en aluminium.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
3.01 INSTALLATION
B. Raccorder les appareils indicateurs au circuit d’éclairage qui leur est destiné;
D. S’assurer que le disjoncteur du circuit des indicateurs de sortie est verrouillé en position « fermée »
(sous tension).
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières, ainsi que les Sections de spécification de la Division 01.
A. Les bornes, cosses et vis servant à la connexion des fils doivent convenir à des conducteurs en cuivre
ou en aluminium, selon le cas.
A. Une fois le matériel installé, les étiquettes des fabricants et de l’ACNOR doivent être bien visibles et
lisibles.
A. Au cours des travaux de construction, protéger le matériel exposé et sous tension, pour assurer la
sécurité du personnel, des biens et des lieux.
B. Enfermer et marquer les pièces sous tension par l'inscription « circuit sous tension 120 Volts » (ou la
tension appropriée), en français.
A. Emplacement
1. L'emplacement des équipements, conduits et appareils divers indiqués ou décrits sur les dessins,
doit être considéré comme approximatif.
2. Avant d'installer tout appareil, équipement, conduits et accessoires, vérifier l’emplacement exact
des équipements et s'assurer également que les installations existantes ne nuisent d'aucune façon.
3. Advenant qu’il y ait divergence entre les plans de différents professionnels (Architecte, Ingénieur)
concernant l’emplacement des équipements, demander par écrit aux professionnels concernés,
une confirmation quant la position définitive des équipements. Si l’Entrepreneur installe des
équipements avant d’obtenir l’interprétation des plans et devis par les professionnels, il devra, si
requis, relocaliser les équipements en fonction des directives des professionnels et en assumer les
frais.
4. Installer les appareils et les conduits de manière à limiter les encombrements et à conserver le plus
de surface utile possible, et ce, conformément aux recommandations du fabricant quant à la
sécurité, à l'accès et à l'entretien.
5. Assumer les coûts reliés aux déviations requises dans les conduits et accessoires, pour éviter toute
interférence entre les ouvrages des différents corps de métier.
6. À la demande de l'Ingénieur, soumettre les plans de masse indiquant la position proposée pour les
divers services et pièces d'équipement.
7. Informer l'Ingénieur de la proximité de la date d'installation et demander son approbation quant à
l'emplacement exact assigné.
a. En fonction des commentaires du Propriétaire sur le chantier, la position finale de
l’équipement pourrait être légèrement modifiée par rapport à celle indiquée sur les dessins.
Par contre, elle sera indiquée avant l’installation et aucun frais associé à de tels changements
de position ne pourra être facturé.
B. Installation
1. Sauf indications contraires, se conformer aux plus récentes instructions écrites du fabricant
concernant les matériaux et l’équipement à utiliser, et les méthodes d’installation.
a. Aviser l’Ingénieur, par écrit, de toutes divergences entre les plans et devis et les instructions
du fabricant. L’ingénieur déterminera alors quel document utiliser.
2. S’assurer que les planchers et les dalles recevant les équipements au sol sont à niveau.
3. Fournir les pièces de fixation et les accessoires en métal de même texture, couleur et fini que le
support auquel ils sont fixés. Utiliser des attaches, des ancrages et des cales à l’épreuve de la
corrosion pour assujettir les ouvrages extérieurs et intérieurs.
4. Tous les équipements montés sur une structure d’acier ou de béton par l’intermédiaire de ressort
antivibration, ou de poutre doivent être assujettis solidement aux éléments constitutifs du bâtiment
à l’aide de boulons d’ancrage ou de cordons de soudure afin de s’assurer que l’ensemble des
équipements ne peut glisser de ses points d’attache par vibration ou secousse du bâtiment ou à
proximité du bâtiment.
5. Aligner les rives des pièces d’équipement avec les murs du bâtiment, lorsque la chose est possible.
B. Il est interdit d'installer les sorties et les prises de courant dos à dos dans un mur; laisser un
dégagement horizontal minimal de 150 mm entre les boîtes.
C. L'emplacement des sorties peut être modifié sans frais additionnel ni crédit à condition que les
déplacements n'excèdent pas 3000 mm et que l'avis en ait été donné avant l'installation.
A. Sauf indication ou prescription contraire, la hauteur de montage du matériel est donnée à compter de la
surface du plancher fini jusqu'à l'axe de l'appareil.
B. Dans les cas où la hauteur de montage de l'appareil n'est pas indiquée, vérifier auprès de l’Ingénieur
avant de commencer l'installation.
C. Sauf indication contraire, installer les pièces d'équipement électrique à la hauteur indiquée ci-après :
1. Prises murales :
a. En général : 375 mm (15″)
b. Au-dessus de plinthes chauffantes continues : 200 mm (8″)
c. Au-dessus d'un comptoir ou d'un dosseret : 175 mm (7″)
d. Dans les locaux d'installations mécaniques : 1400 mm (55″)
2. Prises de téléphone et d'interphone : 375 mm (15″)
3. Prises murales hautes pour téléphone et interphone : 1200 mm (48″)
4. Haut-parleurs montés au mur : 2100 mm (82″)
5. Prises pour horloge : 2250 mm (88″)
6. Boutons de sonnette de porte : 1200 mm (48″)
7. Prise pour système d'amplification autonome : 375 mm (15″)
8. Sortie pour microphone : 375 mm (15″)
A. Fournir un certificat ou une lettre du fabricant attestant que toute l'installation de chaque réseau a été
faite à son entière satisfaction, selon ses prescriptions et en accord aux plans et devis.
C. Fournir les appareils, de mesure, les compteurs, l'équipement et le personnel requis pour l'exécution des
essais durant l'installation et à son achèvement.
A. Percements
1. Effectuer les percements requis par les travaux de cette Division et les coordonner conformément
aux prescriptions de la Section 01 31 00 - Gestion de projet et coordination.
2. Pour tous les travaux susceptibles d'altérer la structure, obtenir l'approbation écrite de l'Ingénieur
en structure.
3. Le percement des trous par marteau pneumatique ou électrique à action vibratoire ainsi que le
percement à la main et tout autre procédé par chocs mécaniques sont prohibés. Les trous doivent
être percés au moyen d’une foreuse rotative à eau ou tout autre appareil accepté par l’Ingénieur en
structure.
4. Repérer la position de l’acier d’armature ou de tout élément encastré avant de procéder au
perçage. Ne pas endommager l’acier d’armature ou les éléments encastrés lors du carottage ou
du perçage. Avertir l’Ingénieur en structure si l’on rencontre de l’acier d’armature ou autres
éléments encastrés lors du perçage. Localiser et éviter les armatures de précontrainte, les conduits
électriques et de télécommunications, ainsi que les conduites de gaz.
5. Ne pas percer de trous dans le béton ou la maçonnerie avant que le béton, le mortier ou le coulis
n’ait atteint sa pleine résistance de conception.
B. Manchons
1. Les manchons doivent avoir un minimum de 25 mm (1 po) de plus que les éléments passant au
travers, isolation incluse s'il y a lieu. En conséquence, l'espace libre entre ces éléments et le
contour du manchon devra être calfeutré. Pour les manchons traversant le béton, utiliser du tuyau
en acier de série 40, de diamètre permettant le passage du conduit et dépassant de chaque côté le
béton de 50 mm (2 po) lorsque le manchon traverse un plancher; 25 mm (1 po) au travers un mur.
2. Les manchons sont requis dans les cas suivants :
a. Lors de la mise en place d’un nouveau plancher de béton dans lequel passera de la
tuyauterie.
b. Dans le percement d’un mur de maçonnerie, d’une cloison sèche coupe-feu ou d’un plancher.
3. Les manchons ne sont pas requis dans les cas suivants :
a. Percement d’un mur de béton pour le passage de nouvelles tuyauteries.
b. Percement des planchers d’une cage d’escalier pour l’installation de tuyauterie de drainage et
gicleurs.
c. Dans une cloison sèche non coupe-feu.
C. Ouvertures préfabriquées
1. Les ouvertures à effectuer dans les éléments structuraux et architecturaux préfabriqués seront
faites à l'usine.
A. En conformité avec le Code national du bâtiment du Canada, à tous les endroits où des tuyaux ou des
conduits traversent un mur coupe-feu, un plancher ou toute autre barrière coupe-feu, fournir et installer
un système de scellement pare-feu et fumée. L'espace libre entre les canalisations et les ouvertures
sera calfeutré selon les méthodes approuvées par les ULC ou Warnoc Hersey.
B. Les produits utilisés pour assemblage seront à base de latex et ne devront contenir aucune silicone, ni
solvant, ni agent halogène.
E. Lorsque des manchons sont prévus pour le passage de câbles ou canalisations futures, ceux-ci doivent
avoir un diamètre minimal de 25 mm de plus que le diamètre du câble ou de la canalisation future.
Bourrer les manchons inutilisés de laine minérale et les calfeutrer pour les rendre étanches à l'air avec
un scellant ignifuge.
B. Réaliser des joints hermétiques entre les ouvrages et les tuyaux, manchons, canalisations et conduits.
C. Exécuter les travaux d'ajustement et de scellement nécessaires pour que les ouvrages qui doivent être
raccordés ou liés à d'autres, le soient avec précision et sans jeu.
D. Lorsqu'un nouvel ouvrage doit être raccordé à un autre déjà en place, et que ce dernier est modifié,
exécuter les travaux de scellement et de remise en état nécessaires pour l'adapter à l'ouvrage déjà en
place.
E. Exécuter les percements de manière que les rives soient propres et lisses, et faire en sorte que les joints
de scellement soient le moins apparents possible.
A. Sauf indication contraire, dissimuler les tuyaux, conduits et câblage dans les murs et les plafonds des
aires finies.
B. Avant de fermer les murs, planchers et plafonds qui dissimuleraient des tuyaux, conduits et câblages,
obtenir l'approbation de l'Ingénieur afin de lui permettre d'effectuer ses inspections.
C. Advenant le cas où une partie de ces travaux est recouverte sans l'approbation ou le consentement de
l'Ingénieur, elle devra, si l'Ingénieur l'exige, être découverte aux fins d'examen et refaite aux frais de
l'Entrepreneur.
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 2
3.01 INSTALLATION................................................................................................................................2
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières, ainsi que les Sections de spécification de la Division 01.
A. Réseau de canalisations vides y compris les boîtes de sortie et les couvercles, les armoires, les
conduits, les boîtes de dérivation, les manchons, les capuchons et les cordes de tirage;
C. Le câblage de télécommunication sera installé par le présent entrepreneur selon les exigences de la
Section 27 10 05 - Câblage structuré pour réseaux de télécommunication.
PARTIE 2 - PRODUITS
2.01 MATÉRIAUX
A. Conduits;
PARTIE 3 - EXÉCUTION
3.01 INSTALLATION
A. Installer le réseau de canalisations vides et tout le matériel ci-après, nécessaires pour réaliser un réseau
complet : réseau de distribution, armoires de connexion, boîtes de sortie, boîtes de tirage, couvercles,
conduits, manchons, accessoires divers et matériel de positionnement.
PARTIE 3 - EXÉCUTION.......................................................................................................... 11
3.01 INSPECTION.................................................................................................................................11
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières, ainsi que les Sections de spécification de la Division 01.
1.02 SOMMAIRE
A. Cette Section est un devis de performance en ce qui concerne les éléments suivants :
1. Calculs, conception et vérification des dispositifs de retenue parasismiques pour l’ensemble des
travaux de la Division 27. Il est obligatoire de mandater un ingénieur à ces fins. Se référer à
l’article « Services d’un ingénieur ».
4. Effectuer des visites périodiques pour vérifier la qualité de la mise en œuvre. Se référer à l’article
« Contrôle de la qualité sur place » de la Partie 3.
5. Superviser les activités d’essais et inspections mentionnées à l’article « Contrôle de la qualité sur
place » de la Partie 3.
6. Produire et signer des attestations de conformité.
a. Se référer à l’article « Éléments à soumettre à l’achèvement des travaux ».
B. Qualifications
1. L’ingénieur, ci-après nommé « l’ingénieur qualifié », doit être un membre en règle de l’OIQ,
spécialisé et reconnu dans le domaine de la protection sismique des composants fonctionnels et
opérationnels des bâtiments. Il doit bien connaître les normes référencées dans cette Section et
les prescriptions de la Partie 4 du CCQ relatives au calcul des dispositifs de retenue
parasismiques.
2. Fournir, sur demande, le curriculum vitae de l’ingénieur qualifié.
1.05 RÉFÉRENCES
D. CCQ : Code de construction du Québec – Chapitre 1, Bâtiment, et Code national du bâtiment – Canada
2005 (modifié).
I. OSHPD: Office of Statewide Health Planning and Development for the State of California.
B. Bâtiments existants : installer des dispositifs parasismiques sur les nouveaux équipements comme s’il
s’agissait de bâtiments neufs.
3. Limiteurs de débattement toutes directions : indiquer les caractéristiques nominales pour les
charges horizontales, verticales et combinées.
C. Documents concernant la conception comme suit : pour les détails des dispositifs antivibratoires et de
retenue parasismique devant être conformes aux exigences de performance et critères de conception, y
compris les données d’analyse signées par l’ingénieur qualifié responsable de leur préparation.
1. Calculs de conception : calculer les charges statiques et dynamiques dues au poids et au
fonctionnement de l’équipement, les forces sismiques permettant le choix des isolateurs de
vibration, des dispositifs de retenue parasismiques.
2. Détails des dispositifs de retenue parasismiques :
a. Analyse de la conception : a pour but de corroborer le choix et l’agencement des dispositifs de
retenue parasismiques. Inclure les calculs des charges de traction et de cisaillement
combinées.
b. Détails : détails de fabrication et d’agencement. Donner les détails des fixations des dispositifs
de retenue aux composants retenus et à la structure. Montrer les emplacements des points de
fixation, leur espacement et les méthodes employées. Identifier les composants, énumérer
leur résistance et indiquer le sens et les valeurs des forces transmises à la structure lors d’un
tremblement de terre. Montrer l’association avec les dispositifs antivibratoires.
c. Documentation d’évaluation et d’approbation préalable : par un membre d’un service
d’évaluation de l’ICC-ES, de l’OSHPD ou d’une agence agréée par les autorités de juridiction,
faisant apparaître les caractéristiques maximales de chaque dispositif de retenue et les
éléments sur lesquels repose l’approbation (essais ou calculs).
B. Certificats en soudage.
C. Données de qualification : pour l’ingénieur qualifié; se référer à l’article « Services d’un ingénieur ».
A. Les documents/éléments doivent être soumis avant l’acceptation provisoire des travaux.
B. Fournir les fiches d'exploitation et d'entretien requises et les joindre au manuel mentionné à la Section
27 05 00 Prescriptions générales.
C. Rapports de vérification et d’essais de contrôle de la qualité sur place. Se référer à l’article « Contrôle
de la qualité sur place » de la Partie 3.
D. Certificats de conformité.
1. L’ingénieur qualifié doit produire et signer des certificats de conformité aux étapes suivantes :
a. À l’achèvement des travaux dissimulés ;
b. À l’achèvement de l’ensemble des travaux.
1) Le certificat doit attester :
A) Que la totalité des travaux de la Division 27 est conforme aux exigences du CCQ en
matière de protection contre les charges dues aux séismes.
B) Que tous les dispositifs de retenues parasismiques sont conformes aux exigences
de cette Section ainsi qu’aux dessins d’ateliers soumis et revues.
A. Se conformer aux exigences du CCQ en matière de protection sismique, sauf dans le cas où les
exigences de la présente Section sont plus rigoureuses.
B. Soudage : déterminer les procédures et habiliter le personnel selon l’AWS D1.1/D1.1M, « Structural
Welding Code - Steel. »
C. Les dispositifs de retenue parasismiques doivent être soumis à des essais et analyses de charges
horizontales et verticales et doivent porter un numéro OPA d’approbation préalable de l’ancrage de
l’OSHPD, avoir l’approbation préalable de l’ICC-ES, ou une approbation préalable d’un autre organisme
agréé par les autorités de juridiction, faisant apparaître les caractéristiques maximales des dispositifs de
retenue parasismiques. Les caractéristiques reposant sur des essais indépendants sont préférables à
celles provenant de calculs. Dans le cas où l’on ne dispose pas de caractéristiques pré-approuvées, les
données basées sur des essais indépendants sont préférables. Les calculs (comprenant les calculs des
charges de traction et de cisaillement combinées) venant à l’appui des conceptions des dispositifs de
retenue parasismiques doivent être signés par l’ingénieur qualifié.
D. Se conformer aux exigences de CSA C22.10-07, « Code canadien de l’électricité, Première partie et
modifications du Québec ».
PARTIE 2 - PRODUITS
A. Fabricants : sous réserve de leur conformité au devis, les produits seront fournis par l’un des fabricants
suivants :
1. Ace Mountings Co., Inc.
2. Amber/Booth Company, Inc.
3. California Dynamics Corporation.
4. Isolation Technology, Inc.
5. Kinetics Noise Control.
6. Mason Industries.
7. Vibration Eliminator Co., Inc.
8. Vibration Isolation.
9. Vibration Mountings & Controls, Inc.
B. Type CE-1 : Patins amortisseurs : disposés en couches simples ou multiples de rigidité suffisante pour
que la charge se répartisse uniformément sur la surface des patins, moulés avec une texture
antidérapante et munis de plaques d’assise en acier galvanisé, et découpés en usine afin de s’adapter
aux caractéristiques de l’équipement à supporter.
1. Matériaux résilients : Néoprène, caoutchouc ou fibre de verre comprimée étanche résistant à l’huile
et à l’eau.
C. Type IR-1 : Isolateurs à ressorts : isolateurs à ressorts ouverts autoporteurs, stables latéralement.
1. Diamètre extérieur des ressorts : ne doit pas être inférieur à 80 % de la hauteur du ressort
comprimé sous la charge nominale.
2. Course supplémentaire minimale : 50 % de la déflexion spécifiée sous la charge nominale.
3. Rigidité latérale : supérieure à 80 % de la rigidité verticale nominale.
4. Capacité de surcharge : doit pouvoir supporter 200 % de la charge nominale, complètement
comprimé, sans déformation ou défaillance.
5. Plaques d’assise : percées en usine pour boulonnage à la structure et collées à un patin
amortisseur en caoutchouc d’une épaisseur de (6 mm) (1/4po), fixé à la face inférieure de la plaque
d’assise. Les plaques d’assise devront limiter la charge sur le plancher à 3 447 kPa (500 psig).
6. Plaque supérieure et boulon de réglage : plaque supérieure filetée et munie d’un boulon de réglage
avec vis de blocage pour fixer l’équipement et le mettre à niveau.
D. Type IR-2 : Isolateurs à ressort parasismiques : isolateurs à ressort ouverts en acier, autoporteurs, avec
dispositifs de retenue parasismique ou butées de fin de course.
1. Boîtier : en acier avec butées de fin de course verticale élastiques destinées à empêcher
l’allongement du ressort en cas de retrait de la charge, plaque d’assise percée en usine collée à un
patin amortisseur en néoprène ou en caoutchouc d’une épaisseur de 6 mm (1/4 po), fixé à la face
inférieure de la plaque d’assise; et avec dispositifs ajustables de montage de l’équipement et
boulon de mise à niveau servant de blocage pendant l’installation.
2. Dispositif de retenue : dispositif parasismique ou butée de fin de course tel qu’exigé pour
l’équipement et par les autorités de juridiction.
3. Diamètre extérieur des ressorts : ne doit pas être inférieur à 80 % de la hauteur du ressort
comprimé sous la charge nominale.
4. Course supplémentaire minimale : 50 % de la déflexion spécifiée sous la charge nominale.
5. Rigidité latérale : supérieure à 80 % de la rigidité verticale nominale.
6. Capacité de surcharge : doit pouvoir supporter 200 % de la charge nominale, complètement
comprimé, sans déformation ou défaillance.
A. Fabricants : sous réserve de leur conformité aux spécifications, les produits seront fournis par l’un des
fabricants suivants :
1. Amber/Booth Company, Inc.
2. California Dynamics Corporation.
3. Cooper B-Line, Inc.; a division of Cooper Industries.
4. Hilti, Inc.
5. Kinetics Noise Control.
6. Loos & Co.; Cableware Division.
7. Mason Industries.
8. TOLCO Incorporated; a brand of NIBCO INC.
9. Unistrut; Tyco International, Ltd.
B. Exigences générales pour les dispositifs de retenue : les résistances nominales, caractéristiques et
applications devront être telles que définies dans les rapports d’un membre d’un service d’évaluation de
l’ICC-ES, de l’OSHPD ou d’une agence agréée par les autorités de juridiction.
C. Types LD-1 et LD-2 : Limiteurs de débattement : fabriqués en usine à partir de profilés et tôles en acier
de construction soudé, boulons d’ancrage, et rondelles et douilles d’isolation résilientes remplaçables.
1. Les boulons d’ancrage pour fixation au béton seront qualifiés parasismiques, à pré-perçage, à
goujon en biseau ou à cône femelle.
2. Rondelles et douilles d’isolation résilientes : en néoprène résistant à l’huile et à l’eau.
3. Lame d’air maximale de 6 mm (1/4 po), et coussin élastique d’une épaisseur minimale de 6 mm
(1/4 po).
D. Type CV-1 : Contrevents à profilés en U : contrevents fabriqués en usine ou sur place, conformes à la
norme MFMA-4, composés de profilés en U à fentes en acier; les supports sont munis à une extrémité
d’accessoires de fixation à un composant de contreventement et, à l’autre extrémité, d’accessoires de
fixation à la structure du bâtiment ainsi que d’autres composants assortis; les supports sont protégés par
un revêtement résistant à la corrosion et ils doivent avoir la résistance à la tension, à la compression et
à la torsion spécifiées.
E. Type CR-1 : Câbles de retenue ASTM A 603 galvanisé à l’intérieur et ASTM A 492 acier inoxydable à
l’extérieur ou dans les environnements corrosifs - câbles d’acier avec raccords d’extrémité fait
d’ensembles en acier comprenant cosses, fixations, tourillon et boulons conçus pour service avec câbles
de retenue, et comportant au moins deux boulons de serrage pour l’accrochage du câble.
F. Type RT-1 : Raidisseur de tige de suspension : tuyau d’acier ou manchon de supportage en acier à
fentes avec fixations intérieures boulonnées à la tige de suspension; ou cornière de renforcement en
acier fixée à la tige de suspension.
G. Type DR-1 : Douilles pour boulons d’ancrage des équipements montés au sol : douilles en néoprène
pour supports rigides des équipements et assorties aux types et dimensions des boulons et goujons
d’ancrage.
H. Type DR-2 : Douilles pour ancrage des équipements montés au mur : éléments en néoprène et
manchons en acier prévus pour les supports rigides des équipements et assortis aux types et
dimensions des dispositifs de fixation utilisés.
J. Boulons d’ancrage mécaniques : du type à pré-perçage, à goujon en biseau ou à cône femelle, en acier
galvanisé pour utilisation à l’intérieur, et en acier inoxydable pour utilisation à l’extérieur. Choisir les
boulons d’ancrage ayant la résistance prescrite pour l’ancrage selon essais suivant la norme
ASTM E 488. Longueur minimale égale à huit fois le diamètre.
K. Boulons d’ancrage adhésifs : système d’ancrage à pré-perçage et à capsule contenant une résine
polyvinylique ou à base d’uréthane méthacrylate et un accélérateur, ou à adhésif polymérique ou en
mortier hybride injecté. Fournir les boulons d’ancrage et accessoires en acier galvanisé pour utilisation
à l’intérieur et en acier inoxydable pour utilisation à l’extérieur. Choisir les boulons d’ancrage ayant la
résistance prescrite pour l’ancrage selon essais suivant la norme ASTM E 488.
A. Finition : peinture standard du fabricant appliquée avant expédition aux équipements assemblés et
essayés en usine.
1. Revêtement en poudre sur les ressorts et les boîtiers.
2. Les accessoires devront être galvanisés. Les composants pour emploi à l’extérieur devront être
galvanisés à chaud.
3. Émail cuit ou revêtement en poudre pour les composants métalliques des isolateurs employés à
l’intérieur.
4. Code couleur ou autre repérage des isolateurs de vibrations et dispositifs parasismiques indiquant
la gamme de capacités.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
3.01 INSPECTION
A. Inspecter les zones et les équipements devant recevoir les isolateurs de vibration et dispositifs
parasismiques pour en vérifier la conformité aux exigences de tolérances d’installation et autres
conditions pouvant affecter le comportement des isolateurs et dispositifs.
B. Inspecter l’installation primaire des renforcements et des ancrages coulés sur place afin de vérifier les
emplacements réels avant installation.
C. Ne procéder à l’installation que lorsque les conditions non satisfaisantes ont été corrigées.
3.02 APPLICATIONS
A. Chemins de câbles ou câbles multiples : fixer les chemins de câbles et les câbles aux membrures
trapézoïdales à l’aide de colliers de serrage approuvés pour l’application par un membre d’un service
d’évaluation de l’ICC-ES, l’OSHPD ou une agence agréée par les autorités de juridiction.
B. Raidisseurs de tiges de suspension : installer des raidisseurs de tiges de suspension lorsqu’ils sont
nécessaires pour empêcher le flambage des tiges de suspension sous l’action des forces sismiques.
C. Résistance des supports et dispositifs de retenue parasismiques : lorsqu’il n’existe aucune indication,
choisir les tailles des composants de façon à ce que leur résistance soit suffisante pour supporter les
charges statiques et sismiques actuelles et futures dans les limites de charges spécifiées.
A. Se conformer aux exigences de la Division 07 pour l’installation des rails pour montage sur toiture, des
supports d’équipements et des éléments traversant le toit.
C. Installer les câbles de façon à ce qu’ils ne fléchissent pas sur les angles de l’équipement voisin ou de la
structure du bâtiment.
D. Installer des dispositifs de retenue parasismiques en employant les méthodes approuvées par un
membre d’un service d’évaluation de l’ICC-ES, l’OSHPD ou une agence agréée par les autorités de
juridiction et en soumettant pour vérification les documents requis pour le composant. Se référer à
l’article « Éléments à soumettre pour action ».
E. Installer les douilles pour boulons d’ancrage des équipements montés au sol de façon à pouvoir installer
un matériau résilient entre le boulon d’ancrage et le trou de fixation dans la base en béton.
F. Installer les douilles pour boulons de fixation des équipements montés au mur de façon à pouvoir
installer un matériau résilient à l’endroit où l’équipement ou les profilés de montage de l’équipement sont
fixés au mur.
G. Fixation à la structure : si un type spécifique de fixation n’est pas indiqué, fixer le contreventement à la
structure aux ailes de poutres, aux membrures supérieures des fermes de poutres en treillis, ou aux
éléments de béton.
H. Ancrages à pré-perçage :
1. Les boulons d’ancrage du type à expansion ne sont pas autorisés pour les équipements non isolés
d’une puissance supérieure à 10 hp (7,46 kW).
2. Repérer la position de l’acier d’armature ou de tout élément encastré avant de procéder au perçage
des trous pour ancrages. Ne pas endommager l’acier d’armature ou les éléments encastrés lors du
carottage ou du perçage. Avertir l’Ingénieur en structure si l’on rencontre de l’acier d’armature ou
autres éléments encastrés lors du perçage. Localiser et éviter les armatures de précontrainte, les
conduits électriques et de télécommunications, ainsi que les conduites de gaz.
3. Ne pas percer de trous dans le béton ou la maçonnerie avant que le béton, le mortier ou le coulis
n’ait atteint sa pleine résistance de conception.
4. Ancrages à expansion : protéger le filetage contre l’endommagement lors de l’installation de
l’ancrage. Installer les ancrages à coquille renforcée en engageant complètement la coquille dans
l’élément de structure auquel l’ancrage doit être fixé.
5. Ancrages adhésifs : nettoyer les trous pour faire disparaître les matériaux inconsistants et la
poussière de perçage avant de mettre en place l’adhésif. Mettre l’adhésif dans les trous en
commençant par le fond et en remontant progressivement vers la surface de façon à empêcher la
formation de poches d’air dans l’adhésif.
6. Serrer les ancrages au couple recommandé par le fabricant, en se servant d’une clé
dynamométrique.
7. Installer les ancrages galvanisés à l’intérieur et ceux en acier inoxydable pour les applications
extérieures.
A. Installer des raccordements flexibles dans les tronçons de chemins de câbles, de câbles, de goulottes
guide-fils et de barres blindées aux endroits où elles traversent des joints sismiques, aux endroits où des
sections ou embranchements adjacents sont supportés par des éléments de structure différents, et
lorsque le dernier raccordement se trouve sur un équipement ancré à un élément de structure différent
de celui supportant les raccordements en amont de cet équipement.
B. Essais et inspections :
1. Effectuer les essais et inspections sous la supervision et en présence de l’ingénieur qualifié.
2. Fournir les preuves qu’un étalonnage de l’appareillage d’essai a été récemment effectué par un
organisme d’essais agréé par les autorités de juridiction.
3. Programmer les essais avec le Propriétaire, par l’intermédiaire de l’Ingénieur, avant de raccorder
un dispositif d’ancrage au composant qu’il retient (à moins que les essais après raccordement
n’aient été approuvés) et ce, après notification donnée au moins sept jours à l’avance.
4. Obtenir l’approbation de l’Ingénieur avant d’appliquer les charges d’essais à la structure. Prévoir
des membrures temporaires de répartition des charges.
5. Procéder aux essais sur au moins quatre ancrages et attaches de chaque type et taille installés et
ce, au choix de l’Ingénieur.
6. Effectuer les essais à 90 % de la charge d’épreuve nominale de chaque dispositif.
7. Mesurer le dégagement du dispositif isolant de retenue.
8. Mesurer la déflexion des isolateurs.
9. Vérifier les dégagements minimaux des limiteurs de débattement.
10. Dans le cas où un des dispositifs fait défaut, modifier toutes les installations du même type et
procéder à de nouveaux essais jusqu’à l’obtention de résultats satisfaisants.
11. L’ingénieur qualifié doit préparer les rapports d’essais et d’inspection et les remettre à l’Ingénieur.
3.06 RÉGLAGES
A. Régler les isolateurs après que l’équipement isolé ait atteint son poids en ordre de marche.
B. Régler les butées de fin de course sur les isolateurs à ressort à retenue de façon à installer l’équipement
à sa hauteur normale d’exploitation. Après installation complète des matériels, régler les butées de fin
de course de façon à ce qu’elles ne viennent pas au contact en service normal.
D. Ajuster les dispositifs de retenue de façon à ce que les équipements puissent se déplacer librement en
mode de fonctionnement normal.
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 7
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières, ainsi que les Sections de spécification de la Division 01.
1.02 SOMMAIRE
1.03 RÉFÉRENCES
A. Système de câblage structuré pour réseaux de télécommunications composé de paires torsadées non
blindées (UTP) et de câbles optiques, de terminaisons, de connecteurs, d'accessoires de connexion
transversale et de l'équipement connexe installés à l'intérieur du bâtiment.
B. Système configuré en étoile, avec sous-systèmes de câbles horizontaux et de câbles centraux distincts.
1. Câbles horizontaux assurant la liaison entre les postes de travail et le local des
télécommunications.
2. Câbles centraux assurant la liaison entre le local des télécommunications et le local principal de
terminal/d'appareillage.
B. Données techniques sur les produits : pour chaque type de produit indiqué.
A. Fournir les fiches d'exploitation et d'entretien requises et les joindre au manuel mentionné à la
Section 01 78 00 – Éléments à soumettre à l’achèvement des travaux.
PARTIE 2 - PRODUITS
A. Câbles symétriques à quatre paires torsadées non blindées (UTP), 100 ohms, classe CMR à l'essai de
tenue aux flammes, selon la norme CSA-C22.2 numéro 214; catégorie 6 (Cat 6) selon la norme TIA/EIA-
568. Vitesse certifiée de 1Gb/s et bande passante minimale de 250MHz.
B. Prises modulaires dont l’interface de connexion au câble PTNB est de type à déplacement d'isolant et
l’interface de connexion au cordon de poste est de type 8P8C (RJ-45).
D. Utiliser des obturateurs modulaires fabriqués par le manufacturier des plaques et des adaptateurs pour
les sorties qui demeurent non utilisées. Les obturateurs modulaires doivent être de couleur identique à
celle des plaques et des adaptateurs.
A. Cordons de 3 mètres de longueur, chaque extrémité avec prise RJ-45; catégorie 6, selon la norme
TIA/EIA-568.
A. Plaque de montage mural devant être en mesure de recevoir quatre prises modulaires, de type défini à
l’article "PRISES MODULAIRES".
B. Fournir un seul type de plaque de montage mural. La plaque doit pouvoir s'installer sur une plaque à
plâtre, une boîte électrique encastrée et dans un monument de plancher.
A. Adaptateur de montage mural de surface devant être en mesure de recevoir deux prises modulaires, de
type défini à l’article "PRISES MODULAIRES".
B. Fournir un seul type de plaque de montage en surface. L’adaptateur doit pouvoir s'installer en surface
sur un mur.
A. Câble multipaire pour la téléphonie composé de 150 paires torsadées de catégorie 3, 100 ohms, devant
rencontrer les performances prescrites par le standard ANSI/TIA/EIA-568 ou les performances
prescrites par le manufacturier si ces dernières sont supérieures.
B. Câble multipaire pour la téléphonie classifié CMR à l’essai de tenue aux flammes.
A. Répartiteur BIX composé d’une monture pouvant recevoir des réglettes munies de ports de type à
déplacement d’isolant, capable de recevoir vingt-cinq paires de chaque côté.
B. La monture du répartiteur BIX doit pouvoir recevoir des réglettes d’identifiant d’une ou l’autre des
couleurs définies dans le standard ANSI/TIA/EIA-606-A.
2.08 SUPPORT
A. Support mural à quatre espaces, tel que modèle VPM-4 de Middle Atlantic.
2.09 CROCHET EN J
A. Crochet en J afin de supporter les câbles entre les chemins de câbles et les sorties de
télécommunication.
2.10 IGNIFUGEANT
A. Ignifugeant servant à l'obturation des conduits; doit avoir une résistance au feu de deux heures; ne doit
pas laisser passer la fumée, la vapeur toxique et l'eau, comme certain des produits coupe-feu de la
compagnie Hilti Canada, 3M Canada ou équivalent approuvé.
2.11 QUINCAILLERIE
A. Tout le matériel nécessaire à la réalisation des travaux qui n'est pas mentionné dans cette partie,
notamment la quincaillerie servant au montage des équipements et les bandes pour coller les
identifications du matériel de répartition, est la responsabilité de l'entrepreneur en télécommunications.
A. Câbles PTNB
1. Données : bleu
2. Téléphone : bleu
B. Cordons de poste
1. Données : bleu
2. Les soumissionnaires devront être certifiés d’un manufacturier et le manufacturier devra s’engager
à certifier la qualité de l’installation du soumissionnaire. Le soumissionnaire devra être autorisé et
devra s’engager à honorer la garantie du matériel historiquement en place, soit la compagnie
Belden.
3. Le soumissionnaire doit faire preuve d’une expertise établie dans l’implantation de projets de
câblage.
C. Ignifugeant :
1. Hilti
2. 3M
PARTIE 3 - EXÉCUTION
A. Utiliser des supports appropriés pour acheminer les câbles lorsque ceux-ci sont apparents.
A. Suivre les recommandations de BICSI et du manufacturier pour le tirage des câbles PTNB.
B. La force de tirage maximale permise pour le tirage des câbles PTNB est de 111N (25 lbf) ou selon les
indications du manufacturier si celles-ci sont plus restrictives.
C. Le rayon de courbure minimal permis pour le câble PTNB est de quatre fois son diamètre externe ou
selon les indications du manufacturier si celles-ci sont plus restrictives.
D. Laisser une corde de tirage en nylon de 6 mm au minimum, ayant une résistance minimale de 200 lb
(90 kg), dans chaque conduit après le passage des câbles.
E. Après le tirage des câbles, colmater avec l'ignifugeant tous les manchons et/ou conduits dédiés aux
télécommunications traversant une dalle de plancher et/ou de plafond, ainsi que ceux traversant les
murs coupe-feu et non seulement les conduits utilisés.
A. Installer le nombre de câbles PTNB nécessaire entre chaque sortie de télécommunication et l’aire de
télécommunication qui lui est désignée en vue de raccorder chacune des prises modulaires à
l’équipement de répartition en conformité avec l’article "TIRAGE DES CÂBLES".
B. Utiliser seulement les conduits, les manchons, les chemins de câbles et/ou les crochets en J prévus
pour supporter les câbles de télécommunications de la distribution horizontale.
C. Aucun raccordement intermédiaire autre que ceux explicitement demandés ne doit être effectué sur les
courses de câble PTNB. Le câble doit être direct et sans changement de polarité.
D. Aux endroits où les câbles sont supportés par des crochets en J, regrouper ceux-ci à l’aide d’attaches
Velcro® afin de réaliser une installation propre et structurée sans comprimer ceux-ci.
F. Chacun des câbles PTNB installés pour les liens horizontaux doit avoir une longueur réelle maximale ne
dépassant pas 90 m entre la prise modulaire desservie et l’équipement de répartition de l’aire de
télécommunications où celui-ci est raccordé.
3.04 OSSATURE
A. Installer les câbles multipaires d'ossature pour la téléphonie afin de relier les aires de télécommunication
entre elles, comme montré sur les plans, et en conformité avec l’article "TIRAGE DES CÂBLES".
Prévoir tous les supports nécessaires.
B. Installer les câbles PTNB d'ossature afin de relier les aires de télécommunication entre elles, comme
montré sur les plans, et en conformité avec l’article "TIRAGE DES CÂBLES". Prévoir tous les supports
nécessaires.
C. Lors du passage vertical des câbles d'ossature entre les aires de télécommunication, fixer solidement
les câbles au mur à l'aide d'attaches appropriées lorsque ceux-ci ne sont pas dans des conduits tout en
prenant soin de comprimer ceux-ci le moins possible.
A. Fournir une plaque de montage ou un adaptateur (selon le cas) pour chacune des sorties de télé-
communication montrées sur les plans.
B. Installer sur les plaques de montage et adaptateurs, la quantité de prises modulaires demandées pour
chacune des sorties montrées en plan en respectant le modèle et le code de couleurs définis dans la
présente section.
C. Fermer les ouvertures non utilisées des plaques de montage et adaptateurs avec des obturateurs
modulaires compatibles et de même couleur.
D. Connecter un câble PTNB sur chacune des prises installées selon la désignation T568A prescrite par le
standard ANSI/TIA/EIA-568.
E. Installer les plaques de montage et les adaptateurs sur chacune des sorties.
A. Prévoir que l'équipement actif (fourni par le client) doit être installé avant de pouvoir compléter tout
raccordement à celui-ci et qu’il sera installé uniquement lorsque les conditions de chantier le
permettront, soit à la fin du projet.
B. Utiliser toute la quincaillerie et les supports nécessaires afin de réaliser une installation propre et
structurée.
C. Dans chacune des aires de télécommunication, la répartition des câbles à l’aide de fils jarretières entre
les répartiteurs CDI, afin que chacun des postes téléphoniques soit relié au système téléphonique, sera
réalisée par l’entrepreneur en télécommunication sous les directives du propriétaire.
D. Dans chacune des aires de télécommunication, la répartition des câbles à l’aide de cordons de
raccordement entre les panneaux de raccordement – cuivre et les équipements actifs sera réalisée par
l’entrepreneur en télécommunication.
E. Dans chacune des aires de télécommunication, effectuer l’identification complète selon l’article
"IDENTIFICATION" et en conformité avec le standard ANSI/TIA/EIA-606-A.
3.07 IDENTIFICATION
B. L’identification des éléments du réseau de câblage doit être faite mécaniquement, proprement,
visiblement et de façon indélébile.
A. Pour chacune des salles de télécommunication, une première série de tests devra être effectuée à la mi-
complétion de chacune des salles. Le moment choisi sera convenu entre le propriétaire et l'entrepreneur
en télécommunication.
D. Fournir à l’ingénieur et au propriétaire tous les résultats des vérifications effectuées sur papier et
CD-ROM.
E. L'entrepreneur en télécommunication doit corriger à ses frais tout défaut observé lors des essais,
remplacer à ses frais le matériel défectueux, refaire toutes les vérifications et les essais et remettre sur
papier et sur CD-ROM, tous les résultats des vérifications effectuées à l’ingénieur et au client.
F. Effectuer tout autre essai requis par le manufacturier pour la délivrance du certificat de garantie.
G. Utiliser les appareils de vérifications et les accessoires recommandés par le manufacturier et les
normes/standards applicables.
J. Le soumissionnaire doit fournir un livre de câblage constitué de listes montrant la correspondance entre
les numéros des prises murales et les numéros de connexions dans les panneaux de BIX identifiés par
étages (équivalent acceptable : sous forme de banque de données électroniques en utilisant un logiciel
de Microsoft (Access et/ou Excel)). Le livre de câblage doit comprendre tous les travaux effectués à
partir du début de l’application de l’entente à intervenir avec l’adjudicataire.
K. L’établissement fournira à l’adjudicataire son cahier de câblage et/ou des plans annotés. L’adjudicataire
aura 40 jours ouvrables pour mettre sur plans de type AutoCAD ® l’ensemble des informations fournies
et les fournir au propriétaire en format électronique AutoCAD ® et les afficher en format papier dans les
cabinets de l’établissement.
A. Vérifier tous les câbles PTNB, ensemble bout à bout avec un appareil de vérification certifié pour la
catégorie testée.
B. Les vérifications suivantes doivent être effectuées sur les câbles PTNB et ne doivent pas être
considérées comme étant limitatives par l'entrepreneur en télécommunication :
1. Circuits ouverts (tête et nuque de chaque paire).
2. Courts circuits (tête et nuque de chaque paire).
3. Courts circuits (tête de chaque paire et masse).
4. Mauvaise connexion ou raccordement.
5. Mélange/Inversion des paires.
6. Bruit électrique/électromagnétique pouvant perturber la transmission des données du réseau
Ethernet, modem ou téléphonique. Cet essai doit être effectué avec tous les luminaires en fonction.
7. Longueur.
8. Atténuation.
9. Diaphonie, paradiaphonie (NEXT, PSNEXT, ELFEXT, PSELFEXT).
2.01 MATÉRIAUX/MATÉRIELS..................................................................................................................2
2.02 CÂBLES.........................................................................................................................................3
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 4
3.01 INSTALLATION................................................................................................................................4
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières, ainsi que les Sections de spécification de la Division 01.
B. Données techniques sur les produits : pour chaque type de produit indiqué.
C. Dessins d’atelier : Schéma des canalisations verticales et des circuits de conversation du système
complet d'intercommunication.
A. Fournir les données qui doivent être incorporées au manuel d'entretien prescrit à la Section 01 78 00 –
Éléments à soumettre à l’achèvement des travaux.
C. Inclure une liste des pièces avec les numéros d'identification employés dans l'industrie de l'électronique
pour désigner les divers éléments.
PARTIE 2 - PRODUITS
2.01 MATÉRIAUX/MATÉRIELS
A. L’entrepreneur doit fournir et installer tout l’équipement sans s’y limiter : les boîtes électriques, les
conduits (avec les cordes de tirage), les câbles et les haut-parleurs, tel qu’indiqué sur les plans, et tout
autre équipement nécessaire au bon fonctionnement du système pour le projet.
B. L’équipement fourni devra respecter ces spécifications et être conforme aux spécifications de base. Les
soumissionnaires fournissant un système de rechange doivent avertir l’ingénieur de leurs intentions et
fournir les renseignements adéquats, y compris les fiches techniques, les dessins d’exécution et
d’atelier, et faire une démonstration du système proposé au moins 10 jours avant la date de la
soumission. Toute approbation préalable d’un système de rechange ne dispense pas le fournisseur de
respecter l’objectif de ces spécifications. Si le système de rechange ne respecte pas toutes les
exigences indiquées dans ce document, l’entrepreneur sera responsable de tous les coûts reliés au
retrait et au remplacement dudit équipement.
C. Le système d’intercommunication devra fournir la distribution des appels généraux, des appels
d’urgence.
E. Toutes les fonctions programmables devront être stockées dans une mémoire permanente pour les
protéger durant une panne de courant.
F. Fournir un nouveau circuit d’amplification TOA pour une charge d’un (1) watt pour chaque haut-parleur,
afin de permettre une flexibilité absolue pour l’appel de personnes, la distribution du programme.
L’équipement nécessitant un seul ampli pour ces fonctions devra être capable de fournir et évaluer un
minimum de 1,5 watt par unité afin de compenser pour les pertes inhérentes au transformateur. Prévoir
un amplificateur de puissance avec 20% de charge de réserve.
G. Il sera possible à partir d’un téléphone du réseau téléphonique de l’hôpital de placer un appel général
dans le bâtiment. Il sera aussi possible de recevoir les appels de personne provenant de l’hôpital
(bâtiments existants).
H. Les corridors et secteurs devront être dotés de haut-parleurs à cône double de 8 po avec une réponse
en fréquence minimale de 30 Hz à 18 kHz. Ils devront avoir une bobine acoustique d’un minimum de
3/4 po et être en mesure d’accepter une puissance de 10 watts. Les haut-parleurs de zones multi-usage
devront être à auto-amplification afin d’utiliser le câblage structuré du système. Tout système
nécessitant des haut-parleurs de 25/70 volts avec un transformateur d’adaptation utilisera un
transformateur ayant une réponse en fréquence minimale de 60 Hz à 12 kHz.
2.02 CÂBLES
A. Tous les câbles doivent être conformes aux normes établies pour leur utilisation. Utiliser des câbles
approuvés par le manufacturier. Faire tout le câblage des postes vers l’unité avec des câbles gainés
individuellement. Le nombre de paires dans les câbles peut varier à cause de conditions spéciales.
B. Tout le câblage intérieur des postes du personnel devra être conforme aux directives actuelles de
câblage des nouvelles constructions publiées par le fabricant, y compris pour le haut-parleur et le
commutateur d’appel du personnel.
C. Tous les circuits de haut-parleur à tension constante devront être raccordés à l’aide d’une paire torsadée
séparée. Pour le calibre approprié des câbles, il faut se reporter aux dessins.
D. Tous les câbles qui passent sous le sol doivent être protégés contre l’humidité.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
3.01 INSTALLATION
A. Tout le système devra être installé conformément aux recommandations du fabricant et tel qu’approuvé
par l’architecte, en fixant tous les composants fermement en place pour une longue durée.
B. Les emplacements des composants du système sur les dessins sont approximatifs. Il faudra vérifier les
emplacements sur place et les coordonner avec l’architecte.
C. Après que les systèmes auront été complètement vérifiés, les câbles entre les boîtes d’accès, les
conduits et l’armoire du système de son devront être réunis en faisceau et retenus par des attaches en
nylon ou des dispositifs de serrage du genre « Ty-Rap » de Thomas & Betts. Plus d’un faisceau peut
être utilisé si un seul est trop gros pour être manipulé. Il faudra faire une boucle dans le faisceau pour
permettre de déplacer les armoires d’équipement pour les réparations ou l’entretien. Le ou les faisceaux
de câbles devront être attachés à l’équipement de façon sécuritaire.
A. La vérification de l’installation doit être exécutée par l’entrepreneur. Le système devra être exempt de
courts-circuits, de boucles de masse, d’oscillations parasites, de bruit et de bourdonnement excessifs, et
d’instabilité. L’entrepreneur devra, à ses frais, faire toutes les modifications requises pour respecter ces
exigences de fonctionnement adéquat.
B. La vérification et les connexions finales au système devront être exécutées par un technicien formé à
l’usine du fabricant des produits installés. En outre, des techniciens formés à l’usine devront faire une
démonstration du fonctionnement du système et des composants majeurs au propriétaire.
D. Tous les composants et l’installation devront être garantis pendant un an contre tout défaut de pièces et
de main-d’œuvre après l’acceptation finale de l’installation et de la vérification.
E. À la fin de l’installation, quatre (4) exemplaires des instructions d’utilisation devront être fournis avec
tous les dessins de l’ouvrage fini (dessins « tel que construit »). Les instructions doivent comprendre les
numéros de pièces, les noms, les adresses et les numéros de téléphone de la source des pièces. Le
paiement final ne sera pas fait tant que les manuels d’utilisation n’auront pas été reçus.
G. Rien dans la présente ne sera interprété comme relevant l’entrepreneur de son obligation de fournir un
système de câblage électrique complet et acceptable pour toutes les catégories. L’ingénieur déclarera
inutilisable et refusera toute pièce ou toute main-d’œuvre qui empêchera ou pourra empêcher
l’accomplissement des buts visés par ces spécifications.
1.03 ABROGÉ........................................................................................................................................ 2
1.04 ABROGÉ........................................................................................................................................ 2
2.03 ABROGÉ........................................................................................................................................ 2
PARTIE 3 - EXÉCUTION............................................................................................................ 3
3.01 INSTALLATION................................................................................................................................ 3
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières, ainsi que les Sections de spécification de la Division 01.
B. Les horloges seront fournies par le Propriétaire. L’Entrepreneur doit les installer et les
raccorder. L’Entrepreneur doit coordonner l’installation avec le Propriétaire.
1.03 ABROGÉ
1.04 ABROGÉ
PARTIE 2 - PRODUITS
A. Raccorder et installer des horloges digitales, avec chiffres rouge de 100 mm (4") de haut c/a support
selon l’orientation inscrite en plan. Horloges compatible avec le réseau de synchronisation existant de
l’hôpital.
A. Circuits destinés au L’horloge maitresse neuve modèle 6351-9001 ou équivalent approuvé, doit être
capable de faire fonctionner autant des horloges BCD que des horloges 3 fils synchrone.
2.03 ABROGÉ
2.04 CÂBLAGE
A. Le réseau sera compose de quatre fils #18 provenant de l’horloge maitresse ou peut-être pris d’une
horloge existante la plus près.(trois fils synchrone). Le réseau sera compose de 3 fils #18 provenant
d’une horloge existante ou de l’horloge maitresse pour l’alimentation 120Vac et de trois conducteurs
#18 torsadés/blindés pour permettre la synchronisation des horloges (BCD).
PARTIE 3 - EXÉCUTION
3.01 INSTALLATION
A. Horloges
1. Raccorder et installer les horloges aux endroits indiqués sur les plans, à 300 mm (12") du plafond.
2. Les conducteurs seront installés dans un réseau de conduits EMT.
3. Abrogé.
B. Horloge mère
1. Situer et installer l'horloge mère et raccorder le tout à une alimentation de 120 V CA, 60 Hz.
2. Situer et installer les horloges indicatrices électroniques et les raccorder à un circuit de
120 V.
A. Remettre à l’Ingénieur une feuille des essais proposés pour valider le fonctionnement du système.
B. Abrogé.
C. Abrogé.
D. Remettre à l’Ingénieur un certificat attestant que le système est installé conformément aux instructions
du fabricant. Ce certificat doit être émis par le fabricant.
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières, ainsi que les Sections de spécification de la Division 01.
A. Les bornes, cosses et vis servant à la connexion des fils doivent convenir à des conducteurs en cuivre
ou en aluminium, selon le cas.
A. Une fois le matériel installé, les étiquettes des fabricants et de l’ACNOR doivent être bien visibles et
lisibles.
A. Au cours des travaux de construction, protéger le matériel exposé et sous tension, pour assurer la
sécurité du personnel, des biens et des lieux.
B. Enfermer et marquer les pièces sous tension par l'inscription « circuit sous tension 120 Volts » (ou la
tension appropriée), en français.
A. Emplacement
1. L'emplacement des équipements, conduits et appareils divers indiqués ou décrits sur les dessins,
doit être considéré comme approximatif.
2. Avant d'installer tout appareil, équipement, conduits et accessoires, vérifier l’emplacement exact
des équipements et s'assurer également que les installations existantes ne nuisent d'aucune façon.
3. Advenant qu’il y ait divergence entre les plans de différent professionnels (Architecte, Ingénieur)
concernant l’emplacement des équipements, demander par écrit aux professionnels concernés,
une confirmation quant la position définitive des équipements. Si l’Entrepreneur installe des
équipements avant d’obtenir l’interprétation des plans et devis par les professionnels, il devra, si
requis, relocaliser les équipements en fonction des directives des professionnels et en assumer les
frais.
4. Installer les appareils et les conduits de manière à limiter les encombrements et à conserver le plus
de surface utile possible, et ce, conformément aux recommandations du fabricant quant à la
sécurité, à l'accès et à l'entretien.
5. Assumer les coûts reliés aux déviations requises dans les conduits et accessoires, pour éviter toute
interférence entre les ouvrages des différents corps de métier.
6. À la demande de l'Ingénieur, soumettre les plans de masse indiquant la position proposée pour les
divers services et pièces d'équipement.
7. Informer l'Ingénieur de la proximité de la date d'installation et demander son approbation quant à
l'emplacement exact assigné.
a. En fonction des commentaires du Propriétaire sur le chantier, la position finale de
l’équipement pourrait être légèrement modifiée par rapport à celle indiquée sur les dessins.
Par contre, elle sera indiquée avant l’installation et aucun frais associé à de tels changements
de position ne pourra être facturé.
B. Installation
1. Sauf indications contraires, se conformer aux plus récentes instructions écrites du fabricant
concernant les matériaux et l’équipement à utiliser, et les méthodes d’installation.
a. Aviser l’Ingénieur, par écrit, de toutes divergences entre les plans et devis et les instructions
du fabricant. L’ingénieur déterminera alors quel document utiliser.
2. S’assurer que les planchers et les dalles recevant les équipements au sol sont de niveau.
3. Fournir les pièces de fixation et les accessoires en métal de même texture, couleur et fini que le
support auquel ils sont fixés. Utiliser des attaches, des ancrages et des cales à l’épreuve de la
corrosion pour assujettir les ouvrages extérieurs et intérieurs.
4. Tous les équipements montés sur une structure d’acier ou de béton par l’intermédiaire de ressort
antivibration, ou de poutre doivent être assujettis solidement aux éléments constitutifs du bâtiment
à l’aide de boulons d’ancrage ou de cordons de soudure afin de s’assurer que l’ensemble des
équipements ne peut glisser de ses points d’attache par vibration ou secousse du bâtiment ou à
proximité du bâtiment.
5. Aligner les rives des pièces d’équipement avec les murs du bâtiment, lorsque la chose est possible.
A. Sauf indication ou prescription contraire, la hauteur de montage du matériel est donnée à compter de la
surface du plancher fini jusqu'à l'axe de l'appareil.
B. Dans les cas où la hauteur de montage de l'appareil n'est pas indiquée, vérifier auprès de l’Ingénieur
avant de commencer l'installation.
C. Sauf indication contraire, installer les pièces d'équipement électrique à la hauteur indiquée ci-après :
1. Postes avertisseurs d'incendie : 1200 mm (48″)
B. Fournir un certificat ou une lettre du fabricant attestant que toute l'installation de chaque réseau a été
faite à son entière satisfaction, selon ses prescriptions et en accord aux plans et devis.
D. Fournir les appareils, de mesure, les compteurs l'équipement et le personnel requis pour l'exécution des
essais durant l'installation et à son achèvement.
A. Percements
1. Effectuer les percements requis par les travaux de cette Division et les coordonner conformément
aux prescriptions de la Section 01 31 00 - Gestion de projet et coordination.
2. Pour tous les travaux susceptibles d'altérer la structure, obtenir l'approbation écrite de l'Ingénieur
en structure.
3. Le percement des trous par marteau pneumatique ou électrique à action vibratoire ainsi que le
percement à la main et tout autre procédé par chocs mécaniques sont prohibés. Les trous doivent
être percés au moyen d’une foreuse rotative à eau ou tout autre appareil accepté par l’Ingénieur en
structure.
4. Repérer la position de l’acier d’armature ou de tout élément encastré avant de procéder au
perçage. Ne pas endommager l’acier d’armature ou les éléments encastrés lors du carottage ou
du perçage. Avertir l’Ingénieur en structure si l’on rencontre de l’acier d’armature ou autres
éléments encastrés lors du perçage. Localiser et éviter les armatures de précontrainte, les
conduits électriques et de télécommunications, ainsi que les conduites de gaz.
5. Ne pas percer de trous dans le béton ou la maçonnerie avant que le béton, le mortier ou le coulis
n’ait atteint sa pleine résistance de conception.
B. Manchons
1. Les manchons doivent avoir un minimum de 25 mm (1 po) de plus que les éléments passant au
travers, isolation incluse s'il y a lieu. En conséquence, l'espace libre entre ces éléments et le
contour du manchon devra être calfeutré. Pour les manchons traversant le béton, utiliser du tuyau
en acier de série 40, de diamètre permettant le passage du conduit et dépassant de chaque côté le
béton de 50 mm (2 po) lorsque le manchon traverse un plancher; 25 mm (1 po) au travers un mur.
C. Ouvertures préfabriquées
1. Les ouvertures à effectuer dans les éléments structuraux et architecturaux préfabriqués seront
faites à l'usine.
A. En conformité avec le Code national du bâtiment du Canada, à tous les endroits où des tuyaux ou des
conduits traversent un mur coupe-feu, un plancher ou toute autre barrière coupe-feu, fournir et installer
un système de scellement pare-feu et fumée. L'espace libre entre les canalisations et les ouvertures
sera calfeutré selon les méthodes approuvées par les ULC ou Warnoc Hersey.
B. Les produits utilisés pour assemblage seront à base de latex et ne devront contenir aucune silicone, ni
solvant, ni agent halogène.
E. Lorsque des manchons sont prévus pour le passage de câbles ou canalisations futures, ceux-ci doivent
avoir un diamètre minimal de 25 mm de plus que le diamètre du câble ou de la canalisation future.
Bourrer les manchons inutilisés de laine minérale et les calfeutrer pour les rendre étanches à l'air avec
un scellant ignifuge.
B. Réaliser des joints hermétiques entre les ouvrages et les tuyaux, manchons, canalisations et conduits.
C. Exécuter les travaux d'ajustement et de scellement nécessaires pour que les ouvrages qui doivent être
raccordés ou liés à d'autres, le soient avec précision et sans jeu.
D. Lorsqu'un nouvel ouvrage doit être raccordé à un autre déjà en place, et que ce dernier est modifié,
exécuter les travaux de scellement et de remise en état nécessaires pour l'adapter à l'ouvrage déjà en
place.
E. Exécuter les percements de manière que les rives soient propres et lisses, et faire en sorte que les joints
de scellement soient le moins apparents possible.
A. Sauf indication contraire, dissimuler les tuyaux, conduits et câblage dans les murs et les plafonds des
aires finies.
B. Avant de fermer les murs, planchers et plafonds qui dissimuleraient des tuyaux, conduits et câblages,
obtenir l'approbation de l'Ingénieur afin de lui permettre d'effectuer ses inspections.
C. Advenant le cas où une partie de ces travaux est recouverte sans l'approbation ou le consentement de
l'Ingénieur, elle devra, si l'Ingénieur l'exige, être découverte aux fins d'examen et refaite aux frais de
l'Entrepreneur.
PARTIE 3 - EXÉCUTION.......................................................................................................... 11
3.01 INSPECTION.................................................................................................................................11
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières, ainsi que les Sections de spécification de la Division 01.
1.02 SOMMAIRE
A. Cette Section est un devis de performance en ce qui concerne les éléments suivants :
1. Calculs, conception et vérification des dispositifs de retenue parasismiques pour l’ensemble des
travaux de la Division 28. Il est obligatoire de mandater un ingénieur à ces fins. Se référer à
l’article « Services d’un ingénieur ».
4. Effectuer des visites périodiques pour vérifier la qualité de la mise en œuvre. Se référer à l’article
« Contrôle de la qualité sur place » de la Partie 3.
5. Superviser les activités d’essais et inspections mentionnées à l’article « Contrôle de la qualité sur
place » de la Partie 3.
6. Produire et signer des attestations de conformité.
a. Se référer à l’article « Éléments à soumettre à l’achèvement des travaux ».
B. Qualifications
1. L’ingénieur, ci-après nommé « l’ingénieur qualifié », doit être un membre en règle de l’OIQ,
spécialisé et reconnu dans le domaine de la protection sismique des composants fonctionnels et
opérationnels des bâtiments. Il doit bien connaître les normes référencées dans cette Section et
les prescriptions de la Partie 4 du CCQ relatives au calcul des dispositifs de retenue
parasismiques.
2. Fournir, sur demande, le curriculum vitae de l’ingénieur qualifié.
1.05 RÉFÉRENCES
D. CCQ : Code de construction du Québec – Chapitre 1, Bâtiment, et Code national du bâtiment – Canada
2005 (modifié).
I. OSHPD: Office of Statewide Health Planning and Development for the State of California.
B. Bâtiments existants : installer des dispositifs parasismiques sur les nouveaux équipements comme s’il
s’agissait de bâtiments neufs.
3. Limiteurs de débattement toutes directions : indiquer les caractéristiques nominales pour les
charges horizontales, verticales et combinées.
C. Documents concernant la conception comme suit : pour les détails des dispositifs antivibratoires et de
retenue parasismique devant être conformes aux exigences de performance et critères de conception, y
compris les données d’analyse signées par l’ingénieur qualifié responsable de leur préparation.
1. Calculs de conception : calculer les charges statiques et dynamiques dues au poids et au
fonctionnement de l’équipement, les forces sismiques permettant le choix des isolateurs de
vibration, des dispositifs de retenue parasismiques.
2. Détails des dispositifs de retenue parasismiques :
a. Analyse de la conception : a pour but de corroborer le choix et l’agencement des dispositifs de
retenue parasismiques. Inclure les calculs des charges de traction et de cisaillement
combinées.
b. Détails : détails de fabrication et d’agencement. Donner les détails des fixations des
dispositifs de retenue aux composants retenus et à la structure. Montrer les emplacements
des points de fixation, leur espacement et les méthodes employées. Identifier les
composants, énumérer leur résistance et indiquer le sens et les valeurs des forces transmises
à la structure lors d’un tremblement de terre. Montrer l’association avec les dispositifs
antivibratoires.
c. Documentation d’évaluation et d’approbation préalable : par un membre d’un service
d’évaluation de l’ICC-ES, de l’OSHPD ou d’une agence agréée par les autorités de juridiction,
faisant apparaître les caractéristiques maximales de chaque dispositif de retenue et les
éléments sur lesquels repose l’approbation (essais ou calculs).
B. Certificats en soudage.
C. Données de qualification : pour l’ingénieur qualifié; se référer à l’article « Services d’un ingénieur ».
A. Les documents/éléments doivent être soumis avant l’acceptation provisoire des travaux.
B. Fournir les fiches d'exploitation et d'entretien requises et les joindre au manuel mentionné à la Section
28 05 00 Prescriptions générales.
C. Rapports de vérification et d’essais de contrôle de la qualité sur place. Se référer à l’article « Contrôle
de la qualité sur place » de la Partie 3.
D. Certificats de conformité.
1. L’ingénieur qualifié doit produire et signer des certificats de conformité aux étapes suivantes :
a. À l’achèvement des travaux dissimulés ;
b. À l’achèvement de l’ensemble des travaux.
1) Le certificat doit attester :
A) Que la totalité des travaux de la Division 28 est conforme aux exigences du CCQ en
matière de protection contre les charges dues aux séismes.
B) Que tous les dispositifs de retenues parasismiques sont conformes aux exigences
de cette Section ainsi qu’aux dessins d’ateliers soumis et revues.
A. Se conformer aux exigences du CCQ en matière de protection sismique, sauf dans le cas où les
exigences de la présente Section sont plus rigoureuses.
B. Soudage : déterminer les procédures et habiliter le personnel selon l’AWS D1.1/D1.1M, « Structural
Welding Code - Steel. »
C. Les dispositifs de retenue parasismiques doivent être soumis à des essais et analyses de charges
horizontales et verticales et doivent porter un numéro OPA d’approbation préalable de l’ancrage de
l’OSHPD, avoir l’approbation préalable de l’ICC-ES, ou une approbation préalable d’un autre organisme
agréé par les autorités de juridiction, faisant apparaître les caractéristiques maximales des dispositifs de
retenue parasismiques. Les caractéristiques reposant sur des essais indépendants sont préférables à
celles provenant de calculs. Dans le cas où l’on ne dispose pas de caractéristiques pré-approuvées, les
données basées sur des essais indépendants sont préférables. Les calculs (comprenant les calculs des
charges de traction et de cisaillement combinées) venant à l’appui des conceptions des dispositifs de
retenue parasismiques doivent être signés par l’ingénieur qualifié.
D. Se conformer aux exigences de CSA C22.10-07, « Code canadien de l’électricité, Première partie et
modifications du Québec ».
PARTIE 2 - PRODUITS
A. Fabricants : sous réserve de leur conformité au devis, les produits seront fournis par l’un des fabricants
suivants :
1. Ace Mountings Co., Inc.
2. Amber/Booth Company, Inc.
3. California Dynamics Corporation.
4. Isolation Technology, Inc.
5. Kinetics Noise Control.
6. Mason Industries.
7. Vibration Eliminator Co., Inc.
8. Vibration Isolation.
9. Vibration Mountings & Controls, Inc.
B. Type CE-1 : Patins amortisseurs : disposés en couches simples ou multiples de rigidité suffisante pour
que la charge se répartisse uniformément sur la surface des patins, moulés avec une texture
antidérapante et munis de plaques d’assise en acier galvanisé, et découpés en usine afin de s’adapter
aux caractéristiques de l’équipement à supporter.
1. Matériaux résilients : Néoprène, caoutchouc ou fibre de verre comprimée étanche résistant à l’huile
et à l’eau.
C. Type IR-1 : Isolateurs à ressorts : isolateurs à ressorts ouverts autoporteurs, stables latéralement.
1. Diamètre extérieur des ressorts : ne doit pas être inférieur à 80 % de la hauteur du ressort
comprimé sous la charge nominale.
2. Course supplémentaire minimale : 50 % de la déflexion spécifiée sous la charge nominale.
3. Rigidité latérale : supérieure à 80 % de la rigidité verticale nominale.
4. Capacité de surcharge : doit pouvoir supporter 200 % de la charge nominale, complètement
comprimé, sans déformation ou défaillance.
5. Plaques d’assise : percées en usine pour boulonnage à la structure et collées à un patin
amortisseur en caoutchouc d’une épaisseur de (6 mm) (1/4po), fixé à la face inférieure de la plaque
d’assise. Les plaques d’assise devront limiter la charge sur le plancher à 3 447 kPa (500 psig).
6. Plaque supérieure et boulon de réglage : plaque supérieure filetée et munie d’un boulon de réglage
avec vis de blocage pour fixer l’équipement et le mettre à niveau.
D. Type IR-2 : Isolateurs à ressort parasismiques : isolateurs à ressort ouverts en acier, autoporteurs, avec
dispositifs de retenue parasismique ou butées de fin de course.
1. Boîtier : en acier avec butées de fin de course verticale élastiques destinées à empêcher
l’allongement du ressort en cas de retrait de la charge, plaque d’assise percée en usine collée à un
patin amortisseur en néoprène ou en caoutchouc d’une épaisseur de 6 mm (1/4 po), fixé à la face
inférieure de la plaque d’assise; et avec dispositifs ajustables de montage de l’équipement et
boulon de mise à niveau servant de blocage pendant l’installation.
2. Dispositif de retenue : dispositif parasismique ou butée de fin de course tel qu’exigé pour
l’équipement et par les autorités de juridiction.
3. Diamètre extérieur des ressorts : ne doit pas être inférieur à 80 % de la hauteur du ressort
comprimé sous la charge nominale.
4. Course supplémentaire minimale : 50 % de la déflexion spécifiée sous la charge nominale.
5. Rigidité latérale : supérieure à 80 % de la rigidité verticale nominale.
6. Capacité de surcharge : doit pouvoir supporter 200 % de la charge nominale, complètement
comprimé, sans déformation ou défaillance.
A. Fabricants : sous réserve de leur conformité aux spécifications, les produits seront fournis par l’un des
fabricants suivants :
1. Amber/Booth Company, Inc.
2. California Dynamics Corporation.
3. Cooper B-Line, Inc.; a division of Cooper Industries.
4. Hilti, Inc.
5. Kinetics Noise Control.
6. Loos & Co.; Cableware Division.
7. Mason Industries.
8. TOLCO Incorporated; a brand of NIBCO INC.
9. Unistrut; Tyco International, Ltd.
B. Exigences générales pour les dispositifs de retenue : les résistances nominales, caractéristiques et
applications devront être telles que définies dans les rapports d’un membre d’un service d’évaluation de
l’ICC-ES, de l’OSHPD ou d’une agence agréée par les autorités de juridiction.
C. Types LD-1 et LD-2 : Limiteurs de débattement : fabriqués en usine à partir de profilés et tôles en acier
de construction soudé, boulons d’ancrage, et rondelles et douilles d’isolation résilientes remplaçables.
1. Les boulons d’ancrage pour fixation au béton seront qualifiés parasismiques, à pré-perçage, à
goujon en biseau ou à cône femelle.
2. Rondelles et douilles d’isolation résilientes : en néoprène résistant à l’huile et à l’eau.
3. Lame d’air maximale de 6 mm (1/4 po), et coussin élastique d’une épaisseur minimale de 6 mm
(1/4 po).
D. Type CV-1 : Contrevents à profilés en U : contrevents fabriqués en usine ou sur place, conformes à la
norme MFMA-4, composés de profilés en U à fentes en acier; les supports sont munis à une extrémité
d’accessoires de fixation à un composant de contreventement et, à l’autre extrémité, d’accessoires de
fixation à la structure du bâtiment ainsi que d’autres composants assortis; les supports sont protégés par
un revêtement résistant à la corrosion et ils doivent avoir la résistance à la tension, à la compression et
à la torsion spécifiées.
E. Type CR-1 : Câbles de retenue ASTM A 603 galvanisé à l’intérieur et ASTM A 492 acier inoxydable à
l’extérieur ou dans les environnements corrosifs - câbles d’acier avec raccords d’extrémité fait
d’ensembles en acier comprenant cosses, fixations, tourillon et boulons conçus pour service avec câbles
de retenue, et comportant au moins deux boulons de serrage pour l’accrochage du câble.
F. Type RT-1 : Raidisseur de tige de suspension : tuyau d’acier ou manchon de supportage en acier à
fentes avec fixations intérieures boulonnées à la tige de suspension; ou cornière de renforcement en
acier fixée à la tige de suspension.
G. Type DR-1 : Douilles pour boulons d’ancrage des équipements montés au sol : douilles en néoprène
pour supports rigides des équipements et assorties aux types et dimensions des boulons et goujons
d’ancrage.
H. Type DR-2 : Douilles pour ancrage des équipements montés au mur : éléments en néoprène et
manchons en acier prévus pour les supports rigides des équipements et assortis aux types et
dimensions des dispositifs de fixation utilisés.
J. Boulons d’ancrage mécaniques : du type à pré-perçage, à goujon en biseau ou à cône femelle, en acier
galvanisé pour utilisation à l’intérieur, et en acier inoxydable pour utilisation à l’extérieur. Choisir les
boulons d’ancrage ayant la résistance prescrite pour l’ancrage selon essais suivant la norme
ASTM E 488. Longueur minimale égale à huit fois le diamètre.
K. Boulons d’ancrage adhésifs : système d’ancrage à pré-perçage et à capsule contenant une résine
polyvinylique ou à base d’uréthane méthacrylate et un accélérateur, ou à adhésif polymérique ou en
mortier hybride injecté. Fournir les boulons d’ancrage et accessoires en acier galvanisé pour utilisation
à l’intérieur et en acier inoxydable pour utilisation à l’extérieur. Choisir les boulons d’ancrage ayant la
résistance prescrite pour l’ancrage selon essais suivant la norme ASTM E 488.
A. Finition : peinture standard du fabricant appliquée avant expédition aux équipements assemblés et
essayés en usine.
1. Revêtement en poudre sur les ressorts et les boîtiers.
2. Les accessoires devront être galvanisés. Les composants pour emploi à l’extérieur devront être
galvanisés à chaud.
3. Émail cuit ou revêtement en poudre pour les composants métalliques des isolateurs employés à
l’intérieur.
4. Code couleur ou autre repérage des isolateurs de vibrations et dispositifs parasismiques indiquant
la gamme de capacités.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
3.01 INSPECTION
A. Inspecter les zones et les équipements devant recevoir les isolateurs de vibration et dispositifs
parasismiques pour en vérifier la conformité aux exigences de tolérances d’installation et autres
conditions pouvant affecter le comportement des isolateurs et dispositifs.
B. Inspecter l’installation primaire des renforcements et des ancrages coulés sur place afin de vérifier les
emplacements réels avant installation.
C. Ne procéder à l’installation que lorsque les conditions non satisfaisantes ont été corrigées.
3.02 APPLICATIONS
A. Chemins de câbles ou câbles multiples : fixer les chemins de câbles et les câbles aux membrures
trapézoïdales à l’aide de colliers de serrage approuvés pour l’application par un membre d’un service
d’évaluation de l’ICC-ES, l’OSHPD ou une agence agréée par les autorités de juridiction.
B. Raidisseurs de tiges de suspension : installer des raidisseurs de tiges de suspension lorsqu’ils sont
nécessaires pour empêcher le flambage des tiges de suspension sous l’action des forces sismiques.
C. Résistance des supports et dispositifs de retenue parasismiques : lorsqu’il n’existe aucune indication,
choisir les tailles des composants de façon à ce que leur résistance soit suffisante pour supporter les
charges statiques et sismiques actuelles et futures dans les limites de charges spécifiées.
A. Se conformer aux exigences de la Division 07 pour l’installation des rails pour montage sur toiture, des
supports d’équipements et des éléments traversant le toit.
C. Installer les câbles de façon à ce qu’ils ne fléchissent pas sur les angles de l’équipement voisin ou de la
structure du bâtiment.
D. Installer des dispositifs de retenue parasismiques en employant les méthodes approuvées par un
membre d’un service d’évaluation de l’ICC-ES, l’OSHPD ou une agence agréée par les autorités de
juridiction et en soumettant pour vérification les documents requis pour le composant. Se référer à
l’article « Éléments à soumettre pour action ».
E. Installer les douilles pour boulons d’ancrage des équipements montés au sol de façon à pouvoir installer
un matériau résilient entre le boulon d’ancrage et le trou de fixation dans la base en béton.
F. Installer les douilles pour boulons de fixation des équipements montés au mur de façon à pouvoir
installer un matériau résilient à l’endroit où l’équipement ou les profilés de montage de l’équipement sont
fixés au mur.
G. Fixation à la structure : si un type spécifique de fixation n’est pas indiqué, fixer le contreventement à la
structure aux ailes de poutres, aux membrures supérieures des fermes de poutres en treillis, ou aux
éléments de béton.
H. Ancrages à pré-perçage :
1. Les boulons d’ancrage du type à expansion ne sont pas autorisés pour les équipements non isolés
d’une puissance supérieure à 10 hp (7,46 kW).
2. Repérer la position de l’acier d’armature ou de tout élément encastré avant de procéder au perçage
des trous pour ancrages. Ne pas endommager l’acier d’armature ou les éléments encastrés lors du
carottage ou du perçage. Avertir l’Ingénieur en structure si l’on rencontre de l’acier d’armature ou
autres éléments encastrés lors du perçage. Localiser et éviter les armatures de précontrainte, les
conduits électriques et de télécommunications, ainsi que les conduites de gaz.
3. Ne pas percer de trous dans le béton ou la maçonnerie avant que le béton, le mortier ou le coulis
n’ait atteint sa pleine résistance de conception.
4. Ancrages à expansion : protéger le filetage contre l’endommagement lors de l’installation de
l’ancrage. Installer les ancrages à coquille renforcée en engageant complètement la coquille dans
l’élément de structure auquel l’ancrage doit être fixé.
5. Ancrages adhésifs : nettoyer les trous pour faire disparaître les matériaux inconsistants et la
poussière de perçage avant de mettre en place l’adhésif. Mettre l’adhésif dans les trous en
commençant par le fond et en remontant progressivement vers la surface de façon à empêcher la
formation de poches d’air dans l’adhésif.
6. Serrer les ancrages au couple recommandé par le fabricant, en se servant d’une clé
dynamométrique.
7. Installer les ancrages galvanisés à l’intérieur et ceux en acier inoxydable pour les applications
extérieures.
A. Installer des raccordements flexibles dans les tronçons de chemins de câbles, de câbles, de goulottes
guide-fils et de barres blindées aux endroits où elles traversent des joints sismiques, aux endroits où des
sections ou embranchements adjacents sont supportés par des éléments de structure différents, et
lorsque le dernier raccordement se trouve sur un équipement ancré à un élément de structure différent
de celui supportant les raccordements en amont de cet équipement.
B. Essais et inspections :
1. Effectuer les essais et inspections sous la supervision et en présence de l’ingénieur qualifié.
2. Fournir les preuves qu’un étalonnage de l’appareillage d’essai a été récemment effectué par un
organisme d’essais agréé par les autorités de juridiction.
3. Programmer les essais avec le Propriétaire, par l’intermédiaire de l’Ingénieur, avant de raccorder
un dispositif d’ancrage au composant qu’il retient (à moins que les essais après raccordement
n’aient été approuvés) et ce, après notification donnée au moins sept jours à l’avance.
4. Obtenir l’approbation de l’Ingénieur avant d’appliquer les charges d’essais à la structure. Prévoir
des membrures temporaires de répartition des charges.
5. Procéder aux essais sur au moins quatre ancrages et attaches de chaque type et taille installés et
ce, au choix de l’Ingénieur.
6. Effectuer les essais à 90 % de la charge d’épreuve nominale de chaque dispositif.
7. Mesurer le dégagement du dispositif isolant de retenue.
8. Mesurer la déflexion des isolateurs.
9. Vérifier les dégagements minimaux des limiteurs de débattement.
10. Dans le cas où un des dispositifs fait défaut, modifier toutes les installations du même type et
procéder à de nouveaux essais jusqu’à l’obtention de résultats satisfaisants.
11. L’ingénieur qualifié doit préparer les rapports d’essais et d’inspection et les remettre à l’Ingénieur.
3.06 RÉGLAGES
A. Régler les isolateurs après que l’équipement isolé ait atteint son poids en ordre de marche.
B. Régler les butées de fin de course sur les isolateurs à ressort à retenue de façon à installer l’équipement
à sa hauteur normale d’exploitation. Après installation complète des matériels, régler les butées de fin
de course de façon à ce qu’elles ne viennent pas au contact en service normal.
D. Ajuster les dispositifs de retenue de façon à ce que les équipements puissent se déplacer librement en
mode de fonctionnement normal.
PARTIE 3 - EXÉCUTION.......................................................................................................... 13
3.02 INSTALLATION..............................................................................................................................13
3.04 FORMATION.................................................................................................................................14
PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS
A. Sont applicables à cette Section les Conditions générales du contrat, incluant les Clauses générales et
les Clauses particulières, ainsi que les Sections de spécification de la Division 01.
1.02 SOMMAIRE
A. Cette section couvre les systèmes avertisseurs d'incendie, y compris les dispositifs de déclenchement,
les appareils de signalisation, les dispositifs de contrôle et de supervision.
B. Les travaux traités dans cette section comprennent la main-d’œuvre, les équipements et le matériel
nécessaires à l'installation du système avertisseur d'incendie tel que spécifié dans les plans et le cahier
des charges du projet.
C. L'entrepreneur spécialisé est responsable de coordonner avec le manufacturier l'installation de tous les
équipements composant le système d'alarme-incendie.
D. Le système avertisseur d'incendie doit comprendre tous les équipements et tous les logiciels
nécessaires pour exécuter les fonctions suivantes :
1. Opérations de détection et d'avertissement d'incendie.
2. Contrôle et surveillance des équipements de contrôle de fumée, et autres équipements tel que
spécifié dans les plans et le cahier des charges.
3. Opérations de téléphones de pompiers bidirectionnels supervisés.
4. Opérations d'alarme vocale automatique unidirectionnelle supervisée.
5. Affichage graphique au poste de contrôle principal de l’hôpital.
1.03 RÉFÉRENCES
A. Gouvernement du Canada
1. CNB-2005, Code national du bâtiment du Canada.
2. CT, SST, chapitre 3-03, 1997-01-2, Conseil du Trésor du Canada, Sécurité et santé au travail,
chapitre 3-03, Norme sur la protection contre l'incendie du matériel de traitement électronique de
l'information.
3. CT, SST, chapitre 3-04, 1994-12-2, Conseil du Trésor du Canada, Sécurité et santé au travail,
chapitre 3-04, Norme pour les réseaux avertisseurs d'incendie.
B. Données techniques sur les produits : pour chaque type de produit indiqué.
C. Dessins d'atelier:
1. Les dessins d'atelier doivent comprendre ou indiquer ce qui suit :
a. la disposition des matériels;
b. le zonage;
c. un schéma de câblage complet, y compris les schémas de principe des modules.
B. Certificats : soumettre les documents signés par le fabricant, certifiant que les produits, les matériaux et
les matériels satisfont aux prescriptions quant aux caractéristiques physiques et aux critères de
performance.
D. Contrôles effectués sur place par le fabricant : soumettre les rapports prescrits.
A. Fournir les fiches techniques et les fiches d'entretien requises, et les joindre au manuel mentionné à la
Section 01 78 00 – Éléments à soumettre à l’achèvement des travaux, conformément à la norme
ANSI/NFPA 20.
b. batteries d'accumulateurs;
c. chargeur de batteries;
d. avertisseurs manuels;
e. détecteurs thermiques;
f. détecteurs de fumée pour aires ouvertes;
g. détecteurs de fumée pour installation en conduit;
h. timbres d'alarme;
i. appareils de signalisation visuelle;
j. panneau annonciateur schématique;
k. émetteur auxiliaire;
l. tableau d'interface d'alarme-incendie radio;
m. tableau d'interface et transmetteur auxiliaire combinés;
n. contact thermostatique de protection contre le gel;
o. dispositifs électromagnétiques de retenue de porte;
p. contacts d'intervention non autorisée sur vanne;
q. câblage;
r. conduits;
s. boîtes de sortie;
t. raccords et accessoires pour conduits et boîtes de sortie;
u. timbre de défectuosité;
2. Schémas de câblage du système
a. Soumettre des schémas de câblage complets du système, illustrant les points de
raccordement et les bornes des connexions électriques.
b. Les schémas de câblage doivent illustrer les modules, les relais, les contacts et les voyants du
tableau de contrôle.
3. Données de calcul - alimentation requise
a. Soumettre les calculs relatifs à la nouvelle installation prescrite afin de démontrer que la
capacité de la batterie dépasse les besoins en courant pour la surveillance et pour les
fonctions d'alarme.
b. Soumettre une comparaison du courant requis pour les détecteurs, par zone, et du courant
fourni pour les détecteurs par le tableau de contrôle, en états de veille et d'alarme.
c. Soumettre une comparaison du courant d'alarme requis pour un circuit de dispositifs de
signalisation et du courant nominal des circuits.
4. Instructions de fonctionnement
5. Nomenclatures
a. Nomenclature du repérage des conducteurs.
A. Qualification
1. Installateur : entreprise ou personne spécialisée dans l'installation de systèmes d'alarme-incendie
et accrédité par le manufacturier.
B. Fournir les services d'un représentant ou d'un technicien du fabricant du système, possédant une
expérience de l'installation et de l'exploitation du type de système fourni, et qui devra surveiller
l'installation, le réglage, les essais préliminaires et définitifs du système et instruire le personnel associé
au fonctionnement de ce système.
A. L'entrepreneur en électricité doit inclure une inspection finale du système pour tout le bâtiment (Aile H)
par le manufacturier conformément à la norme CAN/ULC-S537 la plus récente. L'inspection doit être
réalisée par un technicien certifié A.C.A.I. Le rapport doit indiquer que le système est conforme aux
normes et parfaitement fonctionnel. Tout autre rapport indiquant une autre conclusion doit être suivi des
corrections requises et d'un rapport final concluant.
B. Une copie du rapport d'inspection finale et corrigé doit être remis à l'ingénieur au plus tard deux (2)
semaines avant la date d'occupation prévue et avant la date d'acceptation provisoire prévue (selon
première éventualité). Ce rapport doit être complet, au propre et inclure les mesures de niveau sonore
de chaque locaux et l'information complète de chaque dispositif (nouveau ou existant). Une lettre ou un
certificat présenté seul n'est pas suffisant. Des inspections supplémentaires (sans frais supplémentaire)
devront être réalisées si des déficiences relatives à l'installation sont rapportées.
1.10 GARANTIE
A. Fournir un service d'entretien d'une durée d'un (1) an, comprenant deux inspections par le fabricant
durant la période de garantie. Les essais d'inspection doivent être conformes à la norme CAN/ULC-
S537. Soumettre les rapports d'inspection à l'Ingénieur.
A. Le bâtiment H fait partie intégrante du prolongement du pavillon U existant. Cette section couvre 4
niveaux. Le panneau secondaire au sous-sol du nouveau bâtiment H sera modifié afin d’y ajouter les
composantes indiqués aux plans. Il faudra aussi prévoir de modifier le centre de contrôle du poste de
garde et l’ordinateur graphique pour y ajouter les interfaces nécessaires à l’ajout ou modification de
zones de signalisation haut-parleur (une par étage et une par escalier), de 3 zones de téléphone
pompier (une par étage) et d’une boucle adressable de détection avec isolateurs de faute selon le CNB
2005 et ULCS524-06.
PARTIE 2 - PRODUITS
A. Généralités : Modifier le panneau secondaire d'alarme incendie, non codé, adressable à base de
microprocesseurs avec dispositifs de déclenchement, appareils de signalisation, dispositifs de contrôle
et de surveillance tel que spécifié sur les plans et dans le présent document. Modèle 4100ES
B. Logiciel : Le logiciel du système d'alarme incendie doit permettre le chargement et l'édition d'instructions
et de séquences d'opération tel que requis.
1. Toutes les opérations du logiciel doivent être enregistrées sur une mémoire non volatile
programmable appartenant au panneau de contrôle avertisseur d'incendie. Une perte de
l'alimentation primaire ou de secours ne devra pas effacer les instructions enregistrées dans la
mémoire.
2. Le système doit être muni d'un programme à double configuration dont l'une sera en cours et l'autre
en réserve. Le panneau de contrôle doit continuer à fonctionner durant le téléchargement d'une
nouvelle configuration.
3. Le panneau de contrôle doit permettre le stockage des fichiers électroniques avec un moyen de
récupérer un exemplaire original du logiciel spécifique au site et jusqu’à 9 révisions précédentes.
Le stockage doit être aussi prévu pour conserver la documentation connexe telle que les dessins
TQC, registre de fin des travaux, manuel d’opération, rapports de vérification etc.
4. Le media utilisé pour stocker l’exemplaire original de logiciel du site spécifique et autres document
liés au système doit être sous surveillance électrique. Si le support est retiré, une défectuosité doit
être signalée sur le panneau d’alarme incendie.
C. Journaux historiques : Le système doit offrir un moyen de récupérer les conditions d'alarme et de trouble
dans l'ordre chronologique pour pouvoir recréer l'historique des événements. Un journal historique
distinct d'alarmes et un autre de troubles doivent être fournis.
D. L’affichage graphique visible sur écran du poste de contrôle principale doit être représentatif de
l’ensemble des composantes du système. La mise à jour de celui-ci doit être incluse à la portée de
travaux.
F. Exigences en courant
1. Le panneau de contrôle doit recevoir son alimentation CA à travers un circuit réservé protégé par
un disjoncteur peint rouge. Prévoir deux circuits de 15 A chacun pour le nouveau panneau.
2. Le système doit être muni de batteries capables d'assurer le fonctionnement du système en mode
de supervision normale en cas de perte de courant pendant une durée de 24 heures avec 120
minutes d'alarme à la fin de cette période. Le système doit passer systématiquement aux batteries
de secours en cas de perte de courant. Le chargement et le rechargement de toutes les batteries
doivent se faire automatiquement.
3. Tous les circuits qui doivent fonctionner avec l'alimentation du système doivent être de 24 VCC et
doivent avoir un fusible au niveau de l'unité de contrôle.
4. L'entrée de l'alimentation du système doit être supervisée de manière à ce que toute coupure de
courant soit signalée à l'unité de contrôle. Un voyant à DEL vert "Alim. Marche" doit être illuminé en
mode fixe lorsque le courant entrant est présent.
5. Les batteries du système doivent être supervisées de manière à ce qu'une batterie faible,
déchargée ou déconnectée, soit signalée à l'unité de contrôle et le type de problème affiché.
6. La perte d'alimentation primaire doit déclencher un signal de trouble au niveau du panneau de
contrôle avertisseur d'incendie. Le panneau de contrôle doit indiquer que le système fonctionne
sous une source d'alimentation secondaire.
A. Fabricants : Les équipements et les services décrits dans le cahier de charges sont fournis et soutenus
par Simplex Grinnell, manufacturier existant sur le projet.
A. Généralités : conformité avec la norme ULC, "norme sur les postes de contrôle et accessoires pour les
réseaux avertisseurs d'incendie".
2. Les canaux d'alarme double permettent de diffuser simultanément divers messages sur des zones
ou des étages différents.
3. Huit canaux audio numériquement multiplexes pour les systèmes qui nécessitent plus de deux
canaux audio simultanés. Jusqu'à 8 canaux audio doivent être multiplexes sur une paire torsadée
blindée de type classe A entre les panneaux.
A. Description : Poste adressable de type action double, boîtier en plastique LEXAN rouge, avec directives
d'emploi en lettres en relief moulées en tons opposés. Le poste doit se verrouiller mécaniquement et doit
demeurer ainsi jusqu'à ce qu'il soit rétabli manuellement en ouvrant le boîtier à l'aide d'une clé commune
à toutes les unités de contrôle.
A. Généralités : Conformité à la norme ULC, "Détecteurs de fumée pour réseaux d'avertisseurs d'incendie.
Avec les caractéristiques suivantes :
1. Plaque signalétique : numéro de série et identification.
2. Voltage de fonctionnement : 24 VCC, nominal.
3. Rétablissement automatique : Les détecteurs ne nécessitent pas une réinitialisation ou un réglage
après leur déclenchement pour retourner à l'état normal.
4. Chaque base de capteur doit contenir une DEL qui clignotera chaque fois qu'elle est scannée par
l'unité de contrôle (toutes les quatre secondes). En condition d'alarme, la DEL de la base du
capteur s'illumine en mode fixe.
5. Chaque base de capteur doit contenir un interrupteur d'essai à déclenchement magnétique pour
effectuer facilement des essais à l'emplacement du capteur.
6. Correction des paramètres environnementaux : les paramètres de sensibilité programmables, la
vérification d'état et la surveillance d'accumulations de saletés du capteur de conduit doivent être
fournis par le panneau de contrôle avertisseur d'incendie.
7. Détecteur photoélectrique Simplex Grinnell 4098-9714
8. Le boîtier de conduit doit avoir un circuit de pilote de relais supervisé pour piloter jusqu'à 15 relais à
contact simple en forme de « C » classés à 7 A à 28 VCC ou 10 A à 120 VCA. La sortie du relais
auxiliaire doit être programmable. Le relais doit être monté à 3 pieds du circuit de contrôle du
système C.V.C. (HVAC).
9. Le boîtier de conduit doit avoir un couvercle transparent pour surveiller toute présence de fumée.
Le couvercle doit être attaché au boîtier par quatre (4) vis captives.
10. Le boîtier de conduit doit avoir deux (2) ports d'essai pour mesurer le débit d'air et effectuer des
vérifications. Ces ports permettront d'injecter un aérosol pour vérifier le déclenchement du capteur
de fumée de conduit.
A. Capteur thermique : capteur à fonctionnement combiné, statique et thermo vélocimétrique avec base
enfichable et voyant d'indication d'alarme; température fixe de 135 degré F, sauf indication contraire.
B. Les circuits électroniques du capteur thermique doivent être encapsulés dans une résine époxyde. Ils
doivent être à base de thermistors, doivent se rétablir tout seuls et ne doivent pas être affectés par le
calorifugeage thermique.
D. Le capteur doit être programmable comme dispositif de surveillance d'utilités pour surveiller la
température de la salle de gicleur tel que demandé dans le CNB.
A. Modules d'interface des circuits adressables : surveiller une ou plusieurs composantes du système non
équipées de communication adressable. Les modules d'interface des circuits adressables doivent être
montés dans des boîtiers électriques « standard ». Ce module doit avoir la capacité de communiquer au
panneau de contrôle avertisseur d'incendie les quatre conditions d’état (normal, en alarme, à courant
limité ou en trouble).
B. Tous les modules d'interface doivent être supervisés et identifiés individuellement par le panneau de
contrôle. L'identification des modules doit être transmise au panneau de contrôle pour traitement
conformément aux instructions de programmation. Les modules doivent avoir une DEL incorporée pour
indiquer qu'ils sont alimentés en courant et qu'ils communiquent avec le panneau de contrôle. Les DEL
doivent servir d'un moyen de dépannage puisqu'elles clignotent lorsqu'un périphérique communique
correctement.
A. Des modules isolateurs seront installés à l’intérieur du panneau d’alarme-incendie afin de maximiser la
protection sur les boucles de détection. Ils seront en quantités suffisantes selon les codes en vigueur.
A. Les modules adressables de contrôle seront conçus pour être interfacés avec divers dispositifs. Les
contacts de relais seront de 2 A. 120 V. C.A. ou 28 V. C.C.
A. Description : Les cale-portes magnétiques doivent être homologuées conformément aux normes ULC.
Les cale-portes doivent être équipées d'une plaque et d'un nécessaire de porte assorti pour montage au
mur ou sur plancher. Elles doivent fonctionner à partir d'une source de courant de 120 VCA, et doivent
développer une force de retenue d'au moins 25 lbs (11,4 kg).
2.11 HAUT-PARLEUR
A. Les appareils de signalisation (haut-parleurs) doivent être homologués conformément à la norme ULC.
Les haut-parleurs plafond de 7po1/2 doivent fonctionner sur un circuit d'appareils de signalisation
standard de 70,7 VRMS utilisant une paire de câbles torsadée blindée.
B. Les branchements suivants seront utilisés 1,0 W et 2,0 W. Au branchement de 1,0 W un haut-parleur
doit avoir à une distance de 10 pieds un niveau de pression de 84 dBA. Les haut-parleurs doivent avoir
une fréquence de réponse entre 400 et 4 000 Hz pour alarme d'incendie et entre 125 et 12 kHz pour
signalisation générale.
C. Pour les besoins de ce projet les haut-parleurs seront ajustés à une puissance de 1 Watt. Dans les
chambres mécaniques, prévoir une puissance de 2 Watts.
D. Prévoir des lampes stroboscopiques de 30CD associés au haut-parleur dans les chambres mécaniques
si le niveau de bruit est supérieur à 95DB.
2.13 CONDUITS
2.14 CÂBLAGE
A. Fil des circuits 120 V : conducteur massif en cuivre; grosseur voir en plans.
B. Fil des circuits basse tension en cc. : conducteur massif en cuivre; grosseur voir en plans.
C. Fil vers les annonciateurs à distance : conducteur massif en cuivre; grosseur voir en plans.
D. Fil pour connexion à la boucle d'alarme télégraphique de la base : conducteur massif en cuivre; grosseur
voir en plans.
PARTIE 3 - EXÉCUTION
3.02 INSTALLATION
B. Installer le tableau de contrôle principal selon les indications et le raccorder à l'alimentation principale en
c.a.
C. Installer les avertisseurs manuels aux endroits indiqués et les raccorder au circuit d'alarme.
D. Installer les détecteurs aux endroits indiqués et les raccorder au circuit d'alarme-incendie. Les
détecteurs doivent être installés à 1 mètre au moins, des sorties d'air. Dans le cas des détecteurs
installés au plafond, laisser un dégagement ayant un rayon d'au moins 600 mm autour et au-dessous
des détecteurs. Les détecteurs en conduit doivent être installés dans des tronçons rectilignes.
F. Installer aux endroits indiqués les dispositifs de signalisation visuelle, et les raccorder aux circuits de
signalisation.
H. Installer des résistances de fin de ligne à l'extrémité des circuits d'alarme et de signalisation.
J. Installer aux endroits indiqués des relais à distance destinés à commander l'arrêt des ventilateurs.
K. Système d'extincteurs automatiques : installer le câblage des contacts de surveillance et les raccorder
au tableau de contrôle.
3.04 FORMATION
A. L'Entrepreneur doit prendre les arrangements nécessaires pour que le fabricant du matériel d'alarme-
incendie donne sur place, au personnel d'exploitation, des séances de formation et des démonstrations
sur le fonctionnement et l'entretien du système d'alarme-incendie.