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L'INGENIEUR r
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CARNET USUEL
des Architectes
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PAR
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23, BOULEVARD DE STRASBOURG
1873
V.*
SOIS t:TILE.
Puiser dans les ouvrages spéciaux les connais-
sances usuelles de l'ingénieur-constructeur, grou-
per et combiner les formules de la science avec
les données de l'expérimentation, vulgariser ces
notions en les résumant dans un vade-mecum,
tel est le but d'utilité que s'est proposé l'auteur
du Formulaire.
DIVISION
Dt:
FORMULAIRE DE L'INGÉNIEURCONSTRUCTEUR
PREMIÈRE PARTIE,
INTRODUCTION.—FORMULES ET DONNEESGENERALE".
Sommaire.
Arihtmétique. — Système décimal. — Système métrique. — Intérêts. —
Racines.- Progressions.— Algèbre. — Géométrie. — Trigonométrie. -
Physique et chimie. — Aréomètre.—Acoustique.— Optique. — Météo-
rologie. — Climatologie. — Electricité. — Hygrométrie. — Télégra-
phie. — Galvanoplastie. — Calorique. — Vapeur.
DEUXIÈME PARTIE.
CONSTRUCTIONSMECANIQUES.
Sommaire.
Travail mécanique. — Table des vitesses et des hauteurs. — Frottement.
-- -
-
Presse à vis. Visetécrous. Tourillons. —Pivots.—Manivelles.
-
Excentriques. Pistons. Ressorts. — Transmissions, Câbles. —
Courroies. — Engrenages. — Diamètres des arbres ec tourillons. —
Dimensions des vis. — Boulons. — f:crous. — Coussinets. — Paliers.
Manivelles. — Bielles. — Balanciers. — PistoUJ et cylindres à vapeur.
-
Volants. Pendule conique de Watt. — Pompes, vis d'Archimède.
— Frein. — Chauffage des foyers industriels. — Générateurs à vapeur.—
Dimensions des chaudières et accessoires..— Fourneaux à vapeur. —
Cheminées. — Calculs des machines à vapeur à basse, moyenne et
haute pression, avec et sans détente. — Souffleries et ventilation.'—
Moulins à vent. — Matériel roulant des chemins de fer. — Locomo-
tives. — Meunerie et roues hydrauliques. — Cours d'eau. — Bateaux
à vapeur et dimensions principales.
TROISIÈME PARTIE,
CONSTRUCTIONS CIVILES.
Sommaire.
-
Matériaux de construction. — Fondations. Maçonnerie. —Murs.—
Pans de bois. — Cloisons. — Sciage des bois. — Planchers en bois
et en fer. —Combles. — Couvertures. — Résistance des matériaux. —
Allongement. — Traction. — Compression. — Flexion. — Travaux
d'art. — Ordre d'architecture.
ordinaires. — Voies ferrées.
-- Voies de circulation. — Routes
Chemins mixtes. — Canaux.-
Ponts. — Chauffage et ventilation. — Éclairage. — Éclairage et chauf-
fage au gaz. — Tuyaux de conduite.
QUATRIÈME PARTIE.
A I'PENDICE.
Prix de revient des principaux matériaux employés dans les construc-
tions à Paris. — Tarif des travaux de terrassement. — Tarif synop-
tique des prix des journées d'ouvriers à Paris. —Honoraires des
-
architectes, experts et métreurs. — Voirie. Force motrice em-
ployée dans diverses industries. — Tables du poids de feuilles,
barres ettuyaux de divers métaux. — Classification des fers, fils de
fer, tôle et fer blanc. — Extrait des ordonnances pour façades et
combles, pour l'établissement des machines et chaudières à vapeur,
pour les établissements insalubres, et sur la fumée des foyers indus-
triels. — Table des échelles thermométriques allemande, anglaise,
-
et française. Table des nombres, de leurs carrés, cubes, racines
carrées et cubiques, circonférences et surfaces.
PREMIÈRE PARTIE
INTRODUCTION
SYSTÈME DÉCIMAL.
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Ses multiples usuels sont
et le myriamètre :
décamètre, l'hectomètre, le kilomètre
ses sous-multiples sont le décimètre, lè centi-
mètre, le millimètre, etc.
Le mètre carré, unité de suiface pour les constructions, corres-
pond à une surface de 1 mètre de côté.
Le mètre cube, unité de volume, correspond à un solide ou à une
capacité de 1 mètre sur chacune des 3 dimensions.
20 Gramme. — Cette unité de poids équivaut au poids d'un centi-
mètre cube d'eau distillée à 4 degrés centigrades.
Ses principaux multiples sont le kilogramme, unité commerciale,
(ou 1000 grammes, poids d'un litre d'eau), le quintal métrique
(ou 100 kilogrammes, poids d'un hectolitre d'eau), et le tonneau
de mer (ou 1000 kilogrammes, poids d'un mètre cube d'eau)..
3" LUre. — Cette unité de capacité a la contenance d'un déci-
mètre cube..
Son multiple usuel pour les graines, les charbons, etc., est l'hec-
tolitre. -
4° Are. — Cette unité de superficie pour les terrains correspond à
un carré de 10 mètres de côté ou à une surface de 100 mètres carrés.
Son multiple usuel est l'hectare =10000 mètres carrés; son sous-
=
multiple est le centiare 1 mètre carré.
5° Stère. — Cette unité correspond à 1 mètre cube. La voie du
commerce vaut 2 mètres cubes.
6° Franc. —Cette unité monétaire pèse 5 grammes.
:Voyez,page 4,1e tableau comparatif'des types du système métrique.)
se subdivise en-,.-,
Monnayage.
- Les monnaies françaises sont au titre de 900 mil-
lièmes, c'est-à-dire 9 parties de métal pur et 1 partie d'alliage la
tolérance est de 2 millièmes. La trop grande flexibilitéde l'or et de
;
l'argent exige leur alliage à un autre métal pour les employer plus
utilement au monnayage.
Pair. — Valeur intrinsèque des monnaies d'après leur poids et
leur titre.
Change. — Quantité de monnaie que l'on paie dans un pays pour
toucher une certaine quantité de monnaie dans un autre pays. Le
mandat s'appelle lettre de change.
Arbitrages. — On entend par arbitrages, en termes de banque, les
calculs qui résultent de la combinaison de plusieurs changes entre
eux; ces opérations se réduisent à faire passer des fonds à l'étran-
ger ou à en retirer.
MONNAIES FRANÇAISES.
Tolérancesdupoids
Valeur. poids. Diamètre.
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(4) Cette monnaie de bronze est composée de 95 parties de cuivre pur, 4 d'étaiu
et1 de zinc; elle vaut 20 fois moins que l'argent.
côté.
NOUVELLES.
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(8 ou64
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2gallons.
22gallons.
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1 pound ou livre avoir du
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poids impérial.=
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1/256de livre).= 00018 k
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Cwt.(quintal)=112liv.=50682 kilogramme. =J < 2 liv. troy. 679
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28liv.
=1quart=
1
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livres.
pierre =14
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(livres)=
Ton= 20cwts=2240
= 6335
1015 65
TROY, ETC.
lulog.[=2(2 avoirdtroy
gr.
Livre trcy impériale.
Once (1/12 de livre troy)..
=373
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Kilog liv.livres 68
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Pennyweight (1/20 d'once on
1/240 de livre troy).
(
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Grain 1/5760
1/24 de pennyweight
de livre troy). =0
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Mesures nautiques.
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1nautical mile 6082 feet
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839 93309.31638
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t
397
311
313
4*713.83755 5*7
49270.03-9059377305.469,3
49554.43375 &H1
4
76*63.81012
77712.63224
877
883
94299.95934
88194497.59034
94590.O7o36
317 5010592622 601 77*87.44720
1
887 94792.36193
9576(1.72871 !
7831-.8691 907
|j
11
331
337 51982.79933 Co7
52762.09009 613 78740(14745 911 95951 .*3770
96331.55114
347
349
51-32.94748
186 631
512-2.54270 610
S.»,s5.s,i95
,s
61779o2<.516io
2937941973.,sM4
79109.o„i9<,
919
929 9o-o1. 11»
57
51777.47054 611 97173 95909
3:i3
359 53509.44
-
661
;t„7 59379.J5.:(3S 82*01.506129-3992dd.W1,S
1
673
l,
401
60314,43726 677 83(158.86687 991 99607.3.-515
99-09.jl.,-3
409 61172.330^0
N-Lo'-»-N-Loa"
683 834'12,071137 997 j
Loo.
EXTRACTION DES RACJNES.
Nota. Voir à l'appendice du formulaire la table des calculs faits. -
FORMULES ALGÉBRIQUES.
X.
mier membre tous les termes en x. Simplifier et mettre l'inconnue
'en facteur commun. Diviser les deux membres par le coefficient de
l'inconnue. La forme des équations du 1er degré à 1 inconnue est
»j, 6
= -a
2° ; :
Équations du 1er degré à plusieurs inconnues règle effectuer
les mêmes opérations, mais observer qu'il'faut autant d'équations
qu'il y a d'inconnues, sans quoi le problème est indéterminé. La
forme des équations du 1er degré à deux inconnues est celle-ci :
1°
c
d'oùx
d'où
ax-\-by=
1/ c'
x==ab'—ba' - cet 2° a'x-\-'b'y=c'
cal-,act
—— ety= ——
b
ab' ba' —
i
30Équations du 2e degré. Les équations du 2e degré peuvent être
complètes ou incomplètes. Dans ce dernier/cas elles se présentent
sous la forme
ax* = b d'où x =±
V - a
Dans le cas où elles sont complètes, on a la formule
ax2 + bx c o
+ =
or. en faisant
d,,ou
«. x= - -- Vr-
—b±vfji—
-a =p eta-=a1 x = — -
b c
2-a
4ac
p rb
2
1/ e - a
Équations du 2e degré à plusieurs inconnues. Si dans
4
40 un sys-
tème de deux équations à deux inconnues l'une est du 1er degré,
on en tire la valeur d'une des inconnues en fonction de l'autre;
substituant alors cette valeur dans l'autre équation, celle-ci devient
du 2e degré à une seule inconnue; on en tire la valeur de cette
inconnue et cette valeur substituée dans la première équation per-
met d'obtenir la valeur de l'autre inconnue.
Lorsqu'une des équations est du t" degré par rapport à l'une des
inconnues seulement, on en tire la valeur de cette inconnue; et sub-
stituant cette valeur dans l'autre équation, on obtient une équation
du 3e degré.
L'élimination d'une des inconnues entre deux équations complètes
du 2e degré à deux inconnues conduit à une équation du 4e degré.
-
PROGRESSIONS. -*
Formules usuelles. Une progression arithmétique est une suite
de termes dont la raison ou différence, de l'un par rapport au précé-
dent ou au suivant, est constante.
Une progression géométrique est une suite de termes croissants ou
décroissants dont la raison (ou quotient de deux termes successifs) est
constante.
Soit A le premier terme d'une progression croissante ou décrois-
sante; U le dernier terme; R la raison; N le nombre des termes; et
S la somme des termes:
On a pour progression arithmétique :
-
U=A+R(N -1)etS=(A+U) - N
"2
:
et pour progression géométiique
U=AXR(N0etS=
R-1
R
Logarithmes. — Soit deux progressions, l'une arithmétique com-
mençant par 0 et ayant pnur raison 1, comme 0. 1. 2. 3. 4. 5. 6.;
: :
l'autre géométrique dont le premier terme est 1 et la raison 10,
comme 1 : 10 : 100 1000 : 10000 100000 1000000. :
Chaque terme de ia progression arithmétique est dit le loga-
ritlime du terme correspondant de la progression géométrique, ainsi :
o est le logarithme de 1, et 1 celui de 10, et 2 celui de 100, etc.
On appelle base d'un système de logarithmes le nombre qui, dans
;
ce système, a pour logarithme 1 dans l'exemple précédent 10 est la
base du système et 1 se nomme la caractéristique.
L'avantage des logarithmes est d'effectuer avec rapidité les multi-
plications, divisions et les opérations des racines carrées et puis-
sances.
Règles usuelles.
1° Le logarithme d'un produit est égal à la somme des loga-
rithmes de chacun des facteurs. Ex. log. ab = log. a + log. b;
2° Le logarithme d'un quotient est égal au logarithme du divi-
i-
dende moins le logarithme du diviseur. Ex. log. = log. a —log. b.
3° Lelogarithme d'une racine carrée est égal au logarithme du
nombre placé sous le radical divisé par l'indice de la racine.
7/- log. a
Ex. Logarithme v a =——.
7
4° Le logarithme d'une puissance d'un nombre est égal au loga-
rithme de ce nombre multiplié par l'exposant.
Ex.Log.a8=8Xlog. a. INTÉRÊTS.
L'intérêt est le produit d'un capital ou d'une somme placée pen-
dant un certain temps.
Le taux légal annuel est de 5 p. 0/0.
Le taux commercial annuel est de 6 p. 0/0.
L'intérêt est simple lorsqu'il se touche annuellement; il est com-
posé lorsqu'il vient chaque année s'ajoliter au capital placé.
-
Rentes sur l'Érat. En désignant par S une somme à placer pour
acheter une rente H sur l'État au cours C, et par 1 l'intérêt, on a la
formule squi
RC
permet de trouver la somme nécessaire (1).
Ex. Combien coûteront 150 fr. de rente à 4 1/2 p. 0/0 au cours de
95fr., et à 3 p. 0/0 au cours de 70 fr.?
S=———=31GGf.GGc.,capitalàverserpourlarenteà41/2 p. 0/0.
150 X 95
S = -3,
150X70
capital à verser pour la rente a 3 p. 0 0 = 3500 fr.
-
Intérêts simples.
(1) Et la formuleC
=R
SX 1
Les intérêts simples donnent lieu à 4 pro-
donnera la
rente
renIe d'un capital.
I
blèmes qui se déduisent de la même formule. Celle-ci se compose de
4 quantités que l'on peut déterminer respectivement en connaissant
les 3 autres.
~1° IX100
'b'
L'intérêt s'obtientt par la
t= ; ,
1
—— 2° lecapitalS=——-
~sxN
:100=;x31la
ul 1
formule
fXN
S X
—————
I "Sxt
Soit S le capital, N de la durée du placement, t le taux de l'in-
tX N
; d'
xioo
d'où l'on tire
duréeN
IX100
t -N
Cette retenue est l'intérêt de la somme calculée pendant le temps
qui déviait s'écouler jusqu'à son placement; elle est donnée par la
formul,
S
e:1=X X
100 -
100
Intérêts composés. Dans les intérêts composés on n'a généra-
lement que 3 problèmes à résoudre donnés par les formules sui-
vantes : L'intérêt 1 = S X
(20) et le capital S =
liôj
21
20 suppose l'argent placé à 5 0/0.
nombre de jours =t
rapporté un certain intérêt I' < I.
On sait alors qu'il y a n années; la formule suivante donne le
1-T'X3GOOO
X
Xf
~D
:
tal S, placé par une personne âgée de n années, t étant l'intérêt de
i franc par an, il faut connaître le nombre d'individus p qui sur-
vivent à n années sur 1,000,000,000; p' qui survivent à-n +
1;
+
p" qui survivent à n -2; jusqu'au nombre d'années N que l'on
suppose dernière année de l'âge de la personne.
Alors on déduit R de la formule suivante :
de société. — Soient m, m', m" les mises de 3 associés,
Règle
t, t', t" lesjlifférents espaces de temps depuis lesquels ils les ont
apportées, et G le gain qu'ils ont amassé; en appelant"M la quan-
tité (m X t) + (MI X fI) + (m" X t")
La part du1er
r =m X
celle du 3e
tX m
-' celle du
G
:
TABLE
DONNANT L'INTÉRÊT DE 1 FRANC PAR JOUR A DIFFÉRENTS TAUX,
J
INTÉRÊTS' INTÉRÊTS
r
TAUX.
l'annéede365 j.
correspondrais pour correspondant? pour
l'annéede-360j.
o/o0,00001369863
1/2
1o/o
11/2°/o
,, 2739726
—
—
» 4109589
0,000013888
»— 27777
»— 41665
2o o » —5479452 » —5of>55
21/2o/o
3o/o
— 6849315 »i)—69443
31/2o/o
ko/o
„—119589041
»— '8219f7S
-i0958904
—83333
»-tHlU
—97221
i,- -13,1333
11
4 1/2 o/o i2999 I
j
» 12328767 »
5010 —13698630
»-16438356 - 1G6666
»
51/2 Oo „ 15i68493 »
147221
60/0
70/0 0
—
—1b178082
»
« -
—
194444
sni
s ~it
s
En représentant par i dans ce tableau l'intérêt de l'unité pendant
un jour, par N le nombre de jours pendant lesquels le capital 1 pro-
(—
duiraitl d'intérêt simple, l'intérèt de s francs pendant n jours égale,
francs, soit Sn) francs,
francs,carl'intérêt
car
sn jours est égal à sn qui multiplie l'intérêt de
jour.
de
1'l ntérèt'de
1
1
1. franc pendant
franc pendant un
VALElRS
TAUX (jejolii-s
nombreseniiers.^1/cnna
de Tintera annuel de cunl)ljlUI
N en
cs l'iiuerôi
de
TAUX
annuel
annuet
VALEURS
dejos
de N en nOlllures
nombresentiers."rac^onnalre.0°u/f0™e
1/2o/o 31/2o/0
i 102855/7OU —°—
72000
0/0112
1o/o 30000 ko/U 9(,00
2
41/2o/o
IjOÕO 24000 41/2o/o
5o/o
8000
7200
7
1
2 1/2 ° ° 0545 5/41 OU
3o/o 42000 Go/o COOO
«'es
NO)IBRE
vmiDDc Valeurs
annuités siirce
Valeursde 1
"Ivfr.
successives
fr. x-nvnnp
des annuités
1d'aluées
dannees.
Valeursde 4 fr.
successives
des aiiiiuites
au(auxde5
fr. rie 4
fr. fr.
1 4.05 47 27.11820
2 2.1525 18 29.524H
3 3.3096 19 33.05030
4 4.5250 20 34.70-2815
5 5.7981 25 50.076791
6 7.1379 30 69.693085
7 8.5448 35 94.75520
8 10.01994 40 426.665770
9 11.56095 45 467.42152
10 43.19724 50 2I9.4Î585
41 44.90622 60 370.686472
M 40.70453 70 627.91932
43 48.58960 80 4017.34080
44 20.50614 90 4669.60039
45 22.65444 100 2731.170764
46 24.82687
~ce
La circonférence C d'un cercle est égale au produit du diamètre D
71
La longueur d'un arc s'obtient en multipliant la circonférence en-
tière C par —,
circonférence; ainsi L
rapport du nombre de degrés de l'arc à celui de la
= C —.
360
Connaissant la corde C et la flèche F d'un arc, si on appelle c la
+
1
moitié de la corde,onobtient le rayon par la formule suivante
,
:
(Voir page suivante Mesure des surfaces.)
î,
RELATIONS ENTRE LES CERCLES ET LES CARRÉS.
,
lo Le diamètre du cercle. X 0,8862 ]t
= le côté du
29 La circonférencedu cercle X 0,2821
30 Le diamètre. X 0,7071 tÍ
,
dcarré éqivale
carré équivalent. t
le côté dducarre,lnscnrftt-
-
40 La circonférence
5o La surface
X 0,2251 =
— -
du cercle. X 0,6366 = la surface du carré inscrit.
6o Le côté du carré inscrit.. X 1,4142 = le diamètre du cercle circonscrit.
7o Le côté d'un carré inscrit. X 4,443 = la circonférencedu cercle circonscrit.
8° Le côté d'un
30 Le côté d'un
carré.
carré. X 1,128 = le diamètre d'un cercle équivalent.
X 3,545 = la circonf. d'un cercle équivalent.
La surface d'un cercle inscrit dans un carré est égale a la surface du -
:
12o Le côté du carré inscrit au rayon ::
llo Le côté du carré circonscrit à un cercle = le diamètre.
:
V2: 1ainsi C = R \/2.
13o Le côté dutriaûgleéquilatéralinscrit:aurayonR ::\/-'i 1,d'oùC=B.\/3-
14o Le côté du triangle équilatéral circonscrit est double du côté du triangle
équilatéral inscrit dans le même cercle.
i50 Le côté de l'hexagone régulier circonscrit est le 1/3 du côté du triangle
équilatéral circonscrit au même cercle.
160 Le côte du décagone régulier inscrit est égal au grand segment du rayon,
di-visé en moyenne et extrême raison.-
17o Le côté du pentedécagone régulier inscrit est la corde qui sonstend l'arc
exprimaut la différence des arcs soustendus par les cotés de l'hexagone
et du décagone réguliers inscrits.
1
Nos. NOMS. SURFACES.
4f Triangle
Triangle. BX BX
H
:-
D2
BXH
xH
2 Parallélogramme.
3Trapèze.
3 Trapèze. ;
B + b
X H
*
4 Polygonerégulier. px
5 R2fb D2
X
5 Cercle «
6 SecLeur® R
2
T
9
:•
Segment.
Ellipse.
Conronne.
fD2-d2\
Surface du secteur moins celle du triangle inscrit.
=
or..
itAa
—
1Ac ————————————————————
-'09 =2,;;'JR 2,828 îcgaid.
1 7- V
-
3
il, 3 = 2
= en
us
polygones
\/- 112
V R2 écrits
2 3
4 112
V l'l1 RJ
2
V
en
indiques,
résultats
3 3
-=Il
U"
différents
8
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—-
lt2
;) les
réguliers
0,561
1.'7 par
°>700
circonscrit.
= 0,615
|2
trouveront
DE 1,73 .',12
5
V-,._-
=
polygones
sfkface
COTÉ. l =
-3 = ^2"=
1
V-
RÉGULIERS.
et
CERCLE
—
Il
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v i/o
Il
- -5 3 des
s'y
qu'elles
apothème
du
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H Il
-j
B
Il
surface
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POLYGONES = 0,9."0
0,96
et
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côté
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R
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0;5
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j
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V/5 2
R +v3
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1/-
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l'apothème,
multipliant
:
fonction
2"
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C
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5 remplaçant
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SURFACE
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t = = V,.
3i C
V2
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V3 (telMles
C des
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C -
ET
DU
C C
I 2 (t v\ailUe.nuirs
surface
APOTHÈME
CÔTÉ
--- 0,288
C,/
0,860 V 2 c la
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0.S
0,688
---c--
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CÔTÉ,DE
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FONCTION
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FORMULES
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formules
Triangle l'aide
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)r' — H3 sphère;
r-f 4» * a:
3
2 "6
t+ on
il H la H,
VOLUMES.
II x II II—-— r'- R3 r") de
X r2 hauteur
B (r2
rayon
r: =
D - it
= V II + =
V
r.
n -
= V it
(rl
v
R
géncralrice;
1.1
de
V
1-
et
= r
VOLUMES.
B V ')] )]
rayons
TOTALES.
2B
) r) + +
»" 1"2]
r'2
=
g de
+
latéraux;
C (*'J = (r--f
+ + H
itDî solides.
parallèles,
(g g +
ET
+ x r r r') II V
-f-
1t -|- R H
[
2
triangles
R
SURFACES
n: des
L'ESPACE
2 =
S [(r
[r bases
PXH
P =
S T
=
sphérique
* des
hase
DANS
LATÉRALES.
1
= aS
n
=
S
=
4itRî
sphérique.
=
S
de
d'unrayons
hauteur
=
cône
de
à
x
SURFACES
S
H
X
p
«
rn
—
9)
r.
r'
r Il
X g -f-
(r
?
J=!<RH
=
«=2*RH = et
h
r'
r2
totale;
troncs
de
)
SURFACES
P 1 2 S
hauteur formé
= = = sphérique r'
CORPS
=
s
Prisme
s ss
Cylindre
cône
Sphère.
Sphère.
Secteur
=
Il
base;
un
l'
+
tonneau
r"
+3
1e-
(
DES Cône Zone =
;
supposant
Segment
B H
DÉSIGNATION ecteur *
périmètre
2
Pyramide de =
Tronc fc-n Y
volume
=
P
(1)
TKIGOMOMÉTRIE.
- cosinus a — r
— y
-- r
x
— tangente a x
- cotangente a —
x
y
—sécante g. r
—
x
r
— cosécante a — y-
La trigonométrie a lié ces valeurs par les équations suivantes qui
sont usuellement employées : *
T Cos.2a=1-f-Ct-gt.-a.
8° ± b = sin. a ces. b ± sin. b cos. a.
Sin. a
9° Cos. a ± b = cos. a cos. b zp sin. a sin. b.
10"Sin.2a=2sin.acos.a. 11°Cos.2a=COS.2a-Slll.2a.
:+
angle aigu C, on trouve les autres côtés b et c
à l'aide des formules
b= a sin. B, d'où log. b = log. a log. sin. B —10,
et c = a sin. C, d'où log. é = log. a + log. sin. C — 10.
2e
Sin.
cas. — Connaissant l'hypoténuse a et un autre côté c de l'angle
droit, on trouve les angles B et C et le côté a par les formules ,
:
C
c
a
d'où log. sin. C log. C - l o og. a + 10
il
cescôtés; peutseprésenterScas :
Soient a, b, c les côtés du triangle, et A, B, C les angles opposés à
1er cas. — On donne a, B; A, trouver G, b, c.
1
•'
G=180°—(A+B)
m
1
-
a b c 2p.
Dans ces 3 dernières formules on fait + + =
Tels sont les formules trigonométriques et les cas de résolution
de triangles qui se présentent le plus souvent dans les calculs et
dans la pratique.
a
Surfaces courbes. — L'équation de l'ellipse, en prenant pour axes
coordonnés le grand et le petit axe de la courbe, prend la forme :
Le volume de l'ellipsoïde est exprimé
-4
: *
-
4
1° Par ir 62 a lorsque l'ellipse génératrice tourne, autour de son
4
grand axe, et par -
2° 'Irai b lorsqu'elle tourne sur le petit axe.
L'équation de l'hyperbole, en prenant pour axes coordonnés les
4p
Données usuelles.
= 0,301. Log. 3 = 0,477. Log. 5= 0,699.
Log. 2
Log. hyp. q = log. q X 2,303.
PHYSIQUE ET CHIMIE:
FORMULES DE PHYSIQUE.
:
Physique. — Les corps se présentent sous trois états solide,
liquide et gazeux. Les phénomènes qui surviennent dans l'état d'un
corps, sans én altérer la composition, sont dus à l'attraction univer-
selle, au calorique, à la lumière, au magnétisme et à l'électricité.
La-densité ou poids spécifique d'un corps est le poids de l'unité de
volume de ce corps.
v
L'eau distillée à 4 degrés centigrades sert d'unité comparative de
poids pour les corps solides et liquides. L'air à 0° et à 76° de mer-
cure sert d'unité
1 dé poids comparatif pour les fluides élastiques ou
gz."
;
»05»
«kilo i |ï
TABLE DES PESANTEURS SPÉCIFIQUES
NOMS
dessubstances.
Aciernon
DES PRINCIPAUX CORPS SOLIDES A 0°.
g5
æ
go-S.a.
s -0 .ê des
NOMS
È
substances.
barre.
..§S.S
ï11
5 .s
S
écroui.
Ardoise. ndu. 7,816
2,853
Fer en
Fonte de
Grèsde
fer.
paveur.,.
kilo
7,788
7,207
Argent
Bétollde
Bismuth
aillonx.,
BOls.-Acajou.,..
Ivoire.
BuisdeFrance.0,912.Marbre
40,474
2,485
9,822
4,063
Houille
.Maçonneriedemoellons..
2,415
compacte1,3-29
1,826
2,240
—
Chêne. Mercure 2,717
—
—
Frêne.de chêne..
Cœur
Hêtre.
0,925
1,17o
0,845 Nickel.
Naphte
fondu.
13,586
0,847
8,279
—
—
— Liège.
Noyer.
0,842
0,240 forgé
Palladium.-
Or pur
Or pur
49,258
19,362
-- Orme. 0,671
Phosphore. 41,300
,
—
Pierre à plâtre.
0,842 4,770
Peuplierordinaire. 0,383 2,168
- Pommier.
fil
ponce.
0,793 Pierre meulière; 2,484
Sapinblanc
Vigile. Pierre
forge. 0,915
,.
0„498
—
Borax 4,720
Briques., ,
—
Platine en 4,3-27
Platinelaminé.
Platine 20,337
21,041
coulé.
'.,.,
4,870 2-2,0t.9
Caoutchouc. 0,933 Plomb 44,352
vive. guerre
Sélénium
Craie.J.,.
Charbon de bois 0,250 Poudre de 0,858
Chaux
Cuivrerougefondu
•• 0,830
4,28:' natif.,.
Soufre
4,320
2,033.
fil
Diamant.,,
Cuivrerougeen
8,788
8,870 Suif
Sucre.
Tan.,
1,606
0,941
Ac!de.acétique = solfnrique.
1,217 Ether
naphte. = 0,715
Acide chJorhydriqiie.=1,24 Huile de = 0,847
sulfurique.,.
absolu=0,792 ,
1,841 Huile d'olive..
Brome. =
Acide
Alcool
=
=Lait.
2,966 Mercure. = 13,598
Eaudemer = 1,026 VindeBordeaux.
=
=
6,815
1,06
Sulfure de carbone. = 1,298
bois. =
Essence de
Esprit de
térébenthine. 0,870 0,995
0,821 Vin de
=
Bourgogne. = 0,921
TABLE DES DENSITÉS ET POIDS ABSOLUS
DES FLUIDES ELASTIQUES.
DENSITÉS POIDS
déterminées de1litreou
NOMS DES SUBSTANCES. par expérience 4 déc. cube
ou à
àOoet 760m/m
parcalcul. depression.
hydrogène
,.',,.
grammes.
Gaz
Gaz
Gaz
Vapeur
hydrogène
azote.
d'eau.
Gaz oxyde
,.;.
carboné
ammoniacal.,. ,
decarboue.,.
0,0688
0,5596
0,5967
0,6235
0,9">69
0,0894
0,7270
0,7752
0,8100
4,2434
a/mo~<'~!«'
Gaz
Air
0,9757
4.0000
1.1)75
4,2991
oxygèue.,
d'azole.
Deuioxvde 4,0388 ,3495
Gaz
d'azote.
, H.,
Gaz chlorhydrique.
4,1026
4,2474
,4323
1,6205
carbonique 4,5245
,.
Protoxyde 4,52t;9 1,9752
Acide
absolu
Cyanogène.,
Vapeur d'alcool 4,6433 4,9805
2,0958
J
Chlore.
Gaz
, ,.
sulfureux.
Vapeur d'élher sulfuriquc..
Vapeurd'essencedetérébenthine
4,8064
2,4930
2,4216
2,5860
5,0430
2,3467
2,8489
3,2088
3,39:ï0
6,5420
-'-
La densité d d'une vapeur étant connue, on en déduit le vo-
lume V qu'un poids connu de cette vapeur doit occuper à l'état de
saturation à une température to et sous une pression donnée. Il suffit
de multiplier le volume d'un litre d'air à la même température et
sous la même pression, par la densité d'de la vapeur à la même
température par rapport à Fair; on a V = 1 + 0,00360 X t X d.
PRESSIONS ATMOSPHÉRIQUES COMPARATIVES
SUR UN CENTIMÈTRE CARRÉ, SUR UN CENTIMÈTRE CIRClLAIRE, SUR UN
POUCE FRANÇAIS ET SUR UN POUCE. ANGLAIS.
1
sur un centimètre circulaire.
La pression sur un centimètre carré X 7,326 donne la pression
sur un pouce carré français.
La pression sur un centimètre carré X 6,4516 donne la pression
sur un pouce" carré anglais.
wS PRESSIONS ATMOSPHÉRIQUES EN KILOGRAMMES
PS
z
e a
o
'J
4 centimètre
carré.
.--;---..
4 centimètre
circulaire.
SUR
1
———————————-
pouce carré 1
français.anglais.
pouce carré
;
D'après M. Regnault, la loi de Mariotte ne serai..point exacte il a trouvé, par
:
,,
expérience, les résultats suivants
r ='ÿ'
Va
rapport du volume Vo d'un gaz sous la pression de d 0,76 de
d mercure
VALEURS
PRESSION P CORRESPONDANTE AUX VALEURS DE r POUR
de r
l'air. l'azote.-
l'acide,
l'hydrogène.
m. m. m. m.
4 4,000 4,000 4,000 4,000
2 4,998 1,999 4,983 2,001
3 2,994 2,996 2,949 3,003
4 3,987 3,992 3,897 4,007
5 4,979 4,987 4,829 5,042
6 5,970 5,980 5.743 6,018
7 6.959 6,973 6,640 7,025
8 7,946 7,964 7,519 8,034
1
9 8,932 8,954 8,382 OU
40,056
1 40 9,946 9,944 9,226
1 41 10,900 40,932 40,053 HA069
- 42 41,882 44.919 10,863 42,084
13 12,864 12,806 11,655 13,101
44 43,845 43,894 42,430* 14,120
45 44,825 44,876 43,187 45,140
16 15,805 15,860 13,926 16,162
47 46,784 46,943 44,648 47,485
48 47,763 47,825 45.354 18,21,
49
20 * 18,741
49,720
48,807
49,789
16,037
16,705
49,239
20,269
Les formules qui ont servi à calculer cette table sont fondées sur
des expériences de M. Regnault, qui ne vont que jusqu'à r
P pression en mètres du gaz réduit au volume V.
20. =
=
(rCI(r -
c et c' =
coefficients constants.
P=?'[l—c 1)21
a, pour l'airlog
On.
l'azote. c = 3,0435120, cl=
c' log 5,2873751.
= logcf=
pour log c 4,8389675, log 6,8473020.
PoLir l'acidecarbonique. logc= =6,862472i.
3,9310399,
pourl'hydrogène logc =4,7381736, logcf=6,9507!17.
Aéromètre.—.Cet instrument sert à déterminer la densité des
liquides, laquelle est indiquée par le degré de la division au niveau
de laquelle immerge l'insirument.*
.-
cj
te.
Se
5?2g
'«JÏ
-c.&
0
:.
«5
-
e.
O
.1
«52
o« ;; g;ê ô
^«S
È"
"^3
:.
§*
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S
c
c.-
t-
°o
S
1
RÉDUCTION DE L'ARÉOMÈTRE DE BAUMÉ.
Co
CI
ô
or:=
45
O
-o
c-
::s
Co
V)
Go)
:::s
0'
&
Vl
-
1,0000 1,1152 30 1,9605 1,4493 60 1,7047
1 1,0069 16 1,1J39 31 1,2710 46 1,4640 61 1,7250
f7457
4
5
2
43
1,0139
1,0283
1,0211
1, 0 -2
1,0356
17
48
19
20
1,1326
1,1415
1,1506
1,1598
!::3335
3-2
34
1,2N28
1,2943
1,3059
1,3177
47
48
49
50
1.4789
1,4941
l, lo9il
1,5097
1,5255
62
63
64
65
4,7669
1,7669
1,7888
1,8111
6 1,0431 21 1,16"1 36 1.3298 51 1,5417 66 1,8340
7 1,0506 22 1,1786 37 1,342i 52 1,5583 67 1,8574
8 1,0583 23 4,-1883 38 1,3546 53 1,5752 68 1,8815
9 1,0661 24 1,1981 39 1,3ti74 54 1,5925 69 1,9002
10 1,0740 "25 1,2080
1,218-2 j4140 1,3804 55 1,6101
1,6282
70
71 1,9:16
11
12
13
14
1,08-20
1.0901
1,0983
4,1067
26
27
28
29
1,2285
1,2390
1,2497
j44 42
43
1,3937
1,4072
1,4210
1,4350
56
57
58
59
1,6487
1,6656
1,6849
72
73
74
1,9577
1,984i
2,0119
2,0402
10
11
109:12
000 17
18
0,949
0,942
I 24
25
0.903
0,897 3-2
34 0,862
0,856
38
39
0,825
0,819
]-26
42
43
14
091i5
0:'0177
o0963
970
19
20
21
0,835
0,929
0,922
iI27
28
0,891
0,879
33
0,885 34
35
0,854
0,845
0,840
40
41
42
0,814
0,809
0,804
15 22 0,016 29 0.872 36 0,835 43 0,799
46 0956 23 0,906 30 0,867 37 0,830 44 0,794
1—(N—n')d(n'—n).
(l————
Si on fait d=l-n=O
et d'=l,116 et n'=15, on aura la for-
mule du pèse-sel. Si on faitci 1
= —n=10—rf'=l,085 et n'=0,
on aura la formule du pèse-liqueur.
Formule de la résistance au mouvement des ballons dans l'air :
R=0,02 D S1,10V dans laquelle
R effort en kilog. de traction du ballon sphérique,
D poids en kilog. du mètre cube de l'air où se trouve le ballon,
S la surface en mètres carrés du grand cercle de la sphère,
V la vitesse en mètres par seconde.
li
0r, Dv=— k,2932—.d_j_0,00367t'• Si H est la pression barome-
trique en millimètres et t la température de l'air.
TABLE DES VITESSES ET PRESSIONS DU VENT.
voiles).
Yent frais ou brise (tend bien les
1
2
6
3,6
7,2
21,6
liil.
0,20
0,54
4,87
moulins.
en
Vent
mer.
Vent le plus convenable aux
Bon frais, très-bon pour la marche
voiles.
tl'èfort.
Grand frais, fait serrer les hautes
7
9
12
45
25,2
32,4
43,2
54,0
•
6,64
<0,97
19,50
30,47
tempête.
Vent illlpétueux..H""
Ouragan.
Grande
20
27
36
72,0
97,0
129,6
54,16
98,17
176,96
Ouragan qui renverseles édifices. 45 162,0 2~7,87
se décompose ainsi :
La hauteur d'eau de pluie est annuellement à Paris de 0m564, qui
l'hiver, il tombe = 0m107, le printemps
= om174, l'étédu= om161, et l'automne = 0m122.
La surface globe embrasse 5,100,000 myriamètres carrés;
celle des mers et des lacs =
3,700,000; celle des continents et des
îles= 1,400,000. Ainsi la surface des eaux est environ trois fois plus
grande que celle de la terre. On peut estimer que la masse totale des
eaux à la surface du globe ne dépasse pas une couche liquide qui
aurait 1000 mètres de hauteur et envelopperait toute la terre.
Paratonnerre. — Une tige de paratonnerre protège un espace cir-
culaire d'un rayon double de sa hauteur. Si le bâtiment a des pièces
métalliques, il faut les faire communiquer avec le conducteur du
paratonnerre.
HYGROMÉTRIE.
ÉTATS HYGROMÉTRIQUES
CORRESPONDANTS AUX DEGRÉS DE L'HYGROMÈTRE
A CHEVEU A LA TEMPÉRATURE DE 10 DEGRÉS.
400^208
30
35
45
0,070
0,094
0,120
0,148
0177
0,241
m
*
85.
70
75
80
.0.791
90
95
100
0,472
0,538
0,612
0,696
0,891
1
50 0,278
f
la table des forces élastiques (voir page 56); et 8 étant la densité
p
~8
=
-s x 1,3
M
X 0,76
1 +a t
,
f
Magnétisme terrestre. — Une aiguille aimantée livrée à elle-même
se dirige toujours vers le nord. La déclinaison de l'aiguille en un
lieu est l'angle que fait en ce lieu le méridien magnétique avec le
méridien astronomique.
L'inclinaison est l'angle que fait l'aiguille avec l'horizon lorsque le
plan vertical dans lequel se meut l'aiguille coïncide avec le méridien
magnétique.
Électricité. — Deux corps chargés de la même électricité se re-
poussent, et deux corps chargés d'électricité contraire s'attirent. La
pile est l'appareil qui sert à développer l'électricité dynamique.
Action descourants sur lesaimants. — Le courant tend toujours à
placer l'aimant en croix avec lui; son pôle austral à gauche d'un
observateur qui serait couché dans le courant de manière que, regar-
dant l'aimant, le courant entrât par les pieds et sortit par la tête.
Action directrice des aimants sur les courants. — L'aimant étant
fixe et le courant mobile, celui-ci vient se mettre en croix avec
l'aimant; le pôle austral occupant toujours la gauche.
Action directrice de la terre sur les courants. — Un observateur
couché dans le courant aurait à sa gauche le pôle austral de la terre.
Lois des courants parallèles. — 1° Deux courants parallèles et de
même sens s'attirent; 20 deux courants parallèles et de sens con-
traire se repoussent.
Lois des courants angulaires. — 1° Deux courants rectilignes, dont
les directions forment entre elles un angle, s'attirent lorsqu'ils s'ap-
prochent ou s'éloignent tous les deux du sommet; 20 ils se repoussent,
si l'un marchant vers le sommet de l'angle, l'aut,e s'en éloigne.
Lois des courants sinueux. — L'action d'un courant sinueux est la
même que celle d'un courant rectiligne de longueur égale en pro-
jection.
On entend par solénoïdes un système de courants circulaires égaux
et parallèles.
Télégraphie électrique. — Les électro-aimants des barreaux de fer
doux, qui s'aimantent sous l'influence d'un courant voltaïque, ont une
application utile dans les chemins de fer, les horloges électro-magné-
tiques et la force motrice.
La pile Daniel, généralement employée, se compose d'un certain
nombre d'éléments, suivant l'intensité du courant qu'il faut pro-
duire; chaque élément est formé d'un vase en verre, un vase po-
reux en porcelaine, un cylindre de zinc et d'une lame de cuivre.
Le vase poreux est rempli d'une dissolution saturée de sulfate de
cuivre dans laquelle plonge la lame de cuivre; le cylindre de zinc est
placé entre le vase poreux et le vase en verre. Lorsqu'on réunit par
un fil métallique le cylindre de zinc et la lame de cuivre, il se pro- *
duit un courant dont il est facile de constater la présence au moyen
de l'aiguille aimantée.
L'intensité des courants produits est proportionnelle au nombre
drs éléments employés;15 éléments correspondent à 220 et 225 ki-
lomètre:;; 40 éléments correspondent à 500 ou 600 kilomètres.
Transmission de signaux. — Une source électrique étant donnée,
si on réunit deux stations par un circuit métallique, dont les ex-
trémités peuvent être mises en contact avec les'pôles de la pile, il
suffira, pour échanger des signaux entre deux stations, de placer, à
la station qui doit les transmettre, un appareil qui puisse facilement
établir la communication entre le circuit et les pôles de la pile;
et à celle qui doit le recevoir un appareil sur lequel le
courant puisse
agir d'une manière quelconque en laissant une trace de son passage.
Comme la terre est un bon conducteur, on a utilisé cette pro-
priété pour supprimer l'un des fils; on fait alors communiquer à la
terre l'un des pôles de la pile de la station qui transmet et le ré-
cepteur de la station qui reçoit. Les fils de terre établissent cette
communication et le fil de ligne réunit les deux stations.
Chaque station télégraphique possède, pour chaque direction, uN
pile, un manipulateur et un récepteur, un régulateur de pile, une
•
boussole pour indiquer le passage du courant, une sonnerie, un
communicateur établissant à volonté la communication entre le fil
:
de ligne et le récepteur ou la- sonnerie, et enfin, un paratonnerre.
On distingue dans la télégraphie électrique le télégraphe à cadran, -
le télégraphe à signaux, et le télégraphe écrivant. La vitesse de
transmission varie de 60 à 80 signes par minute.
Galvanoplastie. — La galvanoplastie repose sur la décomposition
des sels par la pile électrique.
Voici un aperçu de la manière dont se comportent les acides et les
bases avec les piles :
peu stables. Acide
Pôle positif. pôle négatif.
Action j Acide et base réduits.
stable. Oxygène. Oxyde.
de la pile Acide peu
sur Oxyde
différents
ci
)
faible.
Acide et oxyde compléte-
Oxygène.. Radical.
Acide et oxygène. Métal réduit.
Radicaux..
sels. ment
FORMULES DE CHIMIE.
:
d'oxydes-acides, rougissent la teinture bleue du tournesol, et ont
une saveur aigre. Ex. Acide sulfurique. Les seconds, formés d'un
métal avec l'oxygène, appelés oxydes basiques, ramènent au bleu la
teinture de tournesol rougie par un atide, et jouent envers les acides
le rôle de bases. Ex. : Oxyde de fer.
:
Les composés peuvent être encore formés d'un métalloïde uni à un
métal oxygéné. Ex. L'oxysulfure d'antimoine.
Les composés ternaires sont presque toujours des sels.
Un sel est la combinaison d'un acide avec un oxyde métallique,
c'est-à-dire qu'il est toujours formé d'un acide et d'une base, tel est
le phosphate de chaux.
La nomenclature établie en 1782 consiste à donner aux corps com-
iI
posés des noms tirés des corps simples, pouvant en rappeler les prin-
cipes constituants.
NOMENCLATURE CHIMIQUE.
.n
neutres
métal
I
['métalloïde
pie
S acides.. oxygénés
S"
autre
oxygene.
!
oxygé n é S¡
I
que
•f
l'oiy-1
gène avec métalloïde ou
siques.olygèneavecuncorpssim-Iol
|
quelconque.>,xyQe
ae
¡ e p!n acide
deux.
= ure de
)
un seul acide
lemoins Jacide
olygene.
acide
dee
dj
rfc chlorure de zinc.
_±i_ e
«ydA de
:f: oxyde dAeplomb.
pliombt..
rt ique acide carbonique.
:t: ique acide arsénique.
i(ïue aci<*e
zb eux acide arsénieux.
acide hyperrfciqueacidehyperchlorique
acide
±
ique acide chlorique.
dt
uo j
plus
plus
dpe e
eux..
deeuux
acide hypo iqueacidehypochloriqne.
x
acide hyper ±
eux acide hyperchloreui.
I acide ±
eux acide chloreux.
hypo- ±
acide hypocbloreux,
I
oxygénés
non acide =
oui
±
ique acide
±
chlorhydrique.
Composés ternaires (acide en ique..
sels(acide =
atede sulfate de chaux.
±
ou en eux. =
ite de azotite de potasse.
1,
357-,
pondérables individuelles par'des nombres très-simples, tels que:
:
1
de 2 : 5, de 2 : 7. Ce sont ces quantitéspondérables que la chimie
dénomme nombres proportionnels ou équivalents chimiques.
TABLE
DES ÉQUIVALENTS CIIIMIQUES DES CORPS SIMPLES.
Équivalents Équivalent.
Noms des corps. Symboles chimiques. l'oxygène l'hydrogène
=100. =1.
Oxyène. (métalloïdes). 0 <00,0 8,00
Azote.
Il)'drogène.,.
Soutre
-- II
Az
12,5
175,0
4,00
14,00
Sélénium
Tellure. --
S
Se
200,0
491,0
16,00
39,28
Chlore. Te 806,5 64,52
Iode.
BrÓllle.
Fluor.
Phosphore.
—
—
—
—
CI
Br
lo
F/
h
443,2
978,3
1578,2
239,8
35,45
78/26
125,33
19,18
Arsenic. —
-
P 400,0 32,00
Bore.
Carbone.,. —
As
C
937,5
75,0
75,00
6,00
Silicinm.
.,. — Bo 136,2 40,88
Si 266,7 21,35
Potassium. —
Sodium.
",'
(métaux). K 490,0 39,20
— Na 287,2 22,98
Lithium, — Li 80,4 6,43
Baryum.
Strontium. - Ba
Sr
858,4 68,07
Calcium. —
Ca
548,0
250,0
43,84
20,00
.Alumillium.--
l\la:;uésium. —
Mg
AI
151,3
171,0
12,10
13,68
--
»»»»
Glucinium.
Zirconium. ci
Zr
87,1
420,0
6,97
33,60
Thorium.,
Ystrmm. --
Erbium
Terbium.
Cerium —
— -
TA
Yt
Er
Tr
743,9
402,3
59,51
32,20
Lantane.
Didyme.,.. --
Ce
La
Vi
590,8
5X8,0
620,0
47,26
47,04
49,60
r3?8'2
ÉquiTaleuts Equivalents
Symboles chimiques. l'oxygène l'hydrogène
Noms des corps.
=100. = 1.
—C
Manganèse..,. - Mn 344,7 27,57
Chrôme
Fer - Fe 350.0 28,00
Cobalt
Nickel. -
-
Co 369,0
26,24
29,52
Zinc. , -
Ni
Zn
369.7
406,6
29,57
32,53
Etain.
C3dmium. -
Titane.,..,. --
Cd
Sn
696,8
735,3
55,74
58,82
Plomb. -
Bismuth. --
Ti
Pb
314,7
<294,5
25,17
103,56
,
Antimoine.
Uranium..,. -
Bi
Sb
4330,0
806,5
406,40
64,52
— 60,00
.,.
U 750,0
Tungstène W 4150,0 92,00
Molybdène,.
Vanadium,
-- Mo
Yd
589,0
855,8
47,42
68,46
Cuivre - Cu 395,6 31,65
Argent—
Mercure- Hg 4250,0 400,00
Or
-Jr
Ag 4350,0 408,00
Platine
Osmium,. ,
--
-
Au
Vt
Os
4227,8
4232,0
4244,2
98,22
98,56
99.53
Iridium 4233,2 98,66
Palladium.,.,..
Rhodium. Pd 655.2 53,22
Ruthénium—-
Rh 652,4 52,47
Hu 646,0 51,68
Tantaleoucolombium —
Ta 1 »
Niobium., —
Nb »
Pelopium., —
pp » D
LOIS DE BERTIIOLLET.
PHÉNOMÈNES QUI SE PRODUISENT DANS LE CONTACT DES SELS.
1°Aveclesacides.
L'ACIDE EST LE même QUE CELUI DU SEL.
:
lo Il pourra ne se rien produire
le
Ex. Acidesulfuriquesur sulfate
:de l'acide EST DIFFÉRENT DE
Réaction complète.
à
1° températureordinaire.
celui du sel.
: :de plomb.
Il se forme
Ei. Un acétate tri-basique de plomb.
celle du sel un composé insoluble.
Ex. : de la chaux et du carbonate de
potasse.
2o à haute température.
S'il peut se former un composé so-
luble.
Ex. : Soude et sulfate de potasse.
* Réaction complète à température
ordinaire.
loSilabasenouvelleestsoluble,et
:
Ei.
si celle du selest insoluble.
Potasse sur tous les sels dont les
bases sont insolubles,
2o Si la base nouvelle est plus fixe que
celle du sel.
Ex. : Toutes les bases sur les sels am-
moniacaux.
30 Sielles sont insolubles toutes les
:
Ex.
deux,
L'oxyde d'argent chasse l'oxyde
de cuivre.
3°Aveclessels.
I
LES DEnt SELS ONT LE MÊME ACIDE. LES DEUX SELS SONT COMPLÈTEMENT
DIFFÉRENTS.
l'air,
eaudans
les
active
tous
Sa
aérostats.—
d'hydrogène. l'oxygène. aissant.
combustion.
-
--- au
r.
,
jaune
entreordin.décom-
il tempérât,
blanrhi-
J'hplrogèlle. da- colorantes violet-
naturel.
le
scrof.,bleuitl'amid.
opérations
violent. le
- 0-
On
descom-
Qu
donne
le purs.
distingue
carbones
du 400 Il
l'ai vap.
avec l'état l'obscurité.
poison
d'iii.
de de l@état lait.
Il
de passe à favorise
matières
des
1de 2 combust.-On
de
oxydes les
et la l'air position
et foncé;
le à —
ET
composition
dans
d'oxygène
pas
qu'à
il la
à est
contenantgazeux
les l'air
liquide.
les C'est
C
un médecine. odeur
violent.
magnésie.
des
diamant,
de co-m- corps460brunsolidechlore il dans
les
-à
dans
5
des employer une
n'entretient dans
chaux,
goitre,
PROPRIÉTÉS
la
forme
présence
i-a 444»,devient
autres est
est employé
Corps
détruit
répand
l'eau.-
lumineux en et
poison
est
vol.
du
substances
chlore la le
il
-ie àil
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dans composition dans la le employé
combustion
I
de brûle,
fait
en aux
fond
ébullition.-ll
à Le
contre-poison
l'arsenic
comme
moins
;
200 est est
rapport ent s'unit
légèreté corps à les — hrôme
Cecorps
conserve
corps
est corpsvapeurs
sont,
dense
-
gaz gaz ment.
ne
gaz
Il
-=
pose qui
bat
MÉTALLOrDES.
Ce la le Ce Il Ce Ce en Le Le Ce Ce est
- 0+2AZ
brun
CI 0S034-Br du phosphorique
phosphate charbon.
C
fumée
carb.
n de
forme
Cl 0S03+
+1 chaleur. le
H
0H
noir
+ ,naturel.
+ Pins
5
Ileniredans4a
le se du le
0S03-J-Mn
Il
-
0 03 AZ
AzO3=4H HO 0S03-{-M» isole présence la lediamant.
et
PRÉPARATION. 6 _L
4- 0 + S 2+ +
l'Sc.
charbon.
par
PRINCIPAUX
II Fe CI en
de + plombagine
+
0 Ci
H
HO^KO-j-H
CI
Na o On
eten
mispickel
- + 3
4- = le
Mn
S
-03
suif. donne
Ha 0Na 0 --
HO, =:~:
= S03= NaBr4-M«02-{-2S03=Na
par
phosphore
basique
05 la
-
Etat
H
= = +
0HaKO 0 03 +3H3,
Ci Cl
H
2 tes.-ll
l'ac.
traite le l'anthracite,
cristallisé
H S
2+ 0J4"
s+
par chaux
en décompose
+-j-
+ H3 lesosl'on change
-
Mn Ph
phosphatede
DES 40 2o
corps. AZ 02
4-
,
carbone
NaK AZ que graphite,
Mn
CI 1110
traite
se On
acide
MlT qui
Na On
-3i3 Le
0' - l'
insoluble.
s
l'eau
un
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1000
1!
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-
vapeur insoluble
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-21i 0,9713
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175
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2,97
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A <00
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Hydrogèllc
Azote.
-
1
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2
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Clilore
;-1-1578 978,3
me-..
ro.
Cn
Iode.,.. ¡
400
v-
Phosphore
937
Arsenic.
75
Carbone
*•
L'INDUSTRIE
USAGES.
s et
sous C'estremède.pourliy- tis- combattu
équivalents le fa-d'acides,
1Sous
la
l'épuration
peaux. à
combustion;
tein-
vo-médecine l'ar-
la
blanchesl'ar- l'in- mu-
à
gravure par
les
iisti-ie des
métaux. affinité S des
d'alcali
la Dansd'acide
précipite
précipite
couleurs. décomposé
sans carbonise
forme sert
cendre. nombre dans
il à
violent le vapeurs
la
-
préparation dissolutions.
PROPRIÉTÉS.
4 l'ind
avec
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il
et
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"1
suif,
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et les
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~~g~ le
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or.
1
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rubéûant,
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porte
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d'unl'extraction liquide,
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il
EMPLOYÉS
L'acide
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l
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plupart Sustrie,riatique
- n
l'eau l'étatlatil, dans gent
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un
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2
l'acide AzO:! ------ Ullque
4A20+nI10-l-2A30
à Fici
+ +
KOSO34-A^Os
,+
de vive. If"
MÉTALLOÏDES
PRÉPARATION.
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sulT
0
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du
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avec
()
H
partie
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CI
Ca
+
+
su„HfC/
l'acide 080
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AzO'.+-n
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AzII3
par
Na
-
chlorhydrique,
de
1
m = =Aa05H° traitant
=
parties
mann
e,
nitrate CaO ,HO
OSO3
Aa03-|-ffH0
2+
a
des 3°6.\30i+»,10
de l'air Az03+nHO=
11 sel 50
dans
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l +
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Na
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«
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Ammoniaque.——————
—————— chlorhydrique
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L'INDUSTRIE. COMBINAISON
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Pb
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P P 1 Oxyde
Acide Acide
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S
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———————————
FUSIBILITÉ.
ronge.
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ordinaire. thermomètre
lOOOo
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Oxyd7u^ feu
du
thermomètre
1000°
.tutempe- à
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aux air.
PRINCIPAUX liquide air.
7, forge.
ratures
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8 résiste 9OCo
chaleur l'état
Oxydule
â
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KOMS 96
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13,590
10,5 49,5 21,5 2,56
8 i.>0(
à
395,6
1250
t3,50 7
l 1
hautes 4232
171,0
----
des
1
métaux.
i
Produits céramiques. — Poterie. — Les terrines, pots, etc., sont
faits avec des terres argileuses chargées d'oxyde de fer hydraté et
d'oxyde de manganèse, qui leur donnent à la cuisson une teinte fon-
cée. On les recouvre d'une couverte opaque et colorée tantôt en vert
par des rognures ou battitures de cuivre, ou en brun par du manga-
nèse, tantôt en jaune par un mélange de minium et de fer oxydé. On
forme cette couverte par un mélange de 6 à 7 parties de litliarge et
4 à 5 parties d'argile.
-
Grès cérame. Mélange dur et vitrifié, servant à la fabrication des
vases en
Composition
=
:
grès.
Argile 25 parties, — kaolin argileux
= =
feldspath 50. La couverte s'obtient en jetant dans le four des poi-
25, et
17n
Petit sable oufeldspathique. 10
100 »100 0»
17»
Verre soluble. — Ce produit vitreux employé comme enduit pré-
servateur incombustible, s'obtient en fondant dans un creuset en
terre réfractaire ou en quartz finement divisé, 15 parties de sable,
10 parties de carbonate de potasse et 1 partie de charbon. On coule
le mélange, on le pulvérise et on le traite par 4 ou 5 fois son volume
d'eau bouillante.
COMPOSITION DU VERRE.
:
Quartz. Quartz. :
Verres blancs légers à base de potasse.
Crown-glass 1; densité
) |j
Verre de Bohême; densité
à
2,39 2,48
Acide
calcinée
j^trearsénieux
Chaux 15 à 20
>ape.t.i.t.esd.oses.
Potasse
100
Chaux 20
Potasse du commerce purifiée. 50 à 6060à 65
25
apetitesà doses.
arsénieux. Acide 1
100
petites doses.
On emploie l'acide borique concur-
remment avec l'acide silicique. ,
;
blanc.:
Verre à glaces
Verres blancs à base de soude.
densité 2,49
Sable.
Verre à vitres; : densité 2,64
Sable
éteinte.
Carbonate de soude
300
100 Sulfate
Sable
Charbon.de soude
éteinte. j :-::- -. - 1
100
53
Chaux
verre.
Rognures de
40
300 Chaux :::
verre.
Rognures de
6
ad libitum.
-
Carbonate de potasse purifié.. 100 150
200 300
Acide arséniem:. ) - Petitesdose
Bioxydedemanganèse Acide arsénieux petites doses.
-
Bioxyde de manganèse
; :
Sablejaune100,
Verres colorés.
Verre à bouteilles densité 2,75
Soudenaturelle
alcalines.
Cendres
Argile
Rognures de
jaune verre
40
200
100
100
f. On emploie
;
plombeux très-réfringent le crown-glass n'est pas plombeux.
:
en optique deux espèces deverres le flint-glass est un verre
Émail. cristal très-fusible. On
— L'émail se prépare avec un
oxyde dans un four à réverbère 15 parties d'étain et 100 de plomb.
On purifie par lévigation ce stannate d'oxyde de plomb.
On mélange 100 parties de ce stannate avec 100 parties de sable
pur et 80 parties de carbonate de potasse. On colore au besoin en
ajoutant au mélange de petites doses de certains oxydes métalliques.
L'émail blanc se compose de 300 parties verre blanc sans plomb,
100 parties de borax, 25 parties de nitre et 100 parties d'antimoine
diaphonique lavé.
CALORIQUE.
Les corps émettent et rayonnent de la chaleur; ils l'absorbent et
la réfléchissent eu partie; ils jouissent plus ou moins de la propriété
conductrice du calorique; la chaleur les dilate et les vaporise, le
froid les contracte et les congèle ou solidifie.
j
TABLE DES POUVOIRS RAYONNANTS
DE CERTAINS CORPS PLACÉS DANS LE MÊME MILIEU.
Eau.
Noir de
écrire.
Papier à
fumée,. 400
100
98
Plomb
Fer poli.
brillant.
Mercure, 20
19
<5
Glace.,.
Verre ordinaire. 90
85
Étairi,argent,orettoute
surface métallique. 12
jaune
poli
Cuivre
Argent
Acier doré,
Or plaque.
Cuivre rouge
Fercuivré
feuille
Etain en
Etainliquide.
Mercure
Fonte.
plaqué.97
1
!
Acier
93 jj
Ptomb.
cure.
Verre.
100
97
95
denier-
93
plané80Verreenduitdecire.
85
fumée.
77
Fer
Etainmouillé
Noir de
77
75
70
60
50
10
5
0
Le pouvoir absorbant d'un corps égale son pouvoir émissif, et il !
j
DÉSIGNATION POUVOIRS DÉSIGNATION POUVOIRS
descorps.onJucteurs descorps. conducteurs.
H.,.
Platine.
Or.
Arpent.
1000
9H
Zinc.
Etain.
PIO'Ub.,.
363
303
Cuivre.
Laiton.
973 179,5
Fonte.
Fer374,3
898,2
548,6
561,5
Marlire
Porcelaine.
Terre cuite.
23,6
12,2
H,4
648
La dilatation des gaz est uniforme sous une même pression;
1
elle est de 267 ou 0,00375 du volume par degré, d'après Gay-Lussac,
mais M. Regnault a trouvé pour coefficient de l'air sec = 0,003667,
11
soit —— environ.
3000
Calorie. — Unité de chaleur, ou quantité nécessaire de calorique
pour élever d'un degré la température d'un kilog. d'eau.
Chaleur spécifique. — La capacité calorifique d'un corps ou le
nombre de calories nécessaire pour élever d'un degré la température
d'un kilog. de ce corps varie peu de 0 à 1000; dans les corps sim-
-
ples les chaleurs spécifiques sont en raison inverse de leurs poids
atomiques.
TABLE DES DILATATIONS
LINÉAIRES ET EN VOLUME, DE DIVERSES SUBSTANCES, POUR UNE
AUGMENTATION DE TEMPÉRATURE DE 0° A 100° CENTIGRADES.
NOMS
DESSUBSTAHMS.ende~mates;
de
- .,
dilatation
DILATATIONS.
en
Coefficient
linéaire,
oudilatation
DES SUBSTANCES.
,lemillimétré fractions pour-10
prispourunité.
Zinc.
ordinaires.
Piomb.
EtaindeFalsmouth.
Argentde coopelle.
m/m
3,0540
2,8484
2,1730
1,9097
1/328
1/356
-J/4f>iî
4/523
m/m
0,03108
0,02848
0,02173
0,019i0
délmt.
Or de
<
Cuivre jaune
Cuivre ,7473
oulaiton1,8782
1,4661
4/533
1/58-2
1/6K2
0,01867
0,0171-2
0,01.">1i
Ferpasséàlafilière
Fonte. forgé1,^2051/8190,0118-2
Fer doux
trpmpé.
1,2350
1.1094
1/812
1/901
0,01200
0,01110
Platine
Aciernon
VerredeSaint-Cobain
anglais
Flini-glass
1,0791
0,8909
0,8565
1/927
1/1122
1/1167
0,01080
0,00861
0,00884
-----
0,8117 1/1216 0,00812
DILATATION APPARENTE
DÉSIGNATION DES LIQUIDES.
en frictions décimales
0,H0
Alcoolf,40).
en fractions ordinaires
Eau
Acideazotique (densité
Acidechlorliydrique(densiie1,137).
Eau
I
1,85).
Acidesulfurique.densité
Essencedetérébenthine
Mercure.
: : :. :
Eausaturéedeselmarin.
Huiled'oliveoudelin
0,070
-
0,()70
0,050
0,080
0,110
0,060
0,060
0,0133
0,015
1/9
1/9
1/17
1/17
1/23
1,/l
4/14it
1/20
1/12
1/64
1
CHALEURS DÉSIGNATION
DÉSIGNATION CHALEURS
Fer.
des corps. spéciliques. des corps. spécifiques.
Zillc.,.,..
Cuivre.
Argellt. .,
l'iickel.,.
Platine.
Acier 0,H85
0,1138
o,(i9'.5
0.09.V2
0,0570 Soufre
Or, ,.,
0.0086
0,03-25
0,0324
0.2026
Eiain10,ui,69
PIOlllb.
Arsellic 0,0*14
llisrnuth.,
Antimoine Mercure 0,24 O,I):!UFonte..
O,O:IÛK
0,0307
Charbon M
0,0130
0,0333
O,ol,69
Rapport
Chaleurspécifique Chaleur
, Chaleur des
4.
spécifique
celledel'airétantcelleaespécifique
chaleurs
spécifiques
àpression
cellede
àvolume poids
l'eau
etant t l'air
constante
aux
chaleurs
égal.
à
àpoids spécifiques
égal. étant 1. àvolume
b constant.
Azôte
de
Oxyde carbone.
(1,9765
1.0000
1,0340
0,8848
1,03180,2754
1,08('5
0,2301
0,¡;84
1,000
»
1,000
1,415
»
1,427
Acidecarbonique.. 1,25î>8 0,8280 0,2210 1,249 1,343
d'azote. 1,3503
Oxyde
Gazoléifijnt1,5530
Vapeurd'eau 1,9600
0,8878
1,5763
3,1360
0,2369
0,42')7
0,8470 »»
1.227
1,754
1,338
1,240 1
z TEMPÉRATURES ET PRESSIONS DE LIQUÉFACTION
GAZ.
HM
7 +
Ammoniaque..
Id.+
Id. -
Isf
Acide sntfareax'
Cyanogène.
Chlore. +
Hyrogèllesulfuré.
+
+
ë~~
15,5
0
<0
16
io
DE QUELQUES GAZ.
2
3,6
4
5
6,50
14
17
-
Acide
Oxyde
GAZ.
Acidechlorhydrique.
III.
Id.
carbonique.
Id.
nitreux,.
Id.
I z
:¡ -
Na rl
à«s
—
46
4
+10
-tt0
+ 7 0
g2g-
S
20
23
40
20
36
44
51
.b
t.
TABLE DU FROID
PRODUIT PAR QUELQUES MÉLANGES RÉFRIGÉRANTS.
deAbaissement Froid
-f-
DÉSIGNATION DES MÉLANGES. température.
5de8.
produit.
20»»15°
;
Eau, 1 nitrate d'ammoniaque, t;
Eau, 1 ; nitrate d'ammoniaque, 1 sous-car-
de+ 10°à - 16°
'26°
26"
bonate de soude, de+10° à190 29°
5»5»»»
Eau,4;chlorure de potassium, 57;chlor-
hydrate d'ammoniaque, 32; nitrate de
potasse,
»
Neigeouglacepilée,2;selmarin,1» 20°
4.
Neige ou glace pilée, 5; sel marin, 2; sel
ammoniaque, 24°
Neige ou glace pilée. 24; sel marin, 10; sel
ammoniaque, 5; nitre, 2S°
trate
Neige ou glacepilée, 12; sel marin, 5; ni-
de
d'ammoniaque,
3; 2.
Sulfate soude, acideazotiqueétendu, de+ 10° à— 19°
31°
29"
4
Sulfate de soude, 6; nitrate d'ammoniaque, 4;
-
-
niire,2;acideazotiqueétendu, de+100à 230 33°
Sulfate de soude, 6; nitrate d'ammoniaque, 5;
acideazotiqueétendu,4.,..,. de+10° à-26, 36°
Iétendu,
Phosphate de soude, 9; acide azolique
-
16de+10°à ----
de+101à 291
8°,15
39°
Sulfatedesoude,20;acidesulfurique
36°,
à— 18°,15
; de4- à 8°
Sulfatéde soude, 22;résidu d'éther à 33°,17.
Sulfate de soude, 8; acide chlOlhydrique, 5.
10° — 18°
270
l 1
D'après M. Regnault, la chaleur latente de la vapeur d'eau est
donnée par la formule N 606,5 + 0,305T°. N exprimant le nombre
=
de calories renfermées dans un kilog. de vapeur saturée à la tem-
pérature To.
1
Température Chaleur Chaleur Température Chaleur Chaleur
de la dela
vapeursaturée, totale. latente. vapeursaturée, totale. latente.
ORDRE DÉCROISSANT
DE DUCTILITÉ ET DE MALLEABILITÉ DES MÉTAUX.
DUCTILITÉ MALLÉABILITÉ
:
àlafilière. au laminoir. aumarteau.
Argent.
Aluminium
Platine
Laiton.
!i
Or",.
Argent.,.,
Aluminium
Cuivre.,.
Plomb.
Etain,.
Zine.
, Or.
Fer
Cuivre. Etain.,.
Platine Argent.
Zin? Plomb
Zinc.
Laiton. Fer.
Aluminium,.
Cuivre.,.
PlaLine.
Plomb Nicket.
Etain
Fer.
TEMPÉRATURE DE FUSION DE DIVERS CORPS
Mercure 40
EN DEGRÉS CENTIGRADES.
Bismuth.
Snif.
Essence de
Giace
—
térébenthine.-10
,
Stéarine50à60
Phosphore
0
33
4i
Zinc,
Yerre
Bronze,
pur 125o
Argent pur
Aluminium
256
360
400
900
1000
grise.
1000
blanche.
Potassitim ».. 58
blanche.,.
Or
stéarique.,
Acier.
Cire 68 Fonte 1100
Sodium.,
Acide 70 Fonte
mang:mésée,. 1200
Soufre.
Etain.
Iode.
Plomb.
90
107
109
230
334
Fonte
Fer doux français
Fer martelé
1500
anglais.
1250
1400
1600
PRINCIPAUX ALLIAGES.
Fer-blanc.
Fer galvanisé.
Alliage de fer et étain simplement superficiel.
Alliage de fer et zinc également superficiel.
Tôle plombée Alliage
(
,.
de fer et plomb superficiel.
Alliage des mesures Etain 82 Bronzestatues j Cuivre. 90
(
pour les liquides, Ploulb.
Soudure(Étain.
(Etain et canons,
j
18 10
(Plomb 66,66 Airaln(Etain.
33,33 12à
(Laiton 15
|
85
¡ram.
des plombiers.
Antimoine -9
90
(l]ino(c.w
Étiin
«dÎePPPaarrliss (Cuivre.
Poteried'étain ( hes - (Cuivre.
EtajQ 1 78 c)'
Etain
d'Alger. (Antimoine
Plomb. 26
69,5Cymbales Etain
(Cuivre.80
20
4Cuivre.50
(
Métal
if j
Caractères
d'imprimerie.
»alon,..
Flomb
(Cuivre.
80jjNickel.
Antimoine 20
4,5 Maillechort
Alliaged'Arcet
pourclicher
Zinc31.25
18,75
lÉtain
(Bismuth..
Plomb.
50
e , , 90
65 31,25
Citivre
rysoca
tZinc. 35lesmédailles.
Izinç
18,75
-
10
;
pi
Argent de soudure. J
(Argent
(Alliage superficiel d'argent et cuivre
Cuivre..,.
( Zinc
l'argent est adhérent
au cuivre sans lui être précisément allié.
60,66
23,33
10
et
colonne de Juillet contient
(1) La
plomb=1.37.
: cuivre =91,41, zinc = 5,1;0,étain=t,70
au-dessous de 228°. La température de fusion s'abaisse à mesure
que rétain devient prédominant dans l'alliage, au moins j-usqdà -
une certaine proportion, car au delà de cette limite la température
se relève comme on peut en juger par les nombres suivants :
ptomb. étainFusionà290o
.,.
100 19
100
100
-
-- -
--
56
113
—
—
241
196
226-
100 169 — 186
100
100
-- - 283
—
—
189
195
:
Ainsi, l'alliage du bismuth, plomb etétain, fait dans les proportions
suivantes bismuth, 8, plomb, 5, étain, 3, fond à 9405. En met-
tant 5 de bismuth, 2 d'étain et 3 de plomb, on abaisse encore la
température à 91°.
Le mercure, introduit dans un alliage, peut le rendre liquide
même à la température ordinaire, s'il est en proportion un peu no-
table.
TEMPÉRATURES
TENSION cOl'rpsllondntes
BISMUTH. PLOMB. ÉTAIN. de la vapeur
eu atmosphères.
en atmosphères eii degrés
cenugrades.
ZINC.
parties.
1
t
-t
4
1
INDIQUANT LES HAUTES TEMPÉRATURES.
CUIVRE.
parties.
4
5
6
8
12
20
*
TEMPÉRATURE
defusioncorrespondante
degrés centigrades.
degrés.
1050
H00
H30
4160
1230
4300
1
VAPORISATION.
,
L'eau échauffée à l'air libre possède à la température de 100° une
tension élastique égale à la pression atmosphérique qui correspond
à om76 de mercure et à lk033 par centimètre carré.
TEMPÉRATURE
TEMPÉRATURE
SUBSTANCES. en degrés SUBSTANCES. en degrés
centigrades. centigrades.
Eau.
Alcool.
Acide sulfurique.
100,0
310.0
78,4
Huilede
Mercure.
lin.
Huiledenaphte.
316,0
M,5
360,0 -
Phosphore.
Essence de téré-
beuthine. 157,0
Ethersulfurique..37,8
Soufre.
decarbone.
Sulfure
290,0
299,0
47,0
-- FORCES
tableau suivant pourra les remplacer :
=
7t
Le poids P d'un mètre cube de vapeur à toute pression s'obtient
+3 0,7827
par la formule P ~1 0,00367 t X Pi p exprimant la pression en
+
kilog. sur uncentimètre carré et t la température en degrés cen-
tigrades.
Le volume V' inconnu à une pression p' et à une température t'
connues, s'obtient en supposant connu le volume V d'un gaz de
pression p et de température t par la formule :
La formule empirique de Tredgold, pour établir la relation entre
la température et la force élastique de la vapeur entre 1 et 4 atmo-
sphères, prend la forme :
t exprime la température de la vapeur eu degrés centigrades et p
la tension de la vapeur en centig. de mercure.
MM. Dulorig et Arago ont établi une table d'expériences allant
jusqu'à la température de 224°20 et correspondant à 24 atmosphères,
d'après la formule
P:
t= 138,883 -
39,802, d'où p (028628 0,0072003 t)';
=
t exprimant la température en degrés centigrades et p la tension de
+
la vapeur en kilog. par centimètre carré.
TABLE DES TENSIONS, (1)
DE LA TEMPÉRATURE, DES VOLUMES, DES VITESSES ET DES DENSITÉS
VAPEUR.
DE LA VAPEUR DE 0 A 10 ATMOSPHÈRES.
TENSION DE LA DELA
TENSION
-c;
i
0s
•g
«->
1S
atm.
0,25
0,50
0,75
<,00
1,18
•
-S
Si" 23
a
U)
—
£ CJ S
«--
—
m/m
190
380
579
730
900
S
lni s ï -
V
2«
S
|=
r°bft'o
S
Ow
Ss
—
kil.
0,260
0,518
0776
1,034
1,218
-;; C
=
APEUR.
ï—
degres.
65,36
81,71
92,15
100,00
105,00
—
53
ss
«-2S
«
Sbisï. s-=
Ï3"
•—
o- -a
5®"®°3-O
fi o
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lit.
6135*
3205
2003
1696
t45
«—
.25 73
-e
kit.
0,163
0,312
0,454
0,592
0,684
0
>
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«-
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-3
£S
•
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-s -<Jj M
met.
»
>
232
=
4,50
2,00
2,50
1140
1520
1900
1,551
2,067
2,584
111,74
120,60
127,80
H69
896
732
0,861
1,122
1,377
343
427
472
j
3,00
3,50
2280 3,100
3,618
133,91*
1:J9,24
619
538
1,628
1,875
502
26G0 520
4,00 30iO 4,134 144,00 476 2,116 537
4,50 3420 4,652 148,29 428 2,359 549
5,00 3800 5,168 152,22 389 2,598 558
6,00 4560 6,201 159,22 328 3,066 572
7,00 5320 7,235 165,34 286 3,529 584
8,00 6080 8,268 170,81 254 3,981 594
9,00 6840 9,302 175,77 228 4,431 601
10,00 7600 10,336 180,31 208 4,873 607
Les tensions des vapeurs dautres liquides que l'eau sont égales
à des températures également éloignées de leur point d'ébullition,
+
ainsi la tension de l'alcool à 78° 4 30 =108° est la même que 4
celle de l'eau à 100 + 30 130°. =
(1) Voir la suite de cette table page 107.
VITESSE D'ÉCOULEMENT DE LA VAPEUR
t
DANS UN MILIEU A UNE PRESSION PLUS FAIBLE.
° '=2 s,
æÙI
---------
«J * /) <U V
g g **
g
f
1 Æ
L.- l'J;
= ]
C/-,':w
s
ff t. O
c,
SX =
g s.
O
1 'h 5P- e.2 O £ O
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c il
Æ fr. V'J
u-o c = t-o c ^'Z
— eno o — 'S; ;~* ® w
v H
S ê cS V'J '-
S 2 c
]
3,50 IITOi 344 2,50 15504 380 1,50 15504 423
3,-25 18088 371 2,25 18088 411 1,25 18088 469
3,00
2,75
2,50
2,25
20672
23256
25340
396
421
284244651,2528424 515
444
!I
2,00
1,75
1,50
20672
23556466
25840
439
491 »»»
I ;•»•
1
»
1
1
1
1
ou
DANS L'AIR D'UN MÉLANGE D'EAU ET DE VAPEUR.
1234
-
COMPOSITION
-----
dumélange
vapeur. eau.
DENSITÉ
du mélange
du
VITESSE D'ÉCOULEMENT A
l,
atm. atm. atm.
----
atm. atm.
56 atm,
mètrecube,effectifeffect.effect.effect.effect.effect.
-
LAPRESSIONDE
ru, m. m. m. m. m.
100 0,00 2,57 279 397 486 562 628 6*8
0,9998 0,0002 2,76 270 383 470 542 606 664
0,999 0,001 3,50 239 340 417 483 538 590
0.994 0,006 8,13 159 223 273 316 353 387
0,99 0,01 11,81 129 185 227 276 292 320
0,98 0,02 21,12 98 139 170 195 219 240
0,97 0,03 30,40 81) 116 141 164 182 200
0,95 0,05 48,94 66 91 H2 129 143 157
0,93 0,07 67,40 53 77 95 110 122 134
0,90 0,10 95,30 44 65 80 92 103 113
0,85 0,15 141,t;0 35 54 66 75 85 92
0,80 0,20 188,00 31 46 57 65 73 80
0,75 0,25 231,40 29 4-2 51 59 66 72
0,65 0,35 326,70 25 35 43 50 55 61
0,50 0,50 466,30 20 29 36 42 46 51
0,25 0,75 6J7.60 17 24 30 34 38 42
0,00 1,00 930,00 15 21 26 29 82 36
770
même température, et à volume égal la densité de l'air à 0° et sous
la pression atmosphérique
La formule d'=
est
1)t
—1
de 'celle de l'eau.
donne
t donne les densités respec-
;
tives de deux gaz ou vapeurs p représente la pression connue
d'un volume V de gaz, et p' la pression inconnue de l'autre gaz.
Condensation de la vapeur. — Connaissant la température t de
la vapeur à condenser, celle t' de l'eau froide, celle t" du mélange
condensé, on peut déterminer le volume d'eau V nécessaire à la
la condensation d'un poids en kilog. P de vapeur, par la.formule
'g------
A DIVERSES TENSIONS, LA DENSITÉ DE LA VAPEUR A 100° ET A 0m76
ï
3 »io
-CJCojO
</! ?
3
LE MERCURE ETANT 1 (FLACHAT ET PETIET).
s ,,
Oî =3
Goï „3
O
43 V
CJ S U U ;
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c-Q—'H"S
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35 =
OS <3J -3 CJ « V n «J Ja «
-1 G—C3
CJ CJ CJ CJ O CJ
30
20 1W0
942 381 1381
40 331 1273
50 880 252 1132
60 819 185 1004
60 772 139 911
80
; 736
704
676
102
75
56
838
776
732
1.
FEMENT DE L'AIR.
TEMPÉRATURE.
(PÉCLET.),
absorbée.
Chaleur 1. TEMPERATURE. Chaleur
absorbée.
TEMPÉRATURE.
20
30
kïTkiL
vaporisée.
d'eauPoids
0,32
0,50
TEMPÉRATURE.
60
70
nporisée.
d'eauPoids
2,70
4,32
1
1
40
50 1,7
1,00 il 80 6,64 1
90 40,00
E
POIDS DE VAPEUR
CONTENU DANS UN MÈTRE CUBE D'AIR SATURÉ A DIFFERENTES TEMPÉRATURES
S
2
"2
O
i 1
212 2-S=
D'APHÈSRI:G.NAULT.
«î
CJ
S
V
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CJ
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S
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K U
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V,
O
«SJ-E-" >
CE
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H"
O
-
W O
40g SC H
SCC
TO£ «
C O W
O «
G<—
TABLE
EXPRIMANT LE POIDS DIFFÉRENTIEL ET LE VOLUME TOTAL DE VAPEUR
ÉCOULÉPOUR DÉTENDRE LA VAPEUR RENFERMÉE A PRESSION DANSUNE
CAPACITÉ D'UN MÈTRE CUBE, JUSQU'A LA PRESSION ATMOSPHÉRIQUE
(FLACHATETPETIET).
11/2
'olnme
Volume
alaprcs
QUANTITÉ DE TRAVAIL EN KILOGRAMMÈTRES
correspondante pour destensionsde
2
detente.atmosph. atmosph. atmospb. 4
:5 6
atmosph. atmosph. atmosph. atmosph.
met.c.kilos;.m.kilog.m.kilog.m.kilog.m.kilos;.m.kilog.m.kilo?.m.
1,00 <0333 45500 20666 34100 41333 51066 62000
1,25 12H39 18958 25278 37917 50556 63195 7;',8:14
1,50 14523 21784 29016 43569 5809» 72615 87138
1,75 16116 24174 32232 48»8 64464 80580 96696
2,00 17496 26244 34092 52488 69984 87!80 104976
2,2518713 28069 37426 56139 74S52 93565 H2278
2,50 19802 29703 39604 59406 79208 99010 118812
2,75 20787 31180 41574 62361 83148 403935 124722
3,00
3,25
21686
225I3
32529
33769
43372
45026
65058867
67539
44 108430 130116
90052 112565 135078
3,50 23279 34918 46558 69837 93116 116395 139674
3,75 23992 35988 47984 71976 95968 09H60 143952
4,00 24658 36:87 49316 73974 98632 123-290 1Î7948
4,25 25285 37927 50570 75855 101140 126125 151710
4,50 25875 38812 51750 77625 1(13500 129375 155250
4.75 26134 39651 52868 79302 105736 13217015*601
5,00 26964 40146 53928 80892 107856 1348-20 lfi17N4
5,25 27467 41200 54934 82401 100868 137335 164S02
5,50 27949 41923 55898 83817 111796 139745 167094
5.75 28408 42612 56816 85224 113632 142040 170148
6,00 28-48 43272 57(i96 86514 445392144240 173088
6,25 29270 43905 58540 87810 117080 146350 475620
6,50 29675 44512 59350 89025 4187(0 448375 478050
6,75 3(065 45097 60130 90195 120260 150325 180390
7.00 30441 45(,6\ 60882 91323 121764 152205 182646
7,25 30804 46206 61608 92il2 123216 454020 184-224
7,50 31154 46731 62308 9346-2 124616 155770 186924
7,75 31493 47239 6-986 94479 125972 157465 18x958
8.00 31820 47730 63640 9.460 127280 159100 190920
8.25 32139 48208 64278 96117 128556 160695 492834
8,50 32417 48670 61X94 97311 429788 162235 194682
8,75 32747 49120 65194 98241 130988 163735 196,82
9,C0 33038 49557 66076 99114 432152 165190 198228
9,25 33321 49981 66642 99963 133281 166605 499H26
9,50
9,75
33597
33865
50395
50797
67I94
67730
100791
401593
134388
135460
167985
169325
201.1
203110
-
40,00 34127 51190 68254 402381 436508 470635 2114762
DEUXIÈME PARTIE
2
CONSTRUCTIONS MÉCANIQUES
E :
seconde, et T le travail en kilogrammètres.
Mais, en pratique, cette formule se modifie ainsi T= X PE; c
c coefficient exprimant le travail absorbé par le frottement et autres
résistances nuisibles.
E
Les formules E = V t, V == et t == dans le mou-
vement uniforme la relation entre l'espace parcouru pendant un cer-
tain temps et la vitesse par seconde.
Dans le mouvement uniformément varié, l'espace parcouru est
Qfâ
donné par la formule E = e + V t ::!:: ; a exprimant l'accéléra-
tion de vitesse, et e l'espace initial. Un corps lancé en l'air est uni-
formément retardé par la pesanteur; dans sa chute, il est unifor-
mément accéléré.
Le poids d'un corps s'exprime ainsi P
ou 9,8088, la vitesse
acquise par un corps
: Mg; M la masse, et g,
=
au bout de la' lre seconde
-.
P
de sa chute. On tire de cette formule M =
i
-
9
La force vive d'un corps a pour expression M V2 ou : PV2
PV2.
g
La formule V = V2gH exprime la vitesse acquise par un corps
2.
2
~PX: H
V
V
tombé d'une hauteur H; on en tire H = 2g Le travail théorique,
développé par un poids P tombant d'une hauteur H pendant un
temps J est exprimé par T
TABLE EXPRIMANT EN MÈTRES
--..
LES VITESSES CORRESPONDANTES A DIVERSES HAUTEURS, ET RÉCIPROQUE-
MENT LES HAUTEURS CORRESPONDANTES A DIFFÉRENTES VITESSES.
;G2
013
0,01
0,05
0,10
0,15
1
? £
OO
U><N«LUI
S-S
3 8.S HA
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0
E
C I
G£1-3—C/3
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0,45
0,99
1,40
1,715
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1,80
1,90
2,00
2,10
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H-
5,943
6,105
6,264
6,419
G.
u
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0,01
0,10
0,20
0,30
C
O
G
C.
0,00051
0,00204
0,00459
H C
O
0,000012,60 0,3446
TFLC
2,70*0,3716
2,80
2,90
G
°O
0,3996
0,4287
0.20 1,981 2,20 6,570 0,40 0,00M6 3,00 0,4">88
0.25 2,215 2,30 6,718 0.50 0,01-27 3,10 0,4899
0,30 2.426 2,40 6,862 0,60 0,0184 3,20 0,5220
0,35 2.620 2,50 7,005 0,70 0,0250 3,30 0,5551%
0,40 2,802 2,60 7,143 0,80 0,0326 3,40 0,5893
0,45 2,972 2.70 7,279 0,90 0,0413 3,50 0.6-244
0,50 3,13-2 2.80 7,412 1,00 0,0510 3,60 0,6606
0,55 3,285 2,90 7,542 1,10 0,0617 3,70 0,h!l78
0,60 3,403 3,00 7,672 1,20 0,0734 3,80 0,7361
0,65 3,600 3,25 7,985 1,30 0,0864 3.90 0,7753
0,70 3,705 3,50 8,288 1,40 0,0999 4,00 0,8156
0,75 3,836 3,75 8,577 1,50 0,1147 4.25 0,9207
0,80 3,961 4,00 8,859 1,60 0,1305 4,50 1,0322
0,90' 4,208 4,25 9,14 1,70 0,1473 4,75 1,1501
1,00 4,430 4,50 9,40 1,80 0,1651 5,00 1,2744
1,10 4,645 4,75 9.66 1,90 0,1840 5.25 1,4050
1,20 4,852 5,00 9,91 2,00 0,2039 5,50 1,5420
4,30 5,050 5,2:; 10,146 2,10 0,2248 6,00 1,8351
1,40 5,241 5,50 10,385 2,20 0,2467 7,00 2,4978
1.50 5,425 6,00 10,847 2,30 0,-2696 8,00 3,26-24
4,60 5,603 6,50 11,289 2,40 0,2936 9,00 41290
1,70 5,775 7,00 11,716 250 0,3186 10,00 5,0975
NATURE DU TRAVAIL.
40 Élévationverticaledespoids,
Un hommemontant une rampe
de>
">
ÇJ
-
QUE PEUVENT FOURNIR 1/HOMME ET LES ANIMAUX.
--
=8, ||
H
S
:g 0 b' ;=
Æ
ë
-- .g
¡;
'=g
---é
::¡ ",
"P.
>-:journalière.
s
Quantité
kgm.
vide.,.
Un manœuvre élevant des poids
avec une corde et une poulie, ce qui
l'oblige à faire descendre la corde à
Un manœuvre élevant des poids
enlessoulevantaveclamain
Un manœuvre élevant des poids
18
20
0,20
0,17
3,6
3,4
6
6
77760
73440
-lm/W.
43200
manœuvre élevantdes terres
Un
la
àlapelleà hauteur moyenne de
2,70,40 1,08 10 38880
2o Action sur les machines et outils.
Un manœuvre agissant sur une
roue à chevilles ou à tambour : *
10Auniveau
le del'axedelaroue.
2oVers basdelàroueou à 2Vo.
l'nmanœuvremarchantetpous-
60 0,15
0,70
9
8,4 8 8 259200
241920
continue.
sant ou tirant horizontalementd'une
manière 12 0,60 7,2 207360
manivelle.
8
In manœuvre agissant sur une
8 0,75 6 8 172800
51,
Un manœuvre exercé poussant et
le sens10 5,50
vertical
L'n
pas.
tirant alternativementdans
not.
atteléà
allant au
chevalet unevoiture
70
8 158400
pas.
0,90 63 10 2168000
à
Unchevalattelé unevoiture et -
allant au
allant au
à
Unchevalattelé unmanège et 44
45
2,20
0,90
96,8
40,5
4,5
8
1568160
1166400
®
--.a
NATURE DU TRAVAIL.
allant au tl'Ot.
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TABLE DES QUANTITÉS DE TRAVAIL, ETC. (Suite).
«
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s-
g.
2,00
g
45
en
<D
km. heures.
60 4,5
Ci
^3
2
Quantité
Adu
travail
« Journalière.
km.
972400
allant au pas., 1036800
pas.
60 0,60 36 8
Un mulet attelé à un mauége et
allant ao pas 30 0,90 27 8 777600
Un âne attelé à an manège et
allant au 14 0,80 11,2 8 322560
3o Transporthorizontaldespoids.
Unhomme marchant sur un che-
min horizontal, sans fardeau, son
travail consistant dans le transport
dupoidsdesoncorps 65 1,50 97,540 3510000
Un manœuvre transportant des
matériauxdansunepetitecharrette
ou camion à deux roues, et revenant
à videchercherdenouvelles charges. 100 0,50 50 10 1800000
Un manœuvre transportantdes ma-
tériaux dans une brouette et revenant
à vide chercher de nouvellescharges. 60 0,50 30 10 4080000
Un hommevoyageait en transpor-
tantdesfardeauxsurson dos 40 0,75 30 7 756000
Un manœuvre transportant des
matériaux sur son dos, et revenant
à vide chercher de nouvelles charges. 65 0,50 32,5 6 702000
Un manœuvre transportant des
fardeaux surune civière, et revenant
àvide chercherdenouvellescharges. 50 o,33 16,5 40 594000
4
Un manœuvreemployé à jeter de
la terre au moyen de la pelle, à
4 mètres de distance horizontale.. 2,7 0,68 1,8 10 64800
Un cheval transportant des far-
et
deauxsurunecharrette marchant
aupas, continuellement chargé. 700
chargé.
1,10 770 10 27720000
Un cheval attelé à une voiture et
marchant au trot, continuellement
350 2,20 770 4,5 12474000
Un cheval transportant des far-
deaux sur une charrette, au pas, et
charges.
revenant à vide chercher de nou-
velles
trot.
700 0,60 420 10 15120000
Un cheval chargé sur le dos et
allantaupas 1-20 1,10 132 10 4752000
Un cheval chargé sur le dos et
allant au 80 2,20 176 7 4435000
j
TABLE DU FROTTEMENT PAR GLISSEMENT
DES SURFACES PLANES, 1° AU DEPART, APRÈS UN CERTAIN TEMPS DE
CONTACT, ET 20 LORSQU'ELLES SONT EN MOUVEMENT LES UNES SUR LES
AUTRES.
RAPPORT
INDICATION frottement àlapression.
- après lorsqu'ellessont
nncertaintemps enmouvement
SURFACES EN CONTACT.
COriTACT. decontact lesunes
dessurfaces. surlesautres.
CbênesnrchÈne,sansenduit. 0,48
Id.
Id.
sec.
frotté desavon
mouilléd'eau0,70
0,44
0,G2
0,16
0,25
Feroufontesurchêne,sansenduit 0,26
Id.
Id. mouillé
Fonteoufersurfonte,sans
d'eau.
frottédesaindouxoudesuif.
enduit
0,62
0,62
0,65
0,46
-0,26
o,:!O
0,10
enduit
Id.
0,280,27
frottéd'huileoudesaindoux.
Courroie surpoulieenfontepolie, sans
enduit.,.
Courroie sur poulie en fonte brute, sans
0,12
0.54
0,08
0,54
Courroie surtambourencht%ne,sansenduit. 0,47 0,27
Chêne, orme,charme,fer,fonte et bronze,
-
glissant deux à deux l'un sur l'autre,
Id.avec
d'eau.
enduitsd'huileoudesairnloux
Cuir de bœuf pour garniture de piston, sur
fonte, mouillé
huile,suifou 0,15saindoux
Cordedecbahvresurchêne,sansenduit..
0,15
0,62
0,62
0,10
<,36
0,12
0,52
——— —
Le coefficient de frottement indiqué pour bois suppose les fibres
parallèles; il diminue de 0,05 lorsque les fibres sout perpendiculaires.
On admet un coefficient c =
0,07 à 0,08 pour le glissement de bois
=
sur métaux ou réciproquement, et c 0,10 pour métaux sur métaux
lorsque l'enduit est renouvelé à la manière ordinaire; mais pour un
graissage continu, le coefficient moyen pour les bois comme pour les
métaux descend à 0,05.
Frottement par roulement. — La table suivante de M. Morin
donne le coefficientdu frottement d'un corps en mouvement rotatif
sur un autre. Cette résistance est indépendante de la longueur du i
tourillon que.l'on doit faire alors aussi étendue que possible pour
diminuer d'autant le diamètre du tourillon.
TABLE DES RAPPORTS DU FROTTEMENT
À LA PRESSION, POUR LES TOURILLONS DES AXES EN MOUVEMENT
DANSDES.BOITESOUCOUSSINETS.
RAPPORT
INDICATION du frottement à la pression.
ÉTAT
ETAT
des lorsque lorsque
DESSURFACES. l'enduitest Ieud.uit
SURFACES EN COKTACT. renouvelé est
à la manière sanscesse
ordinaire. renouvelé.
Toarillonsenfersur Enduitsd'huiled'olive,
Id. fersur
Id.
fonte Id
coussinets en bronze.
Id.fontesurbronzeId
de saindoux, de suilou
de cambouis onctueux. 0,075
0,075
0,054
0,054
Id,
Id.fersurgaîacId.
Id.fontesurfonte
Id.fonte surgaïac.
Id.feroafontesurfonte.Etmouillésd'eau
0,075
0,075
0,1-25
0,100
0,054
0,054
»»»i>
0,092
0,140 »»»» 1
TABLE
DES
RAPPORTS DU FROTTEMENT A LA PRESSION, DANS LE CAS DU ROU-
LEMENT DE SURFACES CYLINDRIQUES SUR DES SURFACES DE NIVEAU
(PONCELET).
continue0,0010
saillantes, avec alimentation de
Roues enfonte sur ornières saillantes, avec alimentation de
0,0238
0,0102
0,0023
0,0035
0,0012
graisse
TABLE DU RAPPORT DE L'EFFORT DU TIRAGE
A LA CHARGE TRAÎNÉE.
charge
NATURE DE LA ROUTE SUPPOSÉE HORIZONTALE.
RAPPORT dntirage
totale.
Id.
très-uni.,.
siliceux
Terrain ferme battu et
:
Terrain naturel, non battu et argileux, mais sec
etérayeux.
Id. en empierrement, à l'état d'entretien
Id. - id.
àlaétant
manièreordinaire
.,
Chaussée en sable ou caillotitis nouvellement placés..,
ordinaire.
(
parfaitement entretenue et roulante.
etla trot.
pasau
0,250
0,165
0,040
0,425
0,080
0,033
Id. pavée 0,030
voiture
pas.
supendue
entretenusIaugrandtrot.
Id. pavée en carreaux de grès bien ( au
augrand 0,070
0,025
rabotés. 0.060
1 Id.
ettrës-nnies.
en madriers de chêne non
Chemins à ornières plates, en fonte de fer ou en dalles très-
dcres
Chemins de fer à ornières saillantes, en bon état d'entretien..
0,022
0,010
0,007
Id id.
et les essieux continuellement huilés.,
parfaitement entretenus, -
0,005
le frottement.
d"
Dans cette dernière expression,
Pe c
~bqzc/i
rest l travail
le b b. par
.1 absorbé
-
Dans ces formules le signe + est employé quand le corps monte,
le signe — quand il descend.
,
Presse à coinx — La luree F, nécessaire pour vaincre une résis-
mule
F== —
tance ou pression P à l'aide d'une presse à coin, se calcule par la for-
: tang.a(1- 2c C2 ) —
———
P, dans laquelle a est l'angle que
fait la tète du coin avec chacune des faces travaillantes.
0).X
Pour un espace e parcouru par le coin en s'abaissant, le bloc
comprimé avancera de 2 e', e' étant égal à e tang. a, le travail
moteur sera Fe =
-|. - —
pour produire, à l'aide d'une vis à filets carrés, une pression don-
F =P X
travail T du frottement dans un tour de manivelle ou de le-
(IL2 -(- 3944ri)
vier est donné p"ar T = Ph +Pc
R le bras de levier ou le rayon de manivelle de la force P ;
r le rayon moyen de la surface hélicoïdale en contact;
h le pas de la vis.
:
révolution est T = P h +
~m
-628h;
Pour les vis à filets triangulaires la formule du travail pour une
pc
,/,2
6,28 c
+
39, 44 rî,
r- h
}] ;
:
Frottement d'un tourillon sur des roues ou roulettes. — Le
travail du frottement est donné par la formule T = c P - x—.
R 6u
Ainsi, plus le-rayon R de la roue sera grand par rapport à r rayon
du tourillon, plus le travail de frottement sera réduit.
Frottement d'un pivot dans une crapaudine.
frottement par seconde esi donné par la formule :
-
Le travail du
Frottement des boutons de manivelles et excentriques. — Le
travail du frottement par seconde est donné par la formule :
P est la pression transmise par Ii bielle ou par la barre d'excen-
trique, et r le rayon du bouton ou de l'excentrique.
Frottement d'un piston dans un corps de pompe. — Le travail
du frottement pour une course du piston est T = 3,14 De P h L, dans
laquelle D est le diamètre du piston, h la hauteur de la garniture,
P la pression du liquide ou gaz sur 1 mètre carré de surface, et L
la course du piston.
Calculs des ressorts. — On distingue trois espèces de ressorts
les ressorts de suspension, les ressorts de traction et les ressorts de
:
choc qui servent quelquefois comme ressorts de traction.
Les formules suivantes de MM. Pbilipps et Blacher servent à cal-
culer les données des ressorts à feuille de même épaisseur.
Ressorts de suspension. — Données préalables :
a = largeur
des feuilles; i = la flexibilité par 1000 kilog.; 2Q = la charge nor-
male; 2 L = la longueur développée de la première feuille entre les
points d'appui; 2c = la corde de fabrication; 2c' = la corde sans
r
charge; f = la flèche de fabrication; r = le rayon de fabrication
des feuilles; 2P = la charge d'aplatissement du ressort; a = l'allon-
gement correspondant; e = l'épaisseur des feuilles, on aura :
P
Dans le cas où les épaisseurs de feuilles ne varient que de mil-
limètres en millimètres, on prend comme épaisseur celle en milli-
mètres qui se rapproche le plus de e = 2 r a; on en déduit
r—;
M
L'étagement se détermine par 1
= M, le moment d'élasticité
Eae3
d'unefeuille,s'obtientparM=12;E==20,000,000,000;
20,000,0.00,000;
lalame;
lames, le volume
~( » +
iile poids Q =
et
d'un
1L'a6D 2
ressort est V ==
(n+
~(n
2
L'(ib
1) LI
= -- -
n exprime le nombre de.feuilles, et L' deux fois la force normale à
;
La quantité de travail que les ressorts de choc peuvent absorber
E a'a*
EVV
+1)
(1 h
s'obtient par T = 6
V = volume du ressort.
Nota. — Dans les chemins de fer l'épreuve des ressorts suit la
progression suivante :
Ressorts de wagons et voitures à voyageurs.
= 2000k
Ressorts de
=
Ressorts de wagons à marchandises et tenders.
locomotives. = 5 à 6000k
3000 à 4500k
ORGANES DE TRANSMISSION.
Chaînes. -
Lnrsqn'il s'agit d'une charge permanente la tension
T par millimètre carré d'nne chaîne en fer sans étais est en moyenne
de 6 kilng ; elle est, pour les chaînes garnies d'étais, de 8 kilog. La
résistance du fer d'une maille d'un diamètre d est égal au produit
La double section 2 S
=ou
du double de sa section S par la tension T.
2 71 (l
1.5708 d2; alors le poids P sus-
4
pendu à la chaîne est obtenu par la formule P=T x
1 5708 d2.
DIAMÈTRE
POIDS FORCE DIAMÈTRE POIDS FORCE
kilogr.
millimètresendumètre àl'emploi en du mètre à l'emploi
en
enkilogr. millimètres,enkilogr. enkilogr.
160,8
14
1g 4,0
0,7 1000
1250
15(10
24
26
28
1.6,
2,0
2,:;0
2250
2500
2750
20 1,2 1730 30 3,0 3000
,
La largeur des courroies se détermine dans de bonnes conditions
par la formule L =
1500X
1500 X F F
; F exprimant la force en chevaux-
vapeur, et
~v
Q.e ili
LA QUANTITÉ DS CIRCONFÉRENCE ENVELOPPÉE. PAR M. ARMENGAUD AINE.
f
en L'ENVELOPPEMENT DES POULIES
1/4 V3
ÉTAT
t/2
SUPPOSÉ DE:
2/3
S
Pres
Iax sion de la dela
Pression de la sur les
es* scourroie lesen
axescourtoieSenni Mill.
e
Largeur Pression Largeur PressionLargeurl
Largeur
Pression LargeurPression
enmill.aaxxeess' e nmill.
gSSc,mrroieaaixeà:>- coui*roisur coiirroie
k. k. k. k.
10
15
51
76
30
45
41
61
25,
38
34
47
21
31
26
40
18
27
20 101 61 si 51 62 41 53 36
25 126 76 102 63 78 51 66 45
30 156 91 122 76 93 62 79 55
35 177 406 142 89 109 72 92 64
40 2112 121 163 401 124 82 106 73
45 227 13e 183 114 140 92 119 82
50 253 151 203 127 155 103 132 91
'55 278 166 224 139 171 113 145 100
60 303 18-2 244 152 186 123 158 109
65 328 197 264 165 202 133 172 118
70 354 212 285 477 247 444 185 427
75 379 227 305 190 233 454 198 136
80 404 242 325 2113 248 464 21) 146
155
•
85 429 257 346 215 264 174 224
185 238 464
•
90 455 272 366 228 279
»»»
473
D
95 480 i87 3,6 241 295 195 2M
»*»•J»•
100 505 302 407 253 310 205 263 1S2
110 448 279 341 221; 290 200
120 488 304 372 246 317 218
130 403 267 343 236
140 434 287 369 255
465 308 395 273
150 ,
t
Poulies. — La largeur de la courroie étant donnée permet de cal-
culer les proportions des poulies.
Ainsi, la largeur lJ de la couronne 1,2L; l'épaisseur du bord
=
de la jante en millimètres ou e = (0,03 L) +
0,005 R; L exprimant
la largeur de la courroie, et R le rayon de la poulie.
-
l'épaisseur au milieu ou e
=
La jante ayant une surface bombée pour retenir la courroie,
0,06 L + 0,005 R ou e' = e + 0,03 L;
on ajoute 0,006 L pour la dépouille.
L'épaisseur e" des bras = 0,12 L et près du moyeu = 0,18 L.
50R
La largeur des bras près du moyeu ou
E
L'épaisseur du moyeu = 0,3 L. La portée ou L" = 1,4 L.
1 =V
1
-.
6
:
Engrenages. — Les formules des roues, poulies et tambours dé-
coulent des principes suivants 1° les nombres N n de deux roues
en contact sont proportionnels aux circonférences, diamètres ou
;
rayons R r de ces mêmes roues 2° les vitesses V v des roues sont
en sens inverse du nombre de dents, et les vitesses des roues des
=n
poulies et tambours sont en raison inverse des rayons; d'où
N : n :: R : r, Y : v :: n : N, et V : v :: r : R.
V =
60
La vitesse à la circonférence d'une roue est donnée par
~2 77 R X t
60
'd'
; t indiquant 1le nombre de tours.
L.
La vitesse angbulaire
l est v = ~27rR
y
2—"*R';
exprime le nombre de révolutions d'une roue par minute.
puis la
1 fformule t = ---
V
2
X 60
7rR
L'effort exercé sur une dent de roue est donné comme pour la
N X 75
courroie par E = ; N X 75 est la quantité de travail en ki-
:
noit établit les rapports suivants entre la largeur 1, l'épaisseur e et
la saillie s des dents 1 = 5 e; 6 = 25 s, et 6 e = 5 s. Il fait pour les
dents de bois :
et pour les dents en fonte pour arbres premiers moteurs : 1
-
d'une roue d'engrenage.
Ainsi le pas des dents dans un engrenage brut de fonte est donné
par p = 2,1 e; si la dent est taillée p = 2,05e.
54
Dans un engrenage de bois et fonte, où la dent en fonte est les
PRESSION
en
en
kilogr.
! ROUES EN
Epaisseur
desdents
fOTE.
Pas
del'engrenage
enmillimétrés,eumillimètres,
*
ROUES A DENTS DE BOIS.
Epaisseur
des dents
-
Pas
del'engrenage
enmillimétrés,enmillimétrés.
•
25,7 54,0 35,5 74,6
700
800
27,7
29,7
58,2
62,4
37,2
41,0
78,3
86,2
900 31,5 66,1 43,5 91,3
1000 33,2 69,6 45,8 96,2
;
peut, pour la commande des meules de moulins, être réduite à 25
ou 26 millimètres mais alors.on fait 1 =
5 ou 6 e.
Si, par le croisement d'une courroie, on change le sens de mou-
vement de deux poulies ou tambours, il n'en est pas de même d'une
roue intermédiaire entre deux roues; elle ne change ni leur vitesse
ni leur direction respective.
TABLE SERVANT A DÉTERMINER LES NOMBRES
a>w
-°C'a5 s o
S
0)^2
"aCU
a
ô
CONNAIT LE PAS DE LA DENTURE, ET RÉCIPROQUEMENT.
o>
S SCT3*5en
S£ >
gc-ag cj
1
Pour les tourillons d'arbres premiers moteurs, c'est-à-dire arbres
forts, on prend:
! 392940 pour le fer ou l'acier, d'après Morin.
X = 630000 pour lefer )1 d'après
d , Love.
297000 pour la fonte
C= 6859 pour la fonte l
d'aPrès Buchanan.
C=== le
4096 pour e er fer 1
,
j
Cette table es déduite de la formule d3 =Xc,
n
et c= 4096.
L
d3= lorsque l'effort P agit au milieu de la longueur L.
2356200
d®=—: PLL'
2356200 XL
lorsque
1 l, If'
l'effort agit à des
d d'distances L et L'des
d
points d'appui.
On peut, lorsque l'arbre est soumis à plusieurs charges, reporter
toutes ces charges aux points d'appui et considérer l'arbre comme
mités. -,
encastré au point d'application de la plus grande de ces charges. On
applique alors la formule d'un solide encastré par une de ses extré-
= 589050
p étant l'effort résultant appliqué à l'un des
points d'appui ou coussinets à une distance — l du point d'applica-
tion de la charge la plus voisine.
Pour les arbres soumis à des chocs ou qui n'éprouvent que des
flexions très-faibles, tels que les arbres des roues hydrauliques, il
conviendra de prendre la moitié du coefficient 2356200, soit1178100.
--- -1pI
BOULONS ET VIS BOULONS ET VIS
Diamètre
lJimètre oYau
à filets
Noyau
exterteur intérieur
triangulaires.
.I
DiamètreNoyau
TrartlOn, Diamètre
dlnale,
p à filets carxés.
extérieurm.terteur.
Noyau
Pas.
Traction
logllu-
TraclOn
Le diamètre au
milieu du corps de la bielle ou D d'
11/ 30+
= r
5 3u
r exprimant le rapport entre la longueur L de la bielle et le dia-
mètre d de chaque extrémité.
Or, si ce rapport =
25, la formule devient
Si le rapport était 10 :l
on aurait D = +
d 1,153.
Cette formule suppose une résistance de 80 à 100 kilog.' par cent.
carré pour le fer; mais pour la fonte, on n'admet qu'une charge de
30 à 35 kilog. par centimètre carré aux extrémités, et seulement de
20 à 25 kilog. vers le milieu pour éviter la flexion.
D =
=23,6
Le diamètre de la section milieu du corps à nervures d'une bielle
en fonte, en tenant compte de la réduction pour parties méplates, ou
~D)/
;
D diamètre en centimètres.
P pression effective de la vapeur en kilog., et
,
Balancier en fonte. — D'après M. Armengaud ainé cette pièce est
calculée suivant la longueur L en centimètres des bras, et suivant
la pression P de la vapeur en kilog. sur le piston.
L= ai2 6PL
La formule est P
6
de laquelle on tire = R
a dimension horizontale du balancier; b dimension verticale; R coef-
V
ficient de résistance pour la fonte = 700.
La longueur L d,e chaque bras =1,5 la course du piston ou 3 fois
la longueur de la manivelle. Dans les machines à basse pression
cette longueur égale 3 fois le diamètre du cylindre.
Le rapport entre a et b est compris entre 1 à 12, 1 à 16 et 1 à 20.
Le rapport de b à L ne doit pas dépasser 1/4 ou 1/3.
ou d"=
;
la bielle et la tige du piston ont un diamètre d' =0,8 d, d diamètre
du bouton de la manivelle le corps de l'arbre de chaque tourillon
1,25 d'. Les bouts sphériques du balancier ou D' 0,4 b;
=
la portée de ces moyeux ou l' = 0,32 b.
I
Tige des pistons. — Le diamètre de la tige en fer des pistons,
SXP
face du piston en centimètres carrés P pression en kilog. sur chaque
centimètre carré, et 100 la charge à laquelle résiste chaque centi-
mètre carré de la tige. Cette règle s'applique aux tiges de piston de
pompe à air où la pression sur le piston équivaut à 1 kilog. par centi-
mètre carré.
La formule pour une tige en acier est d = 0,6 y 100 ,c'est-
à-dire que le diamètre de la tige en acier est les 0,6 de celui de la
tige en fer.
Cylindre ea fonte. — L'épaisseur en centimètres d'un cylindre à
vapeur est donnée par la formule de Tredgold :
;
F nombre de chevaux-vapeur; n nombre de révolutions de l'arbre du
volant par minute V la vitesse à la circonférence moyenne du vo-
lant; c est un coefficient qui varie suivant le degré de régularité à
obtenir.
Ainsi c = 20 à 25 pour machines à vapeur, commandant des mou-
;
lins à farine, scieries, pompes, etc. c = 35 à 40 pour les machines
commandant les filatures, n" 40 à 60 (1); c = 50 à 60 pour les fila-
tures, n°* très-fins,
Pour les machines de laminoirs, M. Morin établit la formule :
alors il fait c = 20 pour machines de 80 à 100 chevaux; c = 25 pour
machines de 60 chevaux; etc = 80 pour machines de 30 à 40 chevaux.
a
Cette valeur variable du coefficient c provient de ce qu'il y à la
fois plus ou moins d'appareils en fonction ou en repos.
Le poids de la jante étant connu, on en détermine la section par
p
,
la formule V = - V volume, P le poids et d la densité de la fonte,
2500
bres accélérés.
~36
D
-- ;
Le diamètre du volant d'une scierie alternative est généralement
= lm à 11,130. Le poids
=
l'on fait V 61 alors
,
'd de
P
d la
=
-= kilog.
590 kl og.
d.
l jante est donné par P =
2500
V2
;
distance du point de suspension au plan horizontal passant par les
centres des boules la durée d'une révolution entière des boules équi-
vaut à la durée d'une oscillation complète du pendule.
Il se présente les questions suivantes :
La distance verticale en centimètres du point d'attache eu de sus-
En filature, le numéro d'an fil de coton est le nombre d'échevaux de
(4)
tooo mètres pesant ensemble 500 grammes.
pension d'un régulateur au plan horizontal passant par les centres
89478
des boules,ou h = ; M nombre de
révolutionspar minute.
Sous l'angle de 30" que font les branches du pendule à la plus
petite vitesse avec l'axe, la longueur en centimètres des branches, de-
puis le point d'attache jusqu'au centre des boules, est donnée par
Le
sera V mais le
La vitesse du piston ou v
1 1..
travail en une seconde est exprimé par T = 785 D2 H X v.
Dans les pompes ordinaires, le volume d'eau élevé n'est que les 0,9
=
DlX
——,——;
volume pratique sera exprime, par
21 X n
= ——, n nombre de coups parmi-
60
nute.
v
Pour les usages domestiques, la vitesse du piston ou =om16
à 0m25 par seconde; pour les locomotives et autres applications
industrielles, cette vitesse est supérieure. Le diamètre des tuyaux
d'aspiration et d'ascension égale les 2/3 de celui du corps de pompe;
de pompe.
Puissance à employer ou F =
4
l'ouverture des soupapes doit être moitié au moins de celle du corps
Diamètre de la pompe ou D
:
=V
~4
=*
D8 l
;
La pression exercée par une presse hydraulique est le produit de
tip
2itR X
soit la force réelle en chevaux.vapeur par la formule F = 4500
Le frein dynamométrique de M. Morin, pour déterminer la force
permanente d'un moteur, consiste en un style ou crayon, qui, soumis
aux flexions de lames d'acier, trace sur une bande de papier une
courbe exprimant graphiquement les effets du moteur transmis et
mesurés par ces lames.
Location de force motrice. — On peut se servir, pour distribuer
ou mesurer la force motrice, soit de courroies libres avec poulies de
tension chargées de poids proportionnels, soit de cônes de friction,
de telle sorte que le mouvement soit interrompu dès que la résistance
dépasse le maximum de force louée.
production
d h' •
en vapeur théorique exprimée par -
absorbe 650 calories de chaleur latente et sensible, il résulte une
7500
650 = 1lkk54 par
kilog. de houille; or, en pratique, sous les générateurs cylindri-
ques, avec ou sans bouilleurs, on n'obtient en moyenne d'un kilog.
de houille que 6k50 de vapeur, et sous les meilleurs générateurs
• tubulaires on n'a pu encore dépasser 10 kilog.
La puissance calorifique du coke à celle de la houille est comme
13 : 14; dans les locomotives le coke encrasse moins les tubes et
la grille, il est fumivore, il concentre mieux le calorique et il ne
.doit donner que 5 à 8 p. 0/0 de résidus ou cendres.
La puissance calorifique de la tourbe ordinaire, par rapport à celle
de la houille, est comme 1 : 2,50; celle du bois ordinaire est comme
1 : 2,28; celle du coke de gaz est.au coke de four comme 6 : 8.
Ainsi, lorsqu'un kilog. de houille évapore 6k50 d'eau, 1 kilog. de
coke en vaporise 5k8 à 6k, la tourbe 2k6, et le bois 2k8 d'eau
moyennement.
Mesurage de la bouille et du coke. - L'hectolitre de houille
mesurant 0m503 de diamètre et de hauteur, pèse 78 à 80 kilog.; le
mètre cube pèse 10 X 80 = 800k. La voie ancienne mesurait 15 hec-
tolitres et pesait 1200 kilog. L'hectolitre de coke pèse 38 à 40 kilog.;
le mètre cube pèse 380 à 400 kilog. La voie ancienne mesurait
15 X 40 = 600 kilog.
Pour mesurer un bateau chargé de houille ou de coke on évalue
le volume d'eau déplacé, on cherche le nombre d'hectolitres con-
tenu dans le volume trouvé et on le multiplie par le rapport existant
entre le volume d'eau et celui de houille ou de coke à poids égal, en
se guidant sur les données suivantes :
1 hectolitre ou 100 kil. d'eau équivalent à 2 hect. 64 de coke à 38 kil.
t id. id. id. 2 44 id. 40
1 id. id. id. 1 28dehouilleà78
1 id. id. id. 1 25 id. 80
::1
§,
b—=------
COMPOSITION VOLUMED'AIR.NiSo
0
° ¡:;:
COMBUSTIBLES.
1
T" J& ë
te
©
a.;,
=
?
®
.22
g
s-
S
g
- ac:..=
-£ "fSÏ
Boisscc. à
Boisordiii. 0,20d'eau 0,416
0.51
»•
0,10
•
0,37
2800
3(100
3,60
4,50
5,40
6,75
f2,85
15,43
sèchelr»qujl.0,58
Tourbe 0,02 0,40 4000 5,64 11,25 24,63
tourbe.
Charbon de
Charbondebois0,80
Coke.
Anthracite
Houillemoyenne083
0,75
0,90
»
0,02
0,0240,0i6
0,25
0,18
7350
"JOOO
»»
5800. 6,60
8.20
13,20
16,40
» 27,72
34,44
»»»
0.05 0.07 7500 9,05 18,10 38,72
gaz
Goudron de
carbone.0,43
Oxydede
Carbone
Alcool.,.
0.85
058
»
0,19
»
0,15
0,23
0,57
6000 7,50
3,78
40758 10,17
2488
71708,81
»
»»• 15,0031,30
20,34 •
Ethersulfurique0,5.; »>
»» 26,66•»
>»
0.52 0,14 0,34 6s55 8,31 46,62
Hydrogène. 9430 10,17 >
0,58 34742
Le pouvoir rayonnant du bois et de la tourbe est de 0,25 à 0,28;
celui du charbon de bois, de la tourbe carbonisée, de la houille et
du coke est de 0,50 à 0,55, en supposant les puissances calorifiques
égales à l'unité.
La puissance calorifique utilisable d'un combustible dépend de la
quantité de cendre qu'il fournit; ainsi, la houille qui donnerait 0,15
p. 0/0 de cendre n'aurait de calorique effectif que 0,85 X 7500 = 6375
calories.
Dans les marchés de l'État les conditions suivantes sont pres-
crites : 6k50 de vaporisation minimum par kilog. de houille, 13
p. 0/0 maximum de cendres et résidus, 2 p. 0/0 de mâchefer, et
le poids maximum de l'hectolitre de houille = 80 kilog.
Générateurs à vapeur. — Leur disposition varie pour machines
fixes, locomotives et navires à vapeur.
La chaudière des usines à vapeur est cylindrique et munie ou
non d'un ou de deux bouilleurs extérieurs. Ce générateur est de pré-
férence en tôle de fer au bois du Berry. La tôle est un métal résis-
tant et très-malléable. Le poids d'un tel générateur s'apprécie moyen-
nement à raison de 12 kilog. le mètre carré de tôle par chaque
millimètre d'épaisseur non compris les accessoires qui entrent pour
25 à 30 p. 0/0 du poids total. Son prix de revient est six fois
moindre que celui du cuivre, en tenant compte de sa densité rela-
tivement plus faible.
D'après l'expérience, la tenacité de la tôle croit de 1/6 environ de 0
à 205°; mais au-drIà elle diminue rapidement et descend à 715°
au 1/30 de celle à zéro. 1
ire
1re Ire Ire i~e
9fl21
CHAUDIÈRES
4ma
3me 3me 3me 3me 3me
îme
2me 2meme. ire ire Jre,. Ire .,
4me 3me 3me
DIFFÉRENTES
9 4me Jre
renseignements
8t/2 3me
4me
.,
;
2me
2me
2me qu'à
6t/2
_--~———_
* 2me
2<ne|2œe
2me donne
DE
DES
DES 51/216
4me
e
•• 4uie la
1
NUMÉROSAUXQUELLES 2me
CAPACITÉS NUMÉROS 2me ne
4me 3me
3me
Grouvelle
4me
4m
5 4me
LES LES
DIFFÉRENTES
POUR
4t2 4me 3me3me ,, 3mei2me
M.
PAR 4tne
CATÉGORIES
me et
EXPRIMÉES
31/2
4™e
Jme
3me
2me2me J
2rne 2me
spéciales.
LES
DES
3 4^8
4me
4 3me
3me Ire données
VAPEUR
CORRESPONDENT 4me 2me
——————————*
21/2 4me 3">e
4me 2me
4me
NUMÉROS
tl/2121^37
4me
4me
3me 3me
ire
des
LA
DE
4"'e
4me
4me..
4me 4me
2me
2me 2.e
fre
sur
s'appuie
3me
3me
AUXQUELLES
colonne
chevaux
FORCES
(t),
près correspon-
peu liantes
1,44 1,501,60 1,71 1,82 1,94 2,102,282,46 2,74 3,00 3,423,78 3,954,14 4,476,8910,3013,8017,2020,7024,1027,50
31,0034,5038,00 o:
2o5
41 deuxième
CATÉGORIES
en à
CAPACITÉS
chaudières
cubes.
mètres
0,300 0,5000,5400,h000,6600,7500,850 1,00i0
0,3150,3300,3500,3750,4000,4250,460 1,2001,5002.0003,1004,0005,0006,0007,00080009,00010,000
11,0f0
12,Ooô
Cette
des
DES en
I (1)
:
L'épaisseur en millimètres des tôles de chaudières cylindriques à
vapeur se calcule par la formule administrative
DIAMÈTRES
des Chaudières.
met.
— -p
234567
"™
atmosph.
NUMÉROS DES TIMBRES
EXPRIMANT LES TENSIONS DE LA VAPEUR.
atmosph.
m/ m
atmosph. atmosph. atmosph. atmosph.
ni/m m/m m/m
m m m m
0,50 3,9 4,8 5,7 6,6 7,5 8,4
0,55 4,0 5,0 6,0 7,0 7,9 8,9
0,60 4.4 5,1 6,2 7,3 8,4 9,5
0,65 4,2 5,3 6.5 7,7 8,8 40,0
0,70 4,3 5,5 6,8 8,0 9,3 40,5
0,75 4,3 5,7 7,0 8,4 9,7 44,4
0,'(, 4,4 5,9 7,3 8,8 40,2 44,6
0.85 4,5 6,4* 7,6 9,4 40,6 42,2
0,90 4,6 6,2 7,9 9,5 41,4 42,7
0,95 4,7 6,4 8,4 9,8 44,5 43,3
4,00 4,8 6.6 8,4 40,2 42,0 43,8
4,40 5,0 7,0 8,9 40,9 42,9 44,9
»•
4,20 5,2 7,3 9,5 44,6 43,8 46,0
4,30 5,3 7,7 40.0 42,4 44,7 >
t,40 5,5 8,0 40,6 43,4 45,6 *
4,50 5,7 8,4 41,4 43,8
m. m. m. m. m. ta.
2 1,65 1,75 0,66 0,28 8 8
4 2,10 2,20 O,O 0.30 8 8
6 2,70 2,85 0,75 0,35 9 10
8 3,40 3,60 0,80 n,35 9 10
10 4,10 4,30 0,80 0,38 10 10
12 4,80 5,00 0.80 0,38 10 10
15 5,60 5,80 0,80 0,15 10 10
20 6,60 6,80 0,85 0,50 10 10
25 8,00 8,20 0,85 0,50 10 10
30 8,30 8,50 1,00 0,00 10,5 10
35 9,50 9,70 1,00 0,60 11 10
40 10,00 10,30 1,00 0,70 H 10
:
par centimètre carré. D diamètre intérieur en centimètres. R ré-
sistance du métal par centimètre carré soit pour la tôle de fer 600;
pour le cuivre laminé 350 et pour la fonte 217. — On donne, au
des
nôtres,
DESCENDANTE DE
ALE
CORPS
Ascend.
1,96b £
3,5Q
4,1005,3004.0004,8705,100
5,9705,5906,7607,6709,090
9',360 10,500
10,340 11,600
carr.
SURFACE
TOT -- Descend.
TOTALE
déc. » » »» 32,4043,2052,0062,7080,00100,00
120,00
144,00
162,00 200,00
180,00 220,00
GRILLE 23,2
Ascend. carr. 34,846,4 67,2 86,4
10 12 18 56 108 130 156 175 200 216 240
DE déc.
ET
PRATIQUES
cheval.'—*——"'——*"'
Descend. carr. 74'
CARNEAUX » » » » 90 90 87 87 84 84 80 80 77 77 74
SECTION dée.
MONTANTE
de
ingénieur.)
force Ascend. carr.
1,001,001,001,000,950,950,950,950,900,90 0,900,90 0,850,850,800,80
DES
par
DIMENSIONS
IIOUEL,-
-
totale. d'éc. 8,1010,8013,0015,6020,00
25,0030,0036,0040,25
45,0049,50
5,00
DESCENDANTE
Il » »
CHAUFFE
FLAMME
M. cheval m.carr,
1,35 1,351,30 1,301,25 1,251,201,20 1,151,151,101,10
par » » » Il
DES (Revue
p.
DE
------
totale, 32,5039,0043,75KO,00
1,50 3,004,50 5,808,7011,6014,0016;8021,6027,00 54,0060,00
SURFACE m.carr.
ASCENDANTE
TABLE
A
Icix¡. 1g
GÉNÉRATEURS O
p.cheval
1,50 1,50 .1,501,451,451,451,40 1,401,351,351,301,301,25 1,25 1,201,20
m.carr.
S5 500 500 600 600 500 500 500 500 550 550 600 600
!2I
Il » » »
8 carr.
1I i( 3020
c,L 600 600 700 700 700
700
800 800 900 900 1,0001,0001,1001,1001,200
1,200
S S°
DES
a m. CHEVAUX,
ru/m
2 3 4 6 3 10 12 16 25 35 40 45 50
bouflletirs.
E
pFnOnR<C-c
mFOnRfCr bouilleur.
bouilleur,
Avec Avec
Sans
EN m/m
1
Accessoires de sûreté des générateurs à vapeur. — Tout géné-
tateur doit être muni d'un manomètre, d'un flotteur ou d'un tube
indicateur du niveau de l'eau ou de robinets à différentes hauteurs,
de soupapes de sûreté et d'un sifflet d'alarme.
Manomètre. — Anciennement on se servait d'un manomètre à air
comprimé pour mesurer la tension de la vapeur dans la chaudière.
La graduation de cet instrument était fondée sur la compression
d'un certain volume d'air soumis à la loi de détente de Mariotte et
renfermé dans un tube en verie bien sec; ce dernier, d'un dia-
mètre de 8 à 9 millimètres et d'une longueur de 35 centimètres,
était fermé à la partie supérieure et plongeait par sa base dans une
cuvette à mercure.
Mais l'usage du manomètre à air libre, c'est-à-dire dont le tube
est ouvert à la partie supérieure, et à l'intérieur duquel la colonne
de mercure pressée par la vapeur fonctionne librement et s'élève
de 0m76 par atmosphère, est prescrit par l'administration toutes les
fois que la pression ne dépasse pas 4 atmosphères.
Pour les hautes pressions on emploie sur les machines fixes et lo-
;
comotives 11s manomèties métalliques. Le manomètre aréonide est
un tube creux de forme lenticulaire et roulée en spirale une extré-
mité de ce tube est mise en communication avec la chaudière à va-
peur,l'autre extrémité communique avec l'aiguille d'un cadran
le tube contourné en hélice se gonfle et se déroule ou s'aplatit et
;
s'enroule proportionnellement à l'accroissement ou à la diminution
de la pression intérieure de la vapeur; ce changement de courbure
fait tourner l'aiguille qui indique sur le cadran les diverses pres-
sions en degrés d'atmosphères.
Sifflet d'alarme. — Cet indicateur sonore porte un tube qui des-
cend dans la chaudière à un niveau au-dessous duquel ne doit pas
s'abaisser le niveau normal de l'eau sans que la vapeur y pénètre
et produise le sifflement aigu qui prévient le chauffeur du besoin
d'alimentation.
Tube indicateur. — Le niveau normal de l'eau, qui doit toujours
être à un décimètre au moins au-dessus des carneaux, est indiqué à
l'extérieur par une ligne tracée d'une manière apparente et servant
de repère au tube indicateur.
Flotteur. — On emploie dans les machines fixes un flotteur d'un
poids'spécifique supérieur à celui de l'eau; cet appareil, qui repose
sur le principe physique que tout corps plongé dans l'eau y perd une
partie de son poids égale au poids du volume d'eau déplacée, se
compose d'une pierre plate, ronde ou ovale immergé/1 moitié de son
;
épaisseur dans l'eau du générateur cette pierre est suspendue à un
fil métallique qui, traversant une boite à étoupes, vient à l'extérieur
passer sur une poulie pour être tendu par un contre-poids. L'axe de
la poulie porte une aiguille qui parcourt un cadran et indique au
chauffeur la position du flotteur et par suite le niveau de l'eau.
Soupapes de sûreté. — Elles servent à donner issue à lavapeur
lorsque la tension à l'intérieur de la chaudière dépasse la pression l
réglementaire.
par le timbre.
TABLE POUR RÉGLER LES DIAMÈTRES
A DONNER AUX ORIFICES DES SOUPAPES DE SURETÉ.
Surface
numéros DES TIMBRES surface numérosdestimbres
indiquantles tensions de la de indiquant les tensions de la
de chauffe atmosphères. chauffe
des vapeuren vapeur eu atmosphères.
chaudières. iij2 2 3
4 5 6 chaudières. iy,2 3 456
m. q.
1
mil.
25
mil.
21
mil.
161412
19
11
mil. mil. mil.
ni
m. q.
10
mil.
7965
8771
5)433835
mil. mil. mil. mil. mil.
2 35 29 23 17 12 56 47 42 38
3 43 36 29 24 21
271 19 15 96 80 62 53 47 42
4 50 41 32 24 22 18 106 87 68 58 51 47
5 56 46 36 30 27 24 20 111 92 72 61 54 49
6 61 50 39 34130 27 25 125103 81 69 60
55
7 66 54 43 36 32 29 30 136 113 88 75 66 60
86 75
70 58 46 39 34 31 40 156 130 101 69
8
9 75 o2
48 41 36 33 50 47444511396 8476
FOURNEAUX A VAPEUR.
:
La distance respective de la grille à la chaudière pour divers
;
combustibles se règle ainsi houilleou coke, 35 cent. tourbe, 50cent.;
des barreaux =-1
bois de chêne, 60 cent.
1
ou
;
1
-
bois de hètre ou de sapin, 70 cent. Le vide
de la surface de la grille.
formule V = H
La vitesse théorique des gaz dans une cheminée est donnée par la
X c Jif — t), dans laquelle H représente la
hauteur de la cheminée, c le coefficient de dilatation de l'air pour
1 degré = 0,00367, t' température des gaz à l'intérieur de la chemi-
née, soitmoyennement 300°, et t température extérieure envi- =
ron 15°.
Lavitesse étant trouvée, on calcule le volume d'air évacué par la
cheminée; prenant alors 20 mètres cubes d'air pour chaque kilog.
de houille (1), ou trouve la quantité de houille que peut brùler par
heure une cheminée; si l'on divise enfin ce poids de houille par
4kilog., dépense moyenne de houille par cheval-vapeur dan une
machine à condensation, on a la puissance de chaque cheminée en
chevaux-vapeur.
La résistance que les conduits de fumée opposent au mouvement
des gaz est en raison directe de la longueur des conduits, propor-
tionnelle au carré de la vitesse, mais en raison inverse du diamètre
aussi le tirage augmente bien plus par la section que par la hau-
;
teur des cheminées.
,
A TEMPÉRATURE ET A DIAMÈTRE ÉGAUX DANS DES CÙEMINÉES DONT
LA HAUTEUR VARIE (PÉCLET).
ternperatul'e EXCÈS
de la
1
RAPPORTS
HAUTEUR MAMÉIKE1moyenne de l'air VITESSE.
chaud
——————-_
surcelledel'air de hauteur, devitesse.
exterieur.
mètres.
3,65
9,95
3,65
(;,SO
»
mètres.
0,2115
D
degrés.
45
42
88
80
1,33
4,48
2,K)
ii,-20
4
3
1
2
1
1,11
1
1,05
1
»
9,95 81 1,99 3
0,95
D
3,65
9,80
9,95
3.6'*
6,80
0,t75
»154
D
»
148
155
80
80
2,70
3
2,87
1,82
1,8»
1
2
3
1
2
1,11
1,06
1
» 0,95
D 1
9,95 D 75 1,73 3
9,95
6,110
3,93 0,12
» 95
96
227
2,31
2,20
2,75
1
1,50
1
1
1,03
1
7.07 » 230 2,83 1,8 1,03
10,23 237 2,70 2,6 0,08
13.38 D 243 2,95 3,4 1,07
39,03
10,23»
13,38«
7.08
0,08 113
114
402
120
1,60
1,70
1,60
1,67
1
1,8
2,6
3,4
1
1,06
1
1,04
desurface.devitesse.
mètres.
3,65
»
»
mètres.
0.080
0,120
0,175
deprés.
210
227
2-21
mètres.
2
2,75
3,04
11
2.2
4,7
1,37
1,52
• 02115 220 3,22 7 1,61
6,18 0,08 1,57
et7,080,120
0,175
94
98
8)
1,77
1,80
1
2,2
4,7
1
1,12
1,14
0,2115 80 2,20 7 1,40
jenhaut.
minimutu
DIAMETRE
des
eohaut.
~r.r~de
dessurfhMue
c
HAUTEUR
minimum HAUTEUR
mètres.mètres.
p
dp
ar
NTF
mètre
fila
mètres.
ue
VITESSE
de la
fumée
cheminées verticale. sur Le.seconde.par
METRES
cubes
seconde, par
(J'ai
mètres.
r
lieure.
heure..
BOUILLE
brûlée
B
n"nomut.LTL.
parheureencllevaux-
mètres. kilog.
PUISSANCE
PUJSSANCE
de la
cheminée
vapeur.
chevaux,
0,50 30 0,020 5,30 3,700 180 45
0,60 30 0,020 5,90 6,000 300 75
0,70 30 0,025 6,20 8,600 400 100
0,80 30 0,025 6,60 11,800 600 150
0,90 39 0,025 7 16,000 800 2110
1 30 0.025 7,40 20,000 1,000 250
1,25 30 0,030 8,20 34,000 1,600 400
1,50 30 0,030 8,85 54.000 2,kOO 700
1,75 40 0,030 10,NO 90,('00 4,000 1,000
2 40 0,030 11,50 120,000 6,01)0 1,500
-
D diamètre intérieur à la partie supérieure de la cheminée; L lon-
gueur totale de circulation dans les carneaux.
RÉSUMÉ COMPARATIF
L'EXPOSITION
DES EXPÉRIENCES FAITES SUR DIVERSES CHAUDIÈRES A
1855.
la
DE
RAPPORT QUANTITÉ
surface rip
5
MISE EN PRESSION
,
A 5 ATMOSPHÈRES.
CHAUDIÈRES. chauffe
Volume
ATM,)SPHÈRFS.
1d'eauCombus- MOYENNE
Tempsliblederarré
VAPEUR. DE
et
à de
cellede XpZmn<!tiblede arl;eet
introduit. cffi¡Jluye.
la grille. hrùlé, charbon. par heure.
(1) Chaudière fumivore comme une locomotive, composée d'une boite à feu à bouil-
leur central, d'un corps cylindrique et d'une boite à fumée. Tirage par un ventilateur
qui envoie de l'air; 10 sous la grille; 20 au-dessus du foyer; et 30 au-dessus de
l'autel.
(2) Chaudière composée d'un corps cylindrique évaporateur, de deux tubes récbauf-
feurs latéraux légèrement inclinés; l'eau suit une marche inverse de celle de la fumée
et s'échauffe en montant, tandis que les,gaz se refroidissent en descendant.
(3) On produit dans un gazogène fonctionnant à l'instar d'une chaudière à haute
pression les gaz combustibles qu'on brûle ensuite au-dessous d'une chaudière. L'ali-
mentation de comhustible se fait au moyen de chargeurs fermés. L'air est poussé dans
le foyer au moyen d'un ventilateur. L'llir et les gaz combustibles sont enflammés et
lancés dans les carneaux placés sous la chaudière.
(4) La chaudière de Lyon est tubulaire, la prise de vapeur se fait latéralement sur
la boite à soupapes.
(5) Chaudière composée d'un corps cylindrique, de deux bouilleurs.et d'un tube
réchauffeur.
(6) Elle est à tubes verticaux et foyer intérieur; M. Zambaux, au moyen de deux
enveloppes placées autour des tubes et formant une espèce de sipbon, force l'eau à
mouiller les tubes dans toute leur hauteur, lorsque la chaudière est en pression.
(7) Cette chaudière contïent peu d'eau, et produit de la vapeur sèche à toute tem-
pérature et à toute pression; elle se compose d'une série de tubes verticaux et hori-
zontaux, elle forme neuf jeux d'orgues.
MACHINES A VAPEUR.
dans le cylindre..
masse d'eau froide distingue les machines dites à condensation de
celles où la vapeur se dégage à l'air libre après avoir fonctionné
;
pacité totale de la chaudière égale 17 fois 5 le volume d'eau vaporisée
par heure le volume d'eau =11 fois 5 celui dépensé par heure.
La course de la pompe à air ou du condenseur = 1/2 celle du pis-
=
ton, et son diamètre 2/3 celui du piston à vapeur. Le piston n'épui-
sant qu'eà montant le rnélangp de vapeur et d'eau à 40°, le volume
qu'il engendre est le 1/8 ou 1/9 du volume engendré par un coup
double du piston à vapeur. La quantité d'eau froide à injecter est
égale à 24 fois environ le poids de vapeur dépensé par le cylindre
(voir la formule' donnée page 59J.
La pompe à eau froide, qui amène l'eau du puits dans la bâche du
=
condenseur, a une course 1/2 celle du cylindre à vapeur; son vo-
lume est égal au 1/18 ou au 1/24 de celui de ce cylindre.
Le piston de la pompe alimentaire, qui prend une partie de l'eau
condensée pour alimenter la chaudière, a pour surface 1/69 de la sec-
tion d"
t. du piston à vapeur; la
1 capacité de cette pompe
du cylindre à vapeur; elle doit être double de la quantité de vapeur
= 230
1
— à 240 - 1
celle
Il
produite.
Machines & moyenne pression et & condensation. — La pres-
sion de la vapeur est d'ordinaire de 3 à 4 atmosphères, dont il faut
déduire 1/7 d'atmosphère pour la contre-pression; celles à détente de
Woolf à 2 cylindriques dépensent 2k 5 à 3 kilog. de houille par force
de cheval et par heure, elles exigent une alimentation de 300 litres
pour la même force et le même temps.
Machines à hante pression. — Les machines à détente dans un
seul cylindre sans condensation ne dépensent que l'eau nécessaire à
la production de la vapeur; la pression varie de 5 à 8 atmosphères,
mais il faut retrancher 1 atmosphère, soit 1k 033 par centimètre carré
pour la contre-pression de l'air. La dépense de houille est de 4 à
5 kilog. par heure et par cheval. Celles à haute pression sans dé-
tente sont rarement employées; leur consommation est de 6 à
7 kilog. de houille par cheval et par heure; leur construction est
de la plus grande simplicité, mais les joints et garnitures exigent
beaucoup de soin et d'entretien.
TABLE DES FORCES ÉLASTIQUES
DE LA VAPEUR D'EAU A SON MINIMUM DE DENSITÉ ET DES TEMPÉRATURES
la
, CORRESPONDANTES DE 11 A 24 ATMOSPHÈRES (1).
de
Force
la
élastinue
\'apeur
la
de
élastjnue
Hautenr
la p
de
Température
(le N'aiteurden,ercureeudegrés
Il
1ellatmos- colonne en
Hauteur
Tempe.rature
1phères
I)hères.
àOo-centigrades.
enmètres.
demerCUIe en deSrés
pptn;eèrreess
degrés
à 0".
en mètres.
centigrades.
H «,68
12
43
8,36
9,12
9.88
186,03
190,00
193,70
19
20
14,41
15,20
18 209,40
212,10
214,70
14 10,64 197,19 21 15,9'i 217,20
16,72.219,90
1
15 41,40 200,48 22
16 12,16 203,60 23 17,48 321,90
17 12,92 206,57 24 18,24 224,20
=
75 kilogrammètres, P la pression en kilog. de la vapeur par centi-
mètre carré, p la contre-pression qui dans les machines à condensa-
tion =1/7 d'atmosphère ou 0k 15 par centimètre carré, et dans celles
d'échappement à air libre = 1 atmosphère, soit lk 033 par centimètre
carré; S la surface du piston en centimètres, v la vitesse en mètres,
et C un coefficient que l'on fait 0,40, 0,50 ou 0,60, depuis les ma-
chines faibles, mal soignées, jusqu'aux machines moyennes et puis-
santes, bien exécutées.
On a F
~CXSv(P P - )
; or, la surface S =-,
r.Dt
et la vitesse
v = n ~nhh
60
d.
75
-)
ples par minute.
La formule devient alors F =
r.D2Xnh(P
CX P
; tel est le
travail pratique moyen par seconde de toute machine à vapeur à
pleine pression pendant toute la course du piston.
Ontiredecetteformule
On tire de cette lormn = e
V FX4X60X75
CX77Xnh(P—p), diamètre
diametre
intérieur du cylindre à vapeur, c'est-à-dire la principale dimension
à obtenir lorsque l'on connaît la vitesse du piston, la pression effec-
tive de la vapeur et la puissance nominale en chevaux-vapeur.
;
tible, puisqu'on ne dépense de vapeur à chaque coup simple du piston
que la moitié, le quart ou le dixième du cylindre seulement, il ne
I
faut pas pousser cette détente trop loin si l'on veut avoir une puis-
sance régulière.
Lorsqu'une machine à deux cylindres dessert diverses machines
et que plusieuis se trouvent arrêtées, on peut augmenter la détente.
;
en interrompant déjà la vapeur par un tiroir spécial dans le petit
.cylindre il y a alors détente dans le petit et dans le grand cylindre.
assi
La table dressée par M. Poncelet (voir page 63 du Formulaire)
des quantités de travail produites sous différentes détentes par un
mètre cube de vapeur à diverses tensions, permet de déterminer le
=
travail d'une machine à vapeur à détente, dont on connait le dia-
mètre et la course du pistou, la pression et le degr-é de la détente.
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I a«—wi:o II
g3 B ±3 s <'S
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g.5Si2».a|SSSSS2^5
a,*
72 8 2
O r —*J
g
-
cent. celll. KFLOG. cellt. mètres, kilog.
1 15,2 181 0,49 51,0 50 0,850 38.81
2 21,3178 0,49 60,9 42 0,/163 38,77
4 29,5171 0,49 1
76 -34 0.900 3877
6 35,3 163 0,44 91,4 31 0,944 38,72
8 40,4 160 0,49 106,7 27 0,960 38,7-2
10 45,0 159 0,49 121,9 24 0.975 38.64
1-2 49,0 157 0.49 121,9 24 0,975 38,6*
16 55,3 150 0,50 137,1 22 1,005 3i,HI
20 61,0 146 0,51 152.3 20 1,015 37,38
24 66,3 144 0,52 169,5 18 1,016 36,88
30 72,6 137 0,53 182,8 17 1,030 36,04
36 79,0 136 0,53 182,8 17 1,036 35,90
40 82,5 134 0.53 198,7 16 1,060 35,70
45 87,2 133 0,53 11(8,7 16 1,060 35,50
50 91,4 1:12 0,54 213,3 15 1,066 35,32
60 99,6 130 0,;',4 228,3 14 1.066 34,94
70 107,3 129 0,55 243,8 13 1,0À7 34,36
80 114,3 129 0,56 243,8 13 1,0573431
90
100
120,8
127,0
126
126
0,57
0,58
2.Y.I.0
259,0
12
12
1.036
1,036
33,ni
O2,97 j
*1
TABLE DES DIAMÈTRES ET VITESSES DES PISTONS
w
a?
DES MACHINES A VAPEUR A HAUTE PRESSION
isANS DÉTENTE NI CONDENSATION A DIFFÉRENTES PRESSIONS.
^3DIAMETRESDESPISTONS
„ê
© al
y.
c<
5^
2 a
3
'ë; i
<*>
ô pour des pressions de vapeur
°° 25
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a - S
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« - danslecylindre,de
t-
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2.
'——— ———'
3
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S
O
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mètres.
M
»es =—
W
£
;;:
mètres,
4
atlUospb.
centimèt.
5
atmosph.
centimèt.
_! 6
atmosph.
centimèt.
1/2 0,30 60,00 0,65 8,50 7,5 6,38
1 0,40 52,50 0,70 11,3 10,0 8,76
2 0,50 45,00 0,75 15,45 13,5 11,7
4 0,60 40,00 0,80 24,0 18,0 16,0
6 0,70 36,43 0,85 24,0 21,0 18,4
8 0,80 33,75 0.90 26,7 22,7 20,0
10 0,90 31,67 0.95 28,4 2t,5 22,0
12 1,00 30,00 1,00 30,0 26,0 23,0
16 1,10 28,63 1,05 32,5 29,0 25,9
20 1,20 27,50 1,10 35,0 31,2 27,8
25 1.30 26,53 1,15 37,2 34,0 30,3
30 1,40 23,71 1,20 39,4 36,0 32,0
35 1,50 25,00 1,25 41,5 38,0 33,0
40 1,60 24,32 1,31) 43,5 39,3 35.0
50 1,70 23,82 4,35 48,0 43,0 38,4
60 1.80 23,33 1,40 50,9 46,0 44,0
75 1,90 22,89 1,45 55,9 50,0 44,6
100 2,00 22,50 4,50 63,5 56,0 50,0
;
ton par minute, le quotient exprimera le travail théorique de la
vapeur par coup de piston divisez ce quotient par la quantité de
travail d'un mètre cube de vapeur correspondant (dans la table
page 63) au degré de la détente et de la pression effective, le résul-
tat es-t le volume de vapeur dépensé pendant la partie de course en
pleine pression.du piston; divisez ce volume par cette partie de la
course à pleine pression du piston, le quotient exprimera la surface
de ce dernier; divisez enfin cette surface par 0,7854 et extrayez la
racine carrée, le résultat sera le diamètre en mètres du piston.
•
Les tables suivantes simplifient les calculs.
•
DANS LES MACHINES A VAPEUR A UN SEUL CYLINDRE A DOUBLE EFFET,
AVEC DÉTENTE VARIABLE ET SANS CONDENSATION, LA PRESSION DE LA
S
.2 « .S
VAPEUR ÉTANT DE 5 ATMOSPHÈRES.
a _1 DÉTENTE,
- -
.s g3
x
2"S S 10 S0
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K«>S.
centimèt.
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S du
Q.,
du
piston,
du
piston,
centimèt.centim. centim.
du
piston,
centim.
piston.
centim.
1 40 52,50 70 14,6 13,7 13,0 10,9
2 50 45,00 75 19,8 18,5 17,5 15,0
4 60 40,00 80 26,8 25,1 23,8 20,0
6 70 36,43 85 32,9 30,8 29.0 24,4
8 80 33,75 90 35,1 3-2,8 31,0 26,0
10 90 31,67 95 37,9 35,5 33,7 28,0
12 100 30,00 100 40,0 37.5 35,6 29,7
16 HO 28,63 105 44,9 42,0 39,9 33,3
20 120 27,;;0 110 48,4 45,3 43,0 35,9
25 130 26,53 115 52,6 49,2 46,7 39,0
30 140 25,71 120 50.0 52,4 49,7 41,6
35 150 -25,00 125 58,8 55,0 52.0 43,6
40 160 24,32 130 61.0 57,0 54,0 45,2
50 170 23,X2 135 66,0 61,9 58,8 49,0
60 180 23,33 140 70,9 66,3 63,0 52,7
75 190 22,89 145 77,3 72,3 68,7 ?.7.5
100 200 22,50 150 89,8 84,0 80,0 66,4
1:ëe-ii£;OC-:
DES MACHINES
5 E r; v.
S
TABLE DES DIMENSIONS PRINCIPALES
3Sî36ihaï£:mi55 s fe
gg
•
ri3-5££
£5
;
A
&3grS
:
g«a
3
gsj
£g
VAPEUR A DEUX CYLINDRES A CONDENSATION ET A
DETENTE VARIABLE, LA PRESSION DE LA VAPEUR ARRIVANT DANS
LE PETIT CYLINDRE A
C O =
Wc
g
«S
«
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2S8
</5s<^is
4
s (1) «Crt
ATMOSPHÈRES ET LA COURSE DES DEUX
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""ï g.3
4 13,5 443 28.6 642 0,75 36 0,0)1 4,66
5 45,0 477 32,0 804 0,75 36 0.013 4,96
6 <6,4 244 35,0 962 0,75 36 0,046 2,41
8 48,4 257 38,2 4146 0,90 33,3 0.0-23 3.24
40 20,0 k
34 42,3 1405 0.90 33,3 0,028 3,92
1224,7 370 45,8 16470,9033,3 0,033 4,64
16 24,2 460 51,8 2124 4,00 30 0,046 5.78
20 25,8 a3 f>4 5 2333 4,1030 0,057 7,17
30 29.8 697, 630 3H7 4,20 28,75 0,084 40,12
40
50
32,4
35.5
824
990
69,7
!
"5,0 4148
3707 1,30
4,40
28
26,8
0,107
0.439
12,56
15,59 iI
38,8 4182 4,50 0,177 48,55
60
75
80
42.6
44,0
44-25
1520
82,4
90,0
93.0
]63t.2
6793
5204
1.C0
4,70
25
24,4
22,9
0,228
0,258
23,32
24,77
4
90 4»>,74713 98,6 7636 1,70 *2,9 0,291 27,93
100 49,2 1901 104,0 8495 1,80 21,8 0,342 29,46
La
dres marchant à une pression de 4 atmosphères mais pour une ma- ;
tableprécédente est calculée pour une machineà-deux cylin-
chine à toute autre pression de vapeur, on devra multiplier la sur-
face des pistons par le rapport inverse des pressions. Alors l'extraction
de la racine carrée de ces produits donnera les diamètres respectifs
-4
:
Ainsi, pour 3 atm. onmultipliera par
3
= 1,333
4 55 ==1,143
3,50 -
— -
— 3 1,H3
4
A50 — — -, 5, ou 1,5 =0,889
5 - - k=
4 :=-
0,800.
Le poids de vapeur indiqué correspond au volume total du petit
cylindre obtenu en multipliant le volume total engendré par son pis-
ton et exprimé en mètres cubes par le nombre de coups simples en
une minute et par le poids du mètre cube de vapeur qui, à la pression
de 4 atm. pèse 2k096. Il faut compter 1/10 en plus pour estimer la
quantité d'eau évaporée, en raison des pertes et refroidissements.
MachineR à vapeur combinées. — M. du Tremblay a eu l'idée
d'utiliser la chaleur, que renferme la vapeur à la sortie du cylindre,
à la vaporisation d'un liquide plus volatil que l'eau, tel que l'éther,
le sulfure de carbone, le perchlorure de carbone et le chloroforme.
La vapeur d'eau, après avoir agi sur le piston du cylindre à vapeur
;
ordinaire, est dirigée dans une capacité où elle est utilisée à vapo-
riser l'éther cette vapeur agit à son tour sur un piston spécial,
après quoi elle est condensée; on a donc pour force motrice la va-
peur d'eau et la vapeur d'éther, dont l'action combinée vient se
concentrer sur l'arbre moteur.
Théorie du travail mécanique au moyen de la chaleur. — La
recherche des chaleurs spécifiques des fluides élastiques a préoccupé
divers physiciens, et notamment M. Regnault, qui s'occupe de dé-
terminer le travail moteur que l'on peut obtenir d'un fluide doué
d'une quantité donnée de calorique. La solution de ce problème
constituerait la théorie des moteurs à vapeurs ou gaz en général.
On est fondé à croire que le travail mécanique doit être d'autant
plus grand que le fluide élastique se sera plus refroidi de l'entrée à
la sortie; or jusqu'ici, depuis le passage de la vapeur de la chau-
dière jusqu'à sa sortie du cylindre, 1/40 seulement de la chaleur a
été utilisé au profit du travail mécanique dans les machines à dé-
teutesans condensation, et 1/20 environ dans les machines à con-
densation; dans le 1er cas, la vapeur entrée dans le cylindre à 653°
en sivt à 637, différence 16 unités; dans le 2e cas, la vapeur entrée
à 653° en sort à 619, différence 34 unités.
La surchauffe de. la vapeur avant son entrée dans la machine don-
;
nerait une plus grande proportion de chaleur utilisée au profit du
travail mécanique la diminution du degré de la détente de la vapeur
d'eau et la condensation de cette vapeur par l'injection d'un liquide
très-volatil, l'éther par exemple, conduiraient au même résultat.
La théorie fait reconnaitre que, dans les machines à air où la force
motrice est produite par la dilatation que la chaleur fait subir au
gaz dans la machine ou par l'augmentation qu'elle détermine dans
si force élastique, toute la chaleur, exprimée par la différence de
l'air entrant et sortant, est utilisée au profit du travailmoteur.
Les expériences de M. Regnault constatent que la chaleur spéci-
fique de certains cas ne varie pas sensiblement avec la température
ainsi, entre — 30° et +
225° la chaleur spécifique de l'air ne diffé-
;
rerait que de 2 dix millièmès environ.
CHALEURS SPÉCIFIQUES.
GAZ. - envolume.
I{Chlore.,..
DENSITÉS.
———.
en poids,
cfi
;j
Oxvgèlie
00,-2370
0,23,'.046
Azote 0,2182 0,24f2 1,1036
0,9713
=.
5
r.n
Hydrogène
Brome..
Protoxyde
.,
d'azote.,.
Deutoxyded'azote
0,1-214
0,03518
0,2238
0,2356
0,2962
0,2992
0,3413
0.0692
2,4400
5,3900
1,5250
carbone 0,2 479
carbonique0.-2I64
Oxyde de
Acide
0,2406
0,2399
0,3308
1,0390
0,9674
1,5290
carbone 0.1575
: 0,1553
Sulfure de 0.4146 2.6325
sulfureux
Acide
chlorhydrique.,
Acide OJ845 ,. 0,3489
0,2302
2,2470
1,2474
Acidesulfhydrique.
Gaz ammoniac
0,2423 0,2886 1,1912
0,5080 O,2!194 0,5894
Hydrogèneprotorarboué 0,5929 7 0,3-27 0,5527
Hydrogène bicarbone.
Vapeurd'eau0,47o00,29500,6210
.¡2
1
0.3694
d'alcool.
0,3572 0,9672
oU
( Vapeur
Vapeur d'éthero,4sio
Vapeur d'etherchlorliydrique.
0,4513
0,2737
0,7171
4,2296
0,6117
4,5896
2,5563
2,2350
Vapeur d'étlierbronchydrique. 0,1816 0,6777 3,7316
Vapeur d'éthersulfhydrique 0.400S 1,2568 3,1380
Vapeur d'éthercyanhydrique 0,45 0.8293 1,9021
Ether acétique.
Vapeurdechloroforme.
bellzille.
Vapeur de
0,1568
0,4008
0,3754
0,83M
1,2184
1,0114
5,3000
3,8400
2,6943
Essence de tèrebenthine. 0,5061 2,3776 4,6978
Vapeur deciilorure phosphoreux. 0,1346 0,6386 4,7445
Vapeur dechlorurearsenieux. 0,1122 0,7013 6,2510
Vapeur de chlorure d'étain. 0,0939 0,8639 9,2000
:
piston, des clapets, etc., on a pour le volume théorique du cylindre
soufflant V =
:
7 R2 v, et pour le volume d'air à zéro, émis par le cy-
lindre en une seconde V'= 0,75 w R2v; R rayon du cylindre, et v
vitesse du piston par seconde, variant de 0m60 à 1 mètre.
Mais si on tient compte de la température t de l'air, on aura, sui-
vant que cette température est supérieure ou inférieure à 0 :
Volume d'air lancé par les bases. — On détermine ce volume
V" en fonction de la section des buses et de la vitesse de l'air qui s'en
échappe.
La formule pour les ajutages coniques est :
d diamètre de la buse.
En ramenant le volume de l'air à 0 et à la pression 0,76; en expri-
mant par p la pression atmosphérique, et par h la pression de l'air
en mercure à la buse, la formule devient :
~384V
puis lediamètre h(p+/<) ±
des
biises ou
d(l V"(1
y"±(10,004
0,004
Diamètre des tuyaux de conduiie. — La section des tuyaux de
r)
ZE 0,004 i)
t). —
-
vitesse et avec des pressions initiales de 0m02 à om15 de mercure,
la différence H — h varie de 0,003 à 0,005 de mercure pour des con-
duites de 20 mètres, et de 0,005 à 0,01 pour des conduites de 40 mè-
tres; elle augmente encore si les tuyaux portent des coudes et des
rétrécissements.
Il convient en général fie calculer le diamètre de manière à ne
pas obtenir une pression inférieure à 0,05 de celle du régulateur.
Si donc H — h =0,95Lrf4
;
0,05 H h = 0,95 H, et de la formule précé-
dente on tire Ds
0,05 X 42
= 0,45 L„rfn4;
Volume du cylindre soufflant. — En admettant le volume d'air
dilaté à 20°, le volume à fournir par le cylindre, en tenant compte
d'une augmentation de volume de 0,75 à 1 pour les pertes, sera
Le tranil
utile peut s'exprimer aussi en fonction de la section
de la buse, de la pression et de la vitesse de l'air; et la formule
prend la forme:
:
de la pression de l'air et de la vitesse moyenne du piston, la for-
muledutravailmoteurdevient
~R2HX13,568X v= 180,91 r~ R2 v H chevaux-vapetir;
ID
en mercure augmente.
Les indications suivantes ont été calculées, en supposant une vi-
tesse de piston v = 0m60, l'air à 0" et la pression d'air =
0,76; elle
constate que le coefficient 0,68, exprimant le rapport de l'effet utile
à la force motrice pour une pression de 0101 de mercure, descend à
0°63 pour une pression de 01210 et à 0,59 pour une pression de 0m 16,
:
et cela quel que soit le volume d'air lancé. •
mercure
Pression en col. 0,05 0,06 0,08 O,tO O,t 0,14 O,t6
de
Travail utile: chev.-vapeur.
0,296 0,587 1,150 1,460 1,680 2,185 2,670 3,140 3.560 4,000
Travail moteur: 0,432 0,864 1,728 2,160 2,592 3,456 4,320 5,184 6,048 6,912
,
Un rapport remarquable de M. E. Dolfus, à la Société de Mul-
house pose les données expérimentales suivantes sur les ventila-
teurs employés comme aspirateurs ou comme refouleurs :
;
1° Le diamètre d des ouvertures d'aspiration doit être les 5/8 de
celui D de l'enveloppe leur forme doit de préférence être ovale dans
la direction de l'orifice d'échappement;
2° Les orifices de sortie dont la direction est tangente à la cir-
conférence ont la même largeur 1 que l'enveloppe et une hauteur h
égale aux 3/10 du diamètre D du ventilateur;
3° Le nombre n des ailes se règle d'après le diamètre, il est de 4
pour un diamètre de 0m30 à 0m50; de 6 pour 0150 à 00170, et de 8
pour 0m70 à 1 mètre;
:
dès qu'on prolonge l'ouverture de sortie.
En admettant 90 d'effet à l'ouverture d'échappement, la déperdi-
:
Longueurdetuyaui :
tion suit la progression suivante
Effet lœ 2m 5m
75 68 52
IOM
46
15m
40
20m
35
25m
30'
30m
26,520
40m 50m
15
1
1
Les ventilateurs qui ont servi aux expériences de M. E. Dolfus
avaient les dimensions suivantes :
Ventilateur no 1 : =
Diamètre Om 40; ouverture d
largeur = Om 20.
= 0,25; sortie = 0,12;
A
Ventilateur no 2: =
Diamètre (lm 60; ouverture d = 0,38; sortie h =0,18;
=
largeur 0,20
La vitesse des ventilateurs a été portée de 400 à 1000 tours.
D'après M. Combes les ventilateurs aspirants à ailes dtoites ne
donnent que 50 p. 0/0 d'effet utile, et les ailes courbes produisent
60 p. 0/0 pour des vitesses angulaires comprises entre 91m93 et
80m 18, et des volumes extraits des mines corrrespondantes à Gm.78
et 6mc-085 par seconde.
L'effet utile serait de 0,55 à 0,60 pour des vitesses comprises entre
124 et 162 tours par minute dans la ventilation des magnaneries
et habitations où le volume d'air déplacé est de 1 à 2 mètres cubes
par seconde.
On réduit le diametre des tuyaux pour les ventilateurs de cubi-
lots et de forges dans le but de lancer l'air avec 'plus de vitesse
mais cet excès de vitesse ne s'obtient qu'aux dépens de la force mo-
; ]
-
correspond au débit d'environ 550 mètres cubes d'air.
Moulins à vent. — La disposition la plus ordinaire est avec ailes
verticales obliques. L'arbre des ailes a un angle de 8 à 15°. D'après
Coulomb et Smeaton, la quantité de travail transmise à la circonfé-
rence de chaque aile est donnée par la formule Pv = 0,13 S V3 ki-
logrammètres.
;
P pression en kilog v vitesse en mètres à l'extrémité des ailes,
V vitesse du vent; S surface d'une aile.
Pour le meilleur effet possible, la vitesse des ailes doit égaler 2,6
à 3 fois la vitesse du vent; la bonne vitesse d.u vent correspond à
6 ou 7 mètres par seconde, soit à une vitesse de 11 à 12 tours par
minute del'arbre des ailes. Les charges sont à peu près proportion-
nelles aux carrés des vitesses du vent, et les effets produits sont en-
viron comme les cubes des vitesses du vent. M. Francœur donne
les pressions suivantes du vent suivant la vitesse par chaque mètre
carré de surface d'aile :
1
VITESSE.
»
2m
4
5
6
PRESSION.
Ok.492
Ok 49-2
1968
3075
44.8
7m
8
9
10
â 6k027 Km 14^883
17742
gueur ;
les machines à grande vitesse de Crampton, de 01150, et la lon-
= 0m300 les fusées de l'essieu du milieu qui sont exté-
rieures ont 0m130 de diamètre et 0m252 de longueur; les fusées
intérieures des essieux moteurs ont om180 de diamètre sur om260 de
1/20.4.
longueur. D'après M. Wood le frottement de la fusée dans une boite
à graissage continu n'est que le 1/60 de la charge. On admet en pra-
tique
On a rendu uniforme l'épaisseurom 055 du bandage pour les roues
de wagons et locomotives; on a donné à la largeur totale du ban-
dage 0m130 pour les wagons et om 140 pour les locomotives. L'incli-
naison de la surface est de 1/20, sauf depuis environ l'aplomb de
la face extérieure du rail, où, sur une longueur de 0m035, elle est
portée aux 3/20.
On estime alors au parcours suivant le service des bandages avant
.leur mise au rebut :
Id.
wagons.
Bandages de voitures et
snpport.
de roues dp
50000 kilomètres.
50000 —
derouesmotrices.
M.
Id, de roues de tender. 45000
35000
—
—
;
des fusées sur les boites f coefficient du frottement des essieux sur
=
les boites
;= ;
0,05; d diamètre des fusées, D diamètre des roues;
P' poids total du wagon y compris les roues f' coefficient du frot-
= ;
tement de roulement des roues sur les rails 0,001 f" coefficient
constant 0,0625 ; A base du prisme en mètres carrés V vitesse du
prisme en mètres par rapport à l'air; f/fl coefficient qui varie de 1,10
à 1,17,à 1,43, selon que la longueur du prisme égale 3 fois le côté de
la base ou lui est égale, ou est bien plus petite que le côté de la base.
Parcours en rampe. — Sur un chemin en pente et en line
droite, en appelant a l'angle que fait le plan incliné avec l'horizC.., la
formule de résistance totale devient :
Le dernier terme est positif ou négatif, suivant que le convoi
monte ou descend. On peut, dans les cas ordinaires des chemins de
fer, faire cos. a = i,
et la formule se simplifie ainsi :
Parcours en courbes. — Dans les courbes il faut, indépendam-
de glissement :
ment des résistances précédentes, tenir compte de trois frottements
le premier, dû à la fixité des roues sur les essieux
et à ce que l'une des roues glisse sur les rails sur une distance
égale à la différence de longueur des deux courbes de la voie, a
1
Le rapport
D
-d.
a = b = 0,75, et Va3 +b*
-11
varie entre
1. 't
et —, et se prend d'ordinaire
20
ou V0,752+0,752 =
lomètres à l'heure, la résistance totale d'un wagon est compris
entre
ou
- -
~200
pour un rapport
et
250
d
du poids total P du wagon en prenant
-=
*
1,20.
D
= -;
1 environ.
M. Wood a trouvé par expérience que, pour une vitesse de 16 ki-
11
1
14
- = -13
d
que la résistance totale d'un wagon était de 2k69 par 1000 kilog.
:
D'après les auteurs du Guide du mécanicien, pour un convoi brut
de 60 tonnes, dont le poids se décompose ainsi 26 tonnes pour la
locomotive et son tender, et 34 tonnes pour les wagons, marchant
1
à la vitesse de 45 kilomètres à l'heure, on peut diviser la résistance
de la manière suivante :
40Résistance duconvoi brut: Pourleconroi. Partonne.
ld.
charge.
dueaumouvementdesvéhicules
id, due aux frottements du mécanisme sans
375k
delavapeur.
mécanisme produite pai la pression
Tota1. 105
630k
1,75
10k50
charge.
id. due au mouvement des véhicules
ld. due aux frottements du mécanisme sans
vapeur.
16ïkso
149,50
6k 25
5,75
Total.
Id. due à la pression de la 104,00 4,00
-..-..
416k 16k
kilom.
POIDS DU TRAIN REMORQUÉ EN TONNES.
50
kilom.
60
kilom.
—
70
kilom.
80
kilom.
90
kilom.
100
kilo,".
40 7,5 7,25 7,12 7,o4 6,9t. 6,1j06,Ml
50 8,93 8,63 8,12 8,29 8,17 8,07 8,02
60 40,53 10,10 9,81 \J,h!! 9,4) 9.32 9,23
70 42,-26 41,67 41,27 10,99 40,78 10,61 40,48
80 14,41 13,34 4-2,84 12,45 42,19 41,96 11,79
90 46,08 45,10 14,45 13,84 43,63 43,36 43,14
100 48,17 46,96 46,15 45,5 15,14 44,82 44,54
;
tres carrés, section de face que présente le train; P poids du convoi
en tonnes le premier terme 2,72 représente le coefficient du frotte-
ment des véhicules; le deuxième terme exprime la résistance due
aux chocs, secousses et vibrations de la voie; le troisième terme est
la résistance due au vent.
Cette formule s'applique à tout le convoi (machine, tender et wa-
gons) aussi bien qu'aux wagons seuls; mais alors elle ne tient pas
compte de la résistance due aux frottements du mécanisme de la
machine, et il faut, pour avoir la résistance totale, augmenter R de
20 ou 25 p. 0/0, selon qu'il s'agit d'un convoi de voyageurs ou d'un
convoi de marchandises.
1° Que pour des petites vitesses cette résistance peut varier de 0,11
à 0,25 du poids du wagon, selon que les rails sont humides ou secs;
La formule de résistance
— 25 v + 0,35 d2 ;f
,
2° que cette résistance diminue avec la vitesse.
, :
les freins étant serrés est R fP =
coefficient de frottement = 0,13 pour rails hu-
mides, et 0,30 pour rails secs; P poids du wagon; v vitesse com-
prise entre 5 et 22 mètres par seconde.
Machines locomotives. — D'après M. de Pambour la théorie des
locomotives revient à la solution de ce problème et de sa réci-
proque : Étant données les dimensions d'une machine locomotive,
trouver la charge qu'elle peut traîner avec une certaine vitesse et
réciproquement étant données la charge à trainer et la vitesse,
;
trouver les dimensions de la machine.
Le seul point d'appui des locomotives se trouve dans l'adhérence
de leurs roues sur les rails.
Pour qu'une locomotive puisse tirer une charge donnée il faut :
1° que les dimensions et proportions de la machine des cylindres et
du générateur soient suffisantes; et 2° que le poids de la machine
portée par les roues motrices soit tel qu'il y ait une adhérence suffi-
sante des roues sur les rails; ces deux conditions de puissance et
d'adhérence doivent toujours être d'accord.
L'effet d'adhérence varie de 1/6 à 1/20 de la pression des roues
motrices sur les rails; la plus grande adhérence a lieu quand les
rails sont secs; elle descend à 1/20 lorsque les rails sont humides
ou gras.
La force de traction d'une locomotive s'obtient en multipliant la
capacité de ses cylindres par le coefficient indiquant le rapport de
l'effort de traction' à ladite capacité; en prenant 15 pour ce rapport,
une locomotive, dont la capacité des cylindres serait de 250 litres,
=
aurait une force de traction de 15 X 250 3750 kilog.
La capacité des cylindres d'une locomotive s'obtient en divisant
l'effort de traction par le même coefficient.
M. Lechatelier a calculé de la manière suivante les dimensions
de trois locomotives, l'une à grande vitesse, l'autre mixte, et la troi-
sième à marchandises :
1° Soit un parcours à l'heure de 80 kilomètres, ou 22m 22 par se-
D =
conde; le nombre de tours des roues motrices devant, pour toutes
les locomotives, être compris entre 2,5 et 3, on a pour diamètre
~2222
~'7t'X2,5
= =
2m83,ouD ——
t3
22 V>
X
=
=2m36; il fait D 2,50
20 En supposant la pression à 7 atmosphères dans la chaudière,
,,
mètres.
ormu eon
metres. Dee cette formule on tire =V p l lnpD
a1 ;
5° Le coefficient d'adhérence des roues motrices sur les rails = 1/6;
6° Dans une machine locomotive en bonne fonction, en représen-
tant respectivement par S, S', S" les surfaces eu mètres carrés de
chauffe totale, du l'oyer et des tubes, on a
l étant donnés en décimètres, c'est-à-dire
-:
S S'
= 1 et — = d et
1
-,
1° que le quotient de la
surface totale de chauffe par le produit de la course et du diamètre
carré du piston égale l'unité, et 2° que le rapport de la surface de
chauffe par rayonnement du foyer à la surface de chauffe par contact
des tubes est comme 1 : 10.
M. Lechatelier a réuni ces données dans le tableau suivant. :
Poids
Poids totatdn
total
i
4.2.3.
DÉTAILS.
convoi.
|toiale.
par
Résistance due au moove-
nientdesvéhicules
gravité.
Résistance additionn. dne auméçan.
tonne.
Tojagenrs.
97t 00
4tk 84
4148k
287k
48
46
MACHINE
mixte.
455* 00
8k
1284k
320k
xs
—i—
27
46
à marchandises
400* 00
5k 60
2240k00
-44xk J)O
-
totale
Résistance R
Résistance due à la
4920k
Diamètredesrouesmotrices
6450 78 30
485k oo 775k
2377k
00
3i
2000k ou
4688k 00
4m
Om40
2m 4m
motrices.
cylindres
Charge snr les roues
0m 42 44* 50 44t 86 28t 43
pistons
Diamètre des
0™ 58 Om
Snrfacedechauffednfoyer..9m50
57 0"» 62 Om.46
Course des
des
Ill.
id.
la
Poids de
tubes
totale 95m
494P1
machine 25'
00
5U 82m
94m
00 24*
91
20
00
29
43im
28*34
00
94
40
8m 41m
1Î9m
et
NNAÀTlIUTRKF
normale
tractinn loppéparles
DES heure.
TRAINS. et
l'heure.
à
lenllerreor-
machine
compris Partonne
second.e,
seconde.
locomotives
quéc-
car
dans latraction
denivean.
,
Consommation en coke et en eau. — M. Bertera a constaté,
après diverses expériences .qu'un kilo?, de coke dépensait 9 à
10 kilog. d'eau, dont 30 à 50 p. 0/0 étaient entraînés et condensés,
ce qui réduit à 6 kilog. environ la vapeur utile produite.
La dépense d'eau peut s'évaluer à 1 kilog. enviJOn, et celle du coke
à Ok16 environ par tonne et par kilomètre à la détente de 1/2 et à la
vitesse moyenne de 50 kilomètres. Suivant la charge d'un convoi,
là dépense d'eau par seconde peut s'estimer à 1 lit. ou 1.lie.5, et la
consommation de coke par kilomètre s'élève de 7 à 9 kilog.
:
D'après MM. Valerio et de Monviltè, le poids d'une locomotive du
=
;
Nord étant de 19602 kilog. se décompose ainsi fonte 3713k; fer
;
forgé
910k8
= 7370k; tôle
laiton =1447M
= 3;
4318k acier = 605k6; cuivre rouge
=
bronze =745k7; bois et divers 491k5.
Matériel d'exploitation. — L'importance du matériel roulant com-
=
prenant locomotives, tenders, voitures, wagons et trucks, s'estime
d'après la charge moyenne en voyageurs et marchandises et le par-
cours kilométrique. On estime à 15 fr. par mètre courant la dépense
du matériel des voitures, wagons et trucks.
Par kilomètre, le prix du transport d'une tonne s'élève de 0f015
à 0'020; les frais de traction d'un wagon sont de of012, et ceux
d'une locomotive de 1.r20 à 1'30; la dépense totale = 2 fr. 80 c.
DIMENSIONS PRINCIPALES DES LOCOMOTIVES.
CHEMIN DU NORD.
DEVAPORISATION.
-
Ateliers
-
Derosne
-
Derosne
d.
delaconip. etCail. etCail.
met. met. mèt.
Bolteà feuetchaudière.
Longueurde lagrille1,255
Largeur
Surface id 1,148 0,915
0,925
0,914
0,845
1,370
1,018,1,040
1,4179
id.
Surface de chauffe.
Nombredetubes1.253,470
tubes.
id.
125 178
Longueurdes 3,800 3,615
lIiamètre intér. 0,046 0,045 0,047
Epaisseur ici 0,002 0,002 0,002
Surfacetotale
Id. du foyer.
Id. (lechauffetotale
68,098
6,250
74,348
66,500
5,012
71,512
94,962
7,377
102,339
tindrique.
Diamètre intérieur du corps cy-
Longueur du corps cylindrique..
0,950
3,355
0,950
3,685
1,200
3,550
Volumed'eau contenu dans la
chaudière, avec om,10c au-
dessusdu foyer.,.,
Volume de vapeur dans la chau-
2,427 2,228 2,779
dessus du foyer,.
dière, avec om,t()C d'eau au-
à
Boite fumce.
1,409 1,167 0,615
Longueurintérieure.
Largeurtransversale.
0,665 0,849 0,675
Hauteur.,. Cheminée.
1,156
1,220
1,156
1,100
1,200
4,200
Diametreintérieur.
fumée.
Hauteur au-dessus de la boite à
0,328
1,710
0,328
1,815
0,400
1,950
iil,.
Course
Alimentation.
pl.,.geur.
Diamètredu
piston.
Volume engendré par coup de
0,0f!0
0,560
0,00158
0,105
0,116
0,001
0,064
0,550
0,00176
Prisedevapeur.
régulateur.
Section d'ouverturemaxiinâdu
Échappement.
0,0112 0,012 0,0132
DE VAPORISATION.
-
Ateliers
-
Dernsne
-
Derosne
delacomp. etCail. etCail.
mèt. mèt. met.
Mécanisme.
Angle d'avance.
àl'introduction.
Avancelinéaire 0,004
300
0,004
300
0,00i
t50
à
Avancelinéaire l'échappement.
Recouvremtintr(dechaquecôté
Rer-ouvremtextr(de chaque côte).
1 0,026
0,0ui
0,025
0,026
0,001
0,024
0,032
0,0068
0,028
Maximum d'introduction de va-
peur (encentesdelacourse).. 0,800 0,800 0,800
Minimum d'introduction de va-
peur (encente»delacourse).. 0,250 0,250 0,250
Rayon d'excentricité.,
tiroirs,.
(Longueur
<i Largeur
Coursedes
nmif>ro
0,058
0,116
0,-250
0,058
0,116
0,250
0,092
0,184
0,300
0,0'10 0,040 0,050
dadmission. Section.
Inmifcrp(Longueur.
( 0,010 0,010 0,015
d'échppement. | Lareur. 0,250 0,250 0,300
Seclioij00187
d'échappement. 0,075 0,076 0,090
Làrgeur.
j
Tiroil'.Longueur,.
0,310
0())9
0,312
0,027
0,360
Surface.
(
0,245
0,0759
0,244
0,0761
0,-286
0,4029
Mécanisme de transmission.
:
Écartement d'axe en axe des ey-
lindrs.
Diamètre ill,.
Inclinaisondescylindres
Longueur totale intérieure.
Course du 0,5<;0
piston
4,880
0,380
0,720
00
2,076
0,380
0,74-2
0,610
Oo
1,850
04Q()
0,682
0,550
0°
Longueurde la bIelle.
Libertédescylindres(moyenne).
Châssis et supports.
0,025
4,825
0,025
1,470
0,020
2^310
axe.
Hauteur des 0,200 0,200 0,220
Hauteurdel'axedestamponsau-
dessus du rail.,.,
Ecartement des tampons d'axe en
0,955 0,955 0,950
t,727 1,727 1,727
Largeur
V
Ressorts
dumilieu
Ressorts.
sous
FlècheLongueur
I
charge.
Hauteuraumilieu.
0,950
0,090
0,158
0,950
O,O!IO
0,140
0,966
0,100
0,115
0,054 0,080 0,115
DIMENSIONS PRINCIPALES DES LOCOMOTIVES.
CHEMIN DU NORD. (Suite.)
iiPlVwiHii
Ressorts l1 )
Longueur
Largeur 0,950
met. met.
0.950
mèt,
0,966
i 0090
d'avant o,090 0,100
Hauteuraumilieu. 0,174 0,158 0,450
1Flèchesouscharge.
Largeur.
Ressorls
riel'e^ie.i
damere.
Longueur
Hauteurauniilieu.
0,083
0.950
0,090
0,132
0,076
0.9M
0.0,0
0,158
0,172
0,966
0,400
0,150
Flèchesouscharge. 0,080 0,080 0,172
d'avant
!I
desrrfups
Roues.
Diamètre f dU
mi)ien. 1'740
d'arrière1,740
Essieux.
*'0i0
V220
4,0
1,220
4,220
1,350
2,100
delafusée.
Longueur0,1.0
Diamètre
I 0.460 6.160 0,180
Es,ien
Essieu
àlaportée 0,150 0.250
I
Diamètre
du willeu. decalage.
Diamètreaumilieu.
0,180
0,160
0,180 0,190
0,455 0,150
IDiamètredelafusée. 0.140 0,150 0,150
d'avant Longueur
Diamètreàlaportée
0,170 0,150 0,300
d'avant. decalage. O,HO 0.180 0,930
Diamètreaumilieu. 0,180 0,145 0.160
Diamètrede lafusee:
Longueur 0,1500,150 O,to 0,150 0,180
decalage
d'arrière
Essiieu
Diamètre à la portee
Diamètreaumilieu.
o,ixo
0,196
0,180
0,145
0,260
0,210
0,472
Ecartementintérieurdes roues.. 4,355 1,355 4,355
Kcartementiuiérieurdes rails.. \0
4,4 1,440 1,440
E-,artenieiitdesessieuxextrèi,ies. 4,420 2,935 4,860
Ecartementdel'essieud'avant à
l'essieu milieu 2,200 4,585 2,300
Lareur..,.
lerail.
Conicitésur
Bandages.
0,140
1/20
0,140
4/20
0,140
4/20
Poids.
d'eau.
Poids total de la machine pleine
avec 15c
la
Poidstotalde machinevide..
24,397
24,740
22.300
20,072
27,319
24,197
Tender.
complet.
Poids liecoke.,.
Volnmed'eau 5,783 5,783 6,390
Poids plein.
Poidsvideavec agrès. 1.750
7,366
14,899
4,750
7,366
44,899
1,225
9,951
47,5b6
MEUNERIE — MOULINS. — MOTEURS HYDRAULIQUES.
COURS D'EAU.
-
Mouture américaine, dite à l'anglaise. — La mouture du blé a
:
lieu en une seule opération; ainsi le blé battu et nettoyé par la voie
sèche ou humide dans divers appareils tarares, éniotteurs, cribleurs,
appelés nettoyages, est jeté dans la trémie des meules, où il est
broyé et moulu. La mouture, composée de farines, de son et de rési-
dus, tombe dans un récipient, d'où elle est élevée par une chaîne à
godets dans un ramasseur circulaire qui la remue lentement et la
projette par petites quantités dans les bluteries. Les farines, séparées
alors des sons et recoupettes, sont reçues dans un mélangeur, et on
les met en sac.
100 kilog. de blé produisent 60 kilog. de farine blanche, 14kilog.
de farine bise. 24 kilog. d'issues et 2 kilog. de déchet.
La force effective d'un cheval-vapeur moud 20 kilog. de blé par
heure en farine première, 25 kilog. en farine biît, et 30 kilog. en
farine grossière. Il faut compter la force de 3ch.-v. 66 pour faire mar-
cher une paire de meules et les accessoires.
Pour les premières marques, pain blanc, l'extraction du son, des
;
issues et des farines inférieures se fait de 35 à 40 p. 0/0 elle descend
à 2*5 p. 0/0 pour le bain bis, et à 20 p. 0/0 pour le pain de munition.
Panification. — L'hectolitre de blé pèse moyennement 78 kilog.
Le quintal métrique de blé donne 78 kilog. de farine, déduction
faite de2 kilog. pour les déchets. La farine ordinaire contient 17 p. 0/0
d'humidité.
La pâte ferme de pain blanc prend 100 kilog. de farine pour
60 litres d'eau.
On compte 500 grammes de sel par sac de farine de 159 kilog.,
et lk 250 de levure.
;
Au moment de la mise en four, la pite est à 25° à la sortie du
lour, le pain est à 100°.
1 kilog. de bois développant 2750 calories, l'expérience a prouvé
que, dans un four système Lespinasse, 1 kil. de hêtre ou bouleau cuit
6 à 7 kilog. de pain. On obtient en braise 27 p. 0/0 du volume du
bois consommé. Un mètre cube de bois produit alors 2,70 hectolitres
de braise. 8
Transmission d'un moulin à l'anglaise. — Lorsque l'agentmo-
teur d'un moulin est une roue hydraulique dont la vitesse n'excède
pas 3 à 5 toms par minute, il faut employer un triple harnais-pour
la transmission. Deux harnais suffisent pour une machine à vapeur
faisant environ 30 révolutions; mais avec une turbine à grande
vitesse, la transmission se réduit à la roue horizontale et aux pignons
de meules.
L'emploi de courroies dans les moulins à l'anglaise permet d'ar-
rèter à volonté, au moyen des tendeurs, chaque paire de meules,
sans arrêter les autres.
Le diamètre des meules = lm 30, la vitesse par minute = 120 ré-
volutions, et la vitesse à la circonférence = 81D168 par seconde.
Premier harnais. — La vitesse de la roue hydraulique étant sup-
posée de 3 tours par minute, et li,lgrande roue de même vitesse
montée sur l'arbre moteur portantun diamètre D = 4167, et le dia-
mètre du pignon qu'elle commande ou d = 11261, la vitesse de
3
3X X4,67
22fb
4,67
l'arbre de couche sera
1,261 = 1141 par minute.
Deuxième harnais. — Soit le diamètre de la roue d'angle montée
sur l'arbre de couche ou D' =2m275, et le diamètre du pignon
d'angle ou d' =
000 858, la vitesse de l'arbre vertical du pignon sera
alors 11111 X ——
0,858 =
30'15 par minute.
-
Troisième harnais.- Si le grand hérisson ou D" =
2m70, et si le
diamètie du pignon de meule ou d" = 0,675, la vitesse de la fusée
lm
~2,70 minute.
de chaque meule sera 30115 X =.120 révolutions
1 par
0,675
Les branches des palettes du récepteur à boulange marchent au
1/6 1 b vertical,
de la vitesse de l'arbre 1 c'est-à-dire
d. -=
3045
6
51 environ.
0,479
celle qui est imprimée par les palettes dans le récipient.
011479
=17
par
fois
6060
palettes inclinées à 450, la vis sans fin a un diamètre de 0,245; elle
.reçoit de la poulie de commande, placée sur l'un des arbres de
couche, une vitesse de 80 révolutions par minute, Le pas de vis
Qm32 X 80
= 0m32, alors la boulange aura une vitesse de =
om 427;
mais, comme dans l'espace d'un pas =
-
0,427
0m 32, il entre 8 palettes, il
=
s'en. trouvera sur 0m427 : 8 X == 10 pal. 68.
Q
En admettant qu'avec un moulin de six paires de meules on puisse
moudre 8,025 kilog. de blé en 24 heures avec une puissance dispo-
-
nible de 22 chevaux (ce qui suppose 3 chevaux 66 pour chaque
,
paire de meules, y compris les nettoyages et accessoires), la quan-
8025
tité de hl' moulu
d blé 1 par seconde = Ainsi,
Ok0928. A" ,
24 X 60 X 60
0k0928
chaque palette
1 n'a que
~10,68
= 0*0087 de boulange
b la à conduire d.
par seconde.
Les courroies portant des élévateurs à blé ou à boulange enve-
loppent des poulies de 0m325 de diamètre et animées d'une vitesse
de 30 révolutions par minute, ce qui donne 0m50 de vitesse aux
élévateurs par seconde.
Blolerle. — Une bluterie porte de 2 à 6 mètres de longueur il en
faut 2 de 30150 en moyenne pour une minoterie de 4 paires de
;
meules. La vitesse d'une bluterie d'un mètre de diamètre =;
30 révo-
lutions par minute, ce qui correspond à lm 46 de vitesse par seconde.
La soie pour les fines farines porte les nO' 140 à 160 dans 27 millim.
de large.
Monte sac. — Vitesse = 0,50. Le poids d'un sac =
150 kil. La
résistance pratique = 1 chev.-vap. 5.
— Le diamètre du rouleau
= 0,30; sa vitesse est de 30 révolutions par minute.
--1
EFFECTUÉES PAR UNE VANNE VERTICALE DE 1 MÈTRE DE LARE,
OUVERTURES
DÉPENSES EN LITRES PAR SECONDE
hauteurs
verticales
de la vanne
——————_
enmètres, o»10On>20Om300™40om50Orn600™70Om800™90
--lit. lit. lit. lit. lit. lit. lit. lit, lit.
m
0,05 44 62 76 88 98 407 446 424 131
0,06 53 75 91 407 447 428 439 U8 457
0,07 61 86 406422 436 448 461
484
<7-2 183
0,(>8 69 98 120 439 455 470 496 207
0.09 78 409 435 156 474 194 208 220 236
0,40 86 122 449 473 193 242 228 246 259
0,41 94 433 4iî4 189 212 230 249 267 284
0,42 11)2 445 478 :W6 230 251 272 291 309
0,13 440 157 492 222 -249 272 294 344 334
0,14 419 4-8 206 238 267 292 316 338 359
0,45 4^6 179 220 255 285 342 338 364 384
0,16 434 4'10 234 271 304 330 360 385 409
0.47 142 204 24* 287 322 350 382 444 434
0,18 450 213 262 304 340 370 403 432 459
0,<') 458 223 276 324 358 392 425 454 483
4i7
0,2(1
0.24 247305 467 235 291 337
354
377
396
414
434 470
485
512
509
534
0.23
0,27
0,-29
271 334
318
»
» 340
392
421
388
454
487
434
509
546
472
559
602
515
594
649
550
645
693
585
688
735
0.31
11,33
0,35 » >
3tj4
388
415
449
477
5117
521
555
588
583
td2
659
635
676
717
694
737
78-2
741
789
837
787
839
889
0,37
0,39
541»
»
436
462
534
564
6-22
653
6n6
734
758
798
826
872
885
933
940
9ql
047
044 68s 772 840 945 984 4042
043
045 > 649754 620
649
7:!2
.4
809
847
884
9~0
9-20
964
4005
402S
4u76
<u76
1093
«44
4444
»»
0 4.';
677 787 885 961 4050 4424 1194
049
»
0,50
706
733
820
853
9i2 1002
940 4023
lo!.5
4445
1172
4194
4245
4274
Pour vanne verticale = 1,035, si la contraction n'a lieu que sur 3 côtés.
=4,072, d. id. 2côiés.
Id.
Id, =4,425, id. id. trote.
Le module de Prony correspond à 20 mètres cubes d'eau écoutés en 24 heures
seur sous une charge d'eau sur le centre de 0m,03c.
Ir
-
DÉPENSES D'EAU
1u»004m101m201m301m401m502m002m
If-
438
465
192
219
246
272
299
326
352
379
405
432
456
484
510
536
563
616
724
777
884
831
938
98)
H54
4097
4045
*'?t
1311
4257
1337
M.
lit-
145
475
201
229
257
285
314
341
368
396
562
590
646
758
815
871
927
1040
1152
4208
t32t
377
1405
un orifice de
lit- lit. it
327
356
385
414
424 443
452 472 1
478
506
534
501
529
558
586
615
674
791
850
909
983 1086
ii43
151
181
210
248
267
298
701
823
884
945
969 1007
1027 1067
1428
t203 H89
t250
1262
1321
13X0
1438
1468
0">,02<=
a
157
187
218
249
279
310
340
374
401
431
461
494
521
551
580
610
640
1311
1'7"2
1433
1494
1525
462
194
226
258
289
321
353
384
416
446
477
509
540
571
601
627
664
726
853
916
980
4011::
H03
1169
42:12
1:298
1361
4424
UH8
1551
1583
!
949
1014
1u79
1145
1210
1~76
:
i
790
865
1016
1092
1167
1242
1317
1392
lit.
191
229
267
305
343
380
418
455
492
510
566
603
677
715
t:ji::!
1407 1618
01472 1694
b37 1769
16031845 2062
1635 fsh2 2104
de diamètre pratiqué
id.
50 3m 00 3m 50 4m 00
lit.
214
257
299
341
382
424
466
5o7
549
590
631
673
715
75
799
841
884
968
1136
1220
D05 1\29
1389
1473
1557
1641
4;25
1809
tj78
1894
ïïtT
235
281
327
374
V20
400
511
b;,1
602
648
b¡':
739
784
830
876
922
96"
10'0
1^45
1337
1521
1614
1706
1798
<#90
1982
2075
2167
2259
-2305
:
le cas d'écoulement par un orifice découvert débouchant à l'air libre,
au moyen de la formule D cLh V 5<7H,dans laquellec 0,63.
= =
On multiplie alors les résultats de la table précédente par 1,035.
Le coefficient c = 0,55, dans le cas où deux vannes d'écluses,
distancées à moins de 3 mètres, sont ouvertes en même temps; on
multiplie alors les résultats de la table précédente par 0,915.
Vanne accompagnée d'un coursier. — La vitesse v de l'eau à
l'origine d'un coursier, lorsque la charge est assez forte, est les 0,85
de la vitesse pratique due à la charge sur le centre.
La vitesse v" de l'eau à l'extrémité d'un coursier qui la conduit
de la vanne à la roue hydraulique, dans le cas où l'étendue Lest
assez faible et la pente ou inclinaison 1 assez sensible, s'obtient par
la formule v" = v X V.
v" exprimant la vitesse à l'extrémité du coursier ;
v la vitesse moyenne calculée à l'origine du coursier et due à la
pression H = V 2g H ;
Et v' la vitesse due à la hauteur h, indiquant l'inclinaison totale
du coursier = V 2gh.
La formule devient donc v" = V 19,62 X H + h.
La table (p. 136 et 137), dressée par M. Armengaud aîné, donne,
à première vue, les dépenses d'eau effectuées suivant la charge par
une vanne de 1 mètre de large à contraction complète. Or, il suffit,
pour obtenir la dépense pour toute largeur de vanne verticale à
contraction complète, de multiplier par ladite largeur la dépénse
torrespondante donnée dans la table.
Pour les diverses dispositions de vannage, il faut tenir compte des
observations indiquées au bas de cette table.
TABLE DES DÉPENSES D'EAU
EFFECTUÉES PAR LES ORIFICES. EN DÉVERSOIR
DE 1 MÈTRE DE LARGE
SANS COURSIER.
I-ÉPAISEURS
DÉPENSES ÉPAISSEURS
enceiitiin.encentim.
lamed'eau
lame d'au
VITESSE
cor-
enmètres
cor- seconde
i,
dela
enlitrespar lained'eau
VITESSE
en mètres
au-dessus 'respondanle sur 1mètre 1 au-dessus respondante
DÉPENSES
seconde
en litres par
sur 4 mètre
du àces de du àces de
déversoir. hauteurs. large. déversoir. hauteurs. large.
K
cent. mèt. lit-
It. cent.
ceflt.
Imèt-
met.
lit-I
It.
65 0,99
1,085 20.0 33 2,54 340,0
26,2 34 2,58 355'6
7 ,25
1,17 33, 35 2,62 371'3
98 4,33 40,5 36
37 2,65 386,9
48,4 2,69 403.7
O 1.40 56,7 38 .2,73 420,1
2 1,60
ÀA 1,47
13
h Î'S?
1,53
65,4
83,7
74,3
93,5 1
39
40
2,76
2,80
436,9
453,9
44 2,83 470,9
5
fi ',77
1A77l 03,8
444,7
1¡2
43
2,87
2,90
488,3
18 4,8225,3452,97541,6 44 2,94
513,7
523,5
8
49
20
21
22
1,93
1,88
1,98
2,03
n M'?
148,5
160,3
14/2,6fi
46
47
48
5049
3'00
3,07
3,03
3,0
3'13
596,8
577,9 o 559,8
6:3,2
2,42
2,07 <850
197,4
23 672,6
2,2t
54 3^9
3-Ifi A*;)Q
24 2,47 2tt,0
223,7 52
25
26 2,26 237,9
53 3<25
Q00 roi&
2.30
282,34
27 25<5
2,382115,0
54
55
3,28 711,8
731.7
279,5 56 3.3* 751,8
29 2,42 294,0 792,5
30
58
57 QJ6
3'37 17-71Q
32 3,40 812,9
31 2,44 307,1 59
2,50 324,6 60 3,43 833,5
-
:-
Déveraolr. La formule D = c LH V-ig-H donne la dépense
mètres cubes par seconde; le résultat multiplié en
volume en litres. par 1000 donne le
0,4240,417
m. 0,412 0,4u7 0,401 1 0.3S50,393 m.m.
0,3HO0,385
H. lm, 1
[m.
c..,. 0,01
m.
0,02 0,03
m.
0,04
nj.
0,06
m.
0,397
0.08 0,10
nr.
0,15 0,20 0,25
vient : D
cédente.
= 0,405 LH V g
En prenant pour coefficient moyen c =
0,405, la dépense de-
H, qui a servi à dresser la table pré-
Ex. :
naison ou la pente, L la longueur du canal, le tout en mètres.
Soit S =
4m-«-20, P =
5m 90, 1 =
0,08 et L 140m. Alors =
:
La vitesse au fond des canaux est égale à 2 fois la vitesse moyenne,
moins la vitesse à la surface, et s'exprime ainsi V" -= 2 V' — V; or,
si l'on suppose V = 1,25 V', on trouve V" =0,75V, et V' =1,3-3 V".
Une trop grande vitesse au fond des canaux entraîne les maté-
riaux et estune cause de détérioration; une vitesse trop lente, en
retenant les limons, devient une cause d'obstruction. La table sui-
lalimite respective que la vitesse de l'eau au fond d'un
vante donne
canal ne doit pas dépasser. M. Morin indique les limites suivantes :
LIMITE
NATURE DU FOND.
delavitesse.
Sable.
brune
tendre0J52
Gravier
Cailloux.
Argile
0,076
Terre détrempée
silex,.,.,.;
, ,
m.
0,305
0,609
0,614
couclies
Pierres cassées,
;
4,830
Cailloux agglomérés, schistes tendres,
Rochesdures3,050
.Roches en
4,220
1,520
Et 3° F =
75
resultat en kilogrammètres;
~1000
DH
en chevaux-vapeur; mais en pratique on n'uti-
lise qu'une partie de la force du cours d'eau.
On peut se guider sur les indications suivantes pour obtenir ap-
proximativement le rendement d'un moteur hydraulique suivant les
divers cas d'application :
1° Roues à palettes planes mal exécutées, l'effet utile,
é
3" Roues
étant 'l"
incliné près de
4° Même
d la
1 roue, Eu = -
à palettes pianes emboîtées exactement sur une partie de
la chute par un coursier concentrique à la roue et l'orifice de vannes
400
~75
DH
:
roue si l'eau est prise près du niveau supérieur dans le
15
-;
500 DH H
réservoir, E" =
650DH
Roues a, aubes courbes,muespardessous,EU = 75
établies,Eu =
—_—.
5° Roues de côté bien
75
Pour un bon rendement il convient de calculer la largeur. de ce
roues pour des épaisseurs de lames d'eau de om20 à 0m25.
Le diamètre de la roue pour des chutes de 2 à 3 mètres doit ég a
(1) Dans les roues hydrauliques, le diamètre n'influe pas sur l'effet utile qui
dépend de la chute et de. la dépense disponible. Si la roue a un diamètre plus
grand,elle fait moins de tours; sile diamètreestplus petit, la
roue fait plus de
tours; la vitesse de la roue dépend de celle de l'eau.
1er au moins la hauteur moyenne de la chute, plus 2 fois l'épaisseur
de la lame d'eau au-dessus de la vanne plongeante.
La largeur de la roue doit dépasser de 10 cent. environ la lar-
geur du déversoir.
La vitesse de la roue à la circonférence est égale à lamoitié de
celle due à l'épaisseur de la lame d'eau; le résultat multiplié par 60
donne le nombre de révolutions par minute.
L'écartementdesaubes est d'ordinaire de 0m32; cette distance dé-
passe de 1/3 environ l'épaisseur de la lame d'eau.
La capacité des aubes égale le double du volume d'eau disponible
pour chaque aube.
La profondeur des aubes s'obtient en divisant le volume de
chaque aube par le produit résultant de la largeur de la roue et de
~K-ab2
la distance de 2 aubes consécutives.
—,
6PL
La section des bras de la roue hydraulique ou ab2 = -H
700DH
et
L ')
l'effortP(1) 6 (dimensions expnmees en métrés)
(1) Le
coefficient K
=600,000 pour le bois.
=6,000,000 pour lt ;=
fer ;
7,500,000 pour la fonte
placées sur les flancs des bateaux-moulins, que l'eau agisse sur une
seule aube verticale, fuyant devant le liquide.
=
On détermine l'effet utile d'une roue pendante par la formule
-
F 81,5.x A V (V v) v, dans laquelle F représente le produit
:
;
du poids qui serait soulevé à la circonférence moyenne de la roue
par sa vitesse ou chemin parcouru dans une seconde A la surface
de la partie immergée de l'aube verticale; V la vitesse du courant a
la surface; v la vitesse du milieu de la partie immergée de l'aube
verticale.
Dans ce système de roues, la hauteur des aubes ne doit pas être
moindre que 0m33, ni plus grande que le 1/4 du rayon de la roue;
leur écartement à la circonférence extérieure est égal à leur hauteur.
La vitesse au centre des aubes de la roue égale moyennement
les 0,4 de celle de l'eau à la surface du courant.
L'effet utile de ces roues est d'environ 0,30 de l'effet théorique.
:
En représentant par L la largeur des aubes, et par h leur hauteur,
on arrive à la formule suivante tirée de la première
-
,
-
Turbines ou roues horizontales uoytes. On appelle turbines,
des roues à axe vertical dont les palettes, ordinairement courbes, se
meuvent par l'impulsion d'un filet d'eau qui, dirigé par des con-
duits directeurs sur ces courbes mobiles avec l'énergie de la vitesse
due à la charge ou chute, fait alors tourner l'axe de la turbine. L'in-
troduction de l'eau se fait par le centre, puis le liquide se projette
obliquement en jets horizontaux, pour s'échapper à la circonférence
extérieure de la roue. *
lorsque le nombre de
en chevaux-vapeur, des turbines Fourneyron,
tours de la turbine est compris entre
33 V 56V
et ——H, V étant la vitesse due à la chute totale, et R le rayon
——
H 1\
extérieur de la turbine, lorsque la levée de la vanne atteint les 2/3
de la hauteur de la turbine.
On détermine le diamètie intérieur des turbines centrifuges en
multipliant le 1/4 ou le 1/5 de la vitesse due à la chute totale par
785,4, puis on divise le volume d'eau à dépenser exprimé en litres
par le produit obtenu, çt on extrait la racine carrée du quotient.
Exempte. — Supposons une chute de 2m20, et une dépense d'eau
de 800 litres par seconde. On trouve que la vitesse due à une hau-
teur de chute d'eau de 2m20 = 61570.
:
monte la turbine. On ajoute 4 à 5 centimètres pour le diamètre inté-
rieur de celle-ci, ce qui donne d' = 0m82 à om91.
:
Le diamètre extérieur est égal au diamètre intérieur multiplié
par 1,25 à 1,45, et devient d" = 101025 à lm 189 ;
ou d" = Ill37 ai"319.
La hauteur des aubes est habituellement le 1/5 ou le 1/4 au plus
du rayon intérieur de la couronne.
Les aubes étant de forme cylindrique, leur naissance est normale
aux conductrices fixes qui dirigent l'eau vers elles, et forme, pour
;
de faibles dépenses d'eau, des angles de 68 à 70° avec la circonfé-
rence intérieure de la roue c'est-à-dire que l'extrémité des conduc-
trices forme avec cette circonférence un angle de 20 à 22°; lorsque
les dépenses sont considérables, cet angle peut s'élever de 30 à 40°;
ainsi, pour une dépense de G à 700 lities, il a été reconnu qu'il fal-
lait un angle de 30° environ.
Pour le maximum de l'effet utile, la vitesse de la turbine doit être
égale à environ 0,70 de celle de l'eau. L'écartement des aubes, compté
sur la circonférence intérieure, est à peu près égal à la distance des
plateaux de la turbine; toutefois, cet écartement n'excède pas 18 à
20 centimètres; les distances intérieure et extérieure des aubes
sont d'ailleurs dans le rappoit des diamètres de la roue.
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12001b00 30C0136004200 7200
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10800 12000
15000
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..e.*ZZ® f!)
BATEAUX A VAPEUR.
morqueurs
vitesse.
,
La navigation maritime et fluviale à la vapeur comprend les re-
les bateaux à marchandises et les bateaux à grande
;
carneaux de circulation. Pour les grands trajets maritimes, la va-
peur est à basse pression on emploie quelquefois la haute pression,
mais on préfère généralement les machines à moyenne pression et
à condensation
On donne aux générateurs à foyer extérieur les mêmes dimen-
sions que pour les machines fixes; soit lm-i-20 à 1.m,q, 50 de surface
dechauffe par cheval et 1 m. q. de surface de grille par 100 kilog.
de houille brûlés à l'heure; la section des carneaux et de la che-
minée = 1/3 de celle de la grille. Si la même cheminée dessert
plusieurs chaudières, sa section est calculée égale à la somme des
sections isolées.
Lorsque le foyer est intérieur, la surface de la grille se réduit à
0mi-80, et la section de la cheminée à Om.q.25 pour 1,00 kilog. de
houille à l'heure.
Pour un bateau à vapeur de la force de 120 chevaux, le généra-
teur à basse pression se divise en deux moitiés, portant chacune
deux foyers.
On donne à chaque foyer une surface
les quatre foyers.
= lm-q-60, soit 6m-i-40 pour
:
vapeur, a deux chaudières ayant chacune cette force et trois foyers
en voici les dimensions
(1) La force de cheval-vapeur dans les machines de marine mesurée
sur les
pistons s'élève à 150 et même 200 kilogrammètres.
ethauteur.
Longueur de chaque corps de .,
chaudière,.,., = 3m
cheminée.
Lar~eur==2"',80
foyers.,.,.,.,. = 4m,10
tube. =
Surface de grille des 6 9n>q-,50
Sectiondela. = lmq-,50
de.,
Et diamètre = Jm,40
Nombre gêncratt'or~
total des tubesdes2 = 464
Longueur de chaque
Et diamètre = 2m
La surface totale de chauffeP:-t
= 001,07
fnmée. : 250n>-q-,72
directe
Qui se décompose ainsi
Surface de chauffe == 21m,15
Surfacepardesdetubes =
eau. =
Chambre à feu et à
cheval.
Soit lm.q.,67
204111,07
force
25m,511
2
Le poids des chaudières sans = 30 000k
Id. id. id. avec eau = 49,000k
L'eau de mer contient 1/33 environ de son poids de sel marin; or,
indépendamment des pompes alimentaires, les chaudières sont mu-
nies de pompes à eaux mèrl's pour extraire de la chaudière d'une
manière continue une quantité d'eau chargée de sels; la proportion
des eaux enlevées aux eaux introduites varie de 1/4 à 1/3 et même
plus, selon le degré indiqué par le salinomètre.
On combat les incrustations à l'intérieur des générateurs en en-
duisant la paroi intérieure avec du suif mèlé de plombagine.
Dans la marche normale d'un bateau à vapeur, on peut estimer
moyennement de 6 à 8 kilog. la production de la vapeur par kilog.
de houille, c'est-à-dire 6 kilog. de vapeur effective sur le piston ou
réduite par des tubes sécheurs, ou 8 kilog. de vapeur humide, com-
portant 25 à 30 p. 0/0 d'eau entrainée avec la vapeur.
Il y a intérêt à donner un certain degré de détente, c'est-à-dire à
faire évacuer la vapeur au condenseur avant la fin de chaque coup
de piston pour permettre au vide de s'effectuer devant le piston au
début de chaque course nouvelle. L'introduction de la vapeur peu-
dantles 7 ou 8/10 de la course du piston est considérée comme la
:
plus favorable. Cette détente s'obtient par le recouvrement du tiroir.
Les conditions essentielles de la navigation sont le tonnage, la
vitesse et la bonne installation du matériel.
Le rapport entre la puissance et le tonnage s'estime 2 tonnes par
force de cheval-vapeur pour la navigation fluviale et 4 tonnes pour
la marine.
Les roues à palettes et les hélices sont les deux appareils de pro-
pulsion en usage.
Roues à palettes. — La vitesse des aubes doit dépasser celle du
bateau dans le rapport de 4 : 3.
L'immersion la plus favorable correspond à 8 ou 10 centimètres.
Le nombre des palettes est tel que lorsqu'une aube plonge vertica-
ment, celle qui la précède sort de l'eau et celle qui la suit y pénètre.
L'écartement mesuré à la circonférence des palettes varie en mer de
0m91 à lm22.
M. Barlow a trouvé que, dans les roues à palettes, la résistance
moyenne de l'aube parcou"ant tout l'arc est à la résistance de l'aube
verticale comme 1,75 :1, différence due au choc à l'entrée et à l'eau
proj etée à la sortie.
La perte d'effet utile des roues à aubes sous diverses immersions
s'estime 0,65 de l'effet moteur.
Le rapport de la'résistance effective d'un navire à celle qui s'op-
~1
~11
1*
poserait au mouvement du maître couple immergé ou à celle pré-
l
et
M;
~24
s estIme
moyennement
a.—1
15
ou
-
sentée par la section immergée du maître couple varie entre
1
17.
M. Barlow a trouvé ce
:
rapport égal à 1 : 17 en expérimentant la
frégate à vapeur la Medéa. Voici sa manière de procéder ce bâti-
ment étant de la force de 220 chevaux-vapeur, et les roues à
aubes ne rendant que 0,66, le travail de la résistance totale du ba-
teau était 0,66 X 220 = 146 chev.-vap. ou 146 X 75 = 10950 kilo-
grammètres.
La vitesse normale du bâtiment était de 4m938 par seconde, et la
section du maître couple = 27m.q'974. L'expérience donnant 55 kilog.
pour la résistance moyenne d'une surface plane de 1 mètre carré à la
vitesse de 1 mètre par seconde, et cette résistance croissant comme
le carré de la vitesse, le travail de la section immergée du maître
couple par seconde
ou 10950 kilogrammes = 55 (4,938)2 X 27,974 X 4,938 XKi
K exprimant le coefficient de résistance cherché, d'où l'on tire :
1
Ce rapport devient— si l'on substitue 50 à 55 kilog. pour la ré-
15
sislance du mètre carré de surface plane immergée.
La capacité d'un navire croit comme le cube de ses dimensions, et
la résistance qu'éprouve un bateau à se mouvoir croit en proportion
de la section du maître couple. La résistance variant peu avec la
longueur, on peut étendre cette dernière avec avantage en tenant
compte toutefois que le bateau doit avoir de la stabilité, et une
force suffisante pour ne pas rompre au milieu.
Le rapport entre la longueur et la largeur mesurée à la ligne de
flottaison est de 3 ou 3,75 : 1 pour bâtiments et voiles, de 5 ou 6 : 1,
pour les bateaux à vapeur maritimes, et de 12 ou 15 :1 pour les ba-
teaux à vapeur sur fleuves et rivières.
La dépense du combustible diminue en proportion de la puissance
des bâtiments à vapeur.
Cette conséquence est favorable au développement des chaudières,
ainsi qu'il résulte des indications suivantes reconnues par M. Cam*
paignac pour des machines à basse pression à détente aux 7/10 de la
course du piston :
:
Forceenchevaux 50*h.T.80 100 140 180 200 250 350 400 500
Consommation
par heure et
5k 4,50 4,344,03 3,71 3,55g,38 3,15 2,982,65
par cheval. I
chauffede
Surface en ))t"q.20i,OS 1,04 0,90 0,890,85 0,81 0,78 0,71 0,63
mètrescarrés. )
Milles à l'heure ::
comme les cubes des vitesses. Ainsi :
Forceenchev.-vapeur 3ch-5
sm 4m
15
5m
25
6m
45
7m
69
8m
102
9m
146
10m
200
;
K est la résistance en kilog. par mètre carré de la section immer-
gée du navire à la vitesse de 1 mètre par seconde A la section im-
mergée en mètres carrés du maître couple; et V la vitesse en mètres
à travers l'eau par seconde.
Ainsi l'utilisation U ou le rapport de la puissance par le dynamo-
mètre à celle par l'indicateur est reproduite par :
L'expérience a prouvé qu'avec les plus grands diamètres usités
pour les hélices, tels que 2m50, ou avec les plus petites résistances
relatives ou utilisées à la propulsion du navire, les 2/3 de la puis-
sance directement appliquée à l'hélice, cette utilisation descend
à 0,55 pour des hélices n'ayant que 1m312 de diamètre, ou les plus
grandes résistances relatives.
Ainsi l'utilisation des hélices augmente avec leurs diamètres
quand la résistance relative diminue; en outre, les rapports du pas
au diamètre et les fractions correspondantes du pas varient avec la
résistance relative. Le premier diminue quand celle-ci augmente,
et la fraction du pas suit une marche inverse.
TABLE
DES PROPORTIONS CONVENABLES DES HÉLICES PROPULSIVES, DONNANT LE
MAXIMUM D'UTILISATION POUR DES NAVIRES DE TOUTES SORTES AVEC
W-3
DES HÉLICES DE 2, 4 OU 6 AILES.
(Extrait du Traité del'hélice propulsive de M. PARIS).
£«•
c fs
'^1êi'§g•=«
des
O «S -
62 W• e ® e
CLASSES
Naviresàhélice. w
S.es™(S c-w£
2=o5s=ë;H
«
v: '5
u.
HÉLICES
à2ailes.
HÉLICES
à 4 ailes.
u.
HÉLICES
à6ailes.
i:::
2=
A impériales. MAUDSLAY.
Postes .372
ch. l-,1221 ,9600,7'0,686145 ,686
1/3 155 (510 ,961r79 ,571 ,438,610,487
15848 14
BATIMENTS
160
1 0 0 00 23 0 0 5 5 4 20 1
0m,250
liRSElUilS.
Marseille FAWCETT. ,914,OG7
Agde. ch. ,774,510,533,088t;33 1/7 om,180 579 ,419,505 ,981,457,905
5284 13
t
à 80
00 0 0 0 27 4 A3 1 00
*
QUELQUES Om
1
DE
ÉRÈBE.
DIMENSIONS 1¡
impériale. IAVDSLH.
Marine
TDINTS.
ch. Om,8l6
60
CONSTHUCTEURS.
t
91
0 00 0 0
pistons
l'in- vapeur
machines.Coursedespistons.
pislons.
pistons..
0
089 ,457
,690,460,4.">7
pistons
32 »
5453
pompe
heure.
0m,171
minute
<100273
00 3 ,790,657,857
pales roue
Longueur pales
2
quirayons pales.,..
10
,830,400,732
1 00
pale
pales
.., cercles
pendant
par chaque
chaque
des
piston.
BATIMENTS
des de par des
des
les
des
2
parcouru
litre
des
pour
jjIA
des
Largeur,
!j
troduction
des unissent
Diamètre tiroirs l'extérieur l'intérieur
pistons de
PRINCIPALES
C lesDiamètreDialllètre
HBAATTTIMMET?NIWTTS
des l'extérieur des
Course Surface
Chemin par
Course Nombre
pour enet de peur.
vapeur.
Longueur
BA
chevaux 1 d'eau
vde
A
! !
vapeur. coups
E
DES
NDUES
Largeur
de
DES
DES
nON
IVI
en
DNPECSTTIIVNAATTIIOAN
DES
à air
à
Volume
de
d'entrée
A
Orificesd'enlrée
!A
DESTINA Cylindres des
TABLE Nombre
Force Orifices
Pompes Course
NOMS NOMS
HIRONDEILE.
MURRAY. ,70 ,72
43
0
Ï5T
0,56 ,52 ,6131
2/31
à
t/4
914
3 01
818 "92
143, 10
,50
4,80
SAÔNE.
hect. ,Km„
52m , 4m 2 8
3 5 4/2
.,
alm.atm.4m.
0
» »
SCHNEIDER.
,60 ,85 71 omqo
50
almosph.
25 .so 50 ,50 ,70
»
5
CR0C0D11R. hecl.
RIVIÈRES.
ROÔNB.
8
2
60m
0 4m 2 1
186
30 t/3
30
atm.
4m 302 6 8 8
POUR
RHIN.
PANSS.
LES
MAUDSLEY.
56m
6 ,6 ,85
00
,96
3m
om
,
91
0 29
1/3
1 atm. 8
I
3,36,45 ,13
4m,26
02
47mq.
83
4hect.
8 »
VAPEUR
,
.UGU, CAVÉ,
70 75
WP
83 0m,4635
2
33,51/4
atmosph.
Om,225
,20 3,34,43 2,50
» 5()mq.
59m 3m .8 Om V..essee~
1 4 0
8 8 »
48m
6
-200 0™,76
A
F.
LOIRE. COURRIER. ,50 ,4-,60 0,50 5 20 ,70 3,06,32 30
<6 8
m.
BATEAUX
GACHE
8 °'
300 6k 1
1 0m,69
34 < atm.atm.
10
3m 02
»
« 8
mercure.
50
BASSE-LOIRE.
ilHE.
'&T atmosph,.-I5
»
MILLER. 0,80 19mq,07
0tn,25 70COk
» 1 0 30 8
1 1
!
39m 3m 8
DE TYROSi 36' 3 3m,37 0
°
Wï.
PRINCIPALES
CLÉHEXCUSmE. lied.,50
GARONNE.
JOLLET. ,60
,00 M 0,5042,75
atm.
,90 M ,35 ,65 12
3
245ck
4000^
»0 2 1 6 » 2m 2 0 4 1
DIMENSIONS BATEAUX CONSTRUCTEURS.
RIVIÈRES
(loltaison
36m charbon.
maître-couple.
sip
lon piston.
vapr
doubles 1
condtn-eur
ci.audière.
a
palettes. palette
paleites".
totale heure.
palette
eau.
ud
sans
pleine intérieur
par
pont
mach.et
leau cylindres
course
de
d'uned'une chaimachine,
NOMS Longueur
Fraction Diamètre dede
Tirantd Nombre Suifnce
NOMS Largr Id.
D Course
Id. Iil. ld.
Poids
TROISIÈME PARTIE
ut
CONSTRUCTIONS CIVILES
:
chaux. Le volume de la pierre perd 1/5 à la cuisson.
On distingue la chaux grasse; qui ne durcit pas dans les travaux
hydrauliques et dont le volume augmente d'un quart au moins et
souvent de 2 fois 1/2 par l'extinction; la chaux maigre qui-durcit à
l'air, mieux etplus vite que la précédente et dont le volume reste à
peu près le même après l'extinction; et enfin la chaux hydraulique,
mélange de l'argile au carbonate calcaire qui durcit dans l'eau.
L'analyse a fait reconnaître que le carbonate fournissant la chaux
grasse contient moins de 10 p.- 0/0 de matières étrangères; qu'au-
dessus de cette proportion, le carbonate combiné avec l'alumine, la
magnésie, l'oxyde de fer et l'oxyde de manganèse fournit une chaux
de plus en plus maigre; que la propriété hydraulique est due à la
formation au feu d'un silicate de chaux; que les proportiuns les plus
(
0,30 0,70
La cham-ciment contient
(0,40
0,50
0,60
Limite
0,50
I0,60 0,40
0,61 0,39
j 0,70 0iO
zotanecontient.)
Lezolane
ciment hydrauliqueoupouz-
contient! pouz- 0,90
on O::Ú
J-JJ
COMPOSITION CHIMIQUE.
Carbonate de chaux.63,8 Chaux",. 56,6
fer.
Carbonatede magnésie. 1,5
,
Carbonate de
Silice..
11,6
Protoiyde de fer
Magnésie.
Silice
13,7
1,1
21,2
Alumine..,., .,.
Eau et divers..,
14,0
5,7
3,4
100 parties.
Perte.
Alumine.,., 6,9
0,5
100 parties.
;
Le mortier est composé d'ordinaire de volumes apparents égaux
de sable et de ciment en élevant la dose de ciment dans le rapport
de 3 pour 2 de sable, et même de celui de 2 à 1, on augmente sa
résistance à de fortes charges ou pressions d'eau.
Mastics. — Pour réparer les cassures de la pierre et refaire les
rejointements, on emploie le mastic de Dhil, qui se compose de 8
à 10 parties de brique pilée, mélangée avec 1 partie de litharge et
d'huile de lin.
Pour recoller la pierre et surtout le marbre, on compose un mas-
tic de chaux vive pulvérisée et gâchée avec du blanc d'œuf.
Pour relier les tubulures des bouilleurs aux générateurs, on mé-
lange 50 parties de limaille de fer ou fonte avec 1 partie de sel
;
ammoniac, 1 partie de soufre, et on arrose le tout d'urine. Il se pro-
duit par le brassage une combinaison intime on tasse ce mastic au
pourtour du joint, et il acquiert rapidement une très-grande consis-
tance.
Dans les laboratoires de chimie, on lute les tubulures avec un
mélange de chaux vive, d'argile et de blanc d'œuf.
Pour les conduites d'eau et de gaz, on coule du plomb ou un
alliage d'étain dans l'emboîtage des tuyaux en fonte ou en fer, et on
mate fortement au marteau et au cliassoir.
Plaire. — Le gypse ou sulfate de chaux, privé par sa mise en
four de son eau de cristallisation, fournit le plâtre dont l'emploi est
si général pour revêtir les surfaces de moellons, briques et char-
pentes. Le poids de la pierre à plâtre diminue de 1/4 environ à la
cuisson qui varie de 10 à 15 heures; le plâtre perd de ses qualités
par son exposition à l'air. On distingue le plâtre an panier qui s'em-
ploie dans son état de livraison pour hourder et faire les crépis, le
plâtre au sas, c'est-à-dire passé au tamis de crin pour les enduits et
moulures, et le plâtre au tamis de soie pour les enduits plus fins.
Dans les usages ordinaires, le plâtre se gâche dans un égal vo-
lume d'eau; la quantité d'eau diminue pour gâcher serré, et elle
augmente pour faire un coulis, dans des joints où la truelle ne peut
servir. Lacuisson du plâtre se fait de 110 à 150 degrés (1).
Stucs. — Ce marbre artificiel se subdivise en stuc en plâtre et stuc
en chaux. Le stuc en plâtre se compose de plâtre gâché avec de
l'eau de colle.
Le stuc en chaux est un mélange par parties égales de la chaux
et du marbre en poudre tamisé; on l'étend en couches minces sur
une première couche de plâtre mélangé à un mortier de chaux et
de sable fin.
Le stuc en plâtre ne peut s'employer qu'à l'intérieur, mais le stuc
en chaux peut s'appliquer à l'extérieur, lorsque les premières cou-
ches sont entièrement en mortier de chaux hydraulique.
Blanc en bourre. — Introduit dans un mélange de mortier de
terre argileuse et de 1/5 à 1/6 de chaux grasse, le blanc de bourre
remplace, sauf en temps de gelée, le plâtre pour les plafonds et en-
duits. Pour la conservation du poli de l'enduit, la chaux doit être
éteinte depuis plusieurs mois.
Béton. —Mélange de cailloux concassés à moins de 0m05 et de
mortier hydraulique. Il est gras ou maigre, suivant la proportion
plus grande ou plus faible de mortier. Ainsi, la proportion du mor-
tier varie de 0mc-55 à om;c, 20 pour om.c. 77 à 1 mètre cube, selon
qu'il s'agit de travaux hydrauliques à pression ou de fondation sur
terrains secs et mouvants; on compte pour un volume de cailloux
1/2 du volume d'eau environ. Le béton est souvent employé pour
fondations, piles et culées de ponts, etc.
1+
léger talus ou fruit de haut en bas de 1/60 à 1/100 de la hauteur
des murs. Ce fruit s'élève à 1/12 pour les murs de soutènement.
Rondelet indique diverses formules pour calculer l'épaisseur des
murs d'habitation.
Ainsi, l'épaisseur e des murs de face dépendant de la largeur 1
du bâtiment et de la hauteur h, il fait pour un corps de logis simple
-
Pour un corps de bâtiment double, il fait : e =,
Pour
Pour un mur de refend
mant le nombre d'étages.
l' + h
: e = 36
48
+ n X 0m 0135;
A
n
expri-
L'épaisseur des murs isolés varie de 1/8 à 1/12 de la hauteur ordi-
nairement.
D'après Rondelet, dans les maisons d'habitation divisées en plu-
sieurs étages par des planchers, et séparées par des murs de refend
-
ou des pans de bois, l'épaisseur des murs de face varie de 0m41
à 0m65; celle des murs mitoyens varie de 01,435 à 0m54, et celle
des murs de refend est comprise entre 0m325 et 0m 487. La plus petite
épaisseur'om435 des murs mitoyens, contenant les cheminées de
deux maisons voisines est supérieure à la plus faible 0m41 des murs
de face.
La pratique a consacré les règles empiriques de Rondelet, ainsi
qu'on le voit par l'indication suivante des épaisseurs :
TABLEAU
m.
DES ÉPAISSEURS EN USAGE POUR LES MURS DE MAISONS D'HABITATION DE
LARGEUR MOYENNE ET D'UNE HAUTEUR DE TROIS A QUATRE ETAGES.
I
des parties des murs. d'étage.
075
Auxfondations h
durez-de-chaussée
00 0
descaves 005550 080005035àà00
70 à 0 i 85
deface.
à
m.
de refend.
m. m.
65
(duleretage.004045à0550»30»»à0»»»325à500
Au-dessus du plancher I du 2e étage.
à 0 65
à 0 50
40 m. m.
35 3 00 à 4 25
( du 3e étage. 032 à 0 40 025à0 30 2 80 à 3 50
AUREZ-DE-CHAUSSÉE.
ÉPAISSEURS
MURS
--deface. ------ --
mitoyens. derefend.
Bâtiments plus considérables que les m. Im. jl
maisons d'habitation. m. m. m. m.
0 65 à 1 00 0 55 à 0 65 0 40 à 0 55
de-chaussée. , ,
Palais ou édifices avec voûtes au rez-
i i
20 à 2 50 1 00 à 50 0 70 à 1 20
J
La hauteur minimum d'étage est fixée par l'administration à 2m60.
Dans la division des étages, on donne pour un bâtiment à un seul:
étage les 7/12 de la hauteur au rez-de-chaussée et les 5/12 à l'étage.
Pourun bâtiment à 2 étages, on donne les 7/16 au rez-de-chaussée,
les 5/16 au premier étage et les 4/16 au deuxième étage.
Arcades. — On fait dans les entrepôts et magasins la hauteur des
arcades égale à la largeur entre les piliers; dans les édifices, on
donne à la hauteur une fois et demie cette largeur, et dans les por-
tiques ordinaires, on fait cette hauteur égale à deux fois la largeur.
Lorsque-les arcades sont séparées entre elles par un accouplement
de colonnes, l'entre-axe des colonnes accouplées prend la moitié
de l'entre-axe des colonnes qui limitent l'arcade, c'est-à-dire le
1/3 de la largeur totale de l'arcade; pour les ordres élevés, l'entre-
axe des colonnes accouplées estle 1/4 de l'entre-axe total.
Dans les arcades sur piliers, la largeur du pilier est d'ordinaire
égale à la 1/2 ouverture de l'arcade soit au 1/3 de l'entre-axe des
piliers.
La montée des frontons varie de 1/5 au 1/6 de leur largeur.
Pans de bois. — Leur emploi n'a généralement lieu que pour les
façades sur les cours, et n'a d'avantage sur un mur que dans les
espaces resserrés. Un pan de bois en charpente, élevé sur un sou-
bassement en maçonnerie, hourdé en plâtre, et ravalé des deux
côtés pour ne former qu'une seule pièce, n'a que la moitié de l'épais-
seur d'un mur équivalent; cette épaisseur se réduit même au 1/4
lorsque la cloison est légère et ne porte pas de plancher.
Un pan de bois n'offre de stabilité qu'en assemblant toutes les
pièces entre elles à tenons et à mortaises, et en harponnant ensemble
ses diverses parties et aux murs contigus; ainsi, un pan.de bois de -
trois à quatre étages, hourdé plein et ravalé sur les deux faces, aurait
une épaisseur de 0B2i6 à 0m25, et sa stabilité due au poids multi-
pliée par la 1/2 épaisseur ne serait que le 1/7 d'un mur en moellons
ou en briques dont l'épaisseur = 0m43.
On donne aux pans de bois, comme à la maçonnerie un léger
fruit par étage à l'extérieur.
Pour ce même pan de bois, les poteaux corniers doivent avoir
0m25 à 0m27 d'équarrissage: les sablières ont om216 à 0m25, et les
parties de remplissage 0m162 à Om19.
Cloisons. — On distingue les cloisons légères de menuiserie à
claire voie, lattées, hourdées et ravalées en.plâtre des deux côtés,
et celles en planches jointives, lattées et recouvertes d'un crépi et
d'un enduit en plâtre des deux côtés.
TABLEAU DRESSÉ PAR M. EMY
d'étrière 0
Pansdeboisdesfaçades (de 3m
217 90).
Épaisseur.
Poteauxcorniersetpoteauidefond..,.Équarrissage.
Poteaux
Sablièrpsbantesetbasses,.,.,.,.,.,.
0
0m217 à 0m244
0 244 à 0 ï71
à 244
d'hniserie.,.,..,.,.,.
Poteauxderemplace
Poteaux
0
",.", 162
Ecartementdespote;uhderf'mplage
à 0à
à
217
0
0 216 à 0 217
0 189 à 0 217
225
Tonraissesetpotelets
de
Guettes, décharges,croix
0 0à0
Saint-André
!(riessils» 135 0
217
0 271
162 217
)sansplancher.0<080135àà0 n
Pnans
P t
«portantplancher.
C<OMoyM~cfc/'M~o<tcnpor~A/<!m'
»
de hoi,intérieurs ou cloisons
0 de3®90épaiss..
0 081
0
à 0 135
162
.R.I
135
ÉPAISSEURS EN LARGEURS EN
15
54
à40,512à15
32,5
24,4
12
9
Feuillets.. 18,9à21,6
Planchesordinaires
Plats-bords6830
13,5
32,5 6512
6
27
24 12
à24,4
à7 à
9
8
Id.
Pannpam.
81
Id.,.,."
Planches
Madriers81
21,6à24,4
marchandes.
20
41
47
9
18
21
36
36
24,4
24,4
21,6à24,4
24,4
8 à
9
9
8
9
à 9
9
Membrures 81 36 13,5à16,2 5 à 6
Sciage des bols. — Le débit des bois s'effectue, soit par des scies
à mouvement alternatif à une ou plusieurs lames verticales, hori-
zontales ou inclinées, à chariot, à cylindre, à placage, soit par des
scies continues à disque rotatif ou à ruban sans fin.
:
Pour le peuplier ou bois tendre, la production est bien plus consi-
dérable soit un avancement de 13 millim. avec une vitesse de 250
révolutions et des planches de 0m22.
La surface sciée par heure = 0,013 X 250 X 0,22 X 60 = 42m,q,9,
ou, en défalquant le chômage, =
28m.q.6 environ.
La force d'un cheval-vapeur débite moyennement 3 à 5 mètres car-
rés de sapin et peuplier, et 2m.q.25 de chêne.
Scierie alternative, manœuvrée par deux scieurs de long. Sur -
du chène sec de 0m315, à la vitesse de 50 coups par minute avec
arrêt après chaque 3 à 4 minutes, course de la scie, de 0m975, et
avancement de 2mm 5, le sciage produit = om-i0414 par minute et
2--q. 48 par heure.
Scie à placage. —Vitesse =280 à 300 coups par minute; avan-
cement de la lame = 5 millim. Le sciage, pour du bois d'une lar-
geur de 0,40 a produit en une heure 3m.q. 60, par journée de douze
heures, réduite à dix heures pour affutage, montage, démontage,
graissage, etc., la surface sciée = 3,60 X 10 = 36 mètres carrés.
Scie à ruban. — Vitesse des poulies = 160 tours par 1', diamètre
= lm260; vitesse à la circonférence des poulies :
=
Avancement pour un madrier de sapin de 22e 4 millim. par
mètre de parcours de la lame, ce qui donne 2m,q.53 de sciage pour
un côté et 5m06 pour les deux côtés. On produit ainsi 3200 mètres
de longueur de planches en une journée de dix heures, ou 704m<q-, soit
par heure 70m,q'4, et, en défalquant la perte de temps, 60 mètres
par heure.
Scies circulaires. — Vitesse à la circonférence =
15 mètres pour
-les bois durs, 20 mètres pour le cliène et 25 à 30 mètres pour les
bois tendres. Chaque cheval-vapeur scie moyennement 5m-î- de bois
blanc par heure, et 4m.q., 2 de bois dur.
Les scies circulaires américaines, dont les dents ont la forme de
triangles inclinés en avant et tronqués à leurs extrémités, en laissant
entre les bases de deux dents successives un espace vide presque
égal à 2 fois la base des dents pour laisser dégager la sciure et
éviter l'échauffement, possèdent à la circonférence une vitesse de
40 à 50 mètres par seconde; leur diamètre =
0,50, et le nombre de
révolutions= 12 à 1500 tours par minute.
-
Charpente. Bouleau, chêne, cyprès, merisier, peuplier, pin,
sapin.
Cbarronnage et carrosserie. — Charme, frêne, noyer, orme,
teak.
,
Ébénisterie. — Acajou, chêne, citronnier, érable, olivier, pla-
tane prunier.
-
:
Menuiserie. Acacia, chêne, merisier, peuplier, platane, saule,
Bâtis Alisier, chêne, cormier, pôirier, pommier.
:
Coussinets: Buis, cormier, gaïac, noyer.
:
Engrenages Charme, cormier, poirier, pommier.
Mécanique. Outils Buis, châtaignier, cormier, frêne, hêtre,
Pompes et tuyaux :
houx, pommier.
Aune, châtaignier, cyprès,
hêtre, orme.
Escaliers. — La cage varie de forme et de grandeur suivant l'espace
disponible.
La hauteur h d'une marche est d'ordinaire égale à la moitié de la
largeur ou giron 1; elle est comprise entre 0m13 à 0m19; sa lon-
gueur varie de 0m70 à 2 mètres. La hauteur de la rampe est de
0m89 à lm06.
Dans les cages resserrées le giron, qui d'ordinaire égale 2 fois la
hauteur de la marche, diminue en raison inverse de cette hauteur.
Les dimensions respectives de 1 et de h se déterminent l'une par
l'autre au moyen de la formule empirique 2 h + 1 = 0®65. Or, sur
un terrain de niveau h =0, et sur une échelle 1= 0; alors, dans
1
le premier cas, = 0m65, dans le deuxième cas, 2 h = Oro 65, ou
h = 0m325. Si donc l'on fait dans la formule précédente :
1=0,27 0,30 0,32 0,35 ou 0,38
onaurah=0,19 0,175 0,165 0,15 ou 0,135.
Planchers. -La charpente d'un plancher, sous la dénomination
duquel on comprend le plafond et le parquet ou carrelage, se com-
mètres
b 3- -
pose de solives, pièces de bois horizontales et parallèles. Rondelet
donne 1/24 de la portée à la dimension verticale d'une solive et, si
les vides sont égaux, la largeur de la solive ne doit pas au minimum
être inférieure à la 1/2 hauteur.
Quand la longueur ou portée d'un plancher est trop étendue, on le
fait soutenir par des poutres régulièrement espacées de 3m à 3m5, et
dont la hauteur est le 1/18 de la portée.
:
Pour le chêne h
:h=
SOLIVES DES PLANCHERS SIMPLES.
Pourlesapin
= 0,0376
V12
Ç
0,0363 12
:
Tredgold donne les formules suivantes soit b la largeur d'une
solive, h sa hauteur verticale, et 1 sa portée, le tout exprimé en
:
POUTRES DES PLANCHERS ASSEMBLÉS.
II.
II.
0,0683V
h ==0,0683
=
3
éloigné.
I.
RI
Le
Ebh2
moment de la résistance de la pièce =
IIÉIIGNATION*pardej
DÉSIGNATION.
!I0,007
b b'mèlre-
Providence.,.
0,005
Providence.,..
)0,055
Mmoonntua
Providence
e
tiaaiirre
Ptrroovvimdeenncce
Montataire,
e.
-Pfrroovviiudeenncce
MM0
e.
onlataire
lPrr0oVvlidderiulCrep
Prudence.
- ---
e 0,~0
Providence
Providence.
e
p
MMoonmtaattaatirre
MMn0nntlaatt3alirre
Mohair.
0 °20
J\luntataire.,.
PKrroovidencce
e
e
TABLE DES DIMENSIONS
m.
h
0,0450,007
0100
e u0.m10o00u,u08»a5j0>(j47
MMoonnitaaiïaaiirre
0.O5
n 0,106 ¡0,0,,0
°m<12o0
0,160
u
0o,1i2^0
0,140)
Ou,t)4<n0
o,140
0o.^16o0
°tf'11880, ft
0,180
ft
0,200
0,220
00,:!60
ft
0,148R0
'^b600
VALEUR DE
hl
0o.u0s8s81
m.
OJC4
0,126 0,0;>3
0".)'2-66
,
o,\J?
0,123 00,0
4
00,11444
0,062
55
°16"1(1,055
-
4fO 0,067
0,162
j
0,181 10,065
0,201
00,236
236
0
b
J
|j¡ JJg
j
0,062
jj 0,060
0,073
0,::00jj!0,064
0°'--""U0U
I
!
j
j
j
Ill.
0,050
0053
0,071
0065
0t073
0,067
0,074
2
m.
—
0,005
0,010
0,012
0,007
0,014
0,0^8
0,015
0,008
0,015
0,008
0,016
0,009
0,016
0,008
00(3
0,013
d
0,01:)
0004
0,009
0010
W
0,012
l'ïïl
0:012
0,0-20
=-.
h
15
25
16
)
POIDS
Par
kg.
9
12
8,06
415(.
11
15
li
1028
14
20
13
18
j,5
20
30
20
30
22
VALEUR
dxiOOOOGO
34,4205,00
26
40
24,3
28,50
3)84
37,25
4^60
40,18
52J8
4,;'51
57,51
55,90
75,46
78.03
81.,54
77,27
9860
115,19
<303t
111,98
149,78
119,25
157,09
151,67
182,24
2.18,71
173,66
37,423101,20
40
58
299,74
378,60
Coyaux.
Coyaox. 7 97 [8àà à 9àiàI8à!9àà à à
9à8 7 7 8 9
à8 10 8
cent.
9 1089to8 9 10
Ch
Chevrons.
9 10 11 9 10 11 9 10 11 9 10 11
à9 à à à à à à à il à à à
cent.
10 11 9 10 11 9 10 11 9 10 II
PORTÉES.
Sablières.
6 12^
H 16 12 14 16
cent.
12 14
t 14 16 12
à23 à25 à à23 à25 à28 à23 à à28 à23 à25 à28
25
28
ET
22.
FORMES P
annes. 19 20 19 20 22 19 20 22 19 20 22
APPROXIMATIVES
à19 à20 1122 à19 à20 à22 à19 à à22 à19 à20 à22
cent.
20
DIFFÉRENTES
16 17 19 16 17 19 16 17 19 16 17 19
1
te.
F
a à19 à20 à à19 à20 à22 à19 à20 à22 à19 à20 à22
cent.
2-2
Poinçon.
I.omçon. 19 24 30 19 24 30 15 18 22 18 23 28
à19 à24 à à19 à24 à30 415 à18 à à<8 à23 à28
cent.
DE
30 22
BOIS
DIMENSIONS
18 22 18 23 28
Arbalé- 19 24 30 19 24 30 15
triers.
tners.
EN
COMBLES
à22 à26 à32 à22 à26 à32 à18 à22 à27 à20 à25 à30
cent.
un
Tirant
plancher. 27 3-2 37 30 30 45 30 37 45 30 37 45
cent.
DES
DES
pour
porter à32 à à47 à42 * à63 à42 à52 à63 à42 à52 à63
5-2
40
TABLE PIÈCES
Tirant
24 30 36
de
portant plancher,
pas
à27 à33 à40 »
cent.
- » 12 * »
PRINCIPALES ne
du
Largeur
bâtiment,
mètres.
9
(tans
l'œuvre
6 9 12 6 9 12 6 9 6 12
DES simple.
retrous-
re-
allanttirant.
( l de en mansardes
1
jambe comble
DÉSIGNATION entrait
arbalétrier
FERMES. entrait
des faîteau et pourmansardes
avec
Ferme Ferme
à et troussé
Ferme
force. Ferme
sé, <iu
M. Bornemann calcule dans le Civil-ingénieur la résistance des
solives ou poutres en bois, en fonte et en fer par la formule :
Pour donner à K la valeur convenable, cet ingénieur, au lieu de
prendre comme point de départ les charges qui déterminent la rup-
ture des solives, s'appuie sur le maximum d'élasticité des matériaux,
et il fait entrer dans ses calculs le coefficient ou module d'élasticité.
Il arrive ainsi à :
K = 0,i0 pour le bois,
K= 1,65 pour la fonte,
et K= 4,00 pour le fer.
Les Mesures de section sont exprimées en centimètres.
Combles. — Les combles des édifices sont de formes prismatiques,
pyramidales, cylindriques ou coniques.
La forme ordinaire des combles est celle de deux pans inclinés
raccordés par une arète supérieure appelée faite; on donne le nom
d'appentis à un comble formé d'une seule pente.
La charpente d'un comble se compose d'une ou de plusieurs fermes
distancées de 3 à 4 mètres qui, avec les murs, soutiennent tout le
système de la couverture; des poutrelles ou pannes, disposées en tra-
vers des fermes dans le sens de la longueur du bâtiment, portent les
chevrons, les lattes et la couverture.
Les dimensions des différentes parties d'un comble en bois se
déterminent d'après les charges; ainsi, pour déterminer l'équaris-
sage des arbalétriers, il faut avoir égard au poids des pannes, des
chevrons, de la couverture, à la pression accrue par le vent, au poids
de la neige, etc. Le poids de la neige =1/10 de l'eau; pour une
couche de 0m 25 on compte 25 kilogrammes par mètre carré.
La pression du vent par mètre carré de couverture peut s'estimer
ainsi.
:
Vitesse
Pression:
12m
5
19k
15
30,47
20
54,16
24
78
30
t22,2
36
177
45.
278.
CUBE
INCLINAISON POIDS
Jutit
NATCRE dumètrecarré
tOIt debois
delacouverturesurl'horizon, derouvertare-
boisnoncompris
1S
Zinc no
,
H.,.. à33
maçonnées.
45
Cnivreenfeuilles.
31
21
21
à
à18
à48
27
75 à 90
136
38.
14
8,50
0.058
O,flfi8
0,05%
0.042
0,042
Masticbitumiueux 21 à18 25 0,056
:
On emploie aussi dans le midi des tuiles creuses coniques dont
voici les dimensions
1 = om40, e = Om013 et d =
0m20 à un bout et 0m15 à l'autre.
Les rangs verticaux concaves des tuiles sont distancés de 0m04, et
se recouvrent en longueur de 0m05 à 01106. Les autres rangées inter-
médiaires recouvrent les premières par leur convexité.
Les tuiles flamandes, qui entrent au nombre de 15 1/4 dans un
d'épaisseur..
mètre carré de couverture, ont environ 0m35 de côté et Om016
-
DEVIS COMPARATIF DU PRIX DE REVIENT DE LA MAÇONNERIE, CHARPENTE
ET TOITURE D'UN COMBLE POUR UN BATIMENT DE 12m DE LONG SIR
6m80 DE PROFONDEUR.
Comble.
Couverture
Charpente.
Prix
,sans
«"Ï
l\lane Charpente.sans3^2duPrixtotal.
Maronne-
''5 du Prix total.
rie. chéneaux.— •S nièt.carré.
fp.c. fr.c.
Zinc25995 fr.c.
17890
fr.c.
63624
k.
7 4345
fr. c.
107509 !
:Tuiles
Ardoise*.. 1 488 58
74702
2!19 8, 457 P4
435 21 56373
25
80
15 60
2180
1245 97
1745 96
:
Dans leur emploi, les matériaux peuvent être soumis à différents
efforts que l'on peut classer ainsi 10 Tractiondes fibres molécu-
laires dans le sens de la longueur et tendant à en opérer l'allonge-
ment, puis la rupture; 20 Compression ou écrasement dans le sens
de la longueur des fibres ou molécules pour les refouler; 30 Flexion
due à un effort transversal; 4° Torsion due à l'action rotative en
sens contraire de deux forces tangentielles à la même pièce.
La théorie de la résistance des matériaux suppose l'uniformité et
l'homogénéité des corps placés dans les mêmes conditions, et se tra-
duit en formules et en faits d'expérimentation.
Traction. — La résistance des pièces soumises à la traction, à
l'allongement et à la rupture est proportionnelle à leur section trans-
versale dans la limite d'élasticité, c'est-à-dire tant que la pièce,
après l'effort, peut reprendre sa longueur primitive.
Allongement. — La formule d'allongement prend la forme
P P
:
S =
a =c b et c —,
c Sa
puis P= flcS; P*représente l'fI
l'effort de traction
:
Lorsqu'il y a charge permanente, il faut limiter l'effort de trac-
tion ainsi qu'il suit au 1/10 de la résistance de la rupture pour
.es bois; au 1/3 et au 1/4 pour le fer et la fonte, et même au 1/5
it au 1/6 pour le fer s'il y a vibration. La fonte est proscrite dans
es cas de chocs ou de vibrations.
Les expériences de M. Tenbrinck, chef des ateliers de Montigny-
es-Metz, sur la résistance à la traction des fers et aciers, ont donné
:
es résultats suivants
1° Fers forgés de diverses formes et provenances, à la houille et
:u bois. — L'allongement a commencé en moyenne à 20 kilog. par
j
millim. carré de section; il s'est 'continué proportionnellement à
l'effort exercé. La rupture a eu lieu en moyenne à 35,8 kilog., c'est-
à-dire sous une traction environ 1,8 fois supérieure à l'effort qui a
commencé l'allongement ;
20 Aciers fondus. — L'allongement des aciers fondus raides, an-
glais ou allemands, s'est produit en moyenne à 60 kilog. par millim.
carré, C'est-à-dire sous un effort 3 fois supérieur à celui du fer. La
rupture s'est opérée à 77 kil., soit au double environ de celle du fer.
Les aciers doux et malléables ont commencé à s'allonger à 30 -kil.,
c'est moitié de la résistance de l'acier à outils et 1,5 fois celle du fer.
La moyenne de rupture a été de 60,6 kilog. par millim. carré;
3° Acier puddlé de Krupp. — L'allongement s'est manifesté à
32 kilog. et la rupture en moyenne à 69,2 kilog. par millim. carré.
Des expériences antérieures faites par M. Eaton Hodgkinson sur
des barres de fer de première qualité et de 0m013 de diamètre, as-
semblées bout à bout par des manchons, de manière à constituer
une longueur de 15 mètres, ont constaté les fas suivants :
1° Il y a allongement permanent sur des charges inférieures à
celle qui correspond à la limite d'élasticité ;
20 Jusqu'à la charge de 14k997 par millim. carré, les allongements
croissent proportionnellement environ aux charges; mais la valeur
est négligeable, étant seulement d'un centième de millim. par mètre
1
sous 14k997 de charge;
3° Au-delà de cette charge, et notamment à partir de 18k74 par
millim. carré, les allongements permanents croissent rapidement
dans un rapport plus grand que les charges ;
40 La valeur moyenne du module d'élasticité c a été 19,359,458,500.
:
M. E. Hodgkinson, en expérimentant sur des fontes de plusieurs
localités anglaises, a constaté 1° que jusqu'à 6 kilog. par millim.
carré, charge bien supérieure à la pratique, les allongements totaux
(
et les allongements élastiques différence entre les allongements to-
;
taux et les allongements permanents) sont sensiblement proportion-
nels aux charges 2° qu'entre la charge de Ok 74 par millim. de sec-
~1400
I
tion et celle de 5*92, correspondant à un allongement de om 000715
du module d'élasticité est
par mètre ou
c =de9,096,070,000, valeur qui diffère de 1/12 environ de la plus forte
la plus faible.
et -
Ces expériences ont été faites sur des 'barres de 645 millim. carrés
de section et de 3"05 de longueur, assemblées bout à bout sur une
longueur de 15m25.
TABLE DES ALLONGEMENTS DE CORPS
SOUS DIVERSES TRACTIONS (DONNÉE PAR PONCELET).
dePValeurdec
dea pour
Valeurs Valeurs
DESIGNATiON
DÉSIGNATION DESDES CORPS, de a
CORPS. m/mcarré
,
pour
1 m/m carré
3T(é
enmètres. de section. desection.
l'huile.,.
Acier fondu très-fin trempé, recuit à
-
4500
835
kg.
66,00
25,00
00
12,205
kg.
k8-
30000
21000
2 0
20000
"diuaensions
Fils de *.
cuivre
IiIlS.,. -
Fonte de fer à grains
recuits.
Fil:;delaiton
,
Fers doux passés à la filière de petites «
——
1250
!
—
1200
- 14,75
10,00
18000
13100
12000
fondn.
1590*
D 10000
74-2
Sapinrougeoupin.._!_«31S 1500
470
Sapinjauneoublanc 2,17 1300
Cène.,.,.,.., - 850
Frêne._t_
1 1200
2,03
600
Orme—;_L_ 2,35885
1,27 1120
970
570
1,63 730
-
lies, des moufles; etc., sont soumis à un effort transversal dit de
cisaillement.
Lhésistance des tôles que ces rivets réunissent est proportion-
1
j
5
CeteffortestT=S f.
S étant la section transversale de la pièce en centimètres carrés,
t fla force nécessaire pour rompre une tige de même nature que S,
le 1 centimètre carré de section.
Bais.
RÉSISTANCE DES BOIS A LA TRACTION
DANS LE SENS DE LEURS FIBRES.
VALEURSDE f.
Frêne.,
Sapin
, ,
800
,
.,..,.,.,.à ., à-
,
, , ,
850 ,..
80
rupture.
1400
1200
Pratique.
140
420
90
60à90
Poirier650
à
à
Chêlle, 900 COO
Hêlre.,.',..,
100 120
Teak1400libres 800 80
65
Chêne
Peuplier, .,.,.,.,
Sapinlatéralementauxûbresouparglissement.
perpendiculairementaux
,
42
160
125
Observations. — Les bois exposés à l'air doivent être renou-
4
16
12
Fer forgéétiré
ordinaire3200à5400
5500 6000 à à4300 Rupture. Pratique.
7uO
Tôledanslesensdulaminage3800
Fer corroyé ou 1000
700
Tôleperpendiculaireaulaminage. 3350à3940
,.
600
Lesplusmauvaisfilsde1erducommerce 5000
.,
850
Fildefernonrecuitde0,005à0,013dediamèt. 6000à6480
grise..,.,.
Fil de fer recuit de 0,001 à 0,0U15 de diamètre. 3600 à 3800
1050
600
.,.
Fontedeferblanche.,.,.
Fonte de fer
raaine.
1420 473
raffiné,.,
Aciercémenténon
Acier cémenté
Acier fondu., ., , ,.. 1310
2<90
9160
436
930
3050
Acier
Cuivre rouge fundu.
corroyé.,
,
battu.
Bronze ( metaldecanon).
Cuivre rouge laminé..,
,
4400
9440
2550
1341
1460
3I46
850
447
fondu.,.
Cuivre rouge
laiton.
fondu., , ,
2100
2480
700
830
tammé.
Cuivre jaune ou 1263 421
Etain
recuit).
333 111
Plomb 128 43
Plomb 140 46
;.
Fil de laiton mou de Om,002 de diamet. (non
,
Fildelaitondouxde0m,002dediamètre(11011
recUit),
Fildeplatineécrouinonrecuitde001,127de
diametre (Baudrimont)
,11600 4140
6600
700
1100
1800
Compression. — Bois. — La théorie hypothétique de MM. Navier
t Duleau, confirmée par les expériences de Hodgkinson, admet que
a résistance des bois à l'écrasement est proportionnelle à la section
transversale de la pièce; on en a déduit les formules SUivantest
R
il == cîî-='ir-
SECTION CARRÉE.
1
f,i
SECTION RECTANGULAIRE.
rR>
= C
ab3
R = c-
SECTION CIRCULAIRE.
d2
:
comprise entre 30 à 45 fois le côté de la base, prend, d'après M. Hodg
kinson, les valeurs suivantes pour le chène fort, c=2565; et
le chêne faible, c = 1800; pour le sapin rouge et blanc fort
pou]
la
pin résineux, c = 2142; et pour le sapin blanc faible et le pi
jaune c = 1600.
Rondelet estime qu'un cube de chêne, dont la hauteur est inf
rieure à 10 fois la plus petite section transversale, s'écrase sous un
charge de 385 à 4G2 kilog. par centim. carré.
Il a trouvé aussi que la résistance d'un cube de bois à l'écrase-
ment étant 1, celle des poteaux sera représentée par les nombre
suivants :
I =t
j
Rapport de la hauteur du J2 24 36 48 60 72
côtés
àl'un de ses
Résistance
poteau
= 1 5/6 1/2 1/3 1/6 1/12 1/24
850
suivants
La lre colonne comporte des bois à l'état ordinaire, la 2e des bois
séchés pendant deux mois dans une étuve.
RÉSISTANCEAL'ÉCRASEMENT
NATURE DES MATIÈRES, par celltim, carré.
,.
Frêne.
Hêtre.
Koyer.
Chêne
,.,
,,
,
,
.,
anglais.,.,.,
résineux.,.,
, ,, , ,
.,.,..,..
Sapinhlanc.,.,.,.,.,.,
610653
Bois ordinaire.
543
477
456
Bois très-sec.
658
513
707
Peuplier218
Pin 477 477
426 508
360
1 CHARGE CHARGE
DÉSIGNATIONDESCORPS.DENSITE.
de rupture,
rupture. de sécurité.
Porphyre. ,
GraniivertdesVosges.:
Gres très-dur blanc ou roussâtre.
id.,.,
Liais de Bagiieux,près Paris,..,
HO('hed'Arcueil,
2,87
2,85
2.50
2,44
kilog.
2470
620
870
440
tilog.
247
62
87
44
Pierre de COlillan'l.,.
Pierre tendre (lambourde et vergelée)
2,30
2,07
250
90
25
10
,.
résistant à l'eau
Lambourde de qualité inférieure résis-
tantmal à l'eau
1,82 60 6
Givry.
»
1,56 20 2
Cakairedurde
Briquedure lrès-cllite.,. 2,36
1,56
310
450
31
45
Brique rouge
l'lam gache à
Id. an l'eau
lait
de »
Briqueanglaise ou flamande
chaux
tendre.
Mortierordreenchauxetsable1,60
2,17 60
48
50
73
6
2
7
4
S
Id.
Id.
ordre.
enchauxhydraulique
éminemmenthydraulique. »
35
74 7
144 14
R
2 varie de 4 à HO fois le diamètre d en cent.
Fonte..
— 145 +
W
h2;h
;
R
et =
P h- *
pour les hauteurs A= 5 à 30 fois d.
0,68+0,1
1
P = t,55+0,0005(j compris entre 10 et 180 fois d.
Fer.
I P =
Rj R
d
h compris entre 5 et 30 fois d.
[
0,85 + 0,04
d
de
Charge
rupture ( ) 5 jo
Io 20 30405060708090100
30 40 50 60 70 80 9~) 100
Fonte.. =8000k4476 2859 li84 1168 1013 588 445 351 277 230
Fer=4000* 2500 2235 2000 1702 IU8 1194 1000 842 714 610
;
lées comme si elles appartenaient à un pilier plein ayant les dimen-
sions extérieures du pilier creux B' celle de ces mêmes parois cal-
culées séparément, comme deux piliers rectangulaires ayant pour
;
épaisseur celle de la tôle des tubes, et pour hauteur la dimension
transversale de ce tube perpendiculaire à ces parois B la résistance
des deux autres parois calculée de la même manière que B'.
D'après M. Love, dans la flexion des piliers, la flèche correspon-
dante à la charge de rupture n'atteint jamais le 1/2 diamètre de ce
pilier; il en conclut qu'au moment où le pilier atteint son maxi-
mum de résistance, aucune partie de sa section n'est encore sou-
mise à un effort de traction (1).
En ce qui concerne d'autres métaux que le fer et la fonte, la ré-
sistance maximum à l'écrasement est pour le cuivre battu 7245 kil.,
pour le cuivre jaune ou laiton 11584 kilog., pour l'étain coulé
1087 kilog., et pour le plomb coulé 540 kilog.
Flexion. — Cet effort transversal peut être appliqué de diverses
manières selon la fonction des poutres, solives, traverses, supports,
potences, châssis, leviers, balanciers, etc. Le double tableau suivant
réunit les formules pour tous les cas de flexion et suivant les formes
qu'affectent les pièces soumises à cet effort.
Forme d'égale résistance. — Il est constant que la rupture d'une
pièce, encastrée à une extrémité et chargée à l'autre, teud à avoir
lieu à la ligue même d'encastrement, puisque c'est là que l'énergie
du poids est à son maximum. Lors donc que l'on a déterminé par
les formules la hauteur de la section de la pièce à l'encastrement,
on allége utilement son poids en diminuant cette hauteur sous
la forme parabolique sur le restant de la longueur de la pièce.
;
Cette forme donne à la pièce une égale résistance en un point quel-
conque de sa longueur on l'applique généralement aux balanciers
des machines à vapeur.
tremoitR=PL
Solide encastré d'un bout, et charge par l'autre
la
d'unpoids P, à distance L, du point d'encas-
en
20Solide,reposantsurdeuxappuis,etchargé
un point quelconque entre ces appuis. Le poids P
est à une distance L'd'un des points d'enrasire-
P.
+
ment,et à une distance L"de l'autre L' L"=L.
3o Solide reposant sur deux appuis, et chargé au
milieu de sa longueur L d'un poids P, ou bien
poids R=4/4'PL
encore: solide, appuyé au milieu de sa lon-
gueur L, et chargé à chaque extrémité d'un
4o Pièce
P
__—
ire
R=—:R
R=4/8PL
R=4/6PL
estuniformément
poids est
,,
-Irecolonne.
colonne
= PL
PL'L"
uniformémentréparti,
lieu de P, ce qui fournira les équations de la 2e colonne.
=
- - = 2
L
-
charge et la charge.
—r-j—
P'L'L"
R
on anra
réparti, OD aura
2eCûioune
2o colonne.
1
8
R=PL
= -
R=——-
H=r-
187.
au
Nous allons donner maintenant les différentes valeurs de R. suivant que la pièce
forme de la pièce, et on la substituera à R dans l'une des 5 équations de la Ire on
de la 2e coiuune, suivant que le poids sera appliqué en un point ou uniformément
réparti.
De l'équatinn formée, on tirera les valeurs de la pièce, par suite des rapports
élablis pratiquement entre les dimensions et les coefficients E, fournis par l'expé-
rience.
E représente le plus grand effort auquel on doit soumettre les fibres les plus
p'
PIL
p'L
2
P'
est ronde, carrée. triangulaire, etc.; on pourra donc prendre la valeur relative à la
tendues d'un solide sollicité par un effort transversal, pour que cette pièce soit dans
de bonnes conditions.
NOTA. -
Voir les formules pages 81 à 83 pour les arbres soumis aux efforts de
torsion et de flexion.
L
R
R
=
bu
b
teur
R
R
=—
lEbEh2
R
=
=
/E
32
lE
R
4
6b
()
r
r
FORMULES POUR LA RÉSISTANCE DES SOLIDES
Equations
suivant la forme.
=
=E
(1) -,
GtNEKAL.
Eb
Eb3
6V-2
(r*—
1).
32
6
r'^A
32
EbA'-b'h'* 60
6A
3 b
h
J
-
>
l
)
5o Pour une
et r'
.,
A UN EFFORT TRANSVERSAL.
Pour sectionrectangulaire,évidéeintérieurement en
forme de tube, ou laieialemeni en forme deX les sec-I
lions étant les mêmes, b
est h.
=la base extélieure, b' la base
ou somme de bases iUlerieures, h la hauteur extérieure,
helahauteurinterieure.
7° Pour section triangulaire, la résistance est la même quand
la pièce est posée sur une base b ou sur une arête, la hau-
VALEURS DE E,
LE CENTIMÈTRE ÉTANT PRIS POUR UNITE DANS TOUTES LES FORMULES.
chêne.
Bois de
sapm. 120 50 70
600
Bois de
Fonte de
Fer forgé2000
fer
400
700
45
300
600 10006U00
60
500
510
2800
TRAVAUX D'ART.
:
chitecture ont un emploi fréquent comme supports réunissant l'élé-
gance à la solidité; on distingue le toscan, le dorique grec et ro-
:
main, l'ionique, lecorinthien et le composite. Chaque ordre comporte
trois membres principaux l'entablement, la colonne et le piédestal.
L'entablement comprend la corniche, la frise et l'architrave; la co-
lonne se compose du chapiteau, du fùt et de la base; le piédestal se
subdivise en corniche, dé et socle.
On peut toujours établir les parties proportionnelles d'un ordre
quelconque sur une hauteur donnée que l'on divise en 19 parties
dont on prend 3 pour l'entablement, 12 pour la colonne et 4 pour le
piédestal.
Le diamètre et la hauteur de la colonne varient suivant l'ordre
auquel elle appartient; ainsi, la hauteur de la colonne est 7, 8, 9
et 10 fois le diamètre inférieur, selon qu'il s'agit des ordres toscan,
dorique, ionique, corinthien ou composite.
On met les divers membres d'un ordre en proportion, en les rap-
portant au module ou demi-diamètre inférieur de la colonne.
Le module se divise en 12 parties pour les ordres toscan et dorique,
et en 18 parties pour les ordres ionique, corinthien et composite.
:
La hauteur totale de l'ordre toscan est de £2 modules 2 parties,
savoir 14 modules pour la colonne; 4 modules 8 parties pour le
:
dules. La hauteur totale de l'ordre ionique est de 28 modules 9 par-
ties, savoir piédestal, 6 modules; colonne, 18 modules; entable-
ment, 4 modules 9 parties. La hauteur totale des ordres corinthien
et composite comprend 31 modules 12 parties, dont 6 modules 12 par-
ties pour le piédestal, 20 modules pour la colonne, et 5 modules
pour l'entablement.
COMPOSITE.
Part. (c)
» » 1.24».24»
Mod.2. 2.
1.181.18..14 2.1212
-.12 16.24
CORINTHIEN.
Part. (c) »1.
1. le
depuis
D'ARCBITECTUM.
IONIQUE.
Part. (c) il
9 10 9
1.271.261.18
Mod. 1. „
10
,
.24 ..10
16.
1.24.24
» .1.3
»14 ».20-.20 4.32.14 ..30 ».t6
»
grec,
ORDRES
DORIQUE
romain.
Part.
1.12
Mod.
» 1.12» 4
2. 1.
;
, ,
»
1..
10
„
»
14.
1.16
».20(i)
le
-
largeur.
9».
dans
»1.
COMPARATIF
TOSCAN.
8»1. 4
Part.
». » fût:
, 1 )£»
leur
DES 1.121.4 10
40 1.14 11.42 3.16.,9 ».12 .8
Mod.
12 du de
(
».8
PRINCIPALES 3.73 4.33 hauteur tiers
U
3.73
grec.
DORIQUE
Part. 5.15
4.6
195
18.35
94
9.1 1.12.420
1. 104 9.9 11.7 rayon.
du
TABLEAU
Mod.
1 2Saillie -: 1.151.15
8
6.06 la
deleur
listel
10. Hauteur
2fût
: à
PARTIES tiers
1. Hauteur
Hauteur Hauteur
Saillie. Saillie.
-:
(a). cannelures.
Saillie
Hauteur
Hauteur
Saillie.
du
un
égale par
i(iI1
saillie
Hauteur
Hauteur
le partir
est
PARTIES. des
PROPORTIONS ur.: largeur
en
Nombre
sur qu'à
et
;Iut demi-cercle
la
décroître
jà
Diamètre
DES konilcne
Frise rave. chapiteau.
! e.
Saillie
se.
dont
DES
DÉSIGNATION
à vives,
commence
eu
1
A
uae
Ba<e arêtes
1. rc
Entablement
nue ne
à
diamètreCannelures
Cannelures
Piédestal
Le
(a)Ib) c)
COMPOSITE. 4/7
doivent quelquefois
Part,
qu'elles 4,5,
CORINTHIEN, est
ri'rt de
5. » 21 31.24 24 »D 2.» » » 4.24 elle
c'est-à-dire est
d.
20.
6 6 12. 9. 46. 12.
hl colonnes;décroissance
D'ARCHITECTURE.
I0NiûUE-
Mod.Part. »
4.1818. G.. 18 6t8 11.188.48 4.» »» » pieds-droits,
28 cette
distance
romah* Part.
23.8
COMPARATIF
»»8 7.12 »» 2.» » » 4.8 les
fût;
DKS
TOSCAN.
3.12 t
44.
4.1622.4 16
6
9.126.42 »
1.
42.488.18 4.4
moins
Mod. la
PRINCIPALES leur de et
TABLEAU "G^EC^ au
Part. » de est 4/3
corinthien
De
colonnes. l'architrave partir
PARTIES engagées IOnique,
colonne
piédestal l'arcade
pieds-droits. de l'architrave
pieds-droits.
de
DU
au-dessous qu'à
colonnes mur
:
portiquesdes
De en
axe
entreverticale
d'axel'arcade
ap-dessous de
verticale distance
)
d'axe
en
DES l'ordre ordres
totale.
DES diamètre. des
DÉSIGNATION mesuré l'arcade de
distance des
des
Ouverture
la pourdiamètre
d'axe Distance Distance colonnes
colonnade,
triple
s'agit
)i
de1 avprfl
leur
I
Entre-colonnement,
de qu'il
Les même le
Du D;stance
Ouverture
3/4 D'ordinaire
iédpstal Diédcstal
,—~~ une
scion
—
Portinne
n'
Hauleur des et
NOTA.
Dans
saillir double 4/8,
et
1 ) -
) i
I j;
là ;
ns
colonne.
mèt. 3
millimètres
5C0
(
II Uy[ 1
000 4,667
>OO
22,167
•,
0
!
n ntbt. , =
1,333 I/O,7 000 1,000 42,000 1,000 0,500 3,667 0,500
J
EL
i l ;
el 1 0,030,417
)) ) 1 ou
1à
HAUT
>
nièlres 1
de 0.250 0,333
0,083
0,500
1,167
1.117
0,8380,083 0,2."0 0,5000,167
3.667)
ft-083
! (1
0.042 0,042 o,s:i30,333
0,333 0,0830,334 0,042 875 0,083 0,333
0>333 0,417
j
mM. 1
partir
if
i,ou>
de mèt.
11
de 0,702
Saillies
la 1,8"51,6250^833 07\120,959
1,959 11209 1,08308750,7920,H70,8750.7921,125t,;)751,V75
1.125 1,7094.417
1,667 M75 :7091,709
|3¡
«ixe
pal'lir
part. j_
)
2,000
2,292
6 8
I
, 22mod.2
f4D
colonne.
j I I
île mod.
0tj 85
6 3
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4
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-
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>
1/2III
»
1/21
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monuie
1
l'ail
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B »» 4»»
¡
D » Il D D D » D »
1/2
de
1/2 1/21/2 171/2
6
1/2
1/2 1/2 1/2 1/2 1/2 1/2 1/2 1/2 1/2
2 9 tailloir
Saillies totale
àortlie moil.3 9 9 12
11 0 1 4 48 151/2 to
1/211
» 1
j
11 18
4
» 111 1
PfcMliWAllUW
de part. I 112
Itacuet'e
1
»
10
Talon
rond.
10 »
OiitMe.10
Baçuelte.
Gorgerin
son.
înf. Listelouceillture.
Tore.
Plinthe
aull. Socle
duI1 1
listel
1
l'architrave
Hauteur
rond listel
jI
moulures anneau
1•. » Listel
!
de Part.
ir
Pari.
Filet
/Listel..quart
constituent
mod.
de Fil'tLarmier Frise
ou
des
Dé
ou Face
ou vifdecolonne
1 ou
t [
et de Rêclet
I
Filet
rcs pan Tal(~n Fchine
j
Face Aus,ra^a!e-i
Quart
Dé Fùtonla
mcml
I
II j(S I { ! Base Rrglet
à
IjS I I8II n|I(
trave. Chapiteau.
(
il J
principaux
I
Corniche Corniche.
Qui
I •I
FFAÛ,
des I -j w
A.rc.hi..
Frise
I 10
Cormche
S
VOIES DE CIRCULATION.
DÉSIGNATION
classes 7
--
lachaussée.accotemelltchaque.
desroutes.
à 5
Routes départementales
3
Chemins vicinaux de grande
commuuicatÍCu. 5 00 à 3
à2
Rontes impériales des trois m.
00 00 50
--
50
TABLEAU
DES DIMENSIONS DES ROUTES.
noncompns
de
m. m.
LARGEUR.
dechaque
5 00 à 4 00 2 50 à 2 00 I
00 2 00 à
m.
1
i
50
port des terres dans un chantier, on admet que dans'une terre facile
un ouvrier peut charger 15 mètres cubes de terre en 10 heures, et
qu'une brouette qui mesure 0m-c-03 à om.c.05 est chargée la première
en 72" et la deuxième en 120".
de
fosse.
00
m.
Totale
les fosses.
1400à10 00
10 00 à
8 00 à
m.
3
6 00
----
00
1
On introduit les rails dans les coussinets des traverses et on les y
;
assujettit par des coins en bois enfin, on remplit de ballast l'inter-
valle entre les traverses jusqu'au niveau des deux murs latéraux.
Les traverses équarries et saines doivent être en bois de chêne
neuf. D'ordinaire pour les conserver on les prépare au sulfate de
cuivre ou à la créosote extraite du goudron de houille.
La longueur d'une traverse varie de 2° 60 à 2m80, la hauteur ver-
ticale est de 0m15, aubier déduit: à la jonction des rails la traverse
porte 0m33 de largeur et 0128 seulement dans les intermédiaires.
Le poids moyen des coussinets en fonte est de 9 à 10 kilog. aux
intermédiaires, et 11 à 12 kilog. aux joints des rails. La résistance
par centimètre carré doit être de 1300 à 1500 kilog. -
;
La longueur ordinaire des rails en fer est de 4m50 le rail Barlow
a 5 mètres, et le rail BruneI, qui repose sur longrines, porte
6 mètres.
Le rail Barlow, qui est incliné au 1/20 vers l'axe de la voie, re-
pose directement sur le ballast et exige que le sable soit bien damé
au-dessous; il a.une selle, ainsi que celui de BruneI, à chaque jonc-
tion des rails. Une entretoise en fer placée à côté de la selle et rivée
au rail, relie les deux files de rails.
Le poids moyen du mètre courant de rail ordinaire en fer est de
30 kilog.; l'écartement des appuis = lm12. Ce poids est le même
pour le rail Brunel; le rail Barlow pèse 45 kilog., non compris pour
ces deux derniers le poids de la selle.
Avec les machines locomotives puissantes du poids de 20 tonnes
et au-dessus, le poids des rails ordinaires doit être porté à 35 ou
40 kilog.
Les rails sont débités à la scie circulaire douée d'une grande vi-
tesse et constamment immergée dans l'eau; on doit employer pour
leur confection du fer dur et résistant. Un rail placé sur deux cous-
sinets, distancés d'axe en axe de lm 125, doit supporter dans le milieu
une charge de 10000 kilog. On estime à moins de 3 eUx-millimètres
par année l'usure des rails sur une voie à circulation permanente.
On change de direction sur une voie ferrée, soit par le croisement
au moyen d'aiguilles, soit par des plaques tournantes. Le diamètre
de ces dernières, qui s'établissent en bois, fonte ou fer, varie de
4 mètres à 4"50, les galets de roulement ont 0n03 à 0m04 de dia-
mètre et une largeur de 7 centim. environ. La disposition préférable
consiste à rendre les galets mobiles et roulant entre deux chemins
de fer circulaires, fixés l'un à la plaque tournante, l'autre à la cuve.
Chemins mixtes. — Pour accélérer dans une certaine mesure la
circulation sur les routes carrossables, on y adapte des rails creux ou
saillants sur lesquels cheminent les voitures conduites par des che-
vaux. Ce système de voie ferrée dite américaine peut être appliqué
économiquement pour desservir des localités privées de railways. (1)
Canaux. — Une voie navigable, pour être avantageuse au com-
merce, doit permettre la circulation des bateaux dans les deux sens
et éviter tout transbordement des marchandises pour passer d'un
fleuve ou d'une rivière dans un autre bassin. 1
;
Un canal latéral s'alimente aux dépens de la rivière qu'il côtoie et
de ruisseaux ou prises accessoires mais il faut recueillir dans un
réservoir commun au point de partage soit par des rigoles, soit au
moyen de digues et aqueducs les produits de sources et d'eaux plu-
viales surabondantes pour réparer les pertes dues à l'évaporation
dans le parcours, aux filtrations, aux pertes d'eau par les portes
d'écluses, au remplissage des écluses pour la navigation et au rem-
plissage du canal après la mise à sec pour réparations.
Il est difficile de déterminer à priori 1:.. w!llme des différentes
pertes, par suite de la nature si variable du sol, des variations at-
mosphériques et autres circonstances. Toutefois on évalue l'évapora-
tion à 0m-c-004 par mètre carré de surface d'eau et par 24 heures, soit*
lmc-50 environ par année. On estime au double, soit 0mc008 par
jour la perte pour filtration; on compte au minimum pour les fuites
par les portes d'écluses, un volume d'eau par année égal à celui dé-
pensé par le passage de 7 à 8 bateaux.
La dépense à chaque éclusée est égale à P + v pour la montée d'un
bateau et à P — v pour la descente, soit 2 P la quantité d'eau extraite
du bief de partage pour la montée et la descente d'un bateau; P ex-
primant le volume du prisme ayant pour base la section horizontale
du sas, et pour hauteur la chute de l'écluse, et v exprimant le volume
d'eau déplacé par le bateau.
Enfin, la perte d'eau pour le remplissage du canal à sec après une
réparation correspond à la capacité du bief de partage et des biefs
placés en amont des premières prises d'eau sur les deux versants.
PONTS.
:
tal. On les subdivise en ponts fixes et en ponts mobiles, et on les
classe ainsi pont à plusieurs arches supportées par des piles avec
circulation pour voitures et piétons; ponceau réduit à deux points
d'appui ou culées, distancés de 4 à 5 mètres; passerelle destinée à
l'usage seul des piétons; pont-aqueduc pour amener les eaux dans
une localité; viaduc pour taire passer d'une voie au-dessus d'une
autre; et pont-canal pour faire franchir à un canal un cours d'eau
ou une route.
La largeur d'un pont est d'ordinaire celle de la route même dont
il forme le prolongement; elle ne doit pas être inférieure à 7 ou
8 mètres, pour permettre à deux voitures de se croiser en réservant
un trottoir pour les piétons.
Le débouché oula distance entre les culées d'un ponceau se déter-
mine en multipliant le volume de l'eau affluente à l'époque des
:
grandes crues, et la pente par la vitesse moyenne du courant,
= +
d'après la formule de Prony RI AV BV2; R rapport entre la
;
section et le périmètre mouillé; 1 pente par mètre; A coefficient
d'expérience = 0,000024 B coefficient = 0,00036, et V vitesse telle
qu'elle ne puisse dégrader le fond (voir page 141). Si donc D repré-
sente le volume d'eau., et S la section, on aura D = SV.
Le débouché d'un pont entre les piles et les culées exige le profil
en travers de la rivière avec l'indication de l'étiage et du niveau
des plus grandes eaux. Lorsque les fondations des piles et culées
sont terminées ondispose les cintres et il reste à élever les arches.
Primitivement les arches s'établisaient en plein cintre ou voûte
en demi-circonférence à laquelle les parois des piles étaient tan-
gentes; maintenant on les dispose à anse de panier, formée par
une ellipse ou une courbe à plusieurs centres, ou en arc de cercle.
La naissance d'une voûte est son raccordement avec le pied-droit;
la flèche est la hauteur verticale de la clef au-dessus des naissances.
Le rayon r d'une arche en arc de cercle se détermine par la for-
mule r=
+
2
mi/2
m 1lar-eur de
; la demi-ouverture du pont, et m
la montée, qui ne peut être inférieure à 1/8 de l'ouverture.
1 1 2
L
/14-2L2\
;
4fet®
lt
~"8 3/2 j
L exprimant la longueur entre les piliers, p le poids appliqué à
chaque suspensoir, 1 leur écartement et f la flèche des points de
passage du câble sur les piliers, y l'ordonnée, x l'abscisse.
Ponts des railways. — L'ouverture d'un pont est réglée au mini-
mum à 8 mètres au-dessus d'une route impériale, à 7 mètres sur une
route départementale, à 5 mètres pour un chemin vicinal de grande
communication, et à 4 mètres pour un chemin vicinal ordinaire. Il
faudrait ne pas limiter la hauteur sous les ponts ou tunnels au-
dessous de 5"20 pour réserver à la cheminée la hauteur suffisante.
La hauteur sous clef à partir de la chaussée de la route est de
5 mètres au moins; pour les ponts en charpente la hauteur sous
=
poutre 4m30 au minimum; la largeur entre les parapets ne peut
être inférieure à 7m 40, et la hauteur des parapets à om 80.
Sile chemin de fer passe au-dessous d'une route, la largeur mi-
nimum entre les parapets du pont sera respectivement de 8, 7, 5 et
4 mètres, selon le classement de la route. L'ouverture du pont entre
les culées sera au moins de 7m 40, et la hauteur de l'intrados mesurée
verticalement au-dessus des rails extérieurs ne sera pas moins de
4m30. La largeur des souterrains entre les pieds-droits est fixée à
7m40, et la hauteur sous clef à 5150. La déclivité des pentes aux
abords des ponts ne peut excéder 0m03 pour les routes impériales et
départementales, et 0,05 pour les chemins vicinaux.
les
ijjdUA
rayon"
Hauleur reduite.
0,3130,3220,3300,3380,3460,3540,3610,3690,377
0,3850,393
0,256 O,"H0,2890,2970,305
-2640,-272 toutes
<-
CENTRES.
0 0,128
pour
DiITrrencesifs. 0,171
uo
0,181 iCO 0,149
0,139 0,0960,0850,n75
0,1170,107 0,0210,ni10,000
0,0640,0530,0430,032
des sll(:C^
0, toutunité
-
Monlée-
rayon. 0,239
0,1830,2020,221 0,295
0,276 0,3140,3320,351 0,4440,4630,4810,500
0,3700,3880,4070.425
courbe.
ANSES prise
PONT.
est la
DE é
Hauteur
0,3900,1000,410
0,3700,380
0,3300,3400,3500,360 0,4600,4700,4800,4*10
0,4200,4300,4400,450 0,500 ue par
l'ouverture
ARCHES I points
enveloppé
les
ul
ra70is 0,2740,2820,2900,2980,3060,3150,3230,3300,3380,3460,354
0,3020,370
0.3770,3850,393
par aiiilinietique;
ET
débouché
ANSES passant
TUNNELS CENTRES.
des Jcaf-™ffs
des 0,2280,2130,1980,183
0,167
0,1520,1370,1220,1070,0910,077
0,0610,0460,030
0,0150,000
du
rayons
DES VOUTES, réduite
progression
5
A Premier
mon.
r~. 0,2450,202 0,3640,3810,3980,4160,4320,4490,466
0,2790,2%0,3130,3300,347 0,4830,500 divers
TABLE ANSES hauteur
l'OUR
rVon. les une
olllee.
CENTRES,
0,350
0,:,60
0,3700,3800,3900,4000,410
0,4200,4300,4400,4500,4600,4700,4800,4900,500 que la
suivant
III suppose
duiinent
,i
Î5,
A'3, pa)'ons
1
CSNl'illiv DilTérellcc 137 4"
rayons
pa),On~ 0,3-27 0,2730,2460,2190,1910,164
0,301 0,0270,000
0,0820,055
0,109 l'ingénieur
D'ffél 0 Les
les —
Premier 350 N' quetableau.
0
0*377 4450,459 0,4730,486
0,391 104418 0,432 0,500 M.
ANilii Montée.
1- 0,380
0*390
0*400
0*41004°0
0430
00
0440
0
0,450
0*400
0,500
0*470 0,4800490
de mais
tableau
Ce
eux,de
entre
ce
valeurs
DÉPENSES COMPARATIVES
DE TRACTION, D'EXÉCUTION ET D'ENTRETIEN POUR ROUTES, CHEMINS
DEFERETCANAUX.
Les frais de traction par tonne et par kilomètre sont :
CANAUX..CHEMINS DE FER.
icent.5à2cent. 5à6centimes.
ROUTES.
20centimes.
Le péage sur les canaux est en moyenne de 2 cent. environ par
que deux hommes et un cheval, L'effort est de 1 kilogr. par tonne.
La dépense de construction peut en moyenne s'estimer ainsi par
kilomètre :
CANAUX. RAILWAY. ROUTES.
130,000 à 160,000 fr. 250,000 à 300,000 fr. 40,000 fr. non pavée;
62,500 fr. pavée.
CHAUFFAGE ET VENTILATION,
-
soit 30 mètres cubes par minute ;
tesse de l'air froid égale à 2 mètres, il s'écoule 1/2 mètre cube d'air
par seconde, l'air d'un apparte-
ment de 100 mètres est ainsi renouvelé en 3 ou 4 minutes au plus.
Il est préférable d'établir l'appel d'air froid dans une pièce par
des ventouses plutôt que par les joints des portes et des fenêtres.
Dans les meilleures cheminées, l'appel d'air s'élève au moius à
60 mètres cubes par kilog. de bois brûlé; la température de cet air
est en moyenne de 40 à 50°, ce qui détermine une vitesse ascen-
dante assez faible.
On diminue la déperdition du calorique par une cheminée, en
évasant les faces du foyer, en rétrécissant la section de la cheminée
et en distribuant dans la pièce, par des bouches de chaleur, l'air de
ventilation échauffé.
Poêles métalliques et calorifères. — On estime en moyenne à
50 p. 0/0 leur rendement utile, bien que dans certains cas on arrive
à 75 p. 0/0. On compte alors à raison de 3000 calories pour chaque
kilog. de houille, et on donne 1 mètre carré de surface dé chauffe
par 100 mètres cubes de capacité à chauffer, ce qui correspond à la
combustion de 1 kilog. de houille ou de 2 kilog. de bois à l'heure.
En exprimant par 50 kilog. la quantité de combustible nécessaire
pour conserver, avec une cheminée ordinaire, à une salle la même
température pendant un temps déterminé, cette quantité se réduit
à 13 pour les poêles et calorifères, et de 16 à 20 kilog. pour les che-
minées dites à la prussienne, à la Rumfort, etc.
Il résulte des expériences de M. Péclet sur le rayonnement des
cheminées en tôle, fonte et terre, à circulation d'air chaud intérieur,
:
qu'un mètre carré de surface pour un degré différentiel de tempéra-
ture, laisse passer à l'extérieur à traversles parois, savoir la tôle,
3,93 unités calorifiques; la fonte, 9,9; et la terre cuite, 3,85. Le dia-
mètre des tuyaux varie de 10 à 20 centimètres. La vitesse de l'air ne
doit pas excéder 0m50 en moyenne, et on entretient l'humidité de
l'air par l'évaporation à l'air libre de l'eau dans un vase placé sur
l'appareil.
On donne à la grille, à la cheminée et aux carneaux les mêmes
sections que pour les foyers des générateurs à vapeur, et on compte
à 200° la température de la fumée dans la cheminée.
Dans les grands froids, 100 mètres cubes de logement habité exi-
gent 14 à 1500 calories à l'heure pour être maintenus à 15 ou
16 degrés.
Un calorifère à air chaud ventile 2000 calories environ par mètre
carré de chauffe et par heure.
Chauffage à la vapeur. — La propriété de la vapeur d'eau de
rendre, en se condensant, environ 550 calories par kilog. qu'elle a
absorbés dans la vaporisation, est un moyen avantageux de trans-
o-0
mission de la chaleur. Le chauffage a lieu à basse pression et à
haute pression. Le diamètre des tuyaux à basse pression est compris
entre 0m07 et 0m20. Le diamètre des tuyaux de conduite de vapeur,
:
i
au-dessus de 2 atm., se calcule, d'après M. Groùvelle, par la formule
suivante d = ;
35 millim. + (lmin 5) n n exprimant le nombre de che-
vaux-vapeur. Ainsi, pour 10 chevaux-vapeur ou pour une production
d
de250kilog. de vapeur =35 + (1,5) X 10=35+15=50Mill.
La chaleur transmise à travers une paroi dépend de la nature et
de l'état du métal.
#
TABLE
DES QUANTITÉS DE VAPEUR CONDENSÉES ET TRANSMISES EN UNE HEURE
A"15°.
PAR UN MÈTRE CARRÉ DE SURFACE DE CHAUFFE DANS L'AIR
=O
o
00' Ifl
10
Mm
* ;:
MÉTAL.
;:¡
ïï
::.
g I
& 65 -~
g|
c: W
a) Se
's
<!.)..
NATURE DU MÉTAL.
NATURE DU
P u- o u-
r..J
;
cité de 35 à 40 mètres cubes, c'est-à-dire environ les 3/5 de la
capacité chauffée par la vapeur on considère alors dans ce mode de
chauffage lm-i-60 à l»-9-75 comme l'équivalent de 1 mètre carré de
chauffe à la vapeur. On donne d'ordinaire un diamètre de 0,12 à 0,15
aux tuyaux en cuivre. Par prévoyance, on augmente de 25 p. 0/0
la surface totale de chauffe pour satisfaire à la déperdition.
Chaque mètre carré de surface de chauffe de la chaudière absorbe
de 14 à 1500 calories, et on admet que 1 kilog. de houille ou de coke
transmet à la chaudière 3500 calories, 1 kilog. de bois 1520 calo-
ries, et 1 kilog. de tourbe 1200 à 1400 calories.
Lorsque la circulation d'eau est à haute pression, système Per-
kins, le diamètre intérieur des tuyaux en fer étiré = 0,012, et le
diamètre extérieur = 25 millim. Ces tuyaux sont essayés à 200 atm.
On compte qu'un mètre carré de surface de tube peut chauffer
80 mètres cubes de capacité.
M. Léon Duvoir a établi une disposition de chauffagè. à circula-
tion d'eau, avec tubes et récipients, à la pression de 2 à 5 atn?.
Chauffage par l'eau et la vapeur.-Ce système mixte de M. irou-
velle réunit les propriétés analogues des deux chauffages isolés.
Ainsi, il offre les qualités d'émission et d'égalisation de chaleur que
ne donne pas la vapeur seule, et il donne la faculté de transport et
de distribution que ne permet pas l'eau seule.
Ce système est obtenu en fractionnant les circulations d'eau et
en isolant les appareils de circulation par étages et par localités,
puis en leur envoyant la chaleur au moyen de la vapeur sortie*
d'un générateur unique et central.
On calcule la surface des tuyaux de vapeur pour chauffer chaque
appareil, en prenant pour base qu'un mètre carré de cuivre plongé
dans l'eau à 250 condense par heure 150 kilog. de vapeur.
Dans ces divers appareils de chauffage, la surface de chauffe doit
être augmentée pour tenir compte de la déperdition absorbée par la
ventilation de l'air renouvelé dans la salle.
-
Ventilation. Cette opération joue un rôle considérable, soit pour
enlever l'air d'une localité quelconque, soit pour refouler de l'air
:
dans des salles, forges ou fourneaux métallurgiques.
La ventilation par aspiration peut avoir lieu 1° par la raréfac-
tion de là colonne d'air d'une cheminée dite d'appel au moyen de
la chaleur ou d'un jet de vapeur; 2° par des machines aspirantes à
pistons ou à cloches plongeantes, par des vis pneumatiques ou par
des ventilateurs aspirateurs.
La ventilation par refoulement s'effectue au moyen de venti-
lateurs.
L'air est composé de 79P-20 d'azote, impropre à la respiration, de
20P-8 d'oxygène, et de OP-0004 à ÛP-0006 d'acide carbonique.
L'homme aspire 25 fois dans une minute, et chaque aspiration
absorbe o1'*-666 d'air ou 1 mètre cube à l'heure. D'après M. Dumas,
la respiration d'un homme transforme en acide carbonique par
heure tout l'oxygène contenu dans 90 litres d'air, et le volume d'air
qu'il respire = 333 litres contenant 0,04 d'acide carbonique.
Une personne vicie en 1 heure, tant par la respiration que par la
transpiration 6 mètres cubes d'air; on compte d'ordinaire de 10 à
20 mètres cubes d'air le volume d'air à renouveler par chaque per-
sonne et par heure dans un appartement; ce volume s'élève de 30
à 40 mètres cubes dans les hôpitaux.
On estime à 150 la quantité de chaleur absorbée à l'heure par
chaque mètre carré de mur et à 22° celle par chaque mètre carré de
vitrage, et on évalue à 400 la chaleur développée dans le même
temps par 1 personne, ce qui compense la déperdition par les murs
et vitres pour une salle remplie d'auditeurs.
La section d'une cheminée d'appel doit être calculée pour que la
vitesse de l'air ne dépasse pas l mètre à 1m50 par seconde. La vitesse
se détermine par la formule de M. Péclet :
M. Ebelmen a
ries, porcelaines, etc.
reconnu que les gaz absorbent une quantité de
chaleur égale aux 0,62 de la puissance calorifique d'un combustible
dans un haut-fourneau au charbon de bois, et aux 0,69 dans un
haut-fourneau à mélange de bois et de charbon de bois.
Dans ces fourneaux on brûle 100 à 160 kilog. de charbon pour
100 kilog. de fonte, mais la combustion s'élève de 140 à 220 kilog.
de coke dans les fours à coke pour 100 kilog. de fonte.
On compte dans les fours continus à chaux 1 volume de houille
ou 1 volume 1/2 de coke pour 4 volumes de pierre à chaux.
ÉCLAIRAGE.
125:
avec une puissance de 8 bougies
100 :
:: x=8 6bou« 4.
;
une simple proportion; soit un bec brûlant 125 litres par 1 heure,
son titre se calcule ainsi :
Titre d'éclairage solide. — Les bougies stéariques de 10 au kilog.
brûlent 9gr.6 de matière par heure.
bougie ;
Le pouvoir éclairant de la chandelle est les 9/10 de celui de la
une chandelle brûle par heure 7 à 8 grammes et son titre
= Oboug.990; à poids égal, la bougie et la chandelle rendent sensi-
blement la même quantité de lumière; ainsi, il faut 10 chandelles
pour 9 bougies, et brûler 9911-733 de suif.
;
Titre de l'huile. — Un quinquet brûle à l'heure 31*r-94 son pou-
i
voir éclairant est de 6wb- 5 il en résulte que 9gr.60 d'huile brûlée
;
en 1 heure équivalent à lbou«- 848, tel est le titre de l'huilebrûlée dans
un quinquet.
Le titre de l'éclairage à l'huile dans une lampe modérateur brû-
lant 28gr.6, avec pouvoir éclairant de 6bou*-210 est dç.2bous*09.
On estime à om.c.322 le volume d'air nécessaire à l'alimentation
d'une chandelle ou d'une bougie, dont 1/3 de l'oxygène est absorbé,
à
et imc-266 celui d'une lampe à gros bec.
PRIX COMPARATIF
DES DIVERS SYSTÈMES D'ÉCLAIRAGE.
NATUREDE L'ÉCLAIRAGE.
L'ÉCLAIRAGE.
!\ATURE DE en
en
PUISSANCE
bougies.
de
TITRE. la de
UIII
TITRE.
I
VALEUR ENCENTIDI.
brùiéeen
1heure.lumière. de
:
Deux becs de gaz, soumis à des pressions différentes mais à la
même dépense, ont donné les résultats suivants le premier bec, dé-
:
pensant 100 litres de gaz soumis à la pression de 18 millim. d'eau,
a donné un pouvoir éclairant de 3bou«-5. Deuxième bec dépense
=100 litres, pression = 7 millim., pouvoir éclairant = 7 bou-
gies.
Deux becs de gaz à même pression, mais de grosseurs différentes,
ont produit :
Le premier brûlant 50 litres, pression
=
pouvoir éclairant= liboug- 25.
=
,
7 millim., pouvoir éclai-
=
rant 2bou«-25. Le second brûlant 125 litres pression 7 millim.,
TABLEAU
DONNANT LA DÉPENSE COMPARATIVE DES GAZ SUIVANT LA NATURE DES BECS.
DÉPENSE
PRIX
del'unitéde
DÉPENSE PUISSANCE parheure. lumière
NATURE représentée
PRESSION. par du Le gaz par une
dobrûleur. bougie.
heure. bec étantvendu Legaz à
30centimes
30cent. lemet.cube.
«
m/m litp's.
BecManchester,no
Id.
4. 8 58,5
bCHjrics.
2,390
3.925
1,755
2,5S0
0,731
0.638
110 5. 8 85
Id. noô. 8 97 7,361) 2,910 0.394
Id. n- 7. 9 .2:\,5 40.500 3,765 0,357
Id. no8. 9 454 44,440 4,620 0,319
(Lesrésultatsobtenus
avec les becs fendus,
dits becs papillons,
sont généralement
moins satisfaisants. )
àd',lÏr.
Becs doublecou-
rant
Becs
à
circulaire
l\laccalld.
fente
Becs Parisot
7 18 294
247
25,960
24,640
8,730
7,440
0,337
0,345
id= :
ci-après:
:
Ire série consommant 100 litres â l'heure. = 0,77
:
2e série consommant 140 litres à
3ssérie id. 200
l'heure. =
de l'éclat d'unelampeCarcel brûlant 42 gr. d'huile à l'heure.
1,10
1,72
=
Ire série 057 de largeur sur
2esérie=Om067
Om
id.
029 de hauteur.
0«>032
Om
id.
3e série =0m094 id. Om 045 id.
- 0,025.
=---- =^.
[
fisamment exacts, et les valeurs R d'après la formule d'Eytelwein.
TABLE ABRÉVIATIVE DES CALCULS
DE LA CONDUITE DES EAUX.
g g
- -
VALEURS CORRESPONDANTES. VALEURS CORRESPONDANTES.
0C o=
¡:;. «
de
I ¡;- Rlou(cV+c'V2)
de de/4.dI
---
= àei/Hd
on
-
RIou(cV+c'Y2) =
» parlooo ryc„vv_+c,.;
multipliées PQ S
gE multipliées
.C..
s
2
ç.
danslescanaux.
Ejlelwein. Pronj.
'V2\
danslescanaux.multipliées
parOOO. ? 2
parîooo
Saus les canaux.
EjLelwein.
-
ïronj:
parOOo.
'V2)J
muluphees
A
0,02 0,0006 O.OOfO 0,0005 1,00 0,390 0,354 0,366
0,03 0,0014 0,0046 0,0008 4,40 0,470 0,423 0,441
0,05 0,0024 0,0030 0,0047 4,20 0,556 0,499 0,522
008 0,0043 0,0055 0,0036 4,30 0,649 0,649 0,644
0,10 0,0060 0,0075 0,0052 4,40 0,750 0,668 0,707
0 45
0'20
0,042 0,014 0
0,04 4,50 0,859 0,763 0,840
0,020 0,021 0,047 4,60 0,975 0,863 0,949
0,25 0,029 0,030 0,026 4,70 4,098 0,969 4,036
0,30 0,040 0,0i4 0,037 4,80 4,2-28 4,083 4,460
0,35 0,053 0.053 0,019 4,90 4,366 4,204 4,290
40
00,45 0,068 0,067 0,063 2,00 4,544 4,326 4,428'
0,085 0,083 0,078 2,40 4,663 4.4574,572
0,50 0,404 0,100 0,096 2,30 4,989 4,739 4,882
0,60 0,446 0,138 0,436 2,50 2,345 2,044 2,220 J
0,70 1 0,196 0,483 0;483 2,70 2,730 2,730 2,586
0,80 0,253 0,234 0,237 3,00 2,363 2,947 3,486
Pouce de fontainier. — Le module de Prony, unité adoptée pour
jauger le produit d'une source ou d'une chute, suppose l'écoulement
par un trou de 2 centimètres, percé dans une paroi de 17 millim.
d'épaisseur, avec une charge d'eau sur le centre de 3 centimètres.
Le produit donne Olit.2314 par seconde, 13i:t-888 par minute,
833lh-330 par heure et 20,000 litres par 24 heures. (20 mètres cubes).
L'ancien pouce fontainier, avec charge de 1 ligne sur le sommet
ou de 15 millim. 3/4 sur le centre, ne donnait qu'un débit de 19mc-2
en 24 heures.
La ligne d'eau est la 144e partie du pouce d'eau.
Dimensions des tuyaux de conduite en fonte. — L'épaisseur e
en millimètres à donner à un tuyau cylindrique d'un diamètre d, et
soumis à une pression intérieure p, est donnée par la formule :
Dans la pratique on admet e = 0m01 X 0,02 d, et d = e - 0,01
0,02
M. Morin indique les formules suivantes pour divers genres de
tuyaux pour liquides et gaz :
0,0007 pd + o,,oi.
Tuyaux en fonte e =
» enfer e =0,0005 pd
+01003.
» en plomb e= 0,005 pd+010045.
» en bois e=0,833pd+.0m027.
Pierres naturelles e = 0,05 p d.
» factices e = 0,10 pd.
d représente le diamètre intérieur, e l'épaisseur, et p la pression
en atmosphères par cent. carré.
M. Guettier a fait un travail sur la fabrication et l'emploi des
tuyaux de conduite en fonte; il y a annexé deux tableaux représen-
tant l'un (page 214) l'ancienne série du commerce dont les dia-
mètres étaient primitivement établis en pouces et en lignes, et
l'autre (page 215) la série nouvelle dont les diamètres sont cotés en
nombres ronds de centimètres.
Les tuyaux de la 2" série ont été livrés à l'épreuve de 15 atm., taudis
;
que pour ceux de l'ancienne série, l'épreuve est limitée d'ordinaire
à 10 atm. le 2e tableau, tout en répondant aux formules et à l'ex-
périence pour la détermination exacte des longueurs, épaisseurs, jeux
d'emboîtements, poids, etc., a le mérite de restreindre le nombre des
modèles, et il est destiné à une application générale ainsi que le fait
prévoir la canalisation de Marseille.
met.
—————————-
Charge cent. gr
Ion
c/m 0,0002
0,0006 0,00i8
0,0023
0,007
0,014 0.035
0,023 0,049 0,084
0,065 0,104
0,128
0,153
0,181 0,244
0,211 0,279
0,316
0,355
0,397
par
30
de en
Qm ----
Dépenses
, 0,707 3,531
1,414 5,655
7,069
10.603 24,740
21,206
17,672
14,137 28,274
31,809 38,877
35,343 42,412
45,916
49,480 56,549
53,015 60,083
63,617
litrespari"
en
lit.
CONDUITES.
met-longrcent.
Charge 0,0003
0,0007
0,0027
0.0057
0,008
0.017
0,028
0.042 00780,100
0,058 0,125 0,184
0,153 0,217 0,292
0,253 0,334 0,426
0,379 0,476
c/m
par
Om.25
de en
mmm Dépenses
litres
1". 0,982 3.927
0,491 2,454 4,909
7,363
9,818
12.272
14,726 19,635
17,181 22,089 26,998
24,544 29,453 36,816
907 34,361 41,724
39,270 44,179
en lit.
par 31
DE
II 1|
TUYAUX -- mûtlongrcent,
Charge 0,0004
0,0009
0,0034
TUYAUX. 0,010
0.007 0,035
0,021 0,052 0,097
0,073 0,125
0,157 0.230
0,191 0,272 0,366
0,317 0,474
0,418 0,595
0,533
c/m
parde en
0"-,20
Dépenses
litres 1" 0,314
0,628 3,142
2,513
1,571 4,712
6,283
7,854
9,425 12,566
10,996 14,137
15,708 48,850
17,279 20,420 23,562
21,991 26,704
25,133 28,271
en lit.
DES
DES
par
|
1" litres
0,884
0,353
0,171 1,414
1,767 4,418
3.534
2,651 6,185
5,301 7,069
7.952
8.836
9,719 11,487
10.603 12,370
234 14,137 15,90S
15,021
en
par lit.
1 I9 Chargemèt.IOllgr
cent. 0,0008
0.0019
13
i—0™J0 0,014
0,007 0,042
0,021 0,104
0,069 0,146
0,195 0,313
0,251 0,459
0,383 0,634
0,543 0,836
0,731 0,947
1,065
1,191
c/m
par
A ) de en
Depensesf
--
RELATIVE part". 57 0,3930,6280,7851,1781,5711,9632,:156
0,078 2,749 3,534
3,142 4,712
4,320
3.927 5,105
5,498 7,069
6,676
6,283
t
litres 5,891
en lit.
— 1
Oro,05
--- mèt.longr
Charge encent.
c/m
0016
0,
0,0038
029 042 083 0,139
0,010 0,209 0,390 0,501
0,292 0,627 0,919
0,766 1,086 894 131 2,382
462 1,671
1,267
TABLE
parde 0 00 1 1 2
Dépenses
0393
0,0196
0 982 *571
litrespart". '098 57 96 0295 0884 1669 1,767
11
0,491 05890870'783
0,393 1,080 178 4,276
1374473
en Ht
0 0 o'i oi 0 0 1
Il, 15
VITESSE mètres
moyenne
pari".
par m
61 0,02oo5 0,080,10
0 0 0,200,250,300,3540 0,450,500,530,600,650,700,750,800,850,90
0
J
en
mèt.longr;
cent. c/in 4,25
n—————————————-———
Charge 0,441
0,490,590,700,820,9i 1,081,231,381,551,7-21,902,102,302,512,732.963,203,453,713,97
par
de en
om,30
cent,
mèi.lllngr 0,529
Charge
CONDUITES 0,590,710,8t 0,981,131,301,47,b6 1,862,062,282,522,763,013,283,553,844,144,454,775,10
c/m
parde
Om,25
en
Dépenses pari", 46,633
litres 49.09
54,00 63,8168,72
58,91 78,54
73,63 83,45 93,2798,17103,08
88,36 107,99
112,90 127,62
122,72
117,81 137,45
132,54 142.35
147,26
en lit.
DE , met.longrcent,
Charge 0662
TUYAUX. 0,730,881,051,221,411,621.842,072,322,582,853,143,453,764,104,444,805,175,565,966,37
cjlll
par
TUYAUX .Q"y2Q de en
Dépenses
29,845
litrespari" 37,70
31,4234,55 40,84 47,12
43,98 50,27
53.415f.,55 62,8365,97
59,09 69,12
722675,40 81,6884,82
78,54 87,96
91,1194,25
en lit.
DES
cent.
DES
- met.longr
Charge 0,822 2,16 2,452,763,093.44 4,194,605.025,465,92«,4D6.89 7,948,5)
1,89
DIAMÈTIU: m/c 0,981,181,391,65 3,81 7,41
par de
L'ÉTABLISSEMENT QnM5 en
Dépenses"
4". 16,788
litres 17,67
19,44 33,58 35,3437,1138,8840,6442,4144.1845,9547,7149,4851,2553,02
21 22,9774 26.5128,2730,0431,81
en lit.
par 21 24
,
,
„
met.longrcent.
Charge
c/m
1,323
1,461,762,092,442,833,243,684,14
4,64
5,165,716,296,897,538,198.889,5910,34
11,12
11,92
12,75
parde
en
Qm,1Q
Dépenses
1". 7,461
litres 7,858,649,4310,2111,00
11,7rt
12.57
13.35 H,9215,71
14,14 16,49 18,06
17,:-8 18,85
49,64
20,42 21,9922,78
23,56
A en
par
lit. 21,21
1,
——
RELATIVE
met. cellt.
II: Charge" longf 2,646
c/m 2,933,524,184,895,666,487,358,299,2810,32
11,4-2
12,58
13,79
1.),06
16,38 20,6922,23
17,7619,19 23,83
25,49
par
Om,05
de en
Dépenses
1".
lilres
865
TABLE 962,46 2,362,552,752,953,443,343,533,733,934,124,324,524,714,915.115,305,505,695,89
en
par
lit.
11
VITESSE mètres
moyenne 30 3,00
, 00 ,-10lao 0010
pari"
m.
1
0,95
1 150 1,6070 1,8090
4,40
1 1 2 220 30 2,402,502,60
2
2,70 2,802,;i0
en
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2
ANCIENNE.
BnIDES.
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TUYAUX
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---
table
uns
à
III
Li
suffisent
DITE - — Millim-
143 160 170 182 190 4 255 275 312 331 370 398 440 470 515 528
—
5
J.=
21
£ --- centimètres.
1
(2
FONTE, qui
9,0 12,026,029,035,052,078,0115,0130,0165,0200,0210,0270.0315.0345,0355,0
S Kil. modèles
EN
E i S
—
« Ki'.
70 11,50
8
25,028,0 31,051,075,0110,0 15*,0180,0
130,0 233,0
205,0 350,0
310,0
300,0
en
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ron
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CORDON JlI!¡rl'
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CONDUITE
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TUYAUX Millim
75 75 85 8, 90 95 120 05 125 10 de
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69 71 80 90 106 115 145 172 20". 231 260 289 319 349 378 403
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la
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Millim Ci,5 101,5
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pour
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TUYAUX •IÇ=5 - Millim.
0,5
7889
10, a
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PREMIÈRE
M • â 11 12 13 13 13 13 14 14 14 14 précédente
2,550
3 Moires.
I
1.870 1,9002,410 2,580
1,3101,310 1,870 2,(i70
2,730 2,730
2,7302,730 2,730
2,730-2,730
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£ Millim.
La
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30 42 M 60 68 81 108 135 1H2190 216 244 270 300 325 050
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Kil. 17 28 33 50 73 88 US 172 221 -282340 395 538
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Kil.
1.1,50
26,031,048,070,081,0 112,0 328,00,0
163,0-12,0270,0 520,0
ET
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150 200 400 500 600
"= i-—
-
£
d
Tuyaux en plomb. — La tenacité R du plomb n'est que de lk30
De=
parmillim. carré de section, c'est-à-dire 10 fois moins que la fonte.
On calcule l'épaisseur à donner aux tuyaux de plomb par la for-
- •-
tres d'eau, d diamètre du tuyau en mètres. -
TABLE DU POIDS D'UN MÈTRE COURANT
1
DIAMÈTRE
POIDS EN KILOGRAMMES POUR LES ÉPAISSEURS DE
intérieur
en
centimètres 3mill. 4raill. 5mill. 6mill. 8mill. 9mill. -
kilog.kilog.
2
3
4
kilog.
2,4
3,5
4,6
kilog,
3,4
4,8
6,3
i
4,4
6,2
8,0
»
7,7
9,8
-
kilog.
»»>>
kilog.
D
5
6
5,7
6,7
7,7
9,1
9,8
41,6
4-2,0
44,1
» »
8
9
7 7,8
8,9
9,9
10,5
12,0
43,4
43,4
15,0
46,8
16,3
18,5
20,6
25,1»
22,2
27,9
>
31,8
40 41,0 44,8 18,6 22,2 3u,8 35,0
44 42,t 46,3 20,4 .24,9 33,6 38,2
42 43,1 47,7
49,1
22,2 27,4 36,5 41,4
43 44.2 1 21,0 29,4 39,3 44,6
44 15,3
46,4
20,5 25,7 31,2 -42,2 47,8
45 22,0 27,5 '33,3 45,0 54,0
46 47,4 23,4 29,3 35,4. 47,9 54,2
47 18,5 25,0 31,1 37,6 50.7 57,5
48 49,6 26,3 1 32,9 39,7 53,6 60,7
19 20,6 27,8 34,7 41,8 56,5 63,9
20 24,7 29,2 36,4 44,1 59,4 67,4
APPENDICE
tr. c.
Pavage: Fontainebleau de 0,19 X 0,15 d'épaisseur, le 1000 206 70.
— Pierre
Carrelage :
franche, de 0,22
de 0,16 de Paris et
à 0,23
Ma;;sy.
en tous sens. id.
Carreaux à bandes et hexagones,
403
id. 34 à 36
80
-derivière
les
Caillou ou silex
Sable de plaine ou
Dilh
id.
cafrière.
qualité.
Maçonnerie.
id.
id.
4
5
5
50
25
50
Plâtre.
Mastic de k.
-deLimaille id. 30»
100 40 Il
—:
Chaux grasse Melun et Champigny. le mèt. cub.
:
hydraulique Senonches et Charnpigny. id.
id.
à
38»
16»
42 44 »
Platras id. 3 65
:partie
1 partie chaux grasse, p. sable.
i
Mortier
-
2 de id. 12 80
:
Béton
Moellon de la plaine.
chaux hydraulique, p.
3
sable.
2 parties mortier, p. cailloux.
2
Pierre.
de id.
id.
id.
17
18
9
25
10
50
oo.
fr.
:
Savonnières,id.60 à 65., id.
Banc royal : Abbaye du Val, Conflans, Puiseux,
id.90à115 »
id.
id.90 100 »
»
à
If.
160
c.
fl'
Pierre tendre Méry, Vergelé, Saint-Leu id.
40 fr.,. id. id. H 64
Libages : Bagneux, Châtillon, Charenton, Mo-
lay,id. 40 id. id. 70 »
- pierre franche, id. 35 id. id. 53 »
dessus de la première
— Chaque mètre en plus
assise. -
Nota. — Approche, brayage, débrayage, 1er mètre all-
1 fr. fin
— de Pays, façon
-
—
—
réfl'actaires.
tubulairesBorie,nos 1,2,
Id. nM
3.
Briques de 0,22 X 0,11 et 0,054 de Bourgogne. le 1000 76 à 80 »
Bourgogne. :
1,,5,6. oo id.
Tuyauxdecheminée adossés de 0,22x0,24X0,33. id.
id.
id.
id.
43
90
60
100
900 »
»
»
»
»
0,32.
»
—
Chêne: id. de 0,25 à 0,32 et au
Champagne jusqu'à
dessus. id. 45à55 »
id. 66 20
Sapin du Nord
—
—
de
id.
id.
:
rendu dans Paris
— madriers de 0,08 sur
,- : Lorraine : feuillet
Menniserie.
0,22
planchesde27mill.x
madriers de 0,54 X
il.
planches de 13 mill. sur 0,22,
de 13 mill. X 0,22
0,32.
0,32.
lemètte.
id.
id.
id.
»
1
0
0
1
38
60
42
70
80
Chêne Champagne, feuillet de 13 mill.X 0,24. id. 0 70
—
id. entrevaux de27 mill.X 0,24. id. » 95
id. planchede34mill.x0,24. id.
—
Battant de porte cochère de 0,11 X 0,32. id.
1
6»
40
Couverture.
Tuile plate, grand moule de Bourgogne. le 1000 93 »
— faitières de Courtois et de Bourgogne.
id. 145 à 155 »
le
Lattes.
1000
Voliges id.
fr.
200
5
c.
»
»
Serrurerie.
Fers rendus dans Pans. (Les prix varient suivant
les cours, mais en gardant la même propor-
tion.) Delal~classeàla8' les100kil.36à50 »
montures.
— à double T, de 0,11 à 0,16 jusq. 7 m.
de Ion. id. 44
fer.
»
— à
houille.
TrJles laminées à la
- douces laminées au bois, des Aryennes. id.
id.
id.
53
54
»
»
70»
- id. Eerry.
id. du id.
id.
80 »
delatôlede3mill.à1cent
Galvanisation du 25 »
— id. 20à34 »
superficiel) le 100 6 50
-en porcelaine de.0,16 (63 par mit.superfic.). id. 11
35»
»
— en émail porcelaine id.
bœuf.
.,.
Peinture.
Huiledelinépurée.
de
leslOOkil. 144 »
—
-cuite (siccatif).
pied de
térébenthine. - id.
id.
240
300"
»
Essence de
3/6., id. 110
240»
»
Espritde vin
de925)lelivret.
fin
Orjaune
",.
vin.
Goudron, blanc de zinc en poudre et
anglais.
Vernis gras ou à l'esprit de
cérusp.
50
Vitrerie.
Mesures du commerce: 1° 0,69 X 0,54; 20 0,75 X 0,51;
3°0,81 X 0,48; 4° 0,84 X 0,45; 50 0,90 X 0,42;
60 0,96 X 0,39; 70 1,02 X 0,36; 8" 1,08 X 0,33;
:ditàcouper.
9° 1,14 X 0,30.
Verre blanc, 1" choix dans les 9 mesures, verre
lemèt.sup. 3 50
Verre
-
—
:
Id.
pourdalcs,brutdesdeuxfaces
id.
blanc, 2e choix, dans les 9 mesures. le met
gechoix id.
lekilog.
Ir.
sup. 2
2
1
(:.
45
20
50
:
fouille.
rigole.
Fouille accessible aux voitures, de 0,20 de hau-
— en
teur et au-dessus, mesurée au vide de la
t.
le mi cul).
id.
fr.
»
c.
30
38
.,
»
Jet sur berge de terre déjà fouillée jusquà 2 mè-
tres de profondeur id. » 19
Chaque jet au delà de 2 mètres (compter alors
des banquettes de 2 mètres en 2 mètres
parchaquejet)
: id. » 22
Transport des terres Brouette. La formule du prix du mètre
transportée=dans
cube laquelle p prix de la journée et D
distance limite
et p = 2 fr.
: 1000
98 m. La formule donne x= 0,12e pour D=30
+d).
P(2DD+ d)
Tumbereau. La formule du prix du mètre cube, x= LiG
P journée de voiture, D distance, d = distance représentative des
temps perdus, L=parcours journalier de la voiture supposé con-
tinu, C cube du chargement.
Enlèvement des terres sur une profondeur de 3 à 4 mètres Fouille, :f.
Total.
0f. 38 c.; 1er jet,0f.19 c.; 2e jet,0f.22c.; chargement,0 19 c.;
•
transport, 3 fr. 05. le mèt. cub. fr. 4 03
N.B. Tous les articles ci-dessus sont comptés au
vide de la fouille, et comportent un foison-
nement de 25 centimes p. 100 25
bereau.
Enlèvement compris, chargement seulement des
terres et graviers mesures dans le tom-
Chaussée.
id. 2 GO
30.
id. 3 50
Bordure de trottoir, en grès de Um20 sur 0,33.
Le mètre linéaire. 8
16»
»
—en granit, de 30 X id.
*
TARIF SYNOPTIQUE
DU PRIX DE REVIENT DES JOURNÉES D'OUVRIERS A PARIS.
TERRASSEPIOCHEUR
TERRASSE j!Rôdeur.3 25
Garçon3»275
Limolisin
fr.
2
c.
75
fr. c.
2
3
50
»
,1|
4 3 50
Compagnon
L 5
»
45 25
Poseur.
•
1 Tailleurdepierres (ravalements)..
ordinaire525
5 75 75
I
475
f j "* j
MAÇONNERIE.Tailleur de pierres
4 I Ficheur-pinceur. 5 75 525
! GARC011240215
Contre-poseur g3 50
Compagnon
»
Aide
CCAARRRREELLAAGGE
Polisseur.,
E
1
Bardeur 3
4
25
)1
3
350
270
»
4
3
350
5
»
; 4
MARBRERIE Pospiir
MARBRERIE
550 »
Marbrierouscieur 5
Garcon.,.,.
PAVAGE Compa°non
» 450
250
»
scie.
3
i
i II
50 4 »
Piqueur de grès
Compagnon?10
CIUPPENTE
heures
Ferde
été,8k.hiver) 6
5
»
»
6
4
»
»
Garon.
J
9 50 8
Sans distinction de saisons.
nonvFRTnop Cnmpag-non. 64
Couvertcre
Menuisier. -
-Forgeron.
MENUISElUE.
tFerreur.
Parquelenr.
Petite
54 25
! e.
Homme de ppiiie
4
3 »
Homme de ville 80
f>0
3
SERRTTRERIE.
Ajusteur forge 5 30
4 »
|fIGarçon
I
MÊCANWJB
tôlerie).f
!
r
Monteur.
]
derze. rah/alllerze, l
Compagnon..
FUMISTERIE
GAZ
Aide Compagnon
forge.
[chaudronnerie,fon-|\Ouvrier350à4
3 £AR4
viUp.
Forgeron.
«ON^50
15à6
Grande 6
53
3
50
80
Plombier. * »
Homme de 4 »
Peintre,vitrier culieur. 5
teur.
»
PEINTURE ou 4 »
ASPHALTE et BlTIJME.
Ald
ter aide.,
Applica
3
3
4
»
50
•
La saison d'été compte du 1er mars au 1er octobre, et celle d'hiver
du 1er octobre an 1er mars.
TARIF DES HONORAIRES DES ARCHITECTES
ET DES EXPERTS.
attachements12/3
tion 12/3
— Direction, conduite, surveillance et tenue des
myriamètre. 4 fr.»
Soit, pour les architectes de Paris, Lyon, Bordeaux et
Rouen, par
Pour les architectes des autres villes, parmyriamètre.
G
50
Seine.
lieu de leur domicile ou dans un rayon de deux myriamè-
tres dans le département de la
Pour les architectes dans les autres départements. 6
8 fr. »
Il
Au delà de 2 myriamètres, il est alloué à titre de frais de
voyage et nourriture par chaque myriamètre pour aller ou
Paris.
A ceux des départements. 24»
quatre vacations par jour, aux architectes de 32 »
rôle.
En cas de rédaction contradictoire et simultanée par deux
3 fr. »
à.
Pour toute expédition en plus par 0 50
Pour tout état de lieux et estimation de matériel d'établis-
mation.,.
sements agricoles et industriels, des théâtres,des usines, etc.,
pour plans et dessins y annexés, contre vérification ou mo-
dification d'anciens états de lieux pour vacation, après esti-
8
à.
donnnt droit à une demande d'honoraires et de frais en sus tarifés
comme ci-dessus pour les expertises près les tribunaux.
etc.
Mouture des farines, par 100 kil. de blé moulu à
l'heure, correspondant à une paire de meules,
(id.
-7
id.id.
avec les accessoires, bluterie,
Scieries mécaniques.
Par
Sciesrectilignes. <
(
(
m.
!. d,
id.
car. de bois de chène et à l'h.
, àl'heure.
.,d, tendre
id. chène et à l'heure.
id. tendre et àl'heure.
4
0,50
0,33
0,25
0,26
à 5
les accessoifes.
— de coton. Par 100 broches de coton no 30 à 40, avec
0,45
accessoires.
Tissage mécanique du coton. Par métier, avec ses
0,10 à 0,12
l'heure.
Papeterie à pilons. Par 100 kil. de pâte produite à l'h.
— à cylindres. Par 100 kil. de pâte produite et raffi-
née à
l'heure.
Meules verticales à broyer le ciment. Par 100 kil. de
20
25
bois.
ciment broyés à 0,80
Par alésoir ou forei-ie 2 à 3
Une roue à laver (washwheel) 1,60
Huilerie. Par 100 kilo de grain broyé à l'heure. 1,80
Machine soufflante d'un haut-fourneau au charbon de
8 à 15
-d'unfeud'afifnerie coke.
Marteaufrontal
-d'un feu de
Marteau de feu
Martinet de forge
id.
maréchal.
d'affinerie.
id. au
30
10
6
30 à 40
2,50 à 3,00
1 à 1,25
à 35
à 12
à 7
finisseurs.
Un train de laminoirs, comprenant une paire de cy-
lindres ébaucheurs et une paire de cylindres
35 à40
W
-
DU POIDS D'UN MÈTRE CARRÉ DE FEUILLES DE TÔLE,
U.
CM
"3A
<
Q.
millim.
4/4
4/2
4
2
3
4
5
6
7
8
æ
Z
fi} SC—<:.
C«<BS
¡,¡J
,0
r.r:;
CL
KILOP.
7,788
45,576
23,364
31,154
38,940
46,728
54,516
62,304
2
O)
O
"C:S
4,947
3,894
4»
£e«2
O—
«J
>
O
; ::¿:
C.O' 3
2,197
4,394
8;788
47,576
26,364
35,152
43,940
52,728
61,516
70,304
TÛ
=3
"C:S u
kilo.
„
TABLE
;
CUIVRE ROUGE, ZINC, ÉTAIN ET ARGENT, SUIVANT LES ÉPAISSEURS.
S'5
-..Q
=
kilog.
2,838
5,676
15,352
22,704
34,056
45,408
"<5,760
6,142
79,464
90,816
2S =
C.A.S
OM
S
O>
kilog.
4,715
3,430
6,861
43,722
20,583
27,444
34,305
40,166
47,027
58,878
S
aS-
SN-S
= ='5Ï
Û"*A
«
1
EN FER LAMINÉ,
kilog.
4,825
3,650
7,300
44,601)
21,900
29,200
36500
43,800
51,100
58,400
—,
c~
ON
OJ-O
KILOS.
2,652
5,305
40,610
21,220
31,830
41,440
52,050
62,660
73,270
83,880
9 70,092 79,09-2 402,168 60,719 65,700 94,490
40 77,880 87,880 413,520 67,610 73,000 105,100
41
42
43
85,668
92,156
400,234
96,668
405,456
414,244
424,872
13H/224
147,576
74,471
81,332
88,1*>3
80,300
87,600
94,900
145,740
126,320
136,930
j
f4 109,032 423,032 458,928 95,054 102,200 147,540
45 416.820 131,820 170,280 4(J4,915 409,500 458,450
46 424,608 440,608 481,632 408,776 416,800 1*8,760
47 432,396 449.396 492,984 415,637 424,100 479,370
18 440,484 458,184 204,336 122,498 131,400 489,980
49 447,972 466,972 215,088 129,359 438,700 200,590
20 455,760 475,760 227,040 436,220 446,400 244,200
TABLE
---- - --
jienmillim.
DIAMÈTRESFERSCARRÉS
oucôtés poids
enkilog.
FERSRONDS
poids
enkilog.
PIAMÈÎRESFERSCARRÉS
oucôtés
enmillim.
poids
enkilog.
FERSRONDS
poids
enkilog.
0'0078
4
4 0.0066 9 0,631 0,488
0,0444
2 0,031 0,022 40 0,780 0,612
3 0.070 0,943 0,732
4 0.124 0,i92 42 4,1-23 0,868
60.2SO0.2<2
5
7
0.195
0,2*845
0,382
0,152 43
44
1,318
4,528
4,755
1,020
4,188
4.368
8 0,499 0.380 46 4,996 4,556
,------
!enmillim.
oucdies
-
DIAMÈTRES FERS CARRÉS
------
poids
FERS RONDS
poids
DIAMÈTRES
oucôtés
------------:-1
FERS CARRÉS FERS RONDS
poids poids
enkilog. enkilog. enmillim. enkilog. enkilog.
47
<8
2,254
2,5.7
4,750 39 41,863 9,300
I
1,968 40 12,480 9,788
49 2,815 2,200 41 13,111 10,276
20 3,1:20 2,244 42 13,759 10,776
24 3,439 2,688 43 14,422 11,300
22 3,775 2,944 44 15,100 11,836
23 4,126 3,204 45 15,795 1:i,384
24 4,482 3,512 46 16,504 12,936
25 4,875 3,816 47 17,*>30 13,504
26 5.272 4,124 48 17,971 14,080
27 5,686 4,448 49 18,727 14,680
28 6,115 4,784 50 19,500 15,292
29 6,559 5,4:16 f,5 23.595 18,502
30 7,020 5,504 60 28,080 22,024
31 7,495 5,872 65 32,955 25,842
32 7,985 6,248 70 38.220 29,968
33 8,494 6,668 75 43,875 34,412
34 9,016 7,060 80 49,920 39,160
35 9,555 7.488 85 56,355 44,202
36 10,108 7,920 90 63,180 49,556
37
38
--
40,678
11,263
--- 8,364
8,820
---------- -----
400 78,000
55,218
61,159
Diamètre
poiDS ENKILOG.POURLESÉPAISSEURS,
•»>» ;
extérieur
en
millim.
—————~* ----
——————--———
imill.1/2.j 2mill. ——'-————-
3mill.4mill.5mill.
»
kg. kg. kg. kg. kg.
10 0,3 0,4
15
20
25
30
35
0,5
0,7
0,9
1,0
1,2
0,6
0,9
1,1
1,4
1,8
1,9
0,9
1,2
1,6»»
:!,O
2,3
2,7
2,5
3.0
•
3,2
4,3
40 1,4 3,6
45 1,6 2,1 3,1 4,0 4,9
50 1,8 2,3 3,4 4,5 5,5
55 2,0 2,6 3,8 5,0 6,1
60 2,1 2,8 4,2 5,5 6,7
65 2,2 3,1 4,5 6,0 7,5
70 2,4 3,3 4,9 6,5 7,9
75 2,6 3,6 5,3 7,0 8,5
80 2,9 3,8 5,6 7,4 9,1
85 3,1 4,1 6,0 7,9 9,8
90 3,2 4,3 6,4 8,4 10,4
95 3,4 4,5 6,7 8,9 11,0
100 3,6 4,8 7,1 9,4 H,6
105 3,8 «,0 7,5 9,9 12,2
110 4,0 5,3 7,9 10,4 42,9
,
CLASSIFICATION DES FERS
D'APRÈS MM. FLACHAT ET BARRAULT.
m/m DÉSIGNATION.
plats.
Largeur. Épaisseur.
m/m
Diamètre.
•m,m
Côté.
m/m
Fersmarchands
Id. meplats.
carres..
40à160
25à40
» »
ioetau-dessus
t. id.
l
»35à100
»
»»>
15i
à
» t»
»»
Id.
pl.,ts. 2:1à40
àD 9a41
Fersdepetiteforge s
19 20
à 9 » »
Martinetsronds»
Id. méplats.25 30 1 1
Id. carrés..
Carillon.
Bandelettes15à40 l 10 à 100
10à20
verges5à256à14
» »
5 à 7 »
Fonderie,
Aplatispourcarrosserie.40à70 6etau-dessus
» »
Aplatispourcuves 25à100 3 à 8
1
1
1
1
m. m. kg.
400 0,435 0,325 48à69
<00 0,490 0,350 73à85
<50 0,405 0,310 78à103
450
200
0,325
0,380
0,245
0,170
S8à 53
67à87
225 0,350 0,260 68à 88
: ;
bassements des monuments, sur les murs des quais et sur les autres
points jugés nécessaires ces repères indiqueront les ordonnées de
comparaison, savoir la cote relative au milieu de la mer, eNdeux
autres cotes se rapportant l'une au zéro du pont de la.Tournelle;
l'autre au plan de comparaison passant à 0m30 au-dessus du niveau
légal des eaux du bassin de la Villette.
RÈGLEMENT CONCERNANT LES CHAUDIÈRES A VAPEUR
Décret du 23 janvier 1865.
,
Tout générateur à vapeur doit être soumis comme épreuve au
double de la pression effective de la vapeur, toutes les fois' que
celle-ci est comprise entre demi kilog. et six kilog. par centimètre
carré.
Ainsi, une chaudière pour être timbrée à 6 atmosphères devra
préalablement être essayée à la pression de :
X
(6-1) 2=10 atmosphères.
Les chaudières se divisent en. trois catégories basées sur la capa-
cité du générateur et sur la tension de la vapeur.
On exprime en mètres cubes la capacité de la chaudière avec ses
J
1
tubes bouilleurs ou réchauffeurs, et on multiplie ce nombre par le
n° du timbre augmenté d'une unité.
Ainsi, le volume d'une chaudière timbrée à 4 atmosphères étant
par exemple, de 5 mètres cubes, ou aura (4-J—1)x5=25.
Les chaudières sont de la première catégorie quand le produit
dépasse 15. La deuxième catégorie est comprise entre le produit 5
et 15, et la troisième catégorie concerne les chaudières dont le pro-
duit est au-dessous de 5.
Machines nxes. — Une chaudière de première catégorie ne peut
être établie dans une maison d'habitation, c'est-à-dire, où des
étages sont superposés à l'atelier de la machine; elle doit être dis-
tante de plus de 3 mètres d'une maison d'habitation appartenant à
des tiersou de la voie publique.
Au delà de10 mètres, aucune condition n'est imposée à l'étatlis-
ment de la chaudière de première catégorie; enfin, les distances de
3 mètres et de 10 mètres sont réduites à 1m,50 et à cinq mètres
lorsque la chaudière est enterrée, de façon que sa partie supérieure
se trouve un mètre au moins en contre-bas du sol du côté de la
maison voisine.
Le nouveau règlement ne prescrit un mur de défense que danscer-
tains cas où la sûreté du voisinage est plus spécialement intéressée.
Les chaudières de deuxième catégorie peuvent être installées dans
l'intérieur de tout atelier et sans aucune condition de mur de défense
pourvu que l'atelier ne fasse pas partie d'une maison habitée par
d'autres que le manufacturier, sa famille, ses employés, ouvriers-ou
serviteurs.
Les chaudières de troisième catégorie peuvent être établies dans
un atelier quelconque, même faisant partie d'une maison habitée
par des tiers.
Les fourneaux de deuxième et troisième catégorie sont entière-
ment séparés des maisons d'habitation appartenant à des tiers; l'es-
pace vide est de un mètre pour les chaudières de la deuxième caté-
gorie et de 0"',50 pour la troisième catégorie.
La déclaration adressée au préfet comprend :; 1° le nom et le
domicile du vendeur des chaudières ou leur origine 2° le lieu pré-
cis où elles sont établies; 3° leur forme, leur capacité et leur sur-
face de chauffe; 4° le n° du timbre exprimant en kilog. par centi-
mètre carré la pression effective maximum sous laquelle elles
doivent fonctionner; 5° enfin, le genre d'industrie et l'usage aux-
quels elles sont destinées;
Les machines a vapeur, cylindres et accessoires, ne sont plus con-
sidérés comme établissements insalubres et sont dispensés de l'au-
torisation préalable, il suffit de les mentionner dans la déclaration
au préfet (S 5).
Locomobiies. — Les chaudières des machines locomobiles des ti-
nées à circuler ou à fonctionner d'une manière temporaire sur un
point donné sont soumises aux mêmes épreuves et formalités que
les générateurs à demeure. Il en est de même des chaudières de
locomotives.
Aucune locomobile ne peut être employée surune propriété par-
ticulière, à moins de 5 mètres de tout bâtiment d'habitation et de
tout amas découvert de matières inflammables appartenant à des
tiers sans le consentement formel de ceux-ci.
TABLE COMPARATIVE
DES TROIS ÉCHELLES THERMOMÉTRIQUES ALLEMANDE, FRANÇAISE
ET ANGLAISE.
-50
40
négatifs.
— 40
32
négatifs.
— 58
40
+1045 + positifs.
42
8+50positifs.
591
30 24 22 20 46 68
77
25
20
4777
15
40
5
M
46
42+
8
4
5
44,22positifs. 0
43
44
23
4
25
30
35
40
45
50
20
24
28
32
36
40
86
951
4(4
443
422'
440
4 3,20 24,80 60 48
3 2,40 26,64 70 56 458
2 4,60 28,40 80 64 476
4 0,80 30,20 90 72 494
+ 4
positifs0
2
3
positifs. 0,00
+ 0,80
4,60
2,40
32,00
33,80
35,60
37,40 -440
400
440
420
430
80
88
96
404
.442 284
242
230
248
266'
IÏreiices.
DES NOMBRES, DE LEURS CARRÉS ET RACINES CARREES. DES CURES ET
RACINES CUBIQUES, AINSI QUE DES CIRCONFERENCES ET SURFACES DE
CLRCLE DES MÊMES NOMBRES CONSIDÉRÉS COMME DIAMÈTRES, DE 1
A 1000.
•||gg Raciner
Cubes,
= gj Clrconre- Surfaces.
Surfaces,
o carrees. Iiô r1u,,L.LS-
-
6 36 2,45 216 1.2 1885 28.27
7 49 2.64 343 1,91 21/19 38,48
8 64 2,83 512 2,00 25,13 50.26
9 81 3,011 729 2,08 28.27 63,61
40 100 3.16 10(10 2,15 31,41 78,7,4
«11 <2'
121 3.:!)
3,31 l:t3)
1331 2.:!2 if 34 ; ;
34,55 95.03
9.';.03
12 U4 3,46 1728 2,29 37,70 113,09
13 169 3,60 21972,35 411.81 132,73
14 196 3,74 2744 2.4I 43,9S 153,94
15 225 3.87 3375 246 47,12 176,71
16 256 4,00 4096 2,5250,26 201,06
17
18
289
324
4,12
4,21
4913
58:12
2,57
2,02
53,40226,98
56.55 254,47
19 361 4,36 6859 2.67 59,69 2X3,53
211 400 4,17 8000 2,71 62,83 311,16
21 411 4,58 9261 2,76 6597 346,36
22 484 4.69 10648 2,KO 69.« 380,13
23 529 4,79 12167 2,84 72,25 415,47
24 576 4.90 13824 -2,X8 75.'<0 452,39
I' 25 625 5,00 15625 2.92 78,54 490,87
26
27
211
676
729
784
5,10
5,19
5,29
17576
196*3
21952
2.96
3.00
3.04
81,68
84,
87.96
s2572,55
530.93
615,75
29 Ril 5,38 243X9 307 91,10 6h0,52
30 900
9ril
5,48 27000 3,1194,25 706,86
31 5.57 29791 3.14 97,39 754,77
32 1024 5.65 32768 3,17 100.53 S04,25
33 10s9 5.74 35937 3,21 103.67 855,30
34 1156 5.83 393043,24 106,81 90792
35 1225 5,91 42875 3,27 109,95 962,11
36 1296 6.00 46656 3.30 113,09 1017,87
37 1369 6,08 50653 3,33 116.21 1075,21
38 6.16 11938
I,
1444
39 1 5216,24
54X72 3.36 1134,11
1(94,59
1-----=-
59319 3,39 1-22,52
40 16o0 6.32 64000 3,42 125,66 125661
41 1681 6,40 68921 3,45 H,80 13-20,25
42 1764 6,48 74088 3,48 131,94 138544
5
*« U
Circon
rences.
Surfaces.
S
é
a:::secutis.
§|a
ï
,2-23 Racines
carrees.
Cubes.
£
-S
S- Circonfé-
Surfaces,
Surfaces.
130
16384
16641
16900
11,313
11,357
11,401
2097152
2146689
2197000
5,039
5.052
5.065
402,12
405.26
408,41
12867,99
1306984
1:1273,26
131 17161 11,445 2248091 5.078 411,54 <347824
132
133 17689
17424 11,489 2299968 5,091 414,69 136-480
11,532 2352637 5,104 417,83 1389294
134 17956 11,575 2406104 5,117 420,97 <410264
13o 18225 11,618 2460375 5,129 424,11
427.25 75
1431391
14526
1:1718769
136 18496 Il 701
11,661 2515456 5,142
18 19044 2571:153 5.155 430,39 1474117
11,747 2620872 5.167 433,54 <4957,15
139 19321 11,789 2685619 5,180 436,68 <517471
140 19600 11'832 2744000 5,192 439.82
141
<5393,84
19881 11,874 2803221 5,204 442.96 <5614,53
142 20164 11,916 2863288 5,217 446,10 1583680
*
Garrés.
144
145
446
l
|e°gîS
443
TABLE DES NOMBRES, ETC. (Suite.)
Carrés.
2OU9
20736
21025
21316
21609
Racines
~.s.
carrées.
11,958
12,009
12,041
12.063
12,124
Cubes g.
Cubes.ei
2924207
2985984
3048625
3442136
3476523
S8
5,299
5,241
5,253
5,265
5,277
ri„A„«
Circonré-
renees.
449,24
452,39.
455,53
458,67
461,81
SU.;.
n_.
Surfaces.
16060.64
46286,05
4654303
4674448
;I
16971JO
447
448 1490t 12,165 3241792 5,289 464.95. I720MO
149 22201 12,206 3307949 5,301 468,09 47436,43
450 22500 12.247 3375000 5,313 47112447674JO
fN
454
453
22804
23404
23409
42.288
42,328
42,369
3442954
3544808
3584577
5,325
5,336
5.348
474,39
477,52
480,66
Ibt"
47907.90
48385,43
454 23746 42,409 3652264 5,360 483,80 48626,84
24025 42,449 3723875 48694 48869,83
455
456 2*336
24649
42.489
42,529
3796446
3869893
5,374
5,383
5,394
*
490,06
49323
49443.49
49359,33
457
458 24964 42,569 3944341. 5,406 496,37 49606.75
459 25281 12.609 4019679 5,447 499,51 49855,69
4GO 25600 42,649 4096000 5,428. 502,65 29406.94
464 15914 42.688 4473284 5,440 505,79 20358^5
462 26244 42,727 4254528 5,454 508,93 90642^03
463 26569 42,767 4330747 5,462 542.08 20867,20
464 16891 42,806 4440941 5,473 545.22 24124,11
465 27225 42,845 4492425 5,484 548,36 24382,54
466 27556 42,884 4574296 5,495 524,50 24642,48
467 27889 42,922 4657463 5,506 52464 24904.02
468 28224 42,964 4744632 5,547 527-78 22467,42
469 28564 43,000 4826809 5,528 530.93 22434,80
470 .28900 43,038 4943000 5,539' 534,07 22698,06
474 29244 43,076 50002H 5,550 537,31 22966.88
472 29584 43,444 5088448 5.564 540,35 23235;97
473 29929 43,452 5477747 5,572 543,49 23506.23
474 30276 43,490 5268024. 5,582 546,64 23778,77
475 30625 43,228 5359375 5,593 549,78 24062,87
476 30976 43,266 5454776 5.604 55292 24328,55
477 34329 43,304 5545233 5,644 556,06 SM05,79
478 34684 43,344 5639752 5,625 559,20 24884,64
479
480
34
32400
43.379
43,446
5735339
5832000
5,635
5,646
562,34
565.48
25465,00
25446,96
484 32764 43,453 5929744 5,656568.62 25730,48
482 33424 43.490 6028568 5,667 571.77 26045,58
483 33489 <43,597 6128487 5677 574,94 26302,26
484 33856 43,564 6229504 5.687 578,05 26590,80
485 34225 43,601 6331625 5,698 581,49 26880.34
486 34596 43638 6434856 5,708 584.33 27474,69
487 34969 43.674 6539203 5.748 587.47 2746465
188 353U 43,744 6644672 5,728 590.62 27759,47
489 35724 43747 6754269 5,738 593,7e 28055.27
490 36400 43,784 6859000 5.748 596,90 28352,9*
494 36484 43,820 6967874 5,758 600,04 28652,17
492 36864 43,856 7077888 5,768 603,48 28952,98
z
£
ISoS
.a
o S
193
194
195
196
197
198
«
arrcs.. <3
.:::
8 C
TABLE DES NOMBRES, ETC.
37249
37636
•38025
38416
38809
39204
Racines
carrées.
13,892
13,928
13,964
14,000
14,035
14,071
Cubes.=:.:ig.
7189057
7301384
7414875
7529536
7645373
7762392
3
5,778
5,788
5,798
5,808
5,8t8
(Suite.)
rences..
Clrconfe-
renées.
606,32
609,47
612,61
615.75
618,89
622,03
Surfaces
29255,36
29559,31
29864,83
30171,92
30480,60
!!
5,828 30790.82
199 39601 14,106 7880599 5,838 625.17 31102,52
200 40000 14,142 8000000 5,848 628,32 31416,00
201 40401 14.177 8120601 5,857 631,46 31730.94
202 40804 14,212 8242408 5,867 634,60 32047,46
203 41209 14,247 8365427 5,877 637,74 32365.54
204 41616 14,282 8489664 5,886 640.88 32685.20
205 42025 14,317 8615125 5,896 644.02 33006,43
206 42436 14,352 8741816 5,905 647,16 33329,23
207 42849 14387 8869743 5,915 650,31 33653,60
208 43264 1'4.422 8998912 5,924 653.45 33979,54
209 43681 14,456 9129329 5.934 656.59 34307,05
210 44100 14,491 9261000 5,943 659,73 34636,14
2H 44521 14.525 9393931 5,953 662,87 34966,79
212 44944 14,560 9528128 5.962 666,01 35299.01
213 45369 14,594 9663597 5,972 66916 35632.81
214 45796 14.628 9800344 5.981 672,30 35968.17
215 46225 14,662 9938375 5,990 675,44 56305,11
216 46656 14,696 10077696 6,000 678,58 3*643,62
217 47089 14,730 10218313 6,009 681.72 3«983,70
218 47524 14,764 10360232 6,018 684.86 37325,34
219 47961 14,798 10503459 6,027 688,01 37668,56
220 48400 14,832 10648000 6,036 691,15 3801336
221 48841 14.866 10793861 6,045 594.29 38359,72
222 49284 14,899 10941048 6,055 697,43 38707,65
223 49729 14.933 11089567 6,064 700,57 39057,51
224 50176 14.966 11239424 6,073 703,71 39408,23
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1
241
45239,04
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242 45616,81
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iL
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vi
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Carrés.
Racines
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,
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Circollfé-
Surfaces.
Stirfaces.
46377,08
243 59019 45,588 44348907 6.240 763,40
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24024576 0
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289
290
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84100
17,0(10
47,029
24137569
24389(100
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6,619
907,92
911,06
65397,39
6605-2,14I
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292 85264 17,088 24897088 6,634 917,34 66966,34
TABLE DES NOMBRES, ETC. (Suite.)
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Racines
carrées.
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977,03
73541.71
74023,16
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30371828 6,782 980,17 7645393
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345 o
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986.45 77437,29
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17,776
17,804
31554496
31835013
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6,811
989,60
992,74
77931,31
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6,818 995,88 78924,«6
161134 17,838 32157438 6,826 999,02 79422,78
'4080*4
401761 17,860 32461759 0,833 4002,17 79923,08
§§{* 163400
W 17,888
17,946
32768000 6,839 1005,31 80424,96
,
33076161 6,847 1008,45 80928,40
HT403684 17,944 33386248 6,854 1011,59 81433,41 <
813
rS*
§§§
Bat.
404976
100828
194329 47,972
48,600
48,028
33698267
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3*328125
6,861
6,868
4014,73
4017,88
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82448,15
6,875 4021,16 82956,87
406276 18,055 34645976 6,882 1024,30
tm 83469,17
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18,221
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35287S52
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6,896
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W6 112896 18.330 37933056 6.952 4055,57
.-
0)7443509
39
116244
114921
48,357
18,385
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38272753
38614472
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6,959
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6,973
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34* 416964 48,493 40004688 6,993 4074,27 91863,83
TABLE DES NOMBRES, ETC. (Suite.)
Z
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Carrés.. c j
carrees.g:y!ences.
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1
386
387
388
148996
149769
<9,647
9672
19698
57512456
579,0603
58444072
7,281
7287
7,294
1212.65
<215,79
1'248,94
417021,4;;
tt7t\2R,57
tt8'237,25
ii
390
389
1505411
748
<5010019<9,723
151321 588',3869 7.299 1222,08 1H!ld6,51
419459,62,
1
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392 153664
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III
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393
395
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4*3
484
4*5
406
407
«
-
-894 155236
o
TABLE DES NOMBRES, ETC.
Carrés.
154449
156025
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458404
159201
160000
J60801.
161604
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464025
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165649
Racines
carrees.
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49,849
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19,925
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19,975
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20,025
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20,149
20,174
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67419143
Circollré-
Cubes.Circoliré-
™
tIJ
-§
7,325
7,334
7,337
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7,349
7,356
7,362
7,368
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7,380
7,386
7,392
7,399
7,405
7,411
r:n
(Suite.
rences.
1234,64
1237,79
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1247.21
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4275,48
1278,63
1
Surfaces.
Surfaces,
121304,24
121922,43
422542,03
123163,28
<23786,10
124411,28
125036,46
125K64.00
126293,10
426923,88
.127556,02
1269,20 28189,84
128825,23
129462,19
13(1100,71
4*8 466464 20,199 67911312 7,417 1281,77 130740,82
4628t 131382,49
419
440 168100
20,224
20,248
684179-29
68921000
7,422 1284,91
7J4291288 05 1320J5,74
411 c 168921 20,273 69426531 7,434 1291,19 132670,55
412 169744 20,298 69934528 7,441 1294,34 133316,93
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4t7 173889 20,421- 72511713 7,471 1310,04 136572,42
418 174724 20,445•
73034632 7.477 1313,18 137228,22
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.4as
426
480625
181476
20,645
20,639
76765625
77308776
7,51« 1335,18 441862,87
7,524 1338,32 14253125
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429
428 183184 20,688 78402752
430
i849oo
84041 20,712
20'736
78953589
79507000
7,536
7,542
1344,60
1347,74
14387271
144545,80
145220^6
7,548 1350,88
.11 185761 20,760 80062991 7,554 1354,02 445896,68
432
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4«34 » 20,833 81746504 7,571 1363,45 147934,80
435 489225
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U8 494844 20,928 84027672 7.594 1376,02 150674.27
439
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U9tÂ
M (À
e01 Carrés..
i1 carrées.
.:!
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TABLE DES NOMBRES, ETC.
Racines
Cabes.-5 jr «s
«|
(Suite).
Circonfé- Sorraces..
rences.
S«nrl,lces.
4
485 235325 23,023 114084125 7,857 4523,67 184745,74
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487
488
237469
238444 22,09144t>214-272 7,873 4
533,10<87038,29
239424 22.443 446910469 7,878 4536,24 .487805.61
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490
494 24408122,458
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448370774 7,889 <542,52 1893U.M
492 242064 22,484 tt9095481 7,894 4545,66 490447,66.
TABLE DES NOMBRES, ETC. (Suite.)
1•S§
S
-| S
Carrés.
Racines
carrées.
Cubes.
S~
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Ǥ
rences.
rences.
Circonfé- Surfaces.
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10
-5gS
carrées.
-M
Carrés.
rences. rirrnnfp-
Cuconfe- Surfaces.
581 580
335241
336400
337561
24.083
24.104
195112000
196122941
8,339
8,344
1822,12
, 264208,^6
1825,26 265120,46
5R2
583
584
3387°4
339889
341056
24125
24,145
24.166
197137368
198155287
199176704
8,349
8,354
8,359
1828,41
1831.55
1834,69
266033,82
266948,82
267865,3R
j
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588 587
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591 349^81 24310 206425071 8,392 1856,68
350464 j
24,331 207474688 8,397 185.9,82' 275254,42
592
1i
,
854M
Il
593
B9A
8. I TABLE DES NOMBRES; ETC.
Carrés..
851649
852936
Cubes.
Racines
24,351
24,372
-s.»
Circonfé-
rences.
carrées.
Cubes..
208527857
209584384
§«
8,401
8,406
(Suite.)
1862,96
1866,11
276185,12
277117,39
24,393 21Ô644875 8,411 1869,25 278051,23
SÊM- 855X16 24,413 311708736 8,415 1872,39 278986,64
!
If
'.51
IW9
858M
337004
858801
24,433
24,454
24,474
212776173
243847193
214921799
8,420
8,425
8,429
1875,53
4878,67
1881,81
279923,62
280M62.18
281802,30
«ftjD*tA 890000 24,495 246000000 8,434 1884,96 282744,00
ffl(
<j!t
/88t*0i 24,515 217081801 8,439 1888,10
283687,26
862404 24,536 284632,10
809363609
,
218167208 8,444 1891,24
OMM§
360M
24,556
24,576
8,448-4894,38 285578,50
219256227
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8,462
1900166 287476,03
1903,80 28&26,45
tWr
868449
<0i» 869864
!:-fJ80W
24,637
24,658
24,678
223648543
224755712
225866529
8,467
8,472
8,476
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872100
373321 jW©
'Ifi::
Mi* 874544
24,698
34.718
226981000
2280991318485
916,37 *92247,34
8,481 1919,51
293206,31
6U * 378*25 375769
876996
24,239
24,758
24,779
229220928
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231475544
8,490
8,495
8,499
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-
816:880689
615 24,799 8,504
232608375
M Ci" : 24,849 2337448968,509
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1935,22 298024,74
,
383161
884924
l«itfti
24,839
24,859
234885113
236029032
8,513
8,518
4938,36 298993,14
1941,50 299963,00
Ml,
f;
te 884460
08ffll
886884
3M29
24,879 237176659
24,949 239483064
24,939 240641848
24,969 241804367
8,522
24,899 238328000 8,527
8,532
8,536
8,544
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921
-
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9& 393129 25,040 246494888 8,559 4969,78 308763,41
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IBO. 396900 25,099 250047000 8.573 4979,20 311725.26
634898161
-
OU
838
999424
400689
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25,159 253636437
,
8,577
8,586
1982,34 312715,64
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a409*100
<M US,
408m
407044 25,259 259694074
25,278 260917119
8,609
8,613
25,298 2621*4000" 9,61W
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645412164 25,338 264609288 8,627 20^6,90 323743,60
TABLE DES NOMBRES, ETC. (Suite.)
--
J
1
Z
643
6.4
gg|
H
645
646
647
=
Racmes
Carrés.
413449
414736
416025
417316
418609
£
Cubes.•«§
•§
Racines
Cubes.
carrées.
carres.
25.357
25,377
25,397
25,416
25,436
rences.
firconfé-
e-
265847707
i67089b84
268836125
269586136
270840023
272097792
8,631
8,636
8,640
8,644
8,649
8,653
Ircon
rences.
2023,19
202(5,33
2029,47
2032,61
2035,76
—
—————
Surfaces.
2020,04 324722,84
3-25733,65
326746,03
327739,98
32x775,50
329792,60
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659 434281
2073,45 342120,24
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670» 448900
671 4502H25,904 302111711 8,753 2108,01 353619,28
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672 355730,43
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692
TABLE DES NOMBRES, ETC. (Suite.)
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S»,948
584277056
586376253
588480479
9,420
9,424
9,428
3639,54 550226,89
3632,64 P51542,43
839 703924 28,965 590589749 9,432* 2635,80 552859,58
840 705600 28,983 592701000 9,435 2638,94 554178,24
Ml 767284 29,000 594823324 9,439 2642,08 555498,49
843 708864 39,047 596947688 - 9,443 2645,22 556820,33
--
TABLE DES NOMBRES, ETC. (Suite).
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Carrés.
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Racines
carrées.
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2679,78
2682,92
2686,06
574464,40
572804.78
574147,03
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7::i.il»29,275
e,
62722201 ",495 2689.20
2692.35
575499,85
576836,24
857 6294227m3 !»499
85S736161 29,29-2 631628712 9,502 2695,49 578483,20
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9,540
9,5132704,915*2233.51
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2701,77
579",34,73
580884,84
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863
865
866
867
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9. i 2723.76 1376.51
-
;
868 753424 29,462 653972032!»,.:,9 2726.9»591739,20
859 755461 29,479 656234909 9,5i3 2730,(5 593403,44
870 756910 29,496 658503000 9,546 2733,19 594469,26
871 758..41 29,543 660776311 9,550 2736.33 595836,44
S72 760384 29,530 663054848 9.554 2739,87 597205,59
873 762129 29,547 665338617 9,557 2742.61 598576,91
874 763876 29,563 667627624 9,564 2745,75 599948,21
87:\ 765625 29,580 669924875 9,565 2748,90 601321,87
876 767376 29,597 672221376 9,568 2752,04 4
602b97,4
877 769429 29,614 674526433 9,572 2755,18 604073,94
878 770884 29,631 676836152 9,576 2758,32 605454,49
879 772641 29,648 679154439 9.5792761,46 606832,24
880 774400 29.665 681472000 9.583 2764,60 608213,76
881 776164 29,682 68.1797841 9.586 2767,74 609596,84
S82 777924 29,698 686128968 !1,590 2770.89 610981,50
883 779689 29,715 688-S653879.594 2774,03 612367,-4
854 781456 29,732 69080740»9.5:i7 2777,47 643755,54
885 783225
78,996
29.749
29766
693154425
69%'06456
1\,'
2803t615144.91
2783,45 616533,83
886
887
888
786769
788541
29,783
29,799
,
69:8:'. H'3
700227'C2
'.:.<-05
\I,",OS 2786,59 647928,37
9,6122786,75 649322,45
889 790321 29,816 70259,:.69 9,645 2792,88 629718,44
890 792100 2',833 7o49t,9!i»o 9,619 2796,02 622445,34
891 793881 29,850 7073'.7974 9,623 2799,46 623544,43
1. 892 795664 29,866 709732288 9,626 2802,30 624944,50
z-"5w§
1";
E-
2 s
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893
894
895
896802816
897
TABLE DES NOMBRES, ETC. (Suite.)
R.
797449
799236
801025
804609
",,n
Carrés.. Cubes.
,
Racines
carrees.reucts.
29,883
29,900
29.917
29,933
29,950
712121957
7145165,84
716917375
7193231H6
721734273
Circonfé-
9,630
9,633
9637
9,644
rences
2805,44
2808,59
2811
9,641-2814,87
2818,01
73
Surfaces.
6263-16,44
627795
629124S5
630531,68
898 631939,90
806404 29,967 724150792 9,648 2821,45633349,70
900
899 808204 29,983 726572699 9,651 2824*29 63476013
810000 30,000 729000000 9,655 2827,44 63617400
901 8H801 30,017 731432701 9,658 2830,58 639004,58
637588,50
902 2833,72
813604 30,033 733870808 9,662
903 815409 30,050 736314327 9,666 2830,86640422 22
904 817216 30,067 738763264
905 819025 30,083 741217625
9,669 2840,00
2843,14643262 23
641841,44
906 820836 30,100 743677416
9,673 2846,2864468474
9,676
907
908 822649 30,116 746142643 9,680 2849,43 64610852
.-
824464 30,133 748613312 9,683 285257 647534.02
909 826281 30,150 751089429 9,687 2855.71
910 828100 30,166 753571000
74
648961,09
610389
9,691 2858,85 651819,95
911 829924 30,183 75605X034 9,694 2864,99
942 831744 30,499 758550528 9,698
943
2865,13 65325173
2868,-27 654i>84'o9
833569 30.216 761048497 9,701
914 835396 30,232 763551944 9,705 2871.42 65612081
915 837225 30,249 766060875 657556,51
9,708 .2874*56
916
917
948
839056
840889.
30,265768575296
32'282 7740952139'715 9,712 288084S3/22
277,70 6;;8994,58
949 842724
844561 30,293 773620632 60187542
9.749. 2883,98
30,315 776151559 9,722 288713 66331820
920 846400 30,332 77S688000 289027
9,726 6K476256
921 848244 30.348 781229964 9,729 2893,41666208 48
923851929
922 850084 30,364 783777448 9,733 2896,55 669404,64
667655,97
30,381 786330467 9,736 2899,69
924 853776 30,397 788889024 9,740 290283 670555,67
925 855625 30,414 794453125 9,743 2905,98 67200787
926 857476 30,430 794022776 9,7472909,12
291J26 67346165
674916,99
927 859329 30,447 796597083 9,750
928 861184 30,463 799178752 9,754 2915,4067637394
929 863041 30,480 801765089 9,758 294854 67783240
930 864900 30,496 2921,68
80Ï357000 9,761 2924,82 67929246
931 -
866761 30,512 806954491 9,764 680754,08
932 868624 9,768
30.529 809557568 292797 682217,30
933 870489 30,545 812166237 293111
9,771 2934,25
9,775 68368206
68514s S
934 872356
935 874225
30,561
30,578
814780504
817400375 9,778
29373968h616,l1
936 876096 30,594 820025856 9.783 2940,53 688085'79
937 f-77969 30,610 8226Î.6953 9,785 68955685
2943,67 691029*47
2946,8-2
938 879844 30,627 825293672
939 881721 30.643 827936019 9,792294996
9,789
69250367
940 883600 30,659 830584000 9,796 2953,10 693979*44
942
941 885481 30,676 833237621 9,799 2956,24 65456,77
887364 30,692 835896888 9,803 2959,38696935,68
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5
S |
TABLE DES NOMBRES, ETC.
Carrés.
Racines
•
carrées.
Cubes.
Cubes.
reiices.
2 *
(Suite.)
rellces.
Surfaces.
-
-
1-
ï
W M
= Racmes M
««
(À
reuces.
Circonré- Surfaces.
Zo Îa carrées. M -
relices.
-2
- -potir25à30brochesdechanvreoudelin.
pour 140 broches de laine;
ÉTABLISSEMENTS INSALUBRES.
FIN.
PREMIÈRE PARTIE.
,.., !
INTRODUCTION. — FORMULES ET DONNÉES GÉNÉRALES.
2
3
Table comparative des mesures anciennes et nouvelles. 4
étrangers., , françises.,.
Valeur en mètres et en francs des principaux types linéaires et monétaires
5
Table des
algébriques M
Table comparative des mesures anglaises et
logarithmes.
et.,.,,..
8
9
courbes.
Formules
Progressions. —
planes.
Logarilhmes.,.
Intérêts simples ou composés. — Rentes,
Mesures des lignes
- Formules
Mesures des surfaces
volumes.
,physique.
Polygones réguliers.
, , ,
Table des surfaces dans l'espace et
12
13
17
18
19
21
spécifiques.
Trigonométrie.. 22
Formules de
Table des pesanteurs
Densités de quelques
Densités et poids
, ,
absolus.,.
liquides.
comparatives.,
Pressions atmosphériques
, ., 27
28
28
29
30
- Aréomètre.
.,.
- Pages.
Compressibilité des gaz.
-. Climatologie.
31
Pèse-sel, Pèse-liqueur, etc 32
Ballons.
électrique.,
. ,., 33
Galvanoplastie.
Paratonnerre. — Hygrométrie. — Magnétisme.,
Électricité.
— Télégraphie
chimique.,.
chimie., , ",",.,.
34
35
36
Berthollet.
Formules de 36
Nomenclature
simples. 37
oxydes m
Table des équivalents chimiques des corps 38
métalloldes.,
métaux.
Lois de 39
Table des principaux 41
soluble.
Table des principaux
Table des principaux
Produits céramiques. — Verre
chalenr.
Calorique. — Pouvoirs rayonnants et réflecteurs.,
43
45
liquides.
47
Conductibilité de certains corps pour la 48
»
Table de dilatation des solides et des 49
Chaleurs spécifiques de certains corps et gaz 50
réfrigérants.
alliages.
Liquéfaction des gaz et mélanges
métaux 54
*
Chaleurs latentes et sensibles et ductibilité des 52
matières.
d'eau
.Fusion de divers corps. — Principaux
Vaporisation et ébullition de quelques
53
55
vapeur.
Forces élastiques de la vapeur
Vitesse d'écoulement de la ;
vapeur.
Évaporation.,.
Vilesse d'écoulement d'un mélange d'eau et de
56
58
59
Densités dé la vapeur. —
vapeir.
Poids dé la vapeur dans 4 mètre cube d'air
Travail produit par 1 mètre cube de
saturé.,.,. 60
62
63
DEUXIÈME PARTIE.
CONSTRUCTIONS MÉCANIQUES.
Pivot.
Table du rapport de l'effort de tirage. — Plan incliné.- 71
, , ,,
Manivelles excentriques. —
Ressorts..
Pistons.,
Presse à vis. — Vis et écrous. — Tourillons. —
,
72
73
73
Engrenages.
Pompes.
Balancier.
etc.
,
•
.,.
Transmissions. — Cordages
Câbles métalliques. — Courroies.
, , , , ,, ,
Largeur descourroies et
Tabledéterminantlenombredesdents••
Dimensions à donner au pas des
boutons.
paliers.
Bielles.,
Manivettes.
-
industriels.,.
Générateursàvapeur—
Chauffagedesfoyers
Table de divers
,
desarbresetdestourillons.
Table des diamètres
Arbres. Vis,boulons,écrous,coussinets,
Watt.
Proportions des vis et
.,.,.
poulies.",", ,.
engrenages.
Volants.,
Presse hydraulique. — Vis d'Archimède. — Frein,
combustibles.
chaudieres.,.,.
Table des catégories afférentes aux capacités des
à
montante.
Table des épaisseurs donneraux
vapeur.,.
Dimensions des générateurs à bouilleurs
chaudières.,.
page.;,
74
75
76
77
79
80
81
83
84
84
85
86
87
88
89
90
91
92
93
95
90
97
",.
Générateurs à flamme 98
Accessoiresdesgénérateurs à
Cheminées.
99
sûreté.,
vapeur.,.,..,.
Table des diamètres des soupapes de
Fourneaux à
too
101
d'usines
l'air 102
chauddanslescheminées
Vitessede
vapeur. 104
Dimensions et puissance en houille brûlée et en chevaux-vapeur des che-
103
chaudières
minées
Expériences
Machines à
sur 105
diverses
Forcesélastiques delàvapeur
Formules des machines à d'ean.
basse, moyenne et haute pression108
Tables des diamètres et des vitesses de pistons dans les machines à basse
pression,.
106
107
combinées.
pour machines à détente à un cylindre.
Table id. H1
Table des dimensions principales des machines à détente à deux cylindres. 112
5 chaleur H3
Machines à vapeur 113
vent - FormulesH
Théorie du travail mécanique au moyen de la
Ventilateurs.
Tabledelachaleurspécifique
Souffleries à piston.
Moulins à
etdela
fer
etcdensité diversfluides, 114
119
121
122
Piges.
;
Machines
Données snr
à
Parcoars nivean,enrampes,encoarbes123
les
moavement
locomotives
Résistancevaincrepar,
.26
Résistance des locomotives an
tocomotives.
le calcul des
locomotives.
Avance et recouvrement. — Détente. — Pompe alimentaire.
125
128
128
129
Matériel ,
Consommation eneau et en cokf
d'exploitation.
locomotives.
129
129
Dimensions principales des
Meunerie. — Moulins. — Moteurs hydrauliques. — Cours d'eau.
Bluterie. — Monte-sac. — Vanne. — Vannes d'écluse et à coursier. —
130
133
d'eau.
Mouvement de l'eau dans les 141
Rendement des moteurs hydrauliques. — Roues et 142
Table des forces brutes et effectives correspondant à des volumes donnés
à
hélices.,
générales.
et diverses chutes
Bateaux à vapeur. — Données
Proportions des
Table des principales dimensions des bateaux à vapeur.
146
147
153
154
TROISIÈME PARTIE.
.,.,
CONSTRUCTIONS CIVILES.
Bitume.,.
Briques. — Chaux. — Mortier. — Ciment. — Mastic. — Plâtre. — Béton.157
- - bâtiments.
,
Constructions en bétons agglomérés. —
Murs.
161
Cloisons.
Fondations. Maçonnerie. 162
Table des épaisseurs des murs des 163
méplats165
Arcades. — Pans de bois. — 164
fer
., .,.
Dimensions des pièces de charpente et des bois
- Couvertures.,
Table des dimensions des pièces des combles en
Combles. :
t65
t67
170
17.
Table des inclinaisons, du poids et du bois employé pour les couvertures. 472
- Ardoises<72 Pages.
,.,.
Tulles.
.,
Couvertures métalliques. - Zinc. — Tôle. -
Plomb. — Cuivre
..,
173
Pierres.,.
Résistance des matériaux. — Traction. — Allongelllcnt..
tractioliS.
traction.
175
fer.
Table des allongements des corps sous diverses 177
Effort de rupture par
Compresion.,.,. 178
corps.
Resistance des bois. —
.,
Piliers et colonnes en fonte et en 183
tranversal,.
d'architecture.
toscan.,.
Formules pour la résistance des solides à un effort 186
Travaux d'art. — Ordres 18S
ferrées.
fable des proportions des parties principales des ordres d'architecture.. 189
mixtes.
Dimensions modulaires et métriques des différentes parties d'un ordre
ordinaires.
Canaux195
191
Voies de circulation. — Routes 192
Voies 193
Pouts.
Chemins 194
,
Éclairage.
à
Paris.
Table des anses
Chauffage et
,
fontainier211 ',.,.,.
plusieurs centres,
ventilation.,
Éclairage et chauffage au gaz dans
Tuyauxdeconduite..
Pouce de
Tables relativesaux tuyaux de
etc
conduite.
Tuyaux en plomb et table du poids,etc
, 197
199
200
205
209
210
212
216
QUATRIÈME PARTIE.
APPENDICE.
, ,
Prix de revient des principaux matériaux employés dans les constructions à
Paris.,
terrassement.,
Voirie..,. .,.,
217
Tarif des travaux de
Id.
Id.
Id.
dières à
laminé.
tûtes.
Classification des fers, des fils de fer et des
Id.du blanc.
fer
combles.
vapeur.,
pour l'établissement des machines et des chau-
230
234
Id. Id. industriels.
sur la fumée des foyers 232
Table des échelles thermométriquesallemande, française et anglaise.. 232
matières.
Id. des nombres, deleurs carrés et racines carrées, des cubes et racines
cubiques,circonférences et
Renseignements industriels
surraces. 233
253
Table des 255
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PRIX DE L',\BOl\XI'.::Ill'.:
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