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Sujet 3 : « La culture est ce qui fait d’une journée de travail une journée de vie.

La culture est un élément à plusieurs facettes et intrinsèque au progrès et à l’expression de la


civilisation. Ainsi nombre facettes implique nombre définitions et nous allons devoir nous contenter
d’explorer la culture ouvrière ou bourgeoise et la culture occidentale, qui sont, respectivement,
l’ensemble des caractéristiques d’un individu, qui le différencient d’un autre individu de son groupe
social et les caractéristiques d’un groupe qui le différencient d’un autre groupe. (Larousse, 2023)

Nous comprenons donc aisément que l’auteur et poète français Georges Duhamel (Wikipedia,
2023) ait mit en lien la culture avec le travail lorsqu’il disait : « La culture est ce qui fait d’une journée de
travail une journée de vie.

D’après Georges Duhamel, la culture enrichi donc la journée fade et sans saveurs de travail d’un
individu en lui permettant de se différencier de ses pairs et d’évoluer dans son environnement en
profitant des différentes activités et interactions typiquement présentes dans, non seulement son
groupe social, mais également, grâce aux innovations dans le domaine du voyage, dans un autre groupe
social de son choix, compte tenu qu’il en ait les moyens.

Cela étant dit, nous avons ainsi la tâche d’analyser plusieurs questions nées de cette citation : Ou
serait l’homme sans la culture ? Quel est le rôle de la culture dans le monde du travail ? Peut-on
vraiment vivre même en travaillant pendant la majorité de notre temps ?

L’homme ne serait jamais parvenu à atteindre le stade où nous autres sommes, sans la culture.

Ceci est dû au fait que tout ce qui différencie l’humain des autres espèces peuplant la Terre et lui
permet de les dominer tel que l’écriture, la communication extrêmement complexe et la science par
exemple, a deux aspects. Le premier aspect est purement orienté vers le progrès et l’utilité : Le passage
de connaissances multigénérationnel, le transfert d’idées, la coopération lors d’opérations et la
decouverte d’outils permettant de fixer ce qui nous encombre. Le deuxième aspect, lui, est oriente vers
la culture : Les épopées, l’humour et les exercices de langue et toutes les divertissements nés de
l’avancement de la science.

Ainsi l’homme n’aurait pas atteint le stade ou nous autres sommes sans la culture car il n’aurait
tout simplement pas progressé, tout avancée vise le progrès et tout avancée vise l’expansion de la
culture, les deux sont intrinsèquement liés et nous stimulent à avancer par leur combinaison, les deux
sont en symbiose. La culture fait en effet une journée de vie d’une journée de travail tout comme le
travail fait d’une journée de travail une journée de vie.

Le monde du travail n’existerait tout simplement pas sans la culture.

Imaginons un monde où les gens se réveillent, vont au travail, travaillent en silence et sans
interaction, mangent une nourriture sans gout ni origine ni nom ni texture particulière durant leur pause,
retournent travailler, toujours en silence, travaillent toute la journée sur un projet dont ils ignorent le
nom, le but et le fonctionnement. Ce monde est un monde où chaque personne y vivant perd l’esprit et
meurs, nous pouvons voir une situation similaire mais bien moins extrême en Chine ou 95 millions de
chinois sur 1,4 milliard d’habitants souffrent de dépression. (Courrier International, 2020) Mais dans le
monde du travail actuel ou la culture est présente, nous mangeons de la nourriture avec un nom, une
histoire et un gout particulier, nous pouvons partager nos expériences et interagir avec nos pairs en
utilisant les outils linguistiques que nos ancêtres nous ont légués au fil de générations de communication
et d’innovations, nous travaillons sur des projets qui, bien que pas toujours rempli d’un sens profond,
possèdent tout de même une histoire, la plupart du temps une niche de gens passionnés par ce projet et
un nom.

Ceci explique pourquoi la culture enrichi le travail et fait d’une journée de travail une journée de
vie.

Nous pouvons absolument vivre et travailler pendant la majorité du temps.

En effet l’homme est de nature travailleur, durant les stages primordiaux de notre évolution,
nous devions déjà travailler sans relâche chaque jour. Le nature de ce travail était certes différent dans
ces stages mais néanmoins du travail. De plus, malgré le fait que les gens cherchent le confort et
cherchent à diminuer leurs heures de travail, nombres gens ont rapidement réalisé que sans travail leur
vie semble fade et sans travail aucune activité qu’ils considéreraient divertissante n’est possible. Le
bonheur qui est un élément important d’une journée de vie est atteignable par le sentiment
d’accomplissement obtenu après une journée de travail. Mais cet accomplissement ne peut pas être
accompli sans la culture comme explique dans le paragraphe précédent.

Pour conclure le travail fait parti de la vie autant que manger et dormir car notre nature fait que
la satisfaction d’avoir accompli une tâche est la seule manière de ressentir un vrai sentiment
d’accomplissement.

Recapitulons, une journée de travail devient une journée de vie par le biais de la culture car le
travail et la culture évoluent en symbiose dans 2 aspects parallèles : Le progrès de l’humain et le plaisir
du travail. Mais ce travail ne rend heureux seulement car il offre un sentiment d’accomplissement et de
satisfaction lorsqu’il est complet.

Ainsi nous avons la culture qui enrichi le travail afin de donner envie au travailleur de venir au
travail le matin et l’accomplissement d’une tache qui lui donne envie de venir au travail chaque jour
pendant un mois.

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