LES SUJETS DE

DISSERTATION PHILOSOPHIQUE
PAR

HEZIE Essoguiza,
Enseignant de philosophie
Au complexe scolaire la fraternité Kara
Tél : 92201523 / 99264487 / 92934522
Dans ce recueil, nous vous proposons des sujets de dissertation selon le
programme en vigueur au Togo.

« La philosophie, au cœur du développement »

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 LES SUJETS DE DISSERTATION PHILOSOPHIQUE
SELON LE PROGRAMME EN VIGUEUR
AU TOGO1

Table des matières

Titres ………………………………………………………………………………...pages

INTRODUCTION A LA PHILOSOPHIE ………………………………………………………………… 3

NATURE, CULTURE ET EN1VIRONNEMENT ……………….……………………………....………..…. 3

LANGAGE ET COMMUNICATION ……………………………………………………………………. 4

CONSCIENCE ET INCONSCIENT ………………………………………...……………………………. 6

ESPACE ET TEMPS – EXISTENCE ET MORT ……………………………………………………… 8

ART ET ESTHETIQUE ……………………………………………………………………………………… 10

EPISTEMOLOGIE DES SCIENCES EXPERIMENTALES ET SOCIALES …. ……..……..................... 14

LOGIQUE ET MATHEMATIQUES ………………………………… ……………. ..…………………...… 16

VERIRE ET IRRATIONNEL ………………………………………… ……………….…………….....…… 17

SCIENCE ET TECHNIQUE ………………………………………………………………………...……… 20

TRAVAIL ET DEVELOPPEMENT ……………………………………………… ………………………… 22

LIBERTE, ALTERITE ET RESPONSABILITE …………………………………………………………… 23

DROIT, DEVOIR ET JUSTICE …………………………………………………………………………… 26

ETAT ET SES FORMES POLITIQUES ……………………………………………………...…………… 30

Réalisation : Par Mr HEZIE Essoguiza

Enseignant de philosophie au complexe scolaire la fraternité Kara
Tél : 92201523 / 99264487

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Sujets de dissertation philosophique collectionnés par HEZIE Essoguiza, Enseignant de philosophie au Lycée. Vous
trouverez dans cette collection des sujets par thématique selon le programme en vigueur au Togo. Avec ce recueil, plus de
soucis à se faire concernant le choix des sujets de dissertation. Vous y trouverez toutes les formes possibles de questions.
Merci pour la confiance que vous nous ferez et pour l’usage que vous ferez de ce document. Ensemble, cultivons la
philosophie.
« La philosophie au cœur du développement »

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 I. INTRODUCTION A LA PHILOSOPHIE2

1. La réflexion philosophique nous détache-t-elle du monde ?

2. La science peut-elle tenir lieu de philosophie ?
3. La science rend-t-elle la philosophie inutile ?
4. La philosophie change-t-elle le monde ?
5. L’attitude philosophique consiste-t-elle à ne jamais croire ?
6. Est-il légitime d’opposer la philosophie à la science ?
7. La réflexion philosophique est-elle une évasion ?
8. Peut-on être philosophe sans être savant ?
9. Peut-on vivre sans philosophie
10. La diversité des systèmes philosophiques conduit-elle au scepticisme ?
11. La philosophie est-elle un savoir, une réflexion ou une action ?
12. Philosopher, est-ce dire non ?
13. La philosophie s’oppose-t-elle à la religion ?

II. NATURE, CULTURE ET ENVIRONNEMENT

1. Le statut social de l’être humain est-il fixé par sa nature biologique ?

2. Notre nature nous indique-t-elle ce que nous devons faire ?
3. Des cultures différentes font-elles des humanités différentes ?
4. En quoi une culture peut-elle être la mienne ?
5. Être cultivé rend-il meilleur ?
6. L’homme est-il un animal dénaturé ?
7. La culture dénature-t-elle l’homme ?
8. La culture est-elle la négation de la nature, ou son accomplissement ?
9. La culture est-elle un simple ajout à la nature ?
10. La culture est-elle une seconde nature ?
11. La culture libère-t-elle des préjugés ?
12. La culture met-elle fin à la nature ?
13. La culture n’est-elle qu’une seconde nature ?
14. La culture nous unit-elle ?
15. La culture permet-elle d’échapper à la barbarie ?
16. La culture rend-elle meilleur ?
17. La culture rend-elle plus humain ?
18. La diversité des cultures fait-elle obstacle à l’unité du genre humain ?
19. La diversité des cultures vous semble-t-elle une richesse inestimable ?

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 20. La diversité des cultures sépare-t-elle les hommes ?
21. Les hommes sont-ils seulement le produit de leur culture ?
22. Peut-on à bon droit parler d’un homme sans culture ?
23. Peut-on échapper à sa culture ?
24. Peut-on juger objectivement la valeur d’une culture ?
25. Peut-on juger une culture ?
26. Peut-on sortir de sa culture ?
27. Prétendre distinguer l’homme de l’animal, est-ce légitime ?
28. Puis-je juger la culture à laquelle j’appartiens ?
29. Puis-je juger une culture à laquelle je n’appartiens pas ?
30. Qu’est-ce que se cultiver ?
31. Respecter la nature, est-ce renoncer à la transformer ?
32. Se cultiver, est-ce s’affranchir de son appartenance culturelle ?
33. Sommes-nous prisonniers de notre culture ?
34. Une culture peut-elle être porteuse de valeurs universelles ?
35. Y a-t-il progrès dans la culture ?
36. Y a-t-il une différence de nature entre l’homme et l’animal ?
37. Les devoirs de l’homme varient-ils selon les cultures ?
38. Éduquer l’individu, est-ce porter atteinte à sa liberté ?
39. La culture est-elle nécessairement libératrice ?
40. La culture nous rend-elle plus libres ?
41. Appartient-il aux lois d’éduquer les hommes ?
42. La morale dépend-elle de la culture ?
43. La morale s’apprend-elle ?
44. Le sentiment moral peut-il être éduqué ?
45. Notre perception des choses est-elle affaire de culture ?

III. LANGAGE ET COMMUNICATION3

1. En apprenant sa langue maternelle, n’apprend-on qu’à parler ?

2. En quoi l’homme est-il un être de parole ?
3. Est-il raisonnable de se quereller pour des mots ?
4. Faire usage du langage, est-ce renoncer à la violence ?
5. Faut-il accorder de l’importance aux mots ?
6. L’usage de la parole doit-il être soumis à des règles ?
7. La communication est-elle la fonction essentielle du langage humain ?
8. La langue est-elle un moyen d’expression comme un autre ?

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Réalisé par Mr HEZIE Essoguiza, Enseignant de philosophie au Lycée. Tél : 92201523 / 99264487

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9. La parole peut-elle être un instrument de domination ?
10. La parole suffit-elle à faire échec à la violence ?
11. Le langage est-il une invention humaine ?
12. Le langage n’est-il qu’un outil ?
13. Le langage n’exprime-t-il que ce que l’on veut communiquer ?
14. Le langage ne sert-il qu’à communiquer ?
15. Le langage permet-il seulement de communiquer ?
16. Les hommes ne communiquent-ils que dans l’espoir de se mettre d’accord ?
17. Les mots ont-ils un pouvoir sur les choses ?
18. Les mots peuvent-ils nous manquer pour dire quelque chose ?
19. Les mots peuvent-ils nous manquer ?
20. Les paroles engagent-elles tout autant que les actes ?
21. Parler, est-ce agir ?
22. Parler, n’est-ce pas toujours en un sens donner sa parole ?
23. Parle-t-on seulement pour être compris ?
24. Peut-on agir avec des mots ?
25. Peut-on ne pas savoir ce que l’on dit ?
26. Peut-on parler de tout ?
27. Peut-on reprocher au langage d’être imparfait ?
28. Peut-on tout dire ?
29. Peut-on tout exprimer ?
30. Pourquoi est-il nécessaire de bien parler ?
31. Recourir au langage, est-ce renoncer à la violence ?
32. Sait-on toujours ce que l’on dit ?
33. Sans les mots, que saurions-nous des choses ?
34. Une communication véritablement humaine peut-elle se passer de la parole ?
35. Y a-t-il nécessairement des imperfections dans le langage ?
36. Le dialogue permet-il de surmonter les obstacles qui nous empêchent de comprendre autrui ?
37. Les mots nous éloignent-ils des autres ?
38. Parler aux autres, se parler à soi-même, est-ce différent ?
39. La diversité des langues est-elle un obstacle à l’entente entre les peuples ?
40. Le langage des animaux est-il comparable à celui des hommes ?
41. Puis-je toujours exprimer ce que je désire ?
42. Bien parler, est-ce bien penser ?
43. Dans quelle mesure peut-on dire que les mots pensent pour nous ?
44. En quel sens les mots nous apprennent-ils à penser ?
45. En quel sens peut-on dire que nos paroles dépassent notre pensée ?
46. Faut-il se défier de la langue courante pour penser correctement ?
47. Faut-il se plaindre des contraintes que le langage impose à la pensée ?
48. La pensée de chacun perd-elle à se dire dans le langage de tous ?

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 49. Le langage trahit-il la pensée ?
50. Notre pensée est-elle prisonnière de la langue que nous parlons ?
51. Parler, est-ce trahir sa pensée ?
52. Penser, est-ce se parler à soi-même ?
53. Peut-on penser sans les mots ?
54. Peut-on séparer penser et parler ?
55. Le langage sert-il à exprimer la réalité ?

IV. CONSCIENCE ET INCONSCIENT4

1. Est-ce par la conscience qu’il faut définir l’homme ?

2. Agir selon sa conscience, est-ce agir selon les valeurs personnelles ?
3. Faut-il se méfier de sa conscience ?
4. La conscience de soi est-elle trompeuse ?
5. La conscience de soi est-elle une connaissance ?
6. La conscience est-elle source d’illusions ?
7. La conscience fait-elle le malheur de l’homme ?
8. La conscience n’est-elle tournée que vers elle-même ?
9. La conscience peut-elle être un fardeau ?
10. La conscience peut-elle être un obstacle pour l’action ?
11. La conscience peut-elle nous tromper ?
12. Peut-on échapper aux exigences de la conscience ?
13. Sommes-nous conscients ou avons-nous à nous rendre conscients ?
14. Sommes-nous maîtres de nos pensées ?
15. Avons-nous besoin d’autrui pour avoir conscience de nous-mêmes ?
16. Suffit-il de suivre sa conscience pour être dans son droit ?
17. Peut-on concevoir une conscience sans inconscient ?
18. La conscience d’être libre peut-elle être illusoire ?
19. La conscience de soi rend-elle libre ?
20. La conscience est-elle ce qui me rend libre ?
21. La conscience est-elle source de liberté ou de contrainte ?
22. Suffit-il d’être conscient de ses actes pour en être responsable ?
23. Toute prise de conscience est-elle libératrice ?
24. Puis-je, au nom de ma conscience, refuser de me soumettre aux lois ?
25. Avoir bonne conscience, est-ce un signe suffisant de moralité ?
26. Suffit-il d’avoir bonne conscience pour être sûr d’agir moralement ?
27. La société peut-elle être rendue responsable des illusions de notre conscience ?

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Collectionné par HEZIE Essoguiza, Enseignant de philosophie au Lycée. Tél : 92201523 / 99264487

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28. Prendre conscience de soi, est-ce devenir étranger à soi ?
29. Suis-je ce que j’ai conscience d’être ?
30. La notion d’inconscient psychique est-elle contradictoire ?
31. Peut-on agir inconsciemment ?
32. Peut-on connaître l’inconscient ?
33. Peut-on ne pas être l’auteur de ses pensées ?
34. Peut-on reprocher à un être humain d’être inconscient ?
35. Peut-on s’excuser en disant : « j’ai agi inconsciemment » ?
36. Quelle conception de l’homme l’hypothèse de l’inconscient remet-elle en cause ?
37. Une pensée peut-elle être inconsciente ?
38. L’inconscient n’est-il qu’un moindre degré de conscience ?
39. N’exprime-t-on que ce dont on a conscience ?
40. Peut-on concevoir une conscience sans inconscient ?
41. L’hypothèse de l’inconscient rend-elle inutile la recherche d’une maîtrise des désirs ?
42. Y a-t-il un sens à parler de désirs inconscients ?
43. L’hypothèse de l’inconscient rend-elle vaine toute aspiration à la liberté
44. L’idée d’inconscient remet-elle en cause la liberté ?
45. L’inconscient m’empêche-t-il d’être le maître de moi-même ?
46. L’inconscient me gouverne-t-il ?
47. Puis-je invoquer l’inconscient sans ruiner la morale ?
48. L’hypothèse de l’inconscient est-elle nécessaire à la connaissance de soi ?
49. L’hypothèse de l’inconscient exclut-elle toute connaissance de soi ?
50. L’hypothèse de l’inconscient psychique revient-elle à admettre un autre moi en moi ?
51. Si l’inconscient existe, puis-je savoir qui je suis ?
52. Changer, est-ce devenir quelqu’un d’autre ?
53. Comment puis-je savoir qui je suis ?
54. Doit-on apprendre à devenir soi -même ?
55. En quoi mes opinions sont-elles miennes ?
56. Est-il possible de penser par soi-même ?
57. Faut-il apprendre à se connaître soi-même ?
58. L’homme est-il condamné à se faire des illusions sur lui-même ?
59. La connaissance de soi est-elle plus facile que la connaissance des choses ?
60. La question « qui suis-je ? » admet-elle une réponse exacte ?
61. Le sujet humain peut-il être connu comme un objet ?
62. Le sujet humain peut-il être étudié comme un objet ?
63. Peut-on être en conflit avec soi-même ?
64. Peut-on ne pas être l’auteur de ses pensées ?
65. Peut-on nous reprocher ce que nous sommes ?
66. Peut-on se connaître soi-même ?
67. Puis-je ne pas savoir ce que je fais ?

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 68. Puis-je savoir ce que je suis ?
69. Que peut-on savoir de soi ?
70. Suis-je le mieux placé pour me connaître moi-même ?
71. Suis-je le sujet de mes pensées ?
72. Les artistes nous apprennent-ils ce que nous sommes ?
73. Est-il plus facile de connaître autrui que de se connaître soi-même ?
74. Peut-on se connaître soi-même sans l’aide d’autrui ?
75. Pour être soi-même, faut-il se différencier des autres ?
76. La conscience peut-elle nous cacher ce que nous sommes ?
77. Prendre conscience de soi, est-ce devenir étranger à soi ?
78. Suis-je ce que j’ai conscience d’être ?
79. Sommes-nous tels que nous croyons être ?
80. Suis-je ce que je crois être ?
81. L’hypothèse de l’inconscient est-elle nécessaire à la connaissance de soi ?
82. L’hypothèse de l’inconscient exclut-elle toute connaissance de soi ?
83. L’hypothèse de l’inconscient psychique revient-elle à admettre un autre moi en moi ?
84. Si l’inconscient existe, puis-je savoir qui je suis ?
85. Est-ce à moi de juger mes actes ?
86. Suis-je l’auteur de ce que je dis ?
87. Choisit-on d’être celui qu’on est ?
88. La maîtrise de soi dépend-elle de la connaissance de soi ?
89. Peut-on être esclave de soi-même ?
90. Qu’est-ce qu’être maître de soi ?
91. Suis-je responsable de ce que je suis ?
92. Pour agir moralement, faut-il ne pas se soucier de soi ?
93. La vie en société m’empêche-t-elle d’être moi-même ?
94. Le sujet peut-il se comprendre en dehors de la société à laquelle il appartient ?
95. Peut-on se mentir soi-même ?

V. ESPACE ET TEMPS, EXISTENCE ET MORT5

1. Cela a-t-il un sens de vouloir échapper au temps ?

2. Est-il juste de dire que seul le présent existe ?
3. Est-il raisonnable de lutter contre le temps ?
4. Faut-il enterrer le passé ?
5. Faut-il oublier le passé pour se donner un avenir ?
6. Faut-il se soucier de l’avenir ?

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Sujets de dissertations philosophiques collectionnés par HEZIE Essoguiza, Enseignant de philosophie au Lycée

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7. L’avenir peut-il être objet de connaissances ?
8. Le futur n’existe-t-il que dans notre pensée ?
9. Le temps est-il essentiellement destructeur ?
10. Le temps est-il nécessairement destructeur ?
11. Le temps nous appartient-il ?
12. Maîtrise-t-on le temps ?
13. Peut-on échapper à son temps ?
14. Peut-on faire comme si le passé n’existait pas ?
15. Peut-on prévoir l’avenir ?
16. Peut-on se rendre maître du temps ?
17. Pourquoi cherchons-nous à connaître notre passé ?
18. Pourquoi le temps est-il précieux ?
19. Prendre son temps, est-ce le perdre ?
20. Sommes-nous nécessairement les victimes du temps ?
21. Tout s’en va-t-il avec le temps ?
22. Ne peut-on être heureux qu’au passé ?
23. N’y a-t-il de bonheur que dans l’instant ?
24. Est-il vrai que seul le présent existe ?
25. Suffit-il d’être dans le présent pour vivre le présent ?
26. « Vivre l’instant présent » : est-ce une règle de vie satisfaisante ?
27. Connaissons-nous mieux le présent que le passé ?
28. Est-ce pour mieux comprendre le présent que l’on étudie l’histoire ?
29. L’intérêt pour l’histoire est-il refus du présent ?
30. La compréhension du présent suppose-t-elle une connaissance du passé ?
31. La connaissance de l’histoire permet-elle de préparer un avenir meilleur ?
32. La connaissance du passé est-elle toujours utile ?
33. Le présent peut-il s’expliquer intégralement par l’histoire ?
34. Peut-on comprendre le présent si l’on ignore le passé ?
35. Pourquoi cherchons-nous à connaître notre passé ?
36. Pourquoi revenir sur le passé ?
37. Le fait de ne pas connaître l’avenir est-il une entrave à notre liberté ?
38. Peut-on se libérer du passé ?
39. Pour se libérer du passé, faut-il l’oublier ?
40. Sommes-nous responsables de l’avenir ?
41. Le passé a-t-il plus de réalité que le futur ?
42. Quelle réalité peut-on attribuer au temps ?
43. À quelles conditions l’existence a-t-elle un sens ?
44. Faut-il se donner des raisons d’exister ?
45. Est-il vrai que seul le présent existe ?
46. Suffit-il d’être dans le présent pour vivre le présent ?

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 47. « Vivre l’instant présent » : est-ce une règle de vie satisfaisante ?
48. Vivre et exister, est-ce la même chose ?
49. Faut-il vivre comme si nous ne devrions jamais mourir ?
50. La mort peut-elle susciter chez l’homme d’autres sentiments que la peur ?
51. La certitude d’être mortel est-elle un obstacle à mon bonheur ?
52. La mort ajoute-t-elle un sens à la vie ?
53. La mort donne-t-elle un sens à la vie ?
54. La mort ôte-t-elle le sens de la vie ?
55. Faut-il redouter la mort ?
56. La mort est-elle une fatalité ?

VI. ART ET ESTHETIQUE6

1. À quoi reconnaît-on une œuvre d’art ?

2. « Ceci n’est pas de l’art » : peut-on justifier ce jugement ?
3. Créer, est-ce rompre avec la tradition ?
4. Dire de l’art qu’il n’est pas utilitaire, est-ce dire qu’il est inutile ?
5. En art, tout s’apprend-il ?
6. En créant, l’artiste ne fait-il que ce qu’il lui plaît ?
7. Est-ce une fonction de l’art que d’embellir la vie ?
8. Est-il possible d’expliquer une œuvre d’art ?
9. Expliquer une œuvre d’art, est-ce la comprendre ?
10. Faut-il connaître l’intention d’un artiste pour juger son œuvre ?
11. Faut-il recourir à la notion d’inspiration pour rendre compte de la production artistique ?
12. Faut-il renoncer à définir le beau ?
13. L’art a-t-il pour fonction d’exprimer ce qui échappe à la science ?
14. L’art change-t-il la vie ?
15. L’art doit-il s’intéresser à la laideur ?
16. L’art doit-il suivre la nature ?
17. L’art est-il inutile ?
18. L’art est-il l’expression d’une révolte ?
19. L’art est-il moins nécessaire que la science ?
20. L’art est-il un divertissement ?
21. L’art est-il un luxe ?
22. L’art est-il utile ?
23. L’art n’a-t-il pour but que le plaisir ?
24. L’art n’est-il qu’un divertissement ?

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25. L’art n’est-il qu’un jeu ?
26. L’art n’est-il qu’un luxe ?
27. L’art n’est-il qu’une affaire de goût ?
28. L’art n’obéit-il à aucune règle ?
29. L’art nous réconcilie-t-il avec le monde ?
30. L’art peut-il être défini comme la production du beau ?
31. L’art peut-il être populaire ?
32. L’art peut-il être un refuge ?
33. L’art peut-il revendiquer la laideur ?
34. L’art peut-il se passer de la référence au beau ?
35. L’art peut-il se passer de règles ?
36. L’art répond-il à un besoin ?
37. L’art s’adresse-t-il à tous ?
38. L’art s’enseigne-t-il ?
39. L’art transforme-t-il l’homme ?
40. L’humanité a-t-elle besoin d’art ?
41. L’art transforme-t-il la nature ou la dévoile-t-il ?
42. L’artiste doit-il chercher à plaire ?
43. L’artiste est-il nécessairement un homme de génie ?
44. L’artiste est-il un créateur ?
45. L’artiste fait-il ce qu’il veut ?
46. L’artiste ne cherche-t-il qu’à divertir ?
47. L’artiste peut-il être indifférent au beau ?
48. L’œuvre d’art doit-elle d’abord plaire ?
49. L’œuvre d’art est-elle nécessairement belle ?
50. L’œuvre d’art nous apprend-elle quelque chose ?
51. L’œuvre est-elle nécessairement la fin de l’art ?
52. L’originalité fait-elle la valeur de l’œuvre d’art ?
53. L’originalité suffit-elle à faire la valeur d’une œuvre d’art ?
54. La beauté est-elle la seule fin de l’art ?
55. La beauté oblige-t-elle à penser ?
56. La création artistique est-elle seulement l’expression d’une subjectivité ?
57. La reproduction des œuvres d’art nuit-elle à l’art ?
58. La valeur de l’art réside-t-elle dans son inutilité ?
59. Le beau est-il toujours surprenant ?
60. Le beau peut-il ne pas plaire ?
61. Le jugement esthétique requiert-il de s’exercer dans la solitude ou dans la compagnie des hommes ?
62. Les œuvres d’art peuvent-elles être utiles ?
63. Les œuvres d’art sont-elles des réalités comme les autres ?
64. Peut-il y avoir des progrès en art ?

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65. Peut-on admettre que toutes les créations artistiques se valent ?
66. Peut-on aimer une œuvre d’art sans la comprendre ?
67. Peut-on apprendre à aimer une œuvre d’art ?
68. Peut-on apprendre à créer ?
69. Peut-on expliquer une œuvre d’art ?
70. Peut-on reprocher à l’art d’être inutile ?
71. Peut-on reprocher à une œuvre d’art de ne rien vouloir dire ?
72. Peut-on se passer de la beauté ?
73. Pour qu’une production soit une œuvre d’art, suffit-il qu’elle me plaise ?
74. Pourquoi conserver les œuvres d’art ?
75. Pourquoi des artistes ?
76. Pourquoi s’intéresse-t-on aux œuvres d’art ?
77. Pourquoi sommes-nous sensibles à la beauté ?
78. Pouvons-nous nous passer de l’art ?
79. Puis-je apprécier une œuvre d’art sans comprendre sa signification ?
80. Qu’admire-t-on dans une œuvre ?
81. Qu’admire-t-on dans une œuvre d’art ?
82. Qu’est-ce qu’une œuvre d’art réussie ?
83. Qu’est-ce qui fait la valeur d’une œuvre d’art ?
84. Que veut-on dire quand on dit : « c’est beau » ?
85. Que voulons-nous dire lorsque nous disons d’un artiste qu’il a du génie ?
86. Quelles compétences faut-il avoir pour apprécier une œuvre d’art ?
87. Qui est artiste ?
88. Rendre visible l’invisible, est-ce la vocation de l’art ?
89. S’il y a une beauté naturelle, rend-elle l’art inutile ?
90. Sans l’art, parlerait-on de beauté ?
91. Si la vie était belle, y aurait-il de l’art ?
92. Tout le monde est-il artiste ?
93. Toute œuvre d’art nous parle-t-elle de l’homme ?
94. Toute œuvre d’art veut-elle dire quelque chose ?
95. Un art peut-il se passer de règles ?
96. Un artiste doit-il être original ?
97. Un artiste doit-il être un créateur ?
98. Une œuvre d’art doit-elle nécessairement donner du plaisir ?
99. Une œuvre d’art gagne-t-elle à être commentée ?
100. Une œuvre d’art n’est-elle qu’un objet ?
101. Une œuvre d’art nous apprend-elle quelque chose ?
102. Une œuvre d’art peut-elle être belle et ne pas me plaire ?
103. Une œuvre d’art peut-elle ne pas être belle ?
104. Y a-t-il des règles de l’art ?

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105. Y a-t-il un progrès dans l’art ?
106. Peut-on convaincre autrui qu’une œuvre d’art est belle ?
107. L’art transforme-t-il notre conscience du réel ?
108. L’expérience de l’œuvre d’art modifie-t-elle la conscience que nous avons du monde ?
109. Apprécier une œuvre d’art, cela s’apprend-t-il ?
110. Faut-il être cultivé pour apprécier une œuvre d’art ?
111. Faut-il être instruit pour prendre plaisir à une œuvre d’art ?
112. L’amour du beau s’apprend-il ?
113. L’œuvre d’art instruit-elle ?
114. La sensibilité aux œuvres d’art demande-t-elle à être éduquée ?
115. Peut-on démontrer qu’une œuvre d’art est belle ?
116. Peut-on prouver qu’une œuvre d’art est belle ?
117. Est-il légitime qu’une œuvre d’art fasse l’objet d’un échange marchand ?
118. L’œuvre d’art est-elle une expression privilégiée de l’esprit ?
119. Une œuvre d’art s’adresse-t-elle seulement aux hommes de son temps ?
120. Une œuvre d’art s’explique-t-elle par son contexte historique ?
121. L’art est-il une interprétation du monde ?
122. L’artiste est-il le meilleur interprète de son œuvre ?
123. L’art est-il un langage ?
124. L’art n’est-il qu’un mode d’expression subjectif ?
125. L’art sait-il montrer ce que le langage ne peut pas dire ?
126. L’œuvre d’art est-elle un moyen de communiquer ?
127. Le sentiment du beau est-il communicable ?
128. Les arts sont-ils un langage ?
129. Une œuvre d’art est-elle un message ?
130. Peut-on reprocher à une œuvre d’art d’être immorale ?
131. Peut-on, au nom de la morale, condamner un artiste pour l’une de ses œuvres ?
132. Une œuvre d’art peut-elle être immorale ?
133. Y a-t-il un sens à juger une œuvre d’art du point de vue moral ?
134. Juge-t-on du beau ou le perçoit-on ?
135. L’œuvre d’art ne s’adresse-t-elle qu’à nos sens ?
136. L’art transforme-t-il notre conscience du réel ?
137. L’art a-t-il besoin de modèle ?
138. L’art est-il étranger à la réalité quotidienne ?
139. L’art est-il évasion de la réalité ?
140. L’art modifie-t-il notre rapport à la réalité ?
141. L’art nous détourne-t-il de la réalité ?
142. L’art nous éloigne-t-il de la réalité ?
143. L’artiste a-t-il besoin de modèles ?
144. Les œuvres d’art nous font-elles oublier le réel ?

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 145. Une œuvre d’art nous fait-elle rencontrer le réel ?
146. L’art peut-il transformer la société ?
147. Les œuvres d’art ne sont-elles qu’un reflet de la société ?
148. Une société peut-elle se passer d’artistes ?
149. Les artistes nous apprennent-ils ce que nous sommes ?
150. L’activité artistique peut-elle se passer de techniques ?
151. L’art exige-t-il une maîtrise technique ?
152. L’art existerait-il sans la technique ?
153. L’art peut-il se passer d’une maîtrise technique ?
154. Reconnaît-on l’artiste à son savoir-faire ?
155. Un artiste est-il un artisan ?
156. Un objet technique peut-il être objet d’art ?
157. Un objet technique peut-il être une œuvre d’art ?
158. Y a-t-il lieu de distinguer l’art et la technique ?
159. Y a-t-il une différence essentielle entre l’artiste et l’artisan ?
160. L’art peut-il nous affranchir de l’ordre du temps ?
161. La beauté est-elle intemporelle ?
162. Les œuvres d’art sont-elles éternelles ?
163. Ce qu’il y a de travail dans l’art est-il encore de l’art ?
164. L’activité artistique est-elle un travail ?
165. L’artiste travaille-t-il ?
166. La création artistique est-elle un travail ?
167. Y a-t-il du travail dans les œuvres d’art ?
168. Faut-il séparer la beauté et la vérité ?
169. L’art est-il indifférent à la vérité ?
170. L’art est-il un moyen d’accéder à la vérité ?
171. L’art nous mène-t-il au vrai ?
172. L’art peut-il être un moyen d’accéder à la vérité ?
173. L’art peut-il manifester la vérité ?
174. L’artiste nous fait-il découvrir des vérités ?
175. L’œuvre d’art nous met-elle en présence d’une vérité impossible à atteindre par d’autres voies ?
176. Peut-on reprocher à l’art d’être mensonger ?
177. Y a-t-il une vérité dans l’art ?
178. Y a-t-il une vérité en art ?

VII. SCIENCES EXPERIMENTALES ET SOCIALES7

7
Les sujets de dissertations philosophiques collectionnés par HEZIE Essoguiza, Enseignant de philosophie au Lycée.

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1. Le renouvellement des théories scientifiques doit-il faire douter de la vérité de la science ?
2. La vérité exige-t-elle qu’on se soumette aux faits ?
3. Peut-on avoir raison contre les faits ?
4. Pour accéder au vrai, suffit-il de s’en tenir aux faits ?
5. Suffit-il de constater pour atteindre la vérité ?
6. Suffit-il de s’en tenir aux faits pour être dans le vrai ?
7. La valeur d’une théorie se mesure-t-elle à son efficacité pratique ?
8. Peut-on prouver une hypothèse scientifique ?
9. Une théorie scientifique doit-elle se prémunir contre toute critique ?
10. Une théorie scientifique est-elle une invention ou une découverte ?
11. Est-il raisonnable d’opposer théorie et expérience ?
12. La théorie permet-elle de négliger l’expérience ?
13. Les théories scientifiques sont-elles tirées de l’expérience ?
14. Nos erreurs viennent-elles de l’expérience ou de la théorie ?
15. Peut-on opposer le théoricien et l’observateur ?
16. Une théorie sans expérience nous apprend-elle quelque chose ?
17. Le renouvellement des théories scientifiques doit-il faire douter de la vérité de la science ?
18. À quoi reconnaît-on qu’une expérience est scientifique ?
19. De quoi l’expérience nous instruit-elle ?
20. L’expérience est-elle la seule source du savoir ?
21. L’expérience fait-elle obstacle à la connaissance ?
22. L’expérience instruit-elle ?
23. L’expérience nous instruit-elle ?
24. L’expérience peut-elle tromper ?
25. La connaissance scientifique ne repose-t-elle que sur l’observation ?
26. La connaissance scientifique progresse-t-elle par l’accumulation des observations ?
27. La science nous livre-t-elle le réel tel qu’il est ?
28. Le réel résiste-t-il à la connaissance ?
29. Les faits parlent-ils d’eux-mêmes ?
30. La science se limite-t-elle à constater les faits ?
31. Les sciences de l’homme peuvent-elles être expérimentales ?
32. Peut-on contredire l’expérience ?
33. Pour connaître, suffit-il de bien observer ?
34. Pour être objectif, faut-il s’en tenir à l’expérience ?
35. Que nous apprend l’expérience ?
36. Une connaissance peut-elle se passer de l’expérience sensible ?
37. La raison est-elle plus fiable que l’expérience ?
38. Est-ce le recours à l’expérience qui garantit le caractère scientifique d’une théorie ?
39. Est-il raisonnable d’opposer théorie et expérience ?
40. La théorie permet-elle de négliger l’expérience ?

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 41. Les théories scientifiques sont-elles tirées de l’expérience ?
42. Peut-on opposer le théoricien et l’observateur ?
43. Une théorie sans expérience nous apprend-elle quelque chose ?
44. Doit-on tenir pour vrai seulement ce qui est vérifiable par l’expérience ?
45. L’expérience est-elle source de vérité ?
46. L’expérience suffit-elle pour établir une vérité ?
47. Pour atteindre la vérité, toutes les expériences se valent-elles ?
48. Y a-t-il contradiction entre la prétention des sciences à la vérité et le fait qu’elles ont une histoire ?
49. Peut-on remettre en question une vérité établie scientifiquement ?
50. Peut-on dire des vérités scientifiques qu’elles sont provisoires ?
51. Les vérités scientifiques ne sont-elles que conventionnelles ?
52. Les vérités scientifiques sont-elles indiscutables ?

VIII. LOGIQUE ET MATHEMATIQUES 8

1. La logique suffit-elle à nous pourvoir de vérité ?

2. La logique nous apprend-elle quelque chose ?
3. Une pensée cohérente est-elle nécessairement vraie ?
4. La cohérence du discours est-elle un critère suffisant de vérité ?
5. Une pensée qui ne respecterait pas l’exigence de la non-contradiction vous semble-t-elle recevable ?
6. Les mathématiques se réduisent-elles à la logique ?
7. La mathématique est-elle réductible à la logique ?
8. La logique a-t-elle d’autres fins que la preuve ?
9. De quoi parlent les mathématiques ?
10. Faut-il soumettre les mathématiques à l’analyse logique ?
11. D’où viennent les mathématiques ?
12. Les mathématiques proviennent-elles de l’expérience ou de la raison ?
13. Les êtres mathématiques sont-ils tirés de l’expérience sensible ou sont-ils de pures créations de l’esprit ?
14. Les mathématiques sont-elles de ce monde ?
15. Peut-on considérer la mathématique comme un jeu ?
16. La noblesse des mathématiques est-elle de ne servir à rien ?
17. Y a-t-il un rapport entre les mathématiques et le monde ?
18. Y a-t-il un rapport entre les mathématiques et la réalité ?
19. L’application des mathématiques à tous les domaines de la vie est-elle légitime ?
20. Une mathématisation de toute la réalité est-elle justifiée ?
21. Les vérités mathématiques constituent-elles le modèle de toute vérité ?

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IX. LA VERITE ET L’IRRATIONNEL9

1. À quoi peut-on reconnaître la vérité ?

2. À quoi reconnaît-on la vérité́ ?
3. À quoi reconnaît-on un jugement vrai ?
4. Admettre la relativité des vérités conduit-il à renoncer à toute idée de vérité ?
5. Ce qui est évident est-il toujours vrai ?
6. Ce qui est subjectif est-il nécessairement faux ?
7. Ce qui est vrai est-il toujours vérifiable ?
8. Ce qui est vrai, est-ce ce qui est évident ?
9. Dire que la vérité est relative, est-ce dire qu’il n’y a pas de vérité ?
10. Douter, est-ce désespérer de la vérité ?
11. En quel sens peut-on dire que la vérité s’impose ?
12. Est-ce aux sciences qu’il faut demander la vérité sur l’homme ?
13. Être certain, est-ce être dans le vrai ?
14. Faut-il aimer la vérité ?
15. Faut-il attendre de la science qu’elle ait réponse à tout ?
16. Faut-il chercher des vérités hors de la science ?
17. Faut-il chercher la vérité au-delà des apparences ?
18. Faut-il douter de tout ?
19. Faut-il s’être d’abord trompé pour pouvoir parvenir à la vérité ?
20. Faut-il se méfier des évidences ?
21. L’accord entre les hommes est-il un critère suffisant de la vérité ?
22. L’accord entre les hommes suffit-il à définir la vérité ?
23. L’erreur a-t-elle un rôle dans l’élaboration de la vérité ?
24. L’erreur nous éloigne-t-elle toujours de la vérité ?
25. L’expression « c’est ma vérité » a-t-elle un sens ?
26. L’opinion a-t-elle nécessairement tort ?
27. L’unanimité est-elle un critère de vérité ?
28. La certitude est-elle une garantie de vérité ?
29. La cohérence d’une pensée suffit-elle à garantir sa vérité ?
30. La diversité des opinions nous empêche-t-elle d’atteindre la vérité ?
31. La diversité des opinions rend-elle vaine la recherche de la vérité ?
32. La formule « à chacun sa vérité » fait-elle problème ?
33. La philosophie peut-elle se passer de l’idée de vérité ?
34. La pluralité des opinions fait-elle obstacle à l’exigence de vérité ?
35. La recherche de l’objectivité dans la connaissance scientifique exclut-elle l’appel à l’imagination ?

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36. La recherche de la vérité peut-elle se passer du doute ?
37. La recherche du vrai dans les sciences doit-elle se passer du concours de l’imagination ?
38. La science a-t-elle le monopole de la vérité ?
39. La vérité dépend-elle de nous ?
40. La vérité doit-elle être partagée ?
41. La vérité peut-elle changer ?
42. La vérité peut-elle être relative ?
43. N’y a-t-il de vrai que ce qui est vérifié ?
44. Peut-on avoir de bonnes raisons de ne pas dire la vérité ?
45. Peut-on soutenir que la vérité n’existe pas ?
46. Peut-on toujours dire la vérité ?
47. Pour chercher la vérité, faut-il s’affranchir de toute subjectivité ?
48. Quel rôle joue l’hypothèse dans la recherche de la vérité ?
49. Suffit-il d’être certain pour avoir raison ?
50. Suffit-il de suivre l’opinion dominante pour atteindre la vérité ?
51. Tout ce qui est évident est-il vrai ?
52. Toute vérité a-t-elle besoin d’être prouvée ?
53. Toute vérité est-elle relative ?
54. Toute vérité est-elle subjective ?
55. Toute vérité est-elle vérifiable ?
56. Une vérité absolue est-elle possible ?
57. Y a-t-il des questions auxquelles aucune science ne répond ?
58. Y a-t-il des vérités définitives ?
59. Y a-t-il des vérités indiscutables ?
60. Faut-il préférer la vérité au bonheur ?
61. Faut-il préférer le bonheur à la vérité ?
62. Croire nous empêche-t-il de chercher la vérité ?
63. La recherche de la vérité suppose-t-elle l’abandon de toute croyance ?
64. Ne doit-on tenir pour vrai que ce qui est démontré ?
65. Ne doit-on tenir pour vrai que ce qui est scientifiquement prouvé ?
66. Peut-on douter d’une vérité démontrée ?
67. Toute vérité est-elle démontrable ?
68. Y a-t-il d’autres moyens que la démonstration pour établir une vérité ?
69. Y a-t-il des certitudes sans démonstration ?
70. Avons-nous le devoir de chercher la vérité ?
71. Doit-on toujours dire la vérité ?
72. A-t-on le droit de mentir ?
73. A-t-on le droit de se taire quand on connaît la vérité ?
74. Doit-on tenir pour vrai seulement ce qui est vérifiable par l’expérience
75. L’expérience est-elle source de vérité ?

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76. L’expérience suffit-elle pour établir une vérité ?
77. Toute vérité est-elle bonne à dire ?
78. La vérité est-elle contraignante ou libératrice ?
79. Le bien s’impose-t-il à nous de la même manière que le vrai ?
80. Peut-on s’accorder sur des vérités morales ?
81. Qu’y a-t-il de vrai dans la perception ?
82. Y a-t-il quelque chose de vrai dans la sensation ?
83. La vérité est-elle soumise au temps ?
84. À quoi sert la raison ?
85. Faut-il se fier à sa propre raison ?
86. L’homme peut-il toujours être raisonnable ?
87. L’irrationalité n’est-elle qu’une faiblesse de l’esprit ?
88. La connaissance rationnelle comble-t-elle toutes les attentes de l’homme ?
89. La raison a-t-elle des limites ?
90. La raison est-elle un maître intérieur ?
91. La raison peut-elle nous éclairer dans notre vie ?
92. La raison peut-elle rendre raison de tout ?
93. La raison peut-elle tout expliquer ?
94. Le bon sens a-t-il toujours raison ?
95. Peut-on connaître sans faire usage de la raison ?
96. Y a-t-il une connaissance rationnelle de ce qui change ?
97. Y a-t-il une explication rationnelle à tout ?
98. Croire, est-ce renoncer à la raison ?
99. La raison s’oppose-t-elle à toute forme de croyance ?
100. Toute croyance est-elle contraire à la raison ?
101. La raison est-elle plus fiable que l’expérience ?
102. La raison peut-elle comprendre le réel ?
103. Le réel est-il une construction de la raison ?
104. S’écarter de la réalité, est-ce nécessairement déraisonnable ?
105. Est-il déraisonnable de croire en Dieu ?
106. La raison entre-t-elle nécessairement en conflit avec la religion ?
107. La religion est-elle contraire à la raison ?
108. La religion est-elle étrangère à la raison ?
109. Y a-t-il des vérités qui échappent à la raison ?
110. Connaissons-nous immédiatement le réel ?
111. Ce qui n’est pas matériel peut-il être réel ?
112. Toute réalité est-elle matérielle ?
113. Le réel se limite-t-il à ce que perçoivent nos sens ?
114. Le réel se réduit-il à ce que l’on perçoit ?
115. Peut-on voir les choses telles qu’elles sont ?

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 116. La raison peut-elle comprendre le réel ?
117. La raison peut-elle entièrement rendre compte du réel ?
118. Connaître la vérité, est-ce découvrir le réel ?
119. La conformité au réel est-elle la marque de la vérité ?

X. SCIENCE ET TECHNIQUE10

1. À quoi sert la technique ?

2. Doit-on avoir peur de la technique ?
3. Est-ce raisonnable d’avoir peur du progrès technique ?
4. Est-il légitime de réglementer le développement des techniques ?
5. Est-il raisonnable de critiquer le progrès technique ?
6. L’efficacité technique suppose-t-elle nécessairement la connaissance scientifique ?
7. L’homme peut-il devenir le produit de ses techniques ?
8. L’innovation technique répond-elle à nos besoins ?
9. La condition humaine peut-elle être transformée par la technique ?
10. La technique doit-elle permettre de dépasser les limites de l’humain ?
11. La technique est-elle l’affaire des seuls techniciens ?
12. La technique est-elle le propre de l’homme ?
13. La technique n’est-elle pour l’homme qu’un moyen ?
14. La technique n’est-elle qu’outils et machines ?
15. La technique n’est-elle qu’un moyen ?
16. La technique n’est-elle qu’un outil au service de l’homme ?
17. La technique n’est-elle qu’une application de la science ?
18. La technique peut-elle améliorer l’homme ?
19. La technique peut-elle changer la condition humaine ?
20. La technique s’oppose-t-elle à la nature ?
21. Le développement technique est-il sans fin ?
22. Le développement technique met-il l’homme en contradiction avec la nature ?
23. Le développement technique transforme-t-il les hommes ?
24. Le monde de la technique est-il encore humain ?
25. Le progrès de l’humanité se réduit-il au progrès technique ?
26. Le progrès scientifique est-il lié à l’évolution des techniques ?
27. Le progrès technique change-t-il la condition humaine ?
28. Le progrès technique ne pose-t-il de problèmes qu’au technicien ?
29. Le progrès technique peut-il combler toutes les attentes de l’humanité ?
30. Le progrès technique transforme-t-il les hommes ?

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Les sujets de dissertations philosophiques collectionnés par HEZIE Essoguiza, Enseignant de philosophie au Lycée.

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31. Le technicien n’est-il qu’un exécutant ?
32. Les hommes doivent-ils choisir entre l’exploitation de la nature et sa protection ?
33. Les techniques naissent-elles d’abord des besoins ?
34. Peut-il y avoir savoir-faire sans savoir ?
35. Peut-on à la fois préserver et dominer la nature ?
36. Peut-on protéger la nature sans faire appel à la technique ?
37. Peut-on renoncer au progrès technique ?
38. Pourquoi accordons-nous de la valeur aux objets techniques ?
39. Qu’attendons-nous de la technique ?
40. Que peuvent les techniques ?
41. Tous les problèmes peuvent-ils avoir une solution technique ?
42. Un savoir-faire est-il un véritable savoir ?
43. Une technique est-elle bonne parce qu’elle est efficace ?
44. Une technique se juge-t-elle seulement à son efficacité ?
45. Y a-t-il de bonnes techniques et de mauvaises ?
46. Y a-t-il de l’intelligence dans les techniques ?
47. Y a-t-il plus à espérer qu’à craindre de la technique ?
48. Y a-t-il un sens à résister à la technique ?
49. La technique peut-elle garantir le bonheur ?
50. Le progrès technique est-il la condition du bonheur ?
51. Le progrès technique peut-il procurer le bonheur ?
52. Les inventions techniques ont-elles élargi le champ de nos devoirs ?
53. De quoi la technique nous libère-t-elle ?
54. La technique accroît-elle notre liberté ?
55. La technique doit-elle nous libérer du travail ?
56. La technique libère-t-elle l’homme ?
57. La technique libère-t-elle les hommes de la souffrance ?
58. La technique ôte-t-elle à l’homme sa responsabilité ?
59. Le développement de la technique permet-il à l’homme d’acquérir une plus grande liberté
60. Le développement technique est-il une menace pour la liberté ?
61. Le progrès technique peut-il être aliénant ?
62. Les machines nous libèrent-elles du travail ?
63. Les réussites techniques de l’homme peuvent-elles se retourner contre sa liberté ?
64. Peut-on attendre du progrès technique qu’il nous libère du travail ?
65. Peut-on être esclave d’un objet technique ?
66. Serions-nous plus libres sans machines ?
67. Si la technique est libératrice, de quoi nous libère-t-elle ?
68. La technique est-elle moralement neutre ?
69. La maîtrise de la technique donne-t-elle le pouvoir de gouverner les hommes ?
70. L’invention technique relève-t-elle de la raison ou de l’imagination ?

21
 71. La raison se reconnaît-elle dans la technique ?
72. La technique échappe-t-elle à la raison ?
73. Le projet de maîtriser la nature est-il raisonnable ?
74. La technique doit-elle nous libérer du travail ?
75. Les machines nous libèrent-elles du travail ?
76. Peut-on attendre du progrès technique qu’il nous libère du travail ?
77. Travailler, est-ce seulement mettre en œuvre une technique ?
78. La recherche de l’efficacité technique exclut-elle le souci de la vérité ?
79. Un être vivant peut-il être assimilé à une machine ?
80. Y a-t-il des limites aux interventions techniques sur le vivant ?

XI. TRAVAIL ET DEVELOPPEMENT11

1. À quelles conditions une activité est-elle un travail ?

2. Doit-on faire du travail une valeur ?
3. Faut-il considérer le travail comme un mal nécessaire ?
4. Faut-il renoncer à faire du travail une valeur ?
5. La division du travail sépare-t-elle les hommes ?
6. Le refus du travail a-t-il un sens ?
7. Le travail est-il nécessairement source de progrès ?
8. Le travail fait-il violence à notre humanité ?
9. Le travail n’est-il qu’un moyen de subsistance ?
10. Le travail n’est-il qu’une lutte avec la nature ?
11. Le travail nous rend-il plus humain ?
12. Le travail peut-il être aimé pour lui-même ?
13. Le travail se justifie-t-il seulement par son utilité ?
14. Les hommes peuvent-ils se passer de travailler ?
15. Peut-on mesurer la valeur du travail ?
16. Peut-on opposer le loisir au travail ?
17. Pourquoi le travail est-il spécifiquement humain ?
18. Que gagne-t-on en travaillant ?
19. Que gagnons-nous à travailler ?
20. Tout travail a-t-il un sens ?
21. Travailler, est-ce s’accomplir ?
22. Travailler, est-ce seulement être utile ?
23. Travailler, est-ce seulement produire ?
24. Travaillons-nous pour avoir des loisirs ?

11
Les sujets de dissertation philosophique, une collection de HEZIE Essoguiza, Enseignant de philosophie au Lycée.

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 25. Faut-il travailler pour être heureux ?
26. Le travail permet-il de prendre conscience de soi ?
27. Peut-on désirer travailler ?
28. Est-ce un devoir de travailler ?
29. Y a-t-il un droit au travail ?
30. La liberté humaine est-elle limitée par la nécessité de travailler ?
31. Le travail est-il en lui-même aliénation ?
32. Le travail est-il pour l’homme un obstacle à la liberté ?
33. Le travail n’est-il qu’une contrainte ?
34. Le travail n’est-il que servitude ?
35. Le travail peut-il cesser d’être une contrainte ?
36. Le travail peut-il rendre libre ?
37. Travailler, est-ce s’affranchir de toute dépendance ?
38. Le travail a-t-il une valeur morale ?
39. Peut-on concevoir une société sans travail ?
40. Les machines nous libèrent-elles du travail ?
41. Respecter la nature, est-ce renoncer à la travailler ?
42. Travailler, est-ce perdre son temps ?

XII. LIBERTE, ALTERITE ET RESPONSABILITE12

1. À quelles conditions une action est-elle libre ?

2. De quoi sommes-nous responsables ?
3. Est-on toujours maître de ce que l’on fait ?
4. Être libre consiste-t-il à se suffire à soi-même ?
5. Être libre, est-ce agir ?
6. Être libre, est-ce faire ce que l’on veut ?
7. Être libre, est-ce faire ce qui nous plaît ?
8. Être libre, est-ce n’obéir qu’à soi ?
9. Être libre, est-ce ne rencontrer aucun obstacle ?
10. Être libre, est-ce ne se soumettre à rien ?
11. Être libre, est-ce ne subir aucune influence ?
12. Être libre, est-ce s’affranchir de toute autorité ?
13. Exiger l’obéissance, est-ce nécessairement porter atteinte à la liberté ?
14. L’homme est-il libre par nature ?
15. L’homme est-il responsable de tout ce qu’il fait ?
16. L’idée d’une liberté totale a-t-elle un sens ?

12
Les sujets de dissertations philosophiques, une collection de HEZIE Essoguiza, Enseignant de philosophie au Lycée.

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17. L’indépendance suffit-elle à définir la liberté ?
18. L’interdit est-il une condition de la liberté ?
19. L’ordre s’oppose-t-il à la liberté ?
20. La désobéissance rend-elle plus libre ?
21. La liberté a-t-elle un prix ?
22. La liberté consiste-t-elle à faire ce qui nous plaît ?
23. La liberté est-elle possible sans le courage ?
24. La liberté est-elle une donnée ou une conquête ?
25. La liberté peut-elle être un fardeau ?
26. La spontanéité est-elle une marque de liberté ?
27. N’est-on responsable que de ses propres actes ?
28. Nos obligations portent-elles atteinte à notre liberté ?
29. Notre liberté de penser a-t-elle des limites ?
30. Obéir me dégage-t-il de toute responsabilité ?
31. Obéir, est-ce nécessairement se soumettre ?
32. Peut-on avoir peur d’être libre ?
33. Peut-on être libre sans être responsable ?
34. Peut-on rester libre et se sentir obligé ?
35. Pour être libre, vaut-il mieux ne pas s’engager ?
36. Que vaut l’excuse : « c’est plus fort que moi » ?
37. Qui peut être tenu pour responsable ?
38. S’engager, est-ce renoncer à sa liberté ?
39. S’opposer à l’autorité, est-ce toujours une marque de liberté ?
40. Toute contrainte est-elle un obstacle à la liberté ?
41. Un acte libre comporte-t-il nécessairement des risques ?
42. Un homme libre est-il un homme sans obligation ?
43. Une contrainte peut-elle être libératrice ?
44. Avons-nous besoin d’autrui pour être libres ?
45. Ma liberté exclut-elle celle des autres, ou bien la suppose-t-elle ?
46. La conscience d’être libre peut-elle être illusoire ?
47. La conscience de soi rend-elle libre ?
48. La conscience est-elle ce qui me rend libre ?
49. La conscience est-elle source de liberté ou de contrainte ?
50. Faut-il renoncer à ses désirs pour être libre ?
51. Le désir de liberté peut-il conduire à perdre sa liberté ?
52. Les devoirs sont-ils seulement des contraintes ?
53. La liberté individuelle est-elle un danger pour l’État ?
54. L’hypothèse de l’inconscient rend-elle vaine toute aspiration à la liberté ?
55. L’idée d’inconscient remet-elle en cause la liberté ?
56. Être libre, est-ce n’obéir à aucune loi ?

24
57. L’obéissance à une loi commune à tous est-elle une servitude ?
58. La loi constitue-t-elle, pour la liberté, un obstacle ou une condition ?
59. Les lois sont-elles une garantie pour notre liberté ?
60. Obéir aux lois, est-ce perdre sa liberté ?
61. Les valeurs morales sont-elles affaire de choix ?
62. Toutes les contraintes imposées par la société sont-elles des oppressions ?
63. Toutes les contraintes sociales sont-elles des oppressions
64. La technique accroît-elle notre liberté ?
65. La technique doit-elle nous libérer du travail ?
66. La technique libère-t-elle l’homme ?
67. La technique libère-t-elle les hommes de la souffrance ?
68. La technique ôte-t-elle à l’homme sa responsabilité ?
69. Le développement de la technique permet-il à l’homme d’acquérir une plus grande liberté
70. Le développement technique est-il une menace pour la liberté ?
71. Le progrès technique peut-il être aliénant ?
72. Les machines nous libèrent-elles du travail ?
73. Les réussites techniques de l’homme peuvent-elles se retourner contre sa liberté ?
74. La liberté humaine est-elle limitée par la nécessité de travailler ?
75. Sommes-nous responsables de nos erreurs ?
76. Ai-je besoin d’autrui pour être objectif ?
77. Autrui est-il mon semblable ?
78. Faut-il s’identifier à autrui pour le comprendre ?
79. Nos rapports avec autrui sont-ils nécessairement conflictuels ?
80. Que pouvons-nous savoir des autres ?
81. Suffit-il d’être proche d’autrui pour le connaître ?
82. Toute relation à autrui est-elle porteuse de conflits ?
83. Un homme peut-il m’être complètement étranger ?
84. Ai-je intérêt à la liberté d’autrui ?
85. Avons-nous besoin d’autrui pour être libres ?
86. En quoi suis-je concerné par la liberté des autres ?
87. Ma liberté exclut-elle celle des autres, ou bien la suppose-t-elle ?
88. Autrui est-il un autre moi-même ?
89. Avons-nous besoin d’autrui pour avoir conscience de nous-mêmes ?
90. Peut-on se connaître soi-même sans l’aide d’autrui ?
91. L’homme est-il toujours responsable ?
92. L’homme peut-il être irresponsable ?
93. L’homme est-il responsable de tout ce qu’il fait ?
94. N’est-on responsable que de ses propres actes ?
95. Peut-on être libre sans être responsable ?

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XIII. DROIT, DEVOIR, JUSTICE13

1. Défendre ses droits, est-ce la même chose que défendre ses intérêts ?
2. Désobéir peut-il être un droit ?
3. Est-ce l’égalité des droits qui assure l’égalité des hommes ?
4. Est-ce la volonté du plus grand nombre qui fonde le droit ?
5. Est-il juste de défendre ses droits par tous les moyens ?
6. Faire valoir ses droits, est-ce la même chose que défendre ses intérêts ?
7. L’égalité des droits a-t-elle pour condition l’égalité économique ?
8. L’homme a-t-il un droit sur la nature ?
9. La force et le droit s’opposent-ils nécessairement ?
10. La nature a-t-elle des droits ?
11. Le droit a-t-il pour fin de protéger le faible ?
12. Le droit a-t-il pour seul but de pacifier les relations humaines ?
13. Le droit d’expression autorise-t-il à soutenir n’importe quelle opinion ?
14. Le droit doit-il être fondé sur la nature ?
15. Le droit doit-il tenir compte des différences entre les individus ?
16. Le droit et l’intérêt général peuvent-il s’opposer ?
17. Le droit ne fait-il que traduire un rapport de forces ?
18. Le droit peut-il être fondé sur la nature ?
19. Le droit peut-il être naturel ?
20. Le droit peut-il se mêler à tout ?
21. Suffit-il de suivre sa conscience pour être dans son droit ?
22. Les hommes peuvent-ils avoir des droits sans avoir des devoirs ?
23. Tout droit implique-t-il un devoir ?
24. Faire régner la justice, est-ce seulement appliquer le droit ?
25. Suffit-il d’appliquer le droit pour être juste ?
26. Y a-t-il une justice en dehors du droit ?
27. Être libre, est-ce avoir tous les droits ?
28. Le droit peut-il garantir la liberté ?
29. A-t-on le droit de refuser la loi ?
30. L’homme n’a-t-il que les droits que lui donnent les lois de son pays ?
31. Le droit et la morale obligent-ils de la même façon ?
32. Le droit et la morale ont-ils les mêmes fins ?
33. Le droit peut-il être indépendant de la morale ?
34. Le respect du droit peut-il tenir lieu de morale ?
35. Le droit doit-il refléter l’évolution des mœurs ou la précéder ?

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Les sujets de dissertations philosophiques, une collection de HEZIE Essoguiza, Enseignant de philosophie au Lycée.

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36. Peut-on changer les mœurs par le droit ?
37. A-t-on le droit de mentir ?
38. À quelles conditions peut-on contester la loi ?
39. Assurer la sécurité, est-ce le but de la loi ?
40. D’où les lois tirent-elles leur force ?
41. Dans quel but les hommes se donnent-ils des lois ?
42. Est-ce par crainte que l’on obéit aux lois ?
43. Est-ce seulement par peur du châtiment que l’on obéit à la loi ?
44. Faut-il considérer les lois comme un mal nécessaire ?
45. Faut-il parfois désobéir aux lois ?
46. La loi doit-elle être la même pour tous ?
47. La loi est-elle indiscutable ?
48. Les hommes peuvent-ils se passer de lois ?
49. Les lois peuvent-elles se passer de la force ?
50. Peut-il y avoir des exceptions à la loi ?
51. Peut-on n’obéir à aucune loi ?
52. Qui doit faire les lois ?
53. Est-ce à la loi de décider de mon bonheur ?
54. L’existence de règles communes est-elle nécessairement un obstacle à mon bonheur ?
55. La loi doit-elle rendre les hommes heureux ?
56. Puis-je, au nom de ma conscience, refuser de me soumettre aux lois ?
57. Appartient-il aux lois d’éduquer les hommes ?
58. A-t-on le droit de refuser la loi ?
59. Que vaut la loi du cœur contre la loi de l’État ?
60. Appliquer des lois justes suffit-il pour assurer la justice ?
61. Est-ce la loi qui définit ce qui est juste ?
62. Est-il juste d’interpréter la loi ?
63. Faire régner la justice, est-ce seulement appliquer les lois ?
64. L’homme juste peut-il aller contre la loi ?
65. L’idéal de justice doit-il passer avant le respect de la loi ?
66. La justice peut-elle se passer de la loi ?
67. La loi est-elle une garantie contre l’injustice ?
68. Peut-il y avoir des lois injustes ?
69. Pour être juste, suffit-il d’obéir aux lois ?
70. Être libre, est-ce n’obéir à aucune loi ?
71. L’obéissance à une loi commune à tous est-elle une servitude ?
72. La loi constitue-t-elle, pour la liberté, un obstacle ou une condition ?
73. Les lois sont-elles une garantie pour notre liberté ?
74. Obéir aux lois, est-ce perdre sa liberté ?
75. Les lois sont-elles l’œuvre de la raison ?

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76. Peut-il être raisonnable de désobéir à la loi ?
77. Agir par devoir, est-ce agir contre son intérêt ?
78. Agir par devoir, est-ce nécessairement bien agir ?
79. Est-ce un devoir de respecter la nature ?
80. Faire son devoir exclut-il tout plaisir ?
81. Pourquoi faire son devoir ?
82. Qui peut me dire ce que je dois faire ?
83. Suffit-il de faire son devoir ?
84. Suis-je le seul à savoir ce que je dois faire ?
85. Y a-t-il un sens à parler de devoirs envers nos descendants ?
86. N’avons-nous de devoirs qu’envers autrui ?
87. Ne fait-on son devoir que par crainte du regard d’autrui ?
88. Suffit-il de remplir ses devoirs pour être heureux ?
89. Les devoirs de l’homme varient-ils selon les cultures ?
90. Pouvons-nous faire coïncider nos désirs avec nos devoirs ?
91. Les hommes peuvent-ils avoir des droits sans avoir des devoirs ?
92. Tout droit implique-t-il un devoir ?
93. Faire son devoir, est-ce renoncer à sa liberté ?
94. Les devoirs sont-ils seulement des contraintes ?
95. Peut-on opposer le devoir à la liberté ?
96. Un homme libre est-il un homme sans devoir ?
97. Faire son devoir sans être heureux, est-ce toute la morale ?
98. Faire son devoir, est-ce là toute la morale ?
99. Peut-on réduire le devoir moral à une obligation sociale ?
100. Les inventions techniques ont-elles élargi le champ de nos devoirs ?
101. Est-ce un devoir de travailler ?
102. Avons-nous le devoir de chercher la vérité ?
103. Doit-on toujours dire la vérité ?
104. Comment décider qu’un acte est juste ?
105. Comment pouvons-nous juger d’une injustice ?
106. Être juste, est-ce être neutre ?
107. Être juste, est-ce vouloir l’égalité́ ?
108. L’égalité est-elle nécessairement juste ?
109. L’exercice du pouvoir est-il compatible avec le respect de la justice ?
110. L’exigence de justice est-elle compatible avec l’existence des inégalités ?
111. La justice consiste-t-elle à traiter également tous les hommes ?
112. La justice et l’inégalité sont-elles compatibles ?
113. La justice n’est-elle que pure convention ?
114. La justice peut-elle se passer d’institutions ?
115. La justice suppose-t-elle l’égalité ?

28
116. La recherche de l’égalité peut-elle être injuste ?
117. La violence peut-elle être juste ?
118. La violence peut-elle être un remède à l’injustice ?
119. Le juste et l’injuste ne sont-ils que des conventions ?
120. Le recours à la force signifie-t-il l’échec de la justice ?
121. Le sentiment de la justice est-il naturel ?
122. Les différences sont-elles des inégalités ?
123. N’est-on juste que par intérêt ?
124. Peut-on apprendre à être juste ?
125. Peut-on demander à la justice qu’elle nous venge ?
126. Peut-on dire de la nature qu’elle est injuste ?
127. Peut-on parler d’injustices naturelles ?
128. Pour être juste, est-il nécessaire de renoncer à son intérêt ?
129. Pourquoi la justice a-t-elle besoin d’institutions ?
130. Pourquoi les hommes sont-ils injustes ?
131. Pourquoi n’a-t-on pas le droit de se faire justice soi-même ?
132. Qu’est-ce qu’un homme juste ?
133. Suffit-il de traiter tous les hommes de la même façon pour être juste ?
134. Toute désobéissance doit-elle être punie ?
135. Toutes les inégalités sont-elles des injustices ?
136. Est-il juste de défendre ses droits par tous les moyens ?
137. Faire régner la justice, est-ce seulement appliquer le droit ?
138. Le droit n’est-il qu’une justice par défaut ?
139. Le droit nous dit-il ce qu’il est juste de faire ?
140. Le droit peut-il être injuste ?
141. Le droit sert-il à établir l’ordre ou la justice ?
142. Peut-il y avoir une justice en dehors du droit ?
143. Suffit-il d’appliquer le droit pour être juste ?
144. Suffit-il, pour être juste, d’être dans son droit ?
145. Y a-t-il une justice en dehors du droit ?
146. L’exigence de justice a-t-elle sa place dans les rapports économiques ?
147. L’intervention de l’État est-elle nécessaire pour réduire les injustices ?
148. L’exigence de justice et celle de liberté sont-elles séparables ?
149. Appliquer des lois justes suffit-il pour assurer la justice ?
150. Est-ce la loi qui définit ce qui est juste ?
151. Est-il juste d’interpréter la loi ?
152. Faire régner la justice, est-ce seulement appliquer les lois ?
153. L’homme juste peut-il aller contre la loi ?
154. L’idéal de justice doit-il passer avant le respect de la loi ?
155. La justice peut-elle se passer de la loi ?

29
 156. La loi est-elle une garantie contre l’injustice ?
157. La loi pourrait-elle se passer des juges ?
158. Peut-il y avoir des lois injustes ?
159. Pour être juste, suffit-il d’obéir aux lois ?
160. Est-ce à la justice de dire où est le mal ?
161. La justice est-elle affaire de morale ?
162. Une société juste est-ce une société sans conflits ?
163. Une société juste peut-elle s’accommoder d’inégalités ?
164. Si le droit est relatif au temps et aux lieux, faut-il renoncer à l’idée d’une justice universelle ?

XIV. L’ÉTAT ET SES FORMES POLITIQUES 14

1. Au nom de quoi peut-on s’opposer à l’État ?

2. Doit-on tout attendre de l’État ?
3. Est-il vrai que les hommes n’ont que le gouvernement qu’ils méritent ?
4. L’État doit-il être sans pitié ?
5. L’État doit-il reconnaître des limites à sa puissance ?
6. L’État est-il au service des individus ?
7. L’État est-il l’ami de tous en même temps que l’ennemi de chacun ?
8. L’État est-il l’ennemi de l’individu ?
9. L’État est-il un mal nécessaire ?
10. L’État est-il un moindre mal ?
11. L’État est-il, par définition, indifférent aux intérêts particuliers ?
12. L’État peut-il être impartial ?
13. L’usage de la force par l’État est-il légitime ?
14. La consultation des citoyens suffit-elle à faire la démocratie ?
15. Le rôle de l’État est-il de définir le bien commun ?
16. Les hommes ont-ils besoin d’être gouvernés ?
17. Peut-on se passer de l’État ?
18. Pour gouverner, faut-il nécessairement sacrifier les intérêts particuliers
19. Pourquoi l’État devrait-il limiter son pouvoir ?
20. Le citoyen doit-il obéir à l’État ou à sa conscience ?
21. iFaut-il être juste pour bien gouverner ?
22. L’État doit-il préférer l’injustice au désordre ?
23. L’intervention de l’État est-elle nécessaire pour réduire les injustices ?
24. L’État favorise-t-il la liberté ?
25. L’État peut-il assurer à la fois la liberté et la sécurité des individus

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Les sujets de dissertation philosophique, une collection de HEZIE Essoguiza, Enseignant de philosophie au Lycée.

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 26. La liberté individuelle est-elle un danger pour l’État ?
27. La limitation du pouvoir de l’État garantit-elle la liberté des individus ?
28. Obéir à l’État, est-ce renoncer à sa liberté ?
29. Qu’est-ce qu’un État libre ?
30. Serions-nous plus libres sans l’État ?
31. Un État démocratique doit-il tolérer toutes les opinions ?
32. L’État est-il au-dessus des lois ?
33. L’État est-il menacé quand les citoyens discutent les lois ?
34. Que vaut la loi du cœur contre la loi de l’État ?
35. Ce que la morale interdit, l’État peut-il le prescrire ?
36. Une société peut-elle se passer d’État ?
37. En politique, tous les moyens sont-ils bons ?
38. L’exercice de la philosophie contribue-t-il au développement de la démocratie ?
39. La démocratie n’est-elle qu’un idéal ?
40. La politique est-elle l’affaire de tous ?
41. La politique est-elle une science ou un art ?
42. La politique peut-elle être un métier ?
43. Le souci de l’ordre est-il une menace ou une garantie pour le citoyen ?
44. Les passions sont-elles à l’origine des désordres politiques ?
45. Rendre les hommes meilleurs, est-ce le but de la politique ?
46. La politique est-elle seulement l’affaire de l’État ?
47. Le pouvoir politique peut-il appartenir à ceux qui sont gouvernés ?
48. Y a-t-il d’autres formes de liberté que la liberté politique ?
49. L’action politique peut-elle être subordonnée à la morale ?
50. L’homme politique a-t-il le droit de sacrifier la morale à l’efficacité
51. Peut-on agir moralement sans s’intéresser à la politique ?
52. La politique a-t-elle affaire à l’idéal ou au réel ?
53. La politique vise-t-elle à réaliser une société parfaite ?
54. Le mensonge est-il une vertu politique ?
55. Peut-on séparer la politique de l’exigence de vérité ?

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Ce recueil est une collection de sujets de dissertations philosophiques réalisée par HEZIE Essoguiza, Enseignant de
philosophie au Lycée. Nous vous avons proposé des sujets de dissertation par thématique selon le programme en vigueur au
Togo. Nous vous remercions pour la confiance que vous ferez en ce document et pour l’usage que vous en ferez. Si vous
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cultivons la philosophie.

« La philosophie, au cœur du développement »

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