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Classe de Français
Les différents sujets proposés ont été révisés et adaptés pour respecter un
ensemble de critères2. Cela au niveau des trois composantes de la production
écrite, à savoir: I- Le libellé du sujet ; II- La consigne ; III- Les critères
d’évaluation.
Les auteurs
1
Ce travail est l’aboutissement d’un ensemble de formations dont a bénéficié le corps enseignant de la direction
provinciale de Sidi Kacem.
2
Les sujets de production écrites en question ont été révisés et adaptés pour être conforme au cadre de référence
qui régit l’examen régional de fin d’année.
13- SOUS MASSA 2017: L’imparfait de l’indicatif et le passé simple 2.. ............................................ 66
14- GOULMIM OUED NOUN 2018 : L’imparfait de l’indicatif et le passé simple 3 ........................ 71
19- RABAT-SALE-ZEMMOUR ZAAYR 2014: La construire des phrases simples 3 ..................... 110
21- TANGER-TETOUAN-EL HOUSSIMA 2018: Les connecteurs logiques dans le récit 1 ........................... 122
22- MEKNÈS- TAFILALT: Les connecteurs logiques dans le récit 2 ................................................ 151
23- EL GHARB CHRARDA BANI AHSSAN 2015: Les connecteurs logiques dans le récit 3 ........................ 158
24- GOULMIM SMARA: L’expression de la condition et de l’hypothèse dans un récit 1 ............... 165
25- DRAA TAFILALT 1: L’expression de la condition et de l’hypothèse dans un récit 2 ............... 175
26- DRAA TAFILALT 2: L’expression de la condition et de l’hypothèse dans un récit 3 ................ 183
Objectifs :
Sujet :
Il t’est arrivé un jour d’avoir perdu de vue tes parents ou l’un de tes proches dans une
plage, un souk/supermarché, une ville, un festival, etc.
Consigne :
- La structure du récit:
- Partie :……………….
J’eus peur. Mon cœur battit très fort. Une sueur froide coula sur mon dos. Je
ressentis une panique incroyable. Après quelques secondes, j’avançai doucement vers la
porte du supermarché. Une voix douce cria mon nom. Je fus soulagé.
- Partie :……………….
C’était ma mère.
- Partie :……………….
2- Actions du
personnage pour
résoudre cette situation.
3- Fin de la situation.
…………………………………………………………………………………………………...
- La structure du récit:
J’eus peur. Mon cœur battit très fort. Une sueur froide coula sur mon dos. Je
ressentis une panique incroyable. Après quelques secondes, j’avançai doucement vers la
porte du supermarché. Une voix douce cria mon nom. Je fus soulagé.
C’était ma mère.
2- Actions du J’eus peur. Mon cœur battit très fort. Une sueur froide coula
personnage pour
sur mon dos. Je ressentis une panique incroyable. Après
résoudre cette
situation. quelques secondes, j’avançai doucement vers la porte du
supermarché. Une voix douce cria mon nom. Je fus soulagé.
J’eus peur. Mon cœur battit très fort. Une sueur froide coula sur mon
dos. Je ressentis une panique incroyable. Après quelques secondes,
j’avançai doucement vers la porte du supermarché. Une voix douce cria
mon nom. Je fus soulagé.
C’était ma mère.
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Objectif :
Sujet :
Consigne :
Tu rédiges un récit d’une douzaine de lignes. Tu précises les circonstances, les actions et
les sentiments que tu as éprouvés.
11
Après ; Pendant les dernières vacances d’été ; Après deux heures et demie; enfin ; Le
matin ; Pendant ; La veille de mon voyage.
Vraiment, Marrakech est une ville féerique. Ses monuments historiques témoignent
d’une histoire glorieuse.
12
Après ; Pendant les dernières vacances d’été ; Après deux heures et demie; enfin ; Le
matin ; Pendant ; La veille de mon voyage.
Je me souviens encore de cet événement. Pendant les dernières vacances d’été, mes
parents me laissèrent visiter pour un mois la ville de Marrakech. C'était la première fois
que mes parents m’autorisent de partir tout seul.
Vraiment, Marrakech est une ville féerique. Ses monuments historiques témoignent
d’une histoire glorieuse.
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15
Sujet :
Consigne :
Dis, (dans un récit d’environ 120 mots), quelles en étaient les circonstances et ce que tu
as ressenti.
Critères d’évaluation :
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Enfin ; A un certain moment ; Par la suite ; d’abord ; quand ; douze ans ; Puis
…………., mon père me félicitait de l’avoir aidé. Je lui facilitais la tâche. J’étais très
fier de cet exploit. Je courais à l’intérieur de la maison pour l’annoncer à ma mère.
…………., mon père me félicitait de l’avoir aidé. Je lui facilitais la tâche. J’étais très
fier de cet exploit. Je courais à l’intérieur de la maison pour l’annoncer à ma mère.
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Enfin ; A un certain moment ; Par la suite ; d’abord ; quand ; douze ans ; Puis
J’avais à peine douze ans, quand mon père m’avait demandé de l’aider à réparer sa
voiture. Elle était en panne dans le garage.
Mon papa me demanda d’abord d’aller chercher la boite à outils. Puis, il ouvrit le
capot de la voiture et commença à examiner le moteur. Il essayait de localiser la panne.
Par la suite, il me demanda de lui donner les clés qu’il fallait utiliser. A un certain
moment, je vis son visage s’illuminer. Je compris qu’il avait réussi à réparer la voiture.
Enfin, mon père me félicitait de l’avoir aidé. Je lui facilitais la tâche. J’étais très fier
de cet exploit. Je courais à l’intérieur de la maison pour l’annoncer à ma mère.
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J’avais à peine dix ans, Lorsque mon père m’avait demandé de l’aider à réparer sa
voiture. Elle était en panne dans le garage.
Mon papa me demanda dans un premier lieu d’aller chercher la boite à outils. Dans
un deuxième lieu, il ouvrit le capot de la voiture et commença à examiner le moteur. Il
essayait de localiser la panne. Ensuite, il me demanda de lui donner les clés qu’il fallait
utiliser. Soudain, je vis son visage s’illuminer. Je compris qu’il avait réussi à réparer la
voiture.
Finalement, mon père me félicitait de l’avoir aidé. Je lui facilitais la tâche. J’étais très
fier de cet exploit. Je courais à l’intérieur de la maison pour l’annoncer à ma mère.
Rédaction finale 1
J’avais à peine douze ans, quand mon père m’avait demandé de l’aider à
réparer sa voiture. Elle était en panne dans le garage.
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20
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Sujet :
Tu es parti en excursion avec tes amis. Tu as passé une agréable journée. Au moment du
retour, tu as remarqué que l’un(e) des amis n’est pas présent(e) dans le groupe.
Consigne :
Tu racontes en quelques lignes ce qui s’est passé, ce que tes amis et toi avaient fait pour
le/la retrouver.
Critère d’évaluation :
Tâches de réécriture :
22
Lors de notre retour ; A ce moment-là ; L’année dernière ; Une heure plus tard ;
Après un bon moment
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Lors de notre retour ; A ce moment-là ; L’année dernière ; Une heure plus tard ;
Après un bon moment
L’année dernière, nous avions décidé, mes amis et moi, de faire une excursion. Nous
avions passé une agréable journée… Lors de notre retour, nous étions surpris par
l’absence d'un ami, qui nous avait quittés pour chercher des trucs. Après un bon
moment, nous l’avions appelé. Cependant, il était injoignable !
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Le mois dernier, nous avions décidé, mes amis et moi, de faire une excursion. Nous
avions passé une agréable journée… Au moment de notre retour, nous étions surpris
par l’absence d'un ami, qui nous avait quittés pour chercher des trucs. Après quelques
minutes, nous l’avions appelé. Cependant, il était injoignable !
A cet instant, nous nous mîmes d’accord d’aller le chercher aux alentours de la plage.
Chacun de nous pris une direction, avec l’espoir de le retrouver. Mais c’était en vain.
Notre ami s’était volatilisé! Nous décidâmes de renforcer notre recherche. Mais nous ne
reçûmes aucun résultat ! Un quart-heure plus tard et à notre grande surprise, nous le
trouvâmes dans l’autocar. Il y était déjà ! Il dormait profondément !
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L’année dernière, nous avions décidé, mes amis et moi, de faire une
excursion. Nous avions passé une agréable journée… Lors de notre retour,
nous étions surpris par l’absence d'un ami, qui nous avait quittés pour
chercher des trucs. Après un bon moment, nous l’avions appelé. Cependant,
il était injoignable !
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Objectif :
Sujet :
Tu as participé à une activité organisée par ton collège (concours de lecture, olympiade
de dictée, pièce de théâtre, compétition sportive…).
Consigne :
Raconte comment s’est déroulée cette journée et décris les sentiments que tu as éprouvés
à cette occasion.
Critère d’évaluation :
Respect de la consigne (texte répondant à la question du sujet)
Cohérence de la narration (récit bien organisé)
Vocabulaire (mots précis)
Syntaxe (phrases correctes)
Orthographe d’usage et grammaticale (respect des règles)
Conjugaison (bon emploi des temps du récit)
Ponctuation (texte bien ponctué)
Présentation propre et écriture lisible.
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A bout d’un quart d’heure de marche, j’arrivai à l’école ! Je fus toute contente de
retrouver mes amis. Quand la sonnerie retentit, tous les élèves rentrèrent en classe. J’eus
un peu le trac. Cependant, chacun de nous joua son rôle avec précision. Les spectateurs
nous applaudirent. La présentation dura deux heures.
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Objectifs :
Sujet :
Tu aimes sortir avec tes amis. Un jour, tes parents ne t’ont pas autorisé à aller les
retrouver comme d’habitude.
Consigne :
Critères d’évaluation :
31
Un dimanche, …… voulais sortir avec mes amis pour aller au cinéma. ……’avais
demandé l’autorisation à mes parents, mais …… refusaient. ….. me rappelaient que
….’avais obtenu une mauvaise note en mathématiques. ….. me conseillaient de me
concentrer sur mes études. …… me sentais vraiment mal. ….. voulais absolument
regarder le film avec mes amis. ….. me trouvais du coup dans une situation délicate. …..
ne voulais ni désobéir à mes parents, ni rater mon rendez-vous.
….. pris donc la décision d’en parler à mes parents. ….’essayai de leur changer
d’avis. La chose ne fut pas assez difficile. Mes parents étaient très compréhensifs. Je
……. dis que je voulais tenir ma parole. Je…….. dis aussi que ….’attendais depuis
longtemps la sortie de ce film.
Mes parents finissaient par me laisser sortir. Je ……. remerciais pour ……..
confiance. …….. promettais de faire tout mon possible pour ne jamais …… décevoir.
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Un dimanche, je voulais sortir avec mes amis pour aller au cinéma. J’avais demandé
l’autorisation à mes parents, mais ils refusaient. Ils me rappelaient que j’avais obtenu
une mauvaise note en mathématiques. Ils me conseillaient de me concentrer sur mes
études. Je me sentais vraiment mal. Je voulais absolument regarder le film avec mes
amis. Je me trouvais du coup dans une situation délicate. Je ne voulais ni désobéir à mes
parents, ni rater mon rendez-vous.
Je pris donc la décision d’en parler à mes parents. J’essayai de leur changer d’avis.
La chose ne fut pas assez difficile. Mes parents étaient très compréhensifs. Je leur dis
que je voulais tenir ma parole. Je leur dis aussi que j’attendais depuis longtemps la
sortie de ce film.
Mes parents finissaient par me laisser sortir. Je les remerciais pour leur confiance. Je
promettais de faire tout mon possible pour ne jamais les décevoir.
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Mes parents finissaient par me laisser sortir. Je les remerciais pour leur
confiance. Je promettais de faire tout mon possible pour ne jamais les
décevoir.
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Tous les dimanches, j’avais l’habitude de sortir avec mes amis. C’était
une occasion pour me promener et m’amuser.
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Objectifs :
Sujet :
Consigne :
Rédige une récit d’une dizaine de lignes en répondant aux questions suivantes :
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1- Le début de l’histoire :
1.1- Les outils pour éviter la répétition :
………………………………………………………………………………………………….
………………………………………………………………………………………………….
………………………………………………………………………………………………….
J'étais furieux.
37
………………………………………………………………………………………………….
Mon père et ma mère me dirent que je devrais travailler sérieusement à l’école pour
avoir ce Smartphone.
………………………………………………………………………………………………….
Je me dis : « Durant cette année, je ferai tout mon possible pour obtenir de très bonnes
notes. »
………………………………………………………………………………………………….
Quatre mois plus tard, j'eus comme note une moyenne de 15/20.
………………………………………………………………………………………………….
………………………………………………………………………………………………….
3- La fin de l’histoire :
3.1- Les outils pour éviter la répétition :
………………………………………………………………………………………………….
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1- Le début de l’histoire :
1.1- Les outils pour éviter la répétition :
J'étais furieux.
39
Mon père et ma mère me dirent que je devrais travailler sérieusement à l’école pour
avoir ce Smartphone.
Ils me dirent que je devrais travailler sérieusement à l’école pour en avoir un.
Je me dis : « Durant cette année, je ferai tout mon possible pour obtenir de très bonnes
notes. »
Je me dis : « Durant cette année, je ferai tout mon possible pour en obtenir de très
bonnes…. »
Quatre mois plus tard, j'eus comme note une moyenne de 15/20.
3- La fin de l’histoire :
3.1- Les outils pour éviter la répétition :
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Sujet :
Tu as participé à une activité organisée par ton collège (concours de lecture, olympiade
de dictée, pièce de théâtre, compétition sportive…)
Consigne :
Raconte comment s’est déroulée cette journée. Décris les sentiments que tu as éprouvés
à cette occasion.
Critère d’évaluation :
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L’imparfait de l’indicatif.
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L’imparfait de l’indicatif.
Vraiment, ce concours était une grande expérience. Il est resté gravé dans ma
mémoire.
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Vraiment, ce concours était une grande expérience. Il est resté gravé dans
ma mémoire.
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Sujet :
Tu connais certainement un(e) mendiant(e) qui fréquente ton quartier ou les alentours
de ton établissement scolaire.
Consigne :
Critère d’évaluation :
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C'était un mendiant qui vivait dans une cabane, dans les alentours de mon
établissement. Il avait le dos courbé et le visage ridé. Ses yeux étaient sombres et tristes.
Il portait des vêtements sales et déchirés. Il paraissait fatigué et déprimé. Ce pauvre
mendiant avait l'habitude de chercher sa nourriture dans les poubelles. Parfois, il venait
s'asseoir à côté de la porte de mon collège. Il tendait sa main aux passants. L'état de ce
vieux mendiant nous brisait le cœur.
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C'était un mendiant qui vivait dans une cabane, dans les alentours de
mon établissement. Il avait le dos courbé et le visage ridé. Ses yeux étaient
sombres et tristes. Il portait des vêtements sales et déchirés. Il paraissait
fatigué et déprimé. Ce pauvre mendiant avait l'habitude de chercher sa
nourriture dans les poubelles. Parfois, il venait s'asseoir à côté de la porte
de mon collège. Il tendait sa main aux passants. L'état de ce vieux mendiant
nous brisait le cœur.
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Sujet :
Nous avons tous des ami(e)s que nous avons rencontrés(e)s dans des circonstances
différentes.
Consigne :
En quelques lignes (de 8 à 12 lignes, présente ton ami(e) en racontant quand et où tu l’as
rencontré(e).
Critère d’évaluation :
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- Le plus-que-parfait de l’indicatif.
1- Le début de l’histoire :
1.1- Les verbes au plus-que-parfait de l’indicatif:
L’an dernier, j’ai voyagé avec ma famille dans la ville de Rabat pour passer les
vacances d’été. Pendant ce voyage, j’ai rencontré un enfant, qui est devenu mon meilleur
ami. Mais cette rencontre s’est déroulée dans des circonstances pénibles.
Je m’en souviens comme si c’était hier. C’était exactement le trois juillet. Le jour où
j’ai rencontré mon ami Ahmed. C’était à cause d’une agression. Il a été attaqué par un
homme d’une trentaine d’années.
2- Le déroulement de l’histoire :
2.1- Les caractérisants :
À cause de cette agression, je rencontrais cet ami qui s’appelle Ahmed. Il était
très………………, …………………, ………………………, et……………. Il avait des
cheveux…………, des yeux marron, un nez………………, une bouche bien
……………..et un visage……………..
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- Le plus-que-parfait de l’indicatif.
1- Le début de l’histoire :
1.1- Les verbes au plus-que-parfait de l’indicatif:
L’an dernier, j’avais voyagé avec ma famille dans la ville de Rabat pour passer
les vacances d’été. Pendant ce voyage, j’avais rencontré un enfant, qui était devenu mon
meilleur ami. Mais cette rencontre s’était déroulée dans des circonstances pénibles.
Je m’en souviens comme si c’était hier. C’était exactement le trois juillet. Le jour où
j’avais rencontré mon ami Ahmed. C’était à cause d’une agression. Il avait été attaqué
par un homme d’une trentaine d’années.
2- Le déroulement de l’histoire :
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Rédaction finale
L’an dernier, j’avais voyagé avec ma famille dans la ville de Rabat pour
passer les vacances d’été. Pendant ce voyage, j’avais rencontré un enfant,
qui était devenu mon meilleur ami. Mais cette rencontre s’était déroulée
dans des circonstances pénibles.
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Sujet :
Tu avais perdu un objet que tu aimais beaucoup (portable, montre, casque Bluetooth,...).
Mais tu l’avais finalement retrouvé après tant d’efforts.
Consigne :
Ecris un texte dans lequel tu racontes les circonstances de cette perte. Réponds aux
questions suivantes :
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- Le plus-que-parfait de l’indicatif.
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- Le plus-que-parfait de l’indicatif.
Au terme d’une enquête vaine et harassante, je m’étais rendu compte que je l’avais
mise dans ma poche. J’étais fou de joie d’avoir retrouvé ma montre. J’avais le cœur en
fête.
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Sujet :
Consigne :
Raconte dans quelles circonstances cela est arrivé, comment tu l’as récupéré… et décris
les sentiments que tu as éprouvés.
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1- Le début de l’histoire :
1.1- Les verbes à l’imparfait de l’indicatif :
- Remplace l’expression soulignée dans la phrase suivante par une autre équivalente :
………………………………………………………………………………………………
2- Le déroulement de l’histoire :
2.1- Les verbes d’action au passé simple :
- Complète avec les verbes d’action au passé simple : répondis ; reportai ; revins ;
réveillai ; interrogea.
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- Remets les parties suivantes dans l’ordre pour avoir une fin à notre histoire :
- « Tiens ! », me dit-elle.
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1- Le début de l’histoire :
1.1- Les verbes à l’imparfait de l’indicatif :
- Complète avec les verbes à l’imparfait de l’indicatif : était fabriquée ; aimais ; était ;
offraient ; était ; avait ; était.
L'année dernière, mes parents m'offraient une très belle montre-bracelet. C’était à
l'occasion de mon douzième anniversaire. Elle était fabriquée en acier inoxydable. Le
bracelet était en silicone. Ma montre avait trois aiguilles. Elle était tellement belle que je
l’aimais beaucoup.
- Remplace l’expression soulignée dans la phrase suivante par une autre équivalente :
63
- Complète avec les verbes d’action au passé simple : répondis ; reportai ; revins ;
réveillai ; interrogea.
3- La fin de l’histoire :
3.1- La cohérence entre les phrases:
- « Tiens ! », me dit-elle.
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Objectif :
Sujet :
Sans doute, tu t’es trouvé(e) dans une situation où tu as ressenti une grande peur la nuit.
Consigne :
Rédige en une dizaine de lignes un texte dans lequel tu racontes les circonstances de cette
situation, comment tu as réagi et de quelle manière tu t’en est sorti(e).
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1- Le début de l’histoire :
1.1- Les verbes à l’imparfait de l’indicatif :
- Complète avec les verbes à l’imparfait de l’indicatif : était ; habitaient ; prenais ; avais
2- Le déroulement de l’histoire :
Je prends un raccourci pour arriver vite chez eux. Mais ce n’était pas vraiment un bon
choix car la route n’était pas assez éclairée.
A un moment, je découvre que je perds mon chemin. J’avais peur. J’avais cette fois
l’impression d’entendre des hurlements de loups. Peut-être ce n’était que les aboiements
des chiens errants. Pris de panique, je grimpe à un arbre où je passe la nuit entière. A
l’aube, et à ma grande surprise, je découvre que je me trouvais juste tout près de la
maison de mes grands-parents.
3- La fin de l’histoire :
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1- Le début de l’histoire :
1.1- Les verbes à l’imparfait de l’indicatif :
J’avais dix ans à cette époque. Je prenais l’habitude de rendre visite à mes
grands-parents une fois par semaine. Ils habitaient à quelques kilomètres de chez moi,
dans un douar aux environs de Had Kourt. C’était l’hiver, dans une nuit pluvieuse.
2- Le déroulement de l’histoire :
Je pris un raccourci pour arriver vite chez eux. Mais ce n’était pas vraiment un bon
choix car la route n’était pas assez éclairée.
A un moment, je découvris que je perdis mon chemin. J’avais peur. J’avais cette fois
l’impression d’entendre des hurlements de loups. Peut-être ce n’était que les aboiements
des chiens errants. Pris de panique, je grimpai à un arbre où je passai la nuit entière. A
l’aube, et à ma grande surprise, je découvris que je me trouvais juste tout près de la
maison de mes grands-parents.
68
Rédaction finale 1
Je suivis un raccourci pour arriver vite chez eux. Mais ce n’était pas
vraiment le bon choix car la route n’était pas assez éclairée.
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J’étais allongé sur mon lit, en train de rêvasser. Tout à coup, j’entendis
un bruit qui me fit sursauter. Je me mis debout, sans savoir que faire ! Mon
cœur battait très fort. Mes jambes tremblaient et une sueur froide coulait
sur mon dos. Après quelques minutes, je descendis l’escalier pour connaître
l’origine du vacarme. J’avançai doucement et prudemment vers la cuisine.
Lorsque je m’approchai de la porte, j’aperçus un petit chat qui cherchait à
manger. Il avait fait tomber une casserole pendant ses investigations. Je
finis par revenir à mon état normal. J’étais soulagé.
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Objectifs :
Sujet :
Consigne :
Critère d’évaluation :
71
1- Le début de l’histoire :
1.1- Les verbes à l’imparfait de l’indicatif :
2- Le déroulement de l’histoire :
2.1- Les verbes d’action au passé simple :
- Complète avec les verbes d’action au passé simple : mangeâmes (manger) vîmes (voir) ;
jouai (jouer); chantèrent (chanter) ; racontèrent (raconter) ; fûmes (être) ; arrivâmes
(arriver)
3- La fin de l’histoire :
3.1- La cohérence entre les phrases :
- Remets les parties suivantes dans l’ordre pour avoir une fin à notre histoire :
72
1- Le début de l’histoire :
1.1- Les verbes à l’imparfait de l’indicatif :
Le dimanche dernier, mes camarades de classe et moi, nous organisions une sortie à « la
montagne Kourt ». C’était moi qui proposais cette idée. Je voulais seulement m’amuser
avec mes camarades de classe et passer de bons moments avec eux. Ils acceptaient sans
discuter.
2- Le déroulement de l’histoire :
2.1- Les verbes d’action au passé simple :
- Complète avec les verbes d’action au passé simple : mangeâmes (manger) vîmes (voir) ;
jouai (jouer); chantèrent (chanter) ; racontèrent (raconter) ; fûmes (être) ; arrivâmes
(arriver)
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- Remets les parties suivantes dans l’ordre pour avoir une fin à notre histoire :
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75
Dès notre arrivée, nous avions acheté des tickets et nous étions allés nous
installer dans les gradins. Il y avait un public très nombreux. Les
supporters applaudirent chaudement l’entrée des deux équipes. J’étais
tellement émerveillé de voir mes joueurs préférés sur le terrain. Les deux
équipes essayèrent tout au long du match de marquer des buts. Les
supporters les encouragèrent vivement. Finalement, le match se termina sur
un score 2 à 1.
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77
Sujet :
Un jour, il t’est arrivé à toi aussi d’être injustement puni(e), soit par ton père, soit par ta
mère, soit par ton professeur.
Consigne :
Critère d’évaluation :
78
1- Le début de l’histoire :
1.1- Les verbes à l’imparfait de l’indicatif :
2- Le déroulement de l’histoire :
2.1- Les verbes d’action au passé simple :
Tout à coup, la leçon est interrompue par les cris aigus des élèves parce que ma
voisine avait lancé un bateau en papier, qui atterrait juste sur le bureau de notre
professeure. Automatiquement, ce comportement me donne le fou rire. La maîtresse, me
voyant dans cet état, croit que c’était moi le coupable. Tous les regards se braquent sur
moi. Je deviens tout rouge. Les élèves continuent de hurler. La maîtresse m’ordonne : «
Ramasses tes affaires et sort de cette classe. » Je range mes affaires, incapable de dire un
seul mot. Je me sens humilié et incompris. Les larmes coulent sur mon visage. Je ne peux
justifier mon comportement….
3- La fin de l’histoire :
Utilise convenablement la conjonction de coordination : car.
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1- Le début de l’histoire :
1.1- Les verbes à l’imparfait de l’indicatif :
2- Le déroulement de l’histoire :
2.1- Les verbes d’action au passé simple :
Tout à coup, la leçon fut interrompue par les cris aigus des élèves parce que ma
voisine avait lancé un bateau en papier, qui atterrait juste sur le bureau de notre
professeure. Automatiquement, ce comportement me donna le fou rire. La maîtresse, me
voyant dans cet état, crut que c’était moi le coupable. Tous les regards se braquèrent sur
moi. Je devins tout rouge. Les élèves continuèrent de hurler. La maîtresse m’ordonna : «
Ramasses tes affaires et sort de cette classe. » Je rangeai mes affaires, incapable de dire
un seul mot. Je me sentis humilié et incompris. Les larmes coulèrent sur mon visage. Je
ne pus justifier mon comportement….
3- La fin de l’histoire :
Utilise convenablement la conjonction de coordination : car.
C’était vraiment une journée triste et inoubliable car je me sentais plutôt victime que
coupable.
80
Tout à coup, la leçon fut interrompue par les cris aigus des élèves parce
que ma voisine avait lancé un bateau en papier, qui atterrait juste sur le
bureau de notre professeure. Automatiquement, ce comportement me
donna le fou rire. La maîtresse, me voyant dans cet état, crut que c’était
moi le coupable. Tous les regards se braquèrent sur moi. Je devins tout
rouge. Les élèves continuèrent de hurler. La maîtresse m’ordonna : «
Ramasses tes affaires et sort de cette classe. » Je rangeai mes affaires,
incapable de dire un seul mot. Je me sentis humilié et incompris. Les larmes
coulèrent sur mon visage. Je ne pus justifier mon comportement….
81
Tout à coup, par un geste aussi idiot qu’irréfléchi, je pris une boulette et
je l’envoyai tout droit au dos du maître. Ce geste le mit très en colère. Il
nous demanda le nom du coupable. Tous les regards se braquèrent sur moi.
Je devins tout rouge. Les élèves crièrent et gesticulèrent. Je voulus
m’excuser, mais en vain. Quelques instants après, le professeur se décida :
« Ramasses tes affaires et sort de la classe ! »
82
La semaine dernière, j’étais puni pour une faute que je n’avais pas
commise.
Comme tous les samedis soir, j’allais à la salle du sport. Tout avait bien
commencé. Je faisais les cattas que l’entraîneur nous demandait. Il m’avait
même félicité pour mes efforts.
83
Il m’était arrivé un jour d’être puni, sans aucune raison. J’avais environ
dix ans. C’était à la maison. Ma petite sœur courait partout. Je lui
demandais d’arrêter, mais elle ne m’avait pas obéi. J’avais peur qu’elle ne
tombe.
Alors, je criai pour qu’elle se calme. Aussitôt, elle se mit à pleurer. Elle
dit à mes parents que je l’avais frappée. Chez nous, le petit est toujours
aimé de plus ! Certes, je dis à mes parents la vérité, mais personne ne me
crut. On me punit… Je n’eus le droit ni de jouer dehors, ni de jouer en
tablette.
84
Objectifs :
Sujet :
Sans doute, tu t’es trouvé(e) dans une situation où tu as ressenti une grande peur la nuit.
Consigne :
Rédige en une dizaine de lignes un texte dans lequel tu racontes les circonstances de cette
situation, comment tu as réagi et de quelle manière tu t’en est sorti(e).
85
Un jour, dans une nuit pluvieuse, j'…………… seul à la maison. Mes parents
………………………. au mariage de ma cousine Rashida. Cette nuit-là, le vent
……………………. si fort. Les portes, les fenêtres et même les arbres
……………………..des bruits effrayants. J'…………………… tellement peur que je
………………… même pleurer. Mon cœur ……………. très fort. A cette époque-là,
j’………………….à peine huit ans.
…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………
Remplace l’expression soulignée dans la phrase suivante par une autre équivalente :
2- Le déroulement de l’histoire :
2.1- Les verbes d’action au passé simple :
- sentis (sentir) - m’assis (s’assoir) - fermai (fermer) - me souvins (se souvenir) - imitai
(imiter) - mis (mettre)
86
- Remets les parties suivantes dans l’ordre pour avoir une fin à notre histoire :
87
1- Le début de l’histoire :
1.1- Les verbes à l’imparfait de l’indicatif :
Un jour, dans une nuit pluvieuse, j'étais seul à la maison. Mes parents étaient invités au
mariage de ma cousine Rashida. Cette nuit-là, le vent soufflait si fort. Les portes, les
fenêtres et même les arbres faisaient des bruits effrayants. J'avais tellement peur que je
voulais même pleurer. Mon cœur battait très fort. A cette époque-là, j’avais à peine huit
ans.
- Remplace l’expression soulignée dans la phrase suivante par une autre équivalente :
2- Le déroulement de l’histoire :
2.1- Les verbes d’action au passé simple :
- sentis (sentir) ; m’assis (s’assoir) ; fermai (fermer) ; me souvins (se souvenir) ; imitai
(imiter) ; dis (dire) ; mis (mettre)
88
- Remets les parties suivantes dans l’ordre pour avoir une fin à notre histoire :
- Ils étaient fiers de moi - Le lendemain, je racontais tout à mes parents - Alors, je
m'endormis juste après avoir posé ma tête sur l'oreiller.
89
Un jour, dans une nuit pluvieuse, j'étais seul à la maison. Mes parents
étaient invités au mariage de ma cousine Rashida. Cette nuit-là, le vent
soufflait si fort. Les portes, les fenêtres et même les arbres faisaient des
bruits effrayants. J'avais tellement peur que je voulais même pleurer. Mon
cœur battait très fort. A cette époque-là, j’avais à peine huit ans.
90
91
92
93
1- Le début de l’histoire :
1.1- Les phrases simples/courtes dans un récit :
A- Pendant les grandes vacances, dans une nuit de pleine lune, je me promenais
tranquillement avec mon frère, dans notre quartier Hassan II.
…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………..
B- A cette époque, j'avais encore dix ans et la rue était déserte. Il n’y avait que quelques
personnes attardées au café et tout était calme.
…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………..
2- Le déroulement de l’histoire :
2.1- Les phrases simples/courtes dans un récit :
…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………..
B- Mon cœur battait très fort. Au début, je ne vis personne. Je m'approchai doucement
et je finis par entendre une voix sourde, qui demandait de l'aide.
…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………..
94
…………………………………………………………………………..………………………
…………………………………………………………………………..………………………
…………………………………………………………………………………………………..
3- La fin de l’histoire :
3.1- Les phrases simples/courtes dans un récit :
………………………………………..….………………………………………………………
…………………………………………...………………………………………………………
……………………………………………….…………………………………………………..
95
1- Le début de l’histoire :
1.1- Les phrases simples/courtes dans un récit :
A- Pendant les grandes vacances, dans une nuit de pleine lune, je me promenais
tranquillement avec mon frère, dans notre quartier Hassan II.
B- A cette époque, j'avais encore dix ans et la rue était déserte. Il n’y avait que quelques
personnes attardées au café et tout était calme.
2- Le déroulement de l’histoire :
2.1- Les phrases simples/courtes dans un récit :
96
C- J'aperçus un jeune homme, qui attaquait une fille. Il voulait lui arracher son sac,
mais la fille se débattait.
J'aperçus un jeune homme, qui attaquait une fille. Il voulait lui arracher son sac, mais la
fille se débattait.
3- La fin de l’histoire :
3.1- Les phrases simples/courtes dans un récit :
97
1- Le début de l’histoire :
- Je me promenais tranquillement avec mon frère.
- C’était pendant les grandes vacances, dans notre quartier Hassan II.
- A cette époque, j'avais encore dix ans.
- La rue était déserte.
- Il n’y avait que quelques personnes attardées au café.
- Tout était calme.
2- Le déroulement de l’histoire :
3- La fin de l’histoire :
- Heureusement, une patrouille de police avait vu la scène.
- Immédiatement, le voleur fut arrêté et menotté.
- Il fut conduit au poste de police.
98
99
100
Sujet :
Il t’est arrivé d’aider une personne en difficulté. (un enfant de la rue ; un vieux/une
vielle ; une personne handicapée…)
Consigne :
Raconte dans quelles circonstances, ce que tu as fait, les sentiments que tu éprouvés et la
réaction de la personne aidée :
101
1- Le début de l’histoire :
1.1- Les phrases simples/courtes dans un récit :
A- Ce souvenir est resté gravé dans ma mémoire, du moment où je m’en rappelle comme
si cela datait d’hier, c’était à l’époque où nous passions les vacances d’été dans la ville
d’Agadir.
…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………..
B- J’étais très heureux car je me baignais tous les jours avec mes frères et mes parents
dans l’eau de mer et je prenais l’habitude de jouer au football et de faire le tour des
lieux.
…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………..
2- Le déroulement de l’histoire :
2.1- Les phrases simples/courtes dans un récit :
A- Un jour, pendant que je nageais, j’aperçus un garçon qui se battait contre les vagues
de toute sa force et il était en train de se noyer.
…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………..
…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………..
102
…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………..
3- La fin de l’histoire :
3.1- Les phrases simples/courtes dans un récit :
Quand nous sortîmes de l’eau, les gens qui nous observaient me félicitèrent pour ma
bravoure.
…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………..
103
1- Le début de l’histoire :
1.1- Les phrases simples/courtes dans un récit :
A- Ce souvenir est resté gravé dans ma mémoire, du moment où je m’en rappelle comme
si cela datait d’hier, c’était à l’époque où nous passions les vacances d’été dans la ville
d’Agadir.
- Ce souvenir est resté gravé dans ma mémoire.
- Je m’en rappelle comme si cela datait d’hier.
- C’était à l’époque où nous passions les vacances d’été dans la ville d’Agadir.
B- J’étais très heureux car je me baignais tous les jours avec mes frères et mes parents
dans l’eau de mer et je prenais l’habitude de jouer au football et de faire le tour des
lieux.
2- Le déroulement de l’histoire :
2.1- Les phrases simples/courtes dans un récit :
A- Un jour, pendant que je nageais, j’aperçus un garçon qui se battait contre les vagues
de toute sa force et il était en train de se noyer.
3- La fin de l’histoire :
3.1- Les phrases simples/courtes dans un récit :
Quand nous sortîmes de l’eau, les gens qui nous observaient me félicitèrent pour ma
bravoure.
- Les gens nous observaient.
- Quand nous sortîmes de l’eau, ils me félicitèrent pour ma bravoure.
Jalons
1- Le début de l’histoire :
- Ce souvenir est resté gravé dans ma mémoire.
- Je m’en rappelle comme si cela datait d’hier.
- C’était à l’époque où nous passions les vacances d’été dans la ville d’Agadir.
- J’étais très heureux.
- Je me baignais tous les jours avec mes frères et mes parents dans l’eau de mer.
- Je prenais l’habitude de jouer au football.
- Je m’amusais de faire le tour des lieux.
2- Le déroulement de l’histoire :
- Un jour, pendant que je nageais, j’aperçus un garçon.
- Il se battait contre les vagues de toute sa force
- Il était en train de se noyer.
- En ce moment-là, sans trop réfléchir, je m’approchai de lui.
- En me voyant, il s’accrocha à moi.
- Nous faillîmes couler tous les deux.
- Il était très effrayé.
- J’usai de toutes mes forces pour m’en débarrasser.
- Je le pris par le dos et je le poussai vers le rivage.
3- La fin de l’histoire :
- Les gens nous observaient.
- Quand nous sortîmes de l’eau, ils me félicitèrent pour ma bravoure.
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108
109
Sujet :
Consigne :
Raconte cette expérience (en 120 mots environ) en t’aidant des questions suivantes :
Critère d’évaluation :
110
1- Le début de l’histoire :
1.1- Les phrases simples/courtes dans un récit :
…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………..
B- J’étais parmi les quarante élèves participants, dirigés par le professeur de technologie
agricole. Le Haut-commissariat aux Eaux et Forêts fournissait le matériel nécessaire
pour que nous plantions des arbres dans la cour.
…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………..
C- Tous les élèves exprimaient leur joie car ils étaient heureux de participer à cet
événement.
…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………
2- Le déroulement de l’histoire :
2.1- Les phrases simples/courtes dans un récit :
A- Au début, nous utilisâmes une pelle solide afin de creuser des trous assez profonds.
(utilise le verbe vouloir à l’imparfait de l’indicatif)
…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………..
111
…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………..
C- Nous plaçâmes ensuite délicatement nos arbres dans chaque trou et nous recouvrîmes
de terre. (utilise le point.)
…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………..
…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………..
3- La fin de l’histoire :
3.1- Les phrases simples/courtes dans un récit :
Maintenant nous pouvons profiter de la beauté des arbres et de la verdure car après une
seule journée de labeur collectif, notre collège avait bien changé.
…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………..
112
1- Le début de l’histoire :
1.1- Les phrases simples/courtes dans un récit :
B- J’étais parmi les quarante élèves participants, dirigés par le professeur de technologie
agricole. Le Haut-commissariat aux Eaux et Forêts fournissait le matériel nécessaire
pour que nous plantions des arbres dans la cour.
C- Tous les élèves exprimaient leur joie car ils étaient heureux de participer à cet
événement.
113
A- Au début, nous utilisâmes une pelle solide afin de creuser des trous assez profonds.
(utilise le verbe vouloir à l’imparfait de l’indicatif)
B- Nous fûmes attentifs à la largeur des racines des arbres et à l'aide d'une bêche, nous
aérâmes la terre pour permettre aux racines de grandir plus facilement. (utilise
l’indicateur de temps : Puis, ….)
C- Nous plaçâmes ensuite délicatement nos arbres dans chaque trou et nous recouvrîmes
de terre.
3- La fin de l’histoire :
3.1- Les phrases simples/courtes dans un récit :
114
1- Le début de l’histoire :
- Dimanche dernier, le Club Environnement et Education à la Citoyenneté décidait
d’organiser une opération de plantation dans notre collège.
- Cela pour fêter la journée nationale de l’arbre.
- J’étais parmi les quarante élèves participants.
- Nous étions dirigés par le professeur de technologie agricole.
- Le Haut-commissariat aux Eaux et Forêts fournissait le matériel nécessaire à la
plantation des arbres dans la cour.
- Tous les élèves exprimaient leur joie.
- Ils étaient heureux de participer à cet événement.
2- Le déroulement de l’histoire :
- Au début, nous utilisâmes une pelle solide.
- Nous voulions creuser des trous assez profonds.
- Nous fûmes attentifs à la largeur des racines des
arbres.
- Puis, à l'aide d'une bêche, nous aérâmes la terre pour permettre aux racines de grandir
plus facilement.
- Nous plaçâmes ensuite délicatement nos arbres dans chaque trou.
- Nous recouvrîmes de terre.
- Mon collège connut un changement très bénéfique.
- Je ressentis un sentiment de joie et de bien-être.
- Beaucoup d'élèves s’intéressèrent à la façon de planter un arbre.
3- La fin de l’histoire :
- Maintenant, nous pouvons profiter de la beauté des arbres et de la verdure.
- Après une seule journée de labeur collectif, notre collège avait bien changé.
115
116
Au début, nous utilisâmes une pelle solide afin de creuser des trous assez
profonds. Nous fûmes attentifs à la largeur des racines des arbres. A l'aide
d'une bêche, nous aérâmes la terre. Cela pour permettre aux racines de
grandir plus facilement. Nous plaçâmes ensuite délicatement nos arbres
dans chaque trou et nous recouvrîmes de terre. Mon collège connut un
changement très bénéfique. Je ressentis un sentiment de joie et de bien-être.
Beaucoup d'élèves s’intéressèrent à la façon de planter un arbre.
117
Objectif :
Sujet :
Ta maman t’a demandé d’aller faire quelques achats. Au moment où tu voulais payer
l’épicier, tu t’étais rendu compte que tu avais perdu tout l’argent.
Consigne :
Rédige un texte dans lequel tu racontes ce qui s’est passé et comment ta maman a réagi.
N.B. Pour rédiger ton texte, essaye de répondre aux questions suivantes : Qui ? Quoi ?
Où ? Comment ? Pourquoi ?
118
- Lorsque tu m'as glissé l’argent dans la poche, j’ai dû les faire tomber ! C’était à cause
du trou que tu n'as pas raccommodé!
- Maman, tu te rappelles la semaine dernière, je t'avais bien dis que ma veste était
trouée!
-…………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………….
-…………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………….
-…………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………….
Et en quelques secondes, je lui sautai au cou pour lui faire un grand bisou. Je lui dis
que cela pouvait arriver à tout le monde.
119
- Lorsque tu m'as glissé l’argent dans la poche, j’ai dû les faire tomber ! C’était à cause
du trou que tu n'as pas raccommodé!
- Maman, tu te rappelles la semaine dernière, je t'avais bien dis que ma veste était
trouée!
- Maman, tu te rappelles la semaine dernière, je t'avais bien dis que ma veste était
trouée!
- Lorsque tu m'as glissé l’argent dans la poche, j’ai dû les faire tomber ! C’était à cause
du trou que tu n'as pas raccommodé!
Et en quelques secondes, je lui sautai au cou pour lui faire un grand bisou. Je lui dis
que cela pouvait arriver à tout le monde.
120
121
Objectif :
Sujet :
Un soir, tu étais seul(e) chez toi en train de regarder la télévision. Soudain, tu as entendu
un bruit étrange.
Consigne :
Critère d’évaluation :
122
Quand j’avais dix ans, j’avais vécu une scène horrible. C’était un lundi
matin. Ma mère me quittait pour rendre visite à ma grand-mère qui se
trouvait à l’hôpital. Je restais seule à la maison. Je décidais de regarder un
film d’horreur. Après une heure, je me levais afin de préparer un café.
123
…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………..
…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………..
…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………..
124
Quand j’avais dix ans, j’avais vécu une scène horrible. C’était un lundi
matin. Ma mère me quittait pour rendre visite à ma grand-mère qui se
trouvait à l’hôpital. Je restais seule à la maison. Je décidais de regarder un
film d’horreur. Après une heure, je me levais afin de préparer un café.
125
- J’entendis enfin sa voix qui m’appelait afin que je lui ouvre la porte.
Règle :
- Je sentis une grande peur car j’entendis un bruit étrange venant de la cuisine.
Règle :
126
Règle 1
Règle 2
Ce mauvais souvenir m’avait choquée donc il est resté gravé dans ma mémoire.
Règle :
127
Quand j’avais dix ans, j’avais vécu une scène horrible. C’était un lundi
matin. Ma mère me quittait pour rendre visite à ma grand-mère qui se
trouvait à l’hôpital. Je restais seule à la maison. Je décidais de regarder un
film d’horreur. Après une heure, je me levais afin de préparer un café.
128
129
…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………
Il y’avait quelque chose en moi qui me faisait rassembler mes forces. Je décidai alors
d’aller chercher la source du son horrible.
…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………
3- Utilise la conjonction de subordination : parce que pour relier les deux phrases
suivantes, de manière à exprimer la cause :
- Il comprit très vite la source de ma frayeur.
- Il me prit dans ses bras et me rassura.
…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………
130
131
- Je voulais y rester. Mais, il y’avait quelque chose en moi qui me faisait rassembler mes
forces.
- Je voulais y reste. Bien qu’il, y’ait quelque chose en moi qui me faisait rassembler mes
forces.
Règle 1
L’expression de l’opposition, avec l’utilisation de la conjonction de subordination : Bien
que. === subordonner deux phrases en utilisant l’outil : bien que.
Règle 2
Bien que + Mode subjectif === Phrase principale/affirmation de départ + Phrase
subordonnée/Justification.
Il y’avait des choses en moi qui me faisaient rassembler mes forces. Je décidai alors
d’aller chercher la source du son horrible.
Il y’avait tellement de choses en moi qui me faisaient rassembler mes forces que je
décidai d’aller chercher la source du son horrible.
L’expression de la conséquence
Coordonnants Donc- Pourtant- Cependant- Alors- Ainsi
Subordonnants Tellement………que
Si bien………….que
132
- Il me prit dans ses bras et me rassura parce qu’il comprit très vite la source de ma
frayeur.
L’expression de la cause
Coordonnants car
Parce que- Puisque- Sous prétexte que- Du
Subordonnants
moment que- Vue que.
NB- Comme/ C’est parce .…… que : la proposition subordonnée se trouve avant la
proposition principale.
133
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…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………
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139
C’est par ce que j’avais l’habitude de rester tout seul à la maison, je ne craignais rien !
Samedi dernier, mes parents allaient rendre visite à mon oncle à la compagne. J’étais
seule à la maison. La cloche marquait onze heures du soir. Comme je zappais sur les
chaines, je tombais sur un film d’horreur. Je le suivais attentivement jusqu’à la fin.
Conséquence Cause
140
…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………
- Cette sensation étrange me donna tellement de frissons que j’imaginais des scènes
effrayantes.
…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………
141
C’est par ce que j’avais l’habitude de rester tout seul à la maison, je ne craignais rien.
Samedi dernier, mes parents allaient rendre visite à mon oncle à la compagne. J’étais
seule à la maison. La cloche marquait onze heures du soir. Comme je zappais sur les
chaines, je tombais sur un film d’horreur. Je le suivais attentivement jusqu’à la fin.
Conséquence Cause
D’un coup ; tellement …….. que C’est par ce que ; Comme
142
- C’est par ce que j’avais l’habitude de rester tout seul à la maison, je ne craignais rien.
Je tombais sur un film d’horreur parce que je zappais sur les chaines.
- Cette sensation étrange me donna tellement de frissons que j’imaginais des scènes
effrayantes.
- Cette sensation étrange me donna des frissons, j’imaginais donc des scènes effrayantes.
143
144
145
146
Pour m’amuser et casser la routine de toute une semaine, je jouais chaque week-end
au basket-ball avec mes amies. Mais ce dimanche, je décidais de restais chez moi pour
voir un film. C’était un film d’horreur… Je ne savais pas si c’était une bonne ou une
mauvaise idée, mais j’ai hésité avant de le regarder. A la maison, on n’entendait que le
bruit du téléviseur. Moi, j’étais à côté d’une fenêtre qui donnait sur le jardin.
A un moment, j’eus l’impression que j’entendis un bruit étrange. J’eus donc peur.
Surtout qu’il n’y avait personne que moi à la maison. Ma peur devint plus grande
lorsque j’aperçus à travers la fenêtre un homme d’une grande taille. Il tenait un râteau
avec sa main gauche et un plantoir avec sa main droite. La première chose à laquelle je
pensai, c’était le film « la colline a des yeux ». J’avais vraiment peur car j’imaginais que
cet homme allait m’attaquer. Soudain, le téléphone sonna. C’était mon père qui me dit :
« Un jardinier arrive cet après-midi chez nous pour planter des fleurs dans notre jardin
! Je lui ai donné notre adresse. »
147
148
149
Rédaction finale 7
150
Objectif :
Sujet :
Consigne :
Rédige un texte narratif de 12 lignes, dans lequel tu précises les circonstances (moment ; lieu ;
raisons …) de cet incident. Evoque les sentiments que tu as éprouvés.
Critère d’évaluation :
151
Un jour, en sortant du collège, nous nous dirigions, mes amis et moi, chez nous.
Soudain, en tournant du coin de la rue, on aperçut un homme étendu par terre. On
s’arrêta ……………. le regarder. Il était sale. Il avait des vêtements déchirés. Il avait un
corps mince et très chétif. Son visage était pâle, il devait ……………… être malade. Mon
ami Taha, s’approcha de lui et le repoussa avec son pied. Cela nous fit mal au cœur
……………c’était un homme, un être humain et non un animal. Avec mes autres
copains, on l’aida à s’asseoir. On lui apporta de l’eau, de la nourriture et des vêtements
chauds. Il nous remercia vivement. Honteux de son geste, Taha alla chercher son père
……………. aider le pauvre homme. Les hommes du quartier le prirent en charge. Ils
lui apportèrent leur aide. On lui trouva un travail de concierge.
Depuis ce jour, Ba Brahim vit avec nous dans notre quartier.
152
Un jour, en sortant du collège, nous nous dirigions, mes amis et moi, chez nous.
Soudain, en tournant du coin de la rue, on aperçut un homme étendu par terre. On
s’arrêta ……………. le regarder. Il était sale. Il avait des vêtements déchirés. Il avait un
corps mince et très chétif. Son visage était pâle, il devait ……………… être malade. Mon
ami Taha, s’approcha de lui et le repoussa avec son pied. Cela nous fit mal au cœur
……………c’était un homme, un être humain et non un animal. Avec mes autres
copains, on l’aida à s’asseoir. On lui apporta de l’eau, de la nourriture et des vêtements
chauds. Il nous remercia vivement. Honteux de son geste, Taha alla chercher son père
……………. aider le pauvre homme. Les hommes du quartier le prirent en charge. Ils
lui apportèrent leur aide. On lui trouva un travail de concierge.
Depuis ce jour, Ba Brahim vit avec nous dans notre quartier.
153
Un jour, en sortant du collège, nous nous dirigions, mes amis et moi, chez nous.
s’arrêta pour le regarder. Il était sale. Il avait des vêtements déchirés. Il avait un corps
mince et très chétif. Son visage était pâle, il devait donc être malade. Mon ami Taha,
s’approcha de lui et le repoussa avec son pied. Cela nous fit mal au cœur car c’était un
homme, un être humain et non un animal. Avec mes autres copains, on l’aida à s’asseoir.
vivement. Honteux de son geste, Taha alla chercher son père pour aider le pauvre
homme. Les hommes du quartier le prirent en charge. Ils lui apportèrent leur aide. On
154
Un jour, en sortant du collège, nous nous dirigions, mes amis et moi, chez nous.
Soudain, en tournant du coin de la rue, on aperçut un homme étendu par terre. On
s’arrêta afin de le regarder. Il était sale. Il avait des vêtements déchirés. Il avait un
corps mince et très chétif. Son visage était pâle, il devait ainsi être malade. Mon ami
Taha, s’approcha de lui et le repoussa avec son pied. Cela nous fit mal au cœur parce
que c’était un homme, un être humain et non un animal. Avec mes autres copains, on
l’aida à s’asseoir. On lui apporta de l’eau, de la nourriture et des vêtements chauds. Il
nous remercia vivement. Honteux de son geste, Taha alla chercher son père dans le but
d’aider le pauvre homme. Les hommes du quartier le prirent en charge. Ils lui
apportèrent leur aide. On lui trouva un travail de concierge.
Depuis ce jour, Ba Brahim vit avec nous dans notre quartier.
155
156
Depuis ce jour, Ba Brahim vit avec nous, entre nous, dans notre
quartier.
157
Sujet :
Il t’est arrivé une fois de rencontrer un problème dans ton collège. Tu as demandé l’aide
de ton surveillant général. Il s’est bien montré compréhensif et serviable.
Consigne :
Rédige un récit. Tu racontes l’aide dont tu as bénéficié. Précise les circonstances, tes
réactions et tes sentiments.
158
Un jour, je reçus une note d’un contrôle continu. Un élève se dirigea vers moi et
commença à m’insulter. C’était sans doute ………………….. j’étais encore une fois le
premier. …………………… lui, il n’avait eu que sa moyenne. Son comportement me
rendit donc furieux ! J’allais répondre à ses injures de la même manière. A la dernière
minute …………………., je pris la décision de me diriger vers le bureau du surveillant
général. Je lui expliquai le problème. Ce monsieur me fit confiance ………….. me crut.
Il appela immédiatement l’élève. A ma grande surprise, il lui parla gentiment et
poliment. Il lui fit reconnaître son erreur. Il nous conseilla de garder notre concurrence
et motivation. Il nous encouragea à recourir chaque fois à la communication. Cette
expérience me marqua à jamais !
159
Un jour, je reçus une note d’un contrôle continu. Un élève se dirigea vers moi et
commença à m’insulter. C’était sans doute ………………….. j’étais encore une fois le
premier. …………………… lui, il n’avait eu que sa moyenne. Son comportement me
rendit donc furieux ! J’allais répondre à ses injures de la même manière. A la dernière
minute …………….., je pris la décision de me diriger vers le bureau du surveillant
général. Je lui expliquai le problème. Ce monsieur me fit confiance ………….. me crut.
Il appela immédiatement l’élève. A ma grande surprise, il lui parla gentiment et
poliment. Il lui fit reconnaître son erreur. Il nous conseilla de garder notre concurrence
et motivation. Il nous encouragea à recourir chaque fois à la communication. Cette
expérience me marqua à jamais !
160
Un jour, je reçus une note d’un contrôle continu. Un élève se dirigea vers moi et
commença à m’insulter. C’était sans doute parce que j’étais encore une fois le premier.
Alors que lui, il n’avait eu que sa moyenne. Son comportement me rendit donc très
furieux ! J’allais répondre à ses injures de la même manière. A la dernière minute
pourtant, je pris la décision de me diriger vers le bureau du surveillant général. Je lui
expliquai le problème. Ce monsieur me fit confiance et me crut. Il appela
immédiatement l’élève. A ma grande surprise, il lui parla gentiment et poliment. Il lui fit
reconnaître son erreur. Il nous conseilla de garder notre concurrence et motivation. Il
nous encouragea à recourir chaque fois à la communication. Cette expérience me
marqua à jamais !
161
Un jour, je reçus une note d’un contrôle continu. Un élève se dirigea vers moi et
commença à m’insulter. C’était sans doute puisque j’étais encore une fois le premier.
Par contre lui, il n’avait eu que sa moyenne. Son comportement me rendit alors très
furieux ! J’allais répondre à ses injures de la même manière. A la dernière minute
cependant, je pris la décision de me diriger vers le bureau du surveillant général. Je lui
expliquai le problème. Ce monsieur me fit confiance. Il me crut aussi. Il appela
immédiatement l’élève. A ma grande surprise, il lui parla gentiment et poliment. Il lui fit
reconnaître son erreur. Il nous conseilla de garder notre concurrence et motivation. Il
nous encouragea à recourir chaque fois à la communication. Cette expérience me
marqua à jamais !
162
Un jour, je reçus une note d’un contrôle continu. Un élève se dirigea vers
moi et commença à m’insulter. C’était sans doute parce que j’étais encore
une fois le premier. Alors que lui, il n’avait eu que sa moyenne. Son
comportement me rendit donc très furieux ! J’allais répondre à ses injures
de la même manière. A la dernière minute cependant, je pris la décision de
me diriger vers le bureau du surveillant général. Je lui expliquai le
problème. Ce monsieur me fit confiance et me crut. Il appela
immédiatement l’élève. A ma grande surprise, il lui parla gentiment et
poliment. Il lui fit reconnaître son erreur. Il nous conseilla de garder notre
concurrence et motivation. Il nous encouragea à recourir chaque fois à la
communication. Cette expérience me marqua à jamais !
163
164
Objectif :
Sujet :
Consigne :
Raconte en 12 lignes les circonstances et décris tes sentiments. Dis comment tes parents ont
réagi.
Critère d’évaluation :
165
Comme d’habitude, je restais avec ma petite sœur pour prendre soin d’elle. Nous
étions en train de jouer, soudain je fis tomber un vase que maman adorait. C’était son
préféré ! Je ne savais pas quoi faire. Je me dis : « Si j’avoue la vérité, ma mère ira
certainement se mettre en colère. Mais, au cas où je cacherais ma faute, je serais un
menteur ! » J’avais décidé donc de dire la vérité. Après leur retour, j’informai mes
parents de l’incident. Ma mère commença par me faire des reproches. Mon père essaya
de la calmer. Il lui dit de respecter ma franchise. Il précisa qu’une faute avouée doit
toujours être pardonnée. Il ajouta : « En supposons qu’il n’ait pas dit la vérité, il serait
certainement doublement puni ! »
…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………
166
- Si nous n’étions pas en train de jouer, je ne faire……………..… pas tomber le vase que
maman adorait.
167
Tâches de réécriture
Comme d’habitude, je restais avec ma petite sœur pour prendre soin d’elle. Nous
étions en train de jouer, soudain je fis tomber un vase que maman adorait. C’était son
préféré ! Je ne savais pas quoi faire. Je me dis : « Si j’avoue la vérité, ma mère ira
certainement se mettre en colère. Mais, au cas où je cacherais ma faute, je serais un
menteur ! » J’avais décidé donc de dire la vérité. Après leur retour, j’informai mes
parents de l’incident. Ma mère commença par me faire des reproches. Mon père essaya
de la calmer. Il lui dit de respecter ma franchise. Il précisa qu’une faute avouée doit
toujours être pardonnée. Il ajouta : « En supposons qu’il n’ait pas dit la vérité, il serait
certainement doublement puni ! »
En supposons qu’il n’ait pas dit la vérité, il serait certainement doublement puni !
168
- Si nous n’étions pas en train de jouer, je ne ferais pas tomber le vase que maman
adorait.
L’expression de l’hypothèse
Si + présent =====Futur
Si + imparfait de l’indicatif ===== conditionnel présent
Si + plus-que-parfait de l’indicatif =====conditionnel passé
Au cas où + conditionnel présent
Supposons/admettons que + subjonctif présent
169
170
J’étais soulagé.
171
Comme d’habitude, je restais avec mon petit frère pour en prendre soin.
Nous étions en train de jouer, soudain et par mégarde, je fis tomber un vase
que maman adorait. C’était son préféré ! J’étais vraiment très embarrassée.
Je ne savais pas quoi faire. Comment allais-je faire pour m’en sortir de
cette situation désespérée ? Ma mère allait certainement se mettre en colère.
J’avais décidé alors de dire la vérité. Je ne voulais rien cacher. Après leur
retour, j’informai mes parents de l’incident. Ma mère commença par me
adresser des reproches. Elle se prêtait à me lancer des injures. Mon père la
calma. Il valorisa ma franchise. Il précisa qu’une faute avouée est une faute
pardonnée.
Cela me soulagea !
172
Un jour, alors que mes parents étaient absents, je jouais avec ma sœur.
Sans faire attention, j’avais glissé et fait tomber le vase que mes parents
adoraient.
173
La dernière fois que mes parents étaient absents, je jouais avec mon
frère. distraite et à ma grande surprise, j’avais glissé et fait tomber le vase
que mes parents adoraient.
174
Objectif :
Sujet :
Ton père a rendu visite au directeur de ton collège pour se renseigner sur tes résultats.
Consigne :
Raconte, dans un texte de quelques lignes, les circonstances de cette visite. Précise les sentiments
que tu as éprouvés
Critère d’évaluation :
175
Un jour du mois de décembre, alors que nous étions en classe de français, occupés à
faire des exercices, le surveillant général se présenta. Il demanda la permission au
professeur de me faire sortir de la classe. Tout le monde me regarda. J’étais pourtant un
garçon très calme, travailleur et je ne faisais jamais de bêtises.
Tout le trajet était marqué par des pensées qui m’envahissaient… Mais, à mon très
grand étonnement, j’aperçus mon père ! Il était assis et discutait aimablement avec le
directeur. Il paraissait très content. Il avait un sourire très large. Il était venu afin de se
renseigner sur mes résultats scolaires. Le directeur le rassura. Il lui dit qu’ils étaient
excellents !
Je n’oublierai jamais la lueur de fierté que je vis dans les yeux de mon père. Je
n’oublierai pas aussi l’abondance de mon imagination !
…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………
176
177
Un jour du mois de décembre, alors que nous étions en la classe de français, occupés à
faire des exercices, le surveillant général se présenta. Il demanda la permission au
professeur de me faire sortir de classe. Tout le monde me regarda. J’étais pourtant un
garçon très calme, travailleur et je ne faisais jamais de bêtises.
Tout le trajet était marqué par des pensées qui m’envahissaient… Mais, à mon très
grand étonnement, j’aperçus mon père ! Il était assis et discutait aimablement avec le
directeur. Il paraissait très content. Il avait un sourire très large. Il était venu afin de se
renseigner sur mes résultats scolaires. Le directeur le rassura. Il lui dit qu’ils étaient
excellents !
Je n’oublierai jamais la lueur de fierté que je vis dans les yeux de mon père. Je
n’oublierai pas aussi l’abondance de mon imagination !
178
- Au cas où les élèves m’interrogeraient sur la visite de mon père, je leur raconterais
tout ce qui s’était passé.
179
Tout le trajet était marqué par des pensées qui m’envahissaient… Mais,
à mon très grand étonnement, j’aperçus mon père ! Il était assis et discutait
aimablement avec le directeur. Il paraissait très content. Il avait un sourire
très large. Il était venu afin de se renseigner sur mes résultats scolaires. Le
directeur le rassura. Il lui dit qu’ils étaient excellents !
Je n’oublierai jamais la lueur de fierté que je vis dans les yeux de mon
père. Je n’oublierai pas aussi l’abondance de mon imagination !
180
Je n’oublierai jamais la lueur de fierté que je vis dans les yeux de mon
père.
181
Je n’oublierai jamais la lueur de fierté que je vis dans les yeux de mon
père. Il était vraiment heureux !
182
Objectif :
Sujet :
Consigne :
Critère d’évaluation :
183
C’était un dimanche. J’avais reçu un coup de fil de mon ami Ahmed. Il m’invitait à
venir chez lui à la montagne. Puisqu’on était en plein printemps, j’appréciais amplement
l’idée. Je me dis : « Au cas où la nature me plairais, je prendrais beaucoup de photos ! Si
mon ami m’invite à passer la nuit chez lui, j’accepterai avec plaisir ! A condition de
trouver un climat moins froid, je mettrais beaucoup de vêtements ! »
Je me précipitai donc vers la station des grands taxis. En roue, je contemplais les
magnifiques paysages verdoyants, qui m’avaient toujours fasciné. Quand j’arrivai à
destination, mon ami m’accueillit chaleureusement. Il m’offrit un vert du thé et des
gâteaux. Un moment plus tard, nous nous dirigeâmes vers la rivière, qui se trouvait non
loin de sa maison. Nous traversâmes un ensemble d’arbres fleurissants. Nous vîmes
beaucoup de papillons. Puis, nous atteignîmes le grand lac. Immédiatement, nous
entamâmes les préparatifs pour pêcher des poissons. Nous attrapâmes un très grand
nombre…
…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………
184
- Si mon ami m’invitait à passer la nuit chez lui, j’accepter……………….. avec plaisir !
185
C’était un dimanche. J’avais reçu un coup de fil de mon ami Ahmed. Il m’invitait à
venir chez lui à la montagne. Puisqu’on était en plein printemps, j’appréciais amplement
l’idée. Je me dis : « Au cas où la nature me plairais, je prendrais beaucoup de photos ! Si
mon ami m’invite à passer la nuit chez lui, j’accepterai avec plaisir ! A condition de
trouver un climat moins froid, je mettrais beaucoup de vêtements ! »
Je me précipitai donc vers la station des grands taxis. En roue, je contemplais les
magnifiques paysages verdoyants, qui m’avaient toujours fasciné. Quand j’arrivai à
destination, mon ami m’accueillit chaleureusement. Il m’offrit un vert du thé et des
gâteaux. Un moment plus tard, nous nous dirigeâmes vers la rivière, qui se trouvait non
loin de sa maison. Nous traversâmes un ensemble d’arbres fleurissants. Nous vîmes
beaucoup de papillons. Puis, nous atteignîmes le grand lac. Immédiatement, nous
entamâmes les préparatifs pour pêcher des poissons. Nous attrapâmes un très grand
nombre…
- « Si mon ami m’invite à passer la nuit chez lui, j’accepterai avec plaisir ! »
186
- Si mon ami m’invitait à passer la nuit chez lui, j’accepterais avec plaisir !
- Au cas où nous atteindrions le grand lac, nous entamerions les préparatifs pour pêcher
des poissons.
187
188
Version 2
189
Soudain, un de mes copains cria fort. Nous crûmes qu’il avait été mordu
par un serpent. Nous le mîmes sur un petit chariot. Nous le conduisîmes à
l’hôpital de la région. A notre arrivée, le médecin l’examina. Il dit qu’il
avait trébuché, qu’il n’avait eu qu’une toute petite blessure, et qu’il n’était
pas en danger. Il lui suffit une seule journée de repos pour guérir.
190
Le printemps dernier, des amis de mon père nous invitèrent à aller chez
eux à la campagne. Au début, j’étais hésitant. J’avais peur de m’ennuyer.
Mais les jours que j’ai passés en pleine nature m’avaient fait changer
d’avis.
191
Objectifs :
Sujet :
Consigne :
Critère d’évaluation :
192
1- Le début de l’histoire :
1.1- La conjonction de coordination : car
- Utilise la conjonction de coordination : car pour relier les deux dernières phrases :
L’an dernier, nous décidions avec les élèves de ma classe de partir à la forêt.
………………………………………………………………………………………………
Des papillons voltigeaient d’une fleur à une autre. Ils lançaient une odeur agréable.
………………………………………………………………………………………………
193
- Complète avec les verbes d’action au passé simple et donne l’infinitif des verbes :
courûmes (……………….…………) ; revînmes (………….………..…………) ;
ramassâmes (……………….) ; prîmes (…………………) ; aperçûmes (……………….)
3- La fin de l’histoire :
3.1- La cohérence entre les phrases :
- Remets les parties suivantes dans l’ordre pour avoir une fin à notre histoire :
194
1- Le début de l’histoire :
1.1- La conjonction de coordination : car
- Utilise la conjonction de coordination : car pour relier les deux dernières phrases :
L’an dernier, nous décidions avec les élèves de ma classe de partir à la forêt.
Nous avions envie de changer notre humeur car nous venions de passer les derniers
contrôles du premier semestre.
Après une heure de route, nous nous arrivâmes à la forêt. L’ambiance était splendide.
La forêt était lumineuse. Le ciel était bleu comme l’azure. Ce lieu était magnifique. Des
papillons voltigeaient d’une fleur à une autre. Ils lançaient une odeur agréable. Les
oiseaux gazouillaient mélodieusement. Ce paysage naturel était très beau !
Des papillons voltigeaient d’une fleur à une autre et lançaient une odeur agréable.
2- Le déroulement de l’histoire :
2.1- Les verbes d’action au passé simple :
- Complète avec les verbes d’action au passé simple et donne l’infinitif des verbes :
Nous aperçûmes beaucoup d’animaux. Nous prîmes des photos. Nous ramassâmes des
fleurs et nous courûmes partout. Nous revînmes enfin chez nous !
195
- Remets les parties suivantes dans l’ordre pour avoir une fin à notre histoire :
Jalons
1- Le début de l’histoire :
- L’an dernier, les élèves de ma classe et moi, nous décidâmes de partir à la forêt.
- Nous avions envie de changer notre humeur.
- Nous venions de passer les derniers contrôles du premier semestre.
- Après une heure de route, nous arrivions à la forêt.
- L’ambiance était splendide et la forêt était lumineuse.
- Le ciel était bleu comme l’azure.
- Ce lieu était magnifique.
- Des papillons voltigeaient d’une fleur à une autre
- Ils lançaient une odeur agréable.
- Les oiseaux gazouillaient mélodieusement.
- Ce paysage naturel était très beau !
2- Le déroulement de l’histoire :
- Nous aperçûmes beaucoup d’animaux.
- Nous prîmes des photos.
- Nous ramassâmes des fleurs et nous courûmes partout.
- Nous revînmes enfin chez nous !
3- La fin de l’histoire :
- J’étais très fatigué mais heureux.
- Cette expérience était motivante.
- Cette expérience était très agréable.
- C’était une sortie inoubliable.
196
J’étais très fatigué mais heureux. Cette expérience était motivante et très
agréable. C’était une sortie inoubliable.
197
Pendant les vacances du printemps, nous étions partis, mes amis et moi,
en voyage au sud du Maroc. Nous désirions observer le coucher du soleil.
Lorsque nous fûmes arrivés, nous trouvâmes un vaste désert couvert de
dune de sable. C’était comme une mère de sable doré qui se détend sous la
chaleur. Nous découvrîmes une très belle vue.
C’était l’un des moments les plus agréables que j’avais vécus.
198
Objectifs :
Sujet :
Un jour, pendant les grandes vacances, alors que tu te promenais dans la ville, tu as été
témoin d’un vol de bijouterie.
Consigne :
199
1- Le début de l’histoire :
1.1- Les adjectifs qualificatifs:
…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………
…………………….…………………………………………………………………………
…………………….…………………………………………………………………………
200
Un peu plus tard, la police arriver……………….. Ils furent alertés par le propriétaire
de la bijouterie. Un inspecteur de police m’interroger ………………………: « On m’a
dit que tu as vu l’agresseur. Est-ce vrai ? » Je confirmer………………….. Il me
demanda alors de passer au commissariat. Le lendemain, la police arrêter
……………………le voleur. Je fus reçu au commissariat afin de l’identifier et de
déposer mon témoignage.
3- La fin de l’histoire :
3.1- La structure des phrases simples :
…………………….…………………………………………………………………………
…………………….…………………………………………………………………………
201
1- Le début de l’histoire :
1.1- Les adjectifs qualificatifs:
202
A un moment et à ma grande surprise, j’entendis les cris d’un homme venant d’une
bijouterie. Je me précipitai vers la source des cris. Je vis un jeune homme d’une grande
taille. Il tenait dans sa main droite un grand couteau et dans sa main gauche des bijoux.
Je voulus l’arrêter mais il était trop rapide.
Un peu plus tard, la police arriva. Ils furent alertés par le propriétaire de la bijouterie.
Un inspecteur de police m’interrogea : « On m’a dit que tu as vu l’agresseur. Est-ce vrai
? » Je confirmai. Il me demanda alors de passer au commissariat. Le lendemain, la
police arrêta le voleur. Je fus reçu au commissariat afin de l’identifier et de déposer mon
témoignage.
3- La fin de l’histoire :
3.1- La structure des phrases simples :
203
Un peu plus tard, la police arriva. Elle fut alertée par le propriétaire de la
bijouterie. Un inspecteur de police m’interrogea : « On m’a dit que tu as vu
l’agresseur. Est-ce vrai ? » Je confirmai. Il me demanda alors de passer au
commissariat. Le lendemain, la police arrêta un suspect. Je fus reçu au
commissariat afin d’identifier le voleur.
204
205
206
207
Objectifs :
Sujet :
Consigne :
Raconte dans un récit d’environ une douzaine de lignes, dans quelles circonstances il
vivait, ta réaction envers lui et les sentiments que tu as éprouvés à son égard.
Critère d’évaluation :
208
1- Le début de l’histoire :
1.1- La structure de la phrase :
L’histoire que je vais vous raconter est restée gravée dans ma mémoire.
- …………………………………………………………………………………………………
- …………………………………………………………………………………………………
- Mets les mots à la bonne place : Soudain ; Un jour ; Tout à coup ; Le mois dernier. (Il
y a plusieurs possibilités)
- Associe :
A- Il avait * heureux.
209
- Associe :
A- Quand il s’aperçut que je le regardais * « Aide-moi s’il te plait à acheter quelque
chose à manger. »
B- Il me dit :
* il baissa la tête et s’approcha de moi.
C- Je soupçonnais qu’avec cet argent,
* je sentis de la pitié envers lui.
D- Cependant, je lui donnais dix dirhams
sans réfléchir car * il pourrait acheter de mauvaises choses
pour sa santé.
3- La fin de l’histoire :
3.1- La richesse lexicale:
- Mets les mots dans la bonne place : brillant ; beaucoup ; pauvre ; malheureux ;
intelligent ; énormément. (Il y’a plusieurs possibilités)
210
1- Le début de l’histoire :
1.1- La structure de la phrase :
L’histoire que je vais vous raconter est restée gravée dans ma mémoire.
- Cette histoire est restée gravé dans ma mémoire./ Elle est restée gravé dans ma
mémoire.
- Mets les mots à la bonne place : Soudain ; Un jour ; Tout à coup ; Le mois dernier. (Il y
a plusieurs possibilités)
- Le mois dernier, j’étais dans la gare ferroviaire de Mechraâ Belksiri. Tout à coup, un
enfant s’approcha de moi.
- Associe :
A- Il avait * heureux.
211
- Associe :
A- Quand il s’aperçut que je le regardais, * « Aide-moi s’il te plait à acheter
quelque chose à manger. »
B- Il me dit :
* il baissa la tête et s’approcha de moi.
C- Je soupçonnais
* je sentis de la pitié envers lui.
D- Cependant, je lui donnais cent
dirhams sans réfléchir car * qu’il pourrait acheter de mauvaises
choses avec cet argent.
C- que ses parents moururent dans un 3- que c’était lui qui s’occupait de son petit
accident de voiture, frère…
3- La fin de l’histoire :
3.1- La richesse lexicale:
- Mets les mots dans la bonne place : brillant ; beaucoup ; pauvre ; malheureux ;
intelligent ; énormément. (Il y’a plusieurs possibilités)
212
1- Le début de l’histoire :
- Je vais vous raconter une histoire. Cette histoire est restée gravée dans ma mémoire.
- Le mois dernier, j’étais dans la gare ferroviaire de Mechraâ Belksiri. Tout à coup, un
enfant s’approcha de moi./ - Un jour, j’étais à la gare ferroviaire de Mechraâ Belksiri.
Soudain, un enfant s’approcha de moi.
- Il avait une dizaine d’année.
- Il portait des vêtements très sales.
- Il ne parait pas heureux.
- Il était si jeune.
- Il semblait cependant avoir vécu beaucoup de
mésaventures.
2- Le déroulement de l’histoire :
- Quand il s’aperçut que je le regardais, il baissa la tête et s’approcha de moi.
- Tendant sa petite main droite, il me dit : « Aide-moi s’il te plait à acheter quelque
chose à manger. »
- Je soupçonnais qu’il pourrait acheter de mauvaises choses avec cet argent.
- Cependant, je lui donnais cent dirhams sans réfléchir car je sentis de la pitié envers
lui.
- Soudain, une femme m’arrêta et me dit : que c’était un enfant orphelin, que ses
parents moururent dans un accident de voiture, que c’était lui qui s’occupait de son petit
frère…
- Ce pauvre enfant était un élève intelligent. / Ce malheureux enfant était un élève
brillant.
3- La fin de l’histoire :
- Tous ses professeurs l’aimaient énormément. / Tous ses professeurs l’aimaient
beaucoup.
213
Je vais vous raconter une histoire. Elle est restée gravée dans ma
mémoire.
Le mois dernier, j’étais dans la gare ferroviaire de Mechraâ Belksiri.
Tout à coup, un enfant s’approcha de moi. Il avait une dizaine d’année. Il
portait des vêtements propres mais très usés. Il ne parait pas heureux. Il
était si jeune. Il semblait cependant avoir vécu beaucoup de mésaventures.
Quand il s’aperçut que je le regardais, il baissa la tête et s’approcha de
moi. Il me dit : « Aide-moi s’il te plait à acheter quelque chose à manger. »
Je soupçonnais qu’il pourrait se procurer de mauvaises choses avec cet
argent. Cependant, je lui donnais sans réfléchir cent dirhams car je sentis
de la pitié envers lui. Soudain, une femme m’arrêta et me dit que c’était un
enfant orphelin, que ses parents avaient décédé dans un accident de voiture,
que c’était lui qui s’occupait de son petit frère…
Ce pauvre enfant était un élève intelligent. Tous ses professeurs l’aimaient
énormément.
214
L’histoire que je vais vous raconter est restée gravée dans ma mémoire.
Un jour, alors que je me trouvais dans la gare ferroviaire de Mechraâ
Belksiri, un enfant m’aborda. Il semblait avoir une dizaine d’année. Il était
vêtu de vêtements très usés. Il avait mauvaise mine. Il était si jeune,
pourtant tout semblait dire qu’il avait vécu des malheurs.
Quand il s’aperçut que je le dévisageais, il baissa la tête et s’approcha de
moi. Tendant sa petite main droite, il me dit : « Aide-moi s’il te plait à
acheter quelque chose à manger. » Je soupçonnais qu’avec cet argent, il
achèterait des choses qui pourraient nuire à sa santé. Cependant, sans
réfléchir, je lui donnais cent dirhams. Je sentis de la pitié envers lui.
Soudain, une femme m’arrêta et me dit que c’était un enfant orphelin, que
ses parents avaient disparu dans un accident de voiture, que c’était lui qui
s’occupait de son petit frère…
Le pauvre enfant était malgré tout un élève brillant. Tous les professeurs
l’aimaient beaucoup.
215
Objectifs :
Sujet : Un jour, ton frère ou ta sœur a cassé un objet à la maison (un vase, une télévision,
un ordinateur, …) Mais tes parents t’ont puni à sa place.
Consigne :
Critère d’évaluation :
216
1- Le début de l’histoire :
1.1- La richesse lexicale :
- Mets les mots dans la bonne place : l’histoire ; une bêtise ; puni à tort ; l'amertume
2- Le déroulement de l’histoire :
2.1- Les verbes d’action au passé simple :
- Complète avec les verbes d’action au passé simple : crut (croire); fit (faire) ; entrèrent
(enter) ; fis (faire) ; commença (commencer)
217
218
1- Le début de l’histoire :
1.1- La richesse lexicale :
- Mets les mots dans la bonne place : l’histoire ; une bêtise ; puni à tort ; l'amertume
Etre puni pour une bêtise, c'est plutôt acceptable. Mais si vous êtes puni à tort, vous
ressentirez toujours de l'amertume. Cela m’était arrivé. C’est l’histoire que je vais vous
raconter.
- Le mois dernier, La semaine dernière, j’étais à la maison avec mon petit frère Ahmed.
Pendant que je lisais un roman, lui, comme à ses habitudes, jouait au PlayStation.
- Mon père me demandait toujours de m’occuper de ce petit frère… Mais au fait, c’était
plutôt un petit diable !
2- Le déroulement de l’histoire :
2.1- Les verbes d’action au passé simple :
- Complète avec les verbes d’action au passé simple : crut (croire); fit (faire) ; entrèrent
(enter) ; fis (faire) ; commença (commencer) ; tira (tirer)
Après quelques minutes de cet incident, mes parents entrèrent. Ahmed commença à
pleurer en disant que c’était moi qui fis tomber le téléviseur. Mon père le crut. Il
répétait toujours que les petits enfants disent la vérité.
219
Jalons
1- Le début de l’histoire :
- Etre puni pour une bêtise, c'est plutôt acceptable.
- Mais si vous êtes puni à tort, vous ressentirez toujours de l'amertume.
- Cela m’était arrivé.
- C’est l’histoire que je vais vous raconter.
- Le mois dernier, j’étais à la maison avec mon petit frère Ahmed.
Pendant que je lisais un roman, lui, comme à ses habitudes, jouait au PlayStation.
- Mon père me demandait toujours de m’occuper de ce petit frère…
- Mais au fait, c’était plutôt un petit diable !
- Il jouait toujours en criant.
- Il n’arrêtait pas de sauter et de courir partout.
- Il me dérangeait beaucoup…
- A un moment, d’un geste brusque, il tira la manette et fit tomber le téléviseur.
2- Le déroulement de l’histoire :
- Après quelques minutes de cet incident, mes parents entrèrent.
- Ahmed commença à pleurer en disant que c’était moi qui fis tomber le téléviseur.
- Mon père le crut.
- Il répétait toujours que les petits enfants disent la vérité.
3- La fin de l’histoire :
- Ma punition était sévère.
- J’étais interdit de jouer pendant une semaine.
- J’étais privé d’argent de poche !
220
Etre puni pour une bêtise, c'est plutôt acceptable. Mais si vous êtes puni à
tort, vous ressentirez toujours de l'amertume. Cela m’était arrivé. C’est
l’histoire que je vais vous raconter.
Un jour, j’étais à la maison avec mon petit frère Ahmed. Alors que je
lisais un roman, lui, comme à ses habitudes, jouait au PlayStation. Mon
père me demandait toujours de m’occuper de ce petit frère… Mais en
réalité, c’était plutôt un petit diable ! Il jouait toujours en criant. Il
n’arrêtait pas de sauter et de courir partout. Il me dérangeait tellement…
221
Ma punition était bien sûr très sévère. Mon père m’interdisait de jouer
pendant la semaine entière. Il m’empêchait même d’avoir de l’argent de
poche.
222
Sujet :
Consigne :
Raconte :
Critère d’évaluation :
223
1- Le début de l’histoire :
1.1- La structure de la phrase :
L’histoire que je vais vous raconter est réelle. Elle est restée gravée dans ma mémoire
car elle m’a tellement marqué.
2- Le déroulement de l’histoire :
2.1- Les verbes d’action au passé simple :
Un jour, je passais tout près d'une école primaire. Mon attention fut attirée par un
attroupement de femmes. Je m'y approcher discrètement et voir un homme d'une
trentaine d'années. Il bousculait brutalement son enfant de six ans car il ne voulait pas
entrer à l’école. Le père s'entêtait à vouloir le faire entrer coûte que coûte. Quant à
l'enfant, il s'accrochait de toutes ses forces à la robe d'une maitresse, qui assurait la
rentrée des élèves devant la porte de l’école. Pris de panique et ne sachant quoi faire
devant cette situation qui le mettait mal à l’aise, le père d'un geste violent et brutal
s'emparer de son fils et le pousser. Ce geste faire tomber l’enfant et la maitresse à la
renverse, sous les regards troublés des femmes.
224
- Un jour, je passais tout près d'une école primaire et mon attention fut attirée par un
attroupement de femmes.
…………………………………………………………………………………………………..
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…………………………………………………………………………………………………..
…………………………………………………………………………………………………..
- Il bousculait brutalement son enfant de six ans car il ne voulait pas entrer à l’école.
…………………………………………………………………………………………………..
…………………………………………………………………………………………………..
Le père s'entêtait à vouloir faire entrer coûte que coûte son enfant, qui ne voulait pas
d’école.
…………………………………………………………………………………………………..
…………………………………………………………………………………………………..
Quant à l'enfant, il s'accrochait de toutes ses forces à la robe d'une maitresse, qui
assurait la rentrée des élèves devant la porte de l’école.
…………………………………………………………………………………………………..
…………………………………………………………………………………………………..
Pris de panique et ne sachant quoi faire devant cette situation qui le mettait mal à l’aise,
le père, d'un geste violent et brutal, s'empara de son fils et le poussa.
…………………………………………………………………………………………………..
…………………………………………………………………………………………………..
Ce geste fit tomber l’enfant et la maitresse à la renverse, sous les regards troublés des
femmes.
…………………………………………………………………………………………………..
…………………………………………………………………………………………………..
225
226
1- Le début de l’histoire :
1.1- La structure de la phrase :
2- Le déroulement de l’histoire :
2.1- Les verbes d’action au passé simple :
Un jour, je passais tout près d'une école primaire. Mon attention fut attirée par un
attroupement de femmes. Je m'y approchai discrètement et vis un homme d'une
trentaine d'années. Il bousculait brutalement son enfant de six ans car il ne voulait pas
entrer à l’école. Le père s'entêtait à vouloir le faire entrer coûte que coûte. Quant à
l'enfant, il s'accrochait de toutes ses forces à la robe d'une maitresse, qui assurait la
rentrée des élèves devant la porte de l’école. Pris de panique et ne sachant quoi faire
devant cette situation qui le mettait mal à l’aise, le père d'un geste violent et brutal
s'empara de son fils et le poussa. Ce geste fit tomber l’enfant et la maitresse à la
renverse, sous les regards troublés des femmes.
227
- Découpe chacune des phrases suivantes en deux ou plusieurs phrases plus courtes :
- Un jour, je passais tout près d'une école primaire et mon attention fut attirée par un
attroupement de femmes.
Un jour, je passais tout près d'une école primaire.
Mon attention fut attirée par un attroupement de femmes.
- Il bousculait brutalement son enfant de six ans car il ne voulait pas entrer à l’école.
Il bousculait brutalement son enfant de six ans.
Celui-ci ne voulait pas entrer à l’école.
- Le père s'entêtait à vouloir faire entrer coûte que coûte son enfant, qui ne voulait pas
d’école.
Le père s'entêtait à vouloir faire entrer coûte que coûte son enfant.
Celui-ci ne voulait pas d’école.
- Quant à l'enfant, il s'accrochait de toutes ses forces à la robe d'une maitresse, qui
assurait la rentrée des élèves devant la porte de l’école.
Quant à l'enfant, il s'accrochait de toutes ses forces à la robe d'une maitresse.
Celle-ci assurait la rentrée des élèves devant la porte de l’école.
- Pris de panique et ne sachant quoi faire devant cette situation qui le mettait mal à
l’aise, le père, d'un geste violent et brutal, s'empara de son fils et le poussa.
Le père était pris de panique.
Il ne savait pas quoi faire devant cette situation.
Il était mal à l’aise.
Il s’empara de son fils et il le poussa.
228
Jalons
1- Le début de l’histoire :
- Je vais vous raconter une histoire réelle.
- Elle est restée gravée dans ma mémoire.
- Elle m’a tellement marqué.
2- Le déroulement de l’histoire :
- Un jour, je passais tout près d'une école primaire.
- Mon attention fut attirée par un attroupement de femmes.
- Je m'y approchai discrètement.
- Je vis un homme d'une trentaine d'années.
- Il bousculait brutalement son enfant de six ans.
- Celui-ci ne voulait pas entrer à l’école.
- Le père s'entêtait à vouloir faire entrer coûte que coûte son enfant.
- Celui-ci ne voulait pas d’école.
- Il s'accrochait alors de toutes ses forces à la robe d'une maitresse.
- Celle-ci assurait la rentrée des élèves devant la porte de l’école.
- Le père était pris de panique.
- Il ne savait pas quoi faire devant cette situation.
- Il était mal à l’aise.
- Il s’empara de son fils et il le poussa.
- Ce geste fit tomber l’enfant et la maitresse à la renverse.
- C’était sous les regards troublés des femmes
3- La fin de l’histoire :
- L'enfant s'en était sorti avec quelques petites blessures.
- La maîtresse était beaucoup plus choquée.
- Elle se préoccupait de l'état lamentable de sa robe.
229
Je vais vous raconter une histoire réelle. Elle est restée gravée dans ma
mémoire. Elle m’a tellement marqué.
Un jour, je passais tout près d'une école primaire. Mon attention fut
attirée par un attroupement de femmes. Je m'y approchai discrètement. Je
vis un homme d'une trentaine d'années. Il bousculait brutalement son
enfant de six ans. Celui-ci ne voulait pas entrer à l’école. Le père s'entêtait à
vouloir faire entrer coûte que coûte son enfant. Celui-ci ne voulait pas
d’école. Il s'accrochait alors de toutes ses forces à la robe d'une maitresse.
Celle-ci assurait la rentrée des élèves devant la porte de l’école. Le père
était pris de panique. Il ne savait pas quoi faire devant cette situation. Il
était mal à l’aise. Il s’empara de son fils et il le poussa. Ce geste fit tomber
l’enfant et la maitresse à la renverse. C’était sous les regards troublés des
femmes.
L'enfant s'en était sorti avec quelques petites blessures. La maîtresse était
beaucoup plus choquée. Elle se préoccupait de l'état lamentable de sa robe.
230
L’histoire que je vais vous raconter est réelle. Elle est restée gravée dans
ma mémoire car elle m’a tellement marqué.
Un jour, je passais tout près d'une école primaire. Mon attention fut
attirée par un attroupement de femmes. Je m'y approchai discrètement et
vis un homme d'une trentaine d'années. Il bousculait brutalement son
enfant de six ans car il ne voulait pas entrer à l’école. Le père s'entêtait à
vouloir le faire entrer coûte que coûte. Quant à l'enfant, il s'accrochait de
toutes ses forces à la robe d'une maitresse, qui assurait la rentrée des élèves
devant la porte de l’école. Pris de panique et ne sachant quoi faire devant
cette situation qui le mettait mal à l’aise, le père d'un geste violent et brutal
s'empara de son fils et le poussa. Ce geste fit tomber l’enfant et la maitresse
à la renverse, sous les regards troublés des femmes.
231
Objectifs :
Sujet :
Consigne :
Critère d’évaluation :
232
1- Le début de l’histoire :
1.1- Les verbes à l’imparfait de l’indicatif :
Un après-midi, vers quinze heures, je me ………………… avec mon petit frère dans la
ville. A cette époque, il ………….. six ans. Moi, j'en ……………… douze. Le ciel
…………… un peu nuageux. Un froid glacial ……………………. à s’installer.
…………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………….
2- Le déroulement de l’histoire :
2.1- Les verbes d’action au passé simple :
- Complète avec les verbes d’action au passé simple : arrivâmes (arriver) ; commença
(commencer); voulus (vouloir) ; commença (commencer) ; sauta (sauter) ; entendîmes
(entendre)
233
- Remets les parties suivantes dans l’ordre pour avoir une fin à notre histoire :
…………………………………………………………………………….………..……………
………………………………………………………………………………….…..……………
………………………………………………………………………………….…..……………
……………………………………………………………………………………………….......
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234
1- Le début de l’histoire :
1.1- Les verbes à l’imparfait de l’indicatif :
Un après-midi, vers quinze heures, je me promenais avec mon petit frère dans la ville. A
cette époque, il avait six ans. Moi, j'en avais douze. Le ciel était un peu nuageux. Un
froid glacial commençait à s’installer.
2- Le déroulement de l’histoire :
2.1- Les verbes d’action au passé simple :
- Complète avec les verbes d’action au passé simple : arrivâmes (arriver) ; commença
(commencer) ; voulus (vouloir) ; commença (commencer) ; sauta (sauter) ; entendîmes
(entendre)
Soudain, nous entendîmes un très grand bruit. C’était le tonnerre. On dirait une
explosion ! Mon frère sauta de peur et commença à pleurer. Je voulus le rassurer mais
j’avais moi-même la chair de poule. Mon cœur battait rapidement. La pluie commença à
tomber.
235
- Remets les parties suivantes dans l’ordre pour avoir une fin à notre histoire :
236
237
Objectifs :
Sujet :
Consigne :
Rédige un texte narratif d’une dizaine de lignes dans lequel tu racontes les circonstances
et les événements de cette aventure.
Critère d’évaluation :
238
1- Le début de l’histoire :
1.1- Les outils pour éviter la répétition :
…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………
…………………….…………………………………………………………………………
239
Soudain, nous remarquâmes, ma mère et moi, que mon petit frère de six ans avait
disparu :………………………….………..……….………………………………………….
3- La fin de l’histoire :
3.1- La cohérence entre les phrases :
- Remets les parties suivantes dans l’ordre pour avoir une fin à notre histoire :
…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………
240
1- Le début de l’histoire :
1.1- Les outils pour éviter la répétition :
241
- Soudain, nous remarquâmes, ma mère et moi, que mon petit frère de six ans avait
disparu :
Soudain, nous remarquâmes, ma mère et moi, que mon petit frère de six ans avait
disparu
3- La fin de l’histoire :
3.1- La cohérence entre les phrases :
- Remets les parties suivantes dans l’ordre pour avoir une fin à notre histoire :
D- Elle reprit ses forces et se jeta sur mon frère pour l’embrasser.
242
243
Soudain, nous remarquâmes, ma mère et moi, que mon petit frère de six
ans avait disparu. Il marchait juste derrière nous. Cette disparition
inattendue nous perturba. Nous appelâmes mon frère de toute notre force.
Nous ne reçûmes aucune réponse. Ma mère fût épuisée et incapable de
marcher. J'essayai de lui donner de l'espoir. Je courus par-ci, par-là, mais
sans résultat !
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245
Sujet :
L’année dernière était exceptionnelle à cause du covid 19. Surtout lors du confinement.
Consigne :
Raconte en 12 lignes environ, comment tu as vécu le confinement. Précise les activités que tu as
faites et les sentiments que tu as éprouvés pendant cette période.
Critère d’évaluation :
246
247
248
Classe de Français
249