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C’est un construit développé par Markowitz pendant les années 50.

Ce modèle propose l’évalua on de chaque tre, ou portefeuille de tre à par r du couple


risque-rentabilité.
A par r de ce postulat, markowitz, a développé une méthode de ges on quan ta ve du risque. Ce e
méthode propose un ensemble de portefeuilles efficients qui pour une rentabilité espérée il y a un risque
minimal et pour un risque fixé il y a un maximum de rentabilité espérée.
Donc finalement, on re ent le portefeuille qui pour un niveau de risque fixé procure la plus grande
espérance de rentabilité et le portefeuille qui pour un niveau de rentabilité espérée présente un risque
minimal.
La courbe qui relie les portefeuilles efficients s’appelle la fron ère efficiente.

- Tout inves ssement est une décision prise dans une situa on de risque : la rentabilité d’un ac f
financier pour toute période future est par conséquent une variable aléatoire dont on fait
l’hypothèse qu’elle est distribuée selon une loi normale.
- La rentabilité des différents ac fs financiers ne fluctue pas indépendamment des autres, ils sont
corrélés, ce qui revient à dire que les coefficients de corréla on et les covariances ne sont pas nuls.
- Le comportement des inves sseurs est caractérisé par un degré plus ou moins annoncé d’aversion
vis-à-vis du risque. Ce dernier est mesuré par l’écart type.
- Les inves sseurs sont ra onnels, bien que leur fonc on de préférence soit purement subjec ve, ils
opèrent en référence à celle-ci des choix transi fs.
- Tous les inves ssements ont le même horizon de décision qui comporte une seule période, le
modèle moyenne variance est mono-période.

C’est une extension des travaux de Markowitz. C’est une formula on qui repose sur une régression dans
laquelle on explique la rentabilité d’un tre avec la rentabilité du marché.
Dans ce modèle, le risque est mesuré par la vola lité et non pas par l’écart type.
- Tous les individus ont les mêmes an cipa ons sur les risques et les rentabilités.
- Les individus sont ra onnels càd qu’ils bâ ssent des portefeuilles risqués op maux :
➢ Proposi on1 : ils ont tous le même portefeuille d’ac fs risqués, qui est équivalent au portefeuille
de marché.
➢ Proposi on2 : ils combinent ce portefeuille op mal avec l’ac f sans risque dans des propor ons
qui diffèrent entre les individus.
➢ Proposi on3 : le MEDAF établit la rela on entre le risque encouru et la rentabilité d’un
portefeuille.

Si les marchés sont efficients, cela signifie qu'aucune stratégie d'inves ssement ne peut perme re de
dégager, pour un niveau de risque donné, un profit anormal. Pour le dire plus simplement, cela signifie
qu'il est impossible de "ba re le marché" sur le long terme !

Un marché est efficient si les prix intègrent à tout moment l'ensemble de l'informa on disponible. Il existe
trois formes d'efficience pour définir le concept "d'informa on disponible": (1) l'efficience faible selon
laquelle l'informa on contenue dans les prix de marché passés est complètement re?étée par les prix des
ac fs, (2) l'efficience semi-forte selon laquelle toutes les informa ons publiques sont complètement pris
esen compte par les prix et (3) l'efficience forte selon laquelle toutes les informa ons disponibles,
publiques et privées, sont prises en compte par les prix.

La diversifica on des tres a pour but de diminuer les risques liés aux fluctua ons des cours d’ac fs
financiers composant le portefeuille. L’effet de la diversifica on varie selon les paramètres propres à
chaque portefeuille (propor on de chaque tre, …) ainsi, on se réfère généralement à l’analyse de l’écart
type de chaque tre puis celui du portefeuille.
La diversifica on n’apportera pas de résultats posi fs sur le portefeuille que si l’écart type du portefeuille
est inférieur au plus pe t écart type de ses ac fs.
On peut ainsi mesurer la performance de la diversifica on par l’analyse du coefficient de corréla on :
- r = -1 → la diversifica on joue son rôle parfaitement, car les deux tres varient dans le sens inverse.
- r = 0 → on ne peut pas juger le degré d’influence car les deux tres n’ont pas de rela on linéaire, ils
sont indépendants.
- r = 1 → la diversifica on n’apportera rien, car les deux tres varient dans le même sens.

- Le comportement des inves sseurs est caractérisé par un degré plus ou moins annoncé d’aversion
vis-à-vis du risque.
- Les inves sseurs prennent leurs décisions sur la base du rendement espéré et de l’écart type du
rendement des portefeuilles.
- L’horizon est d’une seule période.
- Ils ont des an cipa ons homogènes concernant le rendement et le risque de chacun des tres.
- Il est possible pour eux de prêter ou emprunter à un taux sur uniforme pour tous.
- Les marchés de capitaux sont parfaits : absence de frais de transac on, informa on gratuite,
divisibilité des tres, … etc.
- Les inves sseurs peuvent vendre à découvert.
- Aucun inves ssement ne peut par le biais de ses achats/ventes affecter le prix des tres.
La no on de l’efficience des marchés :
Mise en évidence par Eugene Fama pendant les années 60. Un marché efficient est un marché dont le prix
courant d’un tre incorpore toute l’informa on disponible. C’est-à-dire que la prévision op male du
rendement d’un ac f est basée sur l’ensemble des informa ons disponibles.
Un marché efficient du prix cons tue des signaux fiables sur lesquels on peut bâ r les décisions
d’inves ssement.

La maturité ou maturité résiduelle d’un flux financier désigne le temps qui sépare la date du calcul et la
date à laquelle la flux sera payé (par exemple, pour une obliga on, la date de remboursement).
Pour une série de flux, la maturité est la moyenne de ces durées.
La dura on est la durée de vie moyenne (durée entre la date actuelle et la date de paiement) des flux
financiers pondérée par leur valeur probable actualisée.
Pour un seul flux (type obliga on zéro-coupon) la dura on est égale à la maturité. En revanche, pour une
série de flux (exemple : obliga on couponnée), la dura on est différente de la maturité.

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