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Justine Blouin Pr.

TAMANAï-SHACOORI
Léonie Hervé 19/11/19
Microbiologie

Virologie
Multiplication et infection virale 2
D. Réplication
Les mécanismes de la réplication virale varient selon que le génome soit ARN ou ADN. Il faut savoir que
dans tous les cas, c’est par des ARNm viraux que le génome transmettra son information et donc l’ordre à la
machinerie cellulaire eucaryote.

En effet dès que des ARNm viraux apparaissent dans la cellule hôte, celle-ci est piégée (elle ne peut pas s’en
débarrasser). La cellule va lire les messagers viraux sur le ribosome comme s’ils étaient ses propres
messagers, elle va les traduire en protéine virale. Selon les virus, l’élaboration des messagers
(=transcription, normalement passage de l’ADN à l’ARN mais aussi de l’ARN à l’ARN complémentaire) est
une opération plus ou moins complexe.

La transcription du matériel génétique se passe dans le noyau si c’est de l’ADN et dans des vésicules si c’est
de l’ARN.

Exemple des cas les souvent observes (A CONNAITRE) :

1. Virus à génome ARN+ (simple)

Ils possèdent juste un ARN et il est positif = ARNm.

C’est dans le cytoplasme que s’effectuent la transcription (ARN à ARN complémentaire) et la réplication de
l’ARN viral.

L’ARN viral se comporte comme un ARNm et est immédiatement traduit en protéine structurale (formation
de la capside dans le cytoplasme pour préparer la recapsidation) et en protéine non structurale ayant pour
certaine une activité́ enzymatique (tel que la réplicase – ARN polymérase ARN dépendant). La réplicase
permettra la synthèse de l’ARN complémentaire (ARN-) qui servira de matrice à la synthèse de nombreux
nouveaux génomes qui seront ARN + (via transcriptase). Les ARN- seront ensuite hydrolysés.

Ex : Poliovirus : ARN+ simple, capside cubique, nu.


Étant un virus nu (càd pas d’enveloppe), le poliovirus passe par endocytose à l’intérieur de la cellule et libère
sont ARN+. Il synthétise 2 à 3 catégories de protéines. Une grande partie des protéines synthétisées servira à
la formation des capsides dans le cytoplasme, d’autres ayant une activité́ enzymatique, tel que la réplicase,
synthétiseront de nouveaux brins d’ARN.

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La réplicase rentre dans une vésicule pour synthétiser de l’ARN (-). Il y aura ensuite synthèse de nouveaux
virions qui iront lyser la cellule. Chaque particule virale maintenant infectieuse ira attaquer d’autres
cellules.

2. Virus génome ARN- (simple)


La réplication et la transcription se font au niveau du cytoplasme avec une étape supplémentaire. En effet
l’ARN (-) ne pouvant être traduit directement par les ribosomes, il doit être préalablement transcrit en
ARN+ (ARNm). Cette étape s’effectue grâce à l’ARN transcriptase (ARN polymérase ARN dépendant)
associée au génome viral (c’est à̀ dire qui provient du génome viral, c’est le virus qui apporte sa propre
enzyme pour pouvoir se transcrire). L’ARN transcriptase traduit l’ARN- en un ARN+.
Ex : Virus influenza : ARN-, capside hélicoïdale, enveloppé :

Il doit être préalablement transcrit en ARN messager


(ARN+) puis en enzyme virale. Durée pour le virus
influenza : 3min40.

① Attachement par les spicules (glycoprotéines de


l’enveloppe du virus).

② Pénétration par fusion membranaire (il y a une double


couche membranaire) car grande similitude entre
l’enveloppe virale et la
membrane cytoplasmique.

③ Décapsidation dans le cytoplasme, la nucléocapside


rentre dans une vésicule

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④+⑤ Réplication et transcription se font au niveau des vésicules cytoplasmique. La traduction
conduit à̀ la synthèse de protéines structurales pour de nouveaux virus mais également d’ARN+ qui
servira de matrice pour la synthèse d’ARN- (cette partie des ARN+ restera dans la vésicule). Cet
ARN- sortira de la vésicule et sera en capsidé pour former les nouvelles particules virales, on parle
alors de nucléoplasmide.

⑥ Formation de l’enveloppe grâce à la double couche phospholipidique de la membrane cellulaire.


Sortie par bourgeonnement.

3. Virus à génome ARN+ (double= 2 simples brins) : le plus répandu !

Chaque ARN sert de matrice à la synthèse d’ADNc par l’action d’une enzyme spécifique d’origine virale : la
transcriptase inverse (le virus l’amène avec lui lorsqu’il infecte la cellule). Les ADNc servent de modèle à la
synthèse d’ADN double brin qui va s’intégrer au génome cellulaire. Le génome ARN simple devient alors
ADN. On l’appelle alors « provirus ».

Ex : HIV : ARN double +, capside ? (On ne sait pas encore), il est enveloppé, il passe donc par fusion
membranaire.
Une fois dans le cytoplasme il est décapsidé, et le virus amène avec lui la transcriptase inverse. ARN+ est
transcrit en ADNc.

La réplication du génome s’effectue dans le noyau mais la formation de nouvelles particules virales se passe
toujours dans le cytoplasme.

⇨ Attachement, fixation par un récepteur spécifique.


⇨ Pénétration (fusion car enveloppe, donc la nucléocapside est libérée dans le cytoplasme). L’ARN+ est
transcrit en ADN par la reverse transcriptase. Il rentre ensuite dans le noyau par l’intermédiaire
d’une enzyme d’origine cellulaire. Puis il est intégré dans le génome de la cellule grâce à en enzyme
appelée l’intégrase. Il est alors considéré́ comme un provirus.
⇨ Ce génome va être répliqué et transcrit en ARN+ messager, qui va synthétiser des protéines
structurales et non structurales.
⇨ Sortie de la cellule par bourgeonnement.

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4. Virus à génome ADN

Dans ce cas, tout se passe dans le noyau.

Après décapsidation, l’ADN viral migre dans le noyau cellulaire et se recircularise. Il se comporte à peu près
comme un plasmide et réagit comme un réplicon indépendant. Il y a une première transcription de l’ADN
viral en ARNm précoce sous l’effet de l’ARN polymérase cellulaire (ADN dépendant) car le virus n’amène
aucune polymérase avec lui donc il utilise l’ARN polymérase ADN dépendant de la cellule (pour synthétiser
les protéines précoces et les protéines tardives).

Ces ARNm précoces passent dans le cytoplasme où se déroule la synthèse des protéines précoces. Ces
protéines non structurales (enzymatique), telles que l’ADN polymérase, qui ne sont pas incorporées dans le
futur virion, retournent dans le noyau et débutent la réplication du génome viral. Dans le noyau, les
nouveaux ADN viraux sont transcrits en ARNm tardifs et traduits en protéines structurales tardives dans le
cytoplasme. A leur tour, ces protéines tardives dans le noyau pour former l’assemblage des particules
virales.

Ex : Adénovirus : ADN, capside cubique, nu :

Protéines précoces ARNm tardif


(ADN polymérase)

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Il passe dans la cellule par endocytose. Il est decapsidé pour que le génome ADN soit libéré dans le
cytoplasme de la cellule et passe tout de suite dans le noyau. Il va ensuite se circulariser.

Sous l’action de l’ARN polymérase cellulaire, il y a formation des ARNm précoces. Ils passent (ARNm
précoces) dans le cytoplasme pour synthétiser des protéines précoces (n’intègrent pas le virus = qui
ne sont pas structurales) telles que l’ADN polymérase. Certains retournent dans le noyau pour
synthétiser de l’ARNm tardif.

Ces ARNm tardifs seront traduits en protéines tardives = protéines structurales du virus = protéines
formant les capsides. Elles retournent dans le noyau (où se trouve l’ADN viral) pour en former les
capsides. Le génome de l’Adénovirus reste indépendant et ne se fixe pas à l’ADN de la cellule.

L’ADN sera encapsidé : formation des nouvelles particules virales. Elles y sont très nombreuses dans
le cytoplasme. L’étape ultime est la libération de celles-ci par lyse de la cellule. Une fois sorties du
cytoplasme, elles prendront le nom de virion.

E. Encapsidation et libération des virions


En général il y a la formation d’un précurseur de la capside dans lequel s’introduit le génome viral,
puis différentes activités enzymatiques mènent à la formation de nucléocapside définitive. Le
rendement de cet assemblage est souvent mauvais. Ex : les herpes virus n’encapsident que 5 à 10%
de leur moulécoule (molécule) d’ADN (notre organisme a le temps de réagir).

La formation de la nucléocapside s’effectue dans le cytoplasme ou le noyau selon les familles de


virus (dans le cytoplasmique : influenza, HIV, polio... et dans le noyau : adénovirus…).

Les virus nus sont terminés à ce stade (une fois que le nucléocapside est prêt alors les particules sont
actives). Il ne reste plus à ces particules virales qu’à se libérer de la cellule pour pouvoir aller en
infecter d’autre.

Pour les virus nus, c’est en détruisant la cellule infectée que sortent les virions. Ils remplissent la
cellule et la lysent pour sortir. Cette destruction cellulaire est due à une modification du
cytosquelette de la cellule hôte sous l’action d’une protéine virale (enzymatique principalement) et à
l’accumulation de ces protéines virales.

Pour les virus enveloppés, le relargage des nouvelles particules hors de la cellule se fait par
bourgeonnement. Ces virus ne sont pas infectieux tant qu’ils n’ont pas leur enveloppe. C’est lors du
bourgeonnement que les virus reçoivent leur enveloppe = bicouche lipidique cellulaire insérée de
glycoprotéines d’origine virale.

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Conséquences de la multiplication virale pour la cellule infectée :
Quand une cellule est infectée par un virus il y a 3 conséquences possibles :

1. Mort de la cellule
La plupart des virus humains provoquent la mort cellulaire. L’accumulation dans la cellule infectée
de matériel viral désorganise sa structure et ses fonctions normales. La cellule meurt par nécrose
(lyse) ou par apoptose. Ceci est l’infection lytique (comme au niveau des bactériophages).
Le problème est de savoir si ces cellules peuvent être remplacées (dans ce cas les symptômes sont
moins visibles) ou non par d’autres cellules au sein de l’organisme.

2. Tolérance cellulaire vis-à-vis de l’infection


La cellule tolère l’infection. Il n’y a pas de conséquences sur l’organisme. Les génomes viral et
cellulaire se partagent le potentiel métabolique de la cellule. Ils cohabitent ensemble. C’est
l’infection tempérée (comme le bactériophage avec E.Coli). On est dit porteur sain du virus mais
cela peut dégénérer.

3. Transformation cellulaire maligne (dangereux ++)


Dans cette éventualité, la cellule se multiplie de façon anarchique. Elle acquiert des caractéristiques
généralement attribuées aux cellules cancéreuses. La cellule devient folle et il y a formation de
tumeurs. (ex : papillomavirus HPV 16, le col de l’utérus qui devient fou , masses moléculaires
malignes qui finissent par donner des cancers du col de l’utérus).

VI – Infection virale et défense de l’organisme


Un virion est dit « immobile » car il n’a aucune mobilité.
Pour provoquer une infection, un virion doit être amené à la porte d’entrée de l’organisme. Ensuite,
il doit se fixer à la surface des cellules, pénétrer et se multiplier. Les virus qui diffusent transmettent
une infection généralisée. Les virus se multiplient dans des cellules sensibles, s’en échappent et
affectent d’autres cellules jusqu'à altérer tout un tissu ou un organe par destruction cellulaire.
Durant cette période, l’organisme résiste.

L’extension de l’infection est généralement limitée par les mécanismes de défense de l’hôte, et les
conséquences de l’agression dépendent du nombre de cellules détruites et de la possibilité à
l’organisme de les remplacer.

Les acteurs d’une infection sont :


- Un virus avec ses effets pathogènes
- La réaction de l’hôte.

On obtient alors une sorte de « guerre » entre les deux acteurs→ qui va gagner ? (si c’est le virus on est
malade et si c’est l’hôte on n’est pas malade).

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Les virus ne peuvent provenir que d’un organisme vivant car ils ne peuvent vivre que dans une
cellule (homme ou animal). Certains plus résistants persistent dans l’environnement, donc peuvent
être contaminants à l’état libre. D’autres plus fragile se propagent d’un organisme à un autre
directement ou par l’intermédiaire d’un vecteur (insecte : moustique avec cellules sanguines...).

Portes d’entrée : les virus doivent passer par la barrière cutanéomuqueuse. S’ils restent sur place,
ils occasionnent des infections localisées, s’ils se propagent ils donnent lieu à des infections
généralisées.

 Tractus respiratoire (très importante) : la transmission se fait directement par


contact/rapprochement avec un sujet infecté (inhalation). Les virons se fixent sur
l’épithélium ciliaire. Bien que les battements des cils soient un obstacle pour la
fixation, les virus responsables des infections respiratoires entrainent une altération
ou une nécrose de l’épithélium. Certains restent localisées dans le tractus (ex :
influenza), d’autres pénètrent, diffusent et provoque des infections généralisés à
point de départ respiratoire (rougeole, varicelle, rubéole, oreillons).

 Tractus digestif : la transmission se fait par ingestion d’un aliment contaminé. Seuls
les virus résistants peuvent infecter les cellules du tractus intestinal (site de
multiplication primaire), pour la plupart ce sont des virus nus. La majorité des virus
enveloppés sont détruits par l’acidité de l’estomac et les sels biliaires. Certains virus
restent localisés (peuvent donner des infections localisées), d’autres diffusent et
provoque des infections généralisés à point de départ intestinal. (Les muqueuses
génitale, anale et bucco-pharyngienne sont des portes d’entrée pour les virus
responsables des infections sexuellement transmissibles comme HSP, HIV, HPV
(hépatite V).

 Peau : c’est une barrière infranchissable pour les virus lorsqu’elle est intacte. Une
coupure laisse pénétrer les virus. Certains virus ne se transmettent que par la peau et
donnent des infections localisées (verrues), d’autres pénètrent dans les cellules sous
cutanées et se disséminent dans l’organisme.

 Œil : les virus déposés mécaniquement sont généralement éliminés par les larmes
(présence de lysozymes). Mais dans certains cas, du fait d’une irritation ou d’un
traumatisme avec rupture des petits vaisseaux sanguins ou lymphatiques, la
conjonctive sera infectée. Ex de HSV (herpes virus). Parfois, même en l’absence de
multiplication locale, les virus passent directement dans la circulation pour donner des
infections généralisées.

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L’infection virale peut rester localisée mais plus souvent se propage dans l’organisme après
multiplication intracellulaire à la porte d’entrée. La dissémination virale dans l’organisme se fait de
différentes manières : contact inter-cellulaire (une cellule infectée au départ touche une autre
cellule et l’infecte), voies lymphatiques (voie principale de diffusion virale) et circulation sanguine
(virémie = le virus passe dans le sang de façon temporaire pour aller infecter d’autres cellules).

Pour se répliquer, il faut que les virus pénètrent dans une cellule qui les accepte. La cellule doit
porter des récepteurs membranaires spécifiques reconnaissant les structures superficielles du virus.
Ce phénomène s’appelle le tropisme cellulaire : propriété d’un virus à infecter de manière
préférentielle un type particulier de cellule.

Par conséquent les infections généralisées par un virus ne sont jamais généralisées à toutes les
cellules de l’organisme. Il faut un organe cible où le virus trouve des récepteurs cellulaires
spécifiques pour pouvoir s’y fixer, s’y multiplier et occasionner l’infection.

Une fois l’infection établie les virus quittant l’organisme risquent de contaminer un autre organisme
ou l’environnement. Les principales voies d’excrétion sont :

• Expiration (toux, éternuement), expectoration (grippe, rougeole) : très important dans


notre métier
• Salive (EBV, CMV, rougeole, rubéole...)
• Peau (varicelle, herpes)
• Selles (virus présents dans l’environnement intestinal du type entérovirus, rotavirus...) :
excrétion dans l’environnement contamine l’eau
• Urine (HBV,CMV...)
• Secrétions génitales, sperme (HBV, HIV, CMV)
• Lait maternel (HIV, CMV)
• Sang (HIV, HBV)

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Face à la pénétration d’un virus, l’organisme met en place des mécanismes de défense spécifiques ou
non.

⁃ Barrières cutanéo-muqueuses (peau ou revêtement muqueux intact =


obstacle mécanique à l’entrée des virus dans le tissu).

- Les interférons sont des glycoprotéines de faible poids moléculaire sécrétées


par les cellules soumises à l’infection d’un virus, qui bloquent la multiplication
des virus dans les cellules voisines. L’action des interférons constitue un moyen
efficace et rapide de défense naturelle.

- La phagocytose : les macrophages phagocytent et détruisent les particules


virales par l’action d’enzymes lysosomiales. De plus les macrophages actifs
produisent comme les cellules infectées des interférons qui protègent les
autres cellules environnantes.
Les dégradations et les dysfonctionnements dus aux réactions de l’organisme
infecté par un virus sont responsables des maladies d’origine virale.
L’expression clinique d’une infection virale dépend autant de l’hôte que de
l’agent pathogène viral. (sera abordé au 2nd semestre en cours d’immunologie).

Rapport entre la défense de l’organisme et le caractère pathogène du virus.

Conclusion : Lors de la pénétration d’un virus, l’organisme tente de l’éliminer. Les réactions de
l’organisme infecté par un virus génèrent des dégradations et dysfonctionnements cellulaires qui
entrainent une infection virale.

VII – Infection virale et cabinet dentaire


Depuis l’efficacité de l’antibiothérapie, les infections virales restent préoccupantes malgré tous les
progrès de la médecine moderne. Le nombre d’infections virales augmente de manière constante. Il
y a un risque d’infection constant de votre équipe. Vos patients et vous-même êtes exposés
quotidiennement à des risques d’infections par :

☞ Contact direct avec la cavité buccale, salive ou sang.


☞ Retransmission du virus par les mains, instruments ou autres objets souillés.
☞ Coupures ou piqures avec des instruments souillés.

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Parmi les virus qui menacent la sécurité au cabinet dentaire :

✺ Virus des voies respiratoires (grippes). Les études sur la séroprévalence ont révélé chez les
dentistes une augmentation de la quantité d’Anticorps des voies respiratoires. (importance de
la vaccination et port de gants…)
✺ Virus hépatiques (HBV, HAV, HBC) retrouvés dans salive et dans le sang.
✺ Virus herpétiques (HSV), on observe également des taux très élevés d’Ac chez les dentistes et
étudiants dentistes en clinique comparés aux étudiants en pré clinique.

Les études ont montré la transmission de HSV des patients au personnel de santé et vice versa
✺ Virus du sida (HIV), selon les laboratoires de santé, sur 200 cas possibles ou probables
d’infection au HIV d’origine professionnelle, 10% concernerait les dentistes.
Il ne faut pas oublier les gants, masques et vaccins.

Les derniers cours (ceux à venir) ne tombent pas aux partiels de première session
mais peuvent tomber aux rattrapages !

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