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III.

Les peuples dit paléo-soudanais : cas des Guiziga

1. La convivialité (ou amabilité)

Il ya une suite qui manque.....

Oe sont esxontis"jlem8nt les ope'rations de dE?'brausssySe et de

mift, effeokent *èg oertaineazen-t en me jomnés un travz33, &US im

w1 ohamp ds kard .-- au xythme domi6 pm un douew de tsun--bam ou un ohm

porteron% mtuellement assistarcc en de mÜLtipleB occ'aa

on jeu plus de dix chefs "de EiLU, peuveat se tisser. dea Iriem de sol%-

somier dccaaiomel, après avo2~ a'krr;rx% une doso adéquate de bike de

sas auoune compemxtion de sa part (seul u11 Lndi-vidu jouissant au

portant qutun -t;ravaliZle.ccr isolé pendant*wt jourse

Reniza'ble Qoonomiquc3mm-b7 oett e coopération dans le t"iL

%m.er 8. L'aide ba&e BW les liens de voisAnago, ma"is pow on; accrof-ke

mant lora du "ssage et du bn-Hage du mua

-- ~

1'3.ndividu fera de psdférence appel à lfwt de ses pasents plut8t garà

Pous les guiziga pensent, nous le permone aussi aprbs avoir

Taient de tr&s lob sur les relzl-tions de pz"te'. Dans son quartier5

fait de tràvailler en coa" accroft aotablement la rentabili'b6 do

le oas & ka positìon s. ociale' lui perr.net d'Job'b"csn3.x ZtaLde dtun parent

Dans les actes de ooopératron que nous awns pu obsemer, 8.

niveau de son lignage dfvn prestige ctertain fem fréquomment appel

darit6 beauooup plus étroits ontm deuk ou trois chefa de €BY quj sß

BQ mmge de. cette fome de ooopération qui met fréquemment

guizLga présente des a-vaatages cerbabls BUT le p1-an du rendement atwe


le &me quartier et a' fortrf:osti le mame village, sauf peut-8-kL-e dans

smalago des cbximps de a3.l qrd domient lieu c2'xx invitations,

Uetts solidarité dans Is trmaU dont font preuve les

pad, sar cela de la oohésion villageoise drautre part.

assbt6 ~~~~0~S fois

& des se'anoes de tzavam clol&"s, que 10

peke% h ohaque bdlrddu de prendre dxvm%age oortscience de soi a

b. des 00X~gesis sdsir2daXt dans m autpe village, 'non pou2 so Su.s-bi-

3bassur~ %out pcw\tioullkremen-b, les relations ds -croistnage plme- .

férera s'adresser B ses voi~bs plut8t quf8 un psent nthabitant pas

ohaoun, Une vd..Q&abe de travau-leurs placés ofjte h cbto, débGoussánt

tenancm 8. un groupe de pmont6 et swt& h une oommu%é vfS2ageo%se.

un voisin ntapp-onant pas au mame clan que Xui, pm cpntre, 33. pré

ZthmpoY.tance) +

Chez les Guiziga, un étranger n'est plus considéré totalement comme un étranger. C'est-à-dire, il peut
faire comme chez soi

2. Leur respect au normes

et de la chefferie toute entikre, dans le cas dkne agression commise par un étrager

rieur.

conflit survenu sntre ressortissajits de deux villages rolevant c?e ia même unit6 terri

un mziga de Muturua, ?i moins que l'affaire ne sait rapidement réglée entre les deux

parler dx passé pour constater que l'histoire des guiziga est tniffde de guerrgentre

place au niveau de 1-3, cbefferio Yavorisait l'extension du coilflit au niveau du village,

contre un ressortissant de la chefferie, il devait permettre en principe d'éviter qu'un

villages et ce jusqu'k une époque récente. Tout était prétexte pour le guiziga à mallier
211 fait cette solidarit6 villageoise se mnifestait beaucoup plus souvent

récemment recevra gratuitement une ferme en coriipenuation), il n'y a aucune raison pour

femmes ou de bétail.

leurs leur appartenance clani que OIL lignagbre, des liens de solidarité suffisamment

11 n'est qu'à lire les rapports d'adrxinistrateurs ou kouter les vieux gruixka

pour les raisons les plus futiles surtout lorsqae la bibre avait coulé Cì flots, vols de

forts pour les amener à ?&agir en tant que group contre toute attaque venue de l'exté

que le conflit ne s'&tende pas au niveau des deux villages ou dme des dew: chefferies(?).

ICN

groupes de parenté concernés (l'un des frères de la victime tuera l'agresseur ou plus

la massue ou le poignard : délimitation des territoires villageois, rises sur m marché

qu'elle n'aurait dO théoriquement le "aire. En e€fet, si le système politique riiis en

seulement de cette comiumut6 ; on peut donc parler à propos du village de "communauté

mal, inais aussi dans le cas oh l'agression exterieinre était diri&e contre un membre

lyser par la même occasion les modalités selon lesquelles les conflits survenus entre

d'une iGm communauté villageoise, crée entre les individus, quelle que soit par ail

membres dtue même comm"ut6 villageoise pouvaient stre rdsolus .

dans son ensemble (contestations de 'frontihres par exemple) ce qui est tout à fait nor

(1) Le chef cle Muturua ne s'était-il pas en effet engagé à prot8ger les gem qu'il

La solidarite trillagaoise jouait donc dans les cas oh le village était menacé

toriale ne dégénère en guerre entre villages.

L'étude de la répartition du pouvoir au niveau du village DOGS a permis d'ana

politique'' particuliPremen-i; solide.

Dais le cas o& un ressa-tissant de la chefferie de Midjivin par.exemple tue

Mous allons examiner maintenant dans quelle nesure le fait d'$tre membres
avait soumis ou ceux qui avaient accepté de se soumettre ?

La chefferie étant l'unit6 politique d'extension maximw.!, aucune autorité supérieure ne

blessés.

tion et que jusqu'g époque récente l'intégration officielle dans l'unité politique

villages est la preuve que l'autorité des chefs de village est souvent remise en ques

s'opposer également aux liabitants de Daixay, auxquels ils s'opposèrent de nouveau en

flits Btaient généralement inoins meurtriers que ceux précédemment, dkrits, ils n' en

Ainsi l'opposition entre Tchoffi et Nubu qui avait pris naissance en 1931 et

pouvaient durer dw années.

8. des époques différentes n'était pas pleinement réalisée dans les faits. Si ces con

de plusieurs groupements df origines diff6rentes venues s'installa

et celini de Muda (1) aidé,.; de leurs "Mi jivid" respectifs, rechercheront le coupable,

peut en effet intervenir pour réduire les conflits. Les pertes sont généralement lour

exemple, on lui vole sa femme, ce qui est beaucoup plus fréquent, il n'y a en principe

le chef de Mussurtuk le jugera ou demandera sa parution devant le chef de Nuturua j le

étaient pas moins fréquents et pouvaient quand m6me faire de nombreuses victimes ; ils

fait plusieurs blessés, était signalée par l'administrateur MENARD (2) comme très vive

meurtrier sera exécuté b, Muturua, le ravissour d'épousc invité & rembourser la dot ou b,

qu'est la chefferie

encore en 1939 ("bagarres fréquentes entre jeunes de Tchoffi et Nubu") ; ce n'est qu'en

aucune raison pour que le conflit s'étendo au niveau du village ; le chef de Nussurtuk

restituer l'épouse.

Far contre, si un habitant de Mussurtulr insulte ou tue un homme de Muda par

hostilités (3). Ces mêmes gens de Nubu avaient d'ailleurs pris le temps en 1936 de

Le fait que dans de nombreux cas le conflit d&&n&re en guerre entre deux
des (en 1953 : lutte entre Mussurtuk et Gaviang ; bilan : 15 morts et de tres nombreux

présentaient par ailleurs la particularité de ne jamais être parfaitement réglés et

janvier 1940 que le ohef de subdivision de &ele, M. LAVIT pouvait annoncer la fin des

1958.

4. Leur comportement

V -Circoncision 2- rites d initiatiLos,

le voudrait pour na,ri. Seuls les fils du pss,aT- y Gchcppcnt iilipun8ncnt ; en offet, cir

qui aurait CtC: IC pre,Licr Guiziga circoncis, la prcrii8r.c circoncision cn pays Guiziga eut

lea parents rclgagncront le village ; en ;~~ucun cas ils ne pourront rdvdler aux non cir

A la date fixge, l'cnfant accompngn6' dc son père ou de son oncle patemcl, se

rendra sur les lieux de la circoncision, situds géndrlenent cn pleine brousse parfois B

lieu il y ;r2 un3 vingtainz c"i',uznScc;, B Tchoffi.

concis, ils iz'aurxic,nt plu.3 lo droit de mcziger IC Mi \,t ne pourraient en conséquence

versement d'une modiqui? sorme d'argent (300 CFA environ), acceptera de se chmgor de

(2) Avait licu jndis au mois de février ; pour dvitcr que les enfants ne cmquent 1'6-

assUCier parfaitelient lmr fonction s'ils dcvonaient un jour mssa.2. --

groupe de villages, si 1~s cnfmts d'un seul village en $ge d'être circoncis, ne sont

chef des circoncis (buX ngi butmi) (3) qui9 moyen" quelques cadeaux en nature et le

serait la risic de tous ses cariarades et chose plus grave cncorc, aucune bcllo fillc ne

Elle 11;: pas n4cessairerncnt lieu au nivmu d'un village, imis parfois d'un

cole, la date n dt6 mpouss6e au nois d-'xvri19 pc-ndmt lr;s grandes ~ac~mces.

Les enfants sont gGnéralesnt circoncis entre 9 e$ 12 ans, In circomision et

lieu au iiois d'avril (2), IC père désirant faim circoncire son fils ira le présenter au

La circoncision qui précèdc il

concis l'endroit oh a. lieu la circoncision.


los rites d'initiation qui l'acconp,?,gncnt n'ont pas en effet lieu chaque zmnde ni m&ie

1 enfant.

Cette pmtiquc est actuellenent tr&s répandue, celui qui refusorait de la subir

tiquée chez lcu Guiziga cicpis ussei: peu (30 txp. Introduite k ZuzS en 1953 par B..Z..

Une dizaine de jours avant la date fixhe pour 13 circoncision qui a &nt-I-r,dc?ment

plusieurs kiloinktres du village. Ayant confie leurs enfants au chef de In circoncision,

(3) ~e chef des circoncis cst le plus ancier, des circoncis du village dans lequel a lieu

5 ans, lcs enf,mts de PTussurtlnk se joignant r6gÜLièrcncnt à ceux de Muda.

pas suffisament nocibreux. Ainsi, il n'y a, pas CU ric circoncision à MussuriMc depuis

diatment les 6preuvcs de 1' initiietion est pra

à pdriodicitd r6giìière (1 ) e

(1) A Zuzuï pi;r OX(?ii~ph les dernières circoncisions ont eu lieu en 1961 et 1966.

la circoncision.

La prenièrc t,?che du Buïbutwfi ser? de classer par ordre de rx5rite les futurs

circoncis, après avoir pris conseil suprès dcs vieux du villagc, et dc leur ettribuer

clnssds .

Ce classenent est dlautait plus iciportm'c qu'il durc toute la vie : dix ms

tiation. Enfants, ils n'6taient somis 8. aucune contrainte sociale, en passe de

.I

sera contre Modibo unk cxpddition punitive.

sol, se nourrissant de ce que leur père ou frère dQj& circoncis aura bien voulu leur

teups I ils trmailleront dans les chmps des pBres des circoncis.

ne pourront 6trL utilisés par

vailleront en effet "IJS lus chcamps du chcf des circoncis, puis d,ms les chmps de

leur gardien ; ils aideront ensuite les vieux du village et cnfin, s'il leur reste du
son suivnnt im6dint se nolmm YLrir-ic Armc!ou (nou d'un lamido iie Mindif), le troisièrae

1 'enfant devra qgrendre son rude rli6tier d' 3,gricultcur. Les nouveaux circoncis tra

L'apprentissage des travaux ngricolcs terillin< ICs circoncis se consacreront

tngeront nvec les vieux du village.

I butmi regag" lc village, abandonmnt les enfnnts aux soins de gardicns choisis pour

auprès du futur chef des circoncis du village de IvIodibo, qui le moiient venu, orgmi

terminologie Fulb6 dssignant les titres hidrarchiques

les interess& qiae pour st d6signcr mtrd circolieis dc In i.i&ie pronotion ; personne au

puis Sarki fzda (hdraut du Lmiido)

senter ses respects ; dans le c2s contmirc, cz dernier pourrait Filler se plaindre

leur sagessc?, qui auront Ir chargc. de diriger les épreuves dc I'inititLtion.

après zvoir 34 circoncis, It norm6 Modibo rcncontrmt le nom4 Lauido devrn lui pré

PendCant les trois mois que durcront les Lpreuves de l'initiation, les en

Les dem dernières scixines de la p6riodc de 1 * iiGti:] tion seront consacrées

vilkUgep et surtout pas les fcinmes, nc devr2 connaître l'ordre: clans lcquol ils ont Bt6

apporter.

Yerim Maïgari (fils d'un lanido de Bindif) riodibo

B la chasse et enverront une part du gibior capture nu chef dcs circoncis qui 1.0 par;.

Au cours du premier I;iois, d&s 5 lieures le natin et jusqu'à lr nuit tonb6e,

plinsi classés, les enfxnts seront circoncis ; llopération teminCc, le

(marabout) , lawcme (chef de village)Alknli, YGril,:x, Trujmm.. . Ces now enprunt6s à la

& l'instruction civique, c'est dl,ailleurs lå une dcs fonctions csscntiellbs de l'ini

en cons6quencc lour nouveau nom. L'enfmit jug( li: plus m&itant sem d6nomi6 L,&do

fants seront soiu.iis & un rythme de vie p:d5xdièrcmmt pGniblc, couchttnt & ì&ne le

devenir des homes, ils nc peuvent ignorer plus longtenps lcs règles de la vie en
société. Les gardiens devront donc leur apprendre leurs devoirs de respect envl2rs leurs

avant la circoncision, il carrive aussi qu'il soit la cons6quence de la r.iauvaise réputa

parents qui heritent d'une forcc de travail stlppldnentcaire Liais cncore la cor;zl;lunaut6

ses camirades classds après lui et ninsi de suite, si bien que IC dernier class6 rcccvra

---__I

parents et los personnes plus âg&s quteux, leurs devoirs de coopdration avec les autres

tion de son père au village. De façon à éviter que son fils ne soit puni pour des fautes

-rillageois en netikre de trvaux des champs. . ils leur apprendront ce qu'est le et

neur, les d,unses seront pratiquement ininterrorapues pendCant deux jours et deux nuits.

Leurs soeurs et frères non oirconcis devront 5, cette occasion les coumir de cadeaux

villageoise dans son enoonblc..

- c'est du village qu'ils recevront leur nourriture,

De retour au village, les circoncis seront fêtés corme il s(: doit. Encore en

les jeunes initi6s pour ldsqucls ellos i.iarquent leur entrdc dans la soci6t4, et leurs

(vêteriients, argents, poulcts.. .). D6soriiais trzvailleurs a part entière, ils ne gmderont

- c'est en partie nu village qu'ils offrent leur travail,

plus leurs troupeaux et nc jouiront plus dc 12 libertd dlnnt,m, iiais dcvront travailler

Solidaires des initi6s lors de 1:i. fete du village qui clôture la période d'ini

brousse., los enfants garderont des contacts 12~t:c IC village :

leurs durerîcnt rdprimhes puisque chaque bcllig6rant doit offrir un nouton au chef des

geois, et des querelles au sein du village pourraient la compromettre (clles sont dlail

(1) Si le mauvais classement de l'enfant. est dQ en principe aux fautes qu'il a pu comettE

qui lui ont vdu un si imuvais olasscment (I).

tiation, les villngcois le sont aussi pend,ult I.'initiztion. Bien qu'isol6s en pleine
nutant de coups de bâton qu'il y a de circoncis, pnyrtnt ainsi trks cher lcs fautes pass6cs

l'attitude A adopter 8. son égard. ..

fants trois rnois auparavant, c'est en hor" qu'ils smont accueillis par les vill-tgeois;

- In r6ussite de l'initiation dépend. d'ailleurs en grande pcartie de l'attitude des villa

la bière de 151 coulern B flots, cles poulets et des iioutons scront dgorgds en leur hon

circoncis et papr au chef une aiende de l'ordre de 500 CFA3

Toirte faute commise par l'un des circoncis au cours des épreuves cl'initiation

constat6 la faute donnora un coup de bcton B chacpe circoncis puis donnera son b3ton au

Les cérdinonies dc l'initiation intdressent à plusieurs titres, non soulemnt

(paresse , ddficicnca physique . . ) cntraîwra me sanction collective. Le gardien zyant

nom6 LLmido, c'est-à-dirt- & l'enfant jug6 le plus ri6ritr,nt, qui battra 8. son tour tous

cn pemanencc, jusqu'h leur m,riagc, d,ws les chmps dc leur pèrc.

qu'il n'a pas comises, le pere pourra faire circoncire son fils dans un nutre village.

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sanction contre les villageois qui auraient enfreint les lois socinles, garwtissnnt

pas jqgéc satisfaisante par les vieux du village, ils devront sL1bi.r la bastonnade de la

Les non initiés cn effet, ct notmnent les femes, qui ont eu une i.~auvczise con

tion nieux class& qu'eux, et ce quel que soit leur $ge. I1 pcut nênc arriver qu'un

jeune horme qui n'a nnnifostenent pas tmu conptc des coiiwils donnds au cours de son

feimes, initids ct non initiEs.

initiation soit invite par lc chdf des circoncis ou les anciens du village B. en subir

à nouveau lea dpreuves.

rendre visite am nouveaux initiés. Si lcur conduite depuis la dern.ii?re initiation n'est

dans leur hay, nu cours d"p6ditions punitives g6n6rCdeLrcnt nocturnes, rim& par les

pas de forme d'entr'nidc particulière nu nivcm du groupe' (sinon 8 l'occasion du trzvzi.1


nouveaux initids sous 12" conduite, de leur 6ductrteur (1 ).

châtids pour leurs fautes passdes, il cn est de même di. tous 12s villageois, homes ou

mnt ensemble et font 19" veill6e, tnntÔt chez l'un, tantat chez l'mtre), Les co-initiés

solid,?ires les uns des autres ~endnnt les &preuves ~i6ixs de l'initintion (ils font l'ob

Par ailleurs, si les enfants 3u cours des Bpreuvcs dc l'initiation sont durement

pour y expier 6vcntuellencnt ses fautes serait poursuivi par les nouveaux initids et battu

L',ancien initid qui rafuserait de se rendre sur les lieux de In circoncision

au su de tout le monde coiu;ne un vulgaire non initii.

duite depuis ln dernihrc initiation, sont ch8tik dans le villnge in6cle et parfois m8ne

condition d'enfnnt (r.mmgal) 8. cclle de jeune hoLr.ie (gaoln) si clle est un noyen de

jet de smctions collectives) clt les quelques mois qui suivent (ils se pronknent fréquem

ainsi, dans unti certaine neswe, la lxx" narche de la com.iuaut6 villageoise, on nc

peut pas dire qu'elle donne naissancc 8. dc dritablcs "classes dt$gc9'. Profond&ient

A chaque initiation, les nnciens irriti& du village doivent obligatoirenent

Si l'initiation, vdritnble &cole tmditionndlt , iilarquc 1c pnssnge de la

min du chef des circoncis ou du gardien, ou cncorc de l'un dc lzur c,?mnradc d'initia

n'affimeront leur solidnritd qu'8 l'occ~~sion d'une nouvelle initiation. Entre terqs,

dans le chmp du futur beau-père), t~ucun sentirnorit de responsp.bilit6 collective.

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