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ACTIVITES TOMODENSITOMETRIQUES AU CENTRE HOSPITALIER

UNIVERSITAIRE SOUROSANOU DE BOBO-DIOULASSO

Article · January 2013

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6 authors, including:

Nikièma Zakari Issiaka Sombié

CHU SS West Africa Health Organisation
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 BURKINA MEDICAL, 2013, Vol. 017, N° 02

ACTIVITES TOMODENSITOMETRIQUES AU CENTRE HOSPITALIER

UNIVERSITAIRE SOUROSANOU DE BOBO-DIOULASSO

Z Nikièma1, I Sombié2, P Ilboudo1, SS Traoré1,

B Traoré/Zorom1, C Lougué/Sorgho3, R Cissé4

RESUME SOUROSANOU NATIONAL TEACHING

HOSPITAL OF BOBODIOULASSO, BURKINA
Objectif : faire le bilan des FASO
examens scanographiques réalisés au
Centre Hospitalier Universitaire Sourô ABSTRACT
Sanou de Bobo-Dioulasso de juillet 2008 à
décembre 2010.
Objective: to review Computed
Méthodologie : étude rétrospective
Tomography (CT) activities made in Souro
à visée descriptive portant sur tous les
Sanou National Teaching Hospital of
patients ayant bénéficié d'une exploration
Bobo-Dioulasso (SSTH) from July 2008 to
scanographique protocolée au CHU SS.
December 2010.
Résultats : notre étude a permis de
Methodology: This study used
colliger 2020 scanners effectués pour 1981
descriptive and retrospective method, and
patients sur une période de 30 mois. Les
focused on patients who underwent CT
hommes représentaient 66 % avec une sexe
examinations at SSTH.
ratio de 1,94. L'âge moyen des patients
Results: A total of 2020 CT
était de 44± 19 ans. Les régions crânio-
examinations have been made for 1981
encéphalique (52,92 %), rachidienne
patients during the study period (30
(24,26 %) et abdomino-pelvienne (7,18 %)
months). Male sex represented 66 % with a
étaient les plus explorées. Les indications
sex ratio of 1.94. The mean age of patients
neurologiques non traumatiques (22 %)
was 44±19 years old. The pate-encephalic
étaient les plus fréquentes. Les
(52.92 %), spinal (24.26 %) and abdomino-
explorations scanographiques étaient
pelvic (7.18 %) areas of the body were the
anormales dans 75,4 % des cas et mettaient
most explored. The neurological
en évidence 2.002 pathologies médicales
indications (22 %) were the most
ou chirurgicales, traumatiques ou non. Ces
prevalent. The 75.4 % of CT examinations
pathologies étaient isolées ou associées
were abnormal and related to 2002 medical
chez le même patient. Ce qui donne une
or surgical cases, traumatic or not
moyenne de 801 pathologies par an. Les
traumatic cases. These pathologies were
plus fréquentes étaient l'AVC ischémique
isolated or associated for the unique
(12,6 %), la discarthrose lombaire (8,9 %),
patient. And a mean of 801 pathologies per
la hernie discale lombaire (8,6 %), l'AVC
year was noticed. In details, the most
hémorragique (5,5 %).
frequent pathologies were about ischemic
Conclusion : le scanner est d’un
stroke (12.6 %), lumbar degenerative disc
apport diagnostic réel malgré des
(8.9 %), lumbar disc hernia (8.6 %), and
difficultés liées à son fonctionnement et à
hemorrhagic stroke (5.5 %).
sa sous-utilisation au CHUSS.
Conclusion: CT examination is a
real exam supporting diagnosis despite the
Mots clés : scanner, prescription,
difficulties related to its functioning and its
réalisation diagnostic, CHU SS. underutilization in SSTH.
APPRAISAL OF COMPUTED
TOMOGRAPHY (CT) ACTIVITIES IN

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 Z Nikiéma et Coll. BURKINA MEDICAL, 2013, Vol. 017, N° 02
Activités tomodensitométriques au Centre Hospitalier
Universitaire Souro Sanou de Bobo-Dioulasso

Key words: Computed Tomography, recueillies étaient saisies à l'aide du

Prescription, Diagnosis achievement,
SSTH.
__________________________________
INTRODUCTION
Le scanner du Centre Hospitalier
Universitaire Souro Sanou de Bobo-
Dioulasso (CHU SS) a été acquis et mis en
fonction en juillet 2008. Cette acquisition a
considérablement amélioré les capacités
diagnostiques du service d’imagerie
médicale. Mais des difficultés ont limité
son utilisation optimale : une population à
faible revenu et sans couverture sociale
avec 45,27 % vivant avec moins d'un
dollar (1 $) par jour (10) ; des pannes
techniques récurrentes de l'appareil parfois
sur une longue période comme celle de
décembre 2010 à novembre 2011. Le but
de notre de faire le bilan de nos activités
scanographiques réalisées au CHU SS de
juillet 2008 à décembre 2010.
MATERIEL ET METHODES
Notre étude s’est déroulée dans le
service de radiodiagnostic et d’imagerie
médicale du CHU SS. Il s’agissait d’une
étude rétrospective à visée descriptive sur
une période de 30 mois allant de juillet
2008 à décembre 2010. Elle a permis de
collecter des informations à partir du
registre des examens scanographiques, sur
tous les patients ayant bénéficié d’une
exploration protocolée au scanner. L'étude
tomodensitométrique était menée sur un
scanner multi-détecteurs muni de six
barrettes de marque Siemens Somatom
Emotion 6. Les examens étaient réalisés
selon des protocoles variables, en fonction
des indications, de l’état rénal, de
l’urgence, avec ou sans injection de produit
de contraste. Pour chaque patient, l'âge, le
sexe, l'indication de la prescription, et les
résultats de l'examen scanographique
étaient collectés à l’aide de fiches
d’enquête structurées à partir des différents
examens protocolés. Les informations
logiciel Epidata Entry 3.0 ; l'analyse des
données était effectuée à l'aide du logiciel
Epidata Analysis V2.2.1.171. Une analyse
descriptive était réalisée.
RESULTATS
En 30 mois d’étude, nous avons
colligé 2020 explorations scanographiques
pour 1981 patients sur 144548 examens
d’imagerie médicale (scanners,
échographies, radiographies standards et
spécialisées) réalisés durant cette période.
La proportion des examens
scanographiques représentait 1,4 % de
l’ensemble des examens effectués. Par
année, nous avons colligé 460 cas en
2008 ; 812 cas en 2009 ; 748 cas en 2010 ;
ce qui donne une moyenne de 808 scanners
effectués par an soit 67 scanners par mois.
Mille trois cent sept patients étaient
de sexe masculin (66 %) avec un sex-ratio
de 1,94. L’âge moyen des patients était de
44,03 ± 19,68 ans avec des extrêmes de 11
mois et 90 ans. La tranche d’âge de 40 à 49
ans était la plus représentée avec 18,3 %
suivie de celle de 50 à 59 ans avec 17,9 %.
La répartition des types d’examen
est représentée dans le tableau I. On note
que les scanners les plus réalisés étaient
crânio-encéphaliques, suivis des scanners
lombaires et abdominaux.

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Activités tomodensitométriques au Centre Hospitalier
BURKINA MEDICAL, 2013, Vol. 017, N° 02 Universitaire Souro Sanou de Bobo-Dioulasso

Tableau I : Répartition des types

d’examen réalisés

Type d'examen EffectifFréquence

( %)
Crânio encéphalique 1 069 52,92
Rachis* 490 24,26
Abdomino-pelvien 145 7,18
Uro-scanner 72 3,56
Face 60 2,97
Arthro genou 45 2,23
Musculo squelettique 41 2,03
Pulmonaire 37 1,83
Oculo-cérébral 35 1,73
Arthro épaule 15 0,74
Larynx 6 0,30
Angio TDM 2 0,10
Rocher 2 0,10
Thyroïde 1 0,05
Total 2 020 100,00
Rachis*: cervical (85), thoracique (23), Figure 1: coupes axiales scanographiques
lombo-sacré (363), myélo-scanner (19). chez un patient de 77 ans présentant à
décrire un AVC ischémique à différentes
Le tableau II (joint en annexe) phases, subaigue thalamique bilatérale plus
donne les anomalies les plus fréquemment conséquente à gauche (flèches a, b),
rencontrées. Le scanner était anormal dans capsulo-lenticulaire droit (flèches c) ;
75,4 % des cas. Les anomalies étaient chronique, réalisant une vaste plage
multiformes et souvent associées. ischémique temporo-occipito-pariétale
L'accident vasculaire cérébral (AVC) gauche source d’une encéphalo-malacie
ischémique était noté dans 12,6 % des cas intéressant la corne postérieure du
(figure 1) suivi de la discarthrose lombaire ventricule latéral homolatéral ( étoiles, a-
avec 8,9 %. La figure 2 décrit des images d).
d’AVC hémorragique et la figure 3 montre
des images d’un Mal de Pott étagé.

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Z Nikiéma et Coll.
Activités tomodensitométriques au Centre Hospitalier
Universitaire Souro Sanou de Bobo-Dioulasso
Figure 3 : aspect scanographique d’un Mal
de Pott étagé associant une atteinte de la
3ème côte gauche (a, flèche), une ostéolyse
de T9-T10 avec des séquestres osseux (a,
têtes de flèche) et fuseau paravertébral (a et
b, petites flèches). Ces mêmes aspects sont
notés en L4-L5 avec abcès du psoas
gauche (c, étoile).
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BURKINA MEDICAL, 2013, Vol. 017, N° 02
Figure 2 : images scanographiques en
coupes axiales d’un AVC hémorragique
aigu chez une patiente de 75 ans
matérialisée par un hématome thalamique
de 28 x 24 mm (flèches a, b, c), source
d’une inondation hémorragique des cornes
postérieures des ventricules latéraux (têtes
de flèche, c) et d’un effet de masse
significatif sur le ventricule latéral gauche.
A noter une absence d’anomalies de la
fosse postérieure (d).
DISCUSSION
Dans la littérature, le nombre
annuel d'examens scanographiques varient
entre 5 000 et 30 000 (1, 2, 8, 9, 14). Sur
plus de deux ans et demi, nous n’avons
colligé que 2 020 d’explorations
scanographiques avec un nombre moyen
annuel de 808 cas largement en dessous
des données de la littérature. Cette sous-
utilisation pourrait s'expliquer par la

Activités tomodensitométriques au Centre Hospitalier
BURKINA MEDICAL, 2013, Vol. 017, N° 02
précarité des revenus des populations face
au coût élevé de l'examen (10). En effet, le
coût d'un examen scanographique varie
entre 30.000 et 75.000 FCFA (54 et 136 $)
pour une population dont 41 % vivent avec
moins de 1 dollar par jour (10). A cela
s'ajoutent les défaillances récurrentes de
l'appareil.
La prédominance masculine a été
également constatée par MIDEZ et Al (9)
et METTLER et Al (8) avec des sex-ratios
respectif de 1,17 et 1,27. Cette
prédominance pourrait s'expliquer par le
fait que dans notre contexte, les femmes
ont moins accès aux centres de santé par
ignorance ou par manque de moyens
financiers (10). En effet, les conditions
socio-économiques et les pesanteurs
socioculturelles détermineraient la faible
participation des femmes à la vie
économique et publique (10).
Les manifestations neurologiques crânio-
encéphaliques non traumatiques (33,2 %),
réparties en déficit moteur (22 %), en coma
(6,2 %) et en céphalées (5 %),
représentaient les motifs les plus fréquents
de demande de scanner. L'importance du
recours au scanner pour le diagnostic des
pathologies neurologiques est décrite dans
la littérature (2, 4, 7, 11).
Les douleurs rachidiennes constituaient le
deuxième motif de demande de scanner.
On note que leur contribution était
beaucoup plus élevée dans les données de
la littérature qui rapporte des proportions
de 41 et 61 % (5, 6). Cette différence
s'expliquerait par le fait que la radiographie
conventionnelle occupe encore une place
prépondérante dans le diagnostic des
pathologies rachidiennes dans notre
contexte.
Les traumatismes crânio-encéphaliques
sont des indications fréquentes de
réalisation du scanner dans la littérature
avec un taux qui se situe entre 11 %
retrouvé chez FLAIS et Al. (2). et 25 %
noté chez SIDIBE et Al. (12). Dans notre
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Z Nikiéma et Coll.
Universitaire Souro Sanou de Bobo-Dioulasso
étude, ils occupent la troisième place avec
un taux inférieur (9,5 %).
L'exploration encéphalique était réalisée
dans 52,9 % des cas. Ce taux est supérieur
à celui de MIDEZ et Al en Suisse en 2006
(24 %) (9). Cette différence pourrait
s’expliquer par prédominance de la
réalisation de cet examen dans notre série
contre la plus grande diversité des
demandes d’examens dans la série suisse.
Toutefois ce constat confirme la place du
scanner dans le diagnostic des pathologies
neurologiques traumatiques et non
traumatiques et sa contribution dans leur
prise en charge (2, 4, 7, 11-13).
Le scanner du rachis était le deuxième
examen le plus effectué dans 24,3 % des
cas. Ce constat était également noté dans la
littérature (5, 6).
L'exploration abdominale et/ou pelvienne
occupait la 3ème place dans notre série avec
7,2 %. Ce taux est inférieur aux taux de la
littérature qui varient entre 8 et 29 % (4, 8,
9). Cela pourrait s'expliquer par le fait que
l'échographie et la radiographie de
l'abdomen sans préparation (ASP) étaient
plus sollicitées pour le diagnostic des
affections abdominales et/ou pelviennes
dans notre contexte.
Le scanner thoracique représentait 1,8 %
des demandes. Ce taux est inférieur à celui
MIDEZ qui rapportait 15 % (9) et pourrait
s’expliquer par le fait que la radiographie
conventionnelle occupe toujours une place
importante dans le bilan des pathologies
thoraco-pulmonaires. Toutefois, le scanner
fournit une excellente appréciation du
parenchyme pulmonaire ainsi que du
médiastin (13).
Parmi les examens effectués, 24,6 %
étaient normaux. Compte tenu du coût
élevé du scanner, il n'est prescrit que s'il
est indispensable, ce qui pourrait justifier
le faible taux de résultats normaux dans
notre contexte.
 Z Nikiéma et Coll.
Activités tomodensitométriques au Centre Hospitalier
Universitaire Souro Sanou de Bobo-Dioulasso
En 30 mois, au total, 2 002 pathologies
médicales ou chirurgicales, traumatiques
ou non, ont été diagnostiquées. Ces
pathologies étaient isolées ou associées
chez le même patient. Ce qui donne une
moyenne de 801 pathologies par an.
En général, les pathologies neurologiques
étaient les plus fréquentes. Les accidents
vasculaires cérébraux prédominaient avec
18,1 % des pathologies rencontrées. En
effet, le scanner présente un grand intérêt
dans le diagnostic et la prise en charge des
AVC en fournissant une précision sur la
nature et le siège des lésions. Les atteintes
rachidiennes, essentiellement composées
par la discarthrose lombaire (8,9 %), la
hernie discale lombaire (8,6 %), la
compression radiculaire (4,6 %) et
l'Arthrose cervicale (2 %), constituaient le
deuxième groupe de pathologies le plus
fréquent.
Les performances diagnostiques du
scanner se sont largement améliorées ces
dernières années et en font un examen
radiologique de choix pour un grand
nombre de situations tant en traumatologie
qu'en pathologie non traumatique (7, 13).
Mais elles ne doivent pas faire occulter son
caractère irradiant et sa spécificité moindre
dans certains domaines face à l'imagerie
par résonance magnétique (IRM) (1, 8, 9,
14).
CONCLUSION
Le scanner, modalité d’imagerie
médicale de pointe, constitue un atout
majeur diagnostic dans notre hôpital. En
effet, il a permis le diagnostic des diverses
pathologies notamment des accidents
vasculaires cérébraux qui étaient dominés
par les accidents ischémiques. Cependant
son installation optimale dans notre
structure est confrontée à son accessibilité
financière des populations et au manque
d’une planification adéquate de sa
maintenance préventive et curative.
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BURKINA MEDICAL, 2013, Vol. 017, N° 02
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 Z Nikiéma et Coll. BURKINA MEDICAL, 2013, Vol. 017, N° 02
Activités tomodensitométriques au Centre Hospitalier
Universitaire Souro Sanou de Bobo-Dioulasso

Tableau II: Répartition des patients en fonction des - Fracture/luxation rachidienne 35 1,75 - Hémarthrose 1 0,05
anomalies - Tumeur rachidienne 14 0,70 - Capsulite de l'épaule 3 0,15
- Lystésis avec lyse isthmique 28 1,40 - Métastases musculaires 2 0,10
- Métastases rachidiennes 4 0,20 - Malformation complexe osseuse 1 0,05
Anomalies Effe Pourcentage
- Tumeur de la moelle cervicale 1 0,05 - Fracture/luxation costale 4 0,20
ctif (%)
- Fibrose postopératoire lombaire 1 0,05 - Métastases costo-claviculaires 4 0,20
Neurologiques/Maxillo-faciales - Spina bifida 1 0,05 - Fracture du manubrium sternal 1 0,05
- AVC ischémique 253 12,64 Abdomino-pelviennes - Fibrodysplasie ossifiante 1 0,05
- AVC hémorragique 115 5,49 - Tumeur hépatique 20 1 progressive
- Hématome sub-dural 49 2,45 - Uro-lithiase 33 1,65 - Ostéoporose 1 0,05
- Hématomes épi-dural 28 1,40 - Tumeur rénale 18 0,90 Pulmonaires
- Contusion oedémateuse 44 2,20 - Tumeur pancréatique 17 0,85 - Tumeur pulmonaire 15 0,75
-Atrophie cérébrale 104 5,19 - Tumeur intestinale 16 0,80 - Suspicion tuberculose pulmonaire 1 0,05
- Leucoaraïose 19 0,95 - Cirrhose hépatique 7 0,35 - Métastases pulmonaires 2 0,10
- Tumeur cérébrale 44 2,20 - Métastases hépatiques 10 0,50 - Embolie pulmonaire 2 0,10
- Méningo-encéphalite 25 1,25 - Abcès hépatique 2 0,10 - Pleurésie 2 0,10
- Engagements cérébraux 21 1,05 - Ascite 11 0,55 - Fibrose rétractile 2 0,10
-Abcès cérébral 14 0,70 - Pancréatite 8 0,40 - Bronchectasie 1 0,05
- Suspicion de toxoplasmose 19 0,95 - Cholécystite 4 0,20 - Emphysème pulmonaire 1 0,05
- Métastases cérébrales 4 0,20 - Lithiase vésiculaire 4 0,20 Angio-TDM
- Neurocysticercose 4 0,20 - Cholangiocarcinome vésiculaire 2 0,10 - Rétrécissement du calibre de 1 0,05
- Hydrocéphalie 19 0,95 - Tumeur splénique 3 0,15 l’artère tibiale
- Leuco-encéphalopathie 1 0,05 - Occlusion intestinale 1 0,05 - Malformation artério-veineuse 3 0,15
multifocale progressive - Autres tumeurs abdominales 13 0,65 - Anévrysme aorte 1 0,05
- Schizencéphalie 1 0,05 -Suspicion tuberculose péritonéale 1 0,05 Corps étrangers* 5 0,25
- Malformation de Dandy Walker 2 0,10 - Adénopathies 5 0,25 Total 2002 100,00
- Agénésie du corps calleux 9 0,45 - Hydronéphrose 12 0,60
- Rétinoblastome 3 0,15 - Hypertrophie prostatique 8 0,40
- Rétinoblastome trilatéral 13 0,65 Corps étrangers* : projectiles de balles (04) ; fragments osseux
- Tumeur vésicale 8 0,40
- Exophtalmie 17 0,85 (01)
- Tumeur ovarienne 1 0,05
- Anophtalmie 1 0,05 -Autres tumeurs pelviennes 7 0,35
- Calcification oculaire séquellaire 1 0,05 - Malformation rénale 3 0,15
- Autres tumeurs oculaires - Pyélonéphrite 1 0,05
- Fracture de la voûte crânienne 77 3,85 Ostéo-articulaires
- Fracture crânio-faciale 32 1,60 - Ostéomyélite 10 0,50
- Disjonction crânio-faciale 8 0,40 - Ostéosarcome 10 0,50
- Tumeur maxillo-mandibulaire 18 0,90 - Ostéonécrose tête fémorale 12 0,60
- Autres tumeurs de la face 8 0,40 - Fracture pathologique 4 0,20
O. R. L. - Fracture traumatique 7 0,35
- Sinusite 21 1,05 - Coxarthrose 5 0,25
- Tumeur du larynx 4 0,20 - Épanchement liquidien genou 6 0,30
- Cholestéatome 2 0,10 - Tumeur musculaire 6 0,30
- Nodules thyroïdiens 1 0,05 - Dysplasie coxo-fémorale 4 0,20
Rachidiennes - Rupture ligamentaire 4 0,20
- Hernie discale 189 9,44 - Myélome 3 0,15
- Compression radiculaire 91 4,55 - Lésions méniscales 25 1,25
- Rétrécissement canalaire 36 1,80 - Rupture de la coiffe des rotateurs 1 0,05
- Discarthrose 219 10,94 - Autres tumeurs osseuses 3 0,15
- Spondylodiscite 31 1,55 - Chondrocalcinose 1 0,05

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