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ASPECTS SCANOGRAPHIQUES DES ACCIDENTS VASCULAIRES CEREBRAUX


AU CHU CAMPUS DE LOME, TOGO (A PROPOS DE 314 CAS)

Article · January 2011

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6 authors, including:

Lantam Sonhaye Mazamaesso Tchaou


Université de Lomé Université de Lomé
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Lama Augustin Kegdigoma Agoda-Koussema


Université de Lomé
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J. Rech. Sci. Univ. Lomé (Togo), 2011, Série D, 13(2) : 31-36

ASPECTS SCANOGRAPHIQUES DES ACCIDENTS VASCULAIRES CEREBRAUX


AU CHU CAMPUS DE LOME, TOGO (A PROPOS DE 314 CAS)

SONHAYE L.1, TCHAOU M.1, ADJENOU K.1, AGODA-KOUSSEMA L.K.2,


N’TIMON B.3, N’DAKENA K.1.
1- Service de radiologie du centre hospitalier universitaire Campus de Lomé
2- Service de radiologie du centre hospitalier universitaire Tokoin de Lomé
3- Service de radiologie du centre hospitalier universitaire de Kara

Tiré à part : Dr TCHAOU Mazamaesso


Service de Radiologie du CHU Lomé
BP 14148 Lomé (Togo)
Téléphones : (228) 913 73 33/ 336 19 69
Email : joseph_tchaou@yahoo.fr

(Reçu le 29 septembre 2010; Révisé le 15 mars 2011; Accepté le 22 mars 2011)

RESUME

Objectif : évaluer la place de la TDM dans les AVC


Méthodologie : étude rétrospective réalisée au CHU Campus de Lomé à partir de 314 compte-rendus sur
une période de 36 mois. Faisaient partir de l’étude les patients ayant bénéficié d’un examen
tomodensitométrique pour un déficit neurologique hémicorporel d’installation brutale avec des facteurs
de risque ; étaient exclus ceux dont les résultats du scanner ne pouvaient expliquer l’état neurologique.
Résultats : Pour l’étude, 314 dossiers de malades ont été retenus et il est noté une prédominance des AVC
ischémiques (71,33%).
Les aspects scanographiques observés dans les AVC ischémiques diffèrent selon la durée qui séparait la
réalisation du scanner et le début de survenue du déficit :
- phase initiale : un scanner normal (15,62 %), une hypodensité corticale mal limitée (5,81%), une perte
de l’interface substance blanche-substance grise ou une hyperdensité endoluminale (1,34%) ;
- phase intermédiaire : disparition du troisième et ou des ventricules latéraux (8,03%), disparition des
espaces sous arachnoïdiens (4,46%), hypodensité bien limitée ;
- phase séquellaire : dilatation des sillons (18,75%) ou des ventricules (15,18%), hypodensité à limite
nette (12,05%).
Les AVC hémorragiques se présentaient dans 83,33% sous forme d’une hyperdensité spontanée.
La systématisation artérielle nous a permis de noter dans les AVC ischémiques et hémorragiques
respectivement une atteinte de la cérébrale moyenne profonde (44,20 et 70%), de la cérébrale moyenne
superficielle (15,62 et 18,89%), et de la cérébrale antérieure (9,38 et 6,67%).
Conclusion : La TDM en urgence sans injection de produit de contraste de préférence dans un délai de 6
heures par rapport au début des troubles est indispensable pour différencier un AVC ischémique d’un
AVC hémorragique. La prise en charge adéquate et suivie du patient dans un service d’urgence en
dépend.

Mots clés : Accidents vasculaires cérébraux, tomodensitométrie, Lomé.

ABSTRACT

Objective: to evaluate the place of the TDM in the AVC


Methodology: retrospective study carried out with the CHU Campuses of Lome from 314 account-
returned over one 36 months period. Made leave the study the patients having profited from an
examination tomodensitometric for a neurological deficit hémicorporel from brutal installation with
factors from risk; those were excluded whose results of the scanner could not explain the neurological
state.
Results: For the study, 314 files of patients were retained and it is noted a prevalence of the ischaemic
AVC (71.33%). The aspects scanographic observed in the ischaemic AVC differ according to the
duration which separated the realization from the scanner and the beginning from occurred of the deficit:
- initial phase: a normal scanner (15.62 %), a cortical hypodensity evil limited (5.81%), a loss of the
interface substance gray white-substance or a hyperdensity endoluminale (1.34%);

31
SONHAYE L. & al.

- intermediate phase: disappearance of the third and or the ventricles side (8.03%), disappearance of
spaces under arachnoïdiens (4.46%), well limited hypodensity;
- phase of after-effect: dilation of the furrows (18.75%) or the ventricles (15.18%), hypodensity with clear
limit (12.05%).
The hemorrhagic AVC were presented in 83.33% in the form of a spontaneous hyperdensity.
Arterial systematization enabled us respectively to note in the ischaemic and hemorrhagic AVC an attack
of the cerebral major average (44.20 and 70%), cerebral surface average (15.62 and 18.89%), and the
cerebral former one (9.38 and 6.67%).
Conclusion: The TDM in urgency without injection of product of contrast preferably within 6 hour
compared to the beginning of the disorders is essential to differentiate an ischaemic AVC from a
hemorrhagic AVC. The assumption of responsibility adequate and followed of the patient in an
emergency service depends on it.

Key words: Cerebral vascular accidents, tomodensitometry, Lome.

INTRODUCTION MATERIEL ET METHODES

D epuis Jean-Marie CHARCOT, considéré comme


le père de la neurologie [1], la démarche
diagnostique était bien codifiée. Cette démarche
C’est une étude rétrospective réalisée au pavillon
scanner du Service de Radiologie du CHU Campus
de Lomé à propos de 314 dossiers de malades sur une
diagnostique traditionnelle était basée sur le recueil période de 36 mois. Faisaient partir de l’étude les
des données par l’interrogatoire et l’examen clinique. patients ayant bénéficié d’un examen tomodensito-
Ces données étaient d’abord converties en termes métrique pour suspicion clinique d’accident vasculaire
d’anatomie et de physiologie pour établir le diagnostic cérébral (AVC) avec confirmation au scanner ou
topographique, puis l’introduction des données scanner normal ; nous en avions exclus les patients
évolutives et complémentaire aboutissait au diagnostic dont les résultats du scanner ne pouvaient expliquer
étiologique [2]. l’état neurologique.

La découverte de la tomodensitométrie par G.H. L’examen comportait pour chaque malade des coupes
HOUNSFIELD et son introduction en 1970 dans la orbitoméatales avant et, si nécessaire, après injection
pratique médicale, a révolutionné cette démarche de produit de contraste.
diagnostique [3]. La TDM a permis une nouvelle
approche de l’examen du patient, comme le souligne RESULTATS
Paul CASTAIGNE [4], plus appropriée pour aboutir à
un diagnostic assez précis. La TDM constitue Pour l’étude, 314 dossiers de malades ont été retenus
l’examen de base pour le diagnostic et le bilan des et il est noté une prédominance des AVC ischémiques
lésions en pathologie neurologique dans les pays (71,33%) ; les AVC hémorragiques étaient moins
développés [5]. fréquents (29,67%).

L’examen tomodensitométrique, malgré ses • Les accidents vasculaires cérébraux (AVC)


performances et sa fiabilité, peut néanmoins ne pas ischémiques :
donner davantage de renseignements dans l’urgence
[3]. Les aspects scanographiques observés dans les AVC
Après son introduction en 1990 en Afrique au Sud du ischémiques diffèrent selon la durée qui séparait la
Sahara et en 1998 au Togo il nous a paru utile réalisation du scanner et le début de survenue du
d’étudier la place de la TDM dans les accidents déficit neurologique.
vasculaires cérébraux à Lomé.

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Aspects scanographiques des accidents vasculaires cérébraux au CHU Campus de Lomé, Togo -
(A propos de 314 cas).

Tableau I : Aspects scannographiques des lésions d’AVC ischémique


à la phase initiale (avant 48 heures)

Nombre de cas Pourcentage (%)

- Scanner normal 35 15,62


- Perte interface SB-SG* 03 1,34
- Hypodensité corticale mal limitée 13 5,81
- Hyperdensité endoluminale 03 1,34
* SB-SG : Substance blanche-substance grise

Tableau II : Aspects scannographiques des lésions d’AVC ischémique


à la phase intermédiaire (72 heures à 3 semaines)

Aspect scanographique Nombre de cas Pourcentage (%)

- Hypodensité bien limitée 06 2,68


- Disparition des ESA* 10 4,46
- Disparition du V3 et ou VL 18 8,03
- Isodensité 04 1,79
ESA : Espaces sous-arachnoïdiens
V3 : troisieme ventricule
VL : ventricules latéraux

Tableau III : Aspects scanographiques des lésions d’AVC ischémique


à la phase séquellaire (3 semaines et plus)

Nombre de cas Pourcentage (%)


- Hypodensité à limite nette 27 12,05
- Dilatation des sillons 42 18,75
- Dilatation des ventricules 34 15,18
- Hypodensité punctiforme 14 6,25
- Infarctus hémorragique 07 3,13
- Hypodensité ischémique multiple 08 3,57

Tableau IV : Topographie des lésions d’AVC ischémique

Nombre de cas Pourcentage (%)


Territoire carotidien 155 69,20
Cérébrale moyenne profonde 99 44,20
Cérébrale moyenne superficielle 35 15,62
Cérébrale antérieure 21 9,38
Territoire vertébrobasilaire 27 12,05
Cérébrale post.profonde 08 3,57
Cérébrale post.superficielle 05 2,23
Tronc basilaire 02 0,90
Cérébelleuse 14 6,25
Sans systématisation artérielle 42 18,75
Total 224 100,00
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SONHAYE L. & al.

• Les accidents vasculaires cérébraux (AVC) hémorragiques :

Les AVC hémorragiques se présentaient dans 83,33% sous forme d’une hyperdensité spontanée.
La topographie des lésions observées avait permis une étude de la systématisation artérielle.

Tableau V : Topographie des lésions d’AVC hémorragique

Nombre de cas Pourcentage (%)


Cérébrale moyenne profonde 63 70,00
Cérébrale moyenne superficielle 17 18,89
Cérébrale antérieure 06 06,67
Cérébelleuse 03 03,33
Cérébrale postérieure 01 01,11
Total 90 100,00

DISCUSSION Il est important de signaler qu’une meilleure


connaissance des types d’AVC devrait nécessairement
Nous avons opté pour une étude rétrospective en vue passer par une TDM précoce et systématique.
d’évaluer la place de la tomodensitométrie dans les
accidents vasculaires cérébraux après l’introduction du Le diagnostic de la nature de l’AVC ne pouvait plus se
scanner dans notre pays. Notre étude a consisté en une faire uniquement sur des critères cliniques. Plusieurs
analyse des dossiers d’imagerie des malades ayant aspects scanographiques ont été observés. Dans les
bénéficié d’un examen tomodensitométrique AVC ischémiques, nous avons noté, à la phase
crânioencéphalique au pavillon scanner du CHU séquellaire une prédominance de la dilatation des
Campus. sillons et des ventricules. A la phase intermédiaire, le
maximum de fréquence a été observé sous forme
Toutes les études ont montré [6] que la TDM a d’effet de masse avec disparition du troisième
révolutionné l’approche diagnostique de la pathologie ventricule et des espaces sous arachnoïdiens. Les
vasculaire et a démontré l’existence d’erreur hypodensités corticales mal limitées et l’examen
diagnostique aussi bien en ce qui concerne le type que normal prédominent à la phase initiale.
la nature de l’AVC. Ce taux d’erreur diagnostique Nos résultats sont superposables à ceux de RICCI et
clinique a été estimé à environ 10 - 20 % [7]. al. [10].

La demande d’une TDM et sa réalisation en urgence D’autres études [11] ont également noté un maximum
devant des signes évocateurs d’AVC, permettent en de fréquence de la dilatation des sillons et des
quelques minutes, de retenir ou non le diagnostic ventricules.
évoqué et d’amorcer le traitement adéquat.
Nous avons noté une parfaite corrélation radioclinique Au scanner cérébral, après un AVC hémorragique
dans 81,10 % des cas. l’hyperdensité spontanée est l’image la plus
Sur le plan type d’AVC, les lésions ischémiques fréquemment rencontrée [12] ; dans notre série cette
viennent toujours en première place quelque soit hyperdensité a été observée dans 83,33% des AVC
l’auteur [8]. hémorragiques. Dans les études de BONAFE et al.
[13] l’hyperdensité spontanée a représenté 87 %. Le
La plupart des études dans les pays industrialisés ont taux de la diminution de l’hyperdensité (16,67%) n’a
montré que les AVC ischémiques représentaient pas été négligeable ; cette image a permis l’orientation
environ 80% [9]. Le taux élevé d’AVC hémorragique diagnostique d’une phase aiguë déjà passée.
dans notre série s’expliquerait par le biais de sélection
et de recrutement. L’intérêt de la TDM dans les AVC est de préciser
également le siège des lésions.

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Aspects scanographiques des accidents vasculaires cérébraux au CHU Campus de Lomé, Togo -
(A propos de 314 cas).

Dans notre étude, une nette prédominance de l’atteinte les facteurs de risque sont évocateurs.
de l’artère cérébrale moyenne profonde a été observée La normalité de la TDM, dépend aussi de la durée qui
dans les AVC ischémiques. Ces résultats sont sépare la survenue des signes cliniques et le temps de
conformes à ceux de la littérature [14] où l’atteinte de réalisation de l’exploration tomodensitométrique.
l’artère cérébrale moyenne profonde a été la plus Avant 24-48 heures, la TDM en pathologie vasculaire
habituelle avec 53 % des AVC ischémiques. cérébrale ischémique est le plus souvent normale.
Cependant RACHID [15] a trouvé que les infarctus Certains auteurs [19] ont noté un taux de positivité
cérébraux sylviens étendus représentaient 10 % compris entre 12 et 25 %. Plus sensibles [20], les
environ de la totalité des AVC ischémiques en France. séquences d’IRM en pondération T2 peuvent
reconnaître les lésions ischémiques dans les premières
Dans les AVC hémorragiques l’artère cérébrale heures en particulier depuis l’apparition de la nouvelle
moyenne est la plus atteinte avec une prédominance séquence FLAIR. Certains auteurs [21] ont même dit
de sa branche profonde dans 70% des cas. Ce résultat que « l’IRM de diffusion est l’ECG de l’attaque
est confirmé par MASSON et al. [16]. La lésion de la cérébrale ».
cérébrale antérieure qui a représenté 6,67 % dans notre
série a été estimée à 15,38 % par ROPPER et al. [17] De plus, ce temps de réalisation de l’examen TDM par
aux Etats Unis. rapport à la survenue des signes cliniques était
important dans la différenciation des AVC hémor-
La TDM en urgence sans injection de produit de ragiques, à savoir : hémorragie cérébro-méningée et
contraste est l’examen de choix en pathologie infarctus hémorragique. La première est spontanée et
vasculaire [3, 5], le but étant d’éliminer un AVC primitive tandis que la deuxième est une complication
hémorragique. des AVC ischémiques, survenant lors de la
revascularisation secondaire du foyer infarcis. Il est
Dans notre étude 35 examens TDM (10,18 %) étaient donc difficile de distinguer un hématome primitif d’un
normaux ; ceci oriente vers le diagnostic d’AVC remaniement hémorragique en l’absence d’un scanner
ischémique et en même temps pose le problème des précoce.
limites de la TDM en pathologie vasculaire.
MANELFE C. et al. [18] ont rapporté un taux plus La lacune par définition a une taille inférieure à un
élevé de 20% de TDM normales au cours des AVC. millimètre. Certaines lacunes sont passées inaperçues
AHMAD et al. [8] ont trouvé à Madagascar un taux à la TDM et ont constitué de ce fait ses limites. Ceci
de 26,32% ; ce taux faible dans notre série s’explique se concevait facilement, puisque les épaisseurs de
par la réticence des parents à réaliser la TDM à la coupe variaient de 5-10 mm. Donc les lacunes de taille
phase initiale. inférieure à 5mm peuvent passer inaperçues.

La TDM, comme tous les autres moyens d’exploration CONCLUSION


radiologique a des limites. MANELFE et al. en France
[18] les a classées en 3 groupes : AVC ischémiques Le diagnostic des AVC, malgré le problème de
mineurs ou la positivité du scanner ne dépasse pas l’urgence qu’ils avaient posé, était clinique, mais sa
20 % ; infarctus hémorragiques, difficiles à nature hémorragique ou ischémique est scano-
différencier d’un hématome lobaire et les lacunes, graphique.
dont beaucoup passent encore inaperçues.
La TDM en urgence sans injection de produit de
Dans notre étude 10,18% des examens TDM contraste de préférence dans un délai de 6 heures par
demandés pour un déficit neurologique d’installation rapport au début des troubles est indispensable pour
brutale chez des hypertendus étaient normaux. différencier un AVC ischémique d’un AVC
La normalité du scanner en pathologie vasculaire hémorragique. La prise en charge adéquate et suivie
cérébrale n’élimine pas le diagnostic, mais confirme du patient dans un service d’urgence en dépend.
l’absence d’hématome et donc conduisait à la mise du
patient sous traitement anticoagulant, si la clinique et

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