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Séance 2 – 12/09/22

Notes d’analyse : rapport avec lien à un sujet de l’actualité, review des acteurs involus, du
scénario global etc.

Glaser - Dilemme de sécurité : les états vont s’armer pour se défendre, en dépensant
beaucoup d’argent avec cela, des autres états/puissances. C’est un dilemme parce qu’ils
vont s’armer pour se défendre, mais causant plus de peur aux autres – tous les états passent
à être une menace aux autres. Même avec les alliés, les acteurs vont s’allier à d’autres pour
compenser les adversaires qui s’allient.
La coopération entre les états sera favorisée si les états communiquent entre eux et aussi
s’ils ont plus d’armement défensive (et pas offensive), avec une balance offensive-défensive.
La communication dans les démocraties va être plus fiable car il y a un contre-pouvoir
(indépendance des pouvoirs)
On attend que les démocraties aillent savoir mieux communiquer, cela implique que les
autres régimes ne savent pas communiquer très bien. Ou laisse des mauvaises
interprétations aux intentions des démocraties, elles peuvent être contestables (leurs
communications).
Il n’y existe pas une arme seulement défensive. Cet exemple est inspiré à l’idée des
forteresses. Exemple de toutes les armes données à la défense de l’Ukraine, elles seront
toujours utilisées pour les deux finalités – attaques et défenses.
Les armes totalement défensives ne pourront même pas exister car cela va causer une
impossibilité de la dissuasion à partir des armes. Cet exemple va mettre les états dans un
état avant la guerre froide, sans la menace nucléaire, car un état sera capable de détruire
toutes les formes d’attaque de l’autre.
Notion de géographie va jouer aussi un rôle : on n’a pas peur d’un voisin lointain qui a une
arme

Mearsheimer – On ne peut pas prévoir les intérêts des autres états. On ne peut pas prévoir
le déroulement des actions des autres au cours du temps. Incertitude des actions.
La peur des gains des autres va causer peur, car les puissances peuvent perdre leur position
de contrôle. Alors les états auront vouloir avoir plus de gains relatifs.
*Les premiers libéraux des RI apparaissent post première guerre, dans la période entre-
deux-guerres. Les réalistes, qui sont apparus après, les considèrent trop optimistes.
Problème de la sécurité collective : des acteurs dans une alliance peuvent avoir des
investissements différents dans leurs systèmes de sécurité. On ne peut pas prévoir les
intentions des autres états, même de nos alliés.
La théorie critique (constructiviste) est vue par Mearsheimer comme beaucoup simples :
juste un ou deux éléments vont pouvoir expliquer un million de facteurs
Pour lui, si ça théorie explique, par exemple, 75% des cas, cela est suffisante. Selon
Klupchan, cela ne prend pas en compte les facteur empiriques…
Pour Klupchan, s’il y a des puissances qui s’équilibrent entre elles, nous pouvons déjà
considérer que ce système de sécurité collective va fonctionner. Exemple de l’UE.

Wendt – les théories peuvent être liées et contestées au regarder les exemples dans
l’histoire. Toutes les théories que nous allons avoir se basent sur les notions d’alliances du
19ème siècle. Deux périodes d’architecture de sécurité plus stable : système bismarckien et le
système des congrès (1815-1825) : répriment des révolutions de caractère libéraux en
Europe.
Pourquoi s’allier, selon la théorie néoréaliste : pour se battre contre un état plus puissant,
ou s’allier à un état plus puissant pour ne se pas faire envahir.
Autre exemple d’alliance pour contester cette idée : alliance entre des états qui ne s’aiment
pas pour pouvoir surveiller de plus prêt les uns et les autres.
Tous qu’on peut comprendre sur le réalisme :
- Les états sont les seuls et les principaux acteurs des RI = les institutions n’ont pas des
vrais pouvoirs
- Les états sont des acteurs unitaires : une seule pensée
- Un état est rationnel, qui vise à maximiser sa puissance
- Tous qu’est accord ou traités sont fragiles et ne servent pas à grand-chose.
Hobbes est un des principaux idéalistes pour les réalistes : l’homme est au centre du
pouvoir, chacun pour soi.
Machiavel 
Guerres du Péloponnèse 430 a.C. : tous qu’on a ajd en termes de RI font référence à cette
époque et l’alliance/coalition entre les villes grecques. Athènes va développer sa propre
connaissance sur le nautique et va devenir une puissance encore plus grande. Après
longtemps d’alliance, Athènes et Sparte vont entrer en guerre. Cette guerre est considérée
un exemple classique car c’est la montée d’une puissance que va causer la guerre entre
deux alliés, pour éviter une contre-puissance (ou que Athènes devienne encore plus grande
et puissante).

Séance 3 – 19/09/22
Les RI sont considérés anarchiques car on n’a pas une police ou quelqu’un – principe de
l’ordonnément

Les capacités militaires de chacun sont les facteurs qui comptent

Plus on a un hégémon, moins on aura de guerre = néoréalisme


Réalisme motivationnel, 2 types d’état : l’état qui va cherche la sécurité avant tout, alors il
cherchera la coopération. L’autre va chercher d’être puissant, pas forcément avec la
coopération = puissance révisionniste
Pour les réalistes, les états sont un seul et sont rationnels

Années 60 - Effet d’engrenage : la coopération va pousser des nouvelles coopérations


(exemple des traités européennes). Selon les libéraux, cette vision va causer que les
institutions internationales substituent les états.
Théorie de la chaise vide : président De Gaule et sa lutte contre les institutions. Cela peut
pauser les effets d’engrenage.
Années 70 – théorie transnationaliste : on voit le pouvoir de l’opinion publique, des médias
sur les RI. Les auteurs voient qu’il n’y a pas que les états qui jouent ce jeux.

Approche constructiviste :
Wendt – trois types d’anarchies
1. Logique Hobbesienne : les états se concentrent comme des ennemis
2. Lockienne : états comme rivaux, pas comme des ennemis. Ils se reconnaissent entre
eux comme états (
3. Kantienne : les états se conçoivent comme des amis, ils ont une identification
culturelle avec les autres

Séance – 17/10/22

Text Ramon – Vin et Alcool en diplomatie. Au cours des moments de négociation entre
leaders internationaux, les moments de dîners ou rencontres sont les plus importants. Dans
toutes les retrouvailles françaises il y aura du vin présent. Le verre de vin est le moment le
plus décisif pour faire quelques leaders s’ouvrir face aux autres…
Notion de reconnaissance et notion de l’image que l’on envoie.
Alliance de revers : on va s’allier à quelqu’un à côté de notre voisin, qui nous embête, pour
aller contre ce voisin. (« l’ennemi de mon ennemi est mon ami »)
Dans les enjeux internationales (par exemple l’invasion de la Crimée en 2014) ne sont pas
forcement rationnels, les émotions des leaders peuvent jouer un rôle trop forte là-dedans.

La théorie des émotions dis qu’il y a un seul groupe, alors elle ne prend pas en compte les
« accords bureaucratiques » où les leaders vont être représentants d’autres groupes dans le
même pays. Par exemple les ressentiments des démocrates et républicains aux EUA peuvent
être complétements différents

Accord des submarins entre la France et l’Australie a été cassé. L’Australie a passé à faire un
accord avec le Royaume-Uni et les EUA à la dernière minute, alors qu’ils avaient parlé avec
les responsables français quelques jours avant. La France a jouée avec les émotions
explicitement – publiquement – pour montrer comment elle s’est sentie trahie. Les
émotions ont été mises en avant

Textes complémentaires : chaque état a une image qui est aperçue par les autres. Mais les
états ont leur propre image de lui-même et ils veulent défendre cette image.
L’image des EUA a été blessé après leur départ de l’Afghanistan, cela peut-être à donnée
une idée de qu’ils ne vont plus interférer à d’autres conflits, laissant la place pour la Russie
d’envahir l’Ukraine sans avoir peur d’une interférence directe.
La notion d’humiliation ressentie par les états est aussi relative… Des états peuvent se sentir
humiliés avec beaucoup moins que d’autres

Théorie de la culture stratégique

Théorie des rôles (Kal Holsti)


L’image que les autres ont sur vous va aussi toucher la position que vous occupez et le rôle
que vous allez jouer
Si vous êtes perçus en tant que leader par des autres, vous allez agir en tant que leader pour
ne pas briser cette image que les autres posent sur vous.

Notes d’analyse
Utiliser une théorie pour expliquer comment nous allons analyser l’élément choisi
Travail final
Séance 5 – 31/10/22

L’équilibre hégémonique se fait en niveau régional, différemment des autres auteurs qui
défendent un équilibre en niveau mondial.

Résultats antérieurs de la théorie des jeux dans l’économie vont


Comment justifier qu’une situation va apporter plus de gains que l’autre, et comment
mesurer ces gains ? Exemple de l’Ukraine que, selon la logique, va toujours avoir moins de
« profit » si combat l’invasion Russe, mais les coûts ou profits sont complétement incertains.
Hedging
Tefhering

Séance 6 – 14/11/22

- Exemples de guerres entre deux démocraties post-45 sont très rares. Avant cela
nous avons eu des conflits pour la deuxième guerre d’indépendance des EUA x UK et
des EUA x Espagne. Exemples aussi de la domination de l’Afrique du Sud par les
Néerlandais et les Anglais, que se font la guerre au pays, avec même la création des
champs de concentration.
- En 1914 nous avons eu le même niveau d’interdépendance entre les grandes
puissances qu’en 1970.
- Le triangle de paix démocratique par Oneal et Russett : les trois facteurs de leur
théorie avec le niveau de démocratie, l’interdépendance entre les puissances et
leurs participations aux institutions internationales.
- Les contre-exemples de la théorie de la paix démocratique des auteurs est la
participation des EUA en faisant tomber diverses démocratiques autour du monde :
Chili, Iran etc.
- Les auteurs disent que les démocraties ne font pas la guerre : un des facteurs peut
être expliqué par la séparation des pouvoirs, c’est beaucoup plus difficile
d’approuver une guerre dans ce scénario.
- Selon Kant, les démocraties ne font pas la guerre parce qu’elles sont contrôlées par
le peuple, et le peuple ne va pas vouloir faire partie de tels conflits.
- Pour faire la guerre dans une démocratie les partis politiques vont être obligés de
négocier avec leurs pairs et concurrents : c’est pour cela que Trump n’était pas
capable de rien faire contre la Corée du Nord, par exemple. Les démocraties vont
être plus habitués à la négociation interne, alors ce caractère va être passé aussi à
leurs relations démocratiques
- L’opinion publique aussi joue un rôle, vu que les élections peuvent être influencées
pas un dirigeant qui défend la guerre.
- Cette opinion va être importante aussi pour les leaders maintenir leurs paroles. C’est
beaucoup plus difficile changer d’avis s’ils ont parlé devant une grande audience. Si
on s’engage avec le public…
- Les dictateurs peuvent aussi être influencés d’entrer en guerre, exemple de l’Iran et
les différents premiers ministres qui ont, parfois, des regards différents des leaders
religieux.
- Des problèmes de cette catégorisation des auteurs Russett et Oneal est le concept de
démocratie : c’est quoi une démocratie alors ? Exemple de la France que n’est pas
considérée comme une démocratie
- Texte de Mansfeld et Sneijder : dans les faits, une démocratie dans ses premiers
temps de naissance a plus de chance de rentrer en guerre générale
- Même avec des acteurs rationnels, comment on peut être sûr que l’engagement sera
tenu ?
- Intérêt de rentrer en guerre peut être bénéfique par diverses raisons : exemple de
Bismarck qui voulait être attaqué en premier pour pouvoir rassembler les états
germaniques qu’il voulait unifier. Les guerres peuvent aussi entraîner des
conséquences économiques positives pour des acteurs de la société, comme en
Afrique ou pour les vendeurs d’armes.

Guerre en Ukraine expliquée par des concepts :


- Concepts identitaires : amener la culture Russe à l’Ukraine et libérer leur peuple
- La non-inclusion de l’Ukraine à l’OTAN peut être une référence au texte de Smith où
l’état A va envahir le pays B et le pays C (OTAN ou l’UE) va être décisif en s’alliant à
l’un ou l’autre.
- Théories réalistes (néoréalistes) expliquent que l’inefficacité des puissances peuvent
aussi jouer un rôle dans la peur de l’ennemi.
- Toutes ces théories vont contenir des cas d’exception ou des concepts qui ne sont
pas prises en compte.

Séance 7 – 21/11/22

La sous-équilibrage arrive suivant, grâce aux pressions internes. L’auteur (Schweller) se base
beaucoup sur les concepts de Schneider.
Le phénomène du balancing est le plus courant selon Waltz. Développer une politique
internet d’équilibrage est très compliqué. Schweller et Schneider utilisent la même période
pour faire ses analyses = avant la deuxième guerre mondiale.
Texte #2 : la galaxie Prigojine. Groupe de combat Wagner, composé par des mercenaires,
pour imposer une influence sur l’Afrique
Intervention française au Mali : tout le fond passe par le gouvernement français ou
européen, alors que le groupe Wagner va avoir plus de « liberté », acceptant des payements
ou des terrains en exchange de leurs services.

Sur certains sujets, il peut arriver des situations où nous allons avoir un échec de
l’équilibrage à cause de la politisation. Le meilleur moyen de favoriser la politisation d’un
sujet c’est de créer de la désinformation sur certains sujets.
Les désinformations peuvent avoir un effet sur les alliances aussi. Exemple des débris
(missiles ?) de l’Ukraine vers le territoire Polonais.
Ces désinformations peuvent venir des menaces cybers. C’est trop difficile de trouver
l’origine du cyber… Alors c’est encore plus difficile de créer un consensus sur les élites et
ainsi un contre-pouvoir.

Invité du cours –
Systèmes d’information pénétrés et infos partagées sur les réseaux sociaux et sur la
darkweb. Beaucoup d’acteurs qui participent de ces attaques. N’est pas trop difficile de
développer des activités de cyberattaques.
La cybersécurité peut être développé par un ou plusieurs acteurs sans beaucoup de budget.
Enjeux des gouvernements c’est de construire des laboratoires d’informatique qui vont
travailler à la base avec le civil et puis vont pouvoir être utilisés par des fins différents –
peut-être militaires.

Séance 8 – 28/11/22 – avec Héloïse Fayet

L’arme nucléaire et le principe de la dissuasion


EDAN – Les 5 pays qui ont testé des armes nucléaires avant le traitée de 1976 : France, EUA,
Russie, UK, Chine
Etats détenteurs ou possédant d’armes nucléaires, n’ont jamais signé des traités : Inde,
Pakistan, Israël (possiblement) et Corée du Nord (signataire du traité de non-prolifération
mais se sont retiré du même)
Et les états qui ne possèdent pas d’armes nucléaires.
Cela fait trois clans
EUA et Russie se ressemblent en termes de quantité de têtes nucléaires. Supériorité en
termes de têtes par rapport aux autres pays. Chacun accepte la dissuasion du traitée fait par
l’autre. Rapport d’équilibre qui a créé une vulnérabilité mutuelle.
MAD – mutual atomic destruction était bien parlé au cours des années 50 et 60.
Trois composants d’armes nucléaire et de la dissuasion :
- Sous-marins : permettent une discrétion totale et un anonymat totale, une
permanence de la dissuasion. Par exemple en France il y a un sous-marin qui est tout
le temps à la mer. Les sous-marins permettent aussi la capacité d’une deuxième
frappe – une frappe de retressaille. Considéré en tant que « l’assurance-vie de la
dissuasion »
- Aéroportée : avions porteurs d’armes nucléaires. Ils peuvent être utilisés pour
envoyer un message à partir de l’équipement de ces avions avec des ogives
nucléaires, car les ennemis ont des satellites qui survolent les bases militaires. Cette
composant peut produire du signalement et faire de la communication.
- Terrestre : missile terrestre et fixe. La France ne possède plus, mais la Chine, la
Russie, les EUA. Ils montrent ces missiles au long des défilés pour montrer le pouvoir.
Les composants ont des signalements différents chacun.
Processus p5 : les cinq pays de l’EDAN se rencontre pour avancer sur leurs doctrines, vu que
ils n’ont pas l’intérêt à une guerre nucléaire. Signature de la déclaration Gorbatchev-Reagan,
où ils reconnaissent qu’une guerre nucléaire ne pourra jamais être gagné par personne. Elle
a été signée une première fois avant la fin de l’URSS et une deuxième fois juste avant le
début de l’invasion en Ukraine en 2022.
Les pays qui ne font pas parti des EDAN sont soumis à des règles différentes.
Cette doctrine va permettre à communiquer à l’adversaire les lignes rouges que ne peuvent
pas être dépassés. Avec des capacités de réactions nucléaires d’autres parts.
Nuclear posture review : sorti par Joe Biden pour expliquer les objectives des armes
nucléaires.
No first use : déclaration par la Chine où elle explique qu’elle n’utilisera jamais ses armes
nucléaires en premier. De l’autre côté ils sont en train d’augmenter leurs armes et
technologies…
En France : la posture nucléaire est déclarée par un discours présidentiel (Macron en février
2021). Le président peut utiliser les armes d’il déclare que les intérêts vitaux de la France
sont menacés.
Au début de l’invasion, Poutine a déclaré que la Russie est une puissance nucléaire
comparée à l’OTAN, même si elle n’est pas en d’autres termes.

Théorie de la décision satisfaisante : les leaders vont s’arrêter au choix qui est au moins 70%
lié à ce qu’il pense. Ils ne vont pas choisir le meilleur choix…
Le paradigme démocratique : les décisions prises par chaque leader vont être empêchés par
la bureaucratie ???
Le modus operandi : chacun va appliquer ses connaissances apprises pour prendre la
décision = d’accord avec la norme et les règles établies.
La vision dissuasive
Un état a deux sécurités : physique et ontologique – la vision qu’un état a de lui-même et ce
qu’il représente. Situation de paix durable peut être une menace aux élites que croient à
cette sécurité ontologique.
Des puissances nucléaires ont souffert des défaites pendant la guère froide contre des pays
non-nucléaires et n’ont pas utilisé le recours au pouvoir nucléaire.
On ne parle pas des armes nucléaires aux Etats-Unis, par exemple : dans le cas du général
MacArthur pendant la guerre des Corées. Tabou du nucléaire.
Des sanctions envers les pays qu’utilisent d’armes nucléaires…
Texte complémentaire : pourquoi les pays adoptent les armes ? Des pays où il y a eu des
coalitions au libre exchange, le plus ces pays ont rejeté l’arme nucléaire, grâce à une
réprobation internationale. Exemple de programmes de libre-échange comme entre Brésil
et Argentine et Taiwan et Corée du Sud. Le même exemple peut être appliqué à l’Iran quand
Rouani (ancien président de l’Iran ) était au pouvoir et a négocié avec les Etats-Unis.
Cela ne signifie pas que des pays démocratiques vont être plus susceptibles à renoncer aux
armes nucléaires. Israël n’a jamais renoncé, par exemple. Le Brésil et l’Argentine, quand ont
renoncé à leurs programmes, n’étaient pas démocratiques.

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