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INSTITUT SUPERIEUR POLYTECHNIQUE DE MADAGASCAR

FAHAIZANA – FAMPANDROSOANA - FIHAVANANA

URBANISATION D’ANTANANARIVO
ETAPE 1: ASSAINISSEMENT

GCA 4

ANDRIAMANJATO Heritiana Arnold Hercule

ANDRIAMIRANTO Daniel Patrick

BOBA Razafindratsievy

FANANTENANA Herizo Lanja Simon

RAMANANANDRO Miarintsoa Danie

RAZANAMAHEFA Joeliravaka

Recteur : Monsieur RABOANARY Julien Amédée Année Universitaire : 2015-2016


REMERCIEMENTS

En premier lieu, nous tenons à remettre notre gratitude à Dieu, le Tout puissant et
Miséricordieux, qui nous a donné force, patience et intelligence pour la conception de ce projet, sans
lesquelles tout effort aurait été en vain.

En second lieu, nous aimerions adresser nos vifs remerciements à toute l’équipe pédagogique
de l’Institut Supérieur Polytechnique de Madagascar :

Tout d’abord, Monsieur et Madame RABOANARY Julien Amédée, Recteur de l’ISPM qui nous a
donné l’initiative et la permission d’accomplir ce projet.

Ensuite, à nos chers professeurs à savoir : Madame RAMASINDRAIBE Saminaivo, Monsieur


RAMANITRA Michel et Madame RAMAROMANANA Sahoby pour leurs précieuses connaissances qu’ils
nous ont partagés par le biais de leurs cours.

Et enfin, notre sincère reconnaissance à nos parents, qui n’ont pas compté temps et argent
pour nous soutenir tout au long de notre travail. Mais aussi à toutes les personnes qui ont contribué de
près ou de loin, à l’élaboration de ce projet.
SOMMAIRE

INTRODUCTION

PARTIE I : OPPORTUNITES

 Opportunités Techniques
 Opportunités Commerciale

PARTIE II : URBANISME

 Définition et Principe
 Urbanisme de la ville d’Antananarivo

PARTIE III : ASSAINISSEMENT D’ANTANANARIVO

o Définition et Principes de l’Assainissement


o Systèmes d’assainissement
o Choix du quartier et procédés

PARTIE IV : ETUDES TECHNIQUES

 Conception
 Dimensionnements
 Devis estimatif

CONCLUSION

BIBLIOGRAPHIE
INTRODUCTION

Madagascar est la plus grande ile de l’océan indien, pourtant elle est classée parmi les pays
encore en voie de développement depuis des années.

Antananarivo, la capitale, a été autrefois un exemple en matière de propreté et de calme. Elle


est aujourd’hui, le centre des activités et est côtoyée par le maximum d’habitants. Cependant, elle ne
répond plus aux exigences et besoins vitales des usagers dus au manque ou même à l’absence
d’urbanisme. D’où, le choix de notre thème ¨Urbanisation d’Antananarivo¨.
PARTIE I : OPPORTUNITES

Opportunités Techniques

Ce projet est techniquement bénéfique pour de futurs ingénieurs en Génie Civil et


Architecture tels que nous. La réalisation nécessite autant de recherches personnelles que de
connaissances. L’assainissement est un travail d’une grande ampleur mais, qui pourtant, est
une nécessité dans la vie quotidienne de toute agglomération, puisque c’est aussi une des
solutions aux problèmes routiers.

De plus, la descente sur terrain nous apportera un surplus de connaissances en matière


d’observation et surtout de technicité.

Opportunités Commerciales

Ce travail est surtout favorable sur le plan économique du pays. Chaque année,
Madagascar recueille une centaine de sans-abris lors des saisons de pluie suite aux inondations
causées en partie par le manque d’assainissement. Alors une fois ce projet mis en place, nous
estimons certainement que les dépenses diminueront car les inondations seront supprimées
de façon permanente.

D’autre part, il solutionnera aussi en partie les dégradations routières qui se font
nombreux actuellement.
PARTIE II : URBANISME
A- Définition et Principes

1) Définition : Qu’est-ce que l’Urbanisme ?

Le mot ¨urbanisme¨ a été inventé en 1910 par un groupe d’architectes européens. C’est
l’analyse et l’étude des villes et de toutes les composantes formant la ville. C’est aussi une
démarche d’études sur des territoires urbains ou susceptibles de le devenir. Il mobilise des
disciplines multiples de façon itérative et développe une réflexion à différentes échelles
d’espace et de temps.

L’Urbanisme constitue cependant, plusieurs définitions selon les experts. En voici


quelques-unes :

♣ « L’urbanisme est un champ d’action pluridisciplinaire par essence, qui vise à


créer dans le temps une disposition ordonnée de l’espace en recherchant harmonie et
efficacité. » (Pierre Merlin, Dictionnaire de l’urbanisme)

♣ «L’urbanisme, entendu comme l'ensemble des techniques mises en œuvre pour


organiser les villes afin d'en optimiser le fonctionnement et de l'adapter aux besoins de ses
habitants (définition Merlin-Choay) ne procède pas de l'action d'un seul acteur, mais d'une
multiplicité d'organisations de nature et de perspectives différentes. L’urbanisme ne se
structure pas en un seul système d'acteurs mais en une multiplicité de scènes ayant des
fonctions sensiblement distinctes et regroupant une combinaison d'acteurs et d'organisations
relativement spécifique. Ces scènes forment en cela autant de systèmes d'action qui
concourent tous à la production de la ville, mais sont néanmoins irréductiblement différents,
d'autant plus qu'ils ne sont pas réellement hiérarchisables. » (Paul Boino, Lyon la production de
la ville, 2010).

L’urbanisme est donc, à la fois un champ disciplinaire et un champ professionnel


recouvrant l'étude du phénomène urbain, l'action d'urbanisation et l'organisation de la ville et
de ses territoires.

2) Principes

En tant que champ professionnel, les pratiques et techniques de l'urbanisme découlent


de la mise en œuvre des politiques urbaines (logement, transport, environnement, zones
d'activités économiques et appareil commercial). Cette deuxième dimension recoupe la
planification urbaine et la gestion de la cité (au sens antique du terme), en maximisant le
potentiel géographique en vue d'une meilleure harmonie des usages et du bien-être des
utilisateurs (résidents, actifs, touristes).

a) Typologie

On le classe en deux catégories distinctes :

l’urbanisme réglementaire (administratif restrictif-incitatif)  :

Il s'agit de créer un document d'urbanisme respectant le droit de l'urbanisme local pour


l'action à entreprendre. Ce travail peut dans certains cas concerner des conurbations, plusieurs
communes, afin d'obtenir une cohérence sur l'ensemble d'une agglomération.

l’urbanisme opérationnel :

L’urbanisme opérationnel consiste à mettre en place les actions nécessaires à la réalisation


d’un projet urbain. Il regroupe ainsi l’ensemble des actions conduites ayant pour objet la
fourniture de terrains à bâtir, la construction de bâtiments ou le traitement de quartiers et
d'immeubles existants (recomposition urbaine, réhabilitation, résorption de l’habitat
insalubre).

Par cela, il se différencie de l’urbanisme réglementaire qui regroupe l’ensemble des


documents thématiques et réglementaires de planification stratégique et de programmation.

b) Objectif et principe

Le travail d’urbanisation vise à mettre en forme le projet territorial des collectivités.

Son rôle est d'anticiper les besoins des populations afin de proposer un développement
urbain efficace sur le plan socioéconomique et durable sur le plan environnemental. Pour ce
faire, il contribue à l'élaboration de documents d'urbanisme pour la collectivité territoriale
concernée, en planifiant les équipements nécessaires (espaces publics, espaces verts, réseaux
d'eau potable, d'assainissement, éclairage public, électricité, gaz, réseaux de communication).

B- Urbanisme de la ville d’Antananarivo

1) Origines et Problèmes de la capitale

Antananarivo, anciennement nommée ¨Analamanga¨, a été conquise par le Roi


Andrianampoinimerina. Toute ville étant un abri pour des centaines voire des milliers
d’habitants se doit d’être constituée par un élément qui lui est vital, une source d’eau potable.
C’est pourquoi elle longée par le fleuve nommé Ikopa. La ville fut autrefois un endroit calme,
propre et paisible.

En 1951, Antananarivo-Renivohitra est (déjà) une ville-champignon. Sa croissance est si


rapide en quelques années que toutes les prévisions se trouvent dépassées. Même la vision du
général Gallieni lui-même, pourtant si vaste, est pris en défaut. S’il avait pu prévoir l’extension
de Tananarive en 1951, il ne l’aurait pas, en 1908, étranglée dans ce collet monstrueux qu’est
la voie de chemin de fer TCE. Cette ligne (vers Toamasina) et sa gare terminale (Soarano) sont
parmi les plus grands obstacles actuels au développement de la ville, cette dernière coupant la
plus belle de ses avenues ».

Cependant, la ville est aujourd’hui, le centre de toutes les activités professionnelles et


lucratives si bien que la population accroit de plus en plus chaque année. La superficie de la
capitale ne peut plus subvenir aux besoins des habitants surtout sur le plan du logement et de
la propreté environnementale. Il est clair que la ville a perdu son organisation et son calme.

Et dans les années 1950, la place ne manque pas, ni les moyens de communication. « Du
reste, de nombreuses agglomérations avoisinantes, dont les habitants viennent déjà travailler
à Tananarive, sont autant de jalons avancés pour la cité future. » Et s’il existe des difficultés à
s’établir sur les terrains marécageux et les rizières, « elles ne doivent pas être prises en
considération ». En effet dans la capitale, de nombreux terrains à bâtir sont conquis sur les
rizières. Néanmoins, cette expansion est à orienter, car les constructions jusque-là poussent de
façon anarchique parce qu’on « n’avait aucun plan à opposer aux propriétaires ».

La superficie n’étant plus suffisante, les normes de la construction immobilière sont


enfreintes, tous construisent où ils le souhaitent mais surtout tous veulent avoir leur logement
au premier plan. De ce fait, les routes se resserrent et la circulation devient difficile dans la
ville. Ce qui est à l’origine des célèbres gros bouchons dans beaucoup de quartiers.

D’autre part, le remblayage de la plupart des surfaces aquatiques de la ville et le


manque sévère d’assainissement entraine de fortes inondations à chaque saison de pluie ;
mais aussi l’infiltration de ces eaux dégrade de plus en plus les voies routières.

Concernant le réseau d’égouts d’Antananarivo d’ailleurs, il y a beaucoup à dire. Il comporte


un unique réseau d’évacuation composé de caniveaux, de canaux à ciel ouvert, de buses,
d’égouts semi-visitables ou visitables, dont l’implantation n’a fait l’objet d’aucun plan
d’ensemble et qui est disposé et raccordé de façon empirique. De surcroît, il est loin de
desservir convenablement la totalité de l’agglomération. « Pour tous les immeubles à
construire, on n’admet plus d’autres systèmes que la fosse septique, mais la plupart des
maisons existantes ne possèdent que des fosses fixes plus ou moins étanches, voire des fosses
perdues ou des tinettes. Les matières de vidange sont, après enlèvement, déversées dans
l’Ikopa en aval de la ville… »
2) Solutions proposées

Face à tous ces problèmes de taille, la prise de solution rapide et efficace est impérative.
Pour cela, après nos recherches et études, nous en avons conclu les remèdes suivants :

Des travaux d’assainissement de la ville entière en vue d’arrêter de façon permanente


les inondations lors de fortes pluies (ce qui justifie le choix de notre projet cette année).

Création d’autoroutes pour diminuer au maximum les embouteillages et rétablir l’ordre


de la circulation (ce qui fera l’objet de notre projet pour l’année prochaine).

La création d’une nouvelle ville (également aux activités professionnelles et lucratives) à


proximité d’Antananarivo serait aussi une solution qui mérite réflexion afin de diminuer
considérablement l’afflux démographique.
PARTIE III : ASSAINISSEMENT D’ANTANANARIVO
A- Définition et Principes

Le choix du type d’assainissement, en particulier l’établissement d’un zonage


d’assainissement, devrait être effectué en parallèle de la planification de l’urbanisme d’une
collectivité pour assurer la cohérence des démarches.

1) Définitions et Objectifs

L’assainissement est une démarche visant à améliorer la situation sanitaire globale de


l'environnement dans ses différents composants. Il comprend la collecte, le traitement et
l'évacuation des déchets liquides, des déchets solides et des excréments.

Littéralement, l’assainissement est originellement l'ensemble des techniques et méthodes


visant à traiter les eaux usées.

En l'absence d'assainissement, les déchets à même le sol bloquent les canaux de


drainage. L'assainissement est fortement lié à la santé publique en raison des nombreuses
maladies liées à un milieu malsain. La proximité avec les eaux usées peut engendrer des
maladies à transmission fécale-orale (diarrhée, typhoïde, hépatites, choléra), ou liées à un
vecteur (paludisme, filariose, dengue). D'autres maladies sont également liées à un mauvais
assainissement de base et en particulier à des latrines défectueuses ou inexistantes :
bilharziose, nématodes ou autres vers. L'assainissement vise à assurer l'évacuation et le
traitement des eaux usées et des excréments en minimisant les risques pour la santé et pour
l'environnement. Les déchets solides (reliefs de repas…) subissent une rapide décomposition,
et peuvent être des sources pathogènes. Leur collecte et leur élimination contribue également
à maintenir un environnement salubre.

Dans le cas d’Antananarivo, les travaux d’assainissement ne visent pas seulement à


diminuer le risque de maladies mais aussi d’évacuer les eaux lors des saisons de fortes pluies
pour éliminer tout risque d’inondation.

2) Principes

Les principales obligations réglementaires sont les suivantes :

 toute commune doit établir un zonage d’assainissement délimitant les zones relevant de
l’assainissement collectif et celles relevant de l’assainissement non collectif; l’approche milieu
doit être le préalable à toute réflexion en matière d’assainissement,
 toute commune doit également établir un zonage relatif aux eaux pluviales,
 la commune assure le contrôle des raccordements au réseau public de collecte des eaux
usées, la surveillance du système de collecte et de traitement, le contrôle du fonctionnement
des installations non collectives, la surveillance (art. L 2224-8 du CGCT)
 lorsqu’il existe un réseau de collecte des eaux usées, la collectivité doit disposer d’un
dispositif de traitement quelle que soit la taille de l’agglomération
 les collectivités doivent contrôler l'ensemble des dispositifs d’assainissement non
collectif
 les immeubles non raccordés au réseau public de collecte des eaux usées doivent être
équipés d'une installation d'assainissement non collectif dont le propriétaire fait régulièrement
assurer l'entretien et la vidange par une personne agréée
 un permis de construire d’une installation neuve ne doit pas être délivré en l’absence de
solution d’assainissement satisfaisante
 un assainissement autonome est une filière d’assainissement à part entière. Il doit être
étudié aussi soigneusement qu’un assainissement dit collectif.

B- Systèmes et méthodologie d’assainissement

Les méthodes d'évacuation et de traitement diffèrent selon la taille de la ville, selon le


type de zone (urbaine, péri-urbaine, communauté urbaine), selon les moyens disponibles et les
habitudes culturelles. Éventuellement un contrôle d'efficacité est mis en place par la
collectivité, au titre de la protection des milieux naturels.

L'assainissement non collectif ou autonome repose avant tout sur l'exploitant de


l'installation. Il s’agit de technologies qui permettent dans une concession le stockage des eaux
usées (par ex. les latrines simples).Le stockage peut être doublé d’un prétraitement (comme
les fosses septiques). Ces installations nécessitent le plus souvent des vidanges périodiques et
un acheminement des boues de vidange vers des stations de dépotage et de traitement
adaptées.

Les systèmes collectifs supposent quant à eux un gestionnaire désigné par la collectivité
du service public de l'assainissement. Il peut être une émanation de la collectivité (gestion
publique), ou faire l'objet d'un contrat de délégation plus ou moins formalisé. La délégation
peut ainsi se faire au profit d'une association locale, ou d'entreprises informelles pour les
systèmes simples de collecte et de traitement des ordures ménagères ou d'eaux usées.
Lorsque les systèmes atteignent une relative complexité, le délégataire est choisi pour ses
compétences techniques et organisationnelles.

Une autre approche de l'assainissement propose aussi des systèmes écologiques. Elle
prend en compte les cycles biologiques, se démarque particulièrement par le cycle de la
biomasse et prétend à un respect durable de l'environnement. Elle rendrait vétuste, dans de
nombreux cas le procédé conventionnel de traitement (réseaux séparatifs, stations de
traitement, etc). De plus, elle apparaît bien moins coûteuse pour l'utilisateur, pour la société et
pour l'environnement.
Méthodologie

 Etude hydrologique

La pluie, qui est la source de phénomène de ruissellement, constitue le cycle urbain de l'eau
et donc ses données fondamentales sont nécessaires à la compréhension de son fonctionnement.

 Etude hydraulique

Etude du bassin versant : la surface des ruissellements des eaux pluviales délimite par des lignes
de crêtes. Les réseaux, qui le drainent, doivent posséder d'exutoire.

  Solutions proposées:

- participation de la population pour réussir la décentralisation, la bonne gouvernance pour


obtenir les objectifs collectifs au développement durable

- les bâtiments doivent être conçus pour éviter l’inondation

- les regards, les caniveaux doivent être conçus pour assurer l'interception des débits acceptables

- entretien régulier des fossés et canalisations enterrées par les populations riveraines

- mise en place des dispositifs techniques adaptés aux problèmes de déchets: grille, piège dans
les regards,...

C- Choix du quartier et procédés

Beaucoup de zones de la ville d’Antananarivo sont facilement inondables et sont à


l’origine de très nombreux dégâts, notamment des centaines de sans-abris, à chaque saison de
pluie.

Cependant, nous avons choisi de n’étudier qu’un seul quartier et c’est celui de Besarety.
Notons que le système et les solutions que nous adopterons seront applicables à toutes les
autres zones de la capitale.

Les procédés à suivre pour mener à bien et dans les règles la réalisation de ce projet
sont les suivants :
- se renseigner auprès de l’Aménagement du Territoire à propos des données
d’urbanisme de Besarety

- recueillir les données météorologiques

- visite du Fokontany de Besarety

- Descente sur terrain pour l’observation et l’évaluation


CONCLUSION

En bref, les solutions sont bien étudiées pour éviter les dégradations surtout les
inondations, les manques de logements, et les embouteillages que ce soit particuliers ou
collectifs. Nous avons donc élaboré des plans efficaces, durables pour restaurer l’urbanisation
d’Antananarivo. Le projet est centré dans la zone Besarety en raison de sa dégradation
critique.

La réalisation de ce projet est donc un grand atout pour la ville et vise à la restauration
permanente de l’urbanisme à Antananarivo.
BIBLIOGRAPHIE

 Cours dispensés à l’ISPM


1) Professeur RABOANARY Julien Amédée, Architecture, 2014-2015
2) Madame RAMASINDRAIBE Saminaivo, Route – Hydrologie, 2013-2016
3) Monsieur RAMANITRA Michel, Aménagement Aéroportuaire et Hydroagricole, 2016

 Ouvrages
4) Guide méthodologique pour l'assainissement des agglomérations de moins de 2000
équivalents-habitants, Mai 2010
5) Issa Sangaré, Serge Thibault, Génie urbain urbanisme, assainissement et voiries, le cas de
Tours, 1996

 Webographie
6) Wikipedia

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