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Texte :
Dans l’époque moderne, la beauté sera inséparable de la sensibilkité ou encore du plaisir qu’elle
nous procure. Kanr est de cet avis.
Partant de l’idée que le beau est relative du plaisir qu’elle nous donne, Kant fait une distinction entre
l’agréable et le beau. L’agréable, c’est le sentiment personnel que nous ressentpns face à un objet
donné. Un tel sentiment est subjectif, car une chose peut me plaire, alors qu’ell
S’agissant du beau, nous sortons du giron de l’individualité pour prétendre à l’université. Est beau,
pour kant, « ce qui plait universellement sans concept » dans Critique de la faculté de juger.
La beauté est, de ce point de vue, ce qui plait non pas à moi seul, mais
Kant semble répondre par la négativité, car ce que je juge beau n’est pas beau pour tout le monde. Si
tout le monde n’a pas la prétention à ce que je juge beau, qu’est ce donc que le beau ?
Kant tente de proposer une norme en disant que le beau est ce qui provoque « une satisfaction
indépendante de tout intérêt ».
Ainsi pour lui, la beauté n’est pas ce qui satisfait mes propres intérêts, mais ce qui
En résulmé
reproduire= détourner