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Ce qui pose problème dans le jugement est le pouvoir. Des lors qu’il y en a trop dans le jugement.
L’Épochè - suspension du jugement - impartialité / spectateur désintéressé / nous avons aussi une présence
d’universalité notamment chez Emmanuel Kant dans son livre : « Critique de la faculté de juger / Critique du
jugement (1790)
Quand on a un bon jugement, nous avons une bonne notion de ce qu’est le goût.
C’est ce désintéressement, selon Kant, qui rend les jugements de goût universels : “Est beau ce qui plaît
universellement sans concept“. (citation de Kant)
Dans son ouvrage : Critique de la faculté de juger / Critique du jugement (1790) OUVRAGE MAJEUR
DE LA PHILOSOPHIE ESTHETIQUE, dans sa critique de Giles Deleuze, Kant ne fait que d’ériger des
tribunaux. Particulièrement un tribunal de la raison, qui va se baser sur une méthode critique ainsi que des
facultés de la raison, il a fait trois critiques :
1- Critique de la raison pure, entendement et connaissance;
2 Critique de la raison pratique, désir et volonté
et le 3 - Critique de la facultés de juger, Jugement, bon sens, sentiments
Dans son livre, il va circonscrire les prétentions légitimes et fonder ses prétentions, ses garanties et il va
donner une justification - fonctionnement, pouvoir de chaque faculté
Chez Kant, le terme de critique, va s’entendre comme un examen critique qui va poser les limites de la
faculté de juger.
Le type de jugement qui va principalement intéresser Kant est le jugement de Gout.
Herder se pose la question : Comment critiquer la faculté de juger elle même ? Juge et partie.
A quelles attentes le jugement devra-t-il se conformer ? Celui de la Loi et du témoin
Kant va s’intéresser à des Principes a priori du jugement. Il s’agit de principes qui précèdent et qui vont
conditionner l’expérience.
C’est ce que Kant va appeler le domaine Transcendantal : cela concerne les conditions de possibilités (de
l’expérience)
Kant nous dit que la faculté de juger est : « Le bon sens » comme depuis les philosophes Montaigne et
Descartes - aporie (problème qui semble insoluble)
« Tout le monde prétend avoir assez de bon sens, pourtant personne ne semble tout à fait s’accorder avec
les autres quant à son usage »
Selon Franz West : « Je suis vraiment la seule personne normale que je connaisse »
https://www.cairn.info/ce-que-fait-l-art--9782130524922-page-28.htm
https://journals.openedition.org/philosophique/931?lang=en
Est-que c’est le bon sens lui-même qui fait croire que chacun en a assez ?
Le bon sens ou le jugement sont naturellement égaux en tous les hommes en puissance.
quand bien même quantité de différents se constatent dans l’expérience
3- A chacun ses gouts/ des gouts et des couleurs - il faudrait ne pas juger
Il est impossible de décider par preuves et d’attesté qu’un jugement vaut mieux qu’un autre.
- Peut on « décider par preuves » de la valeur d’un jugement esthétique (VS un autre) ?
- Comment attester de la valeur d’un jugement esthétique du goût ?
2. Jugement égale « La faculté de juger en général est la faculté qui consiste à penser le particulier comme
compris sous l’universel »
Unifier le divers
Cas de l’art contemporain ? Problématique de l’Eclectisme : « Hippias majeur », dialogue de Platon => Il va
comparer quelque choses de beau et de laid en même temps.
Nous avons un domaine de l’art ou tout et n’importe qui peut être beau.
Pour Platon, le plaisir définit du sentiment de plaisir « pure satisfaction intellectuelle prise à l’objet »
Il veut atteindre ce que l’on appel la délicatesse = surcroit ou supériorité du gout de certains - il va avoir une
certaines hiérarchies des gouts et des jugements.