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Cours du 23/01/2023 

A partir de B, quelles sont les étapes de l’évolution des contenus de l’esthétique, il y en a trois selon
l’enseignant :

- La question de l’esthétique philosophie va tourner autour du jugement de gout et de sa


critique : la recherche de la détermination ou critères de ce qui nous plait ( qu’est-ce qui fait
que qqch nous plait ? dans art et dans la nature, cette question est traitée dans la CFJ). De
même, chez Hume, dans la Norme du Gout.

Cette première phase peut être schématiquement décrite de la manière suivante : déjà, le beau
naturel comme artistique s’apprécient à l’aune du sentiment qu’il provoque en nous. Le beau relève
de la subjectivité, ce qui explique la diversité des jugements de gout, et les disputes sur les jugements
de gout (des gouts et des couleurs, on ne discute pas). Hume soutient que certains individus sont
plus aptes à juger de la beauté et des productions de la nature, et certains d’entre nous ont plus
d’indépendance ( jugement de mode, autorité, des sentiments qui subvertissent le jugement. En
espèce, le jugement de gout). Donc, certains ont plus de délicatesse que d’autres. L’autre, est la
longue fréquentation de belles choses, qui font que cela affine le jugement de gout. Le beau qui
détermine notre jugement en sa faveur est immédiate, donc sans la médiation d’une activité
raisonnante , de sorte que les catégories e vérité et erreur ne sont pas exportables du champ
épistémique, vers celui esthétique . Enfin, ces analyses du jugement de gout, et du beau qui éveille
en nous un sentiment de plaisir , relèverait du sens interne, même d’un 6 e sens, pas assignable à un
organe mais se nourrit des sensations que lui procure nos 5 sens .

Il y a aussi Edmund Burke, en 1757, publie une recherche philo sur origine philo du beau et du
sublime ( que l’on retrouve dans CFJ). Est-ce qu’il y aurait des invariants des notre sensibilité qui
ferait partie de la nature humaine, ferait que certaines choses sont destinées à nous plaire, et
d’autres, non. Pourquoi il y a des différences de gout, d’un sujet à l’autre ? Différence entre le beau
et le sublime, lié à une forme de petitesse, de délicatesse, qui provoque en nous un sentiment de
plaisir alors que le sublime se caractérise comme une démesure, de sentiment de danger et inspire
en nous un sentiment négatif, et cela, on le retrouve chez Kant, même, dans toute la sensibilité que
l’on appellera romantique. Il y a l’abbé Dubos , secrétaire de l’académie francise, dont œuvre était
lue , et était présent à l’esprit des gens . L’ouvrage majeure : réflexion critique sur la poésie et la
peinture ( son influence était majeure !). Sa doctrine : l’art provoque des passions artificielles avec
une idée un peu existentielle : ce que nous recherchons dans les émotions que nous provoque le
beau, c’est l’ennui ( qui nous distrait de l’ennui, sans inconvénient des passions réelles, il vaut mieux
vivre une tragédie au théâtre , plutôt que dans la vraie vie).

Dans un second temps, il semble que s’installe une approche de l’art qui met une approche
romantique d’une philosophie de l’art , car cette étape du romantisme commence par exclure le
champ de l’esthétique, le beau naturel qu’englobait la critique du gout et l’esthétique, commence à
devenir une philosophie de l’art, on en réduit la portée sémantique. Selon, dire que esthétique
devient philosophie de l’art, est ambigu, comme un génitif . Est-ce que philo, qui a pour objet art ou
une philo qui a pour objet même, l’art et montre une vérité . Cela se comprend à double sens . Donc,
l’art serait capable de tenir la prouesse que la philosophie nous ait, c’est-à-dire, dire la vérité . Dans
sa correspondance, Cézanne écrit à Bernard le 23 octobre 1905 : «  je vous dois la vérité en peinture,
et je vous la dirai ». Que cela veut dire ? cette phrase ne veut pas dire qu’on nous doit la vérité sur la
peinture, mais, C veut dire ce qu’est la vérité sur les choses, au moyen de la peinture , avec des
couleurs, des vibrations, des formes et fait la profondeur de C, elle doit être un point absolu sur le
monde . Il a cassé la perspective, puis au dessin ( peindre, c’est commencer à dessiner), donc rompt
avec la perspective et tente d’atteindre le point de vue de l’absolu, qui est un travail qui consiste à se
déprendre de la pensée . Il y aurait une manière de montrer le vrai, qui ne relèverait pas du logos, on
pourrait accéder au vrai sans un contenu discursif, et Cézanne doit quelque chose au romantisme.
Qu’est-ce donc ? C’est la coupure avec l’absolu que décrète Kant . L’être et la métaphysique = la
croyance . Pour K, les idées de la raison pure ne sont pas des objets de connaissance, on connait tous
la formule qui dit : il me fallait donc mettre de coté le savoir, pour laisser plca à la croyance. Le
romantisme exprime une certaine nostalgie de l’absolu, d’un usage légitime de la raison, pour
accéder à l’absolu. Il y a l’idée que la voie de la rationalité nous est interdite, dans l’énorme dispositif
de la raison pure, il va falloir chercher autre chose que la rationalité pour contourner cet interdit. On
peut dès lors comprendre que l’art se met dans une position où il entend prendre le relai de la
philosophie et se donne pour mission de reprendre ce que K a abandonné. L’art n’a plus pour objet
de nous distraire, de nous palire, de nous séduire, mais une mission plus ambitieuse et avoir savoir
absolu sous forme intuitive ( l’art veut remplacer la philosophie).

Quentin Millassoux qui écrit un livre : Après la finitude . Il fallait nous extraire de notre finitude . L’art
se présente comme conscience de l’absolu et artistique par excellence est la poésie, qui est l’essence
même de tout art, le prête de l’absolu , est le prêtre, Lamartine est dans ce courant, don Mallarmé.
Autrement dit, les images prennent le relai des concepts et montre ce que la raison tentait de
démontrer, et l’art se pense comme dévoilement de la vérité et exprime l’universel ( concret, de la
totalité et non pas abstrait, ce qu’on trouve chez Schelling, Philosophie de l’art). Cela se présente
sous forme de science intuitive. Ce que l’on retrouve également chez Heidegger ( Chemin qui ne
mène nulle part< origine de l’œuvre d’art). Il parle d’une paire de soulier qu’ a peint Van Gogh . Il
nous a fait savoir, ce qu’est en vérité, la paire de soulier. L’art est le moyen non discursif, à l’opposé
de toutes les sciences, de toutes les philosophies et nous dévoilent la vérité . Origine de l’œuvre
d’art, dans la collection Gallimard , page 32-34 . Après cette tentative de l’art d’avoir accès à absolu,
vient la philosophie de l’art, où nous l’entendons, dont l’art est l’objet. Hegel retient , même dans un
sens divergent, une définition de l’esthétique qui exclut la nature, et pas une réflexion sur le gout en
général. H exclut de l’esthétique l’analyse du jugement de gout, et c’est la 2nd rupture de
l’esthétique du 18e siècle . Que reste-t-il ? Une analyse des contenus et du sens des œuvres d’art. A
partir de quoi il se mêle de ces affaires, c’est un pan entier du système, à partir des principes globaux
qui président au système hégélien qui est une encyclopédie des sciences de l’esprit . On peut dire
que ce système décrit une sorte d’Illiade et Odyssée de l’esprit . L’esprit se déploie dans un vaste
mouvement est le moteur de l’histoire ( il l’appelle aussi, idée). L’esprit est sujet, pas que esprit de
chacun de nous, mais s’objective dans la réalité. L’esprit-sujet a besoin de l’objectivité pour nier la
négation ( toute affirmation est niée). Donc, l’esprit est moteur de tout ce qui est, s’objective, pour
accéder à la vérité du concept de sa propre essence (différence entre essence et idée). Est absolu  :
dont tout dépend, et ne dépend de rirn, c’est l’esprit ! L’esprit est chez H ce que la religion disait
maladroitement chez dieu. L’art est maladroit, et s’articule avec des piliers, dans un système à 3
étages : esprit s’objet par l’art, puis, la religion, et le retour de l’esprit en soi, pour soi, avec
philosophie comme verve, logos. Lequel, conscient de soi, est l’absolu. Esprit s’incarne dans des
objets sensibles, et l’art est un ensemble de représentation sensible de l’absolu, de l’esprit . D’où le
problème de l’inadéquation de l’art avec son objet : faut donner au spirituel une manifestation
sensible. C’est la grandeur, la tache te la limite de l’art. Donc, l’art pour Hegel,

Il y a un devenir de l’esprit, pas posé une fois pour toute, c’est un palier dans le devenir de l’esprit qui
se prolonge par la religion et s’achève par la philosophie. Comme Hegel est un penseur du devenir ,
et court à l’intérieur de l’art, une sous étape, et l’art suit trois formes successibles qui sont autant
d’étapes. Il y a les formes de l’art : 1- l’art symbolique, qui est particulièrement représenté par l’inde
ancienne et Egypte antique, il appelle tout cela panthéisme oriental, et cet art symbolique privilégie
l’architecture. A l’art symbolique, succède l’art classique, qui s’accomplit dans sa perfection, avec
l’art grec antique, et privilégie la sculpture . La dernière forme de l’art, Hegel le nomme l’art
romantique ( l’art chrétien qui débute au MA et se sécularise , puis privilégie la peinture, la poésie). A
l’intérieur de l’art, il se passe le relais , avant que tout cela migre au monotéisme). Art = sttaut de
révélateu . L’absolu ne se donnera que dans la forme accomplie par la philosophie, il ne donne pas le
dernier mot à l’art. l’art romantique = MA . L’esprit comme absolu, pas la somme des esprits des
hommes, il existe déjà en soi, nous sommes des rouages de l’avènement de l’esprit. Cela suit un
processus de spiritualisation, on déplace des blocs de pierre pour les placer, er prendre un stylo pour
écrie, c’est pas le même travail. C’est un système des arts particulier, exposé dans la 3 e partie de
l’esthétique, qui se combine avec sym, ro, clas. 5 arts particuliers : archi, sculpture, peinture, la
musique, la poésie. Art= figure sensiblle qu’empreinte l’absolu et est la figure de la conscience
intérieure, et est capable de se penser lui-même. Toute l’histoire de l’espri est ue conciliation entre
fini et infini , de intérieur, extérieur, de lintelligible et du sensible.

Introduction sur le texte, sur l’œuvre elle-même . Esthétique est un condensé de cours, qui ont été
donnés dans plusieurs universités, d’abord un semestre à Eisenberg, puis 4 semestres à Berlin. C’est
un cours de 5 semestres , et élaboration de ce texte se fait sous la forme d’un enseignement, et sous
une période de 10 ans . C’est la limite de l’art qui touche à l’impossibilité de faire ce qu’il ambitionne
de faire, le process s’exténue

Cours du 30/01/2023 :

Quelques mots sur l’esthétique : pas Hegel qui le publie , mais à Berlin en 1936 par Hotho ,
disciple d’Hegel, chargé de cours à l’université de Berlin et a travaillé histoire de l’art ( peinture
allemande et hollandaise) . Il n’a pas suivi tous les cours de Hegel (ont duré 10 ans.). Puis, suit les
cours de l’esthétique de H. Hegel est un écrivain parfois obscur. Il confronte ses notes avec celles
d’Hegel, et la première édition est relativement conforme aux enseignements d’H. Puis, produit une
seconde édition et fait des corrections en matière stylistique . Charles Bernard ( publié en 5 volumes  :
1840-52) , traduction qui omet certains passages ( dont introduction et première partie du texte). Ces
parties omises ont été remises par Zakaria . Ils procèdent à une traduction remaniée, en se
concentrant sur cette d’Hotho. On va voir l’introduction d’Hegel ,qui porte sur la délimitation de
l’esthétique et la possibilité de développer une science de l’art. Après, développement scientifique
du beau et de l’art (2) ; et présente le beau artistique en tant que concept, en reprenant des
représentations communes de l’art, qui précèdent sur beau artistique. Enfin, la subdivision du sujet,
c’est-à-dire les 3 parties de l’ouvrage.

I-Du concept du beau en général, naturel, artistique et idéel

II-Développement de l’idéal

III-Forme classique de l’art, forme romantique (Art chrétien), symbolique ( architecture


prédominante), classique ( art grec)

IV- Système des arts particuliers : archi, sculpture, les arts romantiques (peinture, musique, poésie)
I- La science du beau artistique : objection et réfutation (page 51 à 65) :

Que fait-il dans ce début d’introduction ? Il va redéfinir la notion d’esthétique. Puis, une fois définie
l’esthétique comme le beau en art, il va soulever des objections à l’encontre du projet de la science
du beau. 1- art manque de sérieux, 2- manque de détermination. On a une redéfinition de
l’esthétique, et la réfutation des objections qu’il évoque. Le texte part d’une définition, et
considération sémantique. Il examine le terme d’esthétique, faut essayer de s’entendre sur le sens
que l’on donne aux choses ( politesse intellectuelle). Hegel dit qu’il va conserver les termes
d’esthétique, il a une valeur d’usage donc, pour communiquer faut bien qu’on ait des lieux communs.
Seulement, s’il conserve le terme, il lui fait subir deux inflexions , donc il le redéfinit  : ce passage est
une mise au point, et une restriction qu’il impose au terme esthétique. Tout d’abord, il parle Wolf et
Baumgarten ( écrit le volet esthétique qui manquait à W). Mais en parlant de l’école W, en réalité, il
vise B. B fait de l’esthétique une branche, pas disséminée dans d’autres branches, mais d’en faire une
esthétique disciplinaire. B= esthétique est une science du sensible et atteint la vérité, esthétique est
une science de ce qui relève de la sensation. Hegel dit que la seule chose qui l’intéresse dans le
sensible c’est le beau ( mais, tout ce qui est sensible, n’est pas beau). L’esthétique d’H se situe entre
le beau, et le sensible, sous ensemble du sensible à condition qu’il soit beau. Cela exclut le beau
purement intellectuel , il y a une dévotion du je intelligible, du concept ( on a un beau intelligible,
dont participe le sensible => démonstration math qui peut être belle). Chez Hegel, le beau est
toujours incarnation sensible, d’un contenu intelligible, pas beau en soi. Tout sensible n’intéresse pas
Hegel, pas une science du sensible en général, mais du beau sensible. Deuxièmement, Hegel entend
considérer que le beau artistique . On a un sous ensemble du premier sous ensemble , la définition
prend aspect d’un entonnoir : à intérieur de l’empire du beau, l’esthétique ne concernera que le
beau artistique. On a un rétrécissement du champ : du sensible au beau, et du beau, au beau
artistique. A Propos du beau artistique, pas effet que le beau produit dans les œuvres, pas réception
des œuvres, par notre subjectivité. Ce qui l’intéresse ne concerne pas les œuvres => sujet ( toute la
doctrine du gout : ce qui ferait que l’œuvre nous plairait, ou non). Ce qui l’intéresse, c’est comment
les œuvres sont produites et que sont-elles d’un point de vue objectif ? Les œuvres d’art déploient
une représentation objective, qui est l’absolu chez Hegel. Le point important et de rupture très net,
c’est cette exclusion du champs esthétique, du beau nature «  cela pourrait vous paraitre arbitraire,
mais ne vous laissez pas tenter de le penser ». Comment justifier cette exclusion du beau de la nature
dans le champ de l’esthétique ? Chez H, il y a une distinction entre esprit et nature. Esprit s’objective
dans la nature : esprit et nature sont distincte et différents, cette distinction s’accompagne d’une
hiérarchie ontologique qui fait que l’esprit est toujours considéré comme incommensurablement
supérieur, à la nature ; ils ne sont confondent pas, mais est le principe de tout. L’esprit, est l’absolu
( et ne dépend de rien, et dont tout dépend). L’absolu n’est pas un phénomène de la nature mais la
beau est un phénomène de l’esprit, est beau ce qui est engendré par l’esprit, en réalité, il réengendre
ce qu’il trouve dans la nature. L’esprit emprunte ses motifs de représentation à la nature, mais il va
les agencer, les composer, pour manifester un contenu qui est purement spirituel. L’art pas imitation
de la nature, mais puise dansa celle-ci, les brides de sa propre œuvre, dont la fin sera l’architecture.
D’une certaine manière, on pourrait dire que la nature est le dictionnaire de l’art ( il y a tous els
mots , pour faire une phrase, ce que l’esprit trouve dans la nature, il le réengendre pour lui donner
une dimension spirituelle). Les éléments matériels de l’art change de nature. L’esprit est plus élevé
que la nature , donc, le beau en art est plus élevé que le beau naturel ( page 52). Il y aune différence
de niveau d’élévation, n’est pas une différence de degré , on passe d’un niveau à un autre, il y aune
différence de nature, ce qui le laisse comprendre, c’est cette phrase : la plus mauvaise idée qui passe
par la tete d’un homme est plus élevée que la production de la nature. Une idée même mauvaise,
possède une liberté, et une spiritualité, il y a moins d’écart entre la + triviale des pensées humaines,
qu’entre la plus haute production de la nature, et la production de l’esprit . Donc, esprit et nature
sont dans une sorte de relation d’incommensurabilité et possèdent une différence substantielle.
C’est toute la scolastique médiévale , Michel Ange trouvait la beauté de l’art dans l’esprit . Il ne
conçoit plus, comme Alberty, et Vasary , l’idée de la première Renaissance, ce qui compte c’est
l’imitation du monde visible, et détachement chez MA, car ce que doit présenter artistique c’est
l’image mentale intérieure qui dépasse et excède ce que l’on peut trouver dans le monde visible. MA
était un hégélien qui s’ignorait. Si l’on tient à parler de beauté naturelle, Hegel dit que la beauté
naturelle est imparfaite ( ne nous proposera qu’une beauté imparfaite), moindre par rapport à
l’esprit . La nature moins inspiratrice, mais devient divine, et dieu est source de toute beauté  : un
tableau, une statue , idée que artiste a dans l’esprit et processus dans lequel se manifeste dans la
forme sensible.

1- Formation de l’idée dans esprit de l’artiste, et puis, comme c’est une idée, c’est expression
de celle-ci sous forme matérielle, le marbre, la ligne ( 2- la manière : technique d’exécution ).

L’évolution de la théorie des arts va dans le sens qui n’est pas celle d’Hegel. 1450 : Antony Blould ;
faisait partie du groupe des 5, et ont secrètement adhéré au marxisme et sont restés des traites à
l’Angleterre . Le beau manifeste des idées, des pensées, des contenus spirituels. IL n’y a de vraie
beauté, que ce qui est crée par l’esprit, et est l’absolu, jamais personne n’a songé à faire une
exposition naturelle ( sauf, par pédagogie). Dans page 52-53, détermination de la valeur esthétique
des choses en fonction de critères objectifs, en tant que beauté de l’art, sur celle de la nature dérive
de beauté ontologique qui est absolue. La détermination de l’esthétique, avec ontologie. H s’extrait
de l’esthétique comme critique du jugement de gout , laquelle s’en tenait à des critères subjectifs,
sensibles, et non pas ontologiques. Esprit : stabilité de l’œuvre. Le concept : ce par quoi une idée,
esprit devient effectivement réel et s’objective dans la nature, dans la religion, l’art, concept odyssée
de l’idée. Idée doit se réaliser à travers le concept, doit se nier, pour se retrouver. Il y a cette idée que
l’idéal, et la vérité et que les idées sont supérieures aux productions de la nature. L’idée s’incarne
dans la réalité. Le plan de l’être c’es celui des eidos , alors que le devenir est ontologiquement
défaillant. La revendication de l’héritage de P, est clair, mais n’invente pas le process par lequel l’idée
deveint réel : le mvt par lequel l’esprit crée la réalité pour s’y incarner. Le concept, l’idée est la
structure arationnelle dont le concept est le mouvement de pensée ( la pensée en acte qui se réalise,
avec ce qui est extérieur). L’idée n’est pas le concept, mais c’est le mvt de l’idée elle-même.

- abstraction : pas objet de la philosophie , elle dot penser l’universel, et pas l’universel abstrait

-Process and reality , Whitehead : histoire de la philosophie c’est les notes de bas de page de Platon.

C’est un changement dans l’emploi du terme de la philosophie occidentale, la perdante, est la


nature, assurément. Autre point, qui sont les objections et les réfutations à la possibilité d’une
philosophie de l’art. Il y a des gens qui diront que philosophie de l’art, est une hérésie, et va les
réfuter. Du point de vue de la méthode, c’est rigoureux, on définit les termes et on regarde ce qui
pourra servir la réfutation. La thèse d’Hegel, peut faire une philosophie qui soit une connaissance de
l’essence même de l’art, du point de vue e la raison, d’une science d l’art, la seule science est la
philosophie. Chez H, pas de complexe de philosophie à l’égard des sciences. Que peut-on objecter à
la science philosophique de l’art :

1) Premier scrupule (c’est le petit caillou qui se met dans la godasse), cela gêne mais n’empêche
pas de marcher . Peut-on parler en l’espèce de l’art qui n’est pas suffisamment sérieux, pour
faire l’objet d’une enquête aussi sérieuse qu’une science de l’art. Est-ce que hétérogénéité ?
Est-ce que l’art pourrait être objet de science, est-ce que l’art est un bon candidat pour être
qualifié pour rentrer dans le champ de la philosophie comme science ? L’art, on peut le voir
comme cela , on peut vivre sans, cela enjolive, agrémente la vie, distrait l’esprit ( théâtre ,
orne, faire plaisir et remplace des occupations moralement mauvaises, condamnables). L’art
est un moyen avantageux, pour oisiveté ( mère de tous les vices). L’art serait un relâchement
de l’esprit, une forme d’affaiblissement, un luxe superfétatoire, une frivolité nous enlève
‘effort que la vie requiert , dans ce qu’il a de plus sérieux, de plus âpre. Les autres ont
rattaché Le wagon de l’art à la locomotive de la moralité, on peut trouver : le devoir, la
moralité. Celui qui est visé, c’est Kant , il ne le cite pas , paragraphe 59, CFJ.

- Le schème : fait directement l’intermédiaire entre les catégories de entendement et


sensible , donne une représentation sensible aux catégories de l’entendement ( quantité,
qualité, la relation et la modalité).
- L’imagination : schématise et donne des représentations directes aux catégories de
l’entendement . Le schème de la causalité c’est une succession de choses régulières. L’autre
manière, c’est le symbolisme qui n’est pas une représentation directe de ce qu’on trouve
dans l’entendement, mais indirecte, c’est une invitation à la réflexion. Il y a un
rapprochement à faire : il dit, que pas de ressemblance entre un moulin à bras (symbole de
l’état despotique, on l’utilise pour moudre du café) et un état despotique : il y en a entre leur
causalité : cela broie, et l’état despotique broie également.

Le beau est le symbole du bien moral, faut requalifier et recapitaliser la valeur philosophique en
rattachant à la fin, en en faisant le symbole : le beau symbole du bien. Et de ce point de vue, plait en
l’assentiment de tous les autres. C’est cette thèse qui est visée quand Hegel dit que le plaisir pas
sérieux, mais on doit en faire le symbole du bien. Mais, cette manière de voir, celle de K, et enrôler le
beau au service du devoir moral est pas bonne chose car :

- C’est indigne du devoir moral et de la raison de se commettre en donnant apparence du


plaisir sensible car c’est une compromission de la pureté morale, qui va finalement
s’accoutrer des fars du plaisir auquel ne reconnait pas de sérieux par ailleurs.
- Cette tentative ne sauve en rien, l’art et ne rend pas l’art digne de science, car on ravale
l’art : au rang de moyen et apparence : illusion , contredit les fins qu’il est censé servir. Art
comme illusion (livre II et IV des Lois).

En lsianr les lois, faut voir que imitation n’est pas réhabilitée mais est utilisée pour l »duction des
gardiens de la cité.

Cours du 06/02/2023 :

Outre l’esthétique de B, et la doctrine du gout, et la pensée de l’art, théorisée par Schelling. On a


présenté les sources de l’œuvre . Le beau subit une forme de réduction et ce qui relève de la nature,
il reste le beau en art. Plus appréhendée dans la subjectivité . Dont Kant est l’exemple majeur, et le
beau est considéré comme incarnation d’un contenu spirituel dans une forme sensible qu’il doit
exprimer. Le beau est une manière de faire exister de l’infini, dans le fini. Une fois que ces définitions
ont été posées . La 1e objection :

- L’art est une manière d’enjoliver, de se distraire, il y aurait peut-être un manque de sérieux.
Hegel dit que ce sentiment est présent, et on a pensé à la rattacher à des fins plus sérieuses,
notamment, à des fins morales. En tant qu’il est le symbole du bien et donner un dignité à
l’art, en raccrochant ce wagon à la morale ( cf : paragraphe 59, dans CFJ, le beau est le
symbole, indirect et imagée du bien).
- 2e objection : ne prend plus là en défaut de sérieux, mais de détermination. L’art pas
suffisamment déterminable pour être assignable à la science, elle ne relèverait pas de règles,
qui seraient déterminables par la rationalité scientifique. Mais plutôt, une liberté, qui
révèlerait de l’imagination sans limites assignables. Donc, à partir du moment où
imagination, cela semble compliqué de les englober dans des formules universelles.
L’objection a pour fondement de tenir imagination comme gouvernante la création
artistique, et la réception de l’œuvre par le public. Du coté de la production de l’œuvre, et en
tant qu’elle est la faculté où l’œuvre est en appel pour être reçue par un public. Il y a une
inadéquation entre la nature des œuvres, qui relèvent d’une infinité de création, et les
principes d’une science, qui relèvent d’une universalité. C’est une inéquation entre les
œuvres de l’imagination, et le travail scientifique de la raison. La science=> nécessaire et
universel ; l’art => produirait des choses singulières, et contingentes.

S’il y a quelques nécessités au fait que les corps chutes, il n’y en a pas à ce que MA peigne la Chapelle
Sixtine . L’art ne découlerait d’aucune nécessité. Pour Hegel, l’art est enrôlé dans le devenir
nécessaire de l’esprit, du concept.

Imaginer : représenter els choses sous forme d’images.

Il résulterait que l’inadéquation entre les principes de la raison, et l’art, on ne pourrait voir les règles
du gout. Les projets de la science de l’art, nous éloignerait de son objet et manquerait fatalement ,
on se méprendrait de ce qu’est une création artistique . Donc, les œuvres d’art tjrs singulières sont
rétives à tt forme abstraction, et de division générale ( étant des manières, dont la science procède,
pour analyser ses objets ). La science, en procédant par abstraction, manquerait l’objet même qu’elle
vise, qui est concret et se prendrait les pieds dans le tapis. La pensée scientifique supprimerait son
propre objet. Hegel dit que c’est un gros problème, page 63, que c’est une question grave , car
faudrait abandonner toute connaissance rationnelle . C’est la thèse du romantisme allemande : la
vérité ne pouvait pas se révéler dans la discursive, mais dans la poésie etc. Kant divorce entre
m’absolu, il met la philosophie dans une ornière. 1- défaut de sérieux de l’art, 2- défaut de
compatibilité de l’art avec l’universel. Cela se conclut avec toute connaissance scientifique et relève
d’opinions assez banales et courantes. Cette thèse, se trouve dans un tas de vieux livres (= qui sont
dépassées ou bien doivent l’être). Page 56, ce vieux livre « en particulier français, consacrés au beau
et aux beaux arts ».). C’est Charles Bateux , auteur du 18 e siècle, qui oppose le domaine des lettres,
et des sciences : art et philosophie. Il évoque peu de choses aujourd’hui mais a eu une influence
considérable à son époque, titulé de la chair de philosophie grecque et latine au collège de France,
grande institution créée sous François Ier, puis membre de l’Académie Française, il a une énorme
surface institutionnelle . Globalement évoquée, sa thèse dit que tout ce qui est instruction,
abstraction, sérieux, relève des textes scientifiques. Alors que les textes littéraires relèveraient du
plaisir, de l’invention, de l’aménité ( caractère aimable de quelque chose). Le domaine scientifique se
caractérise par une méthode du savoir, alors que le domaine littéraire allie sentiment, imagination,
émotivité et n’a pas l’utilité particulière, si ce n’est, nous procurer un plaisir . Cours de Belles lettres
ou principes de la littérature, 1754 texte. Batteux provient des vieux titres français. Il y a aussi, peut-
être Dominique Bouhours , qui a vécu avant B, il était très connu lui aussi, et était un défenseur de la
langue française, et Racine, la Fontaine, Boileau. Il publie les entretiens d’Eugene et ariste , il défend
que l’œuvre d’art et le jugement de gout relève de l’indétermination d’un je ne sais quoi. Il y a dans
l’art, une forme de singularité, irréductible à toute règle , avec une comparaison entre l’art, et
l’amour qui relèveraient d’une indétermination , pas plus qu’en art, en matière de sentiments. Il y a
un 3e auteur français, « vieux livre français », dont Dubos, 1670-1742, la poésie et la peinture ne sont
pas placées sur le même plan, mais considérées comme parallèle pour un domaine distinct. Cela a
marqué la réflexion sur l’esthétique et les beaux-arts. L’art est fondé sur du gout et ne peut pas être
déterminé par des règles, l’art en appelle aux sens, à l’intuition ; et à l’imagination et ne peut pas
faire l’objet de règles qui en demeurait la formule. Il insiste sur le bon et le beau. Chapitre 2, section
22, il évoque gout et ragout : est-ce que le gout est bon ? Mais aussi Montesquieu, en 1757, un
chapitre sur le gout s’appelle Du je ne sais quoi ? Page 849, édition seuil, est une surnégative, qui
s’applique à la séduction, mais aussi à l’art. Hegel pense contre ce type d’analyse esthétique, mais
ces objections il les trouve dans une littérature très diffusée à l’époque . Que les sources de ces
objections ont été identifiées, faut voir la manière dont Hegel les réfute. Page 57 à 63 dans l’édition
Zackaria, et aussi 63 et 65 . La première réfutation intègre toute une analyse intéressante sur la
notion d’apparences : l’art doit être dépassé. On en vient à la réfutation de la première objection
( pas sérieux) : si art distrait, enjolive ou orne, dans ce cas-là, ce dont on parle, est un art asservi, qui
est ravalé à un service, qui est une fin . Si art reçoit sa fin et sa détermination au-delà de lui-même,
est un art hors de lui-même . Comme la pensée doit trouver en elle-même, sa propre détermination,
elle doit servir ses propres intérêts et ses propres fins : la pensée est calculatrice. Quelle est la tache
suprême de l’art, comme la pensée ? C’est pas d’etre asservie, mais trouve la fin en soi-même, mais
trouver la tache suprême de l’art. L’art voisine avec ce qui va lui susccéder, dont la religion, l’art  :
c’est la manifesttaion de ce qui est divin. Quelle est la tâche suprême de l’art ? C’est pas d’enjoliver
des intérieurs, mais plutôt de manifester le divin, sachant, que c’est pas dieu qui est l’absoliu, c’est
l’absolu qui est divi, c’est l’esprit et l’idée. Dieu est la représentation inadéuate de l’idée. Donc, en
parlant d’art, faut se mettre d’accord sur sa fin : pour Hgel, c’est dépositaire des peuples, la clé de
leur sagesse, de leur mystère et l’art accès aux représentations les plus riches, et ouvre la voie au
devenir de l’espriit dont prendront le relais. Si art pas la religion , et que rélélation à soi de l’esprit,
qu’est-ce qui lui est propre et le distsisngue de la premoère étape, de ce qui suivra avec la religion, la
philosophie ? On touche un point capital car donne à l’esprit , au divin , au supra sensible, une
représentation sensible. L’art rend l’intelligible, malgré soon essence non sensibile, accessible aux
sens. Comme le sont par ailleurs, les objets de la bature. Là, est la représentation sensible d’une
réalité intelligible une représentation finie de l’infini. C’est pour cela que l’art appartient à la sphère
de l’esprit, et il entreprend la longue réconciliation entre esprit et la nature, la pensée et le réel. Tout
se joue dans la jonction entre intelligible t le sensible. Reste la question du jeu de l’art et cette vielle
question qui est critique platonicienne entre les essences éternelles, et celui des apparences, qui
sont chez Platon, noyées dans la corruption du devenir . C’est ici que l’on mesure écarte entre Platon
et Hegel : supra sensible et sensible, entre l’esprit et le réle coupure chez P. Le statut de l’apparence,
dit Hegel, n’est pas un grief contre l’art . Pourquoi ? Cela disqualifierait ‘lart, seulement si apparence
était coupée de l’essence, page 58, sur l’apparnece, il la requalifie et la prend au sérieux  . C’est tout
l’inverse, il dit «  l’apparence même est essentielle à l’essence ». A partir de là, il requalifie la notion
d’apparence . Le fiat que l’art joue d’apparence, est apparence sensible, d’un contnu spitieul est son
mérité. Quelle est sa valeur ? De donner une apparence sensile à l’baoslu. Il permet à l’idée de se
manifester à la conscience . Ll’apparence n’est pas rien , ne nous chahc epas la vérité, ne la dissimule
pas, ne la voile pas , mais la dévoile quqi se manifeste grâce à l’apparence. Donc, l’apparence est une
apparition. C’est le sens même d’apparaitre . il n’ya urait aucune véirté si elle n’apparaissiat pas à
l’esprit . L’esprit même ne poiurrait se manifester , à lui-même. Si l’apparence est ce par quoi la
vérité se maniefste, et la vérité ce par quoi esprit se manifeste à lui-même, l’espir se trouve enrolé ,
dans la dialectique mee de l’esprit. D’où me fait quee l’apparence est essentiel . Eelle joue un rôle de
mmédiation entre l’esssence, et ele-mmeme, entre le concept et luo même . L’apparence est une
sorte de médiation essentielle dans la vie de la vérité et absolue. La valeur de l’apparence, est
renversée âr rappt au statut que lui accordait la tradition platonicienne. Cela est chargé d’une
positivité et dans l’espri . Alors que chez P, ll’apparence de l’apparence de l’apparence : lit des deux
lits, celui du menuisier , puis, le créteur , cela nous fait aimer des choses qui n’ont pas plus de
substance que nos songes ; On éduque les citoyens à la justice . Platon fait une critique de
l’apparence, et Hgel dit que ne nous acoquine pas, mais est une ùanifestation de l’absplu. C’est un
pouint capictal, mais n’est pas l’apparence des objets de la nature, car l’apparence dans l’art est
regénéréé dans l’art, investie d’un contenu spirtuel . Elle vaut comme le signe de quelque chose  : la
colombe de Picasso est celle de la paix, ou les brissures de Guernicca, c’est Guernicca. L’artiste est un
ênseur . Messonier, c’est pas bon, 19e peinture.

Là évddemment, l’apparence est regénérée dans un contenu spirituel , et que els apparences de l’art
ont plus de réalité, que les existences phénoménales, arce que l’apparen est inevstie dans un
contenu spirituel, l’espit est plus élevé que la nature. Donc, on ne peut pas confondre l’apparence,
manif d’un contneu spirituel, d’avec ce qui est physique ou psychologique . il envoie un coup de pied
à l’histoire, car la philosophie de Hgeel est une philo de l’art + celle de l’hsitorie.l’histoire est uen
qetion de philo et pas laisser histoire aux historiens. La discipline historiquue, est uen sorte de
narration de la réalité historique et e qu’il reproche aux historiens, c’est qu’ne narrant l’hist, isl
n’accedent pas au cotenu spirutuel, de ne pas comprednre que dans les ecnhementerepnt, ce qui se
joue c’est l’avèènement de ce qui est nécesaire et vrai. L’art comme l’histoire sont l’affaire de la
philosophie. L’esprit revient chez so ; retourne là où n’était jamais allée . Toute l’histoire n’est jaais
que la succession du retour de lui-même t en lui-même, de l’esprit . Si l’on veut, la vie , ou la nature
manifeste bcp moins la vérité que l’art . la pointe la plus élevée, est la philosophie. L’art se situe dans
la nature sensible de l’esprit, en tatn que représentation sensible de la vérité :e t comme , elle
s’accomplira par le coept et la philosophie, elle est la représentation de ce qui n’est pas
représentable . La forme sensible, si elle a le mérité de représenter quelque chose de spirituel, il ne
peut s’agir que d’une vérité où teouve dans les choses sensibles , quelque chose de pas trop
inadéquat : les dieux grecs représentent l’esprit, la forme classique de l’lart, est limitée par le
contenu est limité par la forme, rapport u dieu chrétien et devient inadéquate s les reprénsettaion
susucplible âr l’art. Un juif, un chrétien, un musulman ne peut plus s’exprimer, parce qu’il accède à
une réflecitivt, âr les formes de l’art, qui s’expriment par la religion. La voix privilégiée de la religion,
est la maxime , ce qui ne veut pas dire qu’il n’y a pas d’art religieux, mais pour Hgel dépassemnt
nécessaire de l’art, ce qu’on lui reproche en disant que Hgel, prophète de la mort de l’art. L’esprit,
pour dépasser le stade de l’art, doit reprendre les bassesses, et la raison se joue des passions, c’est la
ruse de l’historie. Le fameux thème de la ruse de l’esprit qui utilise les passions de l’historie, il y a
récnciliation car la dialectique s’inscrit dans cette ensée. Les oppositions sont toujours surmontées,
et peut etre que dépassé et peut etre au moment où écrit sa pensée de l’art  : l’art est dépassé.
Pourquoi ? L’idée de Hegel c’est qu’on peut penser les choses, que quand elles sont achévéees. Si on
pense quelque chose , c’est qu’on doit le dépasseent ed ce qe l’on est en train de penser. En pensant
l’art, l’artiste prolixe est le thuriféraire de la dépouille de l’art. les artistes se déportent dans la
discursivité, qui est éléménet même de la philo : l’art est quelque chose de passé. Cette pragse, a été
ressentie comme une provocation, mais on comprend pas dans quel sens. Art est passé, pa sque l’art
est mort, seulement, que ‘l’art oncuted ‘eiter pas la question plus sur le terrain de l’art que absolu
manifeste son propre progrès. La scène DANS absolu est plus scène artistique : religion, philo . En ce
sens, dire que l’art est passé, n’est aps que ‘lart est mort, mais il est dépassé du point de vue de la
pounte du devenir de l’esprit . d’ailleurs, qui soutiendrait que la scène philosophique de Hegel a mis
fin à l’artistique ? Quand on pense quelque chose, la chose est achevée : c’est qu’au débit du
crépuscule que la chouette de Minerve prend le vol : qu’au crépuscule peut se manufester, on les
troouve dans les Principes de la philo du droit. La philosophie n’est pas une disicipline prescriptive,
elle dit ce que les choses sont, une fois qu’elles ont été , donc elle est descirptive, ce en quoi elle est
uen science. Là, évidemment, si on attend qu’une chose fini, on dit ce qu’elles sont, el leur vérité. Il
ne peut y avoir de connaissances véritables qu’au terme du processus de formation, de son propre
objet : tant qu’un objet se crée, on ne le connaitra jamais adéquatement. Quand une chose n'a pas
ifni de se constituer : que veut-on connaitre ? Et, la philosophie vient toujours trop tard . C’est le
devenir qui fait l’être, l’essence des choses ne s’accomplit qu’au terme d’un process , pas plus que
l’apparence et l’essence . Si c’est le devenir qui fait l’petre , il est évident que la philos aiit une chose
quand elle est advenue . la dernière conséquence : s’il faut que els choses soient achevées, alors, il
n’y a de vérité que de la totalité achevée, de la fin de l’histoire : c’est à la fin du bal qu’on paie les
mus iciens; le vrai , c’est le tout et est la totalité de l’achèvement . Il n’y a de vérité, qu’au stade
l’achèvemet, que de la totalité. Tant que la totalité pas ouverte sur elle-même, alors que en devenir.
Le tout ces’achèvement de l’essence, c’est l’essence qui s’achève : l’absolu de l’absolu, il faut dire
qu’il est essentiellement résultat, il est à la fin seulement ce qu’il est en vérité. La véroté, c’est à la
fin. E toute philosophie est rétrospective, pas apocalypse néanmoins. C’est la fin d’un monde, il
prospère sur les ruines d’Athènes , en 404, fin hégémonie athénienne .

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