Vous êtes sur la page 1sur 39

Objectivité

3 notes :
Un DM – Commentaire - limite de pages (pas passer trop de temps dessus)
Un DST – Plan détaillé disserte
Un Partiel
explication de texte

Clé EPI : ObjectivitéL3

DM pour 3 novembre
Maximum 6 pages
En PDF

________________________________________________________________________________

Dimension épistémologique de l’objectivité

Introduction :

Définition des termes :

3 sens de l’objectivité, ce qui porte une certaine ambiguïté face au terme

1 : (manière courante) Attitude du sujet, désintéressé, sans partie pris

Impartialité
Par exemple un journaliste n’est pas objective, dans le manière de sélectionner les faits et dans
interprétation. Soit par biais de confirmation, malice ex. Il laisse passer des jugements

Défait de ce qui est individuel


Si le jugement n’est pas perturbé par les biais personnels, il y aurait donc un jugement commun à
tous, ce qui atteint mieux la vérité.
Ici, l’objectivité s’oppose à la subjectivité, au sens d’individualité, de ce qui est relative aux
individus. Cela suppose que pour faire un bon jugement, il faudrait enlever tout ce qui
Ici, cela signifie pas que ce n’est pas un sujet qui juge, mais que le manière dont le sujet pense peut
être universel.

2 : Objectivité, ontologique, ce qui existe en soi, indépendamment de la saisit qu’il y a dans mon
esprit

Objectivité de la chose, c’est l’objet en elle même.


L’objectivité de la table, c’est ce
« Qu’est ce que le monde seul au monde ? »

Objectivité s’oppose à la subjectivité, au sens de conscience en général.


Il y aurait dans côté tout ce qui est pensé dans un sujet, ce qui est subjective, et l’objectivité, ce qui
concerne
La réalité extérieure -/- réalité intérieure.

Statut ontologique
3 : Objectivité : manière de concevoir la vérité, objectivité dans la connaissance
(découle de l’autre)

Vérité, est le type de connaissance est ce qui correspond aux choses en elle même.
Il faut bien supposer qu’il y a un objet absolut entre nous, 2eme sens,
Paradoxe de connaître la vérité objective, car on ne peut que connaître en tant que sujet.

Objectivé : type de connaissance.


C’est une conception de la vérité qu’on devrait dépasser.

___

Commentaire :

Connaissance est requise. On doit considérer comment le texte fonctionne, mais il faut ajouter aussi
des concepts
Suivre l’ordre du texte, pour comprendre la structure et fonction du texte. Bonnes transitions,
apparents ou pas.
Le texte qu’on doit expliquer, c’est le texte sous les yeux. Pas utiliser un « texte prétexte ».
Intervenir que si ça serve au texte précis. Juste milieu difficile.
Problème du texte, et pas seulement celui de l’objectivité.
Pas de généralités sur l’autre.
Insérer le texte dans l’œuvre. C’est ce qu’il faut faire pendant les concours.
Plan, contenu de l’autre, mais aussi le statut argumentative du mouvement, et le manière dont ils
sont liés les parties.
Bonnes dissertes, utiliser des textes précis.

________________________________________________________________________________

Dans tout ces sens, c’est la volonté de dépasser quelque chose qui est relative, le point de vue du
sujet, aux individus, face au sujet, dans la connaissance elle même.

Le concept d’objectivité n’existe pas sans de concept de subjectivité.

Double problème : statut de l’objet, et le rapport possible à ce objet.

3 grandes problèmes dans le concept d’objectivité (liés mais ensemble en réalité) :

1 : Problème du statuts ontologique et épistémologique de l’objet

Définition de l’objet de la connaissance ? Qu’est ce que ce objet face à nous, qu’on veut connaître ?

Est ce que l’objet existe en dehors de nous, ou est ce que l’objet n’est que pour un sujet ?
Si le objet existe indépendamment du sujet, alors qu’est ce qui est connaissable par le sujet ?
Si on peut pas connaître un objet en dehors d’un sujet, alors qu’est ce qui constitue l’objectivité,
qu’est ce que c’est un objet ? Qu’est ce qui caractérise l’objectivité de l’objet. Qu’est ce qu’on peur
penser comme vérité objective ?

2 : conformité de nos représentations aux objets

Cela est une conception de la vérité, qui situé historiquement, et suppose des décisions
métaphysiques très lourds.
Elle suppose que l’objet extérieure :
1. L’objet existe en lui même
2. L’objet extérieure est connaissable

Dans l’antiquité, l’objectivité n’apparaît pas vraiment.


Prémisses scolastiques, mais cela arrive vraiment seulement avec Descartes, conscience pensant,
face à un monde extérieure, radicalement différent qu’elle essaie de connaître.

Je connais une table, par ce que j’ai une idée que j’ai dans l’esprit, qui correspondrait aux propriétés
de la table, l’objet, en elle même.
Mais si
Représentations, quelque chose qui me présente l’objet, comme il n’est pas. C’est toujours sous un
sens redoublement. Soit présenté à nouveau, comme dans l’imagination, ou soit par « redoubler » la
chose, de tenir l’objet pour quelque chose qu’elle n’est pas.
La peinture d’une pomme présente la pomme alors qu’elle n’est pas la, ce n’est pas la pomme elle
même.
La représentation va dévoiler l’objet, toute en la voilant.
L’idée d’un triangle n’est pas ne triangle. Je n’ai jamais accès qu’à ma propre pensé, et jamais accès
aux choses en elle même.

(dessin homme qui regard un arbre, arbre dans sa tête)


La sensation que j’ai de l’arbre, c’est un contenu sensible, et pas l’arbre en elle même. Comment
savoir que l’arbre correspond à l’objet extérieure ?
Même demander aux autres, c’est de savoir qu’on a tous la même illusion ?
Il faut penser que Dieu, un 3eme point de vue, nous trompera pas. Conception métaphysique. très
lourd. Mais il faudrait un 4éme point de vue pour valider la 3éme etc.
Ce paradoxe montre que nous sommes enfermé dans notre subjectivité, dans le paraître.
Si nos idées sont des contenus d’un intériorité, alors nous sommes enfermé. Cela marche pour toute
représentation, pas seulement sensible.

L’idée de la pomme suppose :


Qui contient la pomme

L’idée de la pomme n’est pas une pomme. Dès le départ le problème se pose.

Le notion de représentation est centrale.

On voudrait subjectivement connaître l’objet objectivement, c’est-à-dire à l’abstraction du regard


subjective.

Cela découle d’un certain rapport ontologique du sujet à l’objet.

3 : Méthode

Que on considère que l’objet de la connaissance soit objective ou subjective, le problème de la


méthode se pose.
Méthode ; art de conduire sa pensé.
Comment faire en sorte que ma pensée correspond
On peut voir un sorte de lutte du sujet face à elle même.
Comment un sujet, dont intérieurement et la situation de lui est irréductible, peut il accéder à un
objet, que ça soit l’objet en elle même, ou l’objet d’un point de vue universel, donc le dépouiller de
tout ce qui lui est objective.

1ere Partie : Conception de l’objectivité comme conformité de l’idée de la pensée avec l’objet

Cette définition, au premier abord, peut paraître un peu naïve.


Descartes
Poser la vérité comme cela, c’est de
Concept moderne de conscience et le statut des rôles différents des sensations.

Chez Platon, le problème de la connaissance, c’est plutôt comment connaître les choses en elle
même, alors que nos sensations changent tout le temps, mais les choses en eux même ne change
pas. Problème changement/essence

Chez Descartes, le problème se pose dans l’idée d’intériorité/extériorité.

Méditations Métaphysique.

1). Le Solipsisme de l’ego cogito dans les méditations.

(LIRE LES MÉDITATIONS)

Descartes essaie de fonder la science dans des connaissances certaines.

Doute hyperbolique : le moindre doute = pas absolument certaine, il faut dégager l’idée, car elle ne
peut pas porter le titre de principe.
Si on peut douter une chose, elle n’est pas suffisamment fondé.

Descartes procède dans une certaine tri, qui lui amène à douter de tout, monde extérieure, malin
génie, etc.

2eme méditation ; certitude du cogito, il pense.


Douter de ma conscience, c’est avoir accès à sa conscience.

« Que suis je donc maintenant que j’existe ? »


Il déduit qu’il à comme substance d’être un sujet pensant, qu’il à des pensées.
Il n’est pas certain que ses pensées correspondent à la vérité.

La certitude de son propre existence, s’emporte vers les pensées, je ne peux pas douter que je pense.
Accès immédiat = plus aucun doute

Position solipsiste.
Comment fonder la connaissance ?

3eme méditation :
Existence de Dieu. Premier chose en dehors de lui même, dont il est certain qui existe comme dans
ses pensées.
Le seul accès à la réalité est par l’intériorité.
L’analyse des idées, et le trie des idées différents lui permet de donner une critère de vérité pour ses
idées.
2 : L’analyse des idées comme représentations : la règle de l’évidence et la preuve de l’existence de
Dieu

a). La distinction entre les idées comme modalités de l’âme, et le jugement que j’émets à propos des
idées

Descartes va distinguer deux niveaux. Des idées et le jugement qu’on a vise a vis des idées.
Les idées en elle même, des choses dont on a conscience, ils sont ni vrai ou fausse. « Je pense à un
triangle, un chimère etc. »
« si on considère des idées en elle même, (…) elles ne peuvent être fausses, que j’imagine une
chèvre ou chimère, il n’est point vrai (...) »
L’erreur ne viennent pas des idées eux même, mais du jugement. La tromperie commence quand on
commence d’affirmer que cela correspond à la réalité des choses.
L’erreur principal est de penser que ce que je pense se rapport au monde extérieure. On a tendance à
confondre les idées et les jugements, quand on commence de juger mes idées comme quelque chose
au-delà d’une représentation, mais quelles rendent présent des objets.
Selon quel critère est ce je puisse bien juger ?

Modes de la pensée :
(ou de manière d’être de l’âme)

Descartes à déjà distingué le corps et sujet pensant.


(Principes de philosophie, 1 articles 51, 52, 60)
Toute les substances crées sont maintenu en existence par Dieu, création continu, seul Dieu est
substance vraiment.
L’homme est un substance, car il n’existe que par lui même. Un main, n’est pas un substance, car
elle dépend de l’homme. Il y a homme sans main, mais pas main sans homme.

Deux idées
Hypokeimenon
En dessous, sujet qui reçoit les qualités
Socrate substance, car c’est a Socrate que j’attribue des
Mais je peux pas affirmer Socrate d’un autre sujet.

Ousia
L’essence de la chose, les propriétés nécessaires de la chose.

Descartes substance :
En lui même, essence (propriétés essentiels)

2 substances ; Pensant (âme) et corporelle.

Âme peut être pensée sans corps.

Corps ; une chose matériels, inerte, étendu

Âme ; active, pensant

Il faut que la pensée qui est la pensée de quelque chose.


Une substance
En saisissant un mode, j’en conclut qu’il y a

Idées ; modalité de l’âme, c’est a dire qu’ils sont fait par l’âme, des manières de pensées, manière
que l’âme exprime son essence.
Toute pensé est pensé de quelque chose.
L’idée, réalité dans l’esprit.

Il faut distinguer la forme et contenu de l’idée.

Forme de l’idée, modalité de l’âme. Mais chacun de ces idées représentent idée idée (contenu)
L’objet que présent l’idée.

La question est alors de savoir si le contenu de l’idée existe bien.

Est ce qu’il y a une idée qu’on peut être

b). Distinction réalité formelle et réalité objective de l’idée

(3eme méditation).

Distinction héritée de la scolastique. Première fois qu’on parle de « objective ».

La réalité formelle de l’idée, idée en tant qu’il est , c’est-à-dire l’essence d’une idée. De ce point de
vue, toute les idées sont égaux.
Citation Descartes.

Réalité objective de l’idée, c’est-à-dire contenu de l’idée. Une chimère, chèvre etc. DE ce point de
vue, toute les idées sont différentes. De la même manière qu’un homme à plus d’être que dans un
bras, qui a plus qu’un mouvement de bras. Pour Descartes, un homme à donc plus de réalité que son
bras. Il y aurait plus ou moins de réalité objective au niveau des idées.

Pour retenir la distinction ;


la réalité formelle : essence de l’idée
réalité objective de l’idée : objet représenté par l’idée

_______________________________

Cours 2 :

La question qui se pose donc est celui du jugement, de juger si l’idée qu’on a est conforme à la
réalité ou non.

(suite de b. Distinction réalité formelle et réalité objective de l’idée)

Cet distinction est hérité de la scolastique. La distinction va montrer quand on a une idée, il faut
toujours distinguer deux choses.
Toute idée est formellement une représentation d’une chose qu’elle n’est pas.
Le contenu d’une idée est la chose.
Réalité formelle :
Réalité actuel ou formelle. L’idée en tant qu’idée, c’est-à-dire en tant que modalité de la pensé, ce
qu’elle est actuellement. Un réalité dans la pensée.
Du point de vue de la réalité formelle, toute les idées ont une valeur égale, toutes la même chose.

Le notion de réalité formelle s’applique non seulement aux idées, mais aussi des choses. Ce qui
caractérise les objets sont ce qu’ils sont actuellement. De même la réalité formelle de l’idée renvoi
au fait que l’idée existe dans la réalité, de même la réalité

La réalité formelle des objets ne sont pas tous les mêmes, car ils ont des propriétés différents, qui
font qu’ils existent de façon différents. Non seulement ces réalités formelles vont être différents,
mais certains sont plus réel que d’autre. L’arbre est plus que la feuille, car elle a plus de propriétés
que d’autres. L’arbre c’est une substance, et la feuille c’est un attribut de l’arbre.
Cette différence de réalité, correspond à une différence de perfection. Cet assimilation est présent à
l’époque de Descartes.
Une manque de réalité, c’est l’imperfection.
La seule substance parfaite, c’est la substance de Dieu, elle n’a pas de défaut, car elle n’a pas de
limite.
Tout les choses ont des essences différents.
Ainsi, Dieu, s’il existe, a donc plus de réalité que l’homme.

Réalité objective de l’idée : contenu de l’idée


L’objet représenté par l’idée.

Par exemple, un triangle, une chimère, un chèvre. Existe pas actuellement forcément.

De ce point de vue, toute mes idées sont différents. Ce qui distingue donc
Être, même seulement dans une idée, c’est pas le néant. Finalement, mes idées ont une valeur
différent, une réalité différent, donc hiérarchie entre les idées.
C’est pas que l’arbre existe plus, c’est qu’elle à plus de réalité. Faut distinguer l’existence de la
chose et les la réalité contenu.

L’homme est plus parfaite que la pomme, de la même manière qu’un tableau de l’homme est plus
parfait qu’un tableau de pomme.
Autrement ce qu’elle dit, c’est que les idées sont déjà quelque chose. Il faut donc rendre raison des
différences de réalité de mes idées, d’où elles viennent ?

Un jugement, c’est pas le fait de dire que j’ai une idée, mais d’affirmer l’existence de mon idée en
dehors de moi.

L’idée de l’homme a plus de réalité que l’idée de bras.


« Des considérants comme des images, dont les unes représentent des choses
car en effet, celles qui me représentent de substances sont sans doute quelque chose de plus et
contiennent en soi plus de réalité objective, (…)
Exister par représentation c’est (…)
??? »

En quoi cette analyse aide Descartes ?

Il faut s’interroger sur ce qui cause la réalité objective de nos idées,


c. Principe de causalité et démonstration de l’existence de Dieu

Directement après cette distinction, Descartes énonce la principe de causalité, toute chose existant à
nécessairement une cause.
Pour Descartes, il doit avoir autant de réalité de la cause efficient que dans l’effet.
Cela est du a son conception de la réalité. Une cause est supérieure ou égale que son cause. S’il y
avait autant
La réalité qui caractérise l’arbre ressemble pas à la cause.
Si nous sommes plus parfait que nos parents, alors il doit avoir plus de choses qui sont la cause.

Juste après cela, il annonce que « le néant ne saurait produire aucune chose, mais aussi que ce qui
est plus parfait (…) ne peut être une suite ou dépendance du moins parfait ».
Le néant ne peut être une cause, car aucune réalité ne peut venir de nul part. Le moins parfait ne
peut pas causer la réalité d’une chose plus parfait.

(dire que Dieu est cause de soi, c’est dire qu’il est éternel, n’a pas de commencement ou fin).

Une pierre ne peut pas commencer à exister, sans

Formellement ou éminemment.
Dans le texte ; réalité formelle des idées, c’est diffèrent que réalité formelle des causes (choses
extérieures, objectivement)

La cause de la réalité de mes idées.


Qu’est ce qui cause la réalité formelle de mes idées ? C’est l’esprit, c’est moi. C’est pas un
problème. C’est des modes de la pensée.

Ce qui pose problème c’est celui de la réalité objective de mes idées.


(citations sur EPI)

La réalité objective de mes idées doit venir de quelque chose qui a autant de réalité formelle
que mes idées contiennent objectivement, il faut que ça vient d’une chose

Il faut que j’ai des idées qui viennent de quelque part. Peut être que c’est moi.
S’il y a une idée dont le contenu dépasse moi même, il faut que ça vient de quelque part qui a plus
de réalité que moi.

Autrement dit, « la lumière naturel qui me fait connaître évidemment, que les idées sont en moi
comme des images, qui peuvent » échoir, mais peuvent pas donner plus de réalité.

Si ça vient de moi, ça implique que moi j’ai la capacité de causer ces réalités.

Je n’ai pas pu produire l’idée de Dieu. Preuve de Dieu par les effets.

Alors, tout les idées, sauf l’idée de Dieu, peuvent pas venir de moi. L’idée de l’infinité viendrait
sinon de moi, car je suis finit.
Dieu doit exister, et doit avoir mis dans mes pensées l’idée de Dieu.

Deux remarques sur l’idée d’infini :


- Il faut distinguer l’infini de l’indéfini. L’indéfini, c’est indéterminée, ce qui j’arrive pas à limiter,
un défaut de l’esprit. Je peux augmenter mes connaissances, mais je ne peux pas avoir une
connaissance positivement infini.
L’infini a tellement d’être qu’elle n’est limité par rien. L’infini ne s’applique seulement à
Dieu. C’est pas que c’est qqch trop grand pour que je le comprends.

- Est-ce que l’idée de l’infini c’est le passage à la limite, de ma propre finitude. Infini serait la
négation de notre finitude. Mais pour avoir cette idée, il faut déjà avoir l’idée de la chose manquant
pour penser la finitude, c’est donc l’idée du fini qui vient de l’infini.

Dieu ne peut pas être trompeur. On ne peut tromper quelque parce qu’il nous manque quelque
chose.

________________________________________________________________________________

Cours 4 :

Son preuve de l’existence de Dieu lui permet de sortir du problème du correspondance entre notre
subjectivité et l’objectivité. C’est parce que Dieu nous a crée, il nous a pas mis des idées évident et
fausses. Il garantie l’objectivité de certains de nos représentations.
Il fait un critère des choses extérieures, du jugement.

d). Le critère de la certitude : la règle de l’évidence et la preuve de la véracité de Dieu

Qu’est ce qui constitue la vérité d’un jugement ?

La preuve de la véracité de Dieu, ne garantie pas la règle de l’évidence. On à besoin de cette règle
pour prouver la véracité.

Deux niveaux de vérité :


• Vérité comme objectivité, correspondance entre les idées et les choses
• Vérité tel qu’elle est dans la règle de l’évidence

Règle générale de l’évidence (début du 3éme méditation)


Il est certain qu’il est une chose qui pense.
C’est la clarté et a distinction du cogito qui le rend si certain. L’évidence, un sentiment, vient du
clarté et distinction de l’idée.
Clarté et distinction : « J’appelle claire (la connaissance) qui est présente et manifeste un esprit
attentive : de même qui nous disons voir clairement les objets lorsque étant présent sur les yeux, ils
agissent assez fort sur les yeux, et celle qui est distincte et assez clairement des autres qu’elle
comprend en soi (???)
(def se trouve dans principes de la philosophie, partie 1, 45)

Opposé aux obscure et confuse. Il peu avoir des idées claires et confuses. Mais toute idée distincte
est
Idée que claire : Une idée qui est présent et manifeste un esprit attentive. Quand je concentre
dessus, ça frappe forcement mon esprit. J’ai clairement quelque chose à l’esprit.
Claire mais confuse : certains types de sensations. Rouge, froid, chaleur. Si on veut considérer le
froid ou rouge en elle même, je trouve rien de distinct. Il y a un contenu, mais c’est seulement un
sentiment. Je ne perçois rien de distinct dans le rouge. Je ne peux pas donner une définition du
rouge, il n’y a pas de propriétés. Si on n’a pas vécu le rouge, on peut pas connaître l’idée de rouge.
C’est de l’ordre du vécu. Je ne peux pas le différencier le rouge des autres couleurs en fonction de
ses propriétés. Le contenu de l’idée de froid ou rouge n’est pas quelque chose. Je ne peux pas dire
que le froid est la négation du chaleur, ou un propriété en lui même, positive.
Les qualités sensibles ont une certaine fausseté matériel. Ce sont bien des idées, des contenus de
l’idée, mais ne représente pas une chose, du réel. Elles représentent dire comme si c’était quelque
chose. C’est une pur qualité perçu.

A l’inverse, une idée claire et distincte, c’est une triangle. Tout les caractéristiques. On peut
l’expliquer à quelqu’un. On comprend pourquoi elle n’est pas un cercle. L’idée est assez précise
pour que je puisse pas le confondre avec autre chose. 2+2=4, on peut pas le concevoir autre choses.
2 n’est pas 3. Les idées des mathématiques sont claires et distinctes. C’est une manifestation du
principe de non-contradiction. Une chose ne peut pas avoir des propriétés qui lui sont contraire.
Puisque ces choses sont pas contradictoires, ils peuvent exister. Ils ont une vérité intrinsèque,
puisque qu’ils sont un objet, ils peuvent pas exister autrement.
Lili Abrer. Citation sur EPI.

Tout les objets claires et distinctes sont vrais, c’est pas que ça existe en dehors de moi, mais c’est
une quelque chose. Le froid, c’est une sensation confuse, un triangle c’est bien une chose.

A partir de l’idée claire et distincte de Dieu, on conclut qu’il existe.

Il faut que j’ai l’idée dans l’esprit pour que ça soit évident.
Quand c’est un petit raisonnement, dans un acte unique de l’esprit. (Importance du mémoire?). Il
faut qu’il y a quelque chose qui fonde l’idée qui était claire et distincte. C’est à ça que serve la
véracité divine.

___
C’est grâce à a véracité divine qu’on peut prouver l’existence du monde extérieure.
C’est dans la 6éme méditation.

La preuve de l’existence des corps. On peut concevoir la substance étendu et substance pensant.
Dieu nous a mis dans la tête. Ils doivent exister séparément, clairement et distinctement, donc ils
doivent l’être, sinon Dieu serait trompeur.

J’ai une idée claire et distinct de mon âme, de moi même en tant que substance pensant.
Néanmoins, quand on considère les idées différentes, on peut en distinguer trois sortes.
• Idées innées → entendement
◦ Vient que de ma nature. Quand je pense tout seul, mon seul entendement, sans rien venir
du sensible. Ex. triangle.
• Idées adventices → sens
◦ Des idées qui semblent venir de quelque chose qui n’est pas moi. Elle vient d’essence
d’autre chose. Une table. Elles viennent malgré moi.
• Idées factices → imagination
◦ Images sensibles qui viennent de moi même.
◦ Ce qui lui distingue des idées adventices, c’est que j’ai un contrôle dessus, elles viennent
d’un action de mon esprit.

Adventices ont un rapport au corps. Factices et adventices sont tout les deux lié au sensibilité. Idées
innées ne sont que rationnel, des définitions des choses. Il y a une différence entre l’image du
triangle dans la tête et la définition du triangle.
Sensation de dépendre de moi ou pas.
Adventices, viennent des objets extérieures. Ces idées viennent soit du réalité extérieures, soit de
Dieu, mais ça vient du extérieure, parce que c’est si claire, donc sinon Dieu me tromperait.

Il prouve les choses extérieures, car il a des idées C et D, leur cause doit venir de l’extérieure, par ce
que sinon Dieu serait trompeur.

Parmi toute les sensations, il y a des idées claires et distinctes, des objets extérieures, et des idées
confuses, viennent pas de l’extérieure.

La représentation du table correspond au table extérieure, mais pas sa couleur.


La table va causer une certaine sensation, qui va produire certains sensations en moi.

Descartes donne une caution de certaines de nos sensations. Il nous fournit une critère, pour ceux
qui représentes correctement, et ceux pour qui c’est moins vrai. La critère c’est celui de la clarté et
évidence.

3). Les qualités sensibles ou qualia, et le problème de l’objectivité.

Des distinctions dans les sensations C et D, et des qualia.


Galilée, perceptions géométriques des corps et qualia. Chez Galilée, il pose la distinction, mais pas
celui de l’objectivité. André Charrak (?), pourquoi est-ce que ça se pose pas chez Galilée mais chez
Descartes.

a). Le typologie des idées chez Descartes

• Idées innées qui viennent de l’entendement


◦ Idées innées sont de l’entendement pur, donc les plus claires et distinctes. Ils sont nés
avec l’esprit, mis par Dieu. Les idées innées font partie de la nature de l’entendement.
Les principes de la logique, idée de Dieu, vérités des mathématiques. Il semble que je ne
fait que découvrir l’idée de triangle dans mon esprit. Qqch comme la réminiscence chez
Platon, même si ça se fait pas de la même manière. J’ai pas l’impression que qqch vient
de l’extérieure.
• Idées factices qui de l’imagination
◦ Faculté sensible, qui va produire des images sensibles. L’homme décide de produire
l’image. Imagination est active, sensation est passive. Elle représente des images passés,
souvenirs, de recomposition, image des choses inventés.
• Les idées adventices qui viennent des sens
◦ La question de l’objectivité se présent surtout dans ces idées. Des idées qui viennent de
l’extérieure. Lorsque je sens, je ne peux pas choisir de sentir telle ou telle chose. Je ne
peux pas modifier ce qui vient, seulement modifier mon corps pour recevoir une autre
chose. Deux types
• Des sensations qui représentent quelque chose claire et distincte, en
gros leurs propriétés géométriques. L’étendu, la figure et le
mouvement des corps.
• Des qualités sensibles ou qualia. Renvoyer aux idées de pur qualité
sensibles. Chaleur, couleur, odeur. Claire mais confuses. (langage,
importance de l’autre?). L’entendement ne peut pas fournir une
définition. Elles ne manifestent rien de l’extérieure, il n’y a pas de
chaleur dans le corps, même si le corps cause la chaleur.

________________________________________________________________________________
Cours 5 :

Deux types de vérité : claire et distincte (elle représente quelque chose, possible, qui a une certaine
nécessité. Elle peut être autre chose).
Pour la correspondance, il faut Dieu.

La clarté et distinction permet de distinguer les idées objectives, la nature de l’objet.

Trois sortes idées ; factices (produit par moi, je reçois pas de l’extérieure), adventices (organes des
sens).

Parmi les adventices.


Elle permet pas seulement qu’il y a des choses, mais des choses extérieures

((Problème de statut des idées générales et abstraites.


Rationalistes : idées innés. A l’aube de ces idées innés, qu’on connaît des idées particuliers.
Empiristes/inductivistes : Mouvement inverse. A partir de ce qui est en commun des
triangles particuliers, on comprend le générale et abstraite.))
Raison pour le rationalisme : à partir d’une multitude de particularités, on peut pas connaître le
générale. Il n’y a pas d’universel et générale. Idées innées.
Descartes observe les types d’idées qu’il a à l’esprit. Il observe qu’il y en a qui ne sont pas
conceptuel, rien d’extérieure. Elles impliquent aucune sensibilité.

Parmi les idées adventices, viennent des sens. C’est ce qui est sensé me représenter les choses
extérieures. Quand je sens, je saisit que je ne fais que recevoir.

• Les idées qui me représentent les modes du corps.


◦ Elles me représentent clairement et distinctement les choses. Figure, étendu,
mouvement. Propriétés géométriques. Claires et distinctes.
◦ Sensibles communs.
• Qualia, qualités sensibles.
◦ La chaleur, le froid, la couleur etc. Elle peuvent être claires, mais toujours confuses. Ce
sont des pures qualités perçus. L’entendement peut pas fournir une définition du rouge.
◦ Principes de la philosophie, IV, article. 200.
◦ Sensibles propres

Distinction sensibles commun et sensibles propres : Distinction aristotélicien. Sensibles commun,


plusieurs sens. Triangles, touché et vue.
Conjonction de plusieurs sens, imagination me donne commun entre les sens.

Chaleur : température physique et sensation.

Concept du rectangle qui s’applique à la table.


Qualités sensibles ne sont pas concevables clairement et distinctement dans l’entendement. Je peut
avoir une idée très claire de rouge, mais si j’essaie de le concevoir le rouge, j’obscure le rouge.

Les unes me représentent des choses corporelles et


Seuls les idées claire et distinctes sont de la nature des objets en eux même.

b). Les qualia ne ressemble pas à leur cause dans les objets corporelles extérieure.
Pour Descartes, les qualia sont bien causé par les objets extérieures, mais ne représentent rien dans
les objets en eux même.

On a beau analyser la sensation de chaleur, mais on comprend pas la combustion. Et l’inverse.


Idée de rectangle dépend bien du corps extérieure.
La chaleur ressemble pas à sa cause physique.

Si on essaie d’imaginer les choses sans quelqu’un qui les perçois, on

Textes 1 et 2 sur EPI.

Texte 1 : Principes de la philosophie, IV, art. 111.


Exemple de chatouillement.
André Charrak.
Descartes dans ce texte regard le passion de l’âme. Phénomène de l’union de l’âme et du corps. Ce
que cherche Descartes ; déconnexion entre la cause physique de la sensation et sensation.
Le chatouillement (plus agréable pour Descartes) et la douleur : deux sensations entièrement
contraire. Un sensation plaisante à son contraire, la douleur. Cause physique, petite différence de
plus ou du moins, finalement minime. Pas de rapport de proportion entre la cause physique et ce qui
se passe dans la sensation.
Sensation de la grandeur et grandeur de la table. Si je coupe un peu, ça enlève un peu de ce que je
perçois et ce que je pense.

Traité du Monde : Causes physiques de la lumière.


Introduction du traité. Descartes veut montrer que tout ce qu’il veut montrer c’est que les
causes physiques de la lumière ne ressemble pas du tout à nos sensations.
(aujourd’hui important. Causes neuronales sur le façon le façon que les sensations sont vécu)

Texte 2 :

Analogie avec le langage et les sensations.

Analogie : comparaison qui porte sur les rapports. Identité de rapport, ex. entre la philosophie et
l’âme et le gymnastique et le corps.

Même rapport entre les mots et les idées, qu’avec les causes et les sensations.

Mots et idées, rapport de signification. Les mots sont des sons, soit des figures tracés. Le mot
pomme. Quand j’entends le mot pomme, ça cause en moi l’idée de pomme. Mais il n’y a rien dans
la matérialité du mot pomme, aucun rapport avec la définition, totalement arbitraire.
Représentation peut être un signification (exemple du tableau), mais dans le cas du langage, c’est la
signification dans le sens le plus propre, arbitraire totale.
Alors qu’il y a aucune représentation, mais des fois le lien est tellement fort, on oublie l’existence
matériel du mot. On est tellement frappé par un discours, qu’on oublie la lange dans laquel elle a été
prononcé.

Dans les sensations, c’est pareil. Si les hommes sont capables de faire cela, la nature peut le faire
aussi. L’éventement du plume qui chatouille l’enfant qui s’endort. Seul rapport qu’il a avec la
plume, il a seulement le chatouillement. Le sentiment en lui même lui dit rien sur l’objet en lui
même.
Exemple du gendarme, il croit être blessé mais ne fait non. Sensation lui a donné rien sur le cause.
C’était juste un bout de métal. La douleur tout seul n’informe rien en sa cause. Il faut qqch de claire
et sensible pour l’identifier.

Les qualités sensibles ont le même statut que la douleur et plaisir. On a tendance de les attribuer aux
objets extérieures,

Elles sont pas trompeuses, il faut juste les donner le bon statut. Le but des sensations c’est pas de
connaître des choses en soi, mais de lien entre le corps et esprit, donc serve à mon survie.
Ce qui arrive à mon corps, je le sens comme si ça arrive à moi même. La douleur ne dit rien des
objets extérieures, mais du rapport entre mon corps et le corps extérieures. L’état de mon organe et
les choses extérieures.

Les qualités sensibles, de même que les passions, servent à la servie, ne dit rien sur les qualités du
corps. Rapport du corps par rapport aux choses extérieures. Ce qui me dit qu’il faut manger qqch,
c’est pas la figure et étendu, c’est le goût, couleur, odeur etc.
Elles sont pas trompeuses, elles ne visent tout simplement pas ça.

Pour assurer l’objectivité, il faut l’existence de Dieu, et les choses claires et distinctes.
Cette dichotomie entre les qualités sensibles et objectives, pose problème d’objectivité dans deux
égards.
A partir de cette dichotomie, problème d’objectivité.

Scission entre le phénomènes. Phénomènes sensibles et qui impliquent une certaine objectivité. Il
faut donc faire une certaine critère de jugement.
C’est par la que Descartes donne un certain critère de jugement. Critère de clarté et distinction.

Dieu peut pas me donner des idées claires et distinctes sans que ça correspond à quelque chose
extérieure, sinon il serait trompeur.

___

Cours 6 :

Descartes ; critère d’objectivité. Idées claires et distinctes et qualités sensibles.


Ce qui distingue c’est la clarté. Il fonde cette connaisance dans la règle de l’évidence et la
preuve de la véracité divine.

Mais cela pose à nouveau des problèmes sur l’objectivité.

Critique surtout de Berkeley.


Idéaliste et immatérialiste.

« Leur esse consiste dans le perceti, et il n’est pas possible qu’elles est existence quelconque, hors
des choses pensantes qui perçois. »
Il n’y a pas de monde extérieure, pas de matière, seul les consciences et Dieu.
Il n’y a pas d’objectivité au sens propre, tout ce qui existe est perçu.
La représentation ne vise pas autre chose qu’elle même, dans le sens qu’elle ne vise rien exterieure
à elle même.

Il n’y a plus de
Fonction de Dieu, assure la conformité et la cohérence entre les différents consciences.
Là ou Descartes essaie de mettre un 3éme terme pour assurer l’objectivité, Berkeley
supprime le monde extérieure.

Ce qui est intéressant ici, c’est comment il critique Descartes.


Il ne s’agit pas seulement de lui pour dire qu’il y a des fausses jugements, ou des choses qui n’existe
pas, (…)

Il critique la typologie des idées que fait Descartes.

(UQAC site de sciences humaines. PDFs)

3 critiques :
• Les idées et les objets extérieures sont par nature tellement hétérogène, que les idées ne
peuvent (…).
• Il n’y a pas distinction entre les deux types idées adventices.
• Il refuse les idées générales et abstraites, qui sont censé fournir une objectivité.
◦ Pour lui, on ne peut pas penser sans images.

1ere critique : Impossibilité d’établir un rapport entre les idées et les choses.

Une idée ne peut ressembler à rien d’autre qu’une idée. La ressemblance n’est que entre les idées
quand on essaie de penser.
Il attaque l’idée que ce que nous percevons est une représentation des choses extérieures à l’esprit,
telle qu’ils sont en eux même.
S’il y a des choses extérieures, de tout façon les choses
L’essence d’une idée c’est une chose perçu.
Objet extérieure, indépendant de la pensé. Mais pour les comparer pour connaître leur
accorde, il faudrait connaître les deux,
La couleur ressemble à quelque chose d’invisible ? Tout ce que c’est une couleur ou figure, c’est
une qualité perçu.

En tant qu’une représentation est une contenu de pensée (…)


Pour comparer deux choses, il faut le percevoir.

Berkeley revient sur le critère de comparaison entre les idées et choses extérieures ?
Soit on peut les percevoir, dans ces cas là c’est deux idées, sinon ne peut peut pas les
percevoir, comment dire que la couleur ressemble à quelque chose que je perçois pas ? Que le doux
existe sans la touché ?

Ce 1ere argument, je ne peux connaître l’accord entre idées et objets, car je ne peux pas les
comparer.

Le ressemblance n’est pas la critère pour Descartes pour l’objectivité. L’évidence nous confirme la
ressemble.
Le triangle est à trois côtés, idée, ne ressemble pas à une triangle.
C’est la clarté et distinction qui permet d’établir qu’elle ressemble aux choses extérieures.
Mais Berkeley est plus malin, les deux autres critiques permet d’attaquer ce critère d’évidence.

2éme critique : La critique de la distinction entre qualités claires et distinctes et les qualias.

Locke : qualités primaires et qualités secondes.


Plus ou moins la même que chez Descartes.
Elles permet de savoir ce qui est dans l’objet en lui même.
C’est un critique qui marche autant que pour Locke que Descartes.

Deux types de perceptions.

D’un côté, qualités en dehors de l’esprit, d’un autre côté des qualités qui ne le sont pas.

On ne peut pas concevoir les qualités premiers sur les qualités secondes.
La perception des qualités premiers dépendent des qualités secondes.

Il n’arrive pas de percevoir une figure, étendu et mouvement sans les donner des qualités secondes.
Pas d’idée de triangle, sans un image de triangle dans mon esprit.
Lié à l’idée qu’on peut pas penser sans images sensibles. On peut pas penser sans un objet
particulier.

Si on perçoit des figures, c’est on distingue des taches couleurs qui me donne la perception de la
figure.
La figure est senti par des variations des sensations tactiles.
Une table c’est du marron sur un fond blanc.

On peut pas distinguer les qualités primaires, de les donner un statut particulier, car elles dépendent
des qualités secondes.

Tout les sensations sont dans l’esprit.

3éme critique : Critique des idées abstraites.

Berkeley essaie de monter les causes d’erreurs.


Pour lui, la plus grande, c’est les idées abstraites.

Pour Berkeley, les idées générales ne sont pas abstraites.

Idées générales, valent pour tout un genre d’objets. L’idée générale d’une triangle, convient à tout
les triangles.
Sont opposé est particulier

Idées abstraite : considère une propriété sans les tout ce qui constitue l’objet
Elle s’oppose aux idées

Abstraire, c’est considérer rectangulaire, en dehors de tout. Idée de rectangle, ni grand, ni marron
etc.

De même, en comparant les différents triangles, je peux me faire une idée abstraite de triangle, de
ce qui est commun, sans tout ce qui est particulier.
Une triangle ni isocèle, ni équilatérale, etc.

On laisse de côté tout ce qui est particulier.

La couleur fait partie de l’idée de l’homme. Mais la couleur rentre pas dans la définition, parce qu’
on a tous des couleurs différents.

Idée abstraite est logiquement une idée générale.


Finalement, on comprend pourquoi on parle d’idée générales et abstraites.
Chez Descartes, c’est les idées innées. Que ce qui est de conceptuel.

Idée innée de triangle, que ce qui est commun de tout.

Or, pour Berkeley, c’est que si des idées générales, ils sont pas abstraites.
Pour lui, on peut pas considérer des caractéristiques indépendamment de toute particularités.

Il distingue deux types d’abstraction.


Imagination. On sépare des images, on sépare un main.
On imagine seulement un main, parce que la main est réellement séparable.

Deuxième type : séparer des choses qui sont pas séparable de toute particularités.
Concevoir quelque chose en dehors

Paradoxe d’empirisme. Toute nos connaissances vient des sens. Refusent des idées innées.
Comment prouver l’existence de l’extériorité, si tout ne peut venir de l’extériorité ?
Berkeley peut-être pensé comme un empiriste poussé jusqu’au bout.

Pour Kant, la vérité de l’empirisme est le scepticisme. On ne peut rien prouver à travers
l’expérience pur.

Pour Berkeley, il y a une faculté d’abstraction.


Main séparé du corps.

L’idée d’un homme qu’il fait, dans son imagination, à une couleur, grandeur etc.

Il peut imaginer un mouvement, mais il faut un corps.

Un mouvement qui n’est pas dans un corps ne peut pas exister, mais un main peut exister sans un
corps.

Croyance fausse est crée par le langage.


On sert des signes générales à travers les mots. (même s’ils sont particuliers).
« triangles », mot particulier mais particulier.
Mais on finit par croire que chaque mot corresponde une idée de manière univoque.

Parce qu’on a le mot triangle, qui vaut pour tout les triangles,

Les mots, ne renvoie pas aux idées abstraites.

Le mot triangle s’applique a tout les triangles, et non parce qu’on a une idée abstraite.

Quand on dit que « toute étendu est divisible »

C’est pas la peine pour que l’idée soit générale que l’idée soit abstraite.

Les mots ne sont pas univoque, et on passe par des shortcuts.


On raisonne que sur les mots, au lieu de raisonner sur les idées. On finit par croire qu’il y a des
idées

Quand on pense à la définition de triangle, on pense aux mots au lieu de faire réfléchir sur les
images.

Comment les idées peuvent donc être générales ?


Universelles et nécessaires.

Ce qu’il ni c’est qu’il y a des idées générales et abstraites.

« Une idée qui, étant considérée en elle-même, est particulière, devient générale, quand
on la prend pour représenter toutes les autres idées particulières de la même sorte et en
tenir lieu. »

La généralité d’une idée, c’est pas le contenu, mais le type de relation qu’elle a avec des autres.

Image de triangle que j’utilise pour représenter tout les autres triangles.
Même si la ligne que le géomètre utilise une ligne particulière, il l’utilise pour représenter toute les
lignes.
Ce qui est démontré de cette ligne, vaut pour tout les lignes.

Les mots sont pareils.

« Et comme la première tient sa généralité de ce qu’elle est le signe, non d’une idée
abstraite ou générale, mais de toutes les lignes droites particulières qui puissent exister,
ainsi le second doit être regardé comme tirant sa généralité de la même cause, à savoir
des lignes particulières qu’ils dénote indifféremment. »

Que ça soit le dessin ou mot ligne, elle tire son généralité c’est sa relation de signification aux
autres idées particuliers.

Il y a une sorte d’économie, par rapport aux rationalistes, pour justifier les idées générales.

« L’universalité, en effet, autant que je puis la comprendre, ne consiste pas dans la


nature ou dans la conception positive, absolue de quelque chose, mais bien dans la
relation de l’universel aux objets particuliers qu’il signifie et représente. C’est en vertu de
cette relation que les choses, les noms, et les notions, qui sont particuliers en leur nature
propre, deviennent universels. »
(Berkeley, Principes de la connaissance humaine, introduction, §15)

Je ne peux pas avoir l’idée d’une triangle sans détermination.

Différence entre un concept et et relation.

Ce sur quoi je porte mon attention quand je fais une démonstration. Que la triangle soit bleu ou
isocèle, je l’introduit pas dans la démonstration. S
___

Cours 7 :

(suite)

L’universalité n’existe pas dans le contenu de quelque chose, en soi universelle. L’universalité c’est
une relation entre les choses, elle s’applique à tout les objets qui ont cette propriété. Il n’y a pas
d’universalité en lieu même.

Si je démontre qu’il y qqch d’une triangle isocèle particulier, j’aurais démontré seulement ça. Il
faudrait soit démontrer pour tout les triangles, soit il faut une idée abstraite, universelle et
nécessaire.
Berkeley anticipe cela. Aucune des propriétés particuliers sont utilisés dans la
démonstration, seulement les propriétés communes à tout les triangles.
Ce n’est pas parce que la triangle sur laquelle je travail est bleu, que ça ne marche pas sur les
triangles rouges.

Pour Berkeley, ce que Descartes pense comme des idées « innées », n’existe pas. Il n’y a pas
d’idées qui n’ont pas de contenu sensible. Ce n’est pas le fait qu’ils soient innées, mais qu’il y a des
idées abstraites
Puisque les mots qu’on utilise renvoie à tout les choses particuliers de cette def, on raison sur des
mots, on les donnent une certitude.
Les mots n’ont seulement un sens si on peut le renvoyer à quelque chose de particulière.
Analogue à celui de Kant. Sans expérience, la connaissance n’a pas de sens.

Pour Berkeley, je peux porter mon attention sur certains propriétés d’une chose.

La clarté et la distinction, permettait de faire un trie entre les représentations vrais ou fausses.
Berkeley met a mal cette distinction, donc aussi de la sûreté de certains de nos idées.

Berkeley met tout les idées sur le même statut, de telle sorte qu’il n’y a aucune façon de faire un
trie. Idées sont seulement particulières, les sensations particuliers sont irréductiblement subjective.

Un autre critère d’objectivité, ou redéfinir l’objectivité ?


Cette idée de l’objectivité comme correspondance (représentation/objet), est-elle possible ?

On a qu’a faire de nos représentations, mais il semble bien que certains connaissances sont
nécessaires.
SI on renonce à penser l’objet dans son indépendance, ça veut dire qu’il faut changer de concept
d’objectivité.

II. L’objectivité comme produit de l’esprit lui-même

Cœur de la 2éme parti, porte sur Kant (CRP).


Détoure sur Hume.

Envisager le façon dont Kant conçoit l’objectivité.

Intro Kant :
Critique de la raison pure

méthode transcendantale : partir du fait de la réussite de certains sciences, pour remonter aux
conditions a priori qui le rend possible.

(
A posteriori : ce qui est constaté à travers l’expérience. Elle n’est jamais que contingent et
particulier.

A priori : universelle et nécessaire. Ça s’impose à nous avant l’expérience. CE qui rend possible
l’experience, mais n’est pas donné lui même dans l’expérience.

Transcendantale : ce qui rend possible toute expérience.

Distinction : phénomène et chose en soi (origine de la perception, l’objet dans son indépendance)
Mais la chose en soi n’est pas possible pour Kant.
Le phénomène, ce qui nous apparaît, n’est pas un pur reçu donné pour Kant.
L’objet de la connaissance, ce qui est visé par la connaissance, est l’objet particulière.
Pour Kant, ce qui fait un objet un objet, c’est l’esprit.

Pourquoi est-ce que Kant pense la méthode transcendantale si bien ?

1. La révolution copernicienne dans le champ de la connaissance et

Seconde préface de CRP.

Hume a éveillé Kant de son « sommeil dogmatique ».


Au début, Kant est dans la ligné de Wolff et Leibniz.

a. LA critique humienne de la causalité

Hume.
Démonstration plus nette, tome 1, 3éme partie, sur la causalité.

La causalité pour Hume c’est une des principales relations.


Distinction impression (directement des sens, atomes de sensations) et idée (moins vif,.
Ce qui distingue les deux, c’est un degré et
Je considère que quelque chose existe parce qu’elle est vif. Les idées sont des copies moins vifs.

Tout les opérations viennent des imaginations, qui redonne les impressions. L’entendement c’est
une façon d’utiliser l’imagination.
Une des fonctions principales de l’imagination, mettre en relation les choses.

Relations naturels / relations philosophiques.


Naturels, se font tout seuls. Je vais instinctivement les mettre ensemble, sans savoir besoin de
réfléchir.
Philosophique, on a besoin de penser.

_______________

Cours 8.
Reprendre Hume.

On a vue que le critère d’objectivité de Descartes chez Berkeley pose problème.


Il y a des idées claires, mais pas abstraites. Ce qu’on croit être abstraite c’est des mots, mais les
mots ce sont des raccourcies. Ainsi, la généralité de l’idée ne vient pas du contenu, mais de la
relation aux autres.
Double restriction, nous amène au point de départ.
Si l’objet extérieure n’est pas connaissable, alors il faut redéfinir l’objectivité.
On trop cela chez Kant. Mais pour comprendre cela, il faut comprendre Hume.

Traité de la Nature Humaine, Livre I, partie III.

En quoi la relation de causalité est le plus important et le plus problématique.

Hume, empiriste hérité de Locke. Il veut faire une science de la nature humaine, le comprendre par
observation.
Sceptique. Il veut attaquer les dogmatiques rationalistes et empiristes. Les deux pensent atteindre
l’objectivité, par la rationalité ou sens.
L’expérience n’est pas un fondement, mais un méthode d’un certitude relative. C’est pour ça qu’on
parle de scepticisme modéré.
Hume est bien empiriste, en tant que l’expérience est au centre de son étude, mais pas en tant que
l’expérience nous donne l’objectivité. Il permet d’atteindre un certitude relative.
Hume n’est pas un sceptique antique, qui dirait qui l’esprit humain n’est capable de connaître rien
de certain.
La science, pour Hume, n’est plus la même. La norme de la scientificité doit, pour lui, être
réinterrogé. Hume s’inscrit dans la continuité de Newton. Ce qui fait révolutionnaire de Newton, car
il pense que la science doit abandonner à une cause première (pas comme Descartes). La science
doit ordonner les phénomènes en un petit nombre de principes. C’est là ou la recherche s’achève.
Que des principes de la connaissance, et pas ontologique. Concept d’attraction permet de rendre
raison de la phénomène, rend intelligible le mouvement du corps, mais on peut pas expliquer
l’attraction elle même.
Hume rattache cela à l’esprit humain.
Il commence en analyser l’expérience ce dont on fait expérience. Impression est obtenu par analyse
de l’expérience. On observe de ce qui se passe dans l’esprit. Cela suspend la question du rapport
esprit/monde objective.
L’étude de l’expérience chez Hume, c’est pas comment elle connaît la réalité, mais justement en
quoi l’esprit « construit » la réalité, elle est un objet de croyance, permise par la relation de
causalité.

Distinction : Impression -//- Idée

Il essaie de répondre à la question de l’origine de nos idées.

Pour Locke, EEH, toute nos idées viennent de la sensation et réflexion. On peut expliquer tout nos
idées comme ça. Sensation, matériaux de nos connaissances, viennent des objets extérieures.
Réception passive.
Réflexion, ce qui vient de l’activité de l’esprit.
Il pose la distinction intérieure/extérieure.
Locke reste dans un perspective dogmatique, dans le rapport à l’objectivité.

L’impression, chez Hume, ne convoque pas l’extériorité.


L’impression n’est pas la réalité, mais bien ce donné. Si on analyse nos idées jusqu’au début, on à
des sensations, on peut pas aller plus loin. On peut pas rendre raison de la manière dont les
impressions viennent dans notre esprit.
Les perceptions qui viennent avec le plus de force et violence, impression. Impression se caractérise
par la force et vivacité, pas sa relation à l’extériorité. On sens les impressions.

L’idée c’est une copie moins vive et forte de l’impression. Quand on pense à une table, c’est moins
forte et vive de quand on le sens. On pense aux idées.
Qui dit copie, dit absence d’identité. La copie n’est pas l’originale, différence ontologique.

Finalement, il part de l’expérience concrète, dernière élément impression simple. Mais on n’a
jamais des impressions, jamais des perceptions toute seule. Critique qu’on fait aux empiristes.
Rétroactivité. Impression c’est comme les principes chez Newton, rend intelligible, mais pas
intelligible en lui même, on peut pas l’expliquer. C’est un pur donné qualitative. A partir de ce
qu’on observe, on trouve des lois de l’esprit.
L’impression manifeste un contenu, une présence et existence. L’existence n’est pas une propriété
de l’esprit. C’est la manière que l’objet se présente à nous. On adhère à l’existence à un objet, c’est
la force et vivacité. Quand je perçois ce ordi, je la croit existante, car elle se manifeste avec force et
vivacité. L’existence ne réside que dans la force et vivacité.
Idée c’est une copie, pas présent. On le saisit, avec la moindre force et vivacité. Origine des idées
c’est des impressions, au-delà on peut pas monter.
«Par idée, j’entends les images affaiblit » dans la pensée et impression.
Idée vide. Toute idée doit pouvoir être revenu à des impressions. Méthodologique. Tout le matière
de la connaissance, doit pouvoir être renvoyé aux impressions. Critique que les empiristes font,
surtout idée de substance.
Il y a des idées auquel on croit. C’est parce que je confère une force et vivacité à cette idée.

Comment on vient à vivifier certaines de nos idées, plutôt que d’autres ? Tout les idées sont des
copies des impressions.

Distinction : Idées simples ≠ idées complexes.

Toute les idées simples proviennent des impressions. Idées complexes, mise en relation des idées
simples.
Question de leur relation est très importante chez Hume.
L’esprit pour Hume n’est pas capable de grande chose.
L’imagination pour Hume, principe d’association. Manière qu’on associe des idées pour produire
des idées complexes. « Un principe de connexion entre les différents pensées et de l’esprit. »
L’imagination, principe de la fabrication de nos idées.

Hume constante qu’il faut seulement des impressions et un principe d’association. Il y a une
certaine ordre dans nos impressions.
Les impressions ne donnent seulement des choses particulières.
Il ne va pas penser que cette ordre vient de l’esprit, car il n’y a pas de substance pensante, et pas
non plus un ordre extérieure.
Comment, de la diversité de nos impressions, on organise le monde dans un système. On peut pas
supposer que cela vient de l’extérieure, car rien dans notre esprit peut attester de cela.

Distinction : relation naturel ≠ relation philosophique


Cela repose sur le manière que l’esprit opère.
Naturel, involontairement, instinctivement, sans se rendre compte.
Il y en a 3.
Relation des ressemblances, contiguïté (deux impressions en même temps) et causalité.
Toute naturel et aussi philosophique, en tant quand peut faire ces relation de façon volontaire.
Volontaire.
Il y en a 7.
Ressemblance, contrariété, degrés de qualité, proportion de grandeur ou de nombre, identité, la
proximité dans le temps et espace, la causalité.
Parmi les associations philosophiques, deux types.
Distinction : Relations qui ne dépendent que des objets en relations ≠ relations qui ne dépendent des
circonstances.
Relations qui ne dépendent que des objets en relations : Ressemblance, proportion des grandeurs ou
nombres, degré de qualité, contrariété.
Ce sont les relations qui permettent la plus grande certitude. Dépendent que des objets. Tant
que les objets ne changent pas, alors la relation ne change pas. En tant que deux œufs se
ressemblent, alors tant qu’ils changent pas, ça reste vraie. Somme des 3 angles de triangle = Angle
droit. Donne le « knowledge », savoir au sens fort, en opposition de l’opinion et probabilité. On a
pas besoin des circonstances extérieures pour les donner raison.
Relations qui dépendent des circonstances, dépendent de la situation des objets, pas seulement les
objets. Il s’agit de : identité, proximité dans temps et l’espace, causalité.
Pomme est à droite de la poire, situation de la pomme par rapport à la poire. Cette relation ne
manifeste pas du rapport des deux objets en eux même, mais seulement leur situation.

Spécificité de la causalité, elle demande un raisonnement de l’esprit. Donner la nécessité. Seule


relation qui ajoute qqch à l’expérience. Peut nous informer des objets qu’on ne perçoit pas. Si feu
cause nécessairement fumé. Pas expérience donné, mais futur. Dépasse l’expérience.
La nécessité ne peut pas être déduite par l’expérience, en tant qu’il sont seulement particulière.
C’est en cela qu’il est le plus important et problématique.
La causalité « peuple le monde ». Exemple de Proust. Se souvient de certains pièces de maison. Il y
a une escalier, même s’il s’en souvient seulement du change à l’étage. Réalité ordonné.
On a besoin de dépasser l’expérience, qui donne un monde ordonné, mais le plus problématique.

Entendement, modalité de l’imagination, quand elle implique des relations nécessaires. Plus
problématique, car elle implique qu’elle dépasse l’experience.

Il ne s’agit pour Hume pour les relations de causalité effective dans la réalité, c’est en dehors de sa
méthode. Il cherche seulement la causalité entre nos idées, en tant qu’elle dérive des impressions, et
pas les objets exterieures. Son objet, ce n’est pas de savoir s’il y a vraiment une relation de
causalité, même probabilité. A partir du constate de la causalité, il se demande comment ça se fait
qu’il outrepasse l’experience ? D’ou vient cette necessité ?
Il ne s’agit pas de vouloir tout ramener à la probabilité. C’est un fait qu’on suppose que la causalité
amène à une connaissance forte.
Pourquoi on se tient de la causalité, alors que rien ne permet de penser une telle certitude dans
expérience ?
Tout ce qui existe doit avoir une cause, on tient cela comme principe. Pour Hume, c’est pas
rationnellement évident. Descartes le pose comme nécessaire et évident.
Hume montre que cela n’est pas une loi de la réalité, qui ne doit pas être questionné.
On a quand même besoin de la causalité.
Comment on connaît ce qui nous permet de connaître ?
Proposition générale ; connaissance ne vient pas de l’a priori, mais est né dans l’expérience.
Comment à partir de l’expérience, l’esprit dépasse l’expérience. Paradoxe.

La causalité ne vient pas de la perception des objets. Ça serait de dire qu’on pourrait percevoir la
qualité productrice de la fumé dans le feu, les qualités efficientes.
Rien dans la perception des objets, on a l’impression qui correspond à cette idée de pouvoir.
Relation qui saisit des circonstances. De quoi est reposé la relation de causalité.
Elle va bien reposer sur la saisit de certains relations dans l’expérience.
Feu cause le fumé : relation de contiguïté, et succession dans le temps. Cela on observe
véritablement dans l’expérience. J’ai observé plusieurs fois couple feu fumé, et feu avant le fumé.
Mais cela n’implique pas forcément la causalité, il y a quelque chose de plus. Je peut percevoir mon
ordi après ma gourde pleins de fois, mais j’en donne pas la causalité.

Qu’est ce qui fait le propre de la relation causale ?


C’est l’idée de connexion nécessaire.
Contiguïté et succession c’est dans l’expérience. Ce qui dépasse expérience, c’est cette nécessité. Je
ne veux pas dire que chaque fois que je vois le feu il y a du fumé, je dis que cela voudra dans tout
les cas. Il y a un moment ou esprit dépasse la particularité et la contingence, pour donner la
généralité et nécessité.
Il n’y a aucune impression de la nécessité. Cette nécessité est même contraire à l’expérience,
caractérisé par la contingence. Non seulement la nécessité renvoie à rien dans les impressions, mais
c’est contraire.
______

Cours 9 :

Imagination : fait des relations entre les choses

Knowledge : entre objets eux mêmes, plus sûr

Question de savoir comment l’esprit dépasse l’expérience dans la relation de causalité.

Relation de contiguïté ne suffit pas pour fonder la nécessité.


Comment est-ce qu’il le fait, de passer d’une impression présente à une nécessité ?

Le cœur de la relation de causale repose sur la croyance.


L’esprit à la certitude à que la première cause la deuxième, mais ce n’est pas fondé rationnellement.
On peut toujours concevoir que l’expérience futur soit diffèrent du passé.

Croyance, attitude de l’esprit qui adhère à une idée, qui pose la certitude.

L’existence se manifeste dans l’esprit par la force et vivacité, un sentiment.


C’est n’est pas pas le contenu de l’objet, donc venant pas de l’objet, mais le manière dont
l’impression nous manifeste.

Il y a un certain processus ou l’idée du feu devient pour fort, pour qu’on croit qu’il existe.
C’est une vivacité donné à l’idée.
Comment ça se fait ?
Ça ne peut pas être un contenu de l’objet. Si je le modifie, je pense à un autre bjet, ça me fait
pas adhérer d’avantage à l’objet.
Il modifie la manière dont elle se présente, la force et vivacité de l’impression.
« Une opinion ou croyance peut être définit (…) comme une idée vive relié ou associé à une
impression présente. »
La croyance n’est rien d’autre qu’un manière que l
L’esprit ne croit pas à l’idée fictive, parce que cette idée ne s’impose pas assez fort à mon esprit. La
seule différence entre un licorne et mon ordi, c’est rien d’autre qu’une question de force et vivacité.
Sorte de transfère et vivacité de force d’une impression à une idée.

Ce qui nous fait passer de l’un à l’autre, du fumé au feu, c’est la répétition, la conjonction constante.
Ça vient quand même de l’expérience.
Il y a un sorte de solidification de cette conjonction, qui donne la nécessité.
On se souvient de leur lien.
Quand je m’en souviens du fumé ou je le perçois, l’esprit va spontanément poser l’existence du feu.
L’esprit est déterminé à penser l’existence du feu.

J’ai toujours vue ces deux choses ensembles, jusqu’à maintenant. Il y a toujours ce saut.
Du point de vue du contenu de l’expérience, la répétition n’ajoute rien. Je perçois pas plus le
pouvoir ou nécessité dans les deux. C’est toujours la même expérience.
Il n’est pas contradictoire que les éventements changent.
La définition de l’expérience c’est qu’elle peut toujours être autrement.
Même des milliers de répétions ne fonde rien.

I, III, 6.

On fait un saut logique.

D’où vient donc cette nécessité ? C’est la répétition, mais pas en tant qu’elle apporte un contenu
nouveau.
La répétition modifie
Il va modifier la relation entre les idées. Renforcer le lien entre les deux objets, plus forte et vive,
jusqu’à elle soit indestructible.
Elle modifie le manière dont l’imagination relie les choses.
Expérience anticipe et s’attend à voir la liaison.

On passe de l’anticipation, on s’attend à, à un principe métaphysique, ou les cas dont on à vue


expérience
C’est l’esprit qui produit l’idée de la nature, on cours uniforme des choses, une régularité des
phénomènes. Une réalité déterminé par des lois, qui fait une régularité.
La causalité est la plus importante, c’est elle qui lie la nature.
Les dogmatique, pour Hume, suppose la nature. Il y a un ordre ontologique des choses (donné par
Dieu).
L’empirisme de Hume, pour Kant, c’est l’empirisme le plus conséquent. Les autres empiristes,
voient un ordre dans nos idées, et posent un ordre naturel dans le monde objective.
Si on est vraiment empiriste, on ne peut seulement parler d’un monde extérieure. Hume essaie
d’être conséquent jusqu’au bout peut être qu’il y a un monde, on peut rien dire. Il tire les
conséquences radicales de l’empirisme.

La nature renvoie pas seulement à l’idée des choses qui existent en dehors de moi, mais ça suppose
un ordre des chose, c’est un système. Dans l’idée de nature, c’est pas seulement un monde
objectivement
L’idée de monde, c’est plus une unicité des choses, dans une entité qui forme une seule chose.

Pour Hume, l’uniformité de la nature, c’est le fruit de l’imagination, même plus la fruit de la
coutume.

La coutume ne fait seulement son effet de façon inconscient (on n’a pas conscience de l’opération),
sans action de la pensé. Il y a qqch qui se passe dans l’esprit, mais de façon immédiate et iréflechie.
Habitude est une sorte de seconde nature, il y a un effet rétroactive. Une fois qu’on a acquis
l’habitude, on oublie qu’il y a eu une acquisition, qu’on l’a toujours eu.
La coutume c’est le manière que l’esprit progressivement renforce des associations à travers une
répétition.
Ce que produit la coutume, c’est une association qui n’a pas conscience d’elle même. Le voyageur
s’arrête devant une rivière, mais il n’a pas besoin de penser qu’il va se noyer, mais association est
là.
La relation de causalité se fait de manière immédiate, mais ne vient pas de l’expérience toute seule.
Si rien ne le fait dans l’expérience, elle à du être produite par la coutume pour le rendre immédiate.
C’est comme quand on apprend à faire le piano.

La coutume ne peut que marcher de façon irréfléchi. Si on se met à réfléchir véritablement sur
l’expérience, on se rend de compte que la causalité n’est pas là.

L’impression se manifeste non seulement avec une force, mais une fois qu’elle est associé à une
idée, l’impression va transporter l’esprit à tout les idées liés associés. Voir la fumé nous fait penser
au feu.
Non seulement ça nous fait penser à ces idées, mais l’impression transfère de la force à l’idée.

Patient avec l’Alzheimer, il associe des choses avec des mauvaises idées. Associer petit fils à l’idée
du fils etc.

On a besoin de relié les impressions avec des choses.

La cause et effet sont tellement liés, de telle sorte qu’on les fait d’un seul acte, même si c’est deux
perceptions différentes.

La causalité est n’est pas la conjonction, mais le souvenir de leur répétition.


Cette stabilité va donner un sentiment analogue aux autres relations stables, et la certitude vient
avec.
La croyance va naître de cette stabilité des cas passés, donc la stabilité du mémoire.
Ça ne se repose pas tant des choses perçus.
C’est une fausse stabilité et certitude, c’est qu’une croyance.

La seule chose qui distingue nos raisonnements les plus nécessaires de la fantaisie, c’est un
sentiment.

La répétition produit une impression interne.

Section 14.
(epi)
L’idée de nécessité ne vient pas de l’expérience.

Coutume → Custom

Il donne une définition de la causalité comme relation philosophique et naturel.


Naturel → sans réfléchir
Philosophique → quand on fait un raisonnement

Causalité, seule relation qui repose sur la causalité.

Pour Hume, l’esprit n’est rien d’autre qu’une succession des idées et impressions.
Faut faire attention, chez Hume fiction n’est pas la fantaisie.

Il ne faut pas faire de la coutume une principe.


L’habitude c’est comment on dépasse l’expérience.

Comment ça se fait que les ressemblances sont organisés comme ça ?


Il faut qu’il soient dans une attention.

___________

Cours 9 ?

Relation de causalité et son nécessité, c’est une relation des idées et pas des choses. Elle vient bien
de l’expérience quand même, dans la répétition. C’est dans un inférence, le passage d’une
impression à une idée.
La croyance est une idée vive par son relation à une impression, par le coutume.

La croyance ne s’oppose pas à l’absurde ou la fausseté, mais la fiction.


Ce qui n’est pas fictive est réel, mais ce qui est réel c’est le sentiment de croyance que quelque
chose existe.
Croire, c’est pas seulement une image, mais la correspondance à cette (…)

On ne peut pas vouloir croire. C’est dû à la répétition. Je ne peux pas décider de croire dans une
fiction. Il faut une vivacité, et cette vivacité à besoin de venir d’une impression.
La croyance c’est une manière de percevoir les idées.
Ça renvoie à la nécessaire liaison qui se fait dans mon esprit.

Croyance se défini d’une degré de vivacité. C’est ce degré qui le permet de le distinguer des
fictions.
Deux pôles.
Fictions de la fantaisie sont les plus faibles.

Plus j’ai une idée vive, moins je crois.

Le recours à l’expérience est nécessaire, car elle est le cœur de connaissance.


C’est pas le contenu des idées qui font qu’on croit.
Il apparaît que l’imagination domine dans la pensée. La prédominance dans l’imagination, le
pouvoir d’association, et c’est l’association qui rend des idées vives.

Il est vain de trouver dans l’expérience une relation nécessaire.


Si on part du rationalisme, on ne pourrait faire aucun inférence.

Inference, sentiment de contrainte. Si on pense A implique B, c’est parce que donc esprit est
contrainte de l’associer à B.
La nécessité est senti avant d’être pensée.
La nécessité n’est pas une qualité des choses, mais une association dans notre esprit.

Nécessité, impression interne.

Deux def de cause :


???
1ere def, relation philosophique. Conditions dans laquel l’esprit peut légitement reconnaître un
relation de cause et effet.
La 2éme, relation naturel. Sentiment d’obligation. La nécessité qui accompagne.

Question qui demeure. La raison de ce processus. Pourquoi l’esprit à cette tendance de projeter dans
le futur ?

La croyance vise à ordonner le chaos de l’expérience.


Comme chez le plupart des empiristes du 18éme siècle, le principe des actions de l’esprit, c’est le
plaisir et la douleur.
« La nature à implanté » le bien et le mal dans l’esprit, c’est-à-dire

On ne fait que recevoir les perceptions, empiristes britanniques.


S’il y a que ça au départ,

Au lieu de poser
Sensation (passive) reflexion ( active). Locke.

Hume essaie de montrer comment l’activité est réductible au passive.


Toute sensation est agréable ou désagréable.
Plaisir et douleur implique une principe d’action. On veut fuir ou continuer.
On présuppose
Tout perception est à la fois d’un contenu et la plaisir/déplaisante.
Ce plaisir/déplaisir pousse l’action.

L’esprit n’est pas neutre dans la perception, en tant qu’il a un effet sur lui.
Il n’y a pas de moi, substance, en dehors de ce flux d’impression pour Hume.

Il n’est pas à l’origine de ses impressions, mais l


L’esprit doublement passive. Non seulement il le reçois, mais il subie cette action causé. Il ne peut
pas faire autrement.
Le problème, c’est que l’esprit ne peut pas gérer la succession dans ce chaos.

La succession des actions est un source d’inconfort sur l’action.


Il subie complètement les impressions.

Heureusement, il n’y a pas que les impressions, mais aussi les idées.
Les idées sont aussi plaisantes et déplaisantes, donc pouvoir d’action possible. Mais ils sont trop
faibles pour aller à l’encontre des impressions.
L’idée de la mort ou maladie ne font pas arrêter l’alcoolique. Plaisir trop importante.

Hume considère que la raison n’a aucun effet directe sur les passions. Ils ont pas assez de force.

Ovide. « Je vois le meilleur et j’approuve, et je fais le pire ».


La force de la raison n’est pas assez forte pour avoir un vrai effet.

Heureusement que les idées n’ont pas seulement la même force, ca serait le double chaos.

La croyance, en conférant certains idées de la forte, elle peut ordonner les choses, et donner une
certaine action.
Elle permet d’arrêter la souffrance face au chaos et la soumission.
La tendance de l’esprit de projeter l’expérience passé dans le futur c’est pour le survie.
On peut être brûlé 20 fois par le feu, sans pouvoir être pousser à l’éviter.

On a besoin d’ordonner et vraiment croire pour que ces idées nous pousse à agir pour éviter le mal
être.
Tendance vitale, fuite de douleur et recherche de plaisir.

Les inférences sont ordonné par les passions.


Le lâche va ordonner le monde autour de lui.

« Un poltron, dont les craintes s’éveillent facilement, donne volontiers sont assentiment à tout ce
qui lui annonce un danger, de même qu’une personne dont la disposition est chagrine ou
mélancolique est très crédule pour tout ce qui nourrit sa passion dominante. Quand se présente
un objet qui nous touche, il donne l’alarme et suscite immédiatement un certain degré de la
passion qui lui est propre, en particulier chez les personnes qui ont un penchant naturel à cette
passion. Cette émotion passe, par une transition facile, à l’imagination, et, se répandant sur l’idée
de cet objet, elle nous fait concevoir cette idée avec plus de force et de vivacité et, par suite, lui
donner notre assentiment. » I, III, 10.

Le processus qu’on va ordonner le réel est par les passions.


Les impressions donnent une infinité des relations possibles, mais on ne retient seulement certains
choses.
La croyance c’est l’effet d’une tendance pratique. Le manière dont on voit le monde est orienté par
le pratique.
L’esprit humain est déterminé à ordonner le monde dans un manière qui lui intéresse.

Les conséquences philosophiques sont importants. La causalité n’est plus ontologique. Ça permet à
la science de dégager de toute métaphysique, renoncer à la cause première.
Il s’agit plus de connaître l’objet en dehors de nous, les causes cachés, mais de dégager un ordre et
des lois. Elle repère et ordonne des constantes. Lignée de Newton.
Pour Hume, l’ordre qu’on perçoit est dans l’esprit. Mais il y a bien des critères dans l’expérience.

Pondiaque (?) prouve l’existence de l’extérieure avec prouve l’existence

Hume renonce à la nature. Quand il en parle, c’est seulement les constantes.

Les constantes sont seulement perçu. Mais c’est pas le sujet qui le produit, comme il se manifeste
comme un donné. Les constantes sont ???
Ambiguïté dans la causalité.

On ne peut pas ne pas faire des inférences pour Hume.

______________

Pourquoi est-ce Hume a eu autant d’importance pour Kant ?

Les prolégomènes à toute métaphysique.


Dialogue directe avec Hume.
Il essaie de rendre la critique de la raison pur accessible.

L’importance de la CRP, on ne peut plus faire de la métaphysique, parce qu’il n’y en a pas.
Kant. La metaphysique apparaît comme une besoin plutôt que volonté de connaisance.

Introduction des prolégomènes.

Kant, erreur de Hume, que les mathématiques sont pas que analytiques.

Kant trouve d’abord en Hume un allié.


Depuis l’origine de la métaphysique, il n’y a rien eu de plus décisive que l’attaque de Hume.
Le choix de Hume comme interlocuteur permet de défendre la métaphysique (?).

Problème de Hume : remettre en cause l’idée d’une connaissance a priori.

Kant note que Hume ne remet pas en cause l’utilité de la causalité, mais son fondement rationnel.

La nécessité pour Hume n’est qu’un sentiment subjective.


La métaphysique est condamné à être nul, mais pas la science, si on le redéfini.
Il est absurde de rechercher la cause derrière les phénomènes, comme la causalité n’est qu’en nous.
La métaphysique apparaît donc sans objet.
Pour la science, elle est soulagé, à ne plus dire la vérité derrière les phénomènes.
Les causes ne revoient à rien dans la réalité en soi.
C’est ce qui à permis à Kant de réveiller de son « sommeil dogmatique ».

Hume à indiqué le seul terrain pour considérer la causalité.

Ce qui pose problème pour Kant c’est que la causalité n’est qu’une croyance.

Comment une connaissance universelle et sûr peut elle exister ?


Si Hume ne peut pas résoudre le problème, c’est qu’il n’a pas tout vue.
Diffèrence censure ≠ critique. Hume ne fait que censurer la raison.

Mathématiques, lieu ou la connaissance synthétique a priori est possible.


Kant reproche à Hume en tant qu’il pense que les maths
Hume n’a pas vue qu’il y a des connaissances réels dans les maths, donc il ne s’est pas interrogé sur
les possibilités d’existence de ses connaissances.
Le reproche qu’il fait à Hume // aux dogmatiques. Ils pensent qu’on peut utiliser le modèle des
maths pour la métaphysique.
La métaphysique dogmatique est l’extension abusive des mathématiques.

On peut se demander si le problème de Hume est un vrai problème.

Critique de la raison pratique. Conditions de possibilités a priori de la connaissance.


Critique de la raison pur, les limites de la connaissances a priori. Ce n’est pas parce qu’on peut en
avoir qu’on peut tout connaître comme ça.

Kant ne se satisfait pas ni des experiences des dogmatiques, ni de Hume.


On ne fait pas que contempler les impressions passivement.
La constitution de la connaissance n’est pas passive mais active.

C’est dans ce sens que Kant parle de révolution copernicienne.


Le changement de paradigme, on ce n’est plus le soleil autour de la terre.
Relativité. Certes, l’héliocentrisme va à l’encontre de ce qu’on voit. Nous on voit le soleil bouger, et
on ne se sent pas bouger. Pour répondre à cette objection, il énonce la nécessité de penser la
référentiel. Si on était sur un autre planète, là terre bougerait.
Rive au cas du bateau.

En un sens Kant fait un révolution copernicienne inversé. Jusqu’à maintenant, on tourne le sujet
autour de l’objet, il tourne l’objet autour du sujet. C’est un nouveau changement de référentiel.
Il s’agit de penser tout les conditions nécessaires qui rendent nos connaissances possibles.
Qu’est ce qui rend la connaissance possible dans le sujet ? C’est précisément le transcendantale.

____

Cours 10 ?

Kant.

Repenser la connaissance. Il ne faut plus se placer du point de vue du objet, mais du sujet.
Il faut ainsi saisir qu’elles sont les structures qui rendent possible l’expérience.

Théorie kantienne de la représentation.


Qu’est ce que c’est l’objet de la connaissance ? Comment il rend possible la connaissance et
une certaine type d’objectivité ?

B). La théorie kantienne de la représentation : la constitution de l’objet de la connaissance.

Trois grandes facultés :

• Intuition : faculté sensible


◦ Représentations particulières. Donnent des phénomènes.
• Entendement :
◦ Nous donne les catégories et les concepts. Catégories étant des
représentations générales.
• La raison
◦ Idées de représentation régulatrice.

1). La nécessité de l’expérience pour connaître.

En quoi, pour Kant, l’expérience est nécessaire pour connaître.

Seule l’expérience peut nous permettre la connaissance pour Kant.


(Les concept et catégories, idées générales et abstraites.)

Les concepts de l’entendement, pour Kant, nous ne donne pas leur extension, mais seulement leur
intention.
CRPure, I, chapt. 4, § 7.
Compréhension ou intention ≠ extension
Quand on considère un concept, au point de vue de compréhension, tout est contenu.
La compréhension d’un corps, être étendu, c’est ce qui est commune à tout les
représentations des corps. Ça contient les propriétés sont
Compréhension ou intention, c’est en gros la définition.
Extension, c’est l’ensemble des individus auquel s’applique le concept. L’étendu du champ
d’application du concept.

Le concept ne donne jamais son extension.


J’ai beau à analyser le concept de corps, je ne saurais jamais son champ d’application.
Concept de licorne ne dit pas qu’il y a vraiment des licornes.
Concept de paire peut s’appliquer à pleins de choses.

L’usage du concept implique toujours le lien entre générale et particulier, puisque pour correspondre
à plusieurs objets, il a besoin de faire l’abstraction.
Le concept est un représentation général, c’est-à-dire une représentation en tant qu’il peut être
contenu dans plusieurs objets. Le concept de triangle est commun à tout les triangles.
Il y a des idées abstraites.
Concept méthode pour classer les objets. Table, porte, fenêtre, on reconnaît la même caractéristique
de rectangle.
Le concept est toujours universel, comme il vaut pour tout ce qui à ces caractéristiques.

Tout ce qu’on peut saisir des objets sont des concepts, des catégories. La représentation particulière
que j’ai d’une table, je ne fais que appliquer les catégories que j’ai.
Problème. Le concept ne me fait jamais saisir l’objet particulière. Je ne peux pas jamais saisir ni
énoncer ce qui fait un objet singulier. Je ne sais pas ce qui particularise.

Il reprend la thèse d’Aristote. Il n’y a pas de science d’un individu. Pour saisir une chose, je ne peux
saisir ce qui est générale en elle.
Si j’essaie de faire un science de Socrate, je ne peux seulement le connaître en annonçant des
caractéristiques générales.
Je ne peux pas connaître par concept la singularité d’une chose.

Or, problème pour Kant, si je ne peux pas connaître leur particularité, je ne peux jamais affirmer son
existence.
Il n’y a pas de table sans être particulière, ce que, par définition, ne peux jamais être saisit
par un concept. Objet existant toujours particulière.
Il ne peut jamais donner son extension. Le concept ne donne jamais rien de particulière.

Exemple de 100 thalers.


Être n’est évidemment pas un prédicat réel, c’est-à-dire une concept réel. Il n’est
uniquement la position d’une chose. 5….) Il n’est le copule d’un jugement.
Le petit « est » n’est seulement un lien attribution dans le jugement.
Être : Deux fonctions.
Lier deux choses ensembles.
Être, existence. Position d’une chose. Je n’ajoute rien au concept en disant qu’il existe. C’est
plutôt un modalité diffèrent.

Ainsi le réel ne contient rien de plus que le concept rien de plus que le possible.
100 Thalers ne contient rien de plus que 100 thalers possibles.
Ça ne rajoute rien à ma représentation. C’est la modalité de position qui change.

L’existence ne change rien en ce qu’est la chose, elle n’ajoute rien au contenu.

L’existence n’est pas un prédicat.


Comme Descartes, règle de l’évidence. Nous donne la possibilité de la chose. Idée claire et distincte
ne nous dit pas qu’il y a des objets comme ça dans le monde.

Pour savoir si ça peut exister, il faut une expérience particulière.


Comment est-ce que je peux savoir que ça existe vraiment ?
Comment c’est possible de faire une représentation particulière.

Intuition : représentation particulière. (alors que le concept est générale).


Il faut une intuition particulière pour répondre au concept.
Ce sont des formes expériences.

Il faut tirer 3 conséquences. Intuition est indubitable. Comme Descartes. Je ne peux pas douter que
j’ai une expérience.
J’ai besoin de recourir à l’intuition sensible pour saisir qu’il y a des choses existants.

La connaissance ne peut avoir lieu par la conjonction avec l’intuition sensible et l’entendement.
L’intuition sensible n’est pas
Concept, tout seul, c’est vide.

Dialectique transcendantale.
Métaphysique condamné à être un tâtonnement et illusion de connaissance, car il traite des
idées qui, en droit, ne peuvent pas être connu dans l’expérience.
C’est pour ça que c’est une science qui « roule sur des concepts vides ».

Critique de l’argument ontologique (tirer l’existence d’une chose par son concept). Destruction de
la preuve de l’existence de Dieu, de scolastique ou Descartes. Pour Kant, c’est tirer l’extension du
compréhension.

Antinomie. On peut prouver l’un ou l’autre. Problèmes insolubles, parce que pour trancher, il faut
faire l’expérience.
Idée de monde. Totalité des phénomènes. Par définition, il dépasse l’expérience. Contraire à la
possibilité d’expérience.
Ça ne veut pas dire qu’il n’ont pas utilité. L’esprit ne peut pas s’empêcher d’utiliser ces
concepts.

Le concept n’a que de l’intérêt ou fonction en tant qu’il nous permet de connaître des objets
particulières.
Loi dans un pays ou elle n’est plus franchie.

La sensation ne nous donne pas d’unité, ce qui Kant à appris de Hume.

Tout concept est vide. C’est seulement sa relation avec un représentation particulière qui

Concept, c’est pas seulement des moyens de catégorisation, des cases. C’est aussi des méthodes de
constitution de l’objet, manière de d’organiser.
C’est pas son caractère a priori qui lui rend vide, c’est son généralité.

Catégories de l’entendement, conditions de possibilités de connaissance.


Kant sait qu’il a des connaissances. Mais comment ? → catégories

Idée de Dieu, pas l’expérience des choses. Cause première. Je saisit la causalité. Avec cela, j’arrive
à poser une cause première. Je dois donc poser des caractéristiques
Kant fait une critique des empiristes de la genèse. Il se place d’un point de vue atemporel. Je constat
que j’ai des connaissances, qu’est ce qui dois être le structure de
Pas comment d’un point de départ, comment les catégories sont venu.

Concept est possible. Licorne est possible, je pourrais le voir dans l’expérience, c’est pas
contradictoire à son concept.
Des objets finit qui sont potentiellement donné dans l’expérience.

Jugement synthétique et analytique.


Dans tout les jugements (A est B), il y a deux manières.
Analytique :B est déjà contenu dans le concept A
Synthétique : B est en dehors de lui.

Analytique. Je ne fais qu’expliciter ce qui est implicite.


Je n’apprends rien. Je ne produit pas des nouvelles connaissances. Également, ça ne
m’apprends rien sur la réalité.
(Un jugement ne se fait seulement entre des concepts.)
Jugement analytique est quand même très important.

Synthétique. Lie deux concepts qui dont complètement indépendant. Pour saisir ce lien, il faut faire
l’expérience. Ça ne veut pas dire que son lien est nécessairement contingent.
Il fait une synthèse, il rassemble des concepts déjà connu.
Un lie un prédicat à un sujet, alors que le prédicat ne fait pas partie de la définition de la chose.
« Quand on chauffe du acier, ça se dilate ». Jugement synthétique. Pourtant, cela à un lien
nécessaire.
Ça nourrit mes connaissances. Cette propriété va entrer dans le concept.
Tant que je l’ai pas observé, il ne rentre pas dans la définition. Augmentation de la connaissance.

Comment je constate que ça fonction quand je connais ?


Il y a un lien être la dilatation et l’acier face au chaleur, mais on ne peut faire le lien sans
expérience. De fait, il y a un lien, mais on ne peut seulement faire cette lien
Mais la nécessité ici vient de l’esprit (c’est encore plus compliqué).
Peut être qu’il y a une idée inné de l’acier, mais rien nous permet de le penser.
La question c’est pas, encore, la genèse.

Deux formes de jugements synthétique : a priori et a posteriori.


• Jugement synthétique a posteriori :
◦ Empirique. Je fais le lien parce que j’ai eu l’expérience.
• Jugement synthétique a priori :
◦ Expérience, mais indépendant de toute sensation. Permet de faire des
jugements nécessaires a priori et qui augmente la connaissance.
• Concerne essentiellement les mathématiques. Figure à trois
cotés ne fait pas de rapport analytique avec le fait d’avoir
• Métaphysique ne peut pas donner lieu à des connaissances.
Elle essaie d’emprunter à la mathématique l’intuition pure.
Objets de métaphysique ne peuvent ni donner une intuition
pure, ni un intuition sensible.
Intuition pure et sensible.

Deux principales facultés dans la connaissance. Intuition et entendement.


Il y a deux souches de la connaissance humaine, à savoir la sensibilité et l’entendement. Par
la première desquels les objets sont donnés, tandis que par la seconde ils sont pensés.

2). Faculté de la sensibilité : Esthétique transcendantale

La sensibilité c’est définit comme une faculté passive.


Intuition donné immédiate. Une intuition, c’est une représentation d’un objet donné.
Il faut la connaissance a besoin des deux.
« La capacité à recevoir des représentations par la manière dont nous sommes affectés par des
objets s’appelle sensibilité »
Faculté de recevoir des objets particulières.

L’intuition empirique, expérience sensible. Le phénomène, représentation particulière qui m’est


donné dans une expérience sensible.
D’autre part, l’intuition pure, objet particulière, mais indépendamment de toute sensation.

Par comparaison avec les empiristes, table rase. L’esprit est vide de toute détermination (appart pour
Locke), déterminé par les sensations qu’il reçoit. Comme une cire qui recevrait la forme des
déterminations de l’extérieure.
Pour Kant, c’est l’inverse. L’esprit à une forme, une structure, dans lequel l’objet doit être
moulé pour être perçu. Autrement dit, la sensibilité à une certaine forme, qui rend possible la
perception d’un objet.
La sensation en elle même, la part purement sensible, c’est un pure matière informe, qui n’a
aucun ordre temporelle et spatial. L’ordre spatial et temporel vient de l’esprit.
Cette structure, cette forme de l’esprit, rend possible le fait de faire l’expérience d’un objet.
Précisément, l’esthétique transcendantale vise
« Divers de la sensibilité » (manifold of sensibility). Il faut le distinguer de l’expérience sensible.
Kant ne remet jamais l’existence de l’objet extérieure.
Lunettes permettent de voir bien.

Descartes, ce qui est pas distinct, n’est pas un objet. Ce qui me permet de connaître un objet, c’est le
sensible commun. Il y a déjà une certaine organisation du donné.
________________________________________________________________________________

Quasiment aucune copie avec une vraie problématique


Pas une question. Doit manifester un vrai tension conceptuel.
Tension entre l’enfermement de nos idées et pouvoir atteindre
Il faut expliciter pourquoi ça pose problème.
Il faut qu’on présente la problématique après la thèse. Parce qu’il faut souligner ce en quoi la thèse
pose problème
On va analyser le texte dans sa capacité de répondre à la problématique. Quand on n’a pas de
problématique, on n’arrive pas à bien

Tendance d’une biais de confirmation. Tordre le texte vers ce qu’on pense déjà avoir compris de
Descartes.

Faut revenir tout le temps à la lettre du texte. Ce qu’il dit littéralement le texte en contexte.
Dès fois on va trop loin dans l’analyse d’un mini bout.

Il faut définir les termes. Il faut analyser, donc définir le termes.


Des fois, on passe trop de temps à analyser les choses peu important, on laisse de côté les
choses importants.
Presque aucune copie n’a défini le terme « idée », en tant que représentation.
Ou définir la clarté et la distinction. En les définitions, on est capable d’expliquer en quoi il
peut être une critère d’objectivité.
Définition, ça montre en quoi pense l’auteur et comment

Normalement, une fois qu’on a finit, qu’on comprend beaucoup plus l’argumentation du texte dans
sa profondeur.
Sans des définitions, on n’a pas les armes à le faire.

Analyse très près, presque littéraire, n’explicite pas plus le texte.

___

Cours sur Kant.

(Introduction plan détaillé en 2 heures la semaine prochaine).


(prof va envoyer un podcast)

En quoi l’expérience est nécessaire pour la connaissance chez Kant.

Intuition :

Intuition empirique → objet particulière reçu de l’extériorité. Le phénomène. Ce qui


m’apparaît à partir de la sensation.
On ne reçoit pas ce sensation passivement. La sensation n’est pas elle même organisé ou
intelligible.

Intuition pure → intuition sans expérience sensible.

Empiristes, esprit table rase, il est vide de toute détermination, il ne modifie pas directement les
sensations. L’esprit est un milieu neutre, comme le cire qui reçoit l’empreinte.
Pour Kant, c’est le contraire. L’esprit à une structure, dans lequel les sensations doivent se
mouler. La sensibilité à une certaine structure et forme qui rend possible l’intelligibilité.
La forme de l’esprit donne la forme aux sensations et pas l’inverse.

Les formes de l’intuition c’est les conditions nécessaires pour une sensation.
Esthétique transcendantale. Conditions a priori nécessaire qui rendent possible la faculté de
la sensibilité.
On comprend alors mieux la distinction entre i empirique et i pure.
Intuition pure, représentations des formes eux même. Se représenter la moule de l’esprit, vide de
toute matière de la sensation. C’est pour ça qu’ils sont a priori, il peuvent se faire sans toute
expérience. Esprit a à faire de que lui-même.
La forme d’une phénomène, et pas le contenu de telle ou telle phénomène.

Quel est le statut de l’espace et du temps ?


Est-ce que l’espace et le temps existent en dehors de nous ? Le rapport des objets à
l’extérieure de nous ?
Perspective de Hume, l’espace et de temps c’est le rapport entre les objets. Existent pas en dehors
de nous, mais dépendent
Kant est ni dans une perspective réaliste ou empiriste. Au contraire, la perception des objets
sensibles sont seulement possibles avec l’espace et le temps, et pas l’inverse.
Ils dépendent ni de l’expérience, ni de l’esprit. Ce sont des conditions de possibilité de la perception
d’un objet.

b). La forme a priori de la sensibilité qui est l’espace.

Kant va produire deux démonstrations.

1ere : sorte d’expérience de pensé.


On peut imaginer un espace ou on a retiré tout les objets de lui. Mais on ne peut pas
imaginer des objets sans l’espace.

Elle rend possible d’expérience.

Deuxième conséquence : l’espace n’est pas donné dans l’expérience, il précède l’expérience.

L’espace n’est pas non plus un concept, c’est un forme a priori de la sensibilité.
L’espace est par définition infini, hors les concepts sont finis.
L’espace contient une foule infini des concepts. Un concept va donner une idée de représentation
possible déterminé.

Deuxième preuve : la géométrie.

La géométrie est une science qui détermine synthétiquement et cependant a priori les propriétés de
l’espace.
Il augmente nos connaissances par l’intuition, de synthèse, et pourtant il donne des connaissances
nécessaires de l’espace, donc a priori.

Une propriété qui est lié nécessairement, mais pourtant c’est pas un lien analytique. On a beau
analyser le concept de trois côtés, mais on ne trouvera jamais qu’il a ses angles sont égaux à un
droit. Pourtant il a un lien nécessaire avec le concept de triangle.

Il faut toujours garder en tête que la perspective de Kant n’est pas chronologique, mais
On a toujours déjà une expérience dans l’espace.

Hume, espace et le temps c’est le rapport qu’on fait entre les objets. L’espace et le temps dépendent
de mon saisi dans l’expérience.

Parce qu’on analyse la forme de l’espace, qu’on est capable de comprendre

Objet, pas seulement une chose qui existe, mais une substance unifié, sur laquel on peut enoncer des
Comment on passe des sensibilité propre

Platonicien → sensation ne donne que du divers, changement, mouvement


Mais Kant ne dit pas qu’il existent en dehors de nous.

Intuition pure, intuition de la forme même de notre esprit. C’est permise par l’imagination.
L’imagination chez Kant est bien sensible, mais n’est pas lié aux sensations, comme Descartes.
Chez Kant, c’est une faculté essentiel. C’est par l’imagination qu’il y a un lien entre l’intuition et
l’entendement, schématisme.
Même si dans l’intuition pure, c’est un triangle particulier, ce qui je saisi du triangle particulière
c’est universelle.
Parce que le caractère de ce triangle, c’est une des formes de la sensation, et non pas des objets. La
sensation donne du contenu mais pas une forme.
Finalement, ce que je saisi quand j’analyse .

Même quand je trace une triangle sur une feuille, ce forme vient de moi. L’esprit produit uen
représentation. Ce que je saisi, c’est les

Hume, arithmétiquement ou géométrie, seulement une saisi des rapports.

Même si ce qui est donné est particulier, dans la manière que l’espace est a priori…

J’ai pas besoin de la sensibilité pour percevoir une

L’espace n’existe pas en dehors de nous,


Il n’y a pas de triangle en dehors de nous. Le succès de la géométrie

Il s’agit encore de partir de la succès d’une science pour montrer ses conditions de possibilité.

Espace euclidien. Géométrie non-euclidien et Einstein, donne naissance à des problèmes pour Kant.

c) . Temps

De la même manière, on peut soustraire les objets du temps, mais pas le temps de la perception des
objets.
Le temps est une condition a priori des phénomènes.

De la même manière la géométrie prouve le caractère a priori de l’espace, la réussite du


arithmétique fait la même pour le temps.

Les chiffres sont donné par l’intuition du temps, car leur intuition suppose la succession. Pour avoir
perçu que 3=1+1+1, c’est la succession dans le temps.
Pour Kant, on ne peut pas faire une addition purement de façon analytique. On a dû faire
l’expérience de leur liaison.
Le temps est un forme pure, il faut la présupposer pour la réussite de l’arithmétique.

Dire que les objets sensibles sont spatio-temporelle, et vouloir qu’il y a des objets sans l’espace ou
temps, c’est la même que vouloir voir sans yeux, voir ce qui permet de voir.
En un sens, les objets sont nécessairement spatio-temporelle.

Première conséquence, espace et le temps, ni des rapport entre des objets, ni en dehors de nous.
Si on n’avait pas déjà la saisi de l’espace et le temps, on ne pourrait pas saisir le rapport dans
les objets.

Forme en opposition avec le contenu.

Nous ne pouvons seulement parler des êtres étendus etc. que d’un point de vue humain, en tant que
notre esprit ne peut pas saisir des objets autrement.
Condition subjective. Ça veut pas dire que tout esprit perçoit dans l’esprit et le temps.
Nous ne connaissons que les choses que par les phénomènes, mais le phénomène n’est pas donné
passivement. On ne peut pas connaître des choses en soi.

J’ai seulement à faire des objets que j’ai adapté à mon esprit.

L’objet de la connaissance ce n’est seulement l’objet que j’ai produit dans mon esprit.
Mais il y a bien une structure de l’esprit, mais on construit tous l’objet de la même manière, donc
bien une sorte d’objectivité.

Les choses dont on fait l’expérience ont nécessairement été modifié par nous. On a pris ce qui est de
notre esprit pour ce qui est extérieure.
En tant qu’ils sont universelles et nécessaires

Sa méthode ne consiste pas à une introspection, ou réflexive, il part de la réussite de la science,


quelque chose de commun.
On peut parler aux autres sur les mêmes objets. Il ne remet jamais en cause l’existence des choses
en soi. Objectivité, c’est une communauté des esprits.
Dieux ou anges ont sûrement pas les mêmes conditions de connaissances.

(Bergson?)

Vous aimerez peut-être aussi