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TD

Approches Archéométriques

Exposé + devoir sur table


Les matériaux du patrimoine

- Instruments et méthodes propres aux sciences expérimentales


- Objets d’étude propres à l’archéologie
- Etude de matériaux, de processus (réaction sur la matière), connaissance des personnes
ayant fabriqué ces matériaux
- Comment remonter à toute ces infos, à partir de l’objet ?
o Comment identifier et isolés ces composant qui nous intéresse ?
o Et comment faire pour interpréter les observations et les résultats ?
- S’approprier le vocabulaire, les méthodes et les objets d’autres disciplines pour en
comprendre les enjeux
- Acquérir une connaissance élémentaire des méthodes dites archéométriques

Grotte de Pont d’Arc, Ardèche / Grotte de Lascaux, Dordogne

- Pbmtq de la couleur, ici, bleue


o Difficulté documentaire
 L’on voit la couleur telle qu’elle est ajd et non pas telle qu’elle était au
moment de son utilisation
o Difficulté méthodologique
 Comment décrire la couleur ? assez subjectif
o Difficulté épistémologique
 Nous sommes formatés par notre société actuelle, différence entre époques
 Fait social
o Il est complexe d’approcher la couleur en tant que fait historique
- Pas de bleu dans l’art pariétal
o Couleur qui apparait tardivement
o Longtemps couleur de second plan
o Peu de source naturelle
 Lapis-lazulie
 L’azurite
o Quelques bleus de synthèse
 Méditerranée : bleu égyptien : -2500
 Formule : CaCuSi4O10
 Système : quadratique
 Utilisation : -3600 / fin de l’empire romain
 Asie de l’est : bleu et violet Han : -500
 Formule : BaCuSi4O10 (Ba  Barium)
 Système : quaratique
 Utilisation : -800 / -220
 Amérique centrale : bleu maya : -400
o Bleu égyptien vs bleu han
 Formule différente
 Cuivre différent (malachite, azurite, cuivre métal)
 Calcite (CaCO3) pour égyptien et barytine (BaSO4) pour han
 Fondant : sels potassique ou sodique pour égyptien et sels de plomb pour
han  vraie différence entre les 2, vont faire baisser température de fusion
 Température de 800-900° pour égyptien et 900-1000° pour han
 Deux trajectoires techniques
 Bleu égyptien : égypte, iran, etc…
 Bleu Han : uniquement en Chine
- Atomistique
o Atomes et éléments chimiques
o L’atomisme antique
 Leucippe (-5e)
 Démocrite (-460/-370)
 Aristote (-384/-322)
 Il existe 4 éléments
o C’est la plus petite partie dans laquelle n’importe quelle
substance peut être divisible en conservant ses
caractéristiques
o Chaque matière contient potentiellement ce qu’elle peut
devenir (argile contient déjà de la céramique)
 D’abord concept philosophique
 Un atome c’est un constituant, homogène, sans couleur ni gout et
surtout indivisible
 En contradiction avec mathématiques
o Le concept d’élément
 Robert Boyle (1627-1691)
 The Sceptical Chymist 1661
 Conteste l’existence des quatre éléments hérités de la tradition
grecque
 Elément : une substance chimique qui ne peux pas être décomposé
en un substance plus simple par réaction chimique
o Les avancées de la chimie
 Mikhail Lomonosov (1711-1765)
 Loi de conservation des masses
o La masse des produits d’une réaction chimique est égale à la
somme des masses des substances consommée au cours de
la réaction
 Joseph Proust (1743-1794)
 Loi des proportions définies
o Les proportions massiques des éléments constitutifs d’une
substance chimique sont toujours les mêmes quelle que soit
la quantité initiale
o La théorie atomique
 John Dalton (1766-1844)
 Les éléments chimiques sont constitués d’atomes
 Les atomes d’un élément sont d’un seul et unique type et ont la
même masse
 Les atomes se combinent uniquement dans des rapport de nombres
entiers
 Loi des proportions multiples
o Les atomes d’un même éléments peuvent se combiner selon
des rapports différents pour former des composés différents
o La découverte des électrons (1897)
 J. J. Thomson
 Expérience en 1897
o Prouve présence des électrons
 Propose premier modèle atomique (dit modèle du « pudding « )
o Les électrons, chargés négativement, se répartissentn dans
une sphère chargée positivement
o La charge totale de l’atome est nulle
 Ernest Rutherford (1871-1937)
 Modèle planétaire (premier modèle de l’atome)
o Les électrons chargés négativement tournent autour d’un
noyau chargé positivement
o En contradiction avec nouvelles données sur électrons
 Niels Bohr (1885-1962)
 Modèle planétaire 2.0
o Les électrons se déplacent sur des orbites privilégiées qui
forment une suite discontinue de niveaux d’énergie
o Modèle de Bohr (1913)
 Découverte des protons  « particules » d’hydrogène ? en 1919
 1932 : découverte des neutrons par Chadwick
o Le modèle quantique
 Louis de Broglie (1892-1987)
 Erwin Schrödinger (1887-1961)
 Werner Heisenberg (1901-1976)
- Structure de l’atome
o Noyau + nuage électronique
 Nucléons  électrons
 Neutrons  négatif
o neutre
 protons
o positif
o AZX : X  symbole de l’élément
 A = nombre de masse : nombre de nucléons : nombre de protons + neutrons
 Z = numéro atomique : nombre de protons (nombre de e-)
o Eléments
 Atomes possédant le même nombre de protons (même numéro atomique Z)
o Isotopes
 Atomes d’un même élément : possédant le même nombre de protons, mais
un nombre de neutrons différent
- Structure électronique
o Les électrons sont répartis dans les couches électroniques (structure électronique)
o Chaque couche est repéré par une lettre
o Le remplissage des couches obéit à des règles précises
o K(2) L(8) M(18)
- Absorption et émission
o Energie fournie  e- monte sur couche supérieure
 e- excité
o énergie libérée  e- descend sur couche inférieure
 e- désexcité : stabilisé
o énergie d’ionisation : électrons arraché à l’atome ou acquit
 il devient un ion
 anions : charge –
 cations charge +
 plus petite énergie qu’il faut fournir à un atome pour lui arracher un électron
 réaction de première ionisation : X  X+ + e-
- Le tableau périodique
o Classification périodique des éléments
o Valence : nombre max de liaison qu’un élément peut former
o 1 colonne = 1 famille
o 1 ligne = une période
- Liaison chimique
o Les atomes et ions évoluent de manière à avoir sur leur couche externe :
 Règle du duet : 2 e- (électrons avec Z 2)
 Règle de l’octet : 8 e- (électrons avec Z ¿ 10)
 Partage
 Deux électrons de valence sont partagés entre deux non-métaux
o Liaison covalente
 Polaire
 Non-polaire
o Liaison ionique
 L’atome le plus électronégatif capture le doublet électronique
 Entraine la formation de deux ions de charge opposées
 La halite (NaCl)
 11Na : (K)2(L)8(M)1
 17Cl : (K)2(L)8(M)7
o Liaison métallique
 Mise en commun
 Les électrons de valence sont mis en commun entre métaux
o Liaison hydrogène
 Attraction 
 Force d’attraction (électrostatique) entre deux molécules polaires
 Formée entre un atome d’hydrogène et un atome électronégatif
 Formée entre atomes d’une même molécule ou entre deux
molécules séparées

Nature des matériaux du patrimoine


- Matériaux géologique
o Naturels
 Pierre
 Pigments
o Synthétiques
 Recyclable
 Métaux
 Verres
 Non recyclable
 Céramique
 Plâtre
- Matériaux biologiques
o Dérivée du végétal
 Textile
 Résine
o Dérivée de l’animal
 Os
 cuir
- Matériaux mixtes
o Pigments
o Cosmétiques

Origine des matériaux du patrimoine

- Les matériaux naturels


o Préparés puis utilisés sans mélange, ni transformation physico-chimique
o Réutilisables
o Extrait à un moment donné, en un lieu
o Exemple : matériaux lithiques, matières colorantes, matériaux organiques (bois, os…)
- Les matériaux fabriqués
o Matériaux simple de synthèse
 Plrs matériaux naturels sont préparés, mélangés et transformés (HT) pour
former un nouveau matériau
 Difficilement réutilisable, non recyclable
 Les ingrédients peuvent avoir une origine différente
 Exemple : céramiques, ciments, mortiers, plâtre, matières colorantes
o Matériaux complexe de synthèse
 Plusieurs matériaux simples peuvent être mélangés et transformés (HT) pour
former un nouveau matériau
 La fusion, la solidification et les traitements thermiques sont réversibles
 Matériaux obtenus peuvent être mélangés, purifiés, recyclés
 Le concept de matériau naturel d’origine a perdu son sens
 Exemple : métaux et alliages, verres
- Les pollutions et les produits d’altération
- Les matériaux modernes de restauration

Les matériaux du patrimoine

- Composites et hétérogènes
- Transformés par l’homme
- Affectés de dégradations naturelles (vieillissement)
- Souvent conservés en faible quantités

Les questions posées par un objet

- Fabrication
o Quand ?
o Où par qui ?
o D’où viennent les matériaux ?
o Production en série ?
o Production domestique, artisanal ou industrielle ?
- Diffusion
o Acteurs et modalités de l’échange ?
- Usage
o Fonction et finalité ?
o Possesseur ?
- Abandon
o Quand ?
o Pourquoi ?
o Dans quel état ?

Archéométrie

- Outils et méthodes des sciences des matériaux


o Propriétés physique : éclairer les choix techniques ayant conduit à la sélection du
matériau
o Formuler des hypothèses sur l’abondance, la distribution, l’accessibilité des matières
premières…

La méthode scientifique

- Observation  hypothèse  prédiction  expérience  observation  etc…

Echantillonnage

- Sélection d’un sous-ensemble d’individus au sein d’une population permettant d’estimer les
caractéristiques de la population entière
- Motivation
o La population ne peut pas être mesurée directement
o Coûts moins élevés
- Echantillonnage aléatoire
o Chaque élément à la même probabilité d’appartenir à la population
o Avec population homogène
- Echantillonnage systématique
o Le premier individu est choisi de manière aléatoire, puis les suivants à intervalle
régulier
- Echantillonnage stratifié
o La population est subdivisée en plusieurs parties avant de prendre l’échantillon

La notion de biais
- Erreur systématique ou simplification
o Erreurs de mesures, etc..
o Biais cognitif
 Distorsions dans le traitement cognitif de l’information par rapport à la
réalité
o Biais statistiques
 Tendances systématiques dans le traitement des données entrainant des
erreurs
o Biais de sélection
 Résultent de l’observation d’individus non représentatifs des populations
étudiées
 Ne permettent pas de répondre à la question posée
 Interviennent lors de l’échantillonnage
o L’effet de Signor-Lipps
 Principe
 L’enregistrement fossile n’est jamais complet : ni le premier, ni le
dernier spécimen d’un taxon ne sont enregistrés comme fossiles
 Conséquence
 La plus ancienne ou la plus jeune occurrence d’un fossile ne
représentent pas l’apparition ou la disparition d’un taxon
o Biais de confirmation
 Privilégier les informations qui confirment des hypothèses préconçues
 Chercher préférentiellement une preuve de confirmation plutôt que
d’infirmation
- Représentativité de l’échantillonnage
o Facteurs et contraintes
 Complexité du matériau
 Nombres de restes
 Degrés d’altération
 Restaurations anciennes
 Possibilités de prélèvement
o Protocole
 Echantillonnage
 Prélèvement
o Prélèvement détruit
 Analyse invasive
 Analyse destructive
o Analyse non invasive

Radioactivité

- La découverte des rayons X par W Röntgen (1845-1923)


- H. Becquerel (1852-1908)
- M. Curie (1867-1934)
- P. Curie (1859-1906)
- Déséquilibre des forces intranucléaires
- Transformation d’un noyau instable en un noyau stable
- Perte d’énergie et émission d’un rayonnement
- La loi de décroissance radioactive
o A voir
- La période
- Caractériser la décroissance radioactive
o Constante radioactive
o Période
- Exemple de périodes radioactive
o Uranium 238 : 4.5 milliards d’années
o Potassium 40 : 1.3 milliards d’années
o Polonium 214 : 0.16 miliseconde

Les rayonnements

- Une onde électromagnétique


- Le spectre électromagnétique
- Trois rayonnements ionisants
o Alpha : noyau d’hélium
o Bêta : électron ou positron
o Gamma : photon de grande énergie

Interactions rayonnements-matière

- Généralités
o Rayonnement
 Non ionisant
 Indirectement ionisant
o Interactions
 Particules chargées
 Ionisant
 Directement ionisant
o Ionisations
o Excitations
- Particules chargées
o e-
o e+
o p+
o α
- Interactions avec les électrons
o Ionisation
 Éjection d’un électron du cortège électronique. Cet électron arraché est
appelé électron secondaire
o Excitation
 Transfert d’un électron sur une couche électronique
- Interaction avec les noyaux
o La particule incidente est déviée de sa trajectoire
o Elle subit un ralentissement
o Ce changement de vitesse est accompagnée de l’émission d’un photon X
- Electron rétrodiffusés
o Interaction d’un faisceau d’électrons avec les noyaux d’un échantillon
o Sensibles au numéro atomique des atomes de la matière

Photons

- Rayons gamma (origine nucléaire)


- Rayons x (origine électronique)
- Diffusion élastique
o Rayonnement incident qui rebondit sur atome en changeant de direction
(rayonnement diffusé)
 Avec ou sans électron éjecté
- Absorption
o Rayonnement incident absorbé par cortège électronique et entraîne transitions
électroniques
o Atome alors excité car e- passe sur couche externe
o E- peut être éjecté : photoélectron
- Relaxation (désexcitation)
o Transition de faible énergie
- Microscopie électronique
o Observation des électrons

Inventaire d’un vestige

- 1er tesson, 1 individu, 17556A


o Quel était la fonction de cette céramique ?
o Quel rôle joue-t-elle dans les études scientifique ?
o Provenance de Syrie de Balis
o Trace de découpage
o Trace de moisissure
o Trace de collage mais recassé ?
o Céramique
 Bord
 Pate clair
 Tournée
 Une vingtaine de cm de diamètre
o Décor
 En relief
 Complexe
 Fait à la main : traces de doigts, d’empreinte digitale
 Présence d’une couleur
 Morceau déjà coloré bleu clair
 Par enlèvement de la matière
 Repoussoir ?
 Base puis ajout de matière pour relief
 Motif floraux
o Esquisse d’une anse ?
o Méthode
 Destructive : prélèvement d’un morceau pour études
 Sciage
 Lame polie ?
 Spectrométrie de rayons X couplée au MEB
 Technique par faisceau d’ions PIXE, PIGE
- 2e tesson, 17565
o Provenance Syrie, Balis
o Trace de découpe
o Céramique
 Pate clair/ocre, rouge, orangée
 Tournée
 Bord ?
o Décor
 Relief
 Ajout de matière
 Fais main
 Motif floraux
 Pas de trace de couleur
 Sorte de sceau ?
 Poinçonnage
o Méthodes
 Même que précédemment
- 3e tesson 17564
o Provenance Syrie, Balis
o Trace de découpe
o Céramique
 Pate clair avec des boules à l’intérieur
 Tournée
o Décor
 En relief
 Complexe
 Fait à la main : traces de doigts
 Présence des plusieurs couleurs
 Bleu ajoutée (cristal ? lapie lasuli ?)
 Noir
 Poinçons
 Décoration en frise ?
 Motifs floraux
 Présence d’un bouclier/fleur contourné par des fleurs
o Méthode
 Destructive : prélèvement d’un morceau pour études
 Sciage
 Lame polie ?
 Spectrométrie de rayons X couplée au MEB
 Technique par faisceau d’ions PIXE, PIGE
- 4e tesson, 17567
o Provenance Syrie, Balis
o Trace de découpe
o Céramique
 Pate clair avec des bulles à l’intérieur
 Tournée
o Décor
 En relief
 Complexe
 Fait à la main
 Pas de couleur
 Motifs floraux avec méthode poinçonnage, boudins
 Deux épaisseurs différentes notables, la première a été déjà décorée avant
d’être fusionnée avec la deuxième épaisseur
 Le décor suit un schéma, une ordre
o Méthode
 Destructive : prélèvement d’un morceau pour études
 Sciage
 Lame polie ?
 Spectrométrie de rayons X couplée au MEB
 Technique par faisceau d’ions PIXE, PIGE
- 5e tesson, 17566
o Provenance Syrie, Balis
o Trace de découpe
o Céramique
 Pate clair avec des bulles à l’intérieur
 Tournée
o Décor
 En relief
 Complexe
 Fait à la main
 Des boudin rajoutées formant un angle presque droit
 Pate pré décorée puis relief rajoutée
 Décor en coquille poinçonné
 Présence de coloration jaune
o Méthode
 Destructive : prélèvement d’un morceau pour études
 Sciage
 Lame polie ?
 Spectrométrie de rayons X couplée au MEB
 Technique par faisceau d’ions PIXE, PIGE
e
- 6 tesson, 17563
o Provenance Syrie, Balis
o Trace de découpe
o Céramique
 Pate rouge/orangée avec des bulles à l’intérieur
 Tournée dans la partie basse mais pas la partie haute
o Décor
 Poinçon
 Simple
 Pas fait à la main
 Des fleurs et des clés
 La céramique suit des formes dans son col (906090)
o Méthode
 Destructive : prélèvement d’un morceau pour études
 Sciage
 Lame polie ?
 Spectrométrie de rayons X couplée au MEB
 Technique par faisceau d’ions PIXE, PIGE
- 7e tesson, 17555A
o Provenance Syrie, Balis
o Trace de découpe
o Céramique
 Pate clair avec des bulles
 Tournée
 Bord, individu
o Décor
 En relief
 Complexe
 Fait à la main motifs floraux
 Incrustation des pierres bleus sur le pourtour du relief rajoutée sauf dans la
partie basse
 les boucliers/fleurs sont creuse et il en manque un
 présence des boudins et des boules poinçonnées
- 17562, 8e vestige
o Provenance Syrie, de Balis
o 16 tessons recollés
o Trace de découpe
o Pâte rouge avec enduit blanc ?
o Tournée
o Trace de moisissure
o Décor
 En relief
 Fait main
 Petits boudins
 Décors floraux
 Motif dessinés / gravé
 Poinçonnage
 Présence de boucliers cassés
o Méthode
 Destructive : prélèvement d’un morceau pour études
 Sciage
 Lame polie ?
 Spectrométrie de rayons X couplée au MEB
 Technique par faisceau d’ions PIXE, PIGE
e
- 9 vestige, 17556B
o Provenance Syrie, de Balis
o Pate rouge
o Tournée
o Enduit blanc
o Trace de découpe
o Trace de moisissure
o Décor
 En relief
 Fait main
 Motif floraux
 Petits boudins entrelacés en angle
 Poinçonnage
 Gravure
 Présence de boucliers ¼ cassé
 Incrustation de pierre bleu (Lapis Lazuli ?)
 Repoussage
 Trace de colle
o Méthode
 Destructive : prélèvement d’un morceau pour études
 Sciage
 Lame polie ?
 Spectrométrie de rayons X couplée au MEB
 Technique par faisceau d’ions PIXE, PIGE
e
- 10 vestige, 17568B
o Provenance Syrie, de Balis
o Tournée
o Pate rouge claire
o Enduit ?
o Trace de découpe
o Présence de bulles dans la pate
o Décor
 Présence de boudin entrelacés
 Relief
 Poinçonnage
 Base pré décoré
 Motif floraux
o Méthode
 Destructive : prélèvement d’un morceau pour études
 Sciage
 Lame polie ?
 Spectrométrie de rayons X couplée au MEB
 Technique par faisceau d’ions PIXE, PIGE
e
- 11 vestige, 17569
o Provenance de Syrie, de Balis
o Tournée
o Pate clair
o Enduit ?
o Trace de découpe
o Présence de bulles dans la pate
o moisissure
o Décor
 Présence de boudin entrelacés  frise ?
 Relief
 Poinçonnage
 Motif floraux
 Bas décorés
o Méthode
 Destructive : prélèvement d’un morceau pour études
 Sciage
 Lame polie ?
 Spectrométrie de rayons X couplée au MEB
 Technique par faisceau d’ions PIXE, PIGE
e
- 12 vestige, 17559
o Provenance de Syrie, Balis
o Pate claire
o Pas enduit
o Trace de découpe
o Moisissure
o Décor
 En relief
 Poinçonnage
 Bouclier cassé
 Motif floraux
 Pas de couleur
 Base décorés
o Méthode
 Destructive : prélèvement d’un morceau pour études
 Sciage
 Lame polie ?
 Spectrométrie de rayons X couplée au MEB
 Technique par faisceau d’ions PIXE, PIGE
e
- 13 vestige, 17557
o Bord
o Provenance de Syrie, de Balis
o Pate claire
o Tournée
o Pas enduit ?
o Trace de découpe
 Décor
 Gravé
 En relief
 Poinçonnage
 Présence de stries
 Motif floraux
o 1 seul
 Un relief non identifié (octopus ?)
o Méthode
 Destructive : prélèvement d’un morceau pour études
 Sciage
 Lame polie ?
 Spectrométrie de rayons X couplée au MEB
 Technique par faisceau d’ions PIXE, PIGE
e
- 14 vestige, 17561
- Provenance Syrie, Balis
- Pate claire
- Tournée
- Trace de découpage
- Décor :
o Rajout de pate, Boudins entrelacés en relief
o Motifs floraux
o Base décorée
o Présence des stries
o Poinçonnage
o Présence d’un angle avec les boudins
o Méthode
 Destructive : prélèvement d’un morceau pour études
 Sciage
 Lame polie ?
 Spectrométrie de rayons X couplée au MEB
 Technique par faisceau d’ions PIXE, PIGE

Méthodes d’observation

- Seuil de perception
o Dimensions minimales d’un objet pour qu’il puisse être perçu par nos sens
- Pouvoir de résolution
o Distance minimale entre deux points pour qu’ils puissent être distingués
- Système optique à lentilles dont le but est d’obtenir une image agrandie de l’objet observé
- Grossissement
o Rapport de la taille de l’image à celui de l’objet

Méthodes d’analyse

- Analyse élémentaire
o Identifier la nature des éléments chimiques (qualitatif et / ou quantitatif)
- Analyse structurale
o Préciser les relations entre les éléments chimiques (liaisons chimiques)
- Fluorescence de rayons X
o Emission d’un rayonnement par un corps suite à l’absorption d’un rayonnement
d’énergie spécifique
o Toujours erreur de mesure
o Emission de rayon X
 Rayons X
 Spectrométrie de fluorescence X (dispersion d’énergie ou de
longueur d’onde)
 Electrons
 Microsonde électronique, couplage SEM-EDS
 Ions
 Sonde nucléaire (Particle-Induced X-ray Emission, PIXE)
o Diffraction de rayons X
 Comportement des ondes lorsqu’elles rencontrent un obstacle
- Les solides cristallins
o Les atomes sont organisés en motifs géométriques réguliers (réseaux cristallins )
o Souvent anisotropes
o Possèdent une température de fusion à pression donnée

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