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La chimie est la science qui étudie la matière et ses transformations, c’est une science à trois niveaux:
Dé nitions:
Substance/corps pur: Forme pure et unique de la matière. Constituée par un corps simple ou composé
• Corps simple: il est constitué d’un seul élément chimique
• Corps composé: il est constitué d’au moins deux éléments chimiques différents
La matière
C’est tout ce qui a une masse et qui occupe de l’espace.
Propriétés de la matière:
• Dans une réaction chimique les atomes ne sont ni créés, ni détruits, il changent de
partenaire pour donner de nouvelles substances
• Il a pris 8g d’oxygène il le fait réagir avec 1g d’hydrogène et il obtient H2O —> Dans tous les
échantillons de H2O, il observe qu’il y a 8g d’oxygène pour 1g d’hydrogène
• Il observe aussi que dans H2O2, il y a 16g d’oxygène pour 1g d’hydrogène
—> Tous les atomes d’un élément sont identiques
—> Les atomes d’éléments différents sont massés différentes
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fi
fl
fl
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Modèle atomique de Thomson:
Son modèle d’atome est connu comme « pain aux raisins ». Il considérait
l’atome comme une sphère où les particules positives était distribué
uniformément
e C
= 1.7 * 10−11
m Kg
Des gouttelettes d’huile sont ionisées par des particules α émises par
du Radium radioactif. Une gouttelette passe à travers l’ori ce ouvert
d’un condensateur plan. On calcule la vitesse de chute de cette
gouttelette ionisée en mesurant le temps qu’elle met pour parcourir
une certaine distance d dans le condensateur plan.
On en déduit le rayon de la gouttelette. On applique une tension au
condensateur plan et on mesure de la même manière la vitesse de la
gouttelette d’huile ionisée qui remonte vers l’ori ce par lequel elle est rentrée
Il a placé une feuille d’or et une de platine sur le trajet du rayonnement émis par une source d’uranium (p. α)
• Presque toutes les particules passent à travers la feuille
• Quelques particules α sont déviés
• Parfois elles rebondissent et retournent dans la direction incidente
—> L’atome est constitué d’un noyau entouré d’électrons
—> Toute la charge positive et la masse d’un atome sont dans le noyau
—> Toute la charge négative est portée par les électrons
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Modèle atomique de Bohr:
Spectroscopie:
On étudie les atomes par l’intermédiaire de l’énergie qu’ils peuvent échanger lors d’une stimulation:
• Electrique
• Electromagnétique (lumière)
• Thermique
—> Stimulation qui interagit directement avec les électrons du nuage électronique
Nature de la lumière:
La lumière est une onde (déformation progressive et périodique qui se propage dans un milieu)
électromagnétique dont la vitesse de propagation est: c = 3 × 108 m /s. La matière absorbe ou émet lumière
Onde électromagnétique:
• Onde qui résulte du mouvement de charges électriques. Ce mouvement produit des oscillations des champs
électrique et magnétique, qui se propagent dans l’espace
—> Il n’a pas besoin de milieu pour que ces ondes se propagent
• Les variations des champs électrique E et magnétique B sont liées par les équations de Maxwell
Caractérisée par:
• Son amplitude A (V/m pour B et T pour B)
• La longueur d’onde λ (m)
• La fréquence ν (Hz)
—> I = A2
Les couleurs:
La perception de la couleur dépend de l’effet des radiations sur nos yeux et de la réponse du cerveau.
• Une courte longueur d’onde λ correspond à une haute fréquence ν
• Une grande longueur d’onde λ correspond à une basse fréquence ν
c
—> λ=
ν
• La lumière blanche se divise en un spectre continu
—> Les couleurs observées correspondent au différentes fréquences d’onde lumineuses qui se superposent
pour former la lumière blanche
Il montre que les raies d’émission de l’atome d’hydrogène dans le domaine visible ont des fréquences:
Il montre que les raies d’émission de l’atome d’hydrogène dans n’importe quel domaine de fréquence sont
reliées par:
Il montre que la fréquence des raies d’émission ou absorption dépendent de l’élément chimique considéré:
ν = k1(2 + k 2 )
Il montre que la longueur d’onde maximale d’émission λ max et la température T sont reliées:
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Théorie des quantas:
• En 1900 Max Planck propose une modélisation du rayonnement du corps noir basé sur un échange discret
d’énergie entre le corps noir et le milieu ambiant
• Un atome oscillant à une fréquence ν peut échanger avec son environnement qu'une fraction d'énergie E
• L'énergie ne peut être transférée que par quantités discrètes appelées quanta
• Les radiations électromagnétiques transportent de l'énergie à travers l'espace sous forme de quanta
• Une radiation électromagnétique est un ux de « paquets » d'énergie électromagnétique appelés photons
• L'énergie des photons E est reliée à la fréquence ν (Hz) ou la longueur d'onde la constante de Planck h:
hc
E = hν =
λ
• Lorsque l'on bombarde la surface d'un métal par des photons, et que l'énergie des photons est assez grande,
des électrons sont éjectés de la surface du métal
• Il est expliqué par Einstein en 1905 en s'appuyant sur la théorie des quanta de Planck
• Il s'agit d'une interaction entre un photon et un électron
L’énergie du photon (E(photon)) doit être supérieure à une énergie seuil (φ). L’excèdent d’énergie est transféré
1
à l’électron sous forme d’énergie cinétique (Ec (électron)): E (Ph ot o n) = Φ + Ec hν = Φ + me−V 2
2
Conséquence: L'énergie d'un électron lié est quanti ée et négative. On observe alors différents niveaux
d'énergie pour l'électron de l'atome d'hydrogène: électron lié avec un proton
−B
Niveaux d'énergie de l'électron de l'atome d'hydrogène: En = , B = 2.18 × 10−18 J
n2
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Eléments d’atomistique
La nature quantique de la matière:
• 1924 L. De Broglie: Découverte des propriétés ondulatoires des électrons —> la lumière à 2
modèles:
• Ondulatoire: la lumière comme onde électromagnétique (macroscopique —> Diffraction)
• Corpusculaire: l’onde transporte énergie sous forme de photons (microscopique —> Effet
photoélectrique) —> Micro particelle che hanno energia ma non massa,
h h
La longueur d’onde de l’onde associé à la particule est λ = =
p mν
• 1927: Principe d’incertitude d’Heisenberg —> On ne peut pas connaître simultanément la position et la
vitesse d’un électron en mouvement
L’atome d’hydrogène:
Nombres quantiques:
Principe d’exclusion de Pauli: une orbitale comprend au plus 2 électrons nécessairement de spin opposé
Règle de Hund:
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La structure du noyau atomique:
• Le noyau atomique est constitué de nucléons (protons et neutrons), eux mêmes constitués de quarks
• Numéro atomique Z: nombre de protons du noyau. Z est le nombre d’électrons pour atome (charge nulle)
• Isotopes: atomes de même numéro atomique, mais dont le nombre de neutrons du noyau est différent
• Masse atomique isotopique:
• La masse d’un atome est ~ égale à la somme de la masse de ses nucléons
• Unité de masse atomique: u.m.a. Ou Dalton (Da) =1/12 de la masse atomique de l’isotope du carbon 12
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1u m a = 1D a = g = 1.660 * 10−24 g
6.023 * 10 23
Rayon atomique:
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Énergie de ionisation (Ei):
Électronégativé (En):
Cations et anions:
• Un cation est un atome auquel on a retiré des électrons, il est donc positif
• Un anion est un atome auquel on a ajouté des électrons, il est donc négatif
• Cation hydrogénoides: cation qui ne possède qu’un seul électron (He +, L i 2 (1s 1)). Son énergie dépend de Z:
−13.6 * Z 2
E=
n2
• Cations non-hydrogénoides: Si les cations possèdent plus d’un électron, alors on se place dans le cadre de
l’atome polyélectronique. Il en est de même pour les anions car l’anion le plus simple est H (hydrure) qui
−13.6 * Z 2
possède 2 électrons. L’énergie est E =
n2
• L’énergie d’un niveau électronique n est la somme des énergie des électrons x qui occupent ce niveau n
• Pour écrire la con guration électronique des cations, on se base sur celle de l’atome et l’on retire en
premier les électrons qui correspondent au nombre quantique principal n le plus élevé:
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Liaisons et interactions chimiques
Liaisons chimiques:
Ce sont des forces qui assurent la cohésion des molécules, des liens entre des atomes.
Les atomes se lient pour rejoindre un état de mineur énergie —> quand les atomes se lient pour former un
agrégat stable, l’énergie diminue
Liaison ionique:
Liaison covalente:
• Si ∆EN > 0, liaison covalente polaire avec le doublet d’électrons situé plus prêt de l’atome le plus
électronégatif. L’atome électropositif acquière une charge partielle δ +( > 0) et l’atome électronégatif
une charge partielle δ −( < 0) telles que δ + + δ − = 0. La molécule possède un moment polaire µ:
μ = | | μ | | = qAB * dAB
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Liaison métallique:
Le modèle de Lewis:
Décrit l’ordre dans lequel les atomes sont liées les un aux autres ainsi que la multiplicité des liaisons dans une
molécule ou un ion polyatomique
La charge formelle d’un atome dans une molécule est donné par:
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QF = V − L − P
2
Q F = charge formelle, V = électrons de valence dans l’atome libre,
L = électrons constituant les paires libres, P = électrons dans les
liaisons
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• Molécules planes: le moment dipolaire est la somme vectorielle des moments dipolaires de
chaque liaison
• Molécules non planes: le moment dipolaire est la somme vectorielle des projections dans le
plan des moments dipolaires de chaque liaison
• Les vecteurs vont de l’atome moins électronégatif à l’ atome plus électronégatif
• Théorie de la liaison de valence: une liaison covalente résulte de la formation d’un doublet d’électrons de
spins opposés dans la région du recouvrement de deux orbitales atomiques
• La force d’une liaison est proportionnelle au recouvrement des orbitales atomiques
• Un recouvrement axial donne naissance à une liaison σ (très stable —> les 2 atomes liés peuvent tourner
autour de l’axe de liaison)
• Un recouvrement latéral donne naissance à une liaison π (très faible —> les 2 atomes liés ne peuvent pas
tourner autour de l’axe de liaison)
La théorie de la liaison de valence est basée sur l’hybridation des orbitales atomiques
L’hybridation des orbitales atomiques consiste à trouver une combinaison linéaire de leurs fonctions d’ondes
de telle sorte que les nouvelles orbitales atomiques hybrides répondent à des exigences d’équivalence et
d’orientation dans l’espace:
• L’hybridation de 1 orbitale s et de 1 orbitale p conduit à 2 orbitales
hybridées s p
• L’hybridation de 1 orbitale s et de 2 orbitales p conduit à 3 orbitales
hybridées s p 2
• L’hybridation de 1 orbitale s et de 3 orbitales p conduit à 4 orbitales
hybridées s p 3
Paramagnétique Diamagnétique
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Généralités sur la liaison de coordination:
• C’est une liaison qui s’établit entre une entité dé citaire en électrons (acide de Lewis) et une riche en
électrons (base de Lewis)
• Les 2 entités qui se lient peuvent être atomiques ou moléculaires
• Quand la liaison est entre une espèce atomique et une moléculaire, elle est souvent être un élément
métallique et un ligand (un anion ou des espèces avec au moins un doublet électronique libre)
N H3 BF3 l’atome de B est s p 3, il possède 4 orbitales s p 3 dont 3 sont occupées et 1 est vacante, accepteuse
d’électrons
• Il s’agit d’une liaison formée entre des ligands et un atome ou un ion métallique. On se base sur
l’hybridation des orbitales atomiques s, p et d du métal
• Le composé de coordination résultant peut être un cation ou un anion complexe (les ligands sont
coordinnés à un cation métallique), voir un composé neutre (les ligands sont coordinnés à un métal neutre)
• Un anion ou cation complexe est forcément lié à un cation ou anion simple à travers une liaison ionique
pour assurer l’électro-neutralité de l’édi ce moléculaire
• Voici quelques exemples de composés de coordination:
• Pour les composés de coordination dont le centre métallique est entouré de 4 ligands, on fait appel à des
hybridations s p 3, s p 2 d , s d 3. Ces composés sont souvent carrés plans
• Pour les composés de coordination dont le centre métallique est entouré de 6 ligands, on fait appel à des
hybridations s p 3d 2. Ces composés sont octaédriques
• Pour les composés de coordination il se forme des liaisons σ entre les ligands et les orbitales hybridés du
centre métallique. Les ligands apportent totalement les électrons de la liaison
• Ci-dessous les orbitales atomiques d:
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• Exemples d’hybridations:
• L’approche de ligands perturbe les orbitales atomiques d non hybridées du centre métallique
• L’énergie des orbitales d augmente puis, certaines se stabilisent et d’autres se déstabilisent par rapport au
nouveau niveau d’énergie, en fonction du nombre de ligands impliqués (4 ou 6)
Interactions chimiques:
Les différentes interactions moléculaires (forces attractives entre les molécules) sont:
4. Ion - dipôle
• Interaction entre les charges ioniques et celles partielles des molécules de solvant polaire
5. Liaison hydrogène
• Force attractive entre les molécules content un atome d’hydrogène liée à un atome de F, O et N
• Peptide, ADN, eau
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Propriétés électroniques des solides:
Les solides sont des structures organisées en réseaux cristallins. Ils peuvent être de nature ionique, métallique,
covalent ou résulter d’interactions moléculaires —> 14 réseau de Bravais
• Les anions et cations qui composent un solide ionique s’arrangent dans un des 14 réseaux de Bravais
• Il n’y a pas de partage d’électrons entre les anions et les cations, il s’agit d’interactions électrostatiques —>
Force de Coulomb
• Un métal peut être considéré comme un réseau cristallin (réseau de Bravais) de noyaux liés de façon
covalente dont les électrons qui ne participent pas aux liaisons sont mobiles. Il s’agit d’un réseau de noyaux
baigné dans un gaz d’électron
• La mobilité des électrons confèrent aux métaux une bonne conductivité électrique
Ils adoptent un des 14 réseaux de Bravais. Le recouvrement orbitalaire est similaire à celui des métaux. On
distingue en fonction de la mobilité des électrons qui constituent les liaisons covalentes:
1. Isolants
• Ces solides présentent des liaisons covalentes σ. Par exemple le diamant est constitué de carbone s p 3
• Les électrons de liaison sont immobiles, les solides correspondants sont des isolants électriques
2. Semi-conducteurs
• Ces solides présentent des liaisons covalentes σ. Un excitation des électrons de valence permet de
libérer un électron d’une liaison sans altérer l’édi ce solide. On génère alors un électron libre
(conducteur négatif) et un trou d’électron (conducteur positif) au niveau de la liaison attaquée. Le
matériau isolant devient un conducteur électrique
3. Conducteur
• Ces solides présentent des liaisons covalente σ et des électrons p libres. Par exemple le graphite est
constitué de carbone s p 2. Les électrons des liaisons σ sont immobiles mais ceux des orbitales p non
hybridées sont mobiles, le solide est un conducteur électrique
• Ils adoptent un des 14 réseaux de Bravais. Il s’agit d’une organisation de molécules liées entre-elles par des
interactions de Van der Walls, liaisons hydrogène
• Le sucre en morceau est un solide moléculaire constitué d’unités de glucose. Lorsqu’il se solubilise dans
l’eau les unités glucose se sépare sans créer d’ion, la solution n’est pas conductrice d’électricité
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Réactions chimiques
Réaction chimique:
C’est un processus qui produit une transformation chimique. Des éléments ou des composés (réactifs —>
sostanze iniziali) interagissent en brisant ou en formant des liaisons chimiques, ou en échangeant des
électrons pour former des produits (sostanze nali)
• Lavoisier et Lomonosov: au cours d’une réaction chimique, la masse des réactifs est égale à celle des
produits —> la masse est conservée
• Interprétation de Dalton: au cours d’une réaction chimique, les atomes ne sont jamais créés ou détruits. Ils
changent de partenaire pour donner de nouvelles substances
La matière est électriquement neutre, la charge se conserve au cours d’une réaction chimique
Etat d’oxydation des atomes dans une molécule: le nombre d’oxydation (n.o.)
• C’est un paramètre qui dé nit l’état de combination des atomes, en se basant sur la charge que eux mêmes
possèdent —> On dé nit nombre d’oxydation d’un élément, la charge que l’atome de cet élément assume
si les électrons engagés dans les liens sont donnés aux atomes plus électronégatifs (C’est le nombre de charges
électriques réelles ou ctives que porte un atome au sein d'une espèce chimique (molécule, radical ou ion). Ce nombre, qui décrit
l'état d'oxydation de l'atome, caractérise l'état électronique de l'élément chimique correspondant en considérant la charge réelle
(dans le cas d'un ion monoatomique) ou ctive (si cet élément est combiné))
• Au cours d’une réaction chimique, on peut quelquefois observer une variation du nombre d’oxydation d’un
élément. Dans ce cas, il s’agit d’une réaction d’oxydoréduction
Dé nitions:
1. Mole:
• C’est une unité qui permet de rapporter simplement les nombres gigantesques d’atomes et de molécules
impliqués dans les réactions chimiques
• 1 mole correspond à la quantité de matière d’un système contenant 6,023 * 10 23m ol −1 entités
élémentaires: atomes, ions, molécules... Cette quantité correspond au nombre d’Avogadro
2. Masse moléculaire:
• La masse moléculaire (masse molaire) correspond à la somme des masses atomiques M i de
chaque élément Ei qui compose la molécule multipliées par le nombre d’atomes n i de
l’élément Ei —> C2 H6 M = 2 * 12.011 + 6 * 1.008 = 30.070g * m ol −1
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3. Composition élémentaire: la composition élémentaire de Cx HyOz Nt de masse
moléculaire M
• Pour l’éthane: C2 H6
4. Nombre de moles:
m
• Pour une substance de masse moléculaire M dont la masse est m, le nombre de moles n est: n = M
V
• Pour une substance de volume V dont le volume molaire est Vm, le nombre de moles n est: n = Vm
5. Molarité:
• Dans le cas d’une solution (liquide ou gazeuse), la quantité de soluté dissout dans un solvant est exprimée
par sa concentration. L’unité est la mole par litre. Soluté = nb de moles de soluté/volume de la solution
6. Molalité:
• Dans le cas d’une solution (liquide ou gazeuse), la quantité de soluté dissout dans un solvant peut être
exprimée par sa molalité. Il s’agit du nombre de mole de soluté dissout par kg de solvant. L’unité est la
mole par kilogramme. Soluté = nb de moles de soluté/masse de solvant
7. Fraction molaire:
• La fraction molaire d’un constituant A dans un mélange, notée XA, est le rapport du nombre de moles de
ce constituant sur le nombre total de moles de tous les constituants du mélange. Si il s’agit d’un gaz la
fraction molaire sera notée YA. XA ou YA = nb de moles de A/nb total de moles
8. Normalité:
• La normalité d’une solution est le nombre d’équivalent-grammes de soluté contenus dans un litre de
solution. Notation: N. Cette notation se rapporte à une réaction chimique particulière
P = 1a t m − > 1.01325 * 10 5 Pa
T = 273.15k − > 0C
• 1 mole di gas occupa 22.414 L
• Les réactions chimiques sont représentées par les équations chimiques qui sont formées par les formules des
réactifs et des produits, séparées par une èche
• Elle contient les informations suivantes:
- Formule chimique brute des réactifs et des produits
- Nombre de molécules, atomes, ions impliqués dans la réaction chimique
- Double èche: la réaction inverse a lieu
- Flèche vers la droite: la réaction inverse n’a pas lieu
—> Une formule chimique brute indique le nombre d’atomes n i de chaque élément Ei qui compose une
molécule. Les indices n i représentent l’ensemble le plus petit possible de nombres entiers:
Lorsqu’il y a le même nombre d’atomes de chaque élément des deux côtés de la èche, la réaction est
équilibrée. Pour équilibrer une réaction on fait apparaître des coef cients
• Les coef cients stœchiométriques sont introduits pour équilibrer les réactions. Pour trouver le jeux de
coef cients correctes, on doit veiller à la conservation de la matière et de la charge
• La façon d’équilibrer une réaction chimique dépend de sa nature. On distingue les réactions de
combustion, les réactions avec variation du degré d’oxydation des éléments chimiques et celles sans
variation du degré d’oxydation des éléments chimiques
• S’il ne s’agit pas d’une réaction de combustion, il faut calculer le nombre d’oxydation de chaque élément
chimique présent
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fl
fl
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fl
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fl
fi
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Réaction de combustion:
• Caractérisées par la présence de O2 comme réactif. Les produits générés sont H2O, CO2
• On peut obtenir CO comme produit au lieu de CO2 si la combustion n’est pas complète
• On se base sur la conservation de la matière et de la charge
• On obtient a = b = c = 1 et d = 2
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Stœchiométrie: la loi de la conservation de la masse:
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Thermodynamique
L’énergie:
• Energie potentielle Ep: Energie d’une molécule liée aux arrangements des noyaux et des électrons. Son
expression dépend des forces agissant sur l’objet
2 1 p2
• Energie cinétique Ec: Energie d’une molécule liée a son mouvement: Ec = 2 mV = 2m pour un objet de
masse m
Thermodynamique:
Elle se réfère uniquement aux états initiaux et naux d’un système étudié. Elle repose sur deux notions,
l’énergie et l’entropie. La thermodynamique permet de prévoir si une transformation est spontanée
• Thermodynamique: oui je peut le faire
• Cinétique: à quelle vitesse je vais le faire
Dé nitions:
• Processus spontané: Il se produit dans un système à lui-même, sans aucune intervention extérieure. Parfois
on nécessite d’un amorçage pour démarrer le processus
• Processus non spontané: Le système doit subir une action provenant de l’extérieur
• La fonction d’état décrit l’état d’un système. Elle ne dépend que de l’état du système et elle est
indépendante de la manière dont cet état est atteint
• Grandeurs extensives: dépendant de la grandeur du système (volume, chaleur, énergie interne)
• Grandeurs intensives: indépendant de la grandeur du système (température, pression, densité)
- La variation d’une grandeur thermodynamique X est: ΔX = X f − X i
Un système a une énergie interne U qui est la somme de l’énergie cinétique (due aux mouvements des
particules) et de celle potentielle (due aux forces qu’il y a entre les particule) des particules qui le composent
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Premier principe:
• Energie interne U = somme de toutes les énergies —> elle n’est pas mesurable et donc on étudie ses
variations —> la variation d’énergie interne: ΔU = Uf − Ui (1er principe)
• ∆U est égal a la somme de la quantité de chaleur et du travail échangés avec l’environnement:
ΔU = Uf − Ui = W + Q —> W = énergie fournie au système sous forme de travail et Q = energie fournie
au système sous forme de chaleur
- Si ∆U > 0: le processus est endoénergetique (accroissement de l’énergie interne)
- Si ∆U < 0: le processus est exoénergetique (abaissement de l’énergie interne)
• Si ∆U = 0 —> principe de conservation de l’énergie: dans un système isolé l’énergie peut changer de forme
mais sa quantité totale reste la même —> l’énergie se conserve: elle ne peut être ni créée ni détruite
• Avec le travail: ΔU = Uf − Ui = W + Q = − PΔV + Q
- A volume constant (transformation isochore): ΔU = Q V = CV ΔT
• Les réactions chimiques ont lieu a pression constante plutôt qu’a volume constant —> on introduit une
autre fonction d’état, l’enthalpie H: H = U + PV
- Variation d’enthalpie:
ΔH = H f − H i = ΔU + PΔV + VΔP = W + Q + PΔV + VΔP = − PΔV + Q + PΔV + VΔP = Q + VΔP
- A pression constante (transformation isobare): ΔH = Q p = CpΔT
- Si ∆H > 0: le processus est endothermique (absorbe la chaleur)
- Si ∆H < 0: le processus est exothermique (libère la chaleur)
Puisque l’enthalpie est une fonction d’état, ses variations sont déterminées par les valeurs initiales et nales et
non par le chemin suivi par le système. L’enthalpie de réaction dépend de l’état physique des réactifs et des
produits et de la température et pression du système. En règle générale, il est fait référence à l’état standard:
• Une grandeur standard est une grandeur molaire, pour une mole de substance, dans l’état standard pour
P=1 bar
• L’enthalpie standard de formation d’une substance ∆H est la variation d’enthalpie liée à la réaction
chimique qui conduit à sa formation à partir des éléments constitutifs, dans leur forme simple et la plus
stable dans l’état standard à la température de référence (298,15K)
Vue que ∆H dépend de l’état initial et nal du système la loi de Heiss s’applique: Si la transformation peut
être découpée en trois étapes, l’enthalpie de la transformation globale est la somme des enthalpies des
transformations élémentaires
Le premier principe ne permet pas de déterminer la direction d’une réaction chimique: critères de
spontanéité. D’après le premier principe, la quantité d’énergie disparue sous une forme est égale à la quantité
d’énergie qui apparait sous une autre forme. Le premier principe ne s’oppose pas au retour à l’état initial
23
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Deuxième principe:
• Il est fondamental de savoir si une réaction procède spontanément dans le sens souhaité, donc il y a le
second principe qui recours à l’entropie S: Elle mesure le degré de désordre d’un système —> Lors d’une
évolution spontanée, le désordre de l’énergie et de la matière a tendance à augmenter (2 ème principe):
Q
ΔS = Δe S + Δi S —> ΔS = + Δi S − − > ΔQ = TΔS − TΔi S
T
−ΔH
• Variation d’entropie: ΔS = Sf − Si = Δe S + Δi S —> ΔS = T + Δr S
- Si ∆S < 0: réaction non spontanée, désordre diminue
- Si ∆S > 0: réaction spontanée, désordre augmente
Troisième principe:
L’entropie molaire d’un corps pur, parfaitement cristallin (ordre parfait) est nulle à 0K
Solutions:
• Une solution résulte d’un mélange homogène constitué de la dissolution de substances dans un solvant
- Les substances dissoutes (solutés) sont en très faibles quantité par rapport au solvant
- Une solution résulte donc de la dissolution d'un ou plusieurs soluté(s) dans un solvant
- Le solvant est en général un liquide. Toutefois, il existent des solutions solides où soluté(s) et solvant sont
tous deux solides ainsi que des solutions gazeuses où soluté(s) et solvant sont tous deux gazeux
Dissolution:
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Solubilité:
• La concentration molaire d'une substance dans la solution saturée est notée s. Elle correspond à la
concentration pour laquelle il y a un équilibre dynamique entre le soluté dissout et non dissout
• La solubilité d'une substance dans un solvant donné dépend de la nature du solvant, de la pression partielle
lorsqu'il s'agit de la solubilité d'un gaz et de la température
• Règles de similitude: Les molécules aux caractéristiques semblables peuvent agir réciproquement comme
solvant et soluté. Soluté: Sous la forme d’ions, la solution conduit le courant: électrolyte, sous la forme de
molécules, la solution ne conduit pas le courant: non-électrolyte
Solutions aqueuses:
• Solutions électrolytiques: les ions sont séparés les uns des autres par des molécules d'eau. Si la dissociation
du soluté est totale on parle d'un électrolyte fort, si sa dissociation est partielle, on a une électrolyte faible
• Solutions non-électrolytiques: la dissolution du soluté ne génère pas d'ion —> ne conduit pas l’électricité
Solutions non-aqueuses:
Solutions pour lesquelles le solvant n'est pas de l'eau. Elles peuvent être électrolytiques ou non-électrolytiques
• Un solide dissout dans un solvant donne des molécules ou des ions (ions séparés du cristal) selon que le
solide soit moléculaire ou ionique
• Des interactions entre les molécules ou les ions séparés du cristal et les
molécules de solvant se forment
• Une solution saturée est une solution pour laquelle il y a présence de soluté
dissout et non dissout. Le diagramme de solubilité ci-dessous présente plusieurs
zones en fonction de la concentration du soluté et de la température du solvant
• Zone instable est la zone pour laquelle le soluté est partiellement insoluble dans
le solvant. On observe une phase solide et une phase liquide
• Zone stable est la zone pour laquelle, le soluté est totalement soluble dans le
solvant. On observe une phase liquide
• Zone métastable est la zone pour laquelle le soluté est soluble dans le solvant.
- La solubilité augmente si T augmente
On observe une phase liquide. Ici la moindre perturbation de la solution (Csoluté Constante)
conduit à ce qu'une partie du soluté précipite. Ce phénomène s'appelle une - La solubilité augmente si Csoluté
rupture de phase. On observe alors une phase solide et une phase liquide diminue (T constante)
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Équilibres chimiques
Introduction:
• Lors d'une réaction chimique, les réactifs (purs ou en solution) se mélangent puis réagissent
• La réaction chimique conduit à un état d'équilibre entre les réactifs et les produits
• Une réaction chimique totale peut être considérée comme une réaction conduisant à un équilibre pour
lequel les produits sont très largement majoritaires
• La réactivité des réactifs entre eux est estimée à travers le signe du Δr G 0 de la réaction chimique
• Pour quali er le mélange des réactifs, il faut considérer des grandeurs molaires partielles de ces derniers. La
combinaison de ces grandeurs thermodynamiques aboutit aux grandeurs thermodynamiques de mélange.
Dans notre cas, on s’intéresse à Δmel G (variation d’enthalpie libre de mélange):
µ = potentiel chimique
Potentiel chimique:
• Expression du potentiel chimique pour un gaz parfait i pur dont le potentiel chimique
standard est µ0i, à la pression P en prenant une pression de référence P0:
• Mélange de gaz parfaits: chaque gaz i est caractérisé par sa pression partielle Pi. La pression totale P du
mélange est la somme des pressions partielles de chaque gaz qui compose le mélange:
• Gaz parfait i, dont le potentiel chimique standard est µ0i, de pression partielle Pi dans un mélange de gaz
parfaits en prenant une pression de référence P0:
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Les mélanges réactifs:
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Lo stato di equilibrio chimico:
• I reagenti si trasformano in prodotti (reazione diretta) e i prodotti a loro volta si trasformano in reagenti
(reazione inversa) —> reversibilità delle reazioni
• Equilibrio chimico: E lo stato in cui si trova una miscela di reazione quando la reazione diretta è quella
inversa hanno la stessa velocità
Legge seguita dalle concentrazioni dei reagenti e dei prodotti, in una reazione all’equilibrio:
Il rapporto fra il prodotto delle concentrazioni molari dei prodotti della reazione e il prodotto delle
concentrazioni molari dei reagenti, ciascuna concentrazione essendo elevata al proprio coef ciente
stechiometrico, è costatante a temperatura costante
[C ]c[D]d
In una reazione a A + bB < − > cC + d D la legge di azione di massa è: K c = (costante di
[A]a[B ]b
equilibrio), dove le parentesi quadre indicano le concentrazioni molari delle singole sostanze all’equilibrio
• Se K c < 10−2 la reazione è spostata verso sinistra, predominano i reagenti
• Se K c > 10 2 la reazione è spostata verso destra, predominano i prodotti
• Se 10−2 < K c < 10 2 ne destra ne sinistra
Costante di equilibrio nelle reazioni allo stato gassoso e nelle reazioni eterogenee:
Per spostare un equilibrio chimico verso i prodotti si possono modi care le concentrazioni, la pressione e la
temperatura. Gli effetti di queste modi che si possono vedere attraverso il principio di Le Châtelier (principio
dell’equilibrio mobile): un sistema all’equilibrio reagisce a qualsiasi cambiamento dei fattori capaci d’in uenzarlo in modo da
minimizzare l’effetto di questo cambiamento
• Aggiunta o sottrazione di un reagente o un prodotto: un sistema chimico all’equilibrio reagisce in modo da consumare
in parte il reagente o il prodotto aggiunto oppure da riformare in parte il reagente o il prodotto sottratto
• Variazione della pressione: un sistema costituito da gas in equilibrio chimico reagisce in modo tale da compensare in parte
l’aumento o la diminuzione di pressione
• Variazione della temperatura: L’aumento di temperatura favorisce le reazioni endotermiche e sfavorisce quelle esotermiche
—> Kc aumenta nelle reazioni endotermiche e diminuisce in quelle esotermiche
• Si Q(T) < K(T): évolution vers la formation des produits (ajoute du réactif)
• Si Q(T) > K(T): évolution vers la formation des réactifs (ajoute du produit)
• Si Q(T) = K(T): composition de l’équilibre, pas d’évolution
• Dans le cas de composés gazeux, une diminution du volume du milieu réactionnel entraîne un
déplacement d’équilibre dans le sens où l’on diminue le nombre de molécules
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Acides et bases
Théorie d’Arrhenius:
• Un acide est une substance qui en solution aqueuse libère des ions H+
• Une base est une substance qui en solution aqueuse libère des ions OH-
• Un sel est une substance qui en solution aqueuse se dissocie sans libérer ions H+ ou ions OH-
Théorie de Brønsted:
Théorie de Lewis:
Thermodynamique acido-basique:
Acide:
Cette ionisation est une réaction réversible qui atteint l’équilibre chimique en fonction de la force de l’acide:
• Acide fort HA est un acide qui est totalement dissocié dans l’eau
• Acide faible HA est un acide qui n’est pas totalement dissocie dans l’eau
Cette ionisation est une réaction réversible qui atteint l’équilibre chimique en fonction de la force de la base:
• Base forte B est une base qui est totalement dissocié dans l’eau
• Base faible B est une base qui n’est pas totalement dissocié dans l’eau
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Autoprotolyse de l’eau:
L’eau est un électrolyte (peut conduire) et peut former des ions : le phénomène est appelé autoprotolyse de
l’eau 2H 2 = < − > H3O + + OH −
La mauvaise conductivité indique que la réaction est déplacée vers le réactif, ce qui est con rmé par la faible
[H3O +][OH −] 1000g /l
valeur de Kc —> K c = = 1.8 * 10−16 —> [H 2 o] = = 55.5m ol /l
[H 2O ] 18.01g /m ol
Étant H2O constant, il peut être incorporé dans la constante d’équilibre Kc obtenant ainsi le produit ionique
de l’eau [H3O +][OH −] = K c[H 2O ] = 1.8 * 10−16 × 55.5 = 1.0 * 10−14 —> K e = [H3O +][OH −] = 1.0 * 10−14
Le pH (solutions acides):
Plus la solution est acide, plus la concentration en H3O+ est grande et donc plus la valeur du pH est basse
Acide fort:
Ca
Soit Ca la concentration de l’acide HA: pH = − l og ( )
C0
Acide faible:
1 C K
Soit Ca la concentration de l’acide HA: pH = ( pK a − l og ( ao )), pK a = − l og ( a )
2 C C0
Plus la solution est basique, plus la concentration en OH- est grande et donc plus la valeur du pOH est basse
Base forte:
Cb
Soit Cb la concentration de la base B: pH = 14 + l og ( )
C0
Base faible:
1 Cb Kb
Soit Cb la concentration de la base B: pH = 7 + ( pK b − l og ( )), pK b = − l og ( )
2 Co C0
Solutions tampon:
• Une solution tampon peut être formée soit d'un mélange d'un acide faible et d'un sel de sa base conjuguée,
soit d'un mélange d'une base faible et d'un sel de son acide conjugué
• Soit un acide faible HA de concentration [HA] mélangé à sa base conjuguée A- de concentration [A-], le
pH de la solution sera:
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Réactions de neutralisation:
• Les réactions de neutralisation entre un acide et une base donnent naissance à un sel
• La réaction entre un acide fort et une base forte conduit à un sel neutre (pHsolution = 7)
• La réaction entre un acide fort et une base faible conduit à un sel acide (pHsolution < 7)
• La réaction entre un acide faible et une base forte conduit à un sel basique (pHsolution > 7)
• La réaction entre un acide faible et une base faible conduit à un sel neutre (pHsolution = 7)
Réactions de titrage:
• Elle sert à déterminer la quantité d’acide ou de base présente dans une solution en y ajoutant une quantité
équivalente de base ou acide
• La réaction de titrage d'un acide par une base ou d'une base par un acide est une réaction de neutralisation
• Lorsque l'on veut titrer un acide fort ou faible, le titrant est une base forte
• Lorsque l'on veut titrer une base forte ou faible, le titrant est un acide fort
• A la neutralisation, le nombre de moles d'acide est égal au nombre de mole de base, il s'agit du point
d'équivalence
• Au point d'équivalence, le pH de la solution peut être acide (acide fort /base faible) neutre (acide fort/base
forte) ou basique (base forte/acide faible)
• Dans le cas d'un polyacide ou d'une polybase, il y a plusieurs points d'équivalence
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Electrochimie
Une réaction d’oxydo-réduction est une réaction avec un passage d’électrons
Dans certain cas, une espèce peut se comporter à la fois comme oxydant et comme réducteur —> réaction
de dismutation 2C u +(a q) − > C u (s) + C u 2+(a q) (Cu+ est oxydé en Cu2+ et l’autre est réduit en Cu)
Thermodynamique de l’oxydo-réduction:
Un couple oxydant réducteur est dé ni pas son potentiel redoux standard E0 ox/
réd mesuré par rapport à l’électrode standard à hydrogène: E0 H+/H2 (vs ESH)
• Plus le potentiel redox standard est grand, plus l’oxydant est fort et le réducteur faible
• Plus le potentiel redox standard est petit, plus le réducteur est fort et l’oxydant faible
• Le potentiel E mesuré à une électrode au contact avec un couple oxydant-réducteur en solution est donné
par l’équation de Nernst (n: nombre d’électrons et F: constante de Faraday (96485 C/mol)):
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Sens des réactions d’oxydo-réduction:
- Si les concentrations en Cu2+ et en Zn2+ sont égales, alors la tension de la pile sera égale à sa f.e.m.
Électrolyse:
• L’électrolyse est le processus inverse de la réaction redox (réaction spontanée: ∆rG0 < 0)
• Il s’agit, à l’aide d’une source d’énergie (tension ou courant), de
rendre possible la réaction non spontanée pour laquelle on a:
∆rG0 > 0
• La tension E a appliquer pour cette électrolyse sera: E >> Epile
( E0 Cu2+/Cu - E0 Zn2+/Zn = 1,10 V )
• Pour une électrolyse, l’anode est positive et la cathode est négative
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Cinétique chimique
Vitesse des réactions chimiques:
Loi de vitesse:
• Dans l'expression de la loi de vitesse, k est la constante de vitesse, α et ß représentent les ordres partiels par
rapport à A et B respectivement. L'ordre global est: s = α + ß
• Si α = /VA / et B = /VB/ alors la réaction est élémentaire, elle se produit en une étape. Si s =1, la
réaction est unimoléculaire, si s = 2, la réaction est bimoléculaire et si s = 3, la réaction est trimoléculaire
• Si α ≠ /VA / et/ou ß ≠ /VB/ alors la réaction n'est pas élémentaire, elle se produit en plusieurs étapes
dont la combinaison correspond à la réaction globale
• Dans ces équations, t 1/2 représente le temps de demi-vie, le temps au bout duquel on a: [A] = 1/2 [A]0
• Si on a [A]0 = [B]0, vu que l'on est en présence d'une réaction élémentaire car α = /vA/ et ß = /vB/
• On peut aussi transformer une cinétique d'ordre 2 (A + B —> C) en cinétique de pseudo-premier ordre.
Pour intégrer la loi de vitesse on peut se placer avec un large excès de A ou de B tel que [A] ou [B] soit
constante dans le temps
• On aura alors: t 1/2 = (ln2)/k’A ou t 1/2 = (ln2)/k’B
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Constante de vitesse k (loi d’Arrhénius):
La catalyse:
Un catalyseur est une substance qui accroit la vitesse d'une réaction. Il offre une autre voie ou un autre
mécanisme pour passer des réactifs aux produits avec une énergie d'activation plus faible que celle de la
réaction initiale. Il est restitué en n de réaction
—> diminuer l’énergie d’activation
• Catalyseur homogène: le catalyseur se trouve dans la même phase que les réactifs
• Catalyseur hétérogène: le catalyseur se trouve dans une autre phase que les réactifs. Il s’agit souvent de
solides ne mantes divisés ou poreux pour offrir la plus grande surface possible à l’absorption des réactifs
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Les séparations par changement d’état
• Le méthodes de séparation par changement d'état font appel principalement aux changements d'état
liquide-gaz (distillation) et solide-gaz (sublimation)
• Ces méthodes requièrent une élévation de la température du milieu qui provoque la transformation d'état
• Elles sont réalisées de façon fractionnée. Le fractionnement sera réalisé à l'aide d'une colonne à distiller ou
à sublimer
• Elles peuvent être mise en œuvre à pression atmosphérique (non) ou sous pression réduite (oui)
• L’état sous lequel se présente un corps pur dépend du degré d’organisation des molécules (atomes pour les
gaz) qui le constituent
• L’interdépendance des molécules diminue de l’état solide à l’état gazeux et ne dépend que de la pression et
de la température du milieu
- Solide: basse température, basse énergie cinétique et forte interaction moléculaire
- Dans les liquides et les gazes l’énergie cinétique augmente, la température augmente et l’interaction
moléculaire diminue
Les gaz:
Les liquides:
• Un liquide A est caractérisé par sa pression de vapeur saturante PA * . Les molécules d’un liquide ont un
mouvement permanent est si elles se trouvent près de la surface elles peuvent passer à l’état gazeux
•
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