-44 : Jules César, « imperator » (général victorieux) est assassiné, au fait de son pouvoir par les patriciens. S’ensuit une période trouble de guerre civile. Octave, peu à peu, s’empare du pouvoir -27 Le sénat romain proclame Octave « Auguste » princeps (1er des romains) ♦ Définition de l’Empire romain : -27, +14 : règne d’Auguste, héritier de César et -27 avant JC- / 476 après JC. fondateur de l’Empire en latin se disait : Imperium romanum. +14, +68 : Haut-Empire, dynastie des Julio- Claudiens La République romaine précède l’Empire. Avant il y a eu des rois (Tarquin le Superbe) +69 : Mort de Néron, année des 4 empereurs, souvent assimilé à des tyrans (influence des Vespasien sort victorieux, cités grecques). Elle dure de -509 à -44. +69, +192 : dynasties des Flaviens et des Antonins Jules César est responsable de la +193-235 : Moyen-Empire. Septime-Sévère redresse transformation de cette République (en l’Empire, réformes politiques militaires et sociales, réalité une oligarchie de familles montée en puissance des provinces. patriciennes, càd riches propriétaires terriens) opposés au peuple (la plèbe de +235-268 : crise du IIIe siècle. L’armée fait et défait Rome). Le terme SPQR signifie : « Senatus les Empereurs. Développement du Christianisme. Populusque Romanus » càd Le Sénat et le +284-476 : Bas-Empire. Dioclétien et la Tétrarchie. peuple romain. Constantin, 1er empereur chrétien. --476 Chute de l’Empire romain d’Occident, la Limites géographiques : partie orientale lui survit (Empire byzantin). -Voir carte du Manuel p.64. L’empreinte romaine:
♦ 1ère Vidéo sur l’extension de l’Empire
romain. 2e extrait-vidéo sur les bâtisseur d’Empire. Et des informations sur : ♦ Exo sur la tablette : Repères #1 et #2 sous formes -Cloaqua Maxima (les égoûts) de TDs. Répondre aux questions.. -Les voies romaines, Précision : pour répondre à la Q1, après avoir vu -les aqueducs, etc. l’extrait vidéo (de la légion au combat) on doit expliquer que l’armée romaine est un instrument de conquête, contrôle et défense de l’Empire. A.Imperator (César), princeps (Auguste) et empereur. ♦ Quand Auguste s’empare du pouvoir (potestas), il le fait en temps qu’héritier de César. Les romains n’aiment pas le titre et la fonction de roi (Rex). Auguste utilise donc d’autres titres pour ménager la susceptibilité des Romains : Augustus = Princeps (prince est proche du terme de roi). En réalité la potestas correspond à 2 fonctions : la puissance de l’imperator (général victorieux) et celle du tribunat (un tribun de la plèbe est le chef des classes populaires). ♦ l’empereur rajoute un culte autour de sa personne (il se divinise). On exigeait jusqu’en 212 (Edit de Caracalla) un serment de fidélité. Rome exige un serment de fidélité. (le « génie » de l’empereur symbolisé par une flamme brulant en permanence dans les temples). Les minorités de l’Empire qui s’y refusent sont suspectes comme les juifs et les chrétiens. ♦ l’empereur ne peut gouverner seul : il doit compter avec le 1er ordre des sénateurs (les des familles les plus riches/prestigieuses de Rome) et « partager » sa potestas avec « l’auctoritas » (le prestige moral) des sénateurs. Il tente souvent de transformer cet ordre en y introduisant des hommes nouveaux d’un 2e ordre, celui des chevaliers. Politiquement, la survie de l’empereur est délicate, « coincé » entre populisme et élitisme/aristocratisme. Régulièrement, des soulèvements (des légions, du Sénat ou du peuple) ont lieu : contre Néron en 68/69 ou contre Commode en 193. ♦ Victorieux, fait et défait par le bon vouloir des légions, le « bon » empereur doit aussi être clément, bienfaiteur du peuple (distributeur de blé, d’argent lors des avènements, mariage, enfants, etc.), de jeux) et respecter la tradition.
♦ l’empereur doit administrer l’Empire :
défense des frontières (le limès) contre les barbares : là plus qu’à Rome est son lieu de résidence. Chef de la religion traditionelle et arbitre des différents cultes, il doit compter avec les nouvelles religions dont le christianisme qu’il persécute puis autorise avant de s’y convertir (Constantin). B. L’empereur et les chrétiens. ♦ l’empereur et les élites romaines sont les derniers à se convertir à la nouvelle religion. Le christianisme des origines se diffuse depuis les sectes juives jusqu’aux minorités urbaines les plus pauvres des citoyens romains. Favorisé par la crise des valeurs romaines, cette nouvelle religion promet un salut des âmes après la mort et remplace peu à peu les dieux romaines traditionnels qui semblaient se détourner des populations de l’époque. Après le IVe siècle, tout l’Empire devient chrétien. Constantin, 1er empereur chrétien déménage symboliquement Rome à Constantinople (aka Byzance/Byzantium) : nouveau départ, nouvelle (2nde) Rome.
Le Royaume Client Thrace Aux Temps de Tibere Et La Tutelle Romaine de Trebellenus Rufus. Le Stade Transitif de La Clientele A La Provincialisation de La Thrace PDF