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AFFAIRE KEN SARO WIWA CONTRE LE GOURVERNEMENT NIGERIENT

pour: proces pour meurtre et detention de memmbre de la communaute ogoni :

Ces communications ont été soumises à la Commission Africaine par International PEN,Constitutional
Rights project, Interights et Civil Liberties Organisation respectivement.Elles ont été regroupées parce
qu'elles concernent toutes la détention et le jugement du sieur Kenule Beeson SaroWiwa (alias Ken Saro-
Wiwa), écrivain et un militantde la cause Ogoni, président du Mouvement pour la Survie du Peuple
Ogoni (MOSOP). Les communications 139/94 et 154/96] dénoncent aussi les mêmes violations
commises à l'encontre des codétenus de Ken Saro-Wiwa, et également dirigeants du mouvement Ogoni
au moins 17 Ogoni sont, selon certaines sources, toujours détenus sans avoir été jugés dans la prison de
Port-Harcourt. Gardés au secret sans inculpation par l'armée et la police depuis leur arrestation, au
milieu de 1994, 18 détenus ont été écroués en juin 1995 après avoir, semble-t-il, comparu devant une
juridiction répressive (Magistrate's Court) après avoir été inculpés d'une infraction entraînant
obligatoirement un placement en

détention - ils auraient apparemment été accusés de meurtre dans le contexte de la même affaire. L'un
d'entre eux, Clement Tusima, un mécanicien de quarante ans qui était détenu sans inculpation depuis le
26 mai 1995, est mort le 14 août 1995 ou aux environs de cette date, probablement pour n'avoir pas été
soigné. Il souffrait de diabète depuis novembre 1994, et on lui aurait refusé tout traitement médical
jusqu'à son transfèrement en prison en juin 1995. Finalement hospitalisé, il aurait été enchaîné à son lit
avant d'être renvoyé enprison pour des motifs de sécurité. Son état de santé s'est alors sérieusement
aggravé, et il a de nouveau été transporté, cette fois inconscient, à l'hôpital, où il est mort.

le tribunal speciale millitaire de port Harcourt dans le sud est du pays a condamne par pendaison ken
saro wiwa le est troit de ses proches lecrivain ken saro wiwa et trois des ses proches compagnons .La
veille cinq autres personne avaient ete condamne a la peine capital pour le meme motif :le meutre des
quatre dirigeant moderes de la province petroliere de LOGONILAND CES VERDICTEZ AU TERME
CONTROVERSES /a linterieur du pays et a letranger eclairent la maniere dont la junter militaire au
pouvoir considere les droit de l'homme .il suscitent des critique sur l'exploitation de logoniland par le
groupe petrolie anglo-neelandais Shell le tribunal qui a rendu l'arret le tribunal speciale militaire
de port Harcourt dans le sud est du pays

monsieur ken saro wiwa MOSOP ont été arrêtés par le gouvernement nigerian en juin 1993
puis remis en liberte un mois plus tard .EN mai 1994 il fut arrete pour la troisieme foi est accuse
dincitation au meurtre de 4 opposant ogoni ou il fut condamne a mort par pendaison le 10
novembre 1995

PROCEDURE : la plaine sur laffaire ken saro wiwa introduite le 28 septembre 1994 devant la
commision africaine de droit de l'homme et du peuple en violatio sur larticle 1.
4.5.7.9.10.11.16.26. des la charte affricqine de droit de lhomme et des peuples

est ici il sagit plus sur le fait que la commission africaine de droit de l'homme et du peuple a
statue sa decission sur un arret de condanation puisque le gouvernement du nigerian en depit
de la violation certain article : larticle a eu violation des articles 5 et 16 de la Charte Africaine en
ce qui concerne la détention de M. Saro Wiwa en 1993 et son traitement en prison en 1994 et
1995;

question de droit : mais dans cette affaire le demandeur la personne qui a enclanche la
poursuite demontre devant la commission africaine de droit de l'homme qui est le juger charger
de tranche l'affaire demontre bien est belle que le gouvernement nigerian dans la
condanation de monsieur ken saro wiwa a use de sont pourvoir dans linterne pour inculpe
inoccenment monsieur ken saro wiwa tout en faissant subir de traitement inhumais qui viole
certaine de article de la charte africaine de droit de l'homme tout en se referent aux document
quil avait fournis a la commission aux momment ou ses evenement ses passe demontrant tout
en sacentuent sur le fait que malgre que le gouvernement nigerian on use de leur pouvoir sur
linterne pour inculpe ken saro wiwa est se condiciple du cote du gouvernement nigeriant est a
leur tour saccentuer plus sur le fait que la procedure se passe selon le norme de leur
constitution est que la decission qui a ete prise se sont base sur le preuve qui se prise se sont
base sur un jugement arbitraire

Absence de droit d'appel


Le Décret de 1987 relatif aux troubles sociaux supprime expressément le droit reconnu aux
accusés par la Constitution de faire appel devant une autre juridiction de toutes les décisions
rendues par le tribunal au cours du procès, par exemple celle de rejeter la demande de mise en
liberté sous caution ou celles témoignant d'une attitude manifestement partiale en faveur des
autorités. Les accusés ne peuvent non plus faire appel devant une cour supérieure ou
indépendante des verdicts ou sentences prononcées contre eux, alors même qu'ils encourent la
peine capitale. Dans une affaire précédente, la Comission africaine des droits de l'homme et des
peuples a décidé, le 3 novembre 1994, que le gouvernement nigérian devait libérer le général
de division Zamani Lekwot et d'autres personnes, qui avaient été condamnés à mort par le
tribunal d'exception chargé des troubles sociaux de Kaduna en février 1993, parce qu'ils
n'avaient par eu la possibilité de faire appel devant une juridiction supérieure. Les autorités
nigérianes ont parfois justifié la suppression de ce droit fondamental par le fait que les
condamnés ont le "droit" de solliciter la grâce du chef de l'État. La Commission africaine des

droits de l'homme et des peuples s'est exprimée sur ce point en novembre 1994 : « Cette
disposition [la requête présentée au chef de l'État] est un recours de caractère discrétionnaire
et extraordinaire et de nature non judiciaire. L'objet du recours en grâce est d'obtenir une
faveur et non de faire valoir un droit. Il serait mal venu [de la

autres] s'adressent, pour leurs recours, à une autorité qui n'est pas impartiale et qui n'est pas
tenue par l'obligation de conformer sa décision à des principes légaux. Un tel recours n'est ni
adéquat ni efficace » (traduction non officielle).

pour conclure le juger a stastue sur un jugement base sur le fait est en conformite avec le
reglement de la charte afraicaine des droit de l'homme est du peuples tout en se referent a
certaine de article que le gourvernement du nigeria a viole il dit ceci

POUR CE MOTIF LA COMMISSION

 Déclare qu‟il y a eu violation des articles 5 et 16 de la Charte Africaine en ce qui concerne la

détention de M. Saro Wiwa en 1993 et son traitement en prison en 1994 et 1995;

 Retient qu'il y a eu violation de l'article 6 en ce qui concerne la détention de toutes les

victimes de State Security Act (Détention de personnes) de 1984 et State Security Amended

Decree no.14 (Détention de personnes) (1994). Le gouvernement a donc l'obligation d'annuler

ces décrets;

 Réitère sa décision prise dans la communication no.87/93 qu‟il y a eu violation de l'article

7(1)(d) en ce qui concerne la création d‟un “Civil Disturbances Tribunal”. En ignorant cette

décision, le Nigeria a violé l'article premier de la Charte;

 Déclare qu'il y a eu violation des articles 4 et 7(1)(a), 7(1)(b), 7(1)(c) et 7(1)(d) en ce qui

concerne la conduite du procès et l'exécution des victimes;

 Retient qu'il y a eu violation des articles 9(2), 10(1) et 11;

 Retient qu‟il y a eu violation de l'article 26;

Retient qu‟il y a eu violation de l'article 16; Déclare qu‟en ignorant ses obligations d‟adopter
des mesures conservatoires, le Nigeria a violé l‟article 1er de la Charte Africaine

POUR CONCLURE : EN DEPIT DU FAIS QUI SE SON PRESENTER LA COMMISION AFRICAINE DE


DROIT DE L'homme a bien fait de statue son condanation tout simplement parceque letat du
nigeria par mauvais foi a mis en oeuvre tout le disposition pour executer ken saro wiwa est ,se
condisciple e que lapplication de la peine de mort devrait etres respecter cars la vie humaine est
ce qui a de plus prescieux aux monde nous citoyen est etat nous avons les devoir de respecter
lintegrite tant physique et mentale que person ne meritent de subire le meme atrocites que a
subi ken saro wiwa

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