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Présenté par:
♦ EJLAIDI Hicham
Encadré par:
Aucune opération industrielle ne produit des résultats parfaits, le procédé est donc
affecté par un certain nombre de paramètres. Le problème est de maintenir ces
paramètres chaque fois que le procédé est en marche. Pour cela l’établissement des
fiches de suivi et de contrôle se voit indispensable.
Dans ce rapport : La première partie est consacrée à une présentation de
l’organisme d’accueil, dans la deuxième partie j’ai pu faire une étude détaillée sur les
unités de lavage. Une étude critique du contrôle actuel des lignes de lavage et une
étude sur les problèmes affectant le bon fonctionnement du procédé fait l’objet de la
troisième partie, ensuite on va faire un contrôle statistique de quelque paramètres de
marche les plus critique des équipements des lignes de lavage. Enfin, une conclusion.
I) Historique de l’OCP :
Le groupe office chérifien des phosphates O.C.P a commencé ses activités en 1920 avec
la première extraction du phosphate à Boujniba dans la zone de Khouribga le 1er mars 1921 et
la première exportation du phosphate au 23 juillet de la même année, ensuite et en 1930 un
nouveau centre de production nommé Luis Gentil s’est ouvert, 28 ans plus tard le centre de
formation professionnel a été crée à Khouribga en1958 pour ouvrir par la suite la chance
devant d’autres unités de formation comme l’école de maîtrise de Boujniba en 1965.
En 1960 le démarrage de Maroc Chimie à Safi pour la fabrication des dérivés du
phosphate : acide phosphorique et engrais.
16 ans plus tard précisément en 1976 démarrage de nouvelles unités de valorisation à
Safi Maroc Phosphore I ensuite Maroc Phosphore II en1981, et grâce à l’augmentation de la
demande le groupe O.C.P à renforcé sa capacité de production en fondant le complexe Jorf
Lasfar qui comporté Maroc Phosphore 3 et 4.
Ensuite le groupe O.C.P s’est lancé dans les projets de partenariat avec d’autre pays pour
lancer l’usine « EMAPHOS » avec la société BUDENHEIM d’Allemagne et PRAYON du
Belgique en 1997, et IMACID avec le groupe indien Birla en 1999.
En 2000 le démarrage d’une unité de flottation du phosphate à Khouribga.
L’OCP commercialise annuellement plus de 13 million de tonnes de phosphates a travers
le monde, en phosphate brut, engrais, ou P2O5 sous forme d’acide phosphorique clarifie, super
phosphate, ammonium simple.
Le groupe constitue un établissement public à caractère industriel et commercial, il est
doté d’un organisme qui permettant d’agir avec le même dynamique et la même souplesse
qu’une entreprise privée. Réalisent ainsi plus de 25%des exportations du Maroc.
Tous ces paramètres combines, font de l’office chérifien l’un des leaders de la recherche,
de l’exploitation et de la commercialisation des phosphates dans le monde.
Depuis plus de trois décennies, la part des produits dérive dans le commerce international
des phosphates se développe continuent au détriment de celle du minerai brut. Cette évolution
structurelle associée à la volonté d’une valorisation locale, plus importante et plus diversifiée,
a conduit à la mise en place d’une industrie de transformation chimique de grande envergure.
I) Introduction :
L’usine de laverie Youssoufia est installée récemment en 2004 dans le but de valorisé
les couches phosphatée pauvres en BPL, par procède de lavage-flottation ; afin de produire
une qualité marchande (teneur en BPL supérieure à celle du minerai extrait et d’un profil de
qualité supérieure) et satisfaire les bousions des clients.
Par conséquent, il est naturel que les procédés de traitement aient évolués en fonction de
la teneur du minerai extrait et des exigences commerciales, en matière de qualité des produits.
L’usine de lavage-flottation de Youssoufia est composé de :
3 lignes de lavage de capacité 350 t/h brut:
• Le lavage consiste à déliter le produit brut par débourbage et à réaliser ensuite sur
le produit débourbé une classification granulométrique.
• Les lignes de lavage constituées de:
Débourbeur.
Crible.
Hydro-classificateur.
Cyclones.
Bacs de récupération.
Pompes.
Convoyeurs séparateurs.
3 lignes de flottation :
• Ces lignes sont intégrées aux lignes de lavage, elles ont pour rôle l’enrichissement
des rejets fins issus des unités de lavage
• les lignes de flottation constituées de :
Bacs de récupération.
Pompes.
Cyclones.
Attritionneurs.
Cellules de flottation.
Bac de stockage des réactifs
Convoyeurs séparateurs.
2 décanteurs de volume unitaire 50000 m3
bassins de récupération d’eau claire de capacités diverses.
Parcs de stockage équipés (machines de mise en stock)
Stock de reprise, convoyeurs, etc.
Installations de manutention de phosphate.
Installations de séparation solide-liquide.
solide
bassins d’épandage des boues ou digues.
1- Le débourbage :
C’est une opération qui consiste à faire une séparation préalable granulométrique basée
sur l’entraînement du phosphate et de l’eau par des rails situés à l’intérieur d’un tambour
cylindrique creux animé d’un mouvement de rotation pour :
- Assurer le malaxage
alaxage et l’attrition du mélange phosphaté.
- Facilite le criblage à une maille de 3,15 mm.
- Préparer la pulpe à une séparation par hydro-classification.
hydro
• Débourbeur
Le débourbeur est un tambour sous forme de tube cylindrique (virole) avec fonds munis
d’ouvertures circulaires sous forme conique pour l’alimentation et la sortie des produits
(solide + eau)
La virole est équipée de plaque releveuses (14en total) permettant le malaxage, le
délitage et la mise en pulpe et de palettes (14 en total) permettant
permettant l’avancement du produit
dans le débourbeur sauf que les trois derniers qui sont au sens opposés afin d’augmenter le
temps de séjour, l’intérieur de la virole est blindé en caoutchouc d’épaisseur (33mm).
Figure1 : Débourbeur
2- Le criblage :
La pulpe traitée au niveau du débourbeur, passe au crible par débordement pour subir un
traitement physique, il s’agit de la première coupure qui consiste à éliminer les particules de
dimensions supérieures à 3,15 mm ; et les particules solides de dimensions inférieures à la
maille passent à travers la grille et constituant le passant, tandis que les grosses particules
restent au dessus de la grille constituant le refus du crible.
Le crible est installé de manière inclinée pour pou favoriser l’écoulement
ulement du produit, et
l’opération de criblage est facilitée à l’aide d’un système d’arrosage par l’eau sous pression,
pulvérisée par des buses afin de libérer les grains phosphatés adhérés à la surface du stérile, et
le système d’entraînement du crible estest à arbre excentrique et balourd entraîné par un moteur
électrique
Figure2 : Crible
classification :
3- Hydro-classification
L'hydro-cyclone
cyclone est un appareil servant à séparer les particules solides dans une phase
liquide, l'hydro-cyclone
cyclone sépare les particules solides selon leurs vitesses de sédimentation, la
séparation dans un hydro-cyclone
cyclone résulte de la force centrifuge générée dans le cyclone, et
dans ce cas, l'accélération gravitationnelle sera remplacée par l'accélération centrifuge, la
vitesse tangentielle de la particule
articule et le rayon de rotation.
Figure3 : Hydro-cyclone
cyclone
b- Principe de fonctionnement d’un hydro-cyclone
hydro
L'hydro-cyclone
cyclone est un appareil de classification hydraulique en dimensions, il permet
de séparer les particules solides d'une pulpe en deux fractions granulométriques qui différent
selon la force centrifuge ; et la pulpe alimentant l'hydro-cyclon
l'hydro cyclone est introduite
tangentiellement dans la chambre d'alimentation cylindrique.
Les particules dont la vitesse de chute est élevée sont entraînées vers les parois du
cyclone sous l'effet de la force centrifuge ; et Cette force est plus importante pour les
particules de masse plus importante (c'est-à-dire
(c'est de taille ou de densité plus importante) ;d’où
les particules solides les plus grosses et plus lourdes se rassemblent le long de la paroi
intérieure du cyclone, et sortent en bas de l’hydro-cyclone
l’hydro « souverse » ;tandis que les
particules solides, plus petites et plus légères dont
dont la vitesse de chute est faible, sont
entraînées vers le centre du cyclone et sont repoussées vers le haut « surverse ».
4- Les convoyeurs séparateurs :
Le produit traité constitue les concentrés de lavage subira une séparation suivie d’un
égouttage au niveau des convoyeurs séparateurs.
La séparation solide- liquide du produit concentré s’effectue au niveau des convoyeurs
séparateurs. L’alimentation des convoyeurs en pulpe épaissie se fait grâce à des goulottes de
réception.
La séparation se fait successivement en quatre zones comme suivant :
zone d’alimentation.
Zone de décantation : l’angle d’auge est relativement grand et la sédimentation
se fait au fond des convoyeurs.
zone de séparation : c’est la zone laa plus importante, l’angle d’auge diminue
permettant le débordement de l’eau chargée de fines dans les gouttières installées
de part et d’autre des convoyeurs.
Zone d’égouttage : l’égouttage se fait grâce à l’inclinaison des convoyeurs
(pente12°), le produit
produit lavé sera déversé dans les convoyeurs de reprise, puis il
sera stocké pour égouttage.
Figure4 : Convoyeurs
séparateurs
1- Bute de lavage :
Le lavage consiste à déliter le produit brut par débourbage et à réaliser ensuite, sur le
produit débourbé, une classification granulométrique pour séparer la tranche la plus riche en
phosphate. Ainsi, une ligne de lavage est constituée des principaux équipements
pements suivants :
- Un débourbeur pour la mise en pulpe du minerai.
- Un crible pour la coupure à 3,15mm.
- Un système hydro-classification
classification constitué d’un hydro-classificateur,
hydro classificateur, hydro-cyclones,
hydro
et de batteries hydro-cyclone
cyclone pour réaliser sur le produit criblé une
une coupure à 160 ou à
180 µm,
m, suivant le profil du minerai brut traité,
traité, et une coupure à 40 µm.
2- Etapes de lavage :
Le chemin parcouru par le brut dans l’installation de lavage est présenté dans le schéma
suivant :
Le contrôle d’une ligne de lavage se fait en se basant sur des paramètres de marche
caractéristique de chaque équipement de la ligne de lavage, ces paramètres de marche
assurent le suivi est le contrôle de performance pour que le procédé soit sous contrôle afin
d’avoir un produit de bonne qualité.
II) Paramètre de marche des équipements de la ligne de lavage :
1- Paramètres de marche :
a- Principe
La courbe de partage nous renseigne sur la qualité, l’efficacité ainsi que sur la rentabilité
d’un appareil de classification ; elle est très utile, elle répond à une grande partie d’exigence,
ça précision dépond des conditions de marche existent lors des prélèvements des échantillons
et des mesures effectuées…il est donc recommandé pour les mêmes conditions de marche,
d’établir plusieurs fois la courbe de partage et d’en déduire une valeur moyenne.
Du point de vue pratique les difficultés principales sont les prélèvements des échantillons
représentatifs destinés à l’analyse granulométrique.
b- Traçage de la courbe de partage :
La courbe de partage donne la probabilité de passage des grains dans la sousverse en
fonction de leurs dimensions. Cette courbe est obtenue en portant :
En abscisse : la dimension des grains en microns ou en mm sur uns échelle
logarithmique.
En ordonnée : la proportion en % poids de ces grains passant à la sousverse (nombre
de partage)
Si la classification fonctionne d’une manière parfaite, réglée à dimension (d0), toutes les
particules ayant une dimension inférieure à (d0), iront à la surverse, et toutes les particules
ayant une dimension supérieure à (d0), iront à la sousverse, la courbe de partage aurait l’allure
suivant :
Figure6 :
courbe de
partage
parfaite.
Au niveau des chaînes de lavage du phosphate, des paramètres de marche ne sont pas
contrôlé même si ils sont primordiaux pour le bon fonctionnement. Cela est dû au manque de
sécurité ou à la défectuosité d’une composante des équipements. Les paramètres non contrôlé
sont les mêmes pour les 3 lignes
Equipement Paramètre non contrôlé Cause
4- Actions correctifs :
Le contrôle d’une ligne de lavage est effectué par des agents chaque un est responsable
d’une ligne de traitement, régulièrement dans chaque heur ou par poste (3 postes par jour).
Les valeurs prélevées sont porté sur des fiches de suivi de l’unité de lavage.
Après avoir regroupé les fiches de suivi d’un mois, les valeurs sont illustré sous forme de
carte de contrôle pour déterminé si le procédé est sous ou hors contrôle, on précisant les
écarts au consignes.
I) Introduction :
La laverie de Youssoufia a adopté une stratégie qui vise à mobiliser tout le personnel afin
d’assurer la qualité au niveau de la sécurité, des conditions du travail, du produit traité et
aussi au niveau de la mise en marche du procédé. Et pour faire, le contrôle statistique assure
un suivi et un maintien de l’efficacité du procédé.
Mon travail à pour objectif d’effectuer un suivi de quelque paramètres de marche,
d’élaborer des cartes de contrôles, d’identifier l’écart au consignes, déterminer les causes
suspectes, est proposer des améliorations afin de remédier.
Le paramètre de marche sur le quel se travail est basé, est le taux de solide qui est un
paramètre déterminant de la coupure de système d’hydro-classification, ce paramètre est
contrôlé en trois endroits dans la chaine de lavage :
− Refoulement pompe 1 (PP1).
− Sousverse hydro-classificateur (HD1). A partir du bac de récupération (BP1).
− Refoulement pompe 3 (PP3).
Remarque : au niveau du bac BP1, l’échantillonneur de prise d’essais n’était pas encore
installé ce qui ma empêché de faires des essais sur la sousverse de l’hydro-classificateur
(HD1).
II) Taux de solide:
1- Définition : le taux de solide est le pourcentage de solide contenu dans la pulpe qui
traverse les conduites, est calculé par la relation suivante :
܌− ૉܛ
ࢀ࢙ = ൨∗ ൨ ∗
܌ ૉ ܛ−
Avec :
- d : masse volumique de la pulpe en g/ml.
- ρs : masse volumique du solide (phosphate brut ρs = 2,85g/ml).
2- Mode opératoire :
Le taux de solide est mesuré selon le mode opératoire suivant :
− Prendre une éprouvette de 1000 ml bien rincée.
− Mesurer la tare de l’éprouvette.
− Vérifier que la chaine n’est pas en arrêt.
− Ouvrir la vanne de l’échantillonneur à 50%.
− Attendre 5s et prendre un échantillon directement par l’éprouvette (le volume ne
doit pas dépasser le 1000ml).
− Fermer la vanne.
− Rincer l’éprouvette de l’extérieur.
− Mesurer la masse totale MT (éprouvette + pulpe).
− Lire le volume de la pulpe VP.
୲୭୲ୟ୪ୣ ି ୲ୟ୰ୣ
− Calculer la masse volumique par la relation suivante : ݀=
ି܌
− Déduire le taux de solide par la relation suivante : ܶ = ݏቂ ቃ ∗
܌
L’étendue au sein d’un échantillon de prélèvement est donnée par la formule suivante
:
Xmax et Xmin sont respectivement les valeurs maximale
maximale et minimale prises par X
d’un échantillon.
-Les coefficients A2, D3 et D4, sont tabulés en fonction de n,, la taille de l’échantillon :
PP3:
Les données que j’ai pu collecter durant mon stage pour cette analyse sont reportées sur
le tableau suivant,, et représente la variation des taux de solide de refoulement pompe PP3 de
la première ligne de lavage :
Jours X1 X2 X3 Xmoy R
13/05/2013 16 17 16 16,33 1
14/05/2013 15 17 16 16 2
15/05/2013 17 15 18 16,67 3
16/05/2013 18 16 17 17 2
17/05/2013 16 16 17 16,33 1
20/05/2013 16 18 17 17 2
21/05/2013 17 18 19 18 2
22/05/2013 17 17 19 17,67 2
23/05/2013 16 17 17 16,67 1
24/05/2013 17 15 16 16 2
27/05/2013 16 16 15 15,67 1
28/05/2013 17 17 16 16,67 2
29/05/2013 17 17 16 16,67 1
30/05/2013 15 16 15 15,33 1
31/05/2013 16 16 17 16,33 2
Moyenne des moyennes 16,53%
Moyenne des étendues 1,67%
La carte suivante est la carte de contrôle des variations de la moyenne des taux de solide du
refoulement de la pompe PP3
La carte suivante est la carte de contrôle des variations de l’étendue des taux de solide du
refoulement de la pompe PP3.
PP1:
Les données que j’ai pu collecter durant mon stage pour cette analyse sont reportées
sur le tableau suivant, et représente la variation des taux de solide de refoulement pompe
PP1 de la deuxième ligne de lavage (vanne d’échantillonneur coincé dans la première
ligne).
jours X1 X2 Xmoy R
13/05/2013 31 30 30,5 1
14/05/2013 31 32 31,5 1
15/05/2013 30 33 31 3
16/05/2013 30 31 30,5 1
17/05/2013 33 32 32,5 1
20/05/2013 30 33 31,5 3
21/05/2013 31 34 32,5 3
22/05/2013 33 32 32,5 1
23/05/2013 30 32 31 2
24/05/2013 30 31 30,5 1
27/05/2013 33 31 31,5 2
28/05/2013 32 34 33 2
29/05/2013 32 31 31,5 1
30/05/2013 30 32 31 2
31/05/2013 32 33 32,5 1
Moyenne des moyennes 31,63%
Moyenne des étendues 1,67%
La carte suivante est la carte de contrôle des variations de la moyenne des taux de solide du
refoulement de la pompe PP1 de la deuxième ligne de lavage.
La carte suivante est la carte de contrôle des variations de l’étendue des taux de solide du
refoulement de la pompe PP1.
Figure 10 : carte de contrôle de l’étendue de taux de solide refoulement PP1
• Interprétation :
- On constate que la variation des étendues est systématique autour de la moyenne cela
montre que le processus est réglé.
• Conclusion:
Même si le procédé stable et réglé, les quelque valeurs sont supérieur a la consigne
exigée par l’opérateur, ce qui laisse pensé que le problème vient de l’alimentation de la
pompe.
VI) Diagnostic d’une ligne de lavage:
1- Brainstorming :
Problèmes Conséquences
Débordement des bacs de récupération de la pulpe.
Limitation des performances du procédé.
Pompes non équipé de variateur de vitesse Non adaptation avec le changement des débits des
autres paramètres.
Les facteurs ci-dessus perturbent le fonctionnement normal des lignes de lavage. Ils seront
classés selon les 5M et représenté sous forme de diagramme d’Ishikawa.
2- Diagramme d’Ishikawa :
Les facteurs ci-dessus perturbent le fonctionnement normal des lignes de lavage. Ils
seront classés selon les 5M et représenté sous forme de diagramme d’Ishikawa.
Figure 11 : diagramme d’Ishikawa d’une ligne de lavage
3- Arbre d’identification :
L’arbre d’identification suivante représente le suivi des causes racines responsable de
l’augmentation du taux de solide de refoulement PP3 et PP1.
Documentation de la laverie :
Le manuel de formation du personnel d’exploitation a la conduite des
installations la laverie.
Les fiches de suivi unité de lavage.