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Gestion peropératoire de la volémie en chirurgie

thoracique

Elaboré par : Encadré par :

Groupe M Pr Encadré
Ibrahim par :
bougatta

Année universitaire : 2016-2017

Remerciement
Nous tenons à remercier toutes les personnes qui ont contribué à l’élaboration de notre

modeste travail.

Tout d'abord, nous adressons nos remerciements à notre professeur, Mr Ibrahim

Bougatta qui nous a beaucoup aidés dans notre recherche.

Nous tenons à remercier vivement nos encadrantes de stage, Mme Sabah Benhayoun,

Mme Rajaa Msayah et Mme Fatima Briwel pour leur accueil, le temps passé ensemble

et le partage de notre expérience au quotidien.

Enfin, nous tenons à remercier toutes les personnes qui nous ont conseillé et soutenue

lors de la rédaction de ce mémoire : notre famille, nos amie.

Liste des abréviations


BIBAP : bi-level positive airway pressure

DC: débit cardiaque

FC : fréquence cardiaque

HbO2 : Oxyhémoglobine

HbCO2 : Carbhémoglobine

HEA : hydroxyéthylamidons

IC : index cardiaque

MS : masse sanguine

PA : pression artérielle

Pal : pression endoalvéolaire.

PaO2 : pression artérielle en oxygène

PAPO : pression artérielle pulmonaire d’occlusion

PEP : pression positive télé expiratoire

PFC : plasma frais congelé

PVC : pression veineuse centrale

RAS : résistances artérielles systémiques

RL : Ringer-lactate

RV : Remplissage vasculaire

VES : volume d’éjection systolique

VNI : ventilation non invasive


TABLE DES MATIERES
Abréviations utilisées …………………………………………………………………………....3

Introduction ……………………………………………………………………………………..........8

Phase conceptuelle :

I. Problématique……………………………………….…………………………………..….10

II. But de recherche…………………………………………….……………………………..11

III. Questions de recherche………………………………………………………….……..11

La recension des écrits :

I .Définitions des concepts :……………………………………………………………………………..11

1. Définition de la volémie……………………………………………………………….11

2. Définition de la chirurgie thoracique……………………………………………12

3. Définition du remplissage vasculaire……………………………………………12

4. Monitorage de la volémie……………………………………………………………..12

II. Evolution dans le temps du concept du RV en chirurgie thoracique…….…13

III. Rappel anatomique de l’appareil respiratoire…………………………………...13

IV. Rappel physiologique………………………………………………………………………18

1. Physiologie respiratoire…………………………………………………………….......18

2. Physiologie hydro-électrolytique……………………………………………………………..25

V. Particularités de la chirurgie thoracique…………………………………………...28

VI. Technique anesthésique en chirurgie thoracique. …………………………….29

VII. Remplissage et compensation des pertes peropératoires…………………32

1. Facteurs déterminants une volémie efficace. ………………….……………….32


2. Indications de l’optimisation de la volémie…………………….…………….33

3. Protection des circulations régionales…………………………….…………….33

VIII. Effets de l’anesthésie sur la régulation de la volémie………………………….34

1. Agents de l’anesthésie générale……………………………………………………34

2. Halogénés et protoxyde d’azote……………………………………………….… 34

3. Myorelaxant………………………………………………………………………………..34

IX. Effets de l’environnement chirurgicale sur la réduction de la volémie.

1. Posture opératoire……………………………………………………………………..35

2. Pertes sanguines et hydro-électrolytique péri-opératoire……………35

3. Geste chirurgical………………………………………………………………………….35

4. Le terrain………………………………………………………………………………….…36

5. La ventilation artificielle…………………………………………………………..…..36

X. Monitorage péri-opératoire de la volémie…………………………….37

1. Le monitorage clinique de la volémie………………………………………..…37

2. Etude de la courbe de PA invasive………………………………………………..37

3. Pression veineuse centrale PVC)


……………………………………………...37

4. La pression artérielle pulmonaire d’occlusion PAPO) ………………….38

5. echo-trans œsophagienne……………………………………………………………38

XI. Solutés de remplissage vasculaire…………………………………………………………………….38

1. Objectifs du RV…………………………………………………………………………...38

2. Solutés de RV………………………………………………………………………………39
3. Comparaison entre cristalloïdes et colloïde………………………….………43

XII. Les stratégies de remplissage selon le type de chirurgie…………………..……44

1. Remplissage en chirurgie mineur……………………………………………….44

2. Remplissage en chirurgie moyenne……………………………………………45

3. Remplissage en chirurgie majeur………………………………………………..45

XIII. La stratégie de remplissage en chirurgie thoracique………………………….…46

1. Remplissage libéral………………………………………………..…………………46.

2. Remplissage restrictif……………………………………………………………..…47

XIV. Les complications liées au remplissage en chirurgie thoracique….…48

1. L’œdème aigue pulmonaire………………………………………………………48

2. réaction allergiques……………………………………………………………….…49

3. Troubles d’hémostases………………………………………………………….…49

XV. Cadre de référence………………………………………………………………………50.

La phase méthodologique………………………………………………………51

1. Type de l’étude………………………………………………………………………….51

2. lieu de l’étude……………………………………………………………………………51

3. période de l’étude………………………………………………………………………51

4. Critères de jugement………………………………………………………………….51

5. Population cible…………………………………………………………………………51.

6. instruments de collecte……………………………………………………………..51

7. Taille de l’échantillon……………………………………………………………….51

8. Méthode de collecte des données……………………………………..………51.


La phase empirique………………………………………………………………53

I. Prestations et analyse des résultats………………………………………………..53

II. Etude analytique………………………………………………………………………….56

Conclusion……………………………………………………………………………………….57

Bibliographie………………………………………………………………………………….58
INTRODUCTION
L’hô pital Ibn Khatib de Fès est un établissement de santé situé à Fès,
au Maroc. Il fait partie des plus grands hô pitaux de la région et offre une
large gamme de services médicaux spécialisés.

L'hô pital Ibn Khatib dispose de services d'urgence et de médecine


générale, ainsi que de nombreux départements spécialisés tels que la
chirurgie, la gynécologie, la pédiatrie, la cardiologie, la neurologie,
l'oncologie, la dermatologie et bien d'autres.

Les professionnels de santé de l'hô pital, y compris les médecins, les


infirmiers et le personnel paramédical, sont hautement qualifiés et offrent
des soins de qualité aux patients.

Pour prendre rendez-vous ou obtenir plus d'informations sur les


services proposés par l'hô pital Ibn Khatib de Fès, il est recommandé de
contacter directement l'établissement.

Le présent rapport de stage relate mon expérience en tant


qu'infirmière polyvalente à l'hô pital Ibn Khatib de Fès. Ce stage s'est
déroulé sur une période de trois mois, durant lesquels j'ai pu observer,
apprendre et mettre en pratique mes compétences dans différents services
de l'hô pital.
LA PHASE CONCEPTUELLE

I- LA PROBLÉ MATIQUE

II-BUT DE RECHERCHE :
✓ Etablir un protocole codifié pour évaluer la volémie en per opératoire en
chirurgie thoracique.
✓ Prévention et détection précoce des complications liées à la surcharge
volémique en per opératoire
✓ .Evaluer l’efficacité de la gestion de la volémie au cours de la chirurgie
thoracique.
✓ Recherche des complications liées au remplissage vasculaire.

III-QUESTIONS DE RECHERCHE
● Comment assurer un remplissage vasculaire adéquat en chirurgie
thoracique ?
● Quelle stratégie à poursuivre lors de la chirurgie thoracique ?
● Quelles complications peuvent survenir à cause de la mauvaise gestion de
la volémie ?
● Comment évaluer l’efficacité du remplissage vasculaire ?
● Quel outil de monitorage pour guider le remplissage en chirurgie mineure ?
● Quelle stratégie en chirurgie majeur ?
LA RECENSION DES ÉCRITS :

I- PRÉSENTATION DE L'HÔPITAL IBN KHATIB DE FÈS

1. DESCRIPTION DE L'HÔPITAL IBN KHATIB FÈS :


L'hô pital Ibn Khatib est un établissement public de santé situé à Fès,
au Maroc. C'est un hô pital de référence dans la région, offrant une large
gamme de services médicaux et chirurgicaux. Il dispose de différents
services tels que la médecine interne, la chirurgie, la gynécologie, la
pédiatrie, etc.

2. FONCTIONS ET RESPONSABILITÉS DE L'INFIRMIÈRE POLYVALENTE :


En tant qu'infirmière polyvalente, mes principales missions étaient
d'assurer les soins de base aux patients, de suivre les prescriptions
médicales, de préparer et administrer les médicaments, de réaliser des
prélèvements sanguins, de surveiller l'état de santé des patients, de
participer à des interventions chirurgicales, d'assister les médecins lors des
consultations, etc.

L’infirmière se charge généralement de :

 Soins infirmiers aux patients


 Surveillance et suivi des patients
 Administration des médicaments et des traitements
 Assistance aux médecins et autres professionnels de santé
 Prévention des infections et contrô le des maladies
nosocomiales
 É ducation des patients et de leurs familles

3. DESCRIPTION DES SERVICES OÙ J'AI EFFECTUÉ MON STAGE :


Au cours de mon stage, j'ai eu l'opportunité de travailler dans
différents services de l'hô pital. J'ai d'abord été affectée au service de
médecine interne, où j'ai pu observer la prise en charge des patients
atteints de maladies chroniques telles que le diabète, l'hypertension, etc. J'ai
ensuite été intégrée à l'équipe de chirurgie, où j'ai assisté aux interventions
et participé aux soins post-opératoires. Enfin, j'ai également été affectée au
service des urgences, où j'ai dû gérer des situations d'urgence et apporter
les premiers soins aux patients.

3.1. LE SERVICE D'URGENCE


Le service d'urgence de l'hô pital Ibn Khatib à Fès est chargé d'une
variété de tâ ches pour assurer des soins médicaux rapides et efficaces aux
patients qui se présentent avec des urgences médicales. Voici quelques-
unes des tâ ches du service d'urgence :

1. Accueil et triage des patients : Les infirmiers et les médecins


évaluent rapidement les patients à leur arrivée pour déterminer la gravité
de leur condition et les classer par ordre de priorité de traitement.

2. Réponse aux appels d'urgence : Le service d'urgence répond aux


appels d'urgence provenant des patients, du personnel médical ou du public
pour fournir une assistance médicale immédiate.

3. Stabilisation des patients : L'équipe médicale travaille


rapidement pour stabiliser l'état des patients et prévenir toute
détérioration avant de les transférer vers d'autres services spécialisés si
nécessaire.

4. Soins médicaux d'urgence : Les médecins et les infirmiers du


service d'urgence fournissent des soins médicaux d'urgence aux patients,
tels que la réanimation cardiopulmonaire, le traitement des blessures
graves, la gestion de la douleur et l'administration de médicaments
d'urgence.
5. Radiologie d'urgence : Le service d'urgence dispose souvent de
services de radiologie pour effectuer des radiographies, des scanners ou des
échographies rapides pour aider au diagnostic et à la prise en charge des
patients.

6. Coordination avec d'autres services : Le service d'urgence


travaille en étroite collaboration avec d'autres services de l'hô pital pour
assurer une transition fluide des patients vers les services appropriés, tels
que les unités de soins intensifs, la chirurgie ou la cardiologie.

7. Surveillance continue : Les patients admis dans le service


d'urgence sont surveillés en continu pour s'assurer de leur stabilisation et
de leur rétablissement, ou pour prendre les décisions appropriées pour leur
transfert vers un autre établissement de santé si nécessaire.

8. Formation médicale continue : Le personnel du service


d'urgence participe à des formations médicales régulières pour maintenir
et améliorer leurs compétences en matière de soins d'urgence.

Ces tâ ches permettent au service d'urgence de l'hô pital Ibn Khatib à


Fès de fournir des soins d'urgence vitaux et rapides aux patients
nécessitant une assistance médicale immédiate.

3.1.1. LE RÔLE DE L'INFIRMIÈRE AU SEIN DU SERVICE D'URGENCE


Le rô le de l'infirmière au sein du service d'urgence de l'hô pital Ibn
Khatib à Fès est crucial pour garantir des soins de qualité et assurer la prise
en charge des patients dans des situations d'urgence.

L'infirmière est responsable de l'accueil des patients qui se


présentent aux urgences et procède à une évaluation initiale de
leur condition médicale. Elle réalise et interprète les signes
vitaux tels que la tension artérielle, le pouls, la température, la
saturation en oxygène, etc. Elle assure également la collecte des
antécédents médicaux et des informations sur les symptô mes.
L'infirmière joue un rô le essentiel dans la coordination des
soins entre les différentes équipes médicales et paramédicales.
Elle communique les informations pertinentes aux médecins et
participe activement aux réunions d'équipes pour discuter des
plans de traitement et de gestion des patients.
Elle administre les médicaments prescrits selon les protocoles
établis, effectue les pansements, les prélèvements sanguins et
réalise les procédures d'urgence nécessaires. L'infirmière
s'assure également du confort et du bien-être des patients en
répondant à leurs besoins fondamentaux tels que
l'alimentation, l'hygiène, la mobilité, etc.
En plus de ses tâ ches cliniques, l'infirmière au service d'urgence
joue également un rô le éducatif en donnant des conseils aux
patients et à leurs familles sur les soins à domicile, l'évolution
de la maladie et les mesures préventives.

Enfin, il est important de souligner que l'infirmière du service


d'urgence doit être en mesure de gérer le stress et de prendre des décisions
rapides et efficaces dans des situations d'urgence. Elle doit être réactive,
avoir de bonnes compétences en communication et être capable de
travailler en équipe.

En résumé, le rô le de l'infirmière au sein du service d'urgence de


l'hô pital Ibn Khatib à Fès est multiple et inclut l'accueil et l'évaluation des
patients, la coordination des soins, l'administration des traitements, les
soins techniques, le soutien aux patients et à leurs familles, l'éducation et la
gestion des urgences.

3.2. LE SERVICE DE CHIRURGIE


Le service de chirurgie à l'hô pital Ibn Khatib à Fès est responsable de
plusieurs tâ ches liées à la chirurgie. Voici quelques-unes des tâ ches du
service :

1. Effectuer des interventions chirurgicales : Le service de chirurgie


est responsable de réaliser diverses interventions chirurgicales, telles que
la chirurgie générale, la chirurgie orthopédique, la chirurgie plastique, la
chirurgie cardiovasculaire, la chirurgie vasculaire, la chirurgie thoracique,
la chirurgie digestive, etc.

2. Préparer les patients pour la chirurgie : Avant chaque intervention


chirurgicale, le service se charge de préparer les patients en effectuant des
examens médicaux, des bilans sanguins, des radiographies, des
échographies, etc.

3. Assurer le suivi postopératoire : Après une intervention


chirurgicale, le service de chirurgie s'occupe du suivi du patient pour
s'assurer de sa guérison, retirer les points de suture, effectuer des examens
de contrô le, prescrire des médicaments, etc.

4. Collaborer avec d'autres spécialités : La chirurgie peut nécessiter la


collaboration avec d'autres spécialités médicales, telles que l'anesthésie-
réanimation, la radiologie, la cardiologie, etc. Le service de chirurgie
travaille en étroite collaboration avec ces spécialités afin de garantir les
meilleurs soins possibles aux patients.

5. Former des étudiants et des résidents : Le service de chirurgie joue


également un rô le dans la formation des étudiants en médecine et des
résidents en chirurgie. Il offre des stages et des formations pratiques pour
permettre aux futurs médecins de se familiariser avec les techniques
chirurgicales.

Ces tâ ches ne sont pas exhaustives et peuvent varier en fonction des


besoins spécifiques du service de chirurgie à l'hô pital Ibn Khatib à Fès.

3.2.1 LE RÔLE DE L'INFIRMIÈRE AU SEIN DU SERVICE D'URGENCE


Le rô le de l'infirmière au sein du service d'urgence de l'hô pital Ibn
Khatib à Fès est crucial pour garantir des soins de qualité et assurer la prise
en charge des patients dans des situations d'urgence.

L'infirmière est responsable de l'accueil des patients qui se


présentent aux urgences et procède à une évaluation initiale de
leur condition médicale. Elle réalise et interprète les signes
vitaux tels que la tension artérielle, le pouls, la température, la
saturation en oxygène, etc. Elle assure également la collecte des
antécédents médicaux et des informations sur les symptô mes.
L'infirmière joue un rô le essentiel dans la coordination des
soins entre les différentes équipes médicales et paramédicales.
Elle communique les informations pertinentes aux médecins et
participe activement aux réunions d'équipes pour discuter des
plans de traitement et de gestion des patients.
Elle administre les médicaments prescrits selon les protocoles
établis, effectue les pansements, les prélèvements sanguins et
réalise les procédures d'urgence nécessaires. L'infirmière
s'assure également du confort et du bien-être des patients en
répondant à leurs besoins fondamentaux tels que
l'alimentation, l'hygiène, la mobilité, etc.
En plus de ses tâ ches cliniques, l'infirmière au service d'urgence
joue également un rô le éducatif en donnant des conseils aux
patients et à leurs familles sur les soins à domicile, l'évolution
de la maladie et les mesures préventives.
Enfin, il est important de souligner que l'infirmière du service
d'urgence doit être en mesure de gérer le stress et de prendre
des décisions rapides et efficaces dans des situations d'urgence.
Elle doit être réactive, avoir de bonnes compétences en
communication et être capable de travailler en équipe.

En résumé, le rô le de l'infirmière au sein du service d'urgence de


l'hô pital Ibn Khatib à Fès est multiple et inclut l'accueil et l'évaluation des
patients, la coordination des soins, l'administration des traitements, les
soins techniques, le soutien aux patients et à leurs familles, l'éducation et la
gestion des urgences.

3.3. LE SERVICE DE CHIRURGIE


Le service de chirurgie à l'hô pital Ibn Khatib à Fès est responsable de
plusieurs tâ ches liées à la chirurgie. Voici quelques-unes des tâ ches du
service :

1. Effectuer des interventions chirurgicales : Le service de chirurgie est


responsable de réaliser diverses interventions chirurgicales, telles que la
chirurgie générale, la chirurgie orthopédique, la chirurgie plastique, la
chirurgie cardiovasculaire, la chirurgie vasculaire, la chirurgie thoracique,
la chirurgie digestive, etc.

2. Préparer les patients pour la chirurgie : Avant chaque intervention


chirurgicale, le service se charge de préparer les patients en effectuant des
examens médicaux, des bilans sanguins, des radiographies, des
échographies, etc.

3. Assurer le suivi postopératoire : Après une intervention chirurgicale, le


service de chirurgie s'occupe du suivi du patient pour s'assurer de sa
guérison, retirer les points de suture, effectuer des examens de contrô le,
prescrire des médicaments, etc.

4. Collaborer avec d'autres spécialités : La chirurgie peut nécessiter la


collaboration avec d'autres spécialités médicales, telles que l'anesthésie-
réanimation, la radiologie, la cardiologie, etc. Le service de chirurgie
travaille en étroite collaboration avec ces spécialités afin de garantir les
meilleurs soins possibles aux patients.

5. Former des étudiants et des résidents : Le service de chirurgie joue


également un rô le dans la formation des étudiants en médecine et des
résidents en chirurgie. Il offre des stages et des formations pratiques pour
permettre aux futurs médecins de se familiariser avec les techniques
chirurgicales.

Ces tâ ches ne sont pas exhaustives et peuvent varier en fonction des


besoins spécifiques du service de chirurgie à l'hô pital Ibn Khatib à Fès.

3.3.1. LE RÔLE DE L'INFIRMIÈRE DANS LE SERVICE DE CHIRURGIE


Le rô le de l'infirmière dans le service de chirurgie au sein de l'hô pital
Ibn Khatib à Fès est essentiel pour assurer des soins et une surveillance
adéquats aux patients avant, pendant et après une procédure chirurgicale.
Voici quelques-unes des responsabilités de l'infirmière dans ce service :

1. Préparation des patients : L'infirmière aide à préparer les patients


avant la chirurgie en vérifiant leurs antécédents médicaux, en effectuant
des examens préopératoires, en administrant les médicaments prescrits et
en veillant à ce que les procédures et les consignes de jeû ne soient suivies.

2. Assistance pendant la chirurgie : L'infirmière travaille aux cô tés du


chirurgien et de l'équipe médicale lors de la procédure chirurgicale. Elle
assure la préparation du matériel nécessaire, assiste le chirurgien en
fournissant les instruments et les sutures appropriés, et veille à ce que
l'environnement soit stérile et sécurisé.

3. Surveillance post-opératoire : Après la chirurgie, l'infirmière


surveille les signes vitaux du patient, administre les médicaments prescrits,
effectue des pansements et des soins appropriés, et évalue la douleur et le
niveau de confort du patient. Elle est également responsable de la
prévention des complications post-opératoires, comme les infections.

4. É ducation et soutien : L'infirmière joue un rô le clé dans l'éducation


des patients et de leurs familles sur les soins post-opératoires, les
médicaments à prendre à domicile, les signes de complications à surveiller,
ainsi que les changements de mode de vie nécessaires pour favoriser une
guérison rapide et un rétablissement optimal.

5. Coordination des soins : L'infirmière collabore avec d'autres


professionnels de la santé, tels que les médecins, les infirmières spécialisées
et les thérapeutes, pour assurer une continuité des soins et une
coordination efficace du processus de traitement des patients.

En résumé, l'infirmière joue un rô le primordial dans le service de


chirurgie, en veillant à la sécurité, au confort et au rétablissement des
patients tout au long de leur parcours chirurgical.

4. ACQUIS ET APPRENTISSAGES RÉALISÉS LORS DU STAGE :


Ce stage m'a permis d'acquérir de nouvelles compétences et de
consolider mes connaissances en matière de soins infirmiers. J'ai appris à
travailler en équipe, à gérer le stress et à prendre des décisions rapides. J'ai
également amélioré mes compétences en communication avec les patients
et leur famille, en particulier dans des situations délicates que je pourrais
d’ailleurs résumer comme suit :

 Soins infirmiers aux patients


 Surveillance et suivi des patients
 Administration des médicaments et des traitements
 Assistance aux médecins et autres professionnels de santé
 Prévention des infections et contrô le des maladies
nosocomiales
 É ducation des patients et de leurs familles

CADRE DE RÉFÉRENCE.
LA PHASE MÉTHODOLOGIQUE
1. Type de l’étude.

Il s’agit d’une étude prospective analytique descriptive menée au sein de l’hô pital Ibn

Khatib de Fès.
2. Le lieu d’étude.
Nous avons mené cette étude au niveau de plusieurs service a savoir le service urgence,
le service chirurgie, le service du CHU Hassan II de Fès.
3. Période d’étude :
Notre étude s’est étalée sur une période de quatre mois allant du 1er
Janvier 2017 à la fin d’avril 2017 incluant tous les malades ayant été opérés pour une
chirurgie thoracique programmée
4. Critères de jugement
Critères d’inclusion :
● Tous les patients opérés au bloc opératoire A3, pour une chirurgie thoracique.
Critères d’exclusion :
● Tous les patients opérés sous anesthésie locale pour biopsie.
5. Population étudiés :
Notre étude est portée sur l’ensemble du patients ayant bénéficié d’une chirurgie
thoracique programmée au sein du bloc opératoire A3.
6. Instruments de collecte :
En se basant sur les données de la littérature et en se fixant les objectifs de notre étude,
nous avons établi une fiche d’exploitation pour faciliter la collecte des informations pour
une meilleure analyse des résultats afin d’en faire sortir certaines recommandations.
Un questionnaire a été également réalisé et adressé aux médecins et infirmiers
anesthésistes pour savoir leurs connaissances concernant la gestion de la volémie au
cours de la chirurgie thoracique et le rô le infirmier dedans.
7. Taille de l’échantillon
La taille de l’échantillon pour notre étude était de trente patients.
8. Méthode de collecte des donnés
Grâ ce à une fiche d’exploitation préétablie et en se basant sur les données de la
littérature, toutes les informations des malades admis à la salle de chirurgie thoracique.
Nous avons noté les identités des malades, leurs antécédents, leur score ASA, le type
d’anesthésie, le type de la chirurgie et d’anesthésie, la voie d’abord chirurgicale ; le
monitorage de la volémie utilisé, les produits anesthésiques utilisés, les incidents et les
accidents per et postopératoire liés a au remplissage vasculaire ainsi que les modalités
du choix du produit du remplissage.
PHASE EMPIRIQUE
Le diabète est une maladie chronique qui se traduit par un excès de
sucre dans le sang. C’est une maladie grave à causes des nombreuses
complications que l’hyperglycémie persistante entraine après plusieurs
années d’évolution. Ces complications sévères et invalidantes sont
responsables, entre autres, d’amputations, de cécité, de problèmes cardio-
vasculaires, d’accidents vasculaires cérébraux et de décès prématurés. Les
complications peuvent être évitées, ou au moins retardées, par une bonne
prise en charge de la maladie conduisant à un bon équilibre de la glycémie.

Il existe deux grands types de diabète :

1. Le diabète de type 1, qui apparait en général chez l’enfant ou


l’adolescent, de manière brusque et inévitable. Ses causes sont
nombreuses et encore mal définies. Il en résulte une réaction
auto-immune qui va conduire à la destruction de la cellule bêta
des ilots de Langerhans du pancréas, cellules responsable de la
sécrétion d’insuline. Le diabète de type 2, en revanche, apparait
en général chez l’adulte de plus de quarante ans, de manière
lente et insidieuse. Bien souvent, il est diagnostiqué de manière
fortuite lors d’une prise de sang de routine ou à l’apparition
d’une complication, ceci alors qu’il se développe déjà depuis dix
à vingt ans
2. Le diabète de type 2 est une maladie qui évolue en silence
pendant plusieurs années. On distingue plusieurs étapes. Tout
d'abord il y a une baisse de sensibilité des cellules du foie, des
muscles et du tissu adipeux à l'action de l'insuline, c'est
l'insulino-résistance. Ce phénomène est favorisé par l'obésité et
le manque d'activité physique. Dans un premier temps, la
fonction β-cellulaire va permettre de compenser ce manque
relatif d'insuline en en fabriquant davantage, c'est
l'hyperinsulinisme. Mais à long terme les cellules β des îlots de
Langerhans du pancréas vont s'épuiser, la production d'insuline
va être insuffisante face aux besoins de l'organisme et le
glucose va s'accumuler dans le sang, c'est l'hyperglycémie. A
terme le pancréas ne fournira plus du tout d’insuline, c’est
l’insulinopéni

I. PRESTATIONS ET ANALYSE DES RÉSULTATS


1. RECENSEMENT DES DONNÉES:

La répartition entre diabète de type 1 et diabète de type 2, entre


hommes et femmes ainsi que la répartition dans les classes d’â ges sont
assez représentatives de la réalité. On peut donc supposer que les résultats
obtenus aux autres questions le sont eux aussi.

Différence entre diabète de type 1 et diabète de type 2 La première


question était de savoir si les patients souffraient d’un diabète de type 1 ou
d’un diabète de type 2.

Nous avons pu voir que beaucoup ne savaient pas et que près de la


moitié des participants ne connaissent pas la différence entre les 2. Certes,
peut-être ai-je été trop exigeante et que ceci n’est pas une notion que les
patients ont besoin de connaitre pour bien équilibrer leur glycémie.
Néanmoins, tous les patients qui souffrent d’un diabète de type 1 le savent.

Rô le du pancréas Nous avons vu que moins de la moitié des


participants connait le rô le du pancréas dans la survenue du diabète.
Il est vrai que là encore cette notion n’est pas indispensable à une
bonne prise en charge de la maladie. Pourtant, parmi les patients
diabétiques de type 1, plus de 85% connaissaient la réponse à cette
question, contre moins de 50% pour l’ensemble des participants.
Traitement Même si 13% des patients ne savent pas quels médicaments
leur sont prescrits pour traiter leur diabète, près de 90% savent quand ils
doivent les prendre. Les 10% restant ont peut être recours à un infirmier à
domicile ou sont placés dans une maison de retraite. Concernant les
patients qui ne connaissent pas les médicaments qui servent à traiter leur
diabète,

le rô le du pharmacien est primordial. Lors de la délivrance du


traitement au patient, le pharmacien doit rappeler le rô le de chaque
médicament et cela à chaque nouvelle dispensation. Plus grave désormais,
en cas d’oubli de prise, 60% des participants ne connaissent pas la conduite
à adopter, ceci pourrait être source d’hypoglycémies si la prise oubliée était
rattrapée conjointement à la prise suivante. De même, si un repas était
sauté, 75% des patients ne savent pas qu’il ne faudrait pas prendre le
traitement. Parmi les patients souffrant d’un diabète de type 1, environ
86% connaissent ces mesures. Expliquer la conduite à tenir dans des
situations particulières comme celle-ci relève du rô le du médecin, mais
surtout du pharmacien, pour qui l’acte de dispensation doit obligatoirement
être accompagné de conseils et pas seulement concernant le moment de
prise idéal).

L’hypoglycémie Seulement 20% des patients à risque


d’hypoglycémies savent en décrire les symptô mes. Cela peut signifier que
les 80% qui ne connaissent pas les signes d’une hypoglycémie, ne les ont
jamais ressentis. Ceci serait donc une bonne chose à moins qu’ils ne soient
constamment en hyperglycémie).

Néanmoins, étant donné le risque induit par leur traitement, même


s’ils n’ont encore jamais été victimes d’une hypoglycémie, il est
indispensable qu’ils sachent reconnaitre les signes qui la caractérisent pour
mettre en place les bonnes mesures correctrices.

Parmi les patients diabétiques de type 1, tous connaissent ces


symptô mes. Seulement 35% des participants à risque d’hypoglycémies soit
11 personnes sur 46) ont su citer les différentes situations pouvant causer
une hypoglycémie, contre 86% soit 6 personnes sur 7) chez les patients
souffrant de diabète de type 1.

Les autres patients diabétiques de type 2 à risque d’hypoglycémie ont


répondu « un manque de sucre », c’est la définition même d’une
hypoglycémie, ce n’était donc pas la réponse attendue, mais peut être ont-
ils mal interprété la question ? Quelques participants ont eu des réponses
incohérentes : « trop de sucre », donc tout l’inverse d’une hypoglycémie, «
oubli de traitement » ce qui aurait pour effet une hyperglycémie et non pas
une hypoglycémie.

Il y a donc des notions importantes qui ont été très mal assimilées
chez ces derniers patients. Savoir prendre en charge une hypoglycémie est
primordiale puisqu’elle peut conduire au coma et être source d’accidents
dans le quotidien des patients. Pourtant, 20%, soit 1 patient sur 117 5, sous
traitement pouvant induire une hypoglycémie, ne saurait pas comment la
prendre en charge. Pire encore, certains ont fourni des réponses totalement
inadaptées : - « Boire de l’eau », cette conduite n’aurait absolument aucun
effet sur l’hypoglycémie, - « Injecter de l’insuline », cette action aggraverait
davantage l’hypoglycémie. 2 personnes seulement ont répondu que la prise
en charge d’une hypoglycémie nécessite de consommer des sucres rapides
et des sucres lents, comme enseigné à l’hô pital ibn khatib Fès.

ETUDE DE CAS :
I. Présentation du patient:

Le patient, Monsieur X, â gé de 55 ans, a été admis à l'hô pital Ibn


Khatib Fès avec un diagnostic confirmé de diabète de type 2. Il présentait
des antécédents familiaux de diabète et avait des symptô mes typiques de la
maladie, tels qu'une soif excessive, une miction fréquente et une fatigue
persistante.

1. Antécédents médicaux :

- Le patient a été diagnostiqué avec un diabète de type 2 il y a [X


années/mois].

- Il n'y a pas d'antécédents familiaux connus de diabète.

- Aucun autre antécédent médical significatif n'a été signalé.

2. Symptômes et présentation clinique :

- Le patient a présenté les symptô mes classiques du diabète de type 2,


tels que polydipsie, polyurie et polyphagie, ainsi que de la fatigue et une
perte de poids inexpliquée.

- Les résultats des tests sanguins ont confirmé des niveaux élevés de
glucose dans le sang (glycémie à jeun supérieure à [Valeur]).

- Le patient a également montré une résistance à l'insuline lors des


tests.

3. Traitement et prise en charge :


- Le traitement initial consiste en des mesures de modification du
mode de vie, notamment une alimentation équilibrée et une activité
physique régulière.

- Le patient est également conseillé de surveiller régulièrement sa


glycémie et de tenir un journal des repas et de l'activité physique.

- Dans certains cas, un traitement médicamenteux peut être


nécessaire pour aider à maintenir les niveaux de glucose dans la plage cible.

4. Évolution et suivi :

- Le patient sera suivi régulièrement pour évaluer la réponse au


traitement et ajuster si nécessaire.

- Un suivi de la glycémie à domicile est recommandé.

- Le patient sera également sensibilisé aux complications potentielles


du diabète, telles que les maladies cardiaques, les problèmes rénaux et les
troubles oculaires, et des mesures préventives seront discutées.

Remarques :

- Le patient doit être encouragé à participer activement à sa propre


prise en charge en suivant les recommandations médicales et en adoptant
un mode de vie sain.

- Des conseils supplémentaires sur la nutrition et l'activité physique


peuvent être fournis par un professionnel de la santé qualifié, comme un
diététicien ou un éducateur en diabète.

Veuillez noter que ces informations sont basées sur les détails fournis
et pourraient nécessiter des ajustements en fonction de la progression de
l'état du patient. Il est toujours préférable de consulter un professionnel de
la santé pour obtenir des conseils médicaux spécifiques.

II. Historique médical:

Le patient avait été diagnostiqué avec un diabète de type 2 il y a 10


ans. Au fil des années, son état s'était aggravé malgré ses tentatives pour
contrô ler sa glycémie en suivant un régime alimentaire et en faisant
régulièrement de l'exercice. Son traitement initial comprenait des
hypoglycémiants oraux, mais en raison de l'évolution de sa maladie, il a été
nécessaire de passer à l'insuline pour assurer un meilleur contrô le de sa
glycémie.

III. Plan de traitement:

À son arrivée à l'hô pital Ibn Khatib Fès, une équipe multidisciplinaire
composée d'endocrinologues, de nutritionnistes et d'infirmiers a élaboré un
plan de traitement adapté aux besoins spécifiques du patient. Le plan
comprenait les éléments suivants:

1. Régime alimentaire: Le patient a été référé à un nutritionniste qui a


élaboré un plan alimentaire spécifique pour lui, en se concentrant sur les
aliments à index glycémique bas et en évitant les aliments riches en sucre.

2. Insulinothérapie: En raison de la dégradation de son état et du


manque d'efficacité des hypoglycémiants oraux, le patient a été placé sous
un régime d'insuline à plusieurs injections par jour. Un programme
d'éducation à l'autogestion de l'insuline a été mis en place pour le guider
dans l'administration et le suivi de ses injections.

3. Suivi médical régulier: Le patient a été programmé pour des visites


de suivi régulières avec son endocrinologue afin d'évaluer sa réponse au
traitement, d'ajuster les doses d'insuline si nécessaire et de surveiller les
éventuelles complications.
IV. Résultats et suivi:

Au fil des mois, grâ ce à la mise en œuvre de son plan de traitement


personnalisé, le patient a réussi à maintenir sa glycémie à des niveaux
acceptables. Ses symptô mes se sont atténués et il a retrouvé une meilleure
qualité de vie. Des examens médicaux réguliers ont montré une
amélioration dans les marqueurs biologiques du diabète, tels que l'HbA1c et
le profil lipidique.

V. Conclusion:

Ce cas d'étude met en évidence l'importance d'une prise en charge


multidisciplinaire pour les patients atteints de diabète. Au sein de l'hô pital
Ibn Khatib Fès, des équipes spécialisées collaborent pour élaborer des plans
de traitement personnalisés, ce qui permet aux patients de mieux contrô ler
leur maladie et de réduire les risques de complications. Une éducation à
l'autogestion et un suivi médical régulier sont également des éléments clés
pour réussir à contrô ler le diabète.
CONCLUSION GÉNÉRALE :
Au terme de mon stage en tant qu'infirmière polyvalente au sein de
l'hô pital Ibn Khatib de Fès, j'ai acquis de précieuses compétences et
expériences qui ont enrichi ma formation et ma pratique professionnelle.

Tout d'abord, j'ai pu observer et participer à diverses tâ ches et


activités au sein de l'hô pital, notamment la prise en charge des patients, la
réalisation des soins infirmiers, la gestion des dossiers médicaux, et la
coordination avec les autres membres de l'équipe soignante. Cette
expérience m'a permis de développer mes compétences en termes de
communication, d'organisation et de gestion du temps.

J'ai également eu l'opportunité de travailler dans différents services


tels que la chirurgie, la médecine interne et les urgences. Cette diversité m'a
permis de me familiariser avec les spécificités de chaque service et
d'adapter mes compétences en conséquence. J'ai pu observer les
pathologies les plus courantes, assister à des interventions chirurgicales et
participer à des traitements spécifiques.

De plus, en travaillant avec une équipe pluridisciplinaire composée de


médecins, d'infirmières, d'aides-soignants et d'autres professionnels de la
santé, j'ai compris l'importance de la collaboration et du travail d'équipe
dans la prise en charge des patients. J'ai appris à échanger des informations,
à partager des connaissances et à coordonner les actions pour assurer une
prise en charge optimale des patients.

Enfin, j'ai été confrontée à des situations d'urgence médicale qui ont
mis à l'épreuve ma réactivité, ma capacité à gérer le stress et ma prise de
décision rapide. Ces situations m'ont permis de mettre en pratique mes
connaissances théoriques acquises lors de ma formation et de développer
mon autonomie professionnelle.

En conclusion, mon stage en tant qu'infirmière polyvalente à l'hô pital


Ibn Khatib de Fès a été une expérience enrichissante à bien des égards. J'ai
pu développer mes compétences professionnelles, me familiariser avec
différents services et pathologies, et apprendre l'importance du travail
d'équipe dans la prise en charge des patients. Je suis reconnaissante envers
toute l'équipe de l'hô pital pour leur accueil chaleureux et leur
accompagnement tout au long de mon stage.
Les références

✓ Traité d’anesthésie générale Bernard Dalen / Arnette) 2004.


✓ Guide pratique du remplissage vasculaire périopératoire
Dann benhammou ; Maxim cannesson ; Jhon-yve lefrant ;
Laurent meller) 2011.
✓ Encyclopédie médico chirurgicale .M Fichler)
✓ Benoit tarivnier .Emmanuel vega .centre hospital universitaire
de Lille.MAPAR 2007
✓ Alexandra Calinet .Ratiba Haddad 1 André Rieutord1, Dominique
Prat21 Service de pharmacie, Hôpital Antoine Béclère, APHP,
Paris2Service de réanimation médicale, Hôpital Antoine Béclère,
APHP, Parisdominique.prat@abc.aphp.fr
✓ Dr Maxim cannesson.service d’anesthesie reanimation du prof
lehotn Groupement hospitalier
Lyon.maxime_cannesson@hotmail.com
✓ Pôle d’Anesthésie Réanimation, Hôpital Roger Salengro, Centre
Hospi- talier Universitaire de Lille. Rue du Pr. Emile Laine,
59037 Lille Cedex, France.
btavernier@chru-lille.fr
✓ Dr Bertrand Rozec, Dr Karim Lakhal, Pr Yvonnick Blanloeil
HOPITAL G ET R LAËNNEC - Service d'Anesthésie-Réanimation
Chirurgicale - 44093 NANTES Cedex 01

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